Roads and Bridges: The Unseen Labor Behind Our Digital Infrastructure (2016)
▻https://www.fordfoundation.org/library/reports-and-studies/roads-and-bridges-the-unseen-labor-behind-our-digital-infrastructure
#logiciel_libre #financement
Roads and Bridges: The Unseen Labor Behind Our Digital Infrastructure (2016)
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#logiciel_libre #financement
Le premier :
►https://framablog.org/2016/09/12/des-routes-et-des-ponts-1
Pourtant, je suis tombée sur un certain nombre de projets open source qui mettaient à mal ces préjugés. Il s’est avéré que maintenir les projets dans la durée était un problème connu dans le monde des contributeurs de l’open source. Plus je creusais la question et plus je découvrais des billets de blog, des articles et des forums de discussion qui abordaient la tension et l’épuisement éprouvés par ceux qui maintiennent les projets open source. Tout le monde m’indiquait une autre personne à contacter et sans m’en apercevoir j’ai récolté un nombre incroyable de témoignages à ce sujet.
Je me suis rendu compte que j’avais découvert un problème certes « bien connu » des producteurs (les contributeurs de l’open source) mais dont les consommateurs (les entreprises de logiciels et les autres utilisateurs de code open source) n’avaient apparemment aucune idée. Cette anomalie m’a incitée à me pencher sur le problème.
Par ailleurs, il semble que le milieu de l’open source soit lui-même en train d’évoluer, voire de bifurquer. J’ai eu des conversations très diverses avec des interlocuteurs de différentes générations, tous contributeurs open source. Ils semblaient avoir des philosophies et des valeurs divergentes, au point de donner l’impression de ne pas utiliser le même vocabulaire. J’ai appris que dans les trois à cinq dernières années, la production ainsi que la demande avaient explosé dans le monde de l’open source grâce à l’amélioration des outils pour les développeurs et à celle de l’organisation du travail. Les contributeurs de l’open source d’aujourd’hui sont très différents de ceux d’il y a 10 ans, sans parler de ceux d’il y a 30 ans. Or ces différentes générations ne communiquent pas entre elles, ce qui rend difficile toute conversation productive sur la maintenance pérenne des logiciels.
#épuisement #travail #pérennité #long_terme #infrastructure
Aussi signalé par @monolecte
►https://seenthis.net/messages/523810
et
►https://seenthis.net/messages/525857
▻https://framablog.org/2016/11/14/des-routes-et-des-ponts-9-largent-et-lopen-source
Beaucoup de projets open source ne sont rien de plus qu’un dépôt numérique public où est stocké du code auquel un groupe de gens contribue régulièrement : l’équivalent d’une association officieuse sur un campus universitaire. Il n’y a pas de structure légale et il n’y a pas de propriétaire ou de chef clairement défini. Les « mainteneurs » ou les contributeurs principaux émergent souvent de facto, en fonction de qui a créé le projet, ou de qui y a investi beaucoup de temps ou d’efforts. Cependant, même dans ces cas-là, dans certains projets on répugne à introduire une hiérarchie favorisant clairement un contributeur par rapport à un autre.
[…]
La nature décentralisée du monde open source en a fait ce qu’il est : des logiciels produits de façon participative, que n’importe qui peut élaborer, partager, et améliorer. Mais quand vient le moment de discuter des besoins organisationnels, ou de la viabilité, il peut être difficile de prendre des décisions faisant autorité.
[…]
De plus, de nombreux projets fonctionnent très bien de manière communautaire lorsqu’ils sont d’une des deux tailles extrêmes possibles, c’est-à-dire soit des petits projets qui ne demandent pas de maintenance significative (comme dans l’exemple de Arash Payan et Appirater), soit de très gros projets qui reçoivent un soutien important de la part d’entreprises (comme Linux).
Cependant, beaucoup de projets sont coincés quelque part entre les deux : assez grands pour avoir besoin d’une maintenance significative, mais pas d’une taille suffisante pour que des entreprises déclarent leur offrir un soutien. Ces projets sont ceux dont l’histoire passe inaperçue, ceux dont on ne parle pas. Des deux côtés, on dit aux développeurs de ces projets « moyens » qu’ils sont le problème : du côté des « petits projets », on pense qu’ils devraient simplement mieux s’organiser et du côté des « gros projets », on pense que si leur projet était « assez bon », il aurait déjà reçu l’attention des soutiens institutionnels.
[…]
Beaucoup de projets open source sont en train d’expérimenter la difficile transition d’une création désintéressée à une infrastructure publique essentielle.
Ces dépendances toujours plus nombreuses signifient que nous avons pour responsabilité partagée de garantir à ces projets le soutien dont ils ont besoin.
dommage pas très open inclusive cette traduction framalang :/ faite au masculin uniquement, du coup, je préfère de loin le texte original anglais
#allergie_au_sexisme
▻https://framablog.org/2016/12/05/des-routes-et-des-ponts-13-des-mecenes-pour-les-projets-open-source
La deuxième option pour financer des projets d’infrastructure numérique consiste à trouver des mécènes ou des donateurs. Il s’agit d’une pratique courante dans les cas de figure suivants :
– Il n’existe pas de demande client facturable pour les services proposés par le projet.
– Rendre l’accès payant empêcherait l’adoption (on ne pourrait pas, par exemple, faire payer l’utilisation d’un langage de programmation comme Python, car personne ne l’utiliserait ; ce serait comme si parler anglais étant payant).
– Le projet n’a pas les moyens de financer des emplois rémunérés, ou bien il n’y a pas de volonté de la part du développeur de s’occuper des questions commerciales.
– La neutralité et le refus de la commercialisation sont considérés comme des principes importants en termes de gouvernance.
[…]
Pour expliquer sa décision de lever des fonds pour un projet open source, Godwin écrit :
« Une quantité importante de code open source est écrit gratuitement. Cependant, mon temps libre est limité. Je dispose actuellement d’une seule journée libre par semaine pour travailler, et j’adorerais la consacrer à l’amélioration de Django, plutôt qu’à du conseil ou à de la sous-traitance.
L’objectif est double : d’une part, garantir au projet un temps de travail conséquent et au moins 80 heures environ de temps de codage ; et d’autre part prouver au monde que les logiciels open source peuvent réellement rémunérer le temps de travail des développeurs. »
[…]
John Resig est l’auteur de jQuery, une bibliothèque de programmation JavaScript qui est utilisée par près des 2/3 du million de sites web les plus visités au monde. John Resig a développé et publié jQuery en 2006, sous la forme d’un projet personnel. Il a rejoint Mozilla en 2007 en tant que développeur évangéliste, se spécialisant notamment dans les bibliothèques JavaScript.
La popularité de jQuery allant croissante, il est devenu clair qu’en plus des aspects liés au développement technique, il allait falloir formaliser certains aspects liés à la gouvernance du projet. Mozilla a alors proposé à John de travailler à plein temps sur jQuery entre 2009 et 2011, ce qu’il a fait.
À propos de cette expérience, John Resig a écrit :
« Pendant l’année et demi qui vient de s’écouler, Mozilla m’a permis de travailler à plein temps sur jQuery. Cela a abouti à la publication de 9 versions de jQuery… et à une amélioration drastique de l’organisation du projet (nous appartenons désormais à l’organisation à but non lucratif Software Freedom Conservancy, nous avons des réunions d’équipe régulières, des votes publics, fournissons des états des lieux publics et encourageons activement la participation au projet). Heureusement, le projet jQuery se poursuit sans encombre à l’heure actuelle, ce qui me permet de réduire mon implication à un niveau plus raisonnable et de participer à d’autres travaux de développement. »
oui @touti tout à fait, mainteneurs, contributeurs, développeurs…
▻https://framablog.org/2016/12/12/des-routes-et-des-ponts-14-synthese-sur-les-difficultes-de-financement
En plus de l’enjeu macroéconomique des communs, il y a plusieurs raisons pour lesquelles le financement des infrastructures numériques est particulièrement compliqué. Ces raisons ont déjà été abordées au cours de cette étude, mais sont toutes résumées ici.
On croit à tort qu’il s’agit d’un « problème résolu ».
[…]
Il manque une prise de conscience et une compréhension culturelle de ce problème.
En dehors de la communauté open source, tout le monde, ou presque, ignore les problèmes de financement de ces projets d’infrastructure, et le sujet est perçu comme plutôt aride et technique. Les développeurs qui ont besoin de soutien ont tendance à se concentrer principalement sur la technique et sont mal à l’aise lorsqu’il s’agit de défendre l’aspect financier de leur travail. Au bout du compte, on ne parvient pas à trouver l’élan qui pourrait modifier cette situation en panne.
Les infrastructures numériques sont enracinées dans l’open source, dont la culture du bénévolat n’encourage pas à parler d’argent.
Même si cette attitude a fait de l’open source ce qu’elle est aujourd’hui, elle crée également un tabou qui rend difficile pour les développeurs l’évocation de leurs besoins, car ils se sentent coupables ou ont peur de passer pour des personnes qui n’auraient pas l’esprit d’équipe.
Le livre est intéressant, et elle aborde frontalement l’épuisement des gens et des projets, ainsi que la nécessité d’ouvrir au maximum les projets à plein de profils différents pour maximiser les contributions, l’écosystème, le cercle vertueux, dans le dernier chapitre.
Mais une reproche que je ferais, c’est qu’elle ne parle que de financement direct. Et donc uniquement de projets, qui même lorsqu’ils sont très communautaires et à but non lucratif, sont seulement ceux qui ont une fondation ou association officielle qui permet de récolter des dons privés ou publics, pour ensuite le redistribuer à des développeureuses, des gens qui font la doc, la com ou autre.
Bon, on est vraiment mais alors VRAIMENT parmi les seuls au monde entier dans SPIP à être une communauté sans aucune structure juridique officielle. Du coup c’est très difficile de s’identifier dans son livre et de faire des rapprochements.
Par ailleurs, elle aborde un peu le financement indirect mais pas tant que ça et ce n’est pas très détaillé sur le type de tâches que ça permet de faire avancer.
Cela fait des années que je redis régulièrement la même chose, mais je pars de mon expérience dans SPIP évidemment. J’affirme, et je pense que c’est quantifiable et que je peux le prouver, que mis à part au début, la majorité des dernières contributions à SPIP dans les dernières années plugins ET noyau, l’ont été soit durant des temps travaillés et payés, soit en rapport avec le travail quand même car investissement du fait que SPIP est la base sur laquelle est montée le travail, le salaire, la vie des gens qui ont fait ces contributions. Je ne parle donc pas que de moi. Je trouve qu’il y a une sorte de non-dit sur ce sujet, volontaire ou pas, et que c’est un fait difficile à reconnaitre (et donc à en tirer les conséquences !).
De manière plus concrète : un (très) grand nombre de plugins majeurs ont été créé et/ou augmenté dans le cadre de fonctionnalités nécessaires durant des projets payés par des clients à des gens qui vivent de SPIP. Pour le noyau, de nombreuses modifications ont été fait dans ce même cadre, et certaines majeures au moment du montage de Nursit, pour la sortie de SPIP 3.0. Pour moi il s’agit clairement d’un investissement, qui sert à monter une activité plus stable ensuite. Je ne fais strictement aucune critique : je trouve ça très bien et sain. Mais je voudrais juste qu’on le reconnaisse plus explicitement : non malgré nos (y compris moi !) positionnements très libertaires, en défense du monde associatif et militant, etc, et bien non, la plupart des plus grosses évolutions en plugins importants et en noyau, n’ont pas été fait bénévolement pour l’amour de l’art ou pour servir le militantisme gauchiste.
Malheureusement ce type de financement indirect, qui est donc assimilable pour moi à du « mécénat », par la redistribution de nouvelles fonctionnalités ou d’amélioration de l’existant à toute la communauté, permet de faire avancer seulement des fonctionnalités précises ("on veut pouvoir créer des sélections de contenus manuellement", « on veut pouvoir payer en ligne », etc) ou des corrections de bugs ou des améliorations pas trop énormes.
Je n’ai jamais vu qu’un mécénat comme ça, fournissant du temps, arrive à « financer » des modifications majeures d’infrastructure, de communication, d’ergonomie générale.
En effet, durant un projet pour un client, on peut arriver à faire financer la création d’un nouveau plugin, ou l’amélioration d’un truc existant. Mais personne ne va jamais financer la refonte complète de l’admin qui est un chantier énorme de plusieurs mois à plein temps. Et personne ne va financer la refonte complète et mise en cohérence des documentations, qui est aussi un énorme chantier. De même nous avions parlé avec @marcimat de la refonte de l’infrastructure au cœur du logiciel, en utilisant des librairies existantes (composer, sfy…) : c’est aussi un énorme chantier de plusieurs mois (et qui à mon avis est essentiel à long terme, autant que l’admin ergonomique et responsive).
Pour tous ces énormes chantiers, quand bien même on arriverait à s’organiser de manière moins bloquante et conflictuelle qu’avant (comme je l’ai déjà exposé), ça ne change rien au fait que le temps à y passer est énorme, et qu’il ne peut être uniquement bénévole (même s’il y en a aussi, on passe tous plus de temps, pas payé, à améliorer SPIP), sinon on n’a plus de vie, et c’est burn out, etc. On a tous une vie, une famille, des enfants, des ami⋅e⋅s, des loisirs, des lectures… En dehors de nos heures de travail, on ne peut pas faire que continuer à coder pareil.
Prendre pour étalon de la contribution l’idéal-type d’une personne qui en plus de ses 7h par jour à coder pour le travail, re-passe 4h par jour (ou plus !) à contribuer bénévolement, ce n’est pas possible, on ne peut pas plus anti-inclusivité que ça à mon sens. (Et l’autrice du livre va entièrement dans ce sens.)
Voilà un peu une partie de mes sentiments autour d’une manière de s’organiser dans « ma » communauté qui n’a justement pas de fondation à qui donner des dons, et dont on est assez fier, mais qui a de gros soucis à se faire dans les années qui arrivent d’après moi.
Bon #Anniversaire, l’April !
▻https://framablog.org/2016/12/20/l-april-a-20-ans
Aujourd’hui nous ouvrons avec plaisir nos colonnes à Véronique Bonnet, membre du C.A de l’April, qui évoque avec ferveur l’histoire et l’esprit de cette #Association amie dont nous partageons les combats et des valeurs. L’April vient d’avoir 20 ans par … Lire la suite
#G.A.F.A.M. #Internet_et_société #Libertés_Numériques #Libres_Logiciels #April #GAFAM #La_Boetie #logicielLibre #RMS #Stallman
#Des_routes_et_des_Ponts (16) – vers de meilleures stratégies
▻https://framablog.org/2016/12/26/des-routes-et-des-ponts-16-strategies
Aujourd’hui menu allégé (après les agapes), avec un bref chapitre de Des routes et des ponts par Nadia Eghbal, ouvrage dont tous les chapitres précédents sont là. Il s’agit cette fois-ci de dresser la liste des principes qui devraient gouverner … Lire la suite
#Libres_Cultures #Non_classé #argent #Code #OpenSource #Strategie #temps
Commentaires sur Dégooglisons Internet : on publie les chiffres ! par Fox
▻https://framablog.org/2016/12/14/degooglisons-internet-on-publie-les-chiffres/#comment-67042
J’utilise framagenda depuis que j’ai vu avec quelle facilité Farida avait synchronisé sont tel avec ces outils et j’en suis vraiment très satisfait…
#Démocratie_participative : le sommet de Paris s’ouvre sur fond de polémiques
▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/12/05/democratie-participative-le-sommet-de-paris-s-ouvre-sur-fond-de-polemiques_5
Y aller ou pas ? La France s’apprête à accueillir, du 7 au 9 décembre, le quatrième sommet mondial du Partenariat pour un gouvernement ouvert (PGO ou OGP, en anglais, pour Open Government Partnership). Mais, depuis plusieurs semaines, les associations, qui, en France, militent pour la défense des libertés publiques, la participation citoyenne ou la diffusion des biens communs numériques débattent de l’opportunité de participer à ce rendez-vous. Petit tour d’horizon.
Alors que la France s’apprête à accueillir le Sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert, plusieurs associations pointent les contradictions du gouvernement. Certaines ne s’y rendront pas.
Bilan du gouvernement ouvert à la française (9 pages), co-signé par les associations et collectifs suivants : April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1.
▻https://framablog.org/2016/12/06/le-gouvernement-ouvert-a-la-francaise-un-leurre
Dans un billet de blog ( ►https://framablog.org/2016/11/25/pourquoi-framasoft-nira-plus-prendre-le-the-au-ministere-de-leducation-na ) Framasoft nous dit ne plus vouloir « prendre le thé au ministère de l’Éducation Nationale ». Ne pas aimer le thé, c’est leur droit, certes, mais ils ajoutent vouloir ouvrir d’autres portes « vers des acteurs qui nous semblent plus sincères ».
À quelles adresses se situent ces autres portes, mystère, on ne nous en dit pas plus. Plus loin dans le texte on nous parle juste d’ « éducation populaire , avec non seulement ses principes, mais aussi ses dynamiques propres, ses structures solidaires et les valeurs qu’elle partage. Nous ne pensions pas que ce choix pouvait nous éloigner, même conceptuellement, des structures de l’Éducation Nationale pour qui, comme chacun le sait, nous avons un attachement historique. Et pourtant si… ».
Vaste concept que l’éducation populaire mais qui seront donc alors les interlocuteurs habilités à faire changer les choses dans les écoles, lycées, collèges de France ? Où est le concret ? le programme ? les status et adresses de ces intervenants « plus sincères » et à quel titre pourront-ils intervenir à l’échelon national avec suffisement de poids pour faire changer les choses ?
N’est-on pas là dans la seule incantation, la posture ? Et, accessoirement, pour que le Libre puisse pregresser dans le cadre de l’E.N. il faut des intervenants exterieurs en nombre, formés, compétents, agrées, tenant le même langage et présentant les mêmes produits, fiables, testés, entretenus, suivis dans le temps, stables, évoluant régulièrement, avec une vraie estampille de qualité produit. Pour le moment le Libre, éclaté, morcelé, en perpetuel devenir est loin de répondre à tous ces critères et, malheureusement, Microsoft, malgré tous ses défauts, offre à plus grande échelle une réponse bien plus sécurisante. On peut le regretter, il faut d’ailleurs le regretter, mais ce n’est pas en se fermant des portes que Framasoft, qui aurait pu, avec un peu plus de sérieux et moins d’idéologie brouillonne aurait pu donc être un interlocuteur de premier choix, sans oublier que Framaosft bénéficie du statut d’Association d’inteêt public. Et non les choses ne sont pas simples et ne se feront pas sans efforts. Et encore moins en insultant ses interlocuteurs.
Donc, une seule question demeure, quels sont ces autres interlocuteurs qualifiés de sincères.
Face à « l’entrisme » de Microsoft Framasoft ferme les portes et prétend en ouvrir d’autres. Mais autant dire franchement pour qui roule Framasoft, les choses seront ainsi plus claires. Autant savoir dans l’optique de faire des dons ou pas et vers quelles « portes ».
Pourquoi Framasoft n’ira plus prendre le thé au ministère de l’Éducation Nationale – Framablog
►https://framablog.org/2016/11/25/pourquoi-framasoft-nira-plus-prendre-le-the-au-ministere-de-leducation-na
Pourquoi Framasoft n’ira plus prendre le thé au ministère de l’Éducation Nationale
« Autant dire franchement » ... alors autant le dire non ? C’est quoi ces sous-entendus ?
Faut retourner la question à Framasoft. Qui sont ces « acteurs qui nous semblent plus sincères » ?
@cepcasa plutôt sibyllin ce message, est-ce possible d’être plus explicite ?
Plus explicite ? n’est-ce pas à Framasoft de développer d’avantage ? quelles sont ces autres portes ?
À faire lire impérativement à tous les utilisateurs d’Internet « 10 trucs que j’ignorais sur Internet et mon ordi (avant de m’y intéresser…) »
▻https://framablog.org/2016/11/23/10-trucs-que-jignorais-sur-internet-et-mon-ordi-avant-de-my-interesser
Sociétalement, on vient de se gaver d’ordinateurs (jusqu’à en mettre dans nos poches, ouais, de vrais ordis avec option téléphone !) et de numérique, et là les plus gros marchands de chocolat/maquillage/séries se sont gavés sur notre dos en nous fourguant un truc sucré, gras et qui nous laisse parfois l’estomac au bord des lèvres.
Mais on commence tout juste, et il est encore temps d’apprendre à devenir gourmet, à savoir se maquiller avec finesse, et même à écrire une fan fiction autour de cette nouvelle série.
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Distinction._Critique_sociale_du_jugement
C’est quand même triste que tous ces constats sur le déferlement numérique et son lien avec la marchandisation des nos interactions ne conduisent qu’à cerner un nouveau segment de marché...
Quelle bande de pantins omniscients ces gentils de framablog. Heureusement qu’ils pensent à tout en plus de faire nourrir leurs chatons.
Et l’acces aux codes sources de Microsoft ils y ont pensé ? y compris plus généralement aussi dans le cadre du Transparency Center in Brussels ? Ety qui leur dit que seul du Microsoft est utilisé ?
Défense française : portes ouvertes pour la NSA – Framablog
▻https://framablog.org/2016/11/15/defense-francaise-portes-ouvertes-pour-la-nsa
Défense française : portes ouvertes pour la NSA
Naissance du collectif CHATONS – Framablog
▻https://framablog.org/2016/10/12/naissance-du-collectif-chatons
CHATONS, c’est donc un collectif regroupant ces hébergeurs éthiques, libres et loyaux (que l’on nommera… « chatons » !).
L’avantage c’est que chacun de ces chatons s’est engagé sur une charte et un manifeste communs, qui vous garantissent entre autres :
l’utilisation de logiciels libres (et autant que possible la contribution ^^) ;
aucun profilage publicitaire (pas de pub autre que mécénat et sponsoring) ;
le respect de vos données (droit d’accès, interopérabilité, non-transmission à des tiers) ;
la transparence (sur la technique comme sur les finances) ;
la neutralité (aucune surveillance ni censure en amont) ;
le chiffrement (dès et tant que possible).
Au-delà de l’aspect utilisateur, le fait d’initier ce collectif permettra une solidarité entre ses membres pour échanger sur des aspects techniques, juridiques, d’éducation populaire… et ainsi de faciliter la création de nouveaux chatons près de chez vous !
« Le livre de Tristan Nitot porte un regard lucide et analytique sur la situation de surveillance ; il nous offre également des moyens de reprendre le contrôle de notre vie numérique. Comprendre et agir sont les deux faces de cet ouvrage, qui le rendent indispensable à celles et ceux qui veulent défendre les libertés dans un monde numérique. »
« surveillance :// », de Tristan Nitot, chez C&F éditions
▻http://cfeditions.com/surveillance
#surveillance #vie_privée #GAFA #NSA #Snowden
Plusieurs articles parlant de ce (excellent) livre :
« Vivre sous surveillance : un autre Internet est possible » sur Rue89 : ▻http://rue89.nouvelobs.com/2016/10/02/vivre-sous-surveillance-autre-internet-est-possible-265316
« Tristan Nitot : "Utiliser Internet, c’est accepter une forme de surveillance" », bon interview au Figaro ►http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2016/10/07/32001-20161007ARTFIG00001-tristan-nitot-utiliser-internet-c-est-accepter-un
« Tristan Nitot sort le livre « surveillance :// » sur le blog de l’entreprise Qwant ▻https://blog.qwant.com/tristan-nitot-sort-le-livre-surveillance
« Tristan Nitot : "face à la Surveillance :// on retrousse ses manches !" », interview sur Framablog ▻https://framablog.org/2016/10/05/tristan-nitot-livre-surveillance
Et le mien aussi : ▻http://www.bortzmeyer.org/surveillance.html
Cloud, vie privée et surveillance de masse - Tristan Nitot | #April
▻https://www.april.org/cloud-vie-privee-et-surveillance-de-masse-tristan-nitot
Je vais me présenter très brièvement, je m’appelle Tristan Nitot, j’ai quarante-huit ans, je suis un citoyen français.
Titre : Cloud, vie privée et surveillance de masse
Intervenant : Tristan Nitot
Lieu : Rencontre Nationale des Directeurs de l’Innovation
Date : Juin 2015
Durée : 47 min 15
Licence : Verbatim
Pour visualiser la vidéo : ▻https://vimeo.com/134260825
Framagenda : ne partagez plus votre planning (ni vos contacts) avec la NSA ! – Framablog
▻https://framablog.org/2016/10/07/framagenda-ne-partagez-plus-votre-planning-ni-vos-contacts-avec-la-nsa
Comment Siri (Apple™) sait-elle que vous préférez tel restaurant pour vos déjeuners d’affaires ? Comment Cortana (Microsoft™) peut-elle vous proposer d’ajouter ce PowerPoint™ à la réunion que vous êtes en train de planifier ? Comment Google Now™ sait-elle vous prévenir à temps de rejoindre votre voiture afin d’éviter les bouchons pour aller à votre rendez-vous ? (eh oui : les GAFAM accordent les assistants numériques au féminin -_-)
C’est simple : vous leur donnez ces informations et ils ne se privent pas pour les scanner, analyser, indexer. Pour alimenter votre profil personnel, votre graphe social. Les gestionnaires d’emploi du temps sont l’illustration parfaite de ce que recouvre l’expression « données personnelles ». Tout simplement, la traduction de nos vies : nos vies numériques, liées à nos vies physiques. Où nous sommes, à quel moment, pour quoi faire, avec qui…
Dégooglisons saison 3 : 30 services alternatifs aux produits de Google & co – Framablog
►https://framablog.org/2016/10/03/degooglisons-saison-3-30-services-alternatifs-aux-produits-de-google-co
6 nouveaux services et une annonce majeure pour attaquer la 3e – et dernière – année de notre (modeste) plan de libération du monde… De moins en moins modeste : déjà trente services à ce jour !
Après Framinetest (qui montre que les libristes ont déjà répondu à l’édition « éducation » de Minecraft/Microsoft), Framemo (le petit outil pratique pour collaborer sur des idées), les mises à jour de Framacarte, Framacalc, Framapad, Framapic, Framasphère, Framemo, et d’autres… on aurait pu croire que notre été était déjà bien rempli.
Mais non. Il nous fallait fêter ces deux ans avec de nouveaux services. OK. Chiche !
#CHATONS est le Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires. Il vise à rassembler des structures souhaitant éviter la collecte et la centralisation des données personnelles au sein de silos numériques du type de ceux des #GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft).
CHATONS est un collectif initié par l’association #Framasoft suite au succès de sa campagne « #Dégooglisons_Internet » .
Le projet vise à rassembler des acteurs proposant des services en ligne libres, éthiques, décentralisés et solidaires afin de permettre aux utilisateurs de trouver - rapidement - des alternatives aux produits de #Google (entre autres) mais respectueux de leurs données et de leur vie privée.
Bien que l’annonce officielle ne soit prévue que pour octobre 2016, ce site permet de présenter le projet , son organisation, son manifeste, sa charte, ses ambitions et ses premiers membres en avant-première.
Dégooglisons saison 3 : 30 services alternatifs aux produits de Google & co
►https://framablog.org/2016/10/03/degooglisons-saison-3-30-services-alternatifs-aux-produits-de-google-co
Dégooglisons saison 3 : 30 services alternatifs aux produits de Google & co – Framablog
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– #Framalistes (lundi 03 octobre, aujourd’hui !) : cet outil qui repose sur le logiciel #Sympa vous permettra de créer vos listes de diffusions, d’échanger des emails et de quitter Google Groups !
– #Framanotes (mar 04 octobre) : installez les applications Turtl, connectez-les à notre serveur pour créer, conserver et chiffrer vos notes, images, fichiers, marque-pages sur des tableaux… voire les partager avec d’autres ; et ainsi quitter en groupe Evernote !
– #Framaforms (mercredi 05 octobre) : basé sur Drupal et Webforms, il vous permettra de créer rapidement des formulaires pour votre doctorat, vos contributeurs ou votre site Web sans livrer les réponses des participants à Google Forms.
– #Framatalk (jeudi 06 Octobre) : avec Jitsi Meet installé sur nos serveurs, vous pourrez créer en deux clics une conversation audio ou vidéo, voire une conférence (si votre connexion le permet) et vous défaire peu à peu de Discord ou du Skype de Microsoft. L’affreux verbe « skaïper » deviendra enfin un mauvais souvenir.
– #Framagenda (vendredi 07 octobre) : nous avons amélioré pour vous le code de l’application “calendar” de ownCloud/Nextcloud, afin que vos agendas, contacts, rendez-vous, et plannings puissent être affichés, devenir publics, semi-publics ou complètement privés… Fini l’espionnage par Google/Apple/Microsoft Agenda.
Il est une demande qui nous revient régulièrement :
« Pourquoi ne pas créer un compte unifié Framasoft ? Comme chez Google (oui, hein, ça part pas au top), un seul compte qui permet de retrouver et de profiter de tous ses framachins ? »
MyFrama, c’est notre réponse au framabazar. Elle vous sera proposée le lundi 10 octobre. Basé sur Shaarli, il s’agit d’un récolteur/trieur d’adresses Web (à la Del.icio.us) que JosephK a bidouillé pour vous afin qu’il classe automatiquement les adresses de nos services que vous y ajouterez. Avec un seul compte, vous pourrez remettre une dose de cathédrale dans ce bazar et retrouver aisément les services que vous utilisez.
@FabXtra très bonne idée, c’est un des griefs qui revient souvent.
@lluc :-)
C’est pour ça que j’ai mis en exergue cette citation de l’article envoyé par @fil. Il faudra voir ce que donne MyFrama. Mais en soi c’est une super démarche. Que ce soit dans le cadre privé et + encore dans le cadre professionnel et ++ encore dans le cadre militant, ça devient bizarre de continuer de bosser sur des outils qui aspirent nos données à des fins commercialo-politico douteuses. Et je dis ça parce que j’y connais rien : franchement pas besoin d’être geek pour partager des fichiers sur Framadrop ou gérer des fichiers collaboratifs sur Framacalc. Il suffit d’être un peu sensibilisé à la question (des données). Et de nos jours, qui ne l’est pas ^^ ?
C’est marrant, ce matin je pensais commencer à passer mes mails en Suisse chez Kolab et boum, ils sont super plantés. C’est un signe ?
Sérieusement, le problème c’est le mail.
Je pense passer à une solution payante, puisqu’au final c’est l’argument : c’est gratuit, on vous scanne vos donnés pour faire de la pub.
C’est difficile de faire le tri dans les compagnies commerciales qui offrent une capacité équivalente (au moins 15Gb) comme fastmail ou zohomail (dont les différentes options en font une alternative franchement bonne à gmail pour docs+agenda+mail).
▻https://www.zoho.com/mail/zohomail-pricing.html
test en cours
Mails seuls.
Liste de solutions, taille de stockage, services et prix :
▻https://protonmail.com/pricing
arf : At this time Protonmail does not support IMAP/SMTP or POP3 due to the technology ProtonMail utilizes within web browsers to encrypt and decrypt your messages. We apologize for the inconvenience and are working on creative solutions to allow IMAP/SMTP use -> app android/ ios. +un peu cher/mois
▻https://unseen.is/payment.html
ça a l’air super pour des lanceurs d’alerte.
▻https://tutanota.com/pricing
sympa mais webmail indigent.
L’étranger de qui ? Je ne vis pas en France anyway. Je cherche surtout à pouvoir passer au moins un compte sur une capacité de 15go + groupware. Les autres maisl sont moins vieux et moins gourmands donc, ils peuvent être en standalone.
Ceci dit, je prends toute suggestion à ce stade. :)
pour le mail, il faudrait regarder ▻https://mailden.net ; je viens de voir que son dev Stanislas Sabatier venait d’être embaucher par caliopen (▻https://blog.caliopen.org/grant-from-the-bpi), c’est une bonne marque de sérieux je pense.
Il offre jusqu’à 30Go de stockage chiffré, pour 3€/mois. Le #webmail est #roundcube (pas testé depuis des années donc je sais pas si c’est devenu bien)
Toujours sur le mail, je viens de découvrir migadu qui semble pas mal : ▻https://www.migadu.com
It’s time to forget paying per mailbox and per user. Migadu paid plans differ only in the included outgoing messages per day. Everything else is included.
/me qui cherche aussi un plan B afin de fermer le dernier truc qu’il a chez google
Minetest, intérêts et possibilités pédagogiques – Framablog
▻https://framablog.org/2016/09/01/minetest-interets-et-possibilites-pedagogiques
Dans « Framinetest Édu » il y a « Édu ». Ce n’est pas (simplement) pour damer le pion à Microsoft. Les jeux de minages sont des outils intéressants et innovants pour expérimenter d’autres formes de pédagogies.
Voici un article de SVTux, un professeur de SVT convaincu des avantages des serious games… pour les avoir testés lui-même.
Cet élève, ne trouvant pas l’option dans le jeu avait décidé de créer l’option lui-même. Depuis hier, son mod est intégré dans le serveur du prof. Respect, cet élève a 11 ans.
À la recherche du téléphone libre… et sans Google ! – Framablog
▻https://framablog.org/2016/08/04/a-la-recherche-du-telephone-libre-et-sans-google
Des Routes et des Ponts (2), une introduction – Framablog
▻https://framablog.org/2016/09/19/des-routes-et-des-ponts-2
Tout, dans notre société moderne, des hôpitaux à la bourse en passant par les journaux et les réseaux sociaux, fonctionne grâce à des #logiciels. Mais à y regarder de plus près, vous verrez que les fondations de cette infrastructure logicielle menacent de céder sous la demande. Aujourd’hui, presque tous les logiciels sont tributaires de code dit open source : public et gratuit, ce #code est créé et maintenu par des communautés de développeurs ou disposant d’autres compétences. Comme les routes ou les ponts que tout le monde peut emprunter à pied ou dans un véhicule, le code open source peut être repris et utilisé par n’importe qui, entreprise ou particulier, pour créer des logiciels. Ce code constitue l’infrastructure #numérique de la société d’aujourd’hui, et tout comme l’infrastructure matérielle, elle nécessite une maintenance et un entretien réguliers. Aux États-Unis par exemple, plus de la moitié des dépenses de l’état pour les réseaux routiers et ceux de distribution d’eau est consacrée à leur seule maintenance.
#open_source
Première partie : ►https://seenthis.net/messages/523810
L’entretien de notre infrastructure numérique est une idée nouvelle pour beaucoup, et les défis que cela pose ne sont pas bien cernés. De plus, l’initiative de cette infrastructure est distribuée entre beaucoup de personnes et d’organisations, ce qui met à mal les modèles classiques de gouvernance. Beaucoup de ces projets qui contribuent à l’infrastructure n’ont même pas de statut juridique. Toute stratégie de maintenance devra donc accepter et exploiter ces aspects décentralisés et communautaires du code open source.
Enfin, pour construire un écosystème sain et durable, il sera crucial d’éduquer les gens à ce problème, de faciliter les contributions financières et humaines des institutions, de multiplier le nombre de contributeurs open source et de définir les bonnes pratiques et stratégies au sein des projets qui participent de cette infrastructure.
L’exemple de OpenSSL et Heartbleed pour illustrer la dépendance aux « briques » de l’open-source et les potentiels problèmes de maintenance... (comme d’hab’ il est plus facile de développer un nouvel outil que de le maintenir sur le long terme...)
Pour la version anglaise du livre « Roads and Bridges, The Unseen Labor behind Our Digital Structure » : ▻https://fordfoundcontent.blob.core.windows.net/media/2976/roads-and-bridges-the-unseen-labor-behind-our-di
Pour le projet complet de traduction du livre (voir : ►https://framablog.org/category/libres-cultures/des-routes-et-des-ponts
#open_source #maintenance #openssl #hearbleed #roads_and_bridges #infrastructure
McDonald’s dans les cantines scolaires – Framablog
▻https://framablog.org/2016/09/16/mcdonalds-dans-les-cantines-scolaires
Ce nouvel article issu du blog Grise Bouille nous parle un peu de l’Éducation Nationale et surtout de son Ministère. Où quand le partenariat public/privé va un peu trop loin…
Cette BD est librement inspiré de l’article Cantines scolaires : l’Education Nationale signe un partenariat avec Mac Donald écrit par JCFrog.
Avec « Des routes et des ponts », la voie est libre – Framablog
►https://framablog.org/2016/09/12/des-routes-et-des-ponts-1
Le problème exposé dans cet ouvrage m’est apparu sur une intuition. Pour avoir travaillé dans des startups puis dans des sociétés de capital-risque, j’ai pu constater que des sommes d’argent considérables affluaient dans les entreprises de logiciel. Par ailleurs, en tant que développeuse de logiciel en amateur, j’étais bien consciente que je n’aurais rien pu produire toute seule. J’utilisais du code gratuit et public (plus connu sous le nom de code open source) dont j’assemblais des éléments afin de répondre à des objectifs personnels ou commerciaux. Et franchement, les personnes impliquées dans ces projets avaient, quel que soit leur rôle, fait le plus gros du travail.