• à suivre ce nouveau blogueur qui semble dire qu’il a travaillé chez Biotrial :
      https://blogs.mediapart.fr/ledams

      Biotrial, le sommet d’un iceberg
      https://blogs.mediapart.fr/ledams/blog/020316/biotrial-le-sommet-dun-iceberg

      lorsque l’on a travaillé dans cette entreprise, cette holding, sous les ordres d’un médecin qui n’a jamais exercer autrement que dans les laboratoires pharmaceutiques, trois autres qui n’ont jamais eu l’expérience de l’exercice la Médecine, mais celle de remplir des cases pour le « process qualité de biotrial ». Toute discussion scientifique ou méthodologique est inutile. Eux savent et vous, vous ne savez rien... Réanimateur que vous êtes, à l’essai pour trois mois. C’est un autre métier que la médecine. Effectivement. La notion de sécurité, de procédures d’urgence, du charriot de réanimation, c’est dans une liste. Personne ne sait intuber un volontaire en cas de...Non, c’est le Samu 35 qu’il faut appeler. L’expérimentation reste dangereuse, surtout lors de la première administration à l’Homme, et cela devrait se faire en Centre Hospitalo Universitaire, et non dans une structure privée. Privée de sécurité, privée de réflexes d’urgences, privée d’humanité.

      (...) C’est dans le creuset de la précarité de nos campagnes, bretons, sarthois, angevins, nantais que Biotrial trouve ses volontaires sains. C’est dans la précarité que cette entreprise qui se vante de faire avancer la recherche médicale, puise ses hommes et femmes qui se sont inscrits sur une liste un jour de désespoir en espérant pourtant un jour être sélectionné et peut-être avoir un peu plus de fortune.

      Mais la fortune c’est la Holding et les quatre actionnaires que sont le PDG (Pharmacien de formation), le Dr P ( qui à l’époque n’était même pas inscrit au conseil de l’ordre), et la fameuse DRH. Les Drs X, Y, Z larbins salariés, aux ordres, sans aucune indépendance de jugement, de recul quant à la pertinence même des essais cliniques

      (avec mes corrections pour l’orth.)

    • Sous le titre Test clinique mortel : « il n’avait rien de scientifique », Ouest-France de ce jour reprend les infos du Canard, sans le citer (en mentionnant le rapport d’expertise rédigé pour l’avocat de la famille du volontaire décédé [par] Christian Marescaux, professeur en neurologie à l’université de Strasbourg)
      Avec un appel en une : Essais thérapeutiques à Rennes : nouvelles révélations.
      (pas de version en ligne)

    • Tout doucement,…

      Essai clinique de Rennes : les révélations du Canard Enchaîné - Sciencesetavenir.fr (3/03/16 18h)
      http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20160303.OBS5760/essai-clinique-de-rennes-les-revelations-du-canard-enchaine.html

      Cette fois, ce n’est pas le centre de recherches Biotrial qui est visé, mais le laboratoire portugais Bial pour le compte duquel il travaillait. En cause ? Le vif intérêt de son président pour la parapsychologie et autres pseudo-sciences.

      Essai clinique mortel à Rennes : un expert dénonce « l’absence d’objectif thérapeutique »
      http://www.bfmtv.com/societe/essai-mortel-a-rennes-un-expert-denonce-l-absence-d-objectif-therapeutique-95 (3/03/16 21h)

      Les interrogations et les doutes se multiplient après la mort d’un volontaire à un essai thérapeutique à Rennes en janvier dernier. Selon un rapport réalisé par un professeur en neurologie, à la demande de l’avocat de la famille de la victime, « le protocole » mené par le centre de recherches rennais, Biotrial, pour le compte du laboratoire portugais, Bial, « n’a rien de scientifique ».