ben pour faire des photos dans une lutte, on se doit (ou pas...) de ruser avec les aspects spectaculaires de cette activité et avec la société de surveillance. J’auras pu écrie #cohérence.
les photos « de dos » (ou les masques) sont une des modalités classiques de #désindividualisation, donc de fidélité à l’aspect collectif de ce qui se joue ; si « identification » il y a chez le regardeur (sans même causer des keufs), ce n’est pas sur une figure individuelle, type ténor politique, porte parole, héros du beau geste, peu importe.
des fois, j’ai l’impression que je ne devrais pas poster autre chose que des ref d’articles (et encore...), tant c’est malentendus sur incompréhensions.