• Quelques raisons de refuser la fouille imposée pour la manifestation du 15 septembre.
    http://paris-luttes.info/home/chroot_ml/ml-paris/ml-paris/public_html/local/cache-gd2/96/d1178cd743102513266c4a7f872f0b.jpg?1473792312
    http://paris-luttes.info/quelques-raisons-de-refuser-la-6670

    Comme lors des manifestations du 23 juin et du 5 juillet, les autorités ont probablement décidé de transformer les manifestations en zoo de la contestation. La manifestation du 15 septembre n’échapera pas à cette sinistre règle. À nous de lutter contre ce dispositif, et en premier lieu à refuser la fouille imposée à l’entrée de la manif.

    @lundimatin @rezo

  • Le blog de Floréal | Croire ou penser, il faut choisir !

    Le saint communiste

    13 septembre 2016 par Floréal

    La photo ci-contre fut prise en septembre 1936 aux alentours de Huesca (province d’Aragon). Cet homme fut identifié comme un curé qui, quelques instants après avoir été photographié, allait être fusillé par des miliciens républicains dans le village de Sietamo. Durant des décennies, cette image de curé martyr fit l’objet d’un véritable culte à Huesca et dans ses environs. On édita de petites estampes, des calendriers, on l’invoquait dans des prières. Mais en 1995, Jean-Paul II franchit un pas supplémentaire et, dans l’une de ses fournées de béatification de martyrs de la guerre civile, sanctifia ce jeune et beau curé qui défiait la mort avec le sourire de celui qui sait se trouver dans le bon camp. Dieu soit loué !
    Ce cliché avait été réalisé par Hans Guttman, membre des Brigades internationales et photographe professionnel, qui en Espagne changea son nom en Juan Guzman. Son problème était qu’il ne comprenait pas l’espagnol et pas toujours tout ce qui se passait autour de lui. Ainsi, lorsque les combattants républicains s’emparèrent du village de Pompenillo, sur la route de Huesca, Guttman ou Guzman, comme on voudra, réalisa une série de photos : un garde civil mort, un habitant prisonnier, le curé du village quelque temps avant d’être fusillé… et bien d’autres photos qu’il identifia à sa manière.
    A la fin de la guerre civile, Guttman partit au Mexique où il vécut le reste de sa vie. Sans doute ne sut-il jamais que le pape avait sanctifié le martyr qu’il avait eu face à lui durant quelques instants. Le photographe mourut de vieillesse, et c’est en ordonnant ses papiers et ses négatifs qu’est apparue la surprise : le « curé » fusillé de la photo n’était pas du tout curé. Guttman s’était trompé en référençant son cliché. En réalité ce jeune homme était un brigadiste communiste allemand ! La preuve en est fournie par d’autres photos, prises quelques jours plus tard, où ce même jeune homme figure, en compagnie de ses camarades, avec la salopette typique que revêtaient alors les combattants républicains.
    Ainsi donc, les bigots de la région du Haut-Aragon ont adoré durant des décennies les petites estampes et images sacrées d’un prétendu martyr qui, pour avoir été communiste et probablement mécréant, devait sans aucun doute séjourner en enfer. Et alors ? Va-t-on le faire redescendre des hauteurs célestes ? Peut-on déloger un saint de son poste ? Le pape n’est-il pas infaillible, et par là même censé ne pas s’être trompé en le sanctifiant ? Mon Dieu, que de questions sans réponses ! »

    (D’après une info publiée dans le quotidien El Periodico de Catalunya.)

  • https://florealanar.wordpress.com/2016/06/23/que-du-bonheur/#comment-1431

    Que du bonheur !*

    23 juin 2016 par Floréal

    L’accord intervenu entre le gouvernement et les organisations syndicales pour la manif de ce jour, à Paris, ouvre des perspectives intéressantes. Pourquoi ne pas créer un « anneau des manifestations » où se dérouleraient désormais toutes les protestations de masse ? Le stade Charléty, déjà chargé d’Histoire, ferait parfaitement l’affaire. Un filtrage sévère aux entrées, comme sur les boulevards menant à la place de la Bastille en ce jeudi, faciliterait le travail d’une police harassée. Les portiques à l’entrée permettraient de compter les manifestants, mettant ainsi fin aux estimations fantaisistes livrées tout à la fois par la Préfecture de police et les organisateurs. La détermination des participants serait estimée au nombre de tours de terrain effectué. Les simples sympathisants trouveraient place dans les gradins. Les caméras utilisées pour les retransmissions sportives pourraient servir, afin de fournir des images aux journaux télévisés. Ainsi, plus de casse, plus d’embouteillages. Que du bonheur !

    *

  • Les produits dangereux | Le blog de Floréal
    https://florealanar.wordpress.com/2016/02/24/les-produits-dangereux

    « Le parler patronal
    Les produits dangereux

    24 février 2016 par Floréal

    Après le sérieux avertissement lancé par une organisation de consommateurs quant à l’emploi risqué de nombre de produits cosmétiques contenant des allergènes et autres perturbateurs endocriniens, après la découverte de morceaux de plastique dans des barres chocolatées, qui a obligé une célèbre marque à les retirer de la vente, voici aujourd’hui que des protège-slips font l’objet d’un rapatriement urgent sur leur lieu de fabrication après la découverte d’un herbicide, le glyphosate, dans leur composition.
    Ces malfaçons répétées touchant des produits de consommation courante ne doivent pas nous faire oublier que ça n’est pas là le seul domaine où les empoisonneurs opèrent et où la publicité sur les bienfaits de ce qui est proposé se révèle outrancièrement mensongère.
    Ainsi, des amis qui s’intéressent de près à la politique ont analysé le socialisme de gouvernement tel qu’il est aujourd’hui proposé à l’électeur moyen, et ont trouvé dans cette mixture, déjà très insipide à l’origine, de fortes doses de macron et de valls, deux substances préoccupantes qui le rendent extrêmement dangereux, sans pour autant que son retrait soit envisagé avant 2017.
    Cette dangerosité avait d’ailleurs, avant analyse, déjà rebuté beaucoup de consommateurs de ce produit avarié, les poussant à se tourner sans réfléchir vers certains ersatz : le tobira, par exemple, produit à base de couleuvres qui connut récemment un petit succès avant qu’on s’aperçoive que seul le distinguait, en vérité, un emballage tape-à-l’œil ; le lepène, un puissant laxatif régulièrement proposé à chaque consultation et qu’on paiera très cher ; le mellanchon, ensuite, âcre et fort en bouche au point d’avoir un effet émétique, et qui rebute grandement par le fait que nombre de ses composants portent la mention « made in China » ; le jupet, enfin, produit de luxe qui bénéficie manifestement d’un… abus de confiance.
    L’organisme mis en place par ces amis évoqués plus haut, l’ANAR (l’Attention Nécessaire contre l’Arnaque Républicaine), vous conseille donc fortement de vous détourner de tous ces produits frelatés. Au plus vite !

  • Le parler patronal | Le blog de Floréal
    https://florealanar.wordpress.com/2016/02/18/le-parler-patronal

    Le parler patronal

    18 février 2016 par Floréal

    Au journal de France 2 (service public), ce 18 février, au sujet du projet de loi concernant le Code du travail, un jeune journaliste apprivoisé, évoquant les 35 heures auxquelles s’attaque violemment le gouvernement, parle de « totem ». C’est ainsi, désormais, avec parfois le terme « tabou », que la profession journalistique désigne, en adoptant ce parler libéral aux accents freudiens, la durée hebdomadaire du travail. Il s’agit par là même de montrer que des forces rétrogrades, passéistes, restent attachées à des « acquis » ringards présentés comme autant d’obstacles aux nécessités économiques du moment, seules à même d’assurer notre prospérité future.
    Pendant des décennies, nous avons eu droit, souvenez-vous, aux fameux « avantages acquis », de plus en plus dénoncés, au fil du temps, comme autant de scandaleux privilèges auxquels restaient attachés des salariés égoïstes indifférents à une marche du monde nécessitant toujours davantage de sacrifices de la part des éternels sacrifiés.
    Il est pour le moins cocasse de voir appliquées ces expressions flatteuses à tout ce qui a pu alléger, momentanément, la pénibilité du travail salarié, mais jamais à tout ce qui touche la fortune des décideurs patronaux et gouvernementaux. Car si vous venez vous promener avec moi avenue Foch ou avenue Mozart, à Paris, ou dans les quartiers cossus que sont les VIIe, VIIIe et XVIe arrondissements de Paris, par exemple, eh bien je suis à même de vous montrer ce que sont réellement des « avantages acquis », et non seulement acquis mais durables et toujours plus prospères, et jamais considérés comme un frein à la nécessité de s’adapter à un monde qui change.
    Quand triomphe le credo patronal, triomphe aussi son langage.

    • Il faut je pense distinguer Taubira la personne et Taubira la ministre. Taubira ministre a beaucoup parlé et peu agit, mais après tout il y a beaucoup de gens qui sont dans la même situation en dehors de ministère et se refugient dans un idéal de pureté.

    • Distinguer la personne de la ministre ??? Hum ! Hum ! Arrêtons de trouver des excuses que ce soit un homme ou une femme « politique », le seul mot qui me dérange là-dedans c’est « politique ». Et puis, c’est bon, cessons de nous fabriquer des icônes. De plus, Mme Taubira n’ira pas pointer au chômedu après son passage au gouvernement ... Là où j’ai carrément honte pour certains mes concitoyens, c’est de la façon dont elle a été maltraitée. Bravo la république de M Valls ! La France, berceau des droits de l’Homme ? Mon cul, ouais !

    • Arrêtons de trouver des excuses... tu te prend pour Valls ? Expliquer qu’une personne peut avoir des convictions mais que son milieu social / la manière dont elle intègre la politique ne lui permet pas de les mettre en œuvres, c’est juste appliquer à la politique politicienne le même genre de discernement qu’on fait (à juste titre) pour d’autres personnes.

      Et je ne vois pas en quoi la question de savoir si elle va pointer au chomdu change quelque chose à l’affaire.

      Et je ne crois pas avoir vu une seule personne en faire une icône dans cette conversation. Par contre constater que son départ, malgrès tout les reproches possibles et imaginables, symbolise quelque chose de ce gouvernement, on peut le faire. Tu peux ne pas être d’accord, mais n’accuse pas d’iconolatrie.

    • Arrêtons de trouver des excuses... tu te prend pour Valls ?

      pffff ....

      Et je ne vois pas en quoi la question de savoir si elle va pointer au chomdu change quelque chose à l’affaire.

      Si, justement ...

      Et qu’on arrête de jouer les pleureuses avec la gauche, la gauche, la gauche !!! La gauche, elle est morte en 1982 avec François Mitterrand. Et ce fut lui qui joua le rôle de fossoyeur.

    • je vois. tu affirme mais ne répond pas au fond. On clos ici, cela vaudra mieux. Que la gauche soit morte, je ne le pense pas. Qu’elle soit en sale état et pas représenté par 90 % des politciens qui s’en réclame, très certainement.

    • Et toi, tu invectives. Qui es-tu pour t’adresser à moi de la sorte ?
      Mon jugement n’était pas dirigé spécialement contre toi mais contre une opinion générale qui veut encore croire que nos représentants politiques « sont » le peuple. Mais ils n’en n’ont rien à carrer du peuple. C’est pour ça que je ne comprends pas pourquoi on s’attarde en atermoiements sur la démission de Christiane Taubira. Elle aurait dû partir bien avant lorsque son petit chef de premier ministre l’a désavouée sur la déchéance de nationalité.

    • je ne vois pas où je t’invective. Je m’étonne simplement que tu utilise l’argument Vallsien « expliquer c’est excuser » ce qui me semble quand même assez fort. Je t’ai dit pourquoi pour moi on devait différencier la femme ministre de la femme tout court (et c’est vrai pour beaucoup de personnalité). Et tu n’as pas répondu sur cela.

      Quant à savoir pouquoi des gens s’attardent sur Taubira, je pense qu’effectivement tu as raison sur le fait qu’on peut en faire un icône. Mais je ne pense pas que ce soit le cas des personnes ici.

    • @unagi très certainement. comme un peu près n’importe quel attachement fort en politique, que ce soit à une personne, un parti ou une idée. Son action au gvt est un peu près nulle. Mais cela n’empêche pas de distinguer Taubira ministre de Taubira personne.

    • Nuit & Jour en résumé, chaque jour dans votre courrier.
      http://us3.campaign-archive2.com/?u=4d7c36121326eeb3e6dc506b0&id=ee2464671c&e=a84c83f2ad

      Nous ne sommes donc pas mécontents d’apprendre ce matin la démission de Christiane Taubira. C’est officiel : il ne reste donc plus personne de gauche dans ce gouvernement. Impressionnant déni de démocratie pour des millions d’électeurs de François Hollande, non ?

      Christiane Taubira, bien plus qu’une démission…
      http://seenthis.net/messages/454732

      Si le verbe est efficace, l’action l’est moins. Et son goût pour l’improvisation baroque laisse songeur. Un exemple parmi d’autres : en octobre dernier, à la faveur – si l’on ose dire – d’un fait-divers, elle avait annoncé une réforme visant à escorter certains détenus dangereux en congé par des policiers ou des gendarmes. Comme si les agents de la sécurité intérieure étaient sous-employés après les attentats de janvier 2015 ! Évidemment, plus personne ne parle aujourd’hui de cette « réforme ». En outre, son caractère autoritaire et cassant a usé quatre directeurs de cabinet, soit plus d’un par an. Cela traduit son incapacité à mener une équipe, ce qui est bien gênant pour une responsable politique.

      Cela dit, sa démission dépasse de plusieurs coudées son cas personnel. Les médias ne cessent de rabâcher que François Hollande a ainsi perdu sa « caution de gauche ». Cette caution, cela fait longtemps que le président français l’a égarée, depuis qu’il a accepté la politique « austéritaire » de Berlin, quelques heures seulement après son investiture à l’Élysée. Toutefois, il est vrai que le départ de Christiane Taubira permet au président de disposer d’un gouvernement entièrement à sa main.

      Présenté par les médias comme « l’homme de la police », le nouveau ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas appliquera d’autant plus volontiers la politique antiterroriste de l’exécutif, qu’il en a promu la plupart des textes lorsqu’il présidait, il y a quelques heures encore, la Commission des lois de l’Assemblée nationale. C’est notamment lui qui a conçu en grande partie la législation sur le renseignement dont il fut le rapporteur. Or, dans le contexte de la lutte contre le terrorisme, ces textes offrent aux services de renseignements des pouvoirs d’intrusion dans la vie privée qui leur étaient jusqu’alors interdits et qui paraissent dangereusement invasifs. De plus, Urvoas est un proche du premier ministre Valls dont il soutient la politique musclée.

      Christiane Taubira démissionne... enfin
      http://www.politis.fr/articles/2016/01/christiane-taubira-demissionne-enfin-83

    • @maieul

      Non, je ne me prends pas pour Valls. A ma décharge, je ne savais même plus que Valls avait tenu ce genre de propos avant que tu me le renvoies en pleine face.

      je ne vois pas où je t’invective. Je m’étonne simplement que tu utilise l’argument Vallsien « expliquer c’est excuser » ce qui me semble quand même assez fort.

      Bon, ça y est ? Tu es fier de ta répartie ? Question d’élever le débat, tu te poses là aussi toi ...

      Je t’ai dit pourquoi pour moi on devait différencier la femme ministre de la femme tout court (et c’est vrai pour beaucoup de personnalité). Et tu n’as pas répondu sur cela.

      La « femme tout court » que tu mentionnes, tu dois certainement mieux la connaître que quiconque ici. Moi je n’ai pas cet honneur (et ça ne me manque pas). Je ne vois que la fonction qu’elle a occupée depuis le début du quinquennat. Je te rappelle aussi ce que je disais dans mon premier commentaire

      Là où j’ai carrément honte pour certains mes concitoyens, c’est de la façon dont elle a été maltraitée.

      J’avais publié un article ailleurs qu’ici sur l’incident d’Angers (la guenon, mange ta banane) et tout ce qui s’en suivit d’humiliation et de calomnie à son encontre. Bravo la justice de cette brave république qui a laissé passer tout ça sans broncher ou tellement peu. C’est là qu’elle aurait dû claquer la porte et retourner défendre la cause des indépendantistes des DOM-TOM. 
      Voilà.

    • Bon, alors je m’excuse pour la référence à Valls, qui ne visait pas à t’attaquer toi mais à pointer la nature de l’argumentaire. Mais je ne comprend toujours pas l’argument « explique c’est excuser ». Que cela soit dit par Valls, par un tier ou par quiconque.

      Et non je ne connais pas particulièrement Taubira. Par contre je constate que ses actes ne suivent pas ses discours. Mais qu’elle était à contre-courant de son gouvernement dans ses discours. Et ca je pense que cela relève effectivement de ses convictions politiques. Mais qu’en tant que ministre elle s’est largement assise dessus. Et j’explique cela par le fait qu’elle participe à un système, celui de la politique politicienne. En tant que ministre je pense que son bilan est un peu prêt nul. En tant que personne elle a au moins le mérite d’avoir porté un discours à contre courant du milieu dans lequel elle évolue, même si elle n’a pas plus appliquer ce discours. Est-ce lui chercher des excuses ? Non. Simplement expliquer la dissonnance entre le dit et le fait par autre chose que l’opportunisme (même s’il peut en avoir).

    • Elle tenait essentiellement un ministère de la parole destiné à signifier l’appartenance à la gauche de ce gouvernement, de relayer sur la durée les « notre ennemi c’est la finance » ou les « priorité à la jeunesse » et autre « le changement c’est maintenant » de la campagne électorale de Hollande.
      Elle a eu en charge de défendre « avec lyrisme » le « mariage pour tous », formule où le "pour tous" était chargé de dire une égalité, de donner un brevet d’égalité à un gouvernement qui la refuse par ailleurs de façon résolue et obstinée. Elle ne pouvait pas tenir sur la durée une parole « orwellienne » (cf le tweet ci dessus) où tout repère doit être détruit. Elle pouvait pas présenter le projet de constitutionnalisation de l’état d’urgence.

      On sait par ailleurs que toutes les « peines de substitution » à l’incarcération ne font qu’étendre l’archipel du pénal hors les murs. Il en est de même pour la « contrainte pénale » qu’elle a instaurée, celle-ci n’a en rien fait reculer le taux d’incarcération mais elle a permis, comme les TIG avant elle, de faire condamner des justiciables que l’on avait pas les moyens d’enfermer.

      Aujourd’hui (Urvoas), comme le rappelle
      http://seenthis.net/messages/454755
      nous en sommes au stade rêvé tout haut par l’UMP (Bertrand) depuis un bout de temps : Une fusion, certes informelle, du ministère de l’intérieur et de celui de la justice.
      http://seenthis.net/messages/417598#message418069

      Le PS a depuis les années 80 pour spécialité de générer des ministres de l’intérieur putatifs, disponibles à occuper toutes sortes de postes, en symbiose avec les chargés de com’ et les sortants d’HEC qui font ce parti.

    • “La situation de la justice est aujourd’hui pire qu’à l’arrivée de Christiane Taubira”
      http://www.telerama.fr/monde/la-situation-de-la-justice-est-aujourd-hui-pire-qu-a-l-arrivee-de-christian

      Laurence Blisson, secrétaire générale du Syndicat de la magistrature, commente la démission du Garde des Sceaux Christiane Taubira

      Vous en êtes là ?
      https://florealanar.wordpress.com/2016/01/27/vous-en-etes-la

      Chers électeurs de gauche, faut-il que vous soyez dans un profond désarroi pour vous trouver une Louise Michel au petit pied en la personne de Mme Taubira.