Aux ordres de l’anarchie – série de podcasts à écouter – France Culture
▻https://www.franceculture.fr/emissions/serie/anarchie
Les Chemins de la philosophie 4 épisodes par Adèle Van Reeth
Aux ordres de l’anarchie – série de podcasts à écouter – France Culture
▻https://www.franceculture.fr/emissions/serie/anarchie
C’est Géraldine Mosna-Savoye qui présente l’émission maintenant.
Ah, merci pour le rappel @vanderling , je voulais l’écouter justement.
des liens dans l’épisode n°3 Manuel à l’usage d’un.e anarchiste
Jean-Christophe Angaut, membre du comité de rédaction de la revue Réfractions , auteur d’un blog sur Bakounine.
►https://refractions.plusloin.org
▻http://atelierdecreationlibertaire.com/blogs/bakounine
et les dernières nouvelles (pour les parisiens) de l’ anarchiste Claude Guillon : ▻https://lignesdeforce.wordpress.com/2021/11/12/amis-dessous-la-cendre-un-documentaire-realise-par-les-amis
Matériaux pour accompagner le documentaire "Amis, dessous la cendre"
▻http://gimenologues.org/spip.php?article959
Quatre philosophes russes (4/4) : Bakounine, l’anarchiste
►https://www.franceculture.fr/emissions/les-chemins-de-la-philosophie/quatre-philosophes-russes-44-bakounine-lanarchiste
Il y a beaucoup d’idées reçues sur l’anarchisme : casse, opposition violente, mort de l’ordre et des lois... Mais qu’est-ce qu’était l’anarchisme pour le philosophe Michel Bakounine ? En quoi sa remise en cause de l’Etat l’a-t-il opposé à Marx ? Quels mouvements incarnent sa pensée aujourd’hui ?
Une émission présentée par Géraldine Mosna-Savoye
▻http://atelierdecreationlibertaire.com/blogs/bakounine/retour-sur-une-emission-1236
►http://refractions.plusloin.org
▻http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article153790
#Bakounine #anarchie #ACL
Autoportrait d’un monstre : Bakounine à la plume
Par Alain Pessin (1998)
▻https://www.non-fides.fr/?Autoportrait-d-un-monstre-Bakounine-a-la-plume
source : #non-fides
#Jean-Christophe_Angaut «Le statut de la philosophie chez le dernier Bakounine»
►http://atelierdecreationlibertaire.com/blogs/bakounine/le-statut-de-la-philosophie-chez-le-dernier-bakounine-6
Pour tenter, tout d’abord, de proposer une définition de la #philosophie chez le dernier Bakounine, on dispose d’un élément important avec un texte dans lequel le révolutionnaire russe présente ses conceptions philosophiques. Le titre même des Considérations philosophiques sur le fantôme divin, le monde réel et l’homme, rédigées au cours de l’hiver 1870-1871, indique que Bakounine a tenté d’y présenter au moins une partie de ce qu’il rassemble sous le nom de philosophie. Toutefois, le texte des Considérations reprend des passages entiers de textes antérieurs, qui doivent donc, à leur tour, être considérés comme philosophiques : d’abord des passages de cet ensemble de manuscrits de 1865 que les éditeurs de l’Institut International d’Histoire Sociale ont intitulé « Fragments sur la franc-maçonnerie », passages qui avaient également été repris dans la dernière partie de Fédéralisme, socialisme et antithéologisme (1867-68), où les conceptions philosophiques de Bakounine sont désormais résumées en un « antithéologisme » ; et les développements que contiennent les Considérations seront prolongés dans l’ensemble de manuscrits qui constituent la polémique avec le patriote italien Mazzini (1871-72) et qu’on connaît souvent comme La Théologie politique de Mazzini. Avec cet ensemble de textes, on a le corpus philosophique du Bakounine de la maturité, à condition d’y ajouter un texte de 1868, écrit en russe et destiné à la Russie, La science et le peuple, qui est cependant d’un usage difficile pour un non russophone en raison des errements de la traduction française.
D’aucuns disent que l’anarchie est née à Lyon... nous n’irons pas jusque-là, mais les historiens savent que la ville de Lyon a joué un rôle important au sein des mouvements libertaires en France. Nous voudrions, par le biais de ce blog, proposer des images (de documents, de personnes, de manifestation, etc.) afin d’illustrer cette histoire, mais aussi créer des liens entre les militant-e-s, chercheurs et toutes personnes voulant connaître de près un courant politique qui ne semble pas avoir dit son dernier mot.
Nos premiers pas dans cette mise en image d’une mémoire libertaire, ne va pas se faire en ordre chronologique, mais au gré des documents que nous recueillerons, et sachant que depuis plus de trente ans nous sommes actifs au sein du mouvement, ici à Lyon, et avons pris du plaisir à utiliser des appareils photographiques pour garder des traces...
Le blog Histoire en image des libertaires lyonnais, après quelques longs mois de repos, va repartir sur un rythme, nous l’espérons, plus régulier.
►http://atelierdecreationlibertaire.com/blogs/images-de-libertaires
Coup d’éclat antifasciste à Aubagne en 1932
Le 14 janvier 1932, une bombe explose à Aubagne. Ses échos continuent de résonner dans la mémoire de quelques habitants de cette tranquille bourgade à la périphérie de Marseille. Était-ce bien une bombe anarchiste ? N’était-ce pas plutôt, comme à Juan-les-Pins quelques années plus tôt, un faux attentat perpétré par des fascistes ? Qui a-t-on vraiment visé ? La bombe a-t-elle vraiment été déposée par des fascistes « pour faire sauter le siège de la société de secours mutuel constituée entre émigrés italiens, à l’époque regroupés dans la salle du restaurant Rosier », comme le laisse entendre, bien des années plus tard, un grand quotidien régional ?
On constate que l’épisode s’est transmis avec beaucoup d’imprécisions, mais quelques voyages dans la presse de l’époque permettent de lever tous les doutes. De même, en consultant les comptes rendus des réunions du conseil d’administration de la société de secours mutuel italienne, la Fratellanza/Fraternelle, il est aisé d’éliminer son implication dans cet attentat : parce que le loyer était devenu trop élevé, la société avait changé de local presque deux ans plus tôt*.
En 1932, la petite salle située au dessus du restaurant Rosier, du nom de la propriétaire encore présente aujourd’hui à la mémoire des Aubagnais, est déjà investie par une autre association italienne : l’Associazione nazionale combattenti italiani. Celle-ci ne tarde pas à arborer sur la façade un panneau portant l’inscription Casa degli Italiani. C’est ce qui apparaît très lisiblement sur une photo, malheureusement techniquement impossible à reproduire, du quotidien régional qui, à chaud, relate l’épisode. Le local, situé à deux pas de la gare et tout près de la place principale, est devenu, à travers cette association, la vitrine du fascisme à Aubagne. Son président, Vladimiro Rossi, une « brave personne » selon un chroniqueur de l’époque, nous est montré sous un tout autre jour par les rédacteurs de La Lanterna, un périodique publié par des anarchistes de Marseille, Toulon et La Seyne-sur-mer :
►http://atelierdecreationlibertaire.com/blogs/anarchistes-italiens/2011/04/13/coup-d%e2%80%99eclat-antifasciste-a-aubagne-en-1932