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  • @biggrizzly
    BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 10/01/2021
    5
    @rastapopoulos
    @grommeleur
    @monolecte
    @mad_meg
    @7h36
    5

    La chute. | Laurent Chemla
    ►https://blogs.mediapart.fr/laurent-chemla/blog/100121/la-chute-2

    Même si l’exemple de Trump est sans doute le pire possible quand il s’agit de s’interroger sur la toute-puissance des réseaux sociaux face à la liberté d’expression, son éviction de pratiquement toutes les plateformes nous donne l’occasion d’élargir le débat bien au delà de sa très triste personne, et j’essaie dans ce qui suit d’en profiter pour proposer quelques pistes de réflexion.

    BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
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  • @simplicissimus
    Simplicissimus @simplicissimus 9/01/2021
    12
    @colporteur
    @mad_meg
    @02myseenthis01
    @marielle
    @ericw
    @7h36
    @fsoulabaille
    @biggrizzly
    @rezo
    @alexcorp
    @fredlm
    @lescrises
    12

    Vif débat après la fermeture du compte Twitter personnel de Donald Trump
    ►https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/01/09/vif-debat-apres-la-fermeture-du-compte-twitter-personnel-de-donald-trump_606

    Première mondiale, la fermeture du compte d’un président en exercice suscite des avis partagés aux Etats-Unis et au-delà.

    Dans quelles circonstances est-il légitime de fermer le compte Twitter d’un président en exercice ? Après l’interdiction définitive, ce 8 janvier, du compte personnel de Donald Trump, le débat agite la classe politique, aux Etats-Unis et au-delà. Certains s’indignent qu’une entreprise privée puisse censurer le chef d’une des plus grandes démocraties du monde - qui conserve toutefois son compte présidentiel officiel -, alors que le réseau social a estimé que l’élu incitait encore à la violence, au lendemain d’une invasion historique du Capitole américain ayant fait cinq morts.
    […]
    S’ils la désapprouvent, une petite partie des soutiens de Donald Trump s’est, paradoxalement, réjouie de ce bannissement : les créateurs de réseaux sociaux et sites pro-Trump « alternatifs ». « Nous ajoutons de nouveaux serveurs en ce moment même », écrit Andrew Torba, le PDG du réseau prisé de l’ultradroite Gab. Parler, concurrent pro-Trump de Twitter lancé récemment, connaissait des difficultés d’accès ce 9 janvier, vraisemblablement en raison d’un afflux de messages et d’inscriptions. « Nous sommes propriétaires de nos serveurs, cela prend plus de temps pour en ajouter, mais nous ne pouvons pas être bloqués ! Soyez patients, Dieu est aux manettes », écrit Andrew Torba, fondateur de Gab. Donald Trump lui-même a assuré, dans un message publié sur un autre compte Twitter puis effacé, « étudier les possibilités de construire notre propre plate-forme ». Se doter d’un outil de communication directe aussi puissant que son compte Twitter aux 88 millions d’abonnés sera toutefois difficile.

    (article ouvert, relatant bien le débat ; à lire sur le site, donc)

    Simplicissimus @simplicissimus
    • @arno
      ARNO* @arno ART LIBRE 9/01/2021

      Vif débat après la fermeture du compte Twitter personnel de Donald Trump
      ►https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/01/09/vif-debat-apres-la-fermeture-du-compte-twitter-personnel-de-donald-trump_606

      En France, le secrétaire d’Etat au numérique, Cédric O, a, lui, estimé que « la fermeture du compte de Donald Trump par Twitter, si elle peut se justifier par une forme de prophylaxie d’urgence, n’en pose pas moins des questions fondamentales » […] En 2020, la majorité parlementaire française avait voté l’obligation de retrait des contenus haineux en vingt-quatre heures dans la loi Avia, finalement censurée par le Conseil constitutionnel qui la considérait liberticide.

      Je n’arrive pas à déterminer si c’est un coup de pied de l’âne de la part du Monde, où s’ils ne se sont pas rendus compte qu’ils démontraient ainsi qu’on avait affaire à une belle bande de peigne-culs incompétents que la contradiction n’a jamais étouffé.

      ARNO* @arno ART LIBRE
    • @marielle
      marielle @marielle 10/01/2021

      « Fallait-il bannir Trump des RS ? Oui. Mais est-il acceptable que les RS en décident seuls ? Non, explique Laurent Chemla, qui souhaite que le contrôle des contenus revienne à la loi. »

      Même si l’exemple de Trump est sans doute le pire possible quand il s’agit de s’interroger sur la toute-puissance des réseaux sociaux face à la liberté d’expression, son éviction de pratiquement toutes les plateformes nous donne l’occasion d’élargir le débat bien au delà de sa très triste personne, et j’essaie dans ce qui suit d’en profiter pour proposer quelques pistes de réflexion.

      ►https://blogs.mediapart.fr/laurent-chemla/blog/100121/la-chute-2

      marielle @marielle
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 10/01/2021

      EFF’s Response to Social Media Companies’ Decisions to Block President Trump’s Accounts | Electronic Frontier Foundation
      ►https://www.eff.org/deeplinks/2021/01/eff-response-social-media-companies-decision-block-president-trumps-accounts

      A platform should not apply one set of rules to most of its users, and then apply a more permissive set of rules to politicians and world leaders who are already immensely powerful.

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
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  • @monolecte
    Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA 26/06/2020
    8
    @ericw
    @tintin
    @arno
    @gillesm
    @colporteur
    @7h36
    @rezo
    @reka
    8

    Un jour sans fin, par Laurent Chemla
    ▻https://blogs.mediapart.fr/laurent-chemla/blog/260620/un-jour-sans-fin-13

    La solution la meilleure, on la connaît depuis des DIZAINES d’années : donner assez de moyens à la justice pour qu’un parquet spécialisé (ça tombe bien c’est à peu près tout ce qui reste d’Avia après la nouvelle censure - justifiée celle-ci - du Conseil Constitutionnel) puisse être saisi directement et fournir à ce dernier les moyens techniques (qui sont eux aussi bien connus) pour qu’il puisse retrouver et punir s’il le faut les contrevenants. Mais voilà : il faut de l’argent et l’État ne veut pas donner d’argent à la Justice.

    Pourtant crois-moi : si chaque petit troll boutonneux était - pratiquement - certain de devoir payer une amende pénale quand il agresse en ligne telle ou tel, on la verrait moins, la haine en ligne.

    #Avia #censure #internet

    Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 9/07/2020

      #le_jour_sans_fin

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
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  • @val_k
    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 15/05/2020
    4
    @monolecte
    @marielle
    @line_d_
    @vazi
    4

    Primum non nocere

    Rendre la justice est une fonction régalienne. Les fonctions régaliennes sont des tâches que l’État ne doit pas, ou ne peut pas, déléguer à des sociétés privées. La #loi_Avia fait le contraire.
    Voilà le résumé, essentiel rappel, de Laurent Chemla et c’est à lire par là ⤵

    ►https://blogs.mediapart.fr/laurent-chemla/blog/150520/primum-non-nocere

    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
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  • @stephane
    Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA 15/05/2020
    12
    @monolecte
    @ericw
    @marielle
    @arno
    @7h36
    @jeanmarie
    @rastapopoulos
    @marcimat
    @cy_altern
    @rezo
    @fonkisifou
    @sombre
    12

    « Non. Il ne faut jamais "faire quelque chose".

    Déjà parce que, dans la très grande majorité des cas, "faire quelque chose" c’est faire n’importe quoi. »

    Un remarquable texte de Laurent Chemla sur ce que les anglophones appelent le « do-something-itis », cette maladie, si répandue chez les politiciens français, qui consiste à dire que, puisque quelque chose (la propagande raciste, le terrorisme, le COVID-19…) est intolérable, alors il faut à tout prix faire quelque chose, sans réfléchir aux conséquences. Il développe plus spécialement le cas de la #loi_Avia.

    ►https://blogs.mediapart.fr/laurent-chemla/blog/150520/primum-non-nocere

    #primumActum

    Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA
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  • @rezo
    Rezo @rezo 23/06/2016
    9
    @simplicissimus
    @mad_meg
    @7h36
    @biggrizzly
    @spip
    @solitudemaisdishuits
    @habbon
    @fil
    @homlett
    9

    La petite arrière-cuisine de la presse | Laurent Chemla
    ►https://blogs.mediapart.fr/laurent-chemla/blog/230616/la-petite-arriere-cuisine-de-la-presse

    On vient de l’apprendre : quelques grands groupes de presse français font face à une potentielle catastrophe industrielle (une de plus) : le prestataire qui se chargeait de gérer leurs abonnés a perdu ses bases de données. Source : Le Club de Mediapart

    Rezo @rezo
    • @supergeante
      Supergéante @supergeante 23/06/2016

      Excellente analyse, merci !

      Supergéante @supergeante
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 23/06/2016

      Vous voulez récupérer une copie de votre base abonnés ? « Mais pourquoi », dira le prestataire. « Vous voulez nous quitter ? ». Cette base est peu ou prou leur trésor de guerre. Ils ne la transmettent pas sans résister, et s’ils le font c’est probablement dans un format, sinon inutilisable, au moins assez dégradé pour qu’un concurrent refuse de l’intégrer sans surcoût prohibitif.

      #monde_désespérant :) et vive le #partage et la #solidarité quand même.

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 23/06/2016

      C’est tout de même effarant que des dirigeants de Presse acceptent de tels contrats, et ne réalisent pas à quel point ils abandonnent l’essentiel de ce qui fait la valeur de leur entreprise.

      Mais en fait ils s’en foutent. Ils savent qu’ils auront toujours un oligarque ou un autre qui viendra leur fournir de quoi acheter une base de données ou une autre, et de quoi se refaire. L’objectif des dirigeants de ces publications, ce n’est pas de faire un journal, c’est de continuer à faire tourner leur bouzin, vaille que vaille, pour que les salaires tombent, que les honneurs perdurent, et tout ce que ces gens reprochent à tous les salariés de la planète.

      En fait, c’est juste consternant de bêtise.

      Comme le dit Stéphane par ailleurs, c’est une faute professionnelle grave.

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 23/06/2016

      ►http://seenthis.net/messages/502602

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @simplicissimus
      Simplicissimus @simplicissimus 23/06/2016

      Sans chercher à justifier cette énorme faute, il y a plusieurs points à considérer pour la resituer.

      • d’abord, quelle est la part des ventes sur abonnement et la part des ventes en kiosque ? J’imagine que la part des abonnements pour un quotidien comme Libération est nettement moins importante que celle qui passe par les messageries de presse. Et que cela va en augmentant pour les hebdos et surtout pour les périodiques spécialisés.

      • pour avoir, il y a bien longtemps, approché (de très loin) la gestion de la base des abonnés d’un groupe de presse, il était évident que pour eux, c’était le cœur de leur activité de vente. Ils étaient d’ailleurs en train de refondre en une base « moderne » le vintage qui assurait le service des abonnements et c’était un projet totalement stratégique. Si j’ajoute que cette entreprise se caractérise notamment par un créneau presse jeune où la segmentation par tranche d’âge est primordiale, on comprendra avec quel soin on bichonnait la base…

      • imagine-t-on une entreprise de VPC qui accepterait le moindre risque sur son fichier clients ? Et quand je dis VPC, je pense aussi à, par exemple, des agences de voyage spécialisées.

      • finalement, n’est-ce pas un révélateur de la vraie nature de ces entreprises dite « de presse » par commodité ? Qui sont devenues en réalité des agences de vente d’espace publicitaire. Le lecteur n’est plus perçu comme le client, il perd son côté stratégique et il devient « normal » de sous-traiter la gestion de ce boulet historique.

      Simplicissimus @simplicissimus
    • @supergeante
      Supergéante @supergeante 23/06/2016

      C’est surtout révélateur de la difficulté que les profanes ont à travailler avec les sociétés informatiques. Pour savoir qu’il faut s’assurer que ton prestataire ait des back-ups, il faut déjà savoir que ça ne sera pas forcément automatique et que tu aies prévu les fameux back-ups rebonds dans ton budget. Pour avoir été souvent du côté des clients, faut voir dans quelles conditions, presse ou pas, les cahiers des charges sont rédigés et validés, souvent pas des personnes qui n’y connaissent rien et pensent que la SSII va s’occuper de tout of course.

      Supergéante @supergeante
    • @supergeante
      Supergéante @supergeante 23/06/2016
      @biggrizzly

      @biggrizzly pour développer ce genre d’outils en interne, il faut des salariés compétents et ça se paye. Or, les patrons de presse virent à tour de bras. A quoi leur sert une équipe informatique, ce ne sont pas des journalistes ! Et il n’y a que les journalistes qui comptent, voyons !

      Supergéante @supergeante
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 23/06/2016
      @supergeante @simplicissimus

      Je suis évidemment moi aussi dans le métier @supergeante, et je plussoie, cela a un coût et au delà, il faut avoir conscience que par dessus tout cela nécessite une implication des utilisateurs.

      La conclusion de @simplicissimus est tout à fait pertinente, bien plus que mes élucubrations consternées.

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 24/06/2016

      Gérer une base de clients est une chose, gérer une base d’abonnés en est une autre. Un système de ventes ponctuelles est quelque chose d’assez standardisable (on trouve d’ailleurs pas mal de « modules » pour créer par exemple un site de vente en ligne), un système d’abonnement est autrement complexe. Il faut prévoir le renouvellement, bien sûr, gérer des dates de fin, savoir exécuter des prélèvements (puisque le paiement ne se fait pas forcément en une seule fois)...

      Pour info, #SPIP contient un plugin générique et standard pour gérer les abonnements :
      ►http://plugins.spip.net/abonnements.html
      Et qui sait d’office travailler avec le plugin de Commandes de choses à acheter :
      ►http://plugins.spip.net/commandes.html
      Et le plugin de paiement en ligne :
      ►http://plugins.spip.net/bank.html

      Et ça sait gérer les renouvellements automatiques, pour des abonnements mensuels (par exemple).

      Je dis ça… :)
      #shameless_autopromo

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    Écrire un commentaire

  • @archiloque
    Archiloque @archiloque CC BY 22/06/2016
    11
    @rezo
    @marcimat
    @monolecte
    @7h36
    @biggrizzly
    @colporteur
    @stephane
    @solitudemaisdishuits
    @sraffaud
    @rastapopoulos
    @goom
    11

    Vent de panique dans la moitié des groupes de presse français : où sont passées les coordonnées de leurs abonnés ?
    ►http://www.en-contact.com/vent-de-panique-dans-la-moitie-des-groupes-de-presse-francais-ou-sont-pa

    Archiloque @archiloque CC BY
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 22/06/2016

      La défaillance du prestataire GLI plonge la moitié des groupes de presse français dans l’incapacité de facturer et gérer leurs abonnements. A l’aube des vacances d’été, période durant laquelle de nombreux lecteurs modifient leurs adresses d’envoi, les services diffusions et marketing des Echos, du Figaro, du Point, de Valeurs Actuelles sont fortement impactés et redoutent pire encore : la perte définitive de ces coordonnées.

      #énorme :-D

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @monolecte
      Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA 22/06/2016

      S’il faut, c’est un hack : t’as vu les titres?

      Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA
    • @nicolasm
      Nicolas @nicolasm CC BY-SA 23/06/2016

      On avait bien dit que la presse allait perdre ses lecteurs

      Nicolas @nicolasm CC BY-SA
    • @stephane
      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA 23/06/2016

      Laurent Chemla explique comment ça se passe dans la presse (résumé : gros bordel) ►https://blogs.mediapart.fr/laurent-chemla/blog/230616/la-petite-arriere-cuisine-de-la-presse

      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA
    • @stephane
      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA 23/06/2016

      Rappel utile : quand vos données sont chez un prestataire extérieur, il faut avoir des copies locales, À JOUR et TESTÉES (vérifier leur structure et leur contenu).

      Toute autre attitude est une faute professionnelle grave (et Laurent Chemla a tort sur ce point).

      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 23/06/2016
      @stephane

      Je suis d’accord avec @stephane

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @supergeante
      Supergéante @supergeante 23/06/2016
      @stephane @biggrizzly

      @stephane @biggrizzly pour ce faire faut-il encore que tu aies quelqu’un en interne pour mettre en place les sauvegardes redondantes, les maintenir et les vérifier. A mon avis, c’est là que ça pêche. En interne, veut dire un ou plusieurs salariés dédiés. Et c’est là que le bas blesse.

      Supergéante @supergeante
    • @thibnton
      tbn @thibnton PUBLIC DOMAIN 23/06/2016
      @laurent

      @laurent ici présent

      tbn @thibnton PUBLIC DOMAIN
    • @stephane
      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA 23/06/2016
      @supergeante @laurent

      @supergeante Je comprends pourquoi ce n’est pas fait (cf. l’article de @laurent), mais je veux simplement pointer qu’il ne faut pas venir pleurnicher (et demander des subventions, ce qui ne ratera pas) après.

      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA
    • @nicolasm
      Nicolas @nicolasm CC BY-SA 23/06/2016

      Ils doivent avoir des gens en interne pour remplir les demandes de subventions

      Nicolas @nicolasm CC BY-SA
    • @stephane
      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA 24/06/2016

      Le prestataire prétend avoir des sauvegardes (et prétend que les clients en ont aussi, sans préciser si elles sont dans un format structuré et lisible). Il prétend ne pas vouloir activer la copie de secours avant d’avoir étudié le problème (un rançongiciel a chiffré la copie principale et la copie de secours ?) ▻http://www.nextinpact.com/news/100412-gli-nous-navons-perdu-aucune-donnee-mais-baie-est-en-panne.htm

      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA
    • @stephane
      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA 26/06/2016

      Et une très bonne remarque de “sadserver” sur Twitter « Backups are like aliens. Many believe they exist, but there hasn’t been concrete evidence to substantiate that claim. »

      Stéphane Bortzmeyer @stephane CC BY-SA
    • @booz
      BoOz @booz 29/06/2016

      ▻http://www.strategies.fr/actualites/medias/1043780W/la-presse-a-retrouve-ses-donnees-d-abonnes.html

      BoOz @booz
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  • @homlett
    Hoʍlett @homlett PUBLIC DOMAIN 19/01/2016

    La fracture temporelle
    ▻https://blogs.mediapart.fr/laurent-chemla/blog/040915/la-fracture-temporelle

    J’ai voulu, avant de réagir à tout ça, prendre du recul. Un recul qui, peut-être, m’a permis de relier ce symptôme à d’autres, sans rapport avec la loi renseignement, mais qui tous me semblent relever du même mal : un néoconservatisme galopant, une pensée réactionnaire à ce point « décomplexée » qu’elle a largement dépassé son habitat de droite naturel et largement infusé, y compris au sein des grands partis dits « de gauche ».

    [...]

    Ce que je vois, bien au delà de cette loi et de la manière dont elle a été votée, c’est une rupture. Une fracture qui est loin de n’être que « numérique ».

    #France #Laurent_Chemla #Loi_relative_au_renseignement #Lutte_contre_le_terrorisme #Numérique #Politique #Surveillance

    Hoʍlett @homlett PUBLIC DOMAIN
    • @monolecte
      Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA 19/01/2016

      Quand une grande part de la société est à la recherche de nouveaux modes de consommation, plus respectueux de l’environnement, plus éthiques aussi, qu’elle développe la culture du partage (des ressources, de la musique, du savoir...) alors que l’état abandonne l’écotaxe, soutient l’agriculture intensive au détriment des petites exploitations (▻http://www.politis.fr/Un-gouvernement-a-la-botte-de-la,32260.html), et lutte contre toutes les innovations qui risqueraient de mettre à mal des rentes qui remontent au siècle passé (taxe copie privée étendue au « cloud », redevance audiovisuelle étendue aux « box », loi Thevenoud imposant 15mn d’attente aux VTC, et tant d’autres...).

      Quand une autre partie de la société - la plus démunie - cesse de réfléchir au futur faute de pouvoir s’y projeter et n’a d’autre espoir qu’un retour à un passé qu’elle croit meilleur, encouragée par tout ce que la classe politique compte de démagogues et de populistes, et entraînant avec elle quelques vieux autoproclamés intellectuels, dépassés par le monde moderne et qui n’ont pas de mots assez durs pour fustiger ce qu’ils n’ont pas les moyens de comprendre.

      Tout se passe comme si nous avions d’une part une population tournée vers l’avenir, imaginant une démocratie modernisée, une économie collaborative, sociale et solidaire, s’adaptant aux nouveautés numériques (telle la petite poucette de Michel Serres) mais tout aussi capable d’imaginer un débat public sur le revenu universel, la dépénalisation des drogues douces ou l’accueil des réfugiés, et d’autre part une classe politique résolument tournée vers un passé archaïque, rêvant d’uniformes scolaires, de morale à l’école, d’interdiction du mariage pour tous, et d’un paternalisme assis sur le cumul des mandats, le copinage et la corruption.

      Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA
    • @bce_106_6
      Renée Pélagy @bce_106_6 20/01/2016

      La fracture est avant tout financière.
      La France a toujours été un pays foncièrement conservateur, et bloqué.
      C’est pour cela qu’elle n’évolue que par explosion
      Pour sauvegarder leurs privilèges, les 1 % sont prêts à tous les massacres.

      C’est pourquoi aussi François II a proclamé l’état d’exception dans ce pays.

      Renée Pélagy @bce_106_6
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