Nos savoirs, en restant sur la seule « scène scolaire », comme des « essences éternelles et immuables » destinés à évaluer le niveau des élèves, n’ont guère de chance de devenir un jour attractifs pour ceux qui en sont le plus éloignés. En revanche, s’ils s’inscrivent dans une « mythologie de la connaissance », sont habités par des forces qui dépassent, et de loin, les seuls enjeux curriculaires, alors pouvons-nous espérer qu’ils entrent dans leur univers symbolique et, ouvrent, peut-être, à la possibilité de la rationalité.
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