• Face to face with Leonardo da Vinci – an interactive guide | Art and design | guardian.co.uk
    http://www.guardian.co.uk/artanddesign/interactive/2011/nov/09/leonardo-da-vinci-interactive-guide

    Face to face with Leonardo da Vinci – an interactive guide

    As visitors flock to this year’s blockbuster show, the National Gallery’s Leonardo da Vinci: Painter at the Court of Milan, Guardian art critic Jonathan Jones takes a detailed look at some of the Renaissance master’s most admired drawings – from grotesque caricatures to sublime nudes

    • Here, Leonardo’s design for a wall painting of the Last Supper shares the page with a geometrical exercise. At the same time, the artist cannot resist making some smaller architectural sketches

    • Click on the images for full information, zoom in for a detailed view and listen to Jonathan’s audio analysis below. We will be running a Leonardo interactive every week until the exhibition ends in February 2012

    #léonard_de_Vinci

    • C’est curieux comme ce genre d’interface me paraît, de façon presque systématique, surtout éloigner le spectateur de la seul chose qui pourra le faire toucher du doigt l’incommensurable mystère des œuvres : la contemplation, et elle seule, capable de cette prouesse.

      De telles interfaces, tellement savantes, sont des équivalents numériques des guides poussiéreux dans les musées qui autoritairement vous intiment de regarder précisément là où c’est secondaire, notamment dans ce que l’œuvre peut contenir de biographique, et au contraire ne jamais parler de ce qui importe vraiment, parce que justement sur ce dernier point, c’est que cela ne s’apprend pas en cinq minutes d’une part et que cela demande surtout de l’immobilité devant l’œuvre, ce que l’interface fuit de façon constante.

    • Pas tout à fait d’accord avec toi @philippe_de_jonckheere, une telle interface ne dispense pas de contempler une œuvre et de s’en émouvoir, elle ne se substitue pas non plus au regard personnel et n’interdit pas sa propre quête de sens.

      Ce n’est pas la faute à la technique si le visiteur manque de curiosité en se satisfaisant d’une seule lecture. Quant aux guides, je crois qu’ils sont faits pour ceux qui veulent être guidés.

    • Je ne dis pas que c’est super, et je pense que vous avez pleinement conscience de ce que je vais répondre, mais il me semble que vous êtes deux personnes suréduquées et que donc vous n’avez besoin de rien pour accéder à des œuvres — ce qui est loin d’être cas de tout le monde. Parfois, ce n’est pas de curiosité dont manque le spectateur mais de la simple possibilité « technique », si j’ose dire pour parler de culture et de cognition, de consacrer intellectuellement beaucoup de temps à la contemplation artistique.