Die Klick-Arbeiter | DIGITAL PRESENT

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    Le gouvernement municipal de Berlin se vante d’avoir encouragé l’ascension de Berlin á la tête du palmarès des capitales des startups europénnes. Nul part ailleurs en Europe les venture capitalistes accordent des sommes plus importantes aux nombreuses entreprises innovatrices.

    Le prix á payer pour ce statut est la liquéfication du droit du travail et sa dissolution dans un univers de flexibilité - au profit des capitalistes investisseurs.

    C’est facile, on est bien payé dans l’administration et on apprécie les compliments flatteurs des stars de chez #Google et #Uber. Par complaisance on omet de mentionner que la réduction des coûts de transaction n’est pas due au gentils programmeurs d’apps géniales mais à la disparition d’une rémunération en règle.

    Par un beau concours de circonstances on est en mesure de récupérer les appartement des berlinois appauvris par la disparition des emplois réguliers. Après les interventions policières pendant les évictions des nouveaux pauvres on revend et reloue leurs anciens appartements à la nouvelle génération d’immigrés de luxe qui peuplent les agences du capital international.

    Cet article décrit la réalité chez les gens qui, suite à la précarisation de la majorité de la population par l’Angenda 2010, tentent de survivre com clickworkers en exécutant un travail émietté.

    L’industrie 4.0 c’est pour bientôt, nous nous trouvons sur la scène de l’avant-première de la pièce intitulée la disparition de l’ouvrier qualifié . L’interview avec le patron de Crowd Guru a le mérite de décrire le caractère éphémère et transitoire du crowdworking tel qu’on le rencontre aujourd’hui.

    Crowdworker erledigen online einfache Jobs – für ein paar Cent bis ein paar Euro. Das Berliner Unternehmen Crowd Guru betreibt eine dieser Plattformen. Ein Besuch beim Gründer – und einem der Mitarbeiter.

    Eine neue Form des Outsourcing

    „Als IBM 2012 begonnen hat Teile der Arbeit an die crowd zu vergeben, sind wir richtig auf das Problem aufmerksam geworden“, erzählt Karl-Heinz Brandl von der Dienstleistungsgewerkschaft ver.di. Die Gewerkschaften kritisieren vor allem fehlende Mitbestimmungsmöglichkeiten, niedrige Löhne und fehlende soziale Absicherung. Klickarbeiter wie Daniel haben keinen Kündigungsschutz oder Anspruch auf Lohnfortzahlung bei Krankheit. Und während die „Gurus“ hauptsächlich aus Deutschland kommen, sieht Brandl ein weiteres Problem: „Es kommt zu weltweitem Lohndumping“, warnt er. Schließlich können viele der typischen Aufgaben problemlos von Vietnam oder Indien aus gelöst werden. Viele Plattformen haben bereits eine internationale crowd. So könne es zu einer Abwärtsspirale bei den Löhnen kommen. Weltweit gibt es bereits Tausende solcher Plattformen, in Deutschland sind es etwa 40 und nach Schätzung der IG Metall etwa eine Million Crowdworker. Die größte deutsche Plattform clickworker wirbt inzwischen mit 700 000 „on-demand workers“ und Kunden wie Honda oder T-Mobile. Immer mehr Firmen entdecken die Möglichkeit des Outsourcing an die Crowd – „Crowdsourcing“.

    #Berlin #économie #disruption #gentrification