The revolution will not be market gardenized : some thoughts on Jean-Martin Fortier

comme le Bec Hellouin, qui fait sa com’ sur les mêmes ressorts.
mais pas comme la biointensive, qui est loin de se limiter au maraîchage, car seulemenent 10% de la surface y est consacrée aux légumes à valeur ajoutée, dont seulement la moitié est vendable si le producteur souhaite se sustenter du reste.
(ceci était un message du CDIB le Comité de Défense Inconditionnelle de la Biointensive)

on notera par ailleurs que le terme biointensive n’apparaît pas dans l’article, signe de l’absolue irréprochabilité de cette méthode.

Toutafé, j’ai taggé biointensif parce que ça s’en rapproche, mais j’ai bien fait attention de marquer « écologiquement intensif ».

ouais ben moi je trouve que ça s’en rapproche pas et que du coup le tag n’est pas justifié #chieur

C’est parce que je retiens surtout le côté technique de la biointensive et pas le côté autonomie alimentaire + fertilité qui ne m’a jamais accroché vu les sources annexes de fertilité que je vois en dehors du potager, mais on en a déjà maintes fois discuté ici :)

(non mais cherche pas, je suis à la biointensive ce que Maître Capello était à la langue française)

Alors je te ferai remarquer qu’il faut dire GROW BIOINTENSIVE® :p

ça c’est la marque déposée d’Ecology Action.
mais tu noteras par ailleurs qu’Ecology Action eux-mêmes parlent de Biointensive Farming.