« Une affaire d’une gravité toute particulière », entretien avec l’avocat des personnes agressées par l’extrême droite à Villeurbanne

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  • Violences d’extrême droite à Villeurbanne : « une affaire d’une gravité toute particulière » (Rebellyon)
    http://rebellyon.info/Un-an-apres-entretien-avec-l.html

    Le 15 janvier 2011, un couple tombe dans ce qui semble être un guet-apens sur un parking de supermarché à Villeurbanne, à la sortie d’un concert dans un squat, dont le lieu et les heures de début et de fin ont été annoncées sur Rebellyon. Agressés sur le trajet du retour vers le métro, les deux personnes sont laissées inanimées après avoir été roués de coups. Par le nombre de personnes qu’elle a impliquée, par la violence des coups portés et l’organisation des agresseurs, cette affaire semble être l’une des plus importantes de l’agglomération lyonnaise depuis quelques années. En détention provisoire depuis un an, quatre des auteurs des violences viennent d’être relâchés, alors que la date du procès n’est toujours pas fixée. Un an après les faits, entretien avec maître Sayn, l’avocat des personnes agressées. (...) Source : Rebellyon

  • Violences d’extrême droite à Villeurbanne : « une affaire d’une gravité toute particulière »
    http://rebellyon.info/Un-an-apres-entretien-avec-l.html

    Le 15 janvier 2011, un couple tombe dans ce qui semble être un guet-apens sur un parking de supermarché à Villeurbanne, à la sortie d’un concert dans un squat, dont le lieu et les heures de début et de fin ont été annoncées sur Rebellyon. Agressés sur le trajet du retour vers le métro, les deux personnes sont laissées inanimées après avoir été roués de coups.

    Par le nombre de personnes qu’elle a impliquée, par la violence des coups portés et l’organisation des agresseurs, cette affaire semble être l’une des plus importantes de l’agglomération lyonnaise depuis quelques années. En détention provisoire depuis un an, quatre des auteurs des violences viennent d’être relâchés, alors que la date du procès n’est toujours pas fixée. Un an après les faits, entretien avec maître Sayn, l’avocat des personnes agressées.