WikiStrike.com

http://www.wikistrike.com

  • #Carrefour a financé la campagne du président d’#extrême_droite brésilien

    En effet, l’un des actionnaires des plus célèbres supermarchés de France, Carrefour, est l’un des généreux bienfaiteurs du parti de #Bolsonaro, le PSL.


    http://www.wikistrike.com/2018/10/carrefour-a-finance-la-campagne-du-president-d-extreme-droite-bresilien.
    #Brésil #France #financement

    • Mouais, c’est un peu ampoulé comme titre. Ce mec gagne de l’argent entre autre grace à Carrefour (mais pas que), et ensuite il utilise SON argent pour financer l’autre facho. Mais ce n’est pas Carrefour, son conseil d’admin, etc, qui a financé quoi que ce soit de sa campagne, c’est un mec précis avec son argent. Bref, titre un peu putaclic.

  • i24NEWS - Israël aurait secrètement armé et financé des groupes rebelles syriens (médias)
    06/09/2018
    https://www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/183627-180906-israel-aurait-secretement-arme-et-finance-des-groupes-rebelles

    Israël aurait secrètement armé et financé près d’une douzaine de groupes rebelles dans le sud de la Syrie afin d’éloigner les troupes iraniennes du plateau du Golan, a rapporté jeudi le magazine Foreign Policy.

    Les groupes ont ainsi empêché l’implantation de forces affiliées à l’Iran le long de la frontière israélo-syrienne.

    Selon le journal, des fusils d’assaut, des mitrailleuses, des mortiers et des véhicules ont été transférés ces dernières années jusqu’à la fin du mois dernier, par trois points de passage utilisés pour l’aide humanitaire acheminée en Syrie.

    D’après cette source, Israël a versé à chaque membres des groupes rebelles la somme de 75 dollars par mois, et des transferts d’argent supplémentaires ont également été effectués pour l’achat d’armes sur le marché noir syrien.

    Mardi, l’armée israélienne a affirmé lors d’une conférence de presse, avoir bombardé 200 fois le territoire syrien au cours des derniers 18 mois.

    #vousm'endireztant

  • ALERTE - L’Iran prend le contrôle du détroit d’Ormuz, à la stupéfaction de l’empire US
    http://www.wikistrike.com/2018/08/alerte-l-iran-prend-le-controle-du-detroit-d-ormuz-a-la-stupefaction-de-

    ANALYSE COMPLÈTE : Les exercices militaires changent subitement de dimension, Ormuz est maintenant sous protection iranienne.<p>Par <b>Joaquin Flores</b><p>FRN a …

  • Pyramide sous-marine au Japon : les vestiges d’une civilisation engloutie ?
    http://www.fredzone.org/pyramide-sous-marine-au-japon-les-vestiges-dune-civilisation-engloutie-074

    Les eaux du #Japon dissimulent elles aussi des #monuments cachés. Parmi les plus mystérieuses, il y a les vestiges d’une pyramide sous-marine, situés au large de l’île de #Yonaguni. Baptisé le « #Monument_de_Yonaguni », il s’agit d’une immense structure de pierre qui mesure à peu près deux-cents mètres de long et trente mètres de haut. La pyramide présente également d’immenses marches angulaires, ainsi que des parois parfaitement lisses.

    Ces ruines immergées ont été découvertes en 1985 par un plongeur. Il faudra cependant attendre une dizaine d’années avant que les médias ne la présentent enfin au monde entier. Selon les scientifiques, le monument serait vieux de plusieurs milliers d’années. Rien n’est moins sûr concernant ses origines. Cela fait trente ans que les chercheurs débattent sur le sujet.

    I. Ruines dans l’océan

    Remettre en cause le point de vue sur l’histoire humaine.

    Des études montrent que les scientifiques estiment actuellement que la terre est née il y a 4.6 milliards d’années. Les primates préhominiens ne sont pas apparus avant l’ère du Pléistocène, au Quaternaire du Cenozoique, c’est à dire l’Age Glaciaire, il y a environ 1.8 millions d’années. Si l’on se base sur l’étude des fossiles, quelques scientifiques pensent que les activités sociales et la culture n’ont pas émergé avant l’Holocène, il y a prés de 12000 ans, durant le déclin et la fin du dernier âge glaciaire. Donc, durant les 7000 années suivantes, ces cultures n’auraient apparemment pas évolué davantage et seraient demeurées à l’Age de Pierre. Des traces d’écrits et de symboles sont apparus pour la première fois il y a prés de 5000 ans. On se réfère à l’ère précédant cette époque comme à la période préhistorique.

    Pourtant, au grand étonnement des scientifiques, de plus en plus de reliques préhistoriques découvertes au fond des océans remettent en cause ce point de vue. Les architectes de ces vestiges sous marins avaient non seulement des connaissances architecturales et artistiques ingénieuses, mais montraient aussi des signes de civilisation avancée. De plus, ils avaient leur propre forme d’écriture et étaient capables de construire des structures pyramidales. La technologie actuelle indique que cette région était sous le niveau de la mer depuis 10,000 ans ou plus. Il est ainsi manifeste que cette civilisation avancée a existé pendant la période préhistorique, longtemps avant la Période Néolithique. Pour des raisons inconnues, ces civilisations ont disparu et n’ont laissé derrière elles, sous la mer, que quelques vestiges de ce qu’elles furent un jour. Voici certaines preuves de leur existence

    http://www.wikistrike.com/article-e-67610507.html


    #mystère #archéologie

  • L’Arabie saoudite volerait-elle le pétrole du Yémen avec la complicité des Etats-Unis et de Total ? - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2017/03/l-arabie-saoudite-volerait-elle-le-petrole-du-yemen-avec-la-complicite-d

    Un expert économique yéménite a révélé que Riyad dérobait les réserves de pétrole yéménites, avec le soutien du géant français de l’énergie. Le royaume aurait également passé un accord avec Washington pour empêcher le Yémen d’exploiter son pétrole.

    « L’Arabie saoudite a ouvert un site pétrolier en collaboration avec la société française Total dans la partie sud de la région de Kharkhir, près de la frontière saoudienne de Najran et exploite du pétrole dans les puits de la région », a déclaré l’expert économique yéménite Mohammad Abdolrahman Sharafeddin à l’agence iranienne Fars News. 

    « 63% de la production de brut du Yémen est volée par l’Arabie saoudite en coopération avec Mansour Hadi, le président yéménite en fuite et ses mercenaires », a-t-il ajouté.

    En 2014, feu Christophe de Margerie, PDG de Total à l’époque, avait en effet visité la capitale yéménite Sanaa pour rencontrer le président Abdrabuh Mansour Hadi et discuter de l’expansion de l’empreinte du géant énergétique français dans le pays.

    Selon le site internet de la présidence du Yémen, Christophe de Margerie avait alors indiqué que la relation avec le Yémen était « stratégique » et que Total développait ses sites pétroliers dans le pays.

    Selon l’expert Mohammad Abdolrahman Sharafeddin, Riyad achèterait des armes avec l’argent du pétrole volé au peuple yéménite et les fournirait à ses mercenaires pour pourchasser les opposants chiites du Yémen.

    En janvier, la coalition dirigée par l’Arabie saoudite, qui soutient la présidence de Mansour Hadi, a affronté un groupe de rebelles houthis dans la région de Bab el-Mandab, passage essentiel pour les 3,8 millions de barils de pétrole du Moyen-Orient destinés au marché occidental. 

    Un accord entre Riyad et Washington pour avoir la mainmise sur le pétrole yéménite ? 
    À la fin de l’année 2016, un autre expert économique, Hassan Ali al-Sanaeri, avait déclaré que Washington et Riyad avaient soudoyé l’ancien gouvernement yéménite pour qu’il s’abstienne des activités de forage et d’exploration pétroliers, alors même que la recherche scientifique et les évaluations effectuées par les sociétés de forage internationales montrent, selon lui, que les réserves de pétrole yéménites sont les plus importantes de toute la région du golfe Persique.

    « L’Arabie saoudite a signé un accord secret avec les Etats-Unis pour empêcher le Yémen d’exploiter ses réserves de pétrole au cours des 30 dernières années », a déclaré Hassan Ali al-Sanaeri à Fars News.

    Al-Sanaeri a ajouté que les réserves les plus abondantes de pétrole yéménite se trouvaient dans les régions de Ma’rib (ouest), al-Jawf (nord), Shabwah (sud) et Hadhramaut (centre-est).

    Il a noté qu’une série de documents secrets publiés par Wikileaks ont révélé que le gouvernement de Riyad avait mis en place un comité spécial présidé par l’ancien ministre saoudien de la Défense, le prince héritier Sultan bin Abdel Aziz, ainsi que l’ancien ministre saoudien des Affaires étrangères Faisal al-Saud et le chef du renseignement du royaume.

    Les autorités saoudiennes aurait chargé ce comité de mettre en œuvre un projet de canal allant de l’Arabie saoudite à la mer d’Arabie en passant par Hadramaut au Yémen afin de ne plus avoir à utiliser les détroits d’Ormuz et de Bab al-Mandab.

    Il a réitéré que de nouvelles réserves de pétrole avaient été découvertes dans la province yéménite de al-Jawf, ce qui pourrait potentiellement faire du Yémen l’un des plus grands exportateurs de pétrole de la région et du monde.

    Pendnt ce temps, la guerre au Yémen continue. Depuis le début de l’intervention de la coalition arabe en mars 2015, plus de 7 400 personnes ont trouvé la mort et plus de 40 000 autres ont été blessées dans le conflit, alors que toutes les médiations de l’ONU et sept cessez-le-feu ont échoué.

  • Syrie : L’Egypte entre dans la danse - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2016/11/syrie-l-egypte-entre-dans-la-danse.html

    Le grand tournant de Sissi : l’Egypte envoie ses forces en Syrie pour soutenir l’armée
    Selon une source militaire de haut rang, cité par le site « Iran Today », le gouvernement égyptien aurait envoyé des forces militaires en Syrie dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et la coopération militaire et la coordination avec l’Etat syrien, a rapporté le site d’informations Syria-scop.com.

    La source a affirmé que » l’Egypte est désireuse de fournir une aide militaire et d’envoyer des forces en Syrie pour participer aux batailles du gouvernement syrien contre les terroristes, surtout après avoir constaté que ses différends avec l’Arabie Saoudite sont profonds concernant l’aide de cette dernière qu’elle fournit aux terroristes en Irak et en Syrie sans compter sa guerre menée contre le Yémen ».

    La source a poursuivi que « les gouvernements syrien et égyptien comptent annoncer cette coopération dans la lutte contre le terrorisme officiellement et très prochainement ».

    Toujours selon la source, « l’Egypte a également envoyé des armes à la Syrie pour soutenir le régime du président Bachar al-Assad dans la purification de la terre syrienne de la présence des terroristes ».

    Il convient de noter, que la semaine dernière, le général Ali Mammlouk, chef du Bureau de la sécurité nationale syrienne a visité l’Egypte et a tenu des réunions avec de hauts responsables égyptiens.

    Dans le même contexte, un groupe d’officiers de l’armée égyptienne s’est rendu mardi dans la ville portuaire syrienne de Tartous pour s’entraîner avec des conseillers militaires russes, près de la ligne de front de l’Etat islamique a rapporté ce Jeudi Mehrnews.

    Selon plusieurs rapports d’activistes locaux, les officiers égyptiens étaient accompagnés par des militaires russes à leur arrivée à Tartous, mardi.

    Les armées égyptienne, russe et syrienne n’ont pas confirmé ces informations.

    source : http://french.almanar.com.lb/80243

  • Déclarations chocs du lanceur d’alerte Steve Pieczenik : « Un coup d’Etat civil est en cours aux Etats-Unis » - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2016/11/declarations-chocs-du-lanceur-d-alerte-steve-pieczenik-un-coup-d-etat-ci

    La vidéo de Pieczenik est sortie hier à peine et totalise pourtant déjà plus de 650 000 vues. Les informations qui sont présentées sont choquantes (et à la fois pas totalement nouvelles pour ceux qui suivent les informations non relayées par les médias de masse). Ce qui est vraiment nouveau, c’est le fait que des agences de renseignement US auraient collaboré avec Wikileaks pour mettre à mal la campagne présidentielle de Clinton et la mettre enfin à sa place : en prison. C’est également ce qu’évoquait le lanceur d’alerte de la NSA William Binney il y a quelques jours au sujet du piratage du DNC.
     

    Clinton accuse, comme d’habitude les russes mais on constate que les coups qui lui sont portés proviennent bien de l’intérieur. Et qui d’autre que Wikileaks aurait pu révéler ces informations au monde entier ? Nous avons aussi l’ex directeur adjoint du FBI James Kallström, qui confirme que la famille Clinton donne dans le « crime organisé » et que la fondation Clinton est un cloaque, sans parler de documents impliquant les Clinton qui sont soudainement déclassifiés par le FBI à quelques jours des élections. Tout cela ne peut pas être le fruit du hasard.
     
    La question qui se pose désormais est : n’est-ce pas trop tard ? Toutes ces révélations seront-elles suffisantes pour la faire perdre les élections ? (la première étape indispensable) et surtout, le système de vote américain n’est-il pas trop corrompu pour que cela fasse une quelconque différence ? Cela semble être particulièrement le cas des votes électroniques qui permettent toutes les dérives. D’ailleurs, ce n’est pas nouveau puisqu’en 2006, un programmeur informatique de la NSA témoignait déjà sous serment quand au fait qu’on lui avait demandé de développer un programme quasiment indétectable pour truquer des élections.
     
    Si Clinton est élue, il faudrait passer par une procédure de destitution plus contraignante et incertaine. Si réellement des agences de renseignements ont décidé d’outrepasser le circuit judiciaire (visiblement corrompu et peu enclin à traîner Clinton dans la boue) et qu’elles sont prêtes à aller jusqu’à faire un contre-coup d’Etat civil via la toile, ce serait vraiment une manœuvre aussi inédite qu’audacieuse. Cela est-il seulement possible ?
     
    Attendons de voir la suite des événements qui s’annoncent particulièrement mouvementés. Hillary Clinton va-t-elle pouvoir mettre à profit les feux d’artifices qu’elle a déjà commandé ?
     
    Le lanceur d’alerte Steve Pieczenik a été sous-secrétaire d’État adjoint sous Henry Kissinger, Cyrus Vance et James Bakerest. Il est expert en politique étrangère, gestion de crises internationales, et en guerre psychologique. Il a également servi sous les administrations présidentielles en tant que secrétaire adjoint pour Gerald Ford, Jimmy Carter, Ronald Reagan, et la Maison Blanche de George HW Bush.
     
    Le coup d’Etat Hillary Clinton et le contre-coup des frondeurs de l’administration Obama :
     

     

     
     

    Pieczenik évoque également le fait que les Clinton ont régulièrement pris le « Lolita Express » du pédophile Jeffrey Esptein, un vol régulier menant divers politiciens et célébrités vers les Bahamas afin qu’ils puissent se livrer à des actes de pédophilie. Il affirme entre autre que le NYPD dispose de preuves les impliquant dans des affaires de pédophilie.
     
    Nous parlons ici d’au moins 26 voyages et les agences de renseignement savent que ces activités ont toujours cours.
     
    Le réseau Pédophile des Clinton
     

    Merci à Yann Merkado pour les diverses traductions des vidéos.
     
    Alors, la seconde révolution américaine est-elle réellement en marche ou est-ce encore un leurre ? Nous le saurons bientôt. Plus qu’un semaine...

  • Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2016/11/grave-revelation-sur-le-pacte-colonial-entre-la-france-et-quelques-pays-

    La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.

    Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.

    Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.

    Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.

    La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.

     
    Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.

     

    source : http://www.cameroonvoice.com/news/article-news-27475.html

  • EXCLUSIF : L’Etat aurait décidé de censurer le mouvement des policiers (Facebooh, médias...) - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2016/10/exclusif-l-etat-aurait-decide-de-censurer-le-mouvement-des-policiers-fac

    MAJ : Confirmation ? France2 n’a pas parlé du mouvement ce soir au 20h, n’en faisant qu’une brève.

     

    Nous venons de recevoir un email inquiétant d’un journaliste qui désire rester anonyme de France Télévisions qui nous confie sa stupeur de voir le mouvement des policiers censuré suite à une décision qui, semble-t-il, vient de très haut. Selon lui, plus aucun reportage n’est autorisé, c’est du moins ce que la missive ordonne.

    Plusieurs pages Facebook ont aujourd’hui été fermées sans aucune sommation et nous apprenons ce soir qu’il a été donné ordre à France Télévisions de ne plus communiquer sur le mouvement ni aujourd’hui ni demain, ni de rapporter ultérieurement leurs propos . Cette dernière information semble incroyable et digne d’une dictature. Pour le moment, nous ignorons si le groupe public respectera la consigne, mais une chose est certaine, François Hollande conduit la France à la guerre civile. 

    Taire cette Police peut-il mettre une partie de la population dans la rue ?

    La police manque de moyens et se met en danger, elle est en sous effectif, elle se trouve dévoyée dans son travail quotidien, c’est une réalité. Mais le mouvement inquiète le pouvoir qui craint que celui-ci puisse en éveiller d’autres, comme celui des pompiers, ou encore, donner à l’armée, qui ne roule plus qu’à moitié pour le Pouvoir, des idées plus radicales.

     

    Marc Bildermann pour Wikitrike

    • Un journaliste censuré !
      En France ?

      Comprends pas !
      Ils censurent tout ce qui ne plairait pas leur employeur ces fameux journalistes.
      Dans les médias mainstream il passent leur temps à rabaisser leur lecteurs, à idéaliser le néolibéralisme, à nous cracher à la figure.
      Pour ce qui est de déformer les informations, de les tordre idéologiquement, ce sont des experts, les journalistes

  • Satan 2, le missile nucléaire russe capable de détruire un pays de la taille de la France - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2016/10/satan-2-le-missile-nucleaire-russe-capable-de-detruire-un-pays-de-la-tai

    Le gouvernement de Vladimir Poutine a testé cet été un missile nucléaire si puissant qu’il pourrait à lui seul raser un pays de la taille de la France en quelques secondes. 

    Le missile nucléaire « Satan 2 » est le plus puissant jamais conçu, et aucune technologie de défense antimissile ne serait en mesure de l’arrêter. Outre sa puissance, il est équipé d’une technologie furtive pour tromper les systèmes radars ennemis. Son nom officiel est « RS-28 Sarmat ». Fabriqué pour remplacer les vieillissants missiles « R-36M »qui étaient surnommés « Satan » par les experts de l’OTAN. C’est donc tout naturellement que son successeur a récupéré le surnom de Satan 2. 

    Douze têtes nucléaires

    Le missile a une capacité d’action de 10.000 kilomètres, mettant des villes européennes comme Londres ou Paris, mais aussi des villes de la côte ouest américaine, dans sa ligne de mire. Par ailleurs, le missile pourrait contenir jusqu’à douze têtes nucléaires, lui donnant la capacité de détruire en quelques secondes un territoire « de la taille du Texas ou de la France » selon les informations de la télévision russe. 

    La Russie ambitionne de disposer de Satan 2 en 2020 au plus tard.

  • La résolution de l’UNESCO sur Jérusalem : La vérité cachée - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2016/10/la-resolution-de-l-unesco-sur-jerusalem-la-verite-cachee.html

    La (folle) idée d’amener les juifs du monde entier à quitter leurs patries, pour s’établir sur une terre (palestinienne) occupée en “s’inventant un peuple juif” est le véritable théâtre de l’absurde.”

    Dans une récente et exceptionnellement dure et osée résolution de l’UNESCO sur les sites historiques de la vieille ville de Jérusalem, Israël y est explicitement nommé, et à plusieurs reprises, comme “la puissance d’occupation”, le mur occidental (dit mur des lamentations) est mentionné de son nom arabe, la place Al-Bourak et le Mont du Temple comme Al Haram Al Sharif. En d’autres termes, après des années de recherches et d’enquêtes L’United Nations Educational. Scientific and Cultural Organization (UNESCO) a échoué de trouver des racines originelles, historiques réelles juives à la vieille ville de Jérusalem. N’est-ce pas choquant ? Comment cela peut-il être vrai ? Oh, vous allez être surpris…

    Le comité exécutif de l’UNESCO s’est réuni à Paris à partir du 4 octobre courant. Après une semaine d’étude attentive et de délibération, l’UNESCO a décidé qu’il n’y avait aucune connexion juive avec Jérusalem et le Mont du Temple. Le vote de la résolution qui fut soumise par l’Algérie, l’Egypte, le Liban, le Maroc, Oman, le Qatar et le Soudan, avait été repoussé depuis le mois de juillet. Quoi qu’il en soit, une résolution similaire avait été approuvée en avril courant.

    26 pays se sont abstenus tandis que 24 pays ont soutenu l’initiative, 6 pays ont voté contre : les Etats-Unis, la GB, la Lithuanie, les Pays-Bas, l’Estonie et l’Allemagne.

    La résolution “condamne fermement les agressions croissantes israéliennes et les actions illégales entreprises dans Jérusalem-Est. Elle déplore également les mesures israéliennes refusant aux musulmans un accès à leur site sacré d’Al Aqsa / mosquée Al-Haram al Sharif et demande à Israël, la puissance d’occupation, de respecter le status quo historique et d’immédiatement cesser ces mesures.”

    Lisez le texte complet de la décision de l’UNESCO here.

    Le premier ministre israélien Netanyahou a répondu en disant : “Le théâtre de l’absurde continue avec l’UNESCO et aujourd’hui, l’organisation a rendu une de ses décisions les plus bizarres. En disant qu’Israël n’a pas de connexion avec le Mont du Temple et le mur occidental, c’est comme dire que la Chine n’a pas de connexion avec la Grande Muraille ou l’Egypte avec les pyramides.”

    “De manière évidente, ils n’ont jamais lu la bible, mais je conseillerais aux membres de l’UNESCO de visiter l’arche de Titus à Rome, où ils pourront constater ce que les Romains amenèrent à Rome après qu’ils aient eu détruit et pillé le Mont du Temple il y a 2 mille ans” a ajouté Netanyahou.

    De prime abord, ce qu’a dit Mr Netanyahou semblerait être tout à fait persuasif et d’un grand bon sens, Mais en fait non. De plus, la résolution de l’UNESCO n’est ni politisée, ni biaisée.

    En fait, le parallèle que fait Mr Netanyahou n’est pas valide. Le lien des peuples égyptien et chinois avec les pyramides et la grande muraille est essentiellement fondé sur leur histoire commune et leur culture en tant que nation et groupe ethnique, ainsi le lien culturel est absolument indiscutable.

    Le Mont du Temple (s’il y a effectivemert eu une telle chose en Palestine…) n’est important pour les juifs que comme La Mecque l’est pour les musulmans du monde entier.

    Tout comme il serait ridicule d’entendre que les musulmans d’Indonésie clâment des droits historiques sur La Mecque, juste parce qu’ils sont musulmans (ou nouvellement convertis à l’Islam), ce serait la même chose que de voir les juifs européens clâmer des droits historiques sur Jérusalem.

    En bref, le judaïsme est une religion dont les croyants ne devraient avoir aucun droit historique sur la terre de leurs sites saints et sacrés.

    Tout comme les chrétiens latins ne peuvent pas (et ne devraient pas) clâmer le “Vatican” comme leur patrie historique, les juifs européens ne le peuvent pas non plus pour Jérusalem.

    A l’encontre des Egyptiens et des Chinois, les juifs ne sont pas une nation ou un groupe ethnique qui a une culture et une histoire commune. Shimon Perès, l’ancien président qui vient de mourir était un juif européen né en Pologne qui ne serait jamais venu en Palestine en première instance.

    Et pourtant, non seulement Pérès (né Szymon Perski) vint en Palestine, mais il y a vécu suffisamment longtemps pour s’assurer que la très vaste majorité du peuple natif de l’endroit ait été virée à grand renfort de force brutale et de diplomatie trompeuse. Pour cela, Shimon Pérès, un criminel de guerre par essence, a été enterré en Palestine comme héros national d’Israël.

    Les juifs qui furent conquis par l’empereur romain Titus étaient une petite communauté qui habitait à une époque une partie de Jérusalem il y a deux mille ans. La perception de longue durée qu’après cela il y eu une diaspora juive n’est qu’un mythe ; les Romains n’ont exilé personne de Palestine, encore moins la communauté juive. Les descendants de ces anciens juifs sont plus que probablement les musulmans et les chrétiens de la Palestine moderne.

    L’état israélien moderne est fondé sur la croyance en “un peuple juif” en tant que nation unifiée, établie dans les temps bibliques, dispersée par Rome, forcée à l’exil pendant 2000 ans et retournée en terre promise.

    Mais d’après l’historien israélien Schlomo Sand, il n’y a pas eu d’exil, et comme il le montre par une dense analyse archéologique, historique et scientifique, il est absurde de parler aujourd’hui de “peuple d’Israël”. Du moins pas si par cela vous voulez dire les juifs.

    Les juifs qui ont récemment migré d’Europe vers Israël sont des descendants des Khazars (Khazars,) et s’ils sentent le mal du pays, alors ils feraient bien mieux de s’installer en Ukraine, en Russie (ou en Pologne dans le cas de Pérès), mais certainement pas en Palestine.

    Les juifs sont comme les musulmans et les chrétiens : ils viennent en toutes couleurs, tailles et cultures du monde entier. L’idée (folle) d’amener les juifs du monde entier à quitter leur pays, de s’installer en terre (palestinienne) occupée et “de s’inventer” un peuple juif est le véritable “théâtre de l’absurde”.

    Dans une réponse angoissée à la résolution (attendue) de l’UNESCO, le ministre israélien des affaires étrangères a fait publier une brochure de la connexion historique juive à Jérusalem, qui a été distribuée aux 120 délégués permanents à l’UNESCO dont les pays ont des relations diplomatiques avec Israël. Mise en place de choix dans la brochure se tient une photo de l’arc de triomphe de Titus qui commémora la conquête de Jérusalem par l’empereur romain en 70 EC. Gravé sur l’arc se trouve un menorah ou candélabre à sept branches, largement vu et compris comme un symbole hébraïque.

    Il est bien vrai que l’empereur romain a mené une énorme armée et a conquis l’ancienne ville de Jérusalem. De fait, Titus laissa Jérusalem en totales ruines.

    “Maintenant les Romains ont mis le feu aux extrémités de la ville [banlieues] et les brûlèrent et ils démolirent complètement ses murs [de Jérusalem]” Josephus (guerre VI. 9,4.)

    Les chrétiens connaissent les quatre prophéties de Jésus dans le Nouveau Testament disant qu’il n’y aurait plus une pierre se tenant sur une autre, ni au temple et ses murs, ni même de la ville de Jérusalemm et de ses murs (Mathieu, 24:1,2 ; Marc 13:1,2 ; Luc 19:43,44 et 21:5,6). Mais aussi étrange que cela puisse paraître, les murs entourant Al Haram Al-Sharif demeurent dans toute leur gloire passée et leurs pierres d’Hérode et pré-Hérode de plus de 10 000 ans, toujours solidement ancrés en place dans leurs fondations mêmes. Si ces pierres sont celles du Temple, alors les prophéties de Jésus peuvent être sérieusement mises en doute et n’ont aucune valeur historique ni aucun mérite au gré de toute analyse par des observateurs intelligents et non biaisés.

    D’après les témoignages de témoins occulaires de la campagne impitoyable de Titus, absolument tout dans la vieille ville de Jérusalem fut aplati, absolument rien ne resta debout : les marchés, ls bâtiments officiels, les maisons et bien sûr le temple juiif et les murs qui l’entouraient. Donc, si cela était le cas (historique), alors qu’est-ce que c’est que cet énorme mur que l’Israël moderne appelle le “Mur Occidental” ?

    Ce que Mr Netanyahou n’a pas mentionné, et je suis certain que les historiens sionistes le savent parfaitement, c’est que Titus a démoli PRESQUE tous les bâtiments qui se tenaient à l’endroit de la vieille ville de Jérusalem, tous sauf une construction : sa forteresse militaire romaine.

    Ce que nous avons été amenés à connaître comme étant le mur occidental n’est qu’un des murs toujours en place de la forteresse romaine : alias Fort Antonia.

    L’archéologue et auteur américain, le professeur Ernest L. Martin (1932-2002) a fait des fouilles archéologiques dans l’Est de Jérusalem. Dans son livre controversif “The Temple that Jerusalem Forgot”, publié en 1999 et suivant son travail de terrain exensif, le Dr Martin a conclu que les sites saints musulmans, la mosquée Al Aqsa et le dôme de pierre ne sont pas construits sur les ruines du Mont du Temple.

    Plusieurs autres historiens, incluant le professeur Benjamin Mazar, ancien président de l’Hebrew University, sont parvenus à une conclusion similaire, à savoir que les 45 acres de terre connus dans le monde musulman comme Haram Al-Sharif depuis 638 EC sont en fait une forteresse romaine construite par le roi Hérode et que le “mur des lamentations” juif (ou mur occidental) n’a jamais fait partie du second temple détruit en 70 EC.

    En fait, si vous y pensez bien, la résolution de l’UNESCO sur Jérusalem n’est pas une résolution aussi choquante que de connaître la vérité sur ce soi-disant “mur occidental”. Je veux dire que découvrir soudainement que des millions de juifs dans le monde ont prié et se sont lamentés sur un mur romain païen est incroyablement douloureux. Les archéologues ne peuvent pas montrer de manière conclusive de pierres appartenant au second temple, encore moins le premier. Tout autant douloureux est le fait que les experts et les historiens commissionnés par l’UNESCO n’ont pas réussi à trouver une quelconque connexion juive à l’endroit que les sionistes appellent le “Mont du Temple”. L’historicité du site a commencé avec la mosquée Al Aqsa qui était à l’origine une toute petite maison de prière construite par le calife Oumar. Elle fut reconstruite et étendue par le calife de l’Oumayyadh Abd al-Malik et finie sous son fils Al-Walid en 705 EC. Que vous l’aimiez ou pas, c’est ce que les archives historiques anciennes nous disent au sujet de cet ancien site.

    Une fois de plus, un bon nombre de personnes trouvera ces nouvelles révélations quelque peu perturbantes, car comme l’a si bien dit Mr Netanyahou, la bible raconte une toute autre histoire. La bible dit que le Temple Juif aussi bien que toutes les histoires des Israélites se sont passées à Jérusalem. La bible peut-elle avoir tort ?

    Elle n’a pas tort, mais cela revient au comment le monde en est venu à l’interpréter, le livre et ses histoires. En premier lieu, la bible n’a jamais rien dit au sujet de la Palestine, mais cela fut rendu très clair dans le livre que la terre des anciens Israélites était appelée “Canaan”

    En d’autres termes, ce que la bible (hébraïque) mentiona de manière répétitive comme étant “Jérusalem”, n’est pas situé géographiquement sur la terre ancienne de Palestine.

    Par conséquent, toutes les histoires israélites comme celles d’Abraham, de David, de Salomon et de Moïse, se sont déroulées sur une autre terre, loin de la Palestine et de ce qu’est l’”Israël” des temps modernes. C’est sur cette terre ancienne que le premier temple des Israélites s’est tenu à cette époque.

    Ceci n’est en rien une théorie de la conspiration, mais simplement la vérité cachée. Pour vous aider à digérer ces nouvelles révélations choquantes, stimulons un peu votre pensée critique avec quelques faits historiques qui vont vous aider à différencier la Palestine de Canaan.

    Dès la fin de l’âge du bronze (1150 AEC), la terre qui s’étendait de la Méditerranée à la rivière Jourdain était connue sous le nom de “Peleset” dans les archives égyptiennes et “Pilitsu” dans les archives assyriennes.
    La première claire utilisation du terme de Palestine pour se référer à cette zone entre la Phénicie et l’Egypte fut au Vème siècle AEC dans la Grèce ancienne, lorsque Hérodote écrivit au sujet d’un district de la Syrie appelé Palaistiné dans “Les Histoires”. De manière intéressante, dans ses archives historiques, Hérodote n’a jamais mentionné avoir vu ou même entendu parler de quelques juifs que ce soit ou de leur Temple.
    En 332 AEC, lorsqu’Alexandre le Grand conquît toute la côte méditerranéenne orientale, les villes qu’il conquît comme Tyre, Gaza et Jérusalem étaient référées en tant que villes phéniciennes et non pas cananéennes.
    Lorsque l’empereur Titus conquît Jérusalem, toute le territoire était appelé “Palastina” et non pas Israël ou Canaan. Après le siège de 70 EC et avant la révolte juive de 132 EC (Bar Kokhba), Jérusalem fut reconstruite et renommée “Aelia Capitolina” par les Romains. Ce nom resta jusqu’à la conquête islamique de 638 EC. Ensuite, et jusqu’à aujourd’hui, elle fut toujours appelée “Quds” par les Arabes.
    L’endroit que les esclaves israélites ont conquis après leur exode est bibliquement appelé “Canaan”.

    Si, historiquement parlant, la terre de l’ancienne Palestine était, à un moment des temps anciens, réferée comme étant Canaan, alors nous pourrions avoir une base, un fond commun pour considérer la “Jérusalem” moderne comme la ville biblique de David et Salomon.

    Mais jamais la Palestine ne fut appelée Canaan et jamais Jérusalem n’a été la ville de David. “Canaan” est un terme biblique qui a été projeté frauduleusement par les érudits occidentaux biaisés sur la terre de Palestine.

    Ce qui est absurde n’est pas la résolution de l’UNESCO ; mais pendant tout ce temps, notre (fausse) lecture de l’histoire biblique et de celle de l’ancien Proche-Orient.

    Dr. Ashraf Ezzat 

     

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    url de l’article original : http://www.veteranstoday.com/2016/10/20/unesco-resolution-on-jerusalem-the-hidden-truth

    Traduit de l’anglais par Résistance 71