• Expliquer l’#endométriose … aux élèves - A la une - Destination Santé
    https://destinationsante.com/expliquer-lendometriose-aux-eleves.html


    Bonne nouvelle

    Affectant 1 femme sur 10 en âge de procréer, l’endométriose s’avère très douloureuse pendant la période des règles. Et augmente le risque de complications gynécologiques. Pour autant, cette maladie chronique et récidivante reste encore peu connue. Notamment auprès des jeunes. Pour y remédier, une campagne d’information prendra donc place sur les bancs des collèges et lycées de France dès la rentrée 2016.

  • Le pisse-debout : la bonne idée pour se faciliter l’été - A la une, Destination Femme - Destination Santé
    https://destinationsante.com/pisse-debout-bonne-idee-se-faciliter-lete.html

    En randonnée, durant un long trajet en voiture ou face à des toilettes publiques peu accueillantes, beaucoup de femmes sont obligées de se retenir. Non seulement c’est très inconfortable, mais cela peut favoriser les infections urinaires. La solution ? Utiliser un pisse-debout. Disponible en version jetable ou réutilisable, cet accessoire conique permet d’uriner sans être obligée de s’asseoir, ni de se déshabiller totalement.

    • Alors là, la photo m’interpelle. Personnellement j’ai pas le méat urinaire si haut...
      L’aide à uriner en toutes circonstances (et le nom cité dans cet article est, non seulement une marque déposée, mais encore tellement épouvantablement répulsif...) n’est pas aussi simple qu’ils veulent bien le présenter.
      Il faut s’entraîner d’abord, dans sa douche pour ne pas avoir les conséquences que l’on imagine, puis dans ses toilettes, pour bien le positionner.
      Car voyez-vous le méat urinaire n’est pas à l’endroit du pénis (dingue, non ?), comme le suggère la photo, mais bien plus bas, environ 5 cm plus bas que sur la photo.
      Et la loi de gravité ne se dissipe pas par magie, non plus, mais perdure : si on ne le met pas assez bas, ça coule partout sauf sans l’appareil.
      Ne pas le préciser c’est encore vanter ce qui restera un gadget, que les femmes tenteront une fois, et plus jamais. Dommage.
      Alors même que l’idée est (ancienne) très pratique.

    • C’est tout à fait vrai, pour la majorité d’entre nous, moi, avant, quand la ville n’était pas encore si agitée, je pissais entre les voitures le soir, la rue n’était pas éclairée et il y avait moins de gens. Je n’ai pas ces problèmes.
      Mais il faut bien voir que comme on n’est pas fabriquée pour ça, et les vêtements non plus, ce n’est pas trivial.
      L’appareil, que ce soit en pantalon ou en robe n’est pas simple à positionner je trouve.
      Dans ma douche ça va nickel, sinon, c’est à mettre très bas par rapport aux vêtements, et pour être à l’aise, écarter les jambes (comme les hommes aussi d’ailleurs).
      Et ça c’est un hic. En concert, dans la nature, ça va, mais au milieu des gens, dehors sur le bord de la route par exemple, c’est plus délicat.
      Enfin, moi je trouve.
      Pour la question de la goutte qui reste, j’ai une petite pochette très bien adaptée, qui pèse quelques grammes, en tissu parachute, avec deux parties, et qui s’accroche avec un crochet incorporé. J’ai un sac plastique dans lequel je range l’appareil avant de le mettre dans la pochette, et un paquet de mouchoirs de l’autre côté. Le tout peut s’accrocher à n’importe quoi, et c’est dans mon sac, c’est pas lourd ni encombrant.
      Au cas où ça intéresse quelqu’une...

    • Autre nom : l’urinelle . C’est aussi une marque, peu usitée semble-t-il.
      Je proposerais bien « pisse-dru » ... (cf. Larousse « Dru : Se dit de la pluie qui tombe en gouttes nombreuses et serrées. »)
      Pas sûr que ça plaise au producteurs de beaujolais ;)
      Il faudrait que les québecois-es se penchent sur le sujet si doué-es qu’ielles sont pour les néologismes.