Le jour d’après
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Carte postale ancienne de Nice
Il y a nécessairement un temps de sidération.
Le temps de prendre la mesure de ce qui s’est passé. Celui de faire le tri dans la succession d’émotions qui surviennent tour à tour et pas toujours dans la même séquence et sont susceptibles de nous faire réagir en décalage. Il y a toujours beaucoup de cacophonie même parfois sans que personne ne dise rien de particulier.
Et comme le monde n’arrête pas de tourner, je préfère voir la ville sous le soleil, dans toute sa beauté et le charme qu’elle évoque.
Il sera bien temps de reparler une fois les nerfs un peu calmés. Si la Turquie ne bascule pas soudainement dans la confusion.