Les Pinçon-Charlot analysent le cas Emmanuel Macron | MONCUL.ORG
▻http://moncul.org/les-pincon-charlot-analysent-le-cas-emmanuel-macron
#Pinçon_Charlot #Macron
Les Pinçon-Charlot analysent le cas Emmanuel Macron | MONCUL.ORG
▻http://moncul.org/les-pincon-charlot-analysent-le-cas-emmanuel-macron
#Pinçon_Charlot #Macron
Les prédateurs au pouvoir
Main basse sur notre avenir
Editions Textuel
▻http://www.editionstextuel.com/images_catalogue/678
▻http://www.editionstextuel.com/index.php?cat=020407&id=678
Les #religions sont-elles réactionnaires ?
La question religieuse est pour la gauche comme pour la droite un sujet incontournable ! Voilà ce que démontre ici #Stéphane_Lavignotte, homme de foi – il est pasteur – et homme d’engagement.
Dans les dîners de famille comme dans le débat politique, la question religieuse fait partie des sujets que l’on redoute car ils font rapidement monter le ton.
Il s’agit pourtant pour la gauche d’un sujet incontournable. D’abord parce que ses adversaires, droite et extrême droite, en ont fait une arme politique et n’hésitent plus à se poser en défenseures de la #laïcité et de l’#identité_chrétienne de la France, soidisant menacées par l’#Islam. En plus parce qu’en interpellant les croyances les plus intimes des individus, la #religion ne prédispose pas à une approche rationnelle.
Stéphane Lavignotte prend ici toute la mesure d’une compréhension nuancée du fait religieux. Oui, celui-ci est souvent porteur de #conservatisme voire d’#obscurantisme.
Non, cela n’est pas une fatalité.
▻http://www.franceculture.fr/sites/default/files/2014/10/16/4932896/images/lavignotte.jpg?1413462711
▻http://www.editionstextuel.com/index.php?cat=020206&id=600&cle=religion
#livre
Regardez il va peut-être se passer quelque chose… de Alain Baczynsky, Clément Chéroux, Horacio Amigorena
►http://www.editionstextuel.com/index.php?cat=020410&id=548
En 1979, Alain Baczynsky, artiste israélien d’origine belge âgé de 26 ans, entame une psychanalyse. Parce qu’il est autant un homme d’images que de paroles, il éprouve la nécessité, à l’issue de chaque séance, de se prendre en photographie dans la cabine de photomaton la plus proche. Une fois le rideau bien tiré, Baczynsky rejoue devant l’objectif ce qui s’est dit – ou pas – pendant la séance. C’est un mimodrame intime qui se trame dans l’exiguïté de la cabine. Baczynsky se plie en quatre, se cogne et se contorsionne. Il réinvente le langage des signes. Une fois l’épreuve délivrée, il griffonne encore au dos, à la hâte, quelques commentaires : « l’autoportrait de rien », « 45 minutes de sanglots », « maman, ce gros mot ».