Jean de Kervasdoué — Wikipédia

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  • Amies Seenthisiennes, le moment est venu de rappeler qu’on peut « Seener » des choses auxquelles on adhère pas (ou alors à la manière du chewing-gum, pour salir et abimer). Je suis tombé là dessus et je me suis fait mal :-p #pas_frapper

    [Tribune] Avec la loi « biodiversité », la destruction active de l’agriculture française se poursuit - Produits agricoles
    http://www.usinenouvelle.com/article/tribune-avec-la-loi-biodiversite-la-destruction-active-de-l-agricultu

    La destruction systématique et tangible de l’agriculture française par les apôtres de la décroissance se poursuit sous nos yeux. Elle se cache derrière des mesures techniques difficilement compréhensibles par les urbains, surtout quand les abeilles sont appelées à la rescousse.

    (...)

    Le taux de mortalité actuel des essaims est élevé (de l’ordre de 30%), mais les études françaises ne montrent pas de corrélation entre la mortalité d’un essaim et les traces de pesticides dans la cire ou le miel.

    NdS (note du Seeneur) : ça produit de la cire et du miel un essaim mort ?

    « Le Parlement en s’arrogeant de fait une expertise scientifique sort de son rôle et va, comme dans le cas de l’interdiction du bisphénol A, se ridiculiser. »

    Suivi du classique argument : « comme le reste du méchant monde l’emploie encore on en a quand même »...

    Voilà, voià. #de_rien

    • L’article de Wikipedia est très bizarre. Dans la partie prises de positions, chaque paragraphe commence par une position vague et plutôt consensuelle, avant de développer un idéologie purement libérale (et qui n’a pas forcément de rapport avec le début du paragraphe ...)

      En gras, les accroches chouettes. En italique, la propagande habituelle ...

      Jean de Kervasdoué est très critique du système de santé français, dénonçant le peu d’attention accordée au malade et la trop grande intervention de l’État. Il plaide par exemple pour une plus grande autonomie des hôpitaux et dénonce les acteurs des hôpitaux, qui, selon lui, « confondent service du public et service public, voire défense du statut public ». Il dénonce la centralisation excessive du système de santé et prêche pour l’autonomie complète des établissements hospitaliers.

      Il est très critique envers les médias et le manque de professionnalisme de certains journalistes et est opposé à l’inscription, sous sa forme actuelle, du principe de précaution dans la Constitution du 4 octobre 1958, écrivant ainsi : « La faille la plus profonde de ce principe de précaution, son péché originel est un péché d’orgueil. Il laisse croire que l’on pourrait se prémunir de tout car l’on pourrait toujours déceler la cause d’une catastrophe potentielle »7.

      Il appelle de ses vœux un débat scientifique et non politique concernant les questions d’environnement, dénonçant ceux qu’il appelle les « prophètes de l’apocalypse » et qui jouent selon lui sur les peurs environnementales de la société pour imposer leurs vues sans qu’elles soient justifiées scientifiquement2.