• transmediale, 32nd, (i) - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/article6425.html


    Je découvre que l’institution la plus importante pour l’art digital à Berlin vient de renoncer à l’utilisation de Facebook.

    Im Zusammenhang mit dieser am 15. Oktober 2018 veröffentlichten ersten Presseerklärung im Zusammenhang mit dieser Veranstaltung ist besonders bemerkenswert:

    – der Verzicht auf einen eigenen Titel
    – die Schlüsselfrage: „What moves you?“

    – der Verzicht auf die weitere aktive Nutzung von facebook
    – die Einrichtung eines eigenen Telegram-Channels

    #byebye_facebook #Transmediale #Berlin

  • Ein Amerikaner im Westend - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/article6337.html


    En Allemagne l’idéologie du journalisme éclairant et neutre fonctionne encore. Quelle surprise pour le professeur Jay Rosen de la New York University .

    Besonders beeindruckt haben ihn die ethische Verpflichtung vieler seiner GesprächspartnerInnen zur Aufklärung - „Enlightenment“ - solch eine Haltung fehle in den USA vollständig.


    license CC-BY-NC par https://www.flickr.com/photos/pwbaker
    Flickr

    Aux États-Unis d’Amérique le journalisme présenté dans le film All The President’s Men de 1976 n’est plus qu’un mythe.

    https://www.youtube.com/watch?v=DC3YFyah_Yg

    I will be studying German pressthink in Berlin this summer. - PressThink
    http://pressthink.org/2018/05/will-studying-german-pressthink-berlin-summer

    What are the common sense ideas about the role of the press that almost all German journalists take for granted?

    I want to answer this question: What is German pressthink and how is it changing? In order to show what I mean, I need to explain that term, “pressthink,” which is my invention. It is also the name of my blog. I define pressthink as the common sense of the journalism profession, the ideas that journalists share in common about their work, the meaning and importance of that work, and the way it should be done— or should never be done. You could also say that pressthink is the assumptions journalists make about what “good” journalism is, and how to do good for society through journalism. Sometimes these are less-than conscious.

    #journalisme #Allemagne #USA #capitalisme

  • A (Precht-Kritik) - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/article6315.html


    David Precht signiert Bücher Lizenz: CC-BY-SA https://www.flickr.com/photos/re-publica
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    Question

    „In der Geschichte der Menschheit diente die Kultur dem Leben und die Technik dem Überleben. Heute bestimmt die Technik unser Leben, aber welche Kultur sichert unser Überleben?“

    Réponse 2

    RockyMusic - Rocky Horror Picture Show (Transcript)
    http://www.rockymusic.org/showdoc/rhps-transcript.php


    Susan Sarandon screenshot CC-BY-NC https://www.flickr.com/photos/thomashawk
    Flickr

    Brad: I’ve done a lot; God knows I’ve tried
    To find the truth. I’ve even lied.
    But all I know is down inside I’m

    All: Bleeding...

    Janet: And super heroes come to the feast
    To taste the flesh not yet deceased.
    And all I know is still the beast is

    All: Feeding...
    Ahh, ahh...

    Narrator: And crawling on the planet’s face
    Some insects, called the human race...
    Lost in time, and lost in space,
    And meaning.

    All: Meaning.

    Réponse 2

    Auguste Blanqui - Œuvre
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Auguste_Blanqui#%C5%92uvre

    Blanqui s’apparente au socialisme dit « métaphysique ». Dans son ouvrage L’Éternité par les astres (1872), élaboré, il est vrai, sur la fin de sa vie, alors qu’il subit une fois de plus la prison, il expose que la combinaison d’atomes dont nous résultons se reproduit un nombre infini de fois (dans l’infinité de l’espace et du temps), de sorte que chacun de nous a une infinité de sosies.

    #philosophie #socialisme #cinéma #éternité

    • @nepthys Effectivement, son raisonnement n’arrive au niveau de l’héroïsme dont Blanqui a fait preuve pendant toute sa vie. Pourtant l’absurdité de ses théories ne trouve d’égale que dans les affirmations scientifiques de neurologues moderne en quête de fonds de recherche. Somme toute dans le cadre de cette comparaison Blanqui reste vainqueur à cause de sa beauté romantique ;-)

      Lost in time, and lost in space and meaning.

      La question initiale nous interroge sur notre opinion par rapport aux qualités culturelles qui assureront notre survie. Le crois qu’une petite dose de romantisme a de fortes chances de nous préserver de la désolation face au forces surpuissantes de l’histoire .

      Enfin une phrase sur Spengler : Son spectre hante l’Europe incapable de s’yopposer. Le projet européeen conçu par la mésalliance Schäuble/Mittérand (je ne mentionne pas le nom du chancelier allemand de l’époque, cette figure de proue d’un navire dirigé par d’autres marins mieux qualifiés) est le sien. La droite allemande a perdu sa raison d’être face à la modernisation technologique et structurelle et rumine ses idées farfelues pour justifier sa propre existence.

      Blanqui gagne aisément contre Spengler aussi, l’affiche de la Commune de Paris en témoigne.

    • Mais comment opposer culture et technique ?

      Postulons que la culture est
      1. la production d’artefacts,
      2. les artefacts eux-mêmes (l’art),
      3. leur mémoire et sa transmission
      afin de répondre à un besoin de lecture symbolique du monde. La technique serait la production d’artefacts et de systèmes afin de répondre à un besoin pratique d’amélioration de nos conditions de vie.

      L’art, l’artisanat sont de nature technique puisque leur finalité est au départ d’ordre pratique : répondre (par un travail physique sur la matière) à un besoin (ajouter une valeur esthétique ou une dimension signifiante) à des objets, lieux, rites du quotidien. Ces artefacts n’atteindront d’ailleurs leur charge symbolique maximale qu’après être passés par le canal de la mémoire et de la transmission (j’oubliais : aujourd’hui aussi du marché) puisqu’ils seront alors unanimement reconnus comme éléments de culture.

      Si, comme (l’ingénieur) Robert Musil (L’homme sans qualités, 1930-33), on voit les pensées et les entreprises humaines comme des démarches de concrétisation de possibilités (plutôt que des réalités, cf. : « wenn es Wirklichkeitssinn gibt, muss es auch Möglichkeitssinn geben »), technique et culture tendent toutes deux à réaliser le possible, elles innovent : je vais construire le plus grand pont du monde, je vais révolutionner la manière de représenter la lumière en peinture, ou, à la croisée des deux, je vais représenter la carte sensible d’un phénomène social particulier, etc. Cette perspective permet de s’exonérer de la valorisation arbitraire de ces productions (l’une serait bien, l’autre non, l’une serait mieux que l’autre), car autant dans la culture que dans la technique les humains cherchent, selon la même logique, à amender, embellir, rendre plus agréable, plus simple, plus vivable, etc. l’existant et leur existence.

      Technique et culture sont donc difficilement dissociables et se conjuguent d’ailleurs dans la notion de civilisation.

      Opposer culture et technique revient à dire que l’une ou l’autre aurait pu primer dans le passé. Une civilisation se serait plus ou moins construite selon une finalité d’utilité pratique ou d’utilité symbolique. C’est ce que Spengler (tu as raison, son spectre hante encore l’Europe) tentait de démontrer avec sa théorie du cours cyclique des cultures humaines qui voudrait que la culture occidentale périclite inexorablement dans sa phase finale faustienne, quand l’homme faustien, maître de la technique, cherche à être maître de sa vie.
      (Théorie difficilement tenable quand on considère ne serait-ce que la nature artificielle, donc culturelle, du fantasme même de l’homme faustien.)

      Or, de plus en plus aujourd’hui, il est question de la « fin de l’Occident », ou de l’Europe, ou de la civilisation chrétienne et cela fait écho aux anciens débats de la modernité sur l’opposition « technique+sciences dures optimiste » versus « esprit+sciences humaines pessimiste » (cf. C.P. Snow : Two Cultures (1959), beau sujet d’étude et de torture en cours de master d’histoire des sciences), débat qui a du mal à cacher sa préoccupation implicite, celle de la qualité potentiellement normative de l’un ou de l’autre. Donc : que disons-nous quand nous émettons cette crainte ?

      Tout ça pour dire, Klaus, que la question que tu poses est super complexe et qu’il faudrait prévoir une semaine de discussions enflammées sous un vieux platane quelque part dans les Cévennes entre plusieurs curieuses et curieux de tous horizons pour espérer y voir plus clair.

      N’est-il pas plus simple de se demander si le capitalisme se nourrit plus facilement des productions culturelles ou techniques et tend à favoriser l’une au détriment de l’autre ? Où l’on revient à Blanqui. Prévoir donc une semaine supplémentaire sous le vieux platane cévenol…

  • Das Montags-Abschieds-Bild - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/article6255.html


    Die kleinen Händler geben auf, weil es sich nicht mehr lohnt und weil sie alt geworden sind. Da kommt auch nichts nach, denn heute geht nichts mehr ohne Ebay, Amazon oder große Handelsketten - oder?

    Die letzte Zigarette am Abend des letzten Geschäftstages...
    ... danach wird das Geschäft - in der Kaiser-Friedrich-Str. 17A in Berlin-Charlottenburg - für immer geschlossen.

    Mal sehen, was wir in den nächsten Jahren entdecken werden - vermutlich wird es nicht mehr genügen, einfach durch die Stadt zu streifen.

    Wie bei Nachclubs wird eine online-Community, oft wiederum bei großen Kommunikationsplattformen, den so genannten sozialen Netzwerken, sich untereinander über Einkaufsmöglichkeiten verständigen. Crowdfunding wird Projekte anschieben und der kleine Händler wird nicht mehr allein in Charlottenburg sein, sondern genauso in Haight-Ashbury, Saint-Gilles oder in der Josefstadt. Auf Reisen wird das vorab Georderte eingesammelt, solange es klein genug ist, um im Handgepäck-Rollkoffer Platz zu finden, Größeres wird zugstellt. Standardartikel kommen vom Chain-Store.

    #Berlin #Charlottenburg #Kaiser-Friedrich-Straße #Handel

  • ††† Mỹ Lai : 16. März 1968 - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/article6193.html

    C’était au Vietnam il y a cinquante ans. Rien n’a changé sauf l’endroit précis du massacre. Les impérialistes sont toujours les mêmes. Ils ont de nouveaux camarades dans leur chambre de la maison d’aliénés qu’est ce monde. Les peuples continuent à se battre. Ils n’ont pas le choix.

    Massaker von Mỹ Lai"Ich fühle noch heute den Horror in mir"

    Die hier über diesen Link veröffentliche Fassung dieses Textes ist nicht identisch mit dem ausgestrahlten O-Ton, der in der Nacht ab 1:12 Uhr als HINTERGRUND ausgestrahlt wurde. Dort war ausdrücklich davon die Rede, dass die US-Amerikaner in der Armee nicht zu „Nazis“ hätten werden wollen - und es doch geworden sind.

    In dem auf der oben zitierten URL zur Verfügung gestellten Download sind diese Passagen ebenfalls nicht mehr zu hören:

    Es stellt sich heraus, dass der Beitrag einen Tag zuvor in einer anderen Fassung unter dem Titel: Vor 50 Jahren: Das Massaker von My Lai ausgestrahlt worden war.

    Darin wird dann auch ausdrücklich das Wort „Pinkville“ genannt

    #histoire #Vietnam #USA #guerre #théâtre #George_Tabori

  • 18 . März 1871 - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/spip.php?article5798

    Ein histrorischer Tag. Vor 146 Jahren: Der Tag des Beginns des Aufstands der Kommunarden in Paris. An dem sich auch in diesem Jahr wieder die Freundinnen und Freunde der Pariser Commune von 1871 im 10. Bezirk in Paris versammeln

    Peter Watkins : La Commune Paris, 1871

    1.
    https://www.youtube.com/watch?v=ibRX95ers28

    2.
    https://www.youtube.com/watch?v=xlOd5Ndh1vA

    3.
    https://www.youtube.com/watch?v=GLClU1iFTic

    4.
    https://www.youtube.com/watch?v=pKGXpxUKQuw

    ...

    Enfin l’incontournable Jean Ferrat
    https://www.youtube.com/watch?v=ZDPk3_l42gE

    #histoire #révolte #communisme

  • Siegertweg 1-24 in Berlin - KAUPERTS
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Siegertweg-12101-Berlin

    Straßenverlauf von Manfred-von-Richthofen-Straße bis Hoeppnerstraße, rechts gerade, links ungerade

    Name seit 4.8.1930
    Siegert, Wilhelm, * 13.1.1872 Erfurt, † 26.1.1929 Berlin, Militär.
    Im Ersten Weltkrieg war Oberstleutnant Siegert Inspekteur der Flieger- und Luftschifftruppen. Er wurde in Charlottenburg auf dem Friedhof Heerstraße (landeseigen), Trakehner Allee 1, bestattet.
    Vorher Straße Nr. 33.Der Weg liegt im sogenannten Fliegerviertel.

    Siegertweg auf Openstreetmap
    http://www.openstreetmap.org/way/151571104

    Bild gefunden auf:
    ILA Berlin Air Show: 100 Jahre Motorflug - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/spip.php?article3013

    Den Straßennamen im Fliegerviertel ein Gesicht geben wäre ein schöne Aufgabe. Hier hat es ausnahmsweise und nicht zufällig geklappt.

    Einige Vorarbeiten haben die Wikipedia-Autoren geleistet:
    Gartenstadt Neu-Tempelhof
    https://de.wikipedia.org/wiki/Neu-Tempelhof#Fliegerviertel

    Fliegerviertel

    Bei ihrer Anlage wurden die Straßen Neu-Tempelhofs nach deutschen Herrschergeschlechtern wie Hohenzollernkorso, Zähringerkorso oder Namen von Bundesstaaten des am 18. Januar 1871 proklamierten Deutschen Kaiserreichs, wie Hessenring und Württemberger Ring benannt.

    Am 4. August 1930 erhielten dann die vorher unbenannten Straßen Höhndorfstraße, der Siegertweg, die Wintgensstraße, die Wölfertstraße sowie die Wüsthoffstraße Namen nach Jagdfliegern aus dem Ersten Weltkrieg und nach Flugpionieren (Friedrich Hermann Wölfert).

    Am „Tag der Luftwaffe“ (21. April 1936), dem 18. Todestag des Jagdfliegers Manfred von Richthofen, erhielten – im, seitdem „Fliegerviertel“ genannten Quartier – auf Anweisung von Hermann Göring weitere Straßen Namen von Kampffliegern des Ersten Weltkriegs.

    Die neu eingerichtete Udetzeile erhielt als letzte Fliegerstraße ihren Namen am 29. April 1957.

    Die Boelckestraße (vorher: Wittelsbacherkorso) und Manfred-von-Richthofen-Straße (vorher: Hohenzollernkorso) sind Hauptstraßen im Fliegerviertel.

    Nach dem Zweiten Weltkrieg plante der Berliner Magistrat völlig neue Straßennamen für das Viertel. Die Flieger sollten durch pazifistische Schriftstellerinnen und Schriftsteller abgelöst werden. Für die Manfred-von-Richthofenstraße war Mühsamstraße vorgesehen. Auch Bertha von Suttner, Ernst Toller, Georg Büchner, Franz Werfel und weitere Schriftstellerinnen und Schriftsteller sollten auf die Straßenschilder. Es kam aber nicht dazu.

    Der Artikel erzählt ein Stück aus der Bauspekulation im Berliner Umland des Kaiserreichs, teilwiese besetzt mit den üblichen Verdächtigen.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Neu-Tempelhof#Erwerb_durch_die_Gemeinde_Tempelhof

    Die Stadt Berlin trieb jedoch die Eingemeindung weiter voran und legte 1910 einen durch Hermann Jansen bearbeiteten Bebauungsplan vor, der ebenfalls gewundene Straßen sowie einen bis zu 180 Meter breiten Grünstreifen mit Parks, Sport- und Spielanlagen und einer Promenade vorsah. Der Grünstreifen sollte eine Verbindung zwischen dem Viktoriapark in Kreuzberg und den Parkanlagen in Tempelhof schaffen. Eine Blockrandbebauung ohne Seiten- und Quergebäude ergab eine verminderte Bebauungsdichte. Der Militärfiskus begrüßte diese Pläne, weil allein der Stadt Berlin eine derartig große Immobilientransaktion zugetraut wurde.

    Der Militärfiskus, der zuvor bereits an anderen Spekulationsgeschäften beteiligt war, hatte sich unterdessen mit der Gemeinde Tempelhof über den Verkauf geeinigt. Entscheidend hierfür war, dass die Deutsche Bank mit der Gemeinde Tempelhof und Unterstützung des Landkreises Teltow einen Finanzierungsplan ausarbeitete. Es kam zur Gründung der Tempelhofer Feld Aktiengesellschaft für Grundstücksverwertung, an der sich auch die Dresdner Bank und später die Darmstädter Bank für Handel und Industrie beteiligte. Vorstand der Aktiengesellschaft wurde der Immobilienunternehmer Georg Haberland, der bereits mit der Berlinischen Boden-Gesellschaft bei der Entwicklung des Bayerischen Viertels in Schöneberg sowie des Rheingauviertels in Wilmersdorf und anderen Projekten im Südwesten Berlins eine wichtige Rolle gespielt hatte.

    Erwerb durch die Gemeinde Tempelhof[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
    Noch kurz vor Abschluss des Kaufvertrages hatte das Armee-Verwaltungs-Departement durch Einschalten eines unbekannten privaten Konsortiums als Kaufinteressenten versucht, den Kaufpreis in die Höhe zu treiben. Letztendlich kaufte die Gemeinde Tempelhof am 31. August 1910 den westlichen Teil des Tempelhofer Feldes für 72 Millionen Mark zurück (inflationsbereinigt in heutiger Währung: rund 403 Millionen Euro).[3] Die Summe sollte in einzelnen Raten bis 1930 bezahlt werden. Da der Kaufpreis für die mittellose Gemeinde Tempelhof sehr hoch war, hatte der Militärfiskus dafür gesorgt, dass der polizeiliche Bebauungsplan geändert wurde, und das verkaufte Gebiet ab 1907 zu 70 % bebaut werden konnte. Durch die Interessenkollision beim Verkauf verlor Haberland sein Stadtverordnetenmandat. Werner Hegemann beschreibt in seinem Buch Das steinerne Berlin 1930 den Verkauf des Tempelhofer Feldes als „klassisches Beispiel engstirnigen fiskalischen Bodenwuchers“ und „amtlich legitimierter Korruption“. Die mit Haberland und anderen Spekulanten zusammenarbeitenden Behördenvertreter wurden nicht zur Rechenschaft gezogen.

    #Straßenumbenennung #Berlin #Tempelhof #Siegertweg #Fliegerviertel #Bertha_von_Suttner, #Ernst_Toller, #Georg_Büchner, #Franz_Werfel

  • Wieder was gelernt - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/spip.php?article5408


    Le texte suivant décrit le comportement de #Slack par rapport à la visibilité de messages d’anciens membres qui on quitté un groupe. Apparemment tout reste gelé afin de documenter les fils de discussion.

    Je me demande comment #Seenthis gère cette situation : Je me déinscris de Seenthis, alors est-ce mes contributions á des fils de discussions restent visibles ou non ? Comment c’est pour les commentaires d’autres participant qui ont commenté mes posts et commentaires ? Où est-ce que je trouve la documentation par rapport à des questions de ce type ?

    So hat sich SLACK in weniger als zwei Jahren zu DER neuen Business-Kommunikations-Anwendung gemausert. Denn diese Software ermöglicht es, dass nur noch diejenigen Nachrichten angezeigt werden, die jeweils auch für die Mitglieder einer Gruppe relevant sind.

    Also nicht Mail-Verkehr für alle, sondern eine kompletter Nachrichten-Kanal für jeweils diejenigen, die sich dieser Arbeitsgruppe zugeschrieben haben.

    Das bedeutet, auch wenn eine Person daraus wieder aussteigt, bleibt die Genese der Dokumentation für alle erhalten. Löschen geht nicht. Auch wenn man sich selber wieder aus der Gruppe verabschiedet hat.

    #merci_seenthis

    • C’est déjà arrivé plusieurs fois. Et malheureusement (d’après moi), la politique actuelle est de TOUT VIRER sans aucun préavis.

      Pour la personne qui part : c’est très bien, tous les contenus qui lui appartiennent (c’est elle qui les a écrit !) disparaissent (elle a pu les sauvegarder si elle le voulait, avant de demander la suppression de son compte).

      Pour les autres :

      – Toutes celleux qui avaient gardé en mémoire les seens (l’étoile) de cette personne perdent entièrement ces seens (il n’y a aucune copie). Or dans de très nombreux cas, il s’agit de partage de contenus, de liens, bref de marque-pages améliorés. On perd tout ça. Et surtout on n’est même pas prévenu qu’on va le perdre, ni qu’on l’a perdu ! Avant la suppression il pourrait y avoir une sauvegarde (seens ET commentaires) envoyée à tous les gens qui avaient ces seens en étoile. Charge ensuite à chacun⋅e de re-poster ou pas les liens qu’ils veulent.

      – Tous les commentaires de tout le monde, liés aux seens de la personne qui part, sont TOUS supprimés aussi ! Or il y a de nombreuses discussions, et parfois (et même souvent) les discussions apportent encore plus que le seen de départ. Mais le pire je crois, c’est qu’en plus ces commentaires n’appartiennent pas à la personne qui part ! Donc là, plus encore que le premier point, on a des contenus supprimés qui ne devraient pas l’être. Ou au minimum qui devraient être rendus à leurs propriétaires avant suppression, par exemple dans la sauvegarde cité précédemment.

      Mais tout ça c’est si on considère que ça devrait continuer d’être supprimé.

      Moi je suis plutôt partisan d’une anonymisation, légèrement intelligente, et qui peut être recorrigée à la main par les admins si la personne qui a supprimé son compte s’aperçoit qu’il y a encore des choses à elle.

      Ce que j’ai en tête ça serait :
      1) scanner tous les contenus de la personne qui part (seens ET commentaires), et supprimer tout ce qui n’est PAS une citation, possiblement en le remplaçant par un terme : « [contenu supprimé] »
      2) ne RIEN supprimer, tout reste en place, c’est juste le texte à l’intérieur (non citation) qui est supprimé
      3) changer l’utilisateur de tous ces seens et commentaires vers un compte commun « anonyme »
      4) supprimer enfin le compte utilisateur de la personne qui a demandé suppression

      Lors de cette opération, un mot serait envoyé à la personne qui veut partir, en lui disant :

      Tout ce que vous avez écrit vous-même sera supprimé. Les URL et citations resteront disponibles aux autres utilisateurs mais sans plus aucun lien avec vous-mêmes, ils deviendront anonyme. Si vous constatez qu’il reste des contenus à vous qui n’ont pas été supprimé correctement, merci de nous en informer avec leur URL, nous les supprimeront immédiatement.

      C’est une proposition qui me parait un bon entre-deux, et qui respecte bien la vie privée et les droits d’auteur des personnes qui partent, tout en ne faisant rien perdre aux autres.

      cc @fil @seenthis #seenthis_wishlist #seenthis_todo #seenthis_policy

      Les autres aussi, qu’en pensez-vous ?
      (après, techniquement, c’est un peu plus long évidemment que les suppressions brutales actuelles… mais à mon avis ça en vaut la peine)

    • Mais le pire je crois, c’est qu’en plus ces commentaires n’appartiennent pas à la personne qui part ! Donc là, plus encore que le premier point, on a des contenus supprimés qui ne devraient pas l’être.

      Quelque part les commentaires « appartiennent » à la personne qui écrit le billet de départ, dans le sens où elle peut les supprimer ou exclure une personne des commentaires (bloquer la personne)

    • Ce que je veux dire, c’est que ce qui te dérange n’est pas limité au départ d’une personne, puisque je peux très bien supprimer un billet que j’ai créé et que tu as étoilé, et tu perdras ton référencement et tous les commentaires seront supprimés aussi

    • Oui tout à fait, j’en suis conscient. Et ma proposition pourrait possiblement s’appliquer aussi à des seens qu’au moins une autre personne a gardé en favoris. Si on les supprime, ils passent en anonyme et ça supprime le texte non-citation. En affichant immédiatement à l’écran un message similaire à celui pour la suppression complète de compte, légèrement adapté :

      Vous avez supprimé un contenu mis en favoris par d’autres personnes. Tous les textes rédigés par vous ont été supprimés. Les URL et citations resteront disponibles…

    • Je comprends bien la problématique mais j’ai l’impression que la pente est glissante :
      – ça ne règle pas l’autre problème de suppression de commentaires écrits par d’autres personnes
      – les étoiles peuvent s’appliquer sur l’ensemble/les commentaires et pas spécifiquement sur le billet de départ (ce que j’ai fait en l’occurrence pour cet échange)
      – la personne peut très bien modifier son billet et enlever des liens, tu les perdras aussi

      Problème sous-jacent, la signification multiple de l’étoile, qui mériterait d’être éclatée en plusieurs outils ? Favoris perso vs je veux promouvoir ?

    • Est-ce qu’une partie de la solution pourrait pas être d’automatiquement abonner une personne à toutes les urls (externes ?) contenues dans un billet qu’elle étoile ? Et de faire en sorte qu’un site ne disparaisse pas de la base de sites s’il n’est plus relié à un billet ou un message ?

      – ça fait un peu sauvegarde de bookmarks dans l’hypothèse ou des messages sont effacés
      – par contre pas sûr de comment on peut retrouver facilement une url (mot clefs du billet perdus, et incertitude au niveau navigation pour le retrouver)

  • Keith Noel Emerson (2 November 1944 – 10 March 2016)
    http://daybyday.press/spip.php?article5388

    “You see, it’s all clear. You were meant to be here from the beginning.”

    Today we must say a difficult goodbye to a beloved member of the Moog Music Family. He was the first man to tour with the Moog Modular Synthesizer- a true pioneer of the instrument whose technical skill and limitless ability to express himself through electronic sound shaped the contemporary view of the synthesizer as a performance instrument.

    Today we remember Keith Noel Emerson. Rest In Power.

    Hoedown - Emerson, Lake & Palmer
    https://www.youtube.com/watch?v=N0FuFfcCZiE

  • tm : Atlas zum MedienDenken und Medienhandeln - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/spip.php?article5357

    Das Projekt Atlas zur Genealogie des MedienDenkens und Medienhandelns geht im WS in seine entscheidende Phase. Bis Januar 2016 soll die große Buchpublikation für den Kadmos-Verlag im wesentlichen stehen, Anfang Februar werden wir Resultate gemeinsam auf der transmediale im HKW Berlin präsentieren. Das Oberseminar wird sich im WS stark im Dialog von gestalterischer, schreibender und theoretischer Praxis entwickeln. Neue Energien und Kräfte sind willkommen

    #cartographie #web

  • Après les caméras disparaissent les laboratoires

    Arri sagt analog ade vom 28.01.2016 : Die gute alte Filmrolle ist endgültig Geschichte | BR Mediathek VIDEO
    http://www.br.de/import/audiovideo/standbilder/arri-analog-digital-letzte-filmrolle-bild-100~_h-180_v-img__16__9__xl_w-320_-58e9
    http://www.br.de/mediathek/video/sendungen/abendschau-der-sueden/arri-analog-digital-letzte-filmrolle-100.html#tab=help&jump=tab
    En 2012 le producteur de caméras cinématographiques arrête sa production d’appareils analogues. Depuis c’est l’age d’Alexa.

    Download :
    http://cdn-storage.br.de/iLCpbHJGNLT6NK9HsLo6s61luK4C_2rc571S/_-iS/9-4P5Avg/ccf10781-ff06-4aee-972c-66cfa25da0a5_C.mp4

    Arnold & Richter Cine Technik – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Arnold_%26_Richter_Cine_Technik#Kameraproduktion

    Arri, wie auch die Mitbewerber Panavision und Aaton, beendete die Produktion von Filmkameras 2012.
    ...
    Filmmarkt

    Marktanteile für den eigentlichen Markt der 35-mm-Kameras sind schwer zu bestimmen. Derzeit befindet sich der Markt im Umbruch, da ein neuer Anbieter, die Firma RED, von einer digitalen Kinokamera mit einem ähnlich großen Chip wie beim 35-mm-Film über 8500 Stück verkaufen konnte und somit Marktführer bei Neugeräten wurde. Jedoch werden 35-mm-Kameras traditionell über sehr lange Zeiträume genutzt. Daher ergibt sich im Bestandsmarkt noch ein anderes Bild. Von der Arri Alexa konnten im ersten Jahr über 1500 Exemplare verkauft werden, teils auch an sogenannte „Owner/Operator“, also Filmemacher, die selbst eine Kamera zur Eigennutzung angeschafft haben.[16]

    Die Aufteilung des Marktes ist allerdings nicht statisch. So ist es Arri und Dalsa gelungen, zum ersten Mal seit Bestehen der James-Bond-Filmreihe Panavision einen Auftrag streitig zu machen. Bislang wurden alle 21 Filme des Agentenklassikers mit Panavision-Equipment gedreht. Beim Dreh von Nummer 22 (Ein Quantum Trost) wurde zum ersten Mal mit Arri-Equipment, darunter auch die ARRI D-20, gedreht und bei dessen Nachfolger Skyfall mit der Arri Alexa.

    Arriflex
    https://de.wikipedia.org/wiki/Arriflex

    Arriflex 35 BL
    https://ru.wikipedia.org/wiki/Arriflex_35_BL

    Arri Alexa
    https://en.wikipedia.org/wiki/Arri_Alexa

    Arri AMIRA - Video Review (part 1) | cinema5D
    https://www.cinema5d.com/arri-amira-video-review-part-1

    It’s the first time the famous Alexa sensor comes into the hands of single operator shooters and small crews. The camera, advertised as a “documentary style” tool, is not affordable in the sense of entry level shooting, but it puts a very high quality imaging device into the hands of a whole new audience.

    ARRI sagt ade zu analog - DaybyDay ISSN 1860-2967
    http://daybyday.press/spip.php?article5354

    #cinéma #Allemagne