Elle meurt, poignardée dans un drame passionnel - 02/05/2016 - ladepeche.fr
▻http://www.ladepeche.fr/article/2016/05/02/2336323-auch-elle-meurt-poignardee-dans-un-drame-passionnel.html
C’est un #meurtre, crénom !
Elle meurt, poignardée dans un drame passionnel - 02/05/2016 - ladepeche.fr
▻http://www.ladepeche.fr/article/2016/05/02/2336323-auch-elle-meurt-poignardee-dans-un-drame-passionnel.html
Quel « article » de merde, il a sa place qui l’attend sur ce tumblr : ►http://lesmotstuent.tumblr.com
Ça m’énerve qu’on en soit encore là!
Et hop, expédié!
ca me rend dingue aussi et puis c’est pas comme si ca faisait 20 ans (de ma mémoire perso, mais probablement plus de 200 ans en fait) que les féministes en parlent dans la plus parfaite indifférence complice.
▻http://www.liberation.fr/direct/element/arretons-de-qualifier-les-meurtres-de-passionnels_36331
Arrêtons de qualifier les meurtres de « passionnels »
Le choix des mots.
2 mai 2016 : on doit encore répéter les mêmes choses, et c’est pénible. La Dépêche du Midi titre un article « Elle meurt, poignardée dans un drame passionnel ». Non, un meurtre ne peut pas être présenté comme « passionnel », laissant entendre qu’il découle d’un acte d’amour et le rendant limite romantique. A ce sujet, je vous conseille le livre Frapper n’est pas aimer de Natacha Henry, qui a déjà quelques années mais propose une enquête fort intéressante sur les violences conjugales, dont une partie est justement consacrée aux termes employés dans les médias pour en parler.
La suite de l’histoire :
A aucun moment il n’a exprimé de regrets ou de remords. « Pour lui, elle se moquait de lui, il le ressent toujours comme ça. L’instruction devra se pencher sur sa psychologie : après une relation aussi brève, de moins de 2 mois, vouloir supprimer quelqu’un, cela pose des questions », s’interroge le Parquet d’Auch.
▻http://www.ladepeche.fr/article/2016/05/04/2337529-le-meurtrier-sans-remords-ecroue-a-agen.html
Avec ce passage très éclairant :
Il la poignarde alors à trois reprises. Ce n’est qu’une heure plus tard qu’il appelle la police, après avoir fumé un joint (il affirme en fumer entre 10 et 12 par jour). Cet homme, déjà condamné pour des menaces de mort contre des « ex » , qui reconnaît s’alcooliser régulièrement à doses massives, devra répondre de meurtre, un chef d’inculpation passible de 30 ans de prison.