Le dialogue inattendu entre policiers et manifestants de Nuit debout

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    • J’attends avec une relative impatience le moment où la façon dont ce chef de l’état laisse volontairement dégénérer, pourrir, la situation en quasi-guerre civile, va enfin être dénoncée pour ce qu’elle est : une parfaite irresponsabilité méritant rien de moins que la destitution... Ils n’ont pas encore fait tirer sur la foule... mais qu’est-ce qui aujourd’hui peut nous certifier qu’ils ne le feraient pas si les manifestants commençaient à riposter au même niveau de violence que les CRS utilisent ?

    • Le dialogue inattendu entre policiers et manifestants de Nuit debout
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      Mercredi 18 mai, alors que la manifestation « contre la haine anti-flic » rassemblait place de la République les principaux syndicats des forces de l’ordre, un étonnant dialogue s’est noué entre deux policiers de la CGT Police et des participants de Nuit debout. Regards croisés sur les violences en manifestation.
      Leurs drapeaux rouges passent presque inaperçus au milieu des étendards bleus d’Alliance, syndicat majoritaire de la police nationale, déployés mercredi 18 mai de 11 h à 14 h place de la République (...)

      Ce même Alexandre Langlois (cf vidéo ci dessus), secrétaire général de la CGT Police, dialogue avec des participants à Nuit debout.

      Pour Alexandre Langlois, si on trouve « toujours des gens irresponsables », les principaux coupables sont « les donneurs d’ordres ». « Les groupes violents sont clairement identifiés avant les manifestations. Pourtant, rien n’est fait, dénonce-t-il. Parfois, nous voyons des manifestants s’équiper de casques et d’armes juste devant nous, et aucun ordre n’arrive. Le 8 avril, on a poussé la compagnie de CRS pour que des personnes violentes puissent rejoindre la place. Évidemment, le soir même, c’est parti en vrac. Après, tout ceci est instrumentalisé au niveau politique. »
      Pour autant, les interdictions de manifester délivrées par la préfecture de police ne sont pas la solution, estime le représentant de CGT Police : « Ça excite les tensions (...)