Insee - Conjoncture - L’amélioration de l’activité tire d’abord l’emploi intérimaire

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  • En Midi-Pyrénées, activité réduite rime avec durée d’inscription accrue à Pôle emploi, Insee - Travail-Emploi -
    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=7

    En Midi-Pyrénées, 35 % des demandeurs d’emploi en fin de mois exercent une #activité_réduite fin 2014, soit 14 points de plus qu’en 1996. Les femmes sont davantage concernées par cette pratique que les hommes, que l’activité exercée soit de courte durée (78 heures ou moins, catégorie B des DEFM) ou de longue durée (plus de 78 heures, catégorie C). Dans 29 % des cas, les activités longues correspondent à des temps pleins. La crise de 2008 et le marasme économique qui en a découlé pénalisent les demandeurs d’emploi en activité réduite : ils sont autour de 18 % à n’avoir connu aucun changement de situation en deux années d’inscription (ni reprise d’emploi temporaire, ni formation, etc.), c’est 5 points de plus que les demandeurs d’emploi sans activité (catégorie A). En revanche, quelle que soit la catégorie à l’inscription sur les listes, un demandeur d’emploi sur deux déclarant retrouver un #emploi ne se réinscrit pas dans les six mois : le retour à l’emploi est alors supposé durable. L’activité réduite est une pratique fréquente mais qui ne s’exerce pas en continu. Ainsi, 63 % des demandeurs d’emploi inscrits en 2011 ont eu une ou plusieurs activités réduites dans les deux ans suivant leur inscription à Pôle emploi et 6 % seulement tout au long de cette période.

    #chômeurs #précarité