• Quel appareil photo pour un gaucher ?
    https://pyrros.fr/tutoriel/appareil-photo-gaucher

    Pierrick a bien essayé des appareils photos « normaux » mais cela n’est pas confortable. La position pour tenir le boîtier avec la main gauche n’est pas la plus pratique. Il a essayé de tenir son appareil dans le sens normal, mais l’appareil n’est pas stable, il a aussi essayé de retourner l’appareil et dans ce cas il est impossible d’utiliser l’écran dont les inscriptions se retrouvent inversées. Les boutons de commande prévus pour les droitiers ou ceux capables d’utiliser leur main droite ne sont pas pratiques à utiliser pour un gaucher et lui imposent de « jongler ».

    • Je ne suis pas gaucher, donc je n’ai pas ce souci. En revanche, si je tiens bien l’appareil avec la main droite, je vise avec l’œil gauche (je suis droitier de la main, et gaucher de l’œil).

      Appareil à visée pour gaucher !?
      https://www.chassimages.com/forum/index.php?topic=269026.0

      Mon oeil directeur est le gauche et non droit comme la plupart des gens.

      Résultat, utiliser un appareil photo à visée est souvent problématique. Utiliser le second oeil pour visualiser le monde alentour est impossible. J’ai le boitier collé sur mon nez. C’est peut-être pas grand chose pour vous mais j’ai toujours l’impression d’utiliser l’appareil à l’envers !?

      C’est pourquoi je me demande si une marque aurai sorti un appareil à visée pour gaucher ?!

      En pratique ce n’est tout de même pas une grosse gêne (à moins d’avoir le nez de Cyrano). Mais petit détail : mon nouvel appareil a une fonction paraît-il très sympa qui permet, lorsqu’on vise dans le viseur optique (en fait numérique), de déplacer le point d’autofocus en utilisant l’écran tactile du dos en glissant avec le pouce, façon trackpad. Mais j’ai dû désactiver ça, parce que quand je visais via le viseur optique, je déplaçais le point d’autofocus avec… mon pif.

    • Pareil, j’ai un gros souci de vision qui fait que seul mon oeil gauche est fonctionnel, et par ailleurs je suis droitier. Pas de souci particulier avec les appareils quels qu’ils soient... Sauf quand ils ont un écran tactile effectivement, à cause du pif !

    • Tu as déjà essayé le tir à l’arc ? Bon sang c’est d’un chiant quand on tient l’arc en droitier et qu’on vise avec l’œil gauche… :-)

      Ah, tiens, ça me rappelle une anecdote mignonne avec ma petite et du lancer de hache…

      Comme c’était avant le Covid, elle devait avoir 7 ans, et j’ai emmené les enfants à un festival médiéval dans un petit village. Un des stands, c’était du lancer de haches (des petites haches, à peine plus grandes que des couteaux) sur une cible. La plupart des gens avaient un mal fou, n’arrivant généralement même pas à planter la hache dans le bois de la cible ; mais ma gamine dès son premier jet, a planté les haches dans la cible, avec un geste ample et assuré assez impressionnant. Après ses trois lancers (dont deux plantés dans la cible), le type qui tenait le stand la fait « oh là, elle fait du sport, cette petite ! ». Et ma gamine a expliqué : « ah ben oui : je fais du ballet classique ! ».

      Ceci expliquant donc cela… :-)

      https://vimeo.com/601018932

    • Ça doit donc être pour ça que je suis une quiche au tir à l’arc : je devrais faire du ballet classique !

      (et donc de fait : en tenant l’arc comme un droitier mais en visant de l’oeil gauche c’est juste la merde).

    • Je voudrais commencer à faire des belles photos mais j’avoue que je n’arrive pas du tout à m’y retrouver dans la jungle des appareils photos de qualité :(

      Le seul qui m’attire c’est le X100F de Fuji parce qu’il est beau (oui je sais c’est nul comme critère) et qu’il a de bonnes critiques...mais est ce que ça suffit comme critères ou je passe à côté de plein de choses ?

      Vous auriez des conseils à me donner ?
      Merci d’avance !

    • @fonkisifou Si ce n’est pas pour un usage ultra-spécifique (et professionnel), n’importe quel appareil de ces dix dernières années fera parfaitement l’affaire. Tous les appareils sont bons et dotés de bons capteurs désormais.

      Si tu as des sous à mettre dans la photo, il vaut mieux te concentrer sur le choix des objectifs : ce sont les objectifs qui ont un impact franchement visible sur tes photos, et ça, ça coûte toujours un peu cher (surtout si tu as déjà mis tous le budget dans l’appareil nu).

      Là tu parles d’acheter un appareil avec objectif non interchangeable, et qui coûte un bras, c’est vraiment un usage ultra-spécifique et ultra-pro (genre : street photo de compétition, et avec un grand angle pas génial pour le portrait). Du coup si tu vas par là, c’est plus l’usage qui va déterminer ton achat, pas la versatilité de l’appareil « en général ». Sinon, si tu cherches la versatilité : appareil moins cher, mais à objectifs interchangeables.

      Sinon n’hésite pas à te tourner vers l’occasion. Moi je suis passé par mpb.com pour acheter un appareil sorti en 2016, qui était encore le haut de gamme de sa marque en 2020, et je réutilise la collection d’objectifs que j’ai depuis 15 ans pour la même marque.

    • Non, je suis chez Olympus (capteur 4/3) depuis 2007. Du coup j’ai pris un E-M1 Mark II, compatible avec mes objectifs. Et je suis vraiment bluffé par les progrès réalisés de ce côté. Et oui, pas de miroir, donc viseur électronique (moi j’aime beaucoup, et de toute façon avec ces appareils modernes tu peux utiliser assez largement l’écran à l’arrière de l’appareil, notamment pour les portraits, ça permet les positions plus acrobatiques, et aussi tu restes en contact avec les gens que tu photographies).

      Avantage aussi : Olympus fait du mirrorless depuis 2009, alors tu as beaucoup d’appareils de ce genre en occasion. Alors que chez Canon le mirrorless en full frame ça date de 2018 et donc même en occasion ça coûte encore un bras (je vois le Canon R à 1400€ en occasion, c’est plus de deux fois plus cher que ce que j’ai payé le mien).

    • Super sympa vos réponses :)
      Ces quelques phrases m’ont déjà beaucoup plus éclairées que ce que j’ai pu trouver jusque là.
      Effectivement je serais plutôt sur la versatilité.
      Du coup j’ai plusieurs questions @arno :
      – t’as l’air d’avoir une belle collection d’objectifs, c’est pas trop encombrant à transporter pour les vacances ? Pas trop compliqué pour faire le choix de l’objectif à utiliser en fonction des photos ?
      – c’est les progrès au niveau des objectifs dont tu parles ? Ils ont plus petit, plus précis, autre ?
      – c’est quoi du mirrorless en fullframe ?
      – Pourquoi l’écran te permet d’être en contact avec les gens (ce qui me semble pas mal comme truc)

      (désole pour toutes ces questions :( )

    • – t’as l’air d’avoir une belle collection de photo, c’est pas trop encombrant à transporter pour les vacances ? Pas trop compliqué pour faire le choix de l’objectif à utiliser en fonction des photos ?

      L’avantage du système 4/3 (capteur moitié plus petit que le 35mm, qu’on appelle désormais full frame), c’est que les objectifs sont plus petits et un peu plus légers.

      Pour les vacances (généralement plutôt en ville et en famille), j’ai un zoom de très bonne qualité (équivalent 24-80mm, ouverture f2.8), qui me fait couteau suisse (ça va de la photo d’ambiance au portrait sans problème). Et j’emmène un objectif fixe (j’ai un équivalent 60mm, ouverture f1.4) notamment pour les portraits (un objectif fixe de qualité, je pense que c’est plus important que le zoom – en vacances le zoom est pratique pour l’aspect « documentaire » , mais pour les images qui font « whoah ! », c’est le fixe qui va les faire). Sur le nouveau système, j’ai un petit objectif fixe équivalent 50mm qui ouvre à f1.7, pas cher du tout, et extrêmement léger, mais je suis pas très convaincu par les photos que j’obtiens : comme je te dis plus haut, les objectifs, malheureusement, le prix que tu mets dedans se voit, il faut vraiment prévoir de mettre les sous là-dedans.

      Après, là aussi ça dépend de tes vacances. Si tu fais de la randonnées et des photos de paysage, tu peux choisir un zoom du genre 16-50mm. Si tu fais de la photo d’animaux, tu emmènes un zoom beaucoup plus long.

      Et aussi, ça dépend de ce que tu es prêt à casser/te faire voler. J’apprécie d’avoir du matériel acheté d’occase, ou qui a déjà servit 15 ans, très bonne qualité et solide, mais qui aujourd’hui ne vaut pas si cher. Si je casse quelque chose c’est pas un drame, et j’ai moins de chances de me faire dévaliser qu’avec un appareil qui coûte 3 Smics (si tu te promènes le soir sur les Ramblas de Barcelone avec un Canon haut de gamme, bon ben le lendemain tu te promèneras au parc Güell sans appareil photo).

      – c’est les progrès au niveau des objectifs dont tu parles ? Ils ont plus petit, plus précis, autre ?

      Non, pour le coup ce sont les progrès des capteurs. Mon précédent appareil datait de 2009, c’était une belle bête, mais le capteur du nouveau (sorti donc en 2016), pourtant du même format, pfiou. Les photos « normales », pas de souci c’était déjà très bien. Mais maintenant je peux faire ressortir les zones sombres, retraiter les fichiers RAW, avec beaucoup plus de latitude qu’avant.

      – c’est quoi du mirrorless en fullframe ?

      Les appareils photo, traditionnellement, te permettaient de visualiser la scène que tu photographie directement au travers de l’objectif. Pour cela, tu avais un miroir basculant entre l’objectif et la pellicule, qui te permettait d’envoyer l’image plus haut, au niveau de ton viseur. Et quand tu prends ta photo, le capteur bascule, pour laisser passer la lumière vers le capteur qui est derrière lui (et c’est noir dans ton viseur pendant cette fraction de seconde). C’est ce qu’on appelle un appareil reflex. Quand on est passé au numérique, on a conservé exactement le même système, simplement on a remplacé la pellicule par un capteur. Toujours avec ce miroir. (Ce qu’on appelle DSLR.)

      Depuis les années 2010, les fabricants ont développé des systèmes où l’image qui sort de l’objectif arrive directement sur le capteur, donc sans miroir (mirrorless). Donc tu n’as plus de viseur optique, puisque l’image n’est plus redirigée ailleurs que sur le capteur. À la place, le capteur est toujours actif, et c’est donc l’image numérique captée en permanence par le capteur qui est affichée dans un tout petit écran dans ton viseur. On parle alors de viseur électronique (electronic viewfinder). Inconvénient : il y a des gens qui n’aiment pas, l’image est généralement moins définie, les vieux modèles pouvaient avoir un peu de délai, etc. Avantage : c’est une image informatique, donc sur laquelle on peut surajouter en direct tout plein d’informations (dans mon viseur, j’ai un histogramme, j’ai les zones trop claires ou trop sombres qui clignotent pour l’avertir… Ça te permet aussi de voir les photos déjà prises dans le viseur, et pas seulement sur l’écran au dos de l’appareil, ce qui est pratique quand tu es dehors avec beaucoup de lumière. Comme il n’y a pas de miroir pivotant, on peut rapprocher la sortie de l’obectif du capteur, et on gagne alors en taille. Et on profite de différents progrès liés à l’absence de miroir pivotant (très grande vitesse d’enchaînement des photos, absence de bruit, absence de vibrations dues au clic…).

      Quand au fullframe, c’est la dimension du capteur qui correspond au format de la pellicule 35mm. C’est un peu le format « royal » des professionnels, le grand capteur de meilleure qualité… (Il y a un format plus grand, le moyen-format, qui existe aussi en numérique, mais c’est nettement plus cher à tous les étages).

      Traditionnellement, en numérique, pour économiser le prix des capteurs, les marques comme Canon et Nikon ont en plus de leurs reflex numériques plein format, vendu des appareils avec des capteurs plus petits, dont la principale est le format APS-C.

      Ça permet d’avoir des appareils plus petits, des objectifs plus petits et moins lourds, le tout généralement moins cher que le plein format.

      De mon côté, avec Olympus, je suis sur un format encore plus petit, le 4/3, ce qui permet des dimensions encore plus petites (pour les prix, non, ça n’est pas vraiment moins cher que l’APS-C, notamment parce que c’est moins répandu – mais on est largement moins cher que le fullframe). Du coup, puisqu’une priorité de ce format c’était déjà de réduire les dimensions, Olympus et Panasonic ont été les pionniers pour lancer des appareils mirrorless, qui permettent de gagner encore en taille. Ils te sortent des appareils qui ont des dimensions de compact (ces petits appareils photo simples et de petite taille qui ont plus ou moins disparu au profit des smartphones), mais avec la qualité d’image d’un appareil « sérieux ».

      Par contre, évidemment, capteur deux fois plus petit que le fullframe, ça a des avantages mais aussi des inconvénients sur la qualité des images (je ne peux pas prendre des photos dans des situations aussi sombres, j’ai une profondeur de champ plus grande…).

      Bref, du « mirrorless en fullframe », c’est une gamme nettement plus récente d’appareils, située en haut de gamme, avec un grand capteur (fullframe) et pas de miroir (mirrorless). Ce sont de superbes machines, mais ça coûte un bras (le Canon R6 coûte 2500 euros sans objectif - c’est deux fois plus cher que le haut de gamme Olympus, qui est du mirrorless avec capteur deux fois plus petit). Et comme c’est récent, les modèles les plus anciens sont très récents (2018), donc encore très chers en occasion (le premier Canon R est à 1400 euros d’occase, là où des mirrorless 4/3 de bonne facture commencent à moins de 300 euros).

      Après, je ne donne pas de conseils d’achat, j’ai une tendance à toujours choisir le système minoritaire qui va finir par se casser la gueule (pour te dire le genre : j’ai acheté une Dreamcast quand tout le monde avait une Playstation 2).

      M’enfin là où je veux en venir depuis le début, c’est que je vois souvent des gens avec un reflex Canon d’entrée de gamme, qui serait capable de faire de très très belles images, mais qui sont restés avec l’objectif livré en kit avec l’appareil, qui ne permet pas du tout de profiter de la qualité des capteurs d’aujourd’hui. Alors qu’en mettant un peu de sous dans l’objectif (je sais pas trop, mais en Canon je suppose qu’on trouve un très bon 50mm bien lumineux pour pas bien cher), ils feraient vraiment des photos qui épateraient leur famille.

      – Pourquoi l’écran te permet d’être en contact avec les gens (ce qui me semble pas mal comme truc)

      C’est un peu comme quand tu fais un portrait avec ton smartphone : tu n’as pas l’oeil collé à un viseur et le visage cachée derrière l’appareil, tu n’es pas en train de bouger dans tous les sens pour trouver le bon angle ou soigner l’arrière-plan : tu tiens juste l’appareil à bout de bras, et pendant ce temps tu peux continuer à parler et sourire aux gens, les gens voient tes yeux, c’est pas impressionnant pour la personne que tu photographies… Je trouve notamment qu’avec les enfants c’est beaucoup plus agréable.

  • Rechtsschutz von Schriftzeichen
    https://de.wikipedia.org/wiki/Rechtsschutz_von_Schriftzeichen#Handschriftliche_Schriftarten_und_Gest

    La France et l’Allemagne partagent le même droit concernant protection des polices d’écriture. Pour résumer - on peut protéger une police d’écriture pendant 25 ans à partir de sa première publication. Après c’est uniquement son nom qui peut être considéré comme une marque ce qui n’empêche pas l’utilisation libre de la police ou la publication d’une copie sous une autre appellation.

    Mit dem Gesetz zum Wiener Abkommen vom 12. Juni 1973 über den Schutz typographischer Schriftzeichen und ihre internationale Hinterlegung (Schriftzeichengesetz) vom 6. Juli 1981 (BGBl.II S. 382) setzte die Bundesrepublik Deusontschland dieses einschließlich der Ausführungsordnung um. Darin ist geregelt, dass die Schutzdauer zunächst 10 Jahre beträgt und auf maximal 25 Jahre verlängert werden kann.

    Das durch massive Lobbytätigkeit der Association Typographique Internationale (ATypI) zustande gekommene Wiener Abkommen trägt den englischen Titel Vienna Agreement for the Protection of Type Faces and their International Deposit.[4] Zu den 10 Erstunterzeichner-Staaten zählte nicht das Gastgeberland Österreich, wohl aber die Schweiz. Liechtenstein kam etwas später dazu. Das Abkommen ist bislang nicht in Kraft getreten, da lediglich zwei Staaten (Deutschland und Frankreich) es ratifiziert haben.


    https://en.wikipedia.org/wiki/Berthold_Blo
    Charlie Hebdo utilise une police plus ou moins identique à Berthold Block qui date de 1908 et n’est pas protégée à cause de son age.

    Les polices produites par la H. Berthold AG devraient tous se trouver dans le domaine public mais la situation est plus compliquée.
    https://de.wikipedia.org/wiki/H._Berthold_AG

    Das Unternehmen H. Berthold AG wurde 1858 von Hermann Berthold als „Institut für Galvanotypie“ gegründet und 1896 in eine Aktiengesellschaft umgewandelt. Zu Beginn stellte das Unternehmen Messinglinien her und führte galvanoplastische Arbeiten für den Buchdruck durch. Später kam die Schriftgießerei hinzu und das Unternehmen wurde in den 1920er Jahren zur weltweit größten Schriftgießerei. Später produzierte die H. Berthold AG Geräte für den Fotosatz, ein Kernbestandteil des Unternehmens blieb jedoch stets die Schriftenproduktion.
    ...
    Die H. Berthold AG war hauptsächlich als Anbieter von Schriften bekannt. Zur Zeit des Fotosatzes war sie jedoch eigentlich mehr eine Maschinenfabrik; der Hauptanteil des Umsatzes wurde mit dem Verkauf von Fotosetzmaschinen erzielt.

    Ein Rückgang der Nachfrage nach diesen Produkten brachte die Firma gegen Ende des 20. Jahrhunderts in finanzielle Engpässe. Schließlich musste die H. Berthold AG 1993 aufgrund Überschuldung Konkurs anmelden und wurde mit Beschluss des Berliner Konkursgerichtes liquidiert.

    Aus diesem Grund gab es keinen Rechtsnachfolger des Unternehmens, was dazu führte, dass verschiedenste Unternehmen diesen Status für sich beanspruchten und die lizenzierten Schriften der Berthold AG vertrieben. Vor allem über das Auktionshaus Ebay wurden die Schriften zu Schleuderpreisen angeboten.
    ...
    Ausgewählte Schriften der Berthold AG

    Für die H. Berthold AG waren viele auch später bekannte Schriftgestalter tätig. Unter anderem fertigten Louis Oppenheim, Günter Gerhard Lange, Bernd Möllenstädt, Georg Salden und Erik Spiekermann Schriften für die Firma.

    Akzidenz-Grotesk
    Arena
    Baskerville
    Berliner Grotesk
    Block
    Bodoni
    Boulevard
    Catull (Schriftart des früheren Google-Logos)
    Champion
    City
    Concorde
    Daphne
    Derby
    Formata
    Frank-Rühl-Hebräisch
    Imago
    LoType
    Solemnis
    Transit
    Walbaum

    Mehringhof
    https://de.wikipedia.org/wiki/Mehringhof

    H. Berthold Messinglinienfabrik und Schriftgießerei am Mehringdamm 43 war von 1868 bis 1978 Produktionsstandort, jetzt Mehringhof genannt.

    Ende der 1970er Jahre entstand die Idee, ein alternatives Zentrum aufzubauen. Die Schule für Erwachsenenbildung (SFE) brauchte dringend größere Räume. Menschen aus ähnlich strukturierten Projekten taten sich mit den Schülern und Lehrern zusammen und kauften 1979 für knapp zwei Millionen Mark das Fabrikgrundstück der Schriftgießerei Berthold auf dem Hinterhof der Gneisenaustraße 2. Das Projekt wurde als GmbH organisiert.
    Zur Gründungsgeschichte

    Ein interner Konflikt während einer Versammlung der Organisation Netzwerk Selbsthilfe um die Gründung eines eigenen Sanierungsträgers zur Legalisierung besetzter Häuser in Berlin im Frühjahr 1982, der protokolliert wurde, gibt neben Informationen zu Netzwerk selbst auch Hinweise zur Gründung des Mehringhofes.

    Als zwei Diskutanten im „Streitgespräch“, das seinerzeit auch in der Taz veröffentlicht wurde, werden genannt: Gerd Behrens war „einer der Mitarbeiter der Mehringhof-Steuerberatungsgesellschaft, die unentgeltlich Projekte steuerlich berät. Mitbegründer der Taz und des Mehringhofes.“ [...] Klaus Werner war „Initiator des Mehringhofgedankens.“

    In Bezug auf das Frühjahr 1982: „Der Mehringhof wurde von verschiedensten Initiativen und Gruppen […] vor etwa 2 Jahren gekauft.“.

    SchrZAbkG - Gesetz zum Wiener Abkommen vom 12. Juni 1973 über den Schutz typographischer Schriftzeichen und ihre internationale Hinterlegung
    https://www.gesetze-im-internet.de/schrzabkg/BJNR203820981.html

    Berthold Block in use - Fonts In Use
    https://fontsinuse.com/typefaces/7572/berthold-block

    Released in 6 styles; Reklameschrift Block (bold, 1908), halbfett (regular, 1913), mager (light, 1913, credited to L. Oppenheim, also cast by Ardinghi), schmal (condensed, 1920), schwer (heavy, 1920), Kursiv (italic, 1927), eng (compressed, before 1930). [Reichardt] The inclusion of various width alternates and ligatures helped to justify a block of text, hence the name. [H. Hoffmann: Das Haus Berthold 1858–1921] At least 4 weights were also made in Cyrillic versions (1921–26). [Seemann] Also available in steel, and, in bigger sizes, in wood.

    Hochblock (“High Block”, 1926) is a variant with enlongated caps and ascenders. Graublock (“Grey Block”, 1929) is a hatched version. Berthold used the established name also for other unrelated styles, like Block-Fraktur and Block-Signal. Berliner Grotesk (1913) is a related lighter weight, and was advertised together with Block. Halbfette Block is essentially a bold companion to Berliner Grotesk (see e.g. the ‘g’), and is sometimes listed as such. The mager was available with “Schlagerbuchstaben” with filled in counters for ‘a’ and ‘o’.

    Block(schrift) aka Werbeblock by Brendler is a similar but unrelated series. So is Hermes-Grotesk by Woellmer (later Schriftguss).

    Digital versions include Berthold’s (8 styles, lacking the mager, but adding 1 weight and 2 italic/oblique styles, derived from the film version), URW’s (1994, aka Rund No1, 5 styles, discontinued), Gothic 821 (Bitstream, Condensed only), Bloc (Tagir Safayev for ParaType, 1997, 3 weights with Cyrillics), Informal Black (Keystrokes/Monotype, Heavy in 2 widths only). None of them have the extras of the original. Halbfette Block was revived by Erik Spiekermann as Berliner Grotesk Medium (Berthold, 1979). Bannertype (Wiescher, 2013) is a weathered version of the Condensed. Amsi (Stawix, 2015) is based on the Condensed and expands the design into 3 widths and 49 styles.

    Je Suis Charlie - Fonts In Use
    https://fontsinuse.com/uses/8393/je-suis-charlie

    Download Block Berthold font family
    https://www.azfonts.net/families/block-berthold.html

    Block Berthold font family contains 6 fonts

    Block Berthold BE Condensed
    https://www.azfonts.net/load_font/block-berthold-condensed.html
    Block Berthold BE ExtraCondensed
    https://www.azfonts.net/download/block-berthold-extra-condensed.html
    Block Berthold BE ExtraCondensed Italic
    https://www.azfonts.net/download/block-berthold-extra-condensed-italic.html
    Block Berthold BE Heavy
    https://www.azfonts.net/download/block-berthold-heavy.html
    Block Berthold BE Italic
    https://www.azfonts.net/download/block-berthold-italic.html
    Block Berthold BE Regular
    https://www.azfonts.net/download/block-berthold-regular.html

    #typographie #droit_d_auteur #France #Allemagne #Berlin

  • #Lazar_Drljača, il Van Gogh del lago Boračko

    Lazar Drljača fu uno travagante pittore bosniaco, diffidente nei confronti dei ricchi e potenti, vissuto a cavallo delle due guerre mondiali. La sua storia.

    Non c’è un solo libro né dépliant turistico dedicato alla città di Konjic e i suoi dintorni in cui non venga menzionata la leggenda del Boračko jezero (lago Boračko). Secondo il mito, nell’area oggi occupata dal più grande lago naturale della Bosnia Erzegovina, in passato sorgeva una piccola e prosperosa città. Con il passare del tempo, gli abitanti della città divennero miscredenti, disumani e arroganti (c’è bisogno di aggiungere che la ricchezza ha sempre arrecato danni, fin dai tempi di Adamo?). Un giorno un santo, travestito da semplice viaggiatore, si recò nella città cercando riparo, ma nessuno degli abitanti gli offrì qualcosa da mangiare né un posto dove dormire. L’unica ad accoglierlo in casa fu una povera ragazza. La mattina del giorno successivo, prima ancora che sorgesse il sole, il santo disse alla ragazza di caricare i pochi beni che possedeva su un cavallo e di andarsene perché la città sarebbe stata presto punita. Le ordinò di fermarsi là dove il cavallo avrebbe battuto lo zoccolo a terra tre volte e di rimanere a vivere in quel posto, assicurandole che sarebbe stata felice. La ragazza fece come le ordinò il santo. Quando si voltò indietro vide che al posto della città c’era un lago. La città fu sommersa insieme ai suoi abitanti. Fu così che nacque il lago Boračko. La ragazza rimase a vivere in quel luogo dove si era fermato il cavallo, dove poi sorse la città di Konjic [il nome della città deriva dal termine serbo-croato “konj“ che significa appunto cavallo, ndt].

    Oltre alla leggenda del lago Boračko, in tutti i libri su Konjic vengono menzionati anche due artisti: lo scrittore di viaggi e caricaturista Zuko Džumhur (1921-1989), nato a Konjic, e il pittore Lazar Drljača (1882-1970), che ha vissuto nell’area di Konjic dai primi anni Trenta fino alla fine dei suoi giorni.
    Drljača, vita e opere

    La vita di Lazar Drljača? Entriamo subito in medias res: la sua vita non trova paragoni nel ricco mosaico delle biografie di pittori slavi meridionali, in cui trovano posto sia figli di nobili che vagabondi, sia rinomati professori che bohémien, sia cittadini modello che artisti poveri, sia snob che morti per suicidio... A prescindere dal loro carattere, nessuno di questi pittori ha mai odiato la civiltà del XX secolo così tanto come Lazar Drljača.

    E le sua opera? Per ora ci limitiamo a dire che nessun pittore jugoslavo ha visto bruciare o scomparire così tante delle sue opere come Drljača.

    Dopo il grande successo riscosso a Roma, dove all’Esposizione universale del 1911 espose ben quattro dipinti, Drljača tenne le sue prime mostre personali a Sarajevo, Mostar e Bosanska Krupa. Descrisse così la sua vita: “Sono nato lungo il fiume Una vicino al monte Brezovača, ricco di selce e piombo. Sono cresciuto a Sarajevo, dove ho iniziato a dipingere. Ho proseguito gli studi in Europa, a Vienna, Parigi, per circa 16 anni. Ho combattuto nelle fila degli Alleati contro le forze dell’Asse. Appena tornato dalla calda Italia nel mio villaggio natio sull’Una mi sono sposato. La mia signora si chiama Miseria. Nella mia terra natia ricca di selce e piombo ho maturato una propensione per l’architettura e ho lavorato come muratore. Tagliavo e cuocevo mattoni. Ho costruito una barca, remavo e scavavo minerali. Sono un fabbro e sono capace di tagliare l’erba e arare la terra. Ho costruito ferrovie e una chiesetta. Durante la guerra mondiale mi hanno portato via i miei colori; ho sopportato lunghi periodi di detenzione in Italia. La miseria, la mia fedele compagna, mi ha consolato, come spesso consola poeti e pittori. Un anno fa ho tenuto una mostra nella mia natia Krupa, senza grandi pretese, cercando di evocare, attraverso i colori, la bellezza delle nostre montagne e dei loro fiumi“.

    E questo non è tutto. Il pittore Drljača, marito della signora Miseria, un architetto mancato, rimase fino alla fine dei suoi giorni in quella parte dell’Erzegovina dominata dalla montagna Prenj. Sarebbe troppo facile dire che Drljača era tanto strano quanto lo è il Prenj. Il clima della montagna Prenj è capriccioso, il sole viene improvvisamente oscurato dalle nuvole, i tuoni squarciano il silenzio della montagna come se fosse un foglio di carta. Povero il viaggiatore che, vestito come se stesse andando a fare un picnic in un parco, decidesse, abbagliato da un cielo senza nuvole, di salire sulle cime della montagna Prenj, superiori ai 2000 metri di altezza, da cui si gode una vista sulle montagne Visočica, Bjelašnica, Bitovnja, Čvrsnica, Velež e Crvanj.

    Le stranezze di Drljača? Come e perché finì per nutrire disprezzo nei confronti della civiltà moderna, le sue città e ricchezze materiali? Grazie alle testimonianze dei suoi contemporanei, piene di aneddoti, sappiamo che fino al 1960 Drljača viveva in capannie sparsi per la montagna. Ormai vecchio e debole, si lasciò finalmente convincere da alcuni amici e rappresentanti dell’amministrazione locale ad accettare aiuto e a trasferirsi a villa Šantić, nei pressi del lago Boračko. Aveva solo un coltello, un cucchiaio e alcune lattine, che usava per cuocere un uovo o qualche patata – il suo unico pasto giornaliero – che non voleva prendere da chiunque, ma soltanto dai contadini di cui si fidava. Nei prati di montagna raccoglieva erbe e piante aromatiche. Pescava nella Šištica, un piccolo fiume che esce dal lago Boračko e si trasforma “in modo spettacolare“ – come si legge nei dépliant turistici – in una cascata che si unisce alle acque del fiume Neretva nei pressi di Konjic. Si cuciva da solo i vestiti, e anche gli opanci [calzature tradizionali]. Non dipingeva ogni giorno, ma solo quando ne aveva voglia. Tuttavia, guardando i suoi quadri, è difficile sottrarsi all’impressione che Drljača contemplasse continuamente le sue opere, accumulandole e intrecciandole dentro di sé in un modo noto solo a lui.

    Durante la Seconda guerra mondiale Drljača subì un grande trauma: il suo capanno, piena di quadri, fu data alle fiamme dai cetnici. Subito dopo la guerra venne distrutta dalle fiamme anche la sua “nuova“ casa di montagna, altro misero capanno, e con esso i suoi quadri. Dicono che dopo questo episodio Drljača smise di dipingere per un lungo periodo di tempo, e finché aveva forza si guadagnava da vivere tagliando il fieno e legna da ardere. E quando tutti divennero compagni, lui rimase signor Lazar, perché non amava nessun potere e odiava tutti quelli usavano il potere a proprio vantaggio.

    Quando giunge alla fine della meravigliosa biografia di Lazar Drljača, scritta dal giornalista Šefko Hodžić, intitolata “Zatočenik ljepote” [Prigioniero della bellezza] – la cui copertina riporta un ritratto fotografico del pittore con la pipa in bocca – il lettore si rende conto di quanto sia difficile comprendere le stranezze dell’artista e il suo costante desiderio di isolarsi dalla società. Quali traumi aveva subito nelle grandi metropoli del mondo? Che cosa aveva sperimentato durante la Grande guerra, che fu costretto a combattere? E durante la Seconda guerra mondiale, in cui fu testimone della miseria e dell’assurdità del conflitto interetnico? C’entrava forse una donna con la sua decisione di isolarsi dal mondo? Della sua vita emotiva non si sa nulla, a parte il fatto che, ormai giunto alla vecchiaia, si innamorava delle giovani insegnanti del villaggio.

    Preferisco non indovinare le vere motivazione alla base delle decisioni più importanti della vita di un uomo e artista che fu servo e allo stesso tempo re di se stesso. Non riconosceva nessun altro re, ma stimava una regina, Jelena Petrović Njegoš, moglie di Vittorio Emanuele III, che apprezzava la sua arte. Quando il re Aleksandar Karađorđević, recatosi in visita a Konjic, inviò un emissario per chiedere a Drljača di venire in città per eseguire un ritratto del re, l’artista gli rispose che non poteva venire subito, ma che sarebbe venuto tra due-tre ore. Quali impegni Drljača dovesse sbrigare proprio in quel momento, sa il Signore, ma quel che è certo è che non dipinse mai alcun ritratto del re Aleksandar. Era sempre diffidente nei confronti dei ricchi e potenti, anche dopo la Seconda guerra mondiale. Non risparmiava critiche nemmeno ai contadini, tra i quali aveva trascorso metà della sua vita. Se dovesse resuscitare oggi, cosa direbbe Lazar, il peccatore, di fronte al riaffiorare del fenomeno che lui stesso, all’epoca della Jugoslavia socialista, aveva definito grabinizam [termine deriva dal verbo serbo-croato “grabiti” che significa arraffare, prendere con violenza]? Cosa direbbe se dovesse sentire il rumore dei camion che trasportano, sfuggendo a ogni controllo, il legname tagliato illegalmente nei boschi della montagna Prenj? E come reagirebbe se dovesse venire a conoscenza del problema dei cavalli selvaggi di quelle zone, che sopravvivono solo grazie all’impegno di alcune buone persone provenienti da altre parti d’Europa?

    Prima di morire Lazar Drljača aveva espresso il desiderio che venisse sepolto su una delle cime del Prenj, la cima di Osobac, ovvero che il suo cadavere venisse portato sulla cima e lasciato in pasto agli uccelli. Il suo desiderio non è stato esaudito. La sua tomba si trova nei pressi di villa Šantić sul lago Boračko. Recentemente un gruppo di giovani sarajevesi ha sostituito il tronco di legno con inciso il nome di Lazar Drljača, che segnava la sua sepoltura, con uno stećak [pietra tombale bogomila]. Sì, proprio uno stećak, non è un errore di battitura. Lazar Drljača sosteneva di essere l’ultimo dei bogomili. Tuttavia, con questo stećak, collocato nei pressi di una villa quasi completamente distrutta durante l’ultima guerra in Bosnia – una villa che è un muto, ma vivo testimone della nostra follia fratricida e dell’assurdità delle divisioni post-belliche – , non si chiude la storia della vita e dell’opera di Lazar Drljača.

    Sarajevo, il 2012

    Nel 2012, in occasione dei 130 anni dalla nascita di Lazar Drljača, e a distanza di 50 anni dall’ultima mostra dell’artista organizzata a Mostar, nel Museo della Letteratura e dell’Arte Drammatica di Sarajevo è stata inaugurata una retrospettiva delle sue opere, che è stata anche l’occasione per festeggiare i 110 anni di attività dell’associazione culturale serba “Prosvjeta”. Nella mostra sono state esposte 62 opere di Drljača, poche, ma sufficienti per presentare un artista che si ispirò agli ideali dell’espressionismo e fauvismo, cercando di far coesistere le esperienze delle avanguardie artistiche europee del primo Novecento con il proprio modo di percepire la natura, le persone e le città. Un mio amico di Sarajevo mi ha detto che la summenzionata mostra di Lazar Drljača ha destato così tanto interesse che anche il cortile del museo era troppo piccolo per accogliere tutti i visitatori. Mi ha anche inviato un articolo di un giornale, in cui un giovane giornalista sarajevese ha scritto che l’arte, al pari dell’amore, è l’ultimo bastione di difesa del buon senso.
    Post scriptum

    Il titolo “Il Van Gogh del Boračko jezero” sembra problematico? O ancora peggio, suona troppo patriottico? Ho cercato di esagerare l’importanza dell’artista bosniaco? Van Gogh in vita non vendette nessun quadro, Drljača invece sì; Vincent raggiunse la fama mondiale dopo la morte, mentre Lazar è noto solo nell’area ex-jugoslava; il famoso olandese dipingeva ogni giorno, il pittore bosniaco solo quando ne aveva voglia…

    Quindi?

    Non ho trovato un titolo migliore, e comunque non esistono titoli perfetti! Ma mi sembra che la mia scelta possa essere giustificata dal fatto che sia per Vincent che per Lazar l’arte era vita, la miseria era la loro più fedele compagna, e la natura la loro unica fonte di consolazione.

    https://www.balcanicaucaso.org/aree/Bosnia-Erzegovina/Lazar-Drljaca-il-Van-Gogh-del-lago-Boracko-195842
    #Lazar_Drljaca #art

    –---------------------

    Lazar Drljača sur wiki :


    https://fr.wikipedia.org/wiki/Lazar_Drlja%C4%8Da

    ping @reka

  • Programm - Fête de la Musique Berlin | #FETEBerlin 2019
    https://www.fetedelamusique.de/programm


    L’équipe responsable pour le programme de la fête de la musique berlinoise ne publie le programme qu’en allemand et anglais. Désolé.

    666 Veranstaltungen

    https://www.youtube.com/watch?v=fyjGIOZMfXM

    Wo man singt da laß dich ruhig nieder, böse Menschen kennen keine Lieder.

    En 2019 les organisateurs optent pour les langues des impérialistes les plus sanglants du 20ème siècle et utilisent the number of the beast pour définier le cadre de leur action . L’année prochaîne ils augmenteront sans doute la cadence et proposeront 888 Veranstaltungen .

    C’est un problème quand les pros de la culture aussi ignorent les codes culturels. Il était tellement simple d’éviter ces gaffes incroyables : En acceptant la candidature du bar Der Kleine Muck le nombre d’événements aurait atteint 667 et la version francaise du site d’information était sans doute faisable si on avait demandé au service culturel de l’ambassage de France.

    Adresse und Öffnungszeiten | Kleiner Muck
    https://kleinermucksteglitz.wordpress.com/2016/09/21/adresse

    Sie finden uns in der Schützenstr. 15 in 12165 Berlin-Steglitz.
    Das ist ca. 400 Meter vom U+S Bahnhof Rathaus Steglitz entfernt.
    Die Schützenstrasse ist eine ruhige Seitenstrasse, die von der Albrechtstrasse abzweigt.
    Der Kleine Muck hat von Montag bis Freitag ab 15 Uhr geöffnet. Geschlossen wird, wenn der letzte Gast geht…
    Am Wochenende und an Feiertagen ist ab 12 Uhr geöffnet.

    Der Kleine Muck (sur Facebook) : http://lili.de/u/pl8jx
    https://de.wikipedia.org/wiki/Die_Geschichte_von_dem_kleinen_Muck

    https://en.wikipedia.org/wiki/Number_of_the_Beast

    #Berlin #événement #musique

  • Sputa tre volte

    Guido, Moreno detto “Grisù”, Katango e gli altri… un gruppo di ragazzi cresciuti insieme in una periferia che è quasi campagna. Frequentano con scarso profitto l’istituto tecnico industriale. Ma soprattutto le loro giornate sono fatte di bar e biliardo, scorribande in auto, notti a fumare in riva al fiume. Vicino, in un casolare diroccato, vive una famiglia di nomadi slavi. “Gli zingari, tutti ladri e senza Dio”, come dice con disprezzo la gente. Tra loro Loretta, ragazza selvatica che a loro sembra una bambina vecchia o una strega…


    http://www.fandangoeditore.it/shop/coconino-cult/sputa-tre-volte
    #Roms #Italie #WWII #deuxième_guerre_mondiale #camps_d'extermination #seconde_guerre_mondiale #BD #livre #bande_dessinée

    On y parle notamment du camp de #Arbe, en Italie (il est évoqué autour de la page 260) :
    Campo di concentramento di Arbe

    Il campo di concentramento di Arbe fu creato dal comando della Seconda Armata italiana nel luglio del 1942 ad Arbe nel Carnaro ed ospitò complessivamente tra i 10.000 e 15.000 internati tra sloveni, croati ed ebrei diventando il più esteso e popolato campo di concentramento italiano per slavi[1][2] raggiungendo i 21.000 internati nel dicembre 1942[3]. Il campo si caratterizzò per la durezza del trattamento riservato agli internati di etnia slava[1], dei quali un gran numero perì di stenti e malattie. Per converso, oltre 3.500 ebrei fuggiti dagli ustascia croati e ivi internati dal Regio Esercito italiano evitarono grazie a questo la deportazione.[4][5][6].

    https://it.wikipedia.org/wiki/Campo_di_concentramento_di_Arbe