• Leading #Malaria Vaccine Gets Mixed Reviews
    http://www.nytimes.com/2015/10/24/health/malaria-vaccine-rtss-world-health-programme.html

    The leading candidate for a malaria vaccine suffered some setbacks this week even as two World Health Organization expert panels recommended going ahead with pilot projects to test it further.

    The medical charity Doctors Without Borders said it would not join any pilot projects, and a guest editorial in The New England Journal of Medicine said a new study, showing that the vaccine worked less well when parasites mutated, “should give pause” to efforts to deploy it.

    The vaccine, known as RTS, S or Mosquirix, has been in development for nearly 30 years, and is further along in the approval process than any other candidate. But it is no panacea. In clinical trials, it was less than 40 percent effective even after four shots.

    [...]

    The medical journal study, looking at blood samples taken from 4,600 vaccinated children in the last clinical trial, found that the vaccine worked only about half the time when it was a good genetic match for the parasites a child had, and only a third of the time in bad matches.

    More than 90 percent of the time, the matches were bad. Malaria parasites are famous for evolving drug-resistant strains, and scientists have worried that changes could make them impervious to vaccines as well.

    If RTS, S, is ever widely used, the editorial said, “the most prudent course” would be to work to improve it while using it only in areas where it is a good match.

    #vaccin #paludisme #msf #santé

    • Vaccin contre le paludisme : La #génétique explique les raisons des résultats modestes
      http://intellivoire.net/vaccin-contre-le-paludisme-la-genetique-explique-les-raisons-des-resul

      En attendant la décision d’un comité de l’OMS qui devrait annoncer dans quelques jours s’il recommande ou pas le premier vaccin contre le paludisme, appelé « RTS, S » , une étude a montré pourquoi sa performance est modeste. Les scientifiques ont trouvé une explication génétique des résultats modestes que donne le premier vaccin contre le paludisme, qui n’est pas très efficace dans la protection des enfants africains contre cette maladie mortelle transmise par les moustiques.

      L’analyse a été publié dans le New England Journal of Medicine. Mosquirix , également connu sous le nom de RTS, S, est spécialement conçu pour une utilisation pour les #enfants en bas âge et bébés africains. Alors qu’il a le potentiel d’aider à prévenir de nombreux cas de paludisme, les chercheurs ont été déçus par son efficacité limitée. Les scientifiques ont découvert que la variabilité génétique dans une protéine à la surface des parasites du paludisme peut aider à expliquer la réponse inégale , parce que, la protéine se présente sous différentes formes, or le vaccin de GSK ne comprend qu’une seule variante. Le premier vaccin contre le paludisme imite une souche du parasite qui ne se trouve pas couramment en Afrique, selon l’étude publiée le 21 octobre dans le New England Journal of Medicine (NEJM).

      [...]

      La décision que prendra l’OMS sera suivi étroitement par société pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK) et la Fondation Bill & Melinda Gates, qui ont ensemble financé le développement du vaccin pendant au moins 28 ans au coût de 565 millions de dollars.

      La conclusion de NEJM suggère que le vaccin contre le paludisme serait plus efficace s’il était restructuré pour faire correspondre plusieurs souches de parasites du paludisme. Bien que ce serait bienvenu, dit Joe Cohen, un biologiste moléculaire qui a travaillé avec GSK sur le vaccin depuis son développement en 1987, cela créerait effectivement un nouveau vaccin qui prendrait « 10 à 15 ans à développer ». Pendant ce temps, ajoute-t-il, des centaines d’enfants africains vont mourir du paludisme tous les jours. Toute amélioration serait la bienvenue.

      [...]

      Cependant, même une recommandation positive ne garantirait pas le vaccin contre le paludisme soit utilisé. Les responsables africains vont examiner s’il convient de l’ajouter à leurs programmes contre le paludisme. Les bailleurs de fonds potentiels, tels que le groupe à but non lucratif GAVI,, l’alliance du vaccin fondée par la Fondation Gates décideront ou non de le subventionner.

      Cohen explique que GSK ne réalisera pas de profits et facturera entre 1-10 $ (600 à 6000 FCFA) par injection, pour couvrir les coûts de fabrication et un rendement de 5 %, pour réinvestir dans de nouveaux vaccins contre le paludisme ou la recherche sur d’autres maladies courantes dans les pays en développement.

      #santé