Dans la confusion des sentiments, par Timour Muhidine
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Publiée à compte d’auteur à la fin des années 1950 dans un Istanbul qui ne compte plus d’éditeur arménien, La Traînée fut condamnée à l’oubli. Paru à l’époque d’un exceptionnel foisonnement (les poètes du courant Ikinci Yeni, le nouvelliste Sait Faik et les premiers romans de Yachar Kemal), ce #roman de Zavèn Bibérian (1921-1984) représente une école littéraire à lui seul, car, comme le dit avec netteté son traducteur, l’auteur, riche d’une « langue qui ne vit pas isolée dans une pureté maladive et mortifère », est un « maître du décapage des conformismes sociaux, politiques et littéraires ».
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