Cette fiction repose sur un préalable, annoncé dans « L’édito que la Maire de Calais n’a pas écrit » : l’abandon de la mise en œuvre d’Heroïc Land, parc d’attraction programmé aujourd’hui en guise de mesure compensatoire de la crise des migrants. Ainsi imaginons-nous que les 275 millions d’euros aujourd’hui rassemblés pour un tel projet soient mobilisés pour « construire avec les migrants ».
Abandonner « heroïc land » ? Le touristico-machin qui va sauver Calais de la débacle ? Non mais quelle drole d’idée qui fait du bien ;-)
La réaction de la mairie a été rapide : dépot de plainte pour… plagiat.
Car du côté de la Ville, ce magazine participe à stigmatiser encore un peu plus Calais. Une plainte a été déposée pour plagiat. « Il y a une volonté de nuire à l’image de Calais. C’est de la contre-communication, s’agace l’adjoint au maire Philippe Mignonet.
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