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  • Project Jupyter
    https://jupyter.org

    JupyterLab is the latest web-based interactive development environment for notebooks, code, and data. Its flexible interface allows users to configure and arrange workflows in data science, scientific computing, computational journalism, and machine learning. A modular design invites extensions to expand and enrich functionality.

  • Commémorations musicales du massacre du 17 octobre 1961.

    https://lhistgeobox.blogspot.com/2024/02/commemorations-musicales-du-massacre-du.html

    "Le black out sur les événements de la nuit est total. Une version officielle s’installe : les Algériens ont été contraints par le FLN à manifester. Certains ont tiré des coups de feu et la police a été obligée de riposter. Mensonges ! Un communiqué de presse diffusé au cours de la nuit reconnaît trois morts. Mensonge encore. Ce sont en réalité des dizaines de victimes qui sont à déplorer.

    C’est d’abord l’incertitude qui plane autour des événements. La censure exerce un contrôle puissant sur la presse, même si les premiers témoignages surgissent (des médecins en poste dans les hôpitaux de la capitale, le 17 au soir, mais aussi des policiers). Au fil des jours, c’est la Seine qui témoigne, on y retrouve des corps d’Algériens pieds et poings liés. Les actions en justice tournent court, en raison notamment des lois d’amnistie adoptées lors des accords d’Evian. De la sorte, l’événement est invisibilisé, et ne survit qu’à l’état de rumeur.

    Moins d’un an après les faits, Kateb Yacine écrit un poème intitulé « Dans la gueule du loup ». En 18 vers libres adressés au peuple français, l’auteur rappelle qu’en dépit des efforts des autorités françaises pour invisibiliser l’événément, il a été "vu" (et même photographié par Elie Kagan). On ne peut l’occulter. Le titre du poème résonne aussi comme un reproche adressé aux responsables de la fédération de France du FLN et aux organisateurs qui auraient jeté les manifestants dans la gueule du loup. En 1998, les Têtes Raides donnent aux mots forts du poète l’écrin musical qu’ils méritaient. [« Peuple français tu as tout vu / Oui tout vu de tes propres yeux / Tu as vu notre sang couler / Tu as vu la police assommer les manifestants / Et les jeter dans la Seine / La Seine rougissante n’a pas cessé / Les jours suivants / De vomir / De vomir à la face du peuple de la commune / Les corps martyrisés / Qui rappelaient aux parisiens / Leur propre révolution / Leur propre résistance / Peuple français tu as tout vu / Oui tout vu de tes propres yeux / Et maintenant vas-tu parler / Et maintenant vas-tu te taire » ]"

  • Quand Ramy Essam, et les manifestants de la place Tahrir, réclamaient le départ du dictateur Moubarak.

    "Le 11 février 2011, après 18 jours de mobilisation sans précédent, Moubarak est renversé, l’armée assurant la transition. Ramy remonte sur la scène pour célébrer la victoire du mouvement, adaptant pour l’occasion ses paroles, devenues obsolètes. Le chanteur appelle désormais de ses vœux un gouvernement civil, en lieu et place du pouvoir militaire. Plus que jamais, l’artiste se confond avec le reste des manifestants, dont il retranscrit les revendications en musique. Armé de ses mots et de sa seule guitare, il s’impose comme un des acteurs clefs de la révolution en marche. Avec le titre « Riez bien, c’est la révolution » (اضحكوا يا ثورة), il se moque de la propogande de Moubarak selon lequel les manifestants seraient des agents de l’étranger, responsables du marasme économique et payés en hamburgers. « On vous dit que nous mangeons des menus KFC ? Riez ! C’est la révolution ! »

    Essam interprète également لجحش قال للحمار, un poème écrit en 2008 par Ahmad Fouad Negm. « L’âne et le poulain » se réfère à Moubarak et à son fils Gamal, un temps pressenti pour succéder à son dictateur de papa. « Mon poulain, arrête d’être naïf, ne vis pas comme un prétentieux / Nos passagers [les Égyptiens] ne sont pas stupides et leurs os ne sont pas cassés / Demain, ils vont se réveiller, et ils vont faire trembler le chariot / Et tu vas trouver enfoncés dans tes fesses quatre-vingts khazouk ». Le khazouk est une sorte de bâton utilisé lors d’une torture et le chiffre quatre-vingts correspond aux 80 millions d’Egyptiens d’alors."

    https://lhistgeobox.blogspot.com/2024/01/quand-ramy-essam-et-les-manifestants-de.html

  • Rosa-Luxemburg-Kongress in Berlin : Buhrufe für Abgeordnete vom Bündnis Sahra Wagenknecht
    https://www.berliner-zeitung.de/politik-gesellschaft/rosa-luxemburg-kongress-abgeordnete-vom-buendnis-sahra-wagenknecht-

    Voilà le reportage le moins polémique qu’un journaliste petit bourgeois peut écrire sur le congrès Rosa Luxemburg annuel. Il ne remarque que les personnages et positions qu’il connaît déjà. Si on partage son opinion on devrait s’abstenir de tout engagement politique à gauche car il présente le congrès comme une rencontre de has been et perdants. Une publication qui tente l"analyse des relations internationales sur base de la théorie de l’impérialisme de Lénine n’est que de l’anti-américanisme.

    Le Berliner Zeitung publie cet article pour montrer à ses lecteurs de gauche que leur causes et convictions sont aujourd’hui dépassées et ne comptent plus.

    14.1.2024 von Thomas Fasbender - Hardcore-Momente prorussischer und propalästinensischer Sympathie. Antikolonialismus dominiert die linke Weltsicht. Renaissance des Klassenkampfs.

    Für die haltungskorrekten Medien war er eine Provokation, ein Skandal: der 29. Rosa-Luxemburg-Kongress, der am Samstag im Tempodrom, dem steinernen Veranstaltungszelt der deutschen Hauptstadt, abgehalten wurde.

    Geradezu entgeistert reiht die Kollegin vom Tagesspiegel Zitat an Zitat, von Teilnehmern und Vortragenden, zu Themen wie Gaza und Hamas, Ukraine, Israel und DDR. Der zionistische Staat Israel gehöre aufgelöst, am 7. Oktober seien keine Babys enthauptet worden, die Grenztruppen hätten zuerst auf die Beine geschossen. Was auf der Konferenz zur Sprache kam, hatte mit den Narrativen der staatsnahen Öffentlichkeit nichts mehr zu tun. Das war nicht deutsche Staatsraison, das waren auch nicht die glatten Formeln à la „aus der Geschichte gelernt“, „kein Platz für“ und „nie wieder“.

    Die Konferenz bot Hardcore-Momente prorussischer und propalästinensischer Sympathie. Dass der britische Parlamentsabgeordnete und ehemalige Labour-Führer Jeremy Corbyn, der per Video zugeschaltet war, kein Israel-Fan ist, ist bekannt. Dasselbe gilt für Wieland Hoban, den Vorsitzenden des Vereins Jüdische Stimme für gerechten Frieden in Nahost. Beide ließen keinen Zweifel daran, dass der israelische Krieg gegen die Hamas im Gazastreifen für sie den schieren Völkermord darstellt. Sie waren bei weitem nicht die einzigen, die das sagten, und alle erhielten Applaus.

    Ein Lehrstück in Sachen Linkssein in Deutschland heute

    Wofür die Veranstalter gesorgt hatten, war der Respekt vor strafrechtlich roten Linien. Da ertönte kein einziges „From the river to the sea“ – brav blieben die Sprechchöre bei „Viva viva Palästina“ und „Free free Palestine“. Oder auch: „Hoch die internationale Solidarität.“ Dem Staat Israel und seinen fast zehn Millionen Einwohnern gilt sie nicht.

    Doch auch wenn die 1300 Opfer des Hamas-Massakers am 7. Oktober 2023 nicht einmal mit einem Halbsatz Erwähnung fanden – unter der Kuppel des zu rund zwei Dritteln besetzten Tempodroms waberte an diesem Samstag kein Judenhass nach Bürgerbräu-Art. Vielmehr bot die Konferenz ungeachtet der Fakes und „falschen“ Meinungen – aber wahrscheinlich gerade ihretwegen – ein Lehrstück in Sachen Linkssein in Deutschland heute.

    Blauhemden mit FDJ-Symbol

    Mit zahllosen Ständen präsentierte sich eine Subkultur, die der breiten Öffentlichkeit nur noch in Gestalt der allmählich abschmierenden Partei Die Linke und ihres (noch) embryonalen Spaltprodukts BSW, Bündnis Sahra Wagenknecht, bekannt ist. Doch die Linke war im Programm gar nicht und im Foyer nur mit einem unscheinbaren Stand vertreten. Wagenknechts Bündnis hatte es mit der Bundestagsabgeordneten Żaklin Nastić (Buhrufe!) immerhin in die abschließende Podiumsdiskussion geschafft; im Foyer suchte man das BWS umsonst.

    Wer dominierte, waren die Splitter der Splitter. Oder hat die breite Leserschaft schon von der Perspektive Kommunismus gehört? In einem Seitenflügel standen vier Blauhemden um einen FDJ-Tisch, das gelbe Symbol auf dem linken Ärmel. Wann die Revolution denn wohl kommen wird? Ein Blonder, höchstens um die 20, lacht. Er werde das wohl nicht mehr erleben, aber nötig sei sie. Der Kapitalismus müsse jedenfalls weg.

    Die jungen Besucher wirkten in der Mehrheit intelligent, gut gelaunt und sympathisch. Man sah ihnen an: Sie glauben an die Möglichkeit einer besseren Welt. Es gab auch die Grimmen mit dem harten Blick und der Aura von schwarzem Block, aber die Entspannten waren in der Überzahl. Trotz der sicher 2000 Gäste kam es über viele Stunden hinweg zu keinem lauten Streit, keinem Zwischenfall.

    Dann gab es noch die Alten, teils auch ganz Alten, eine eigene Familie. Sie erschienen früh; bis zum Abend blieben die wenigsten. Man kennt sich, man grüßt sich. Links hinter dem Eingang, auf dem Tisch der Gesellschaft zur rechtlichen und humanitären Unterstützung e.V., lag Informationsmaterial bereit: „Die Bilanz der politischen Strafverfolgung in Deutschland nach 1990“ und eine 116-seitige Broschüre „Ehre den ermordeten Grenzern und verstorbenen Aktivisten“.

    Diplomaten aus Russland, China, Belarus

    Moderatorin des Tages war Gina Pietsch, in der DDR einst Mitglied des Oktober-Klubs, im neuen Deutschland antifaschistisch engagiert. Sie begrüßte die anwesenden Diplomaten: Gesandte der russischen Botschaft, der chinesischen Botschaft und der belarussischen Botschaft, außerdem die kubanische Botschafterin. Nun mag man sich wundern, warum die dezidiert antikapitalistische Pietsch sich über russischen Diplomatenbesuch freut. Während China immerhin so tut, als ob es kommunistisch sei, herrscht in Russland ein autoritärer Kapitalismus oder eine kapitalistische Diktatur, der Selbstbeschreibung zufolge eine gelenkte Demokratie – jedenfalls nichts, was auch nur entfernt an Sozialismus oder Kommunismus erinnert.

    Die Erklärung leitet über zu der Frage: Was macht linkes Denken heute aus? Die angeblich so dominante Identitätspolitik ist es nicht, nicht auf dieser Konferenz jedenfalls. Die Flaggen waren rot statt regenbogenfarben, queer war kein Thema, und es wurde auch nicht durchgängig gegendert. Die Abgrenzung gegen Grün und die Ablehnung des Begriffs linksgrün waren unverkennbar, in den Buhrufen und im Applaus unüberhörbar.

    Was eine große Rolle spielt, sind Antiimperialismus, Antikolonialismus und Frieden. Sogar der Klassenkampf, lange Zeit stiefmütterlich behandelt, wurde thematisiert. Am deutlichsten übrigens, das ist bezeichnend, durch einen Gast aus dem Ausland. Wenn jemand an diesem Tag so etwas wie orthodoxe Positionen vertrat, dann war es die stellvertretende Vorsitzende der türkischen Partei der Arbeit, Sevda Karaca.

    Keine Begrenzung der Migration

    Und noch etwas: Migration. Die Buhrufe, die der abtrünnigen Linken Nastić galten, waren die Quittung für Sahra Wagenknechts Äußerungen zu Migrationsbegrenzung und Migrationssteuerung. Allenfalls über die Beseitigung der Fluchtursachen darf geredet werden. Alles andere ist in der Subkultur der linken Splittergruppen ein absolutes No-Go; Solidarität geht dort (jedenfalls in der Theorie) mindestens so weit wie der heilige Martin, der seinen Mantel teilt.

    Aus dem antiimperialen und antikolonialen Kampf heraus erklären sich auch die prorussischen und propalästinensischen Positionen. Dahinter steckt ein tiefer Antiamerikanismus; am Urgrund allen Übels sitzt der Moloch USA, ein imperialer Sauron in Gestalt allesfressender Konzerne. Auch im 21. Jahrhundert lassen die Rechtgläubigen nicht von den Offenbarungen ihrer Propheten. In der Konferenzbeilage der Veranstalterin, der einstigen FDJ-Zeitung Junge Welt, erklärt ein zweiseitiger Beitrag die postkolonialen Entwicklungen der Gegenwart mit Lenins Theorie von den Gesetzmäßigkeiten des Kapitals.

    Wähler sind damit nachweislich nicht zu gewinnen. Ob man auf die Weise wenigstens Kriege besser verstehen kann, beispielsweise die in Palästina und in der Ukraine? Wieland Hoban vom Verein Jüdischen Stimme sprach von Israel (gefolgt von Applaus) als „imperialem Siedlerprojekt“. Selbstredend, dass die Erklärung für den Ukraine-Krieg ebenfalls im amerikanischen Expansionismus wurzelt. Russland wehrt sich nur. Wenn es unter Liberal-Konservativen die Achse des Bösen gibt – Russland, China, Iran, Hamas –, voilà, hier ist der linke Gegenentwurf.

    #Allemagne #gauche

  • « Elle a du stock ». La chanson populaire dans la France occupée (1940-1944).

    "De 1940 à 1944, les conditions d’existence dans la France défaite et occupée sont difficiles. Pour autant la vie artistique et culturelle conserve une grande vitalité tout au long des « années noires ». La création musicale connaît alors un grand dynamisme et une réelle diversité. Les chansons de variété peuvent évoquer les tristes réalités de l’époque, servir de support de propagande à la « Révolution nationale » ou encore inciter à la résistance. "
    https://lhistgeobox.blogspot.com/2024/01/elle-un-stock-la-chanson-dans-la.html

  • Joualle — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Joualle

    La #joualle (« joala » en occitan) est un système ancestral de culture agricole associant sur une même parcelle de la vigne poussant sur des arbres fruitiers et plusieurs autres cultures intercalaires réalisées entre les rangées d’arbres. Cette méthode culturale a été pratiquée en plusieurs régions d’Europe, et notamment dans le Sud-Ouest de la France.

    Ce mode de cultures associées (entraide mutuelle végétale) diminuait les efforts du cultivateur et préservait la biodiversité. Des arbres fruitiers implantés en joualle y produisaient abricots (coteaux du Lot et de la Garonne, par exemple), cerises (Gironde), pêches de vigne (Charentes), prunes d’Ente (Périgord), et autres. Entre ces rangées de fruitiers, toutes sortes de cultures pouvaient s’y trouver : légumes, blé, fourrage, betteraves, pommes de terre ou tabac.

    Au XXe siècle, ce système cultural intégré a été préservé en Espagne et surtout au Portugal. Mais face aux assauts de l’agriculture intensive, il a disparu temporairement du territoire français.

    Au début du XXIe siècle, avec le fort développement de l’agriculture biologique et de l’agroforesterie, la joualle renaît peu à peu sous diverses formes dérivées, dans nombre de régions d’Europe.

    • https://fr.wikipedia.org/wiki/Fond_diffus_cosmologique

      Le fond diffus cosmologique (FDC, ou CMB pour l’anglais cosmic microwave background, « fond cosmique de micro-ondes ») est un rayonnement électromagnétique très homogène observé dans toutes les directions du ciel et dont le pic d’émission est situé dans le domaine des micro-ondes. On le qualifie de diffus parce qu’il ne provient pas d’une ou plusieurs sources localisées, et de cosmologique parce que, selon l’interprétation qu’on en fait, il est présent dans tout l’Univers (le cosmos).

      Prévu dès 1948 et découvert par hasard en 1964, le fond diffus permet à la communauté scientifique de départager les différents modèles cosmologiques, notamment en abandonnant les modèles fondés sur le principe cosmologique parfait et en donnant la priorité aux modèles basés sur l’idée de Big Bang, qui prédisent l’émission d’un tel rayonnement thermique à l’époque de l’Univers primordial.

      Selon le modèle standard de la cosmologie, ce rayonnement a été émis environ 380 000 ansa après le Big Bang (ce qui fait qu’on l’appelle aussi rayonnement fossile), alors que l’Univers observable était encore beaucoup plus petit, dense et chaud (de l’ordre de 3 000 K) qu’aujourd’hui. Dilué et refroidi par l’expansion de l’Univers, il possède désormais une température moyenne très basse, de l’ordre de 3 K. Le fond diffus cosmologique est très étudié depuis sa découverte pour deux raisons : il correspond à la plus vieille image électromagnétique qu’il est possible d’obtenir de l’Univers et il présente d’infimes variations de température et d’intensité selon la direction observée, des anisotropies détaillées depuis le début des années 1990 qui permettent de recueillir quantité d’informations sur la structure, l’âge et l’évolution de l’Univers.

      #cosmologie #CMB #fond_diffus_cosmologique #rayonnement_fossile #Big_Bang #white_noise

      A noter qu’il existe une quarantaine d’occurrences pour décrire le concept de « fond diffus cosmologique » :
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_synonymes_de_%C2%AB_fond_diffus_cosmologique_%C2%BB

  • Infatigable militant, pilier du combat des ouvriers de Lip, Charles Piaget est décédé à Besançon
    Publié le 04/11/2023 à 20h42 | Écrit par Isabelle Brunnarius
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/doubs/besancon/infatigable-militant-pilier-du-combat-des-ouvriers-de-l

    Le leader charismatique du conflit Lip, Charles Piaget, est décédé ce samedi 4 novembre 2023 à l’âge de 95 ans. Le militant s’en est allé l’année même où les 50 ans du conflit des ouvriers de la manufacture horlogère Lip de Besançon sont célébrés dans la capitale comtoise.

    S’il y a un homme à Besançon qui incarne le combat des LIP, c’est bien Charles Piaget. Le Bisontin a été l’un des leaders du conflit LIP, lutte sociale emblématique des années 70. Le Bisontin décède un peu plus de deux mois après Claude Neuschwander, patron emblématique de Lip après le conflit de 1973. (...)

    https://www.youtube.com/watch?v=RRLqh-eiK3g&t=2s

  • Franz Mehring Was Marx’s First Biographer and a Marxist Pioneer in His Own Right
    https://jacobin.com/2023/08/franz-mehring-german-social-democratic-party-marxism-karl-marx-biography

    31.8.2023 by Andrew Bonnell - Born in Prussia two years before the 1848 revolution, Franz Mehring lived long enough to be a founding member of the Communist Party of Germany in December 1918. He was the first significant biographer of Karl Marx, and his biography remained the standard reference on Marx’s life for half a century. Mehring also wrote a major history of the German Social Democratic Party (SPD) over a century ago that is still worth reading today.

    He was a pioneer of Marxist writing on literature, and for over two decades he was widely regarded as the most brilliant socialist journalist in Germany, if not the whole of Europe. He died of illness in January 1919, during the last throes of the Spartacist uprising and the German revolution of 1918–19, and just two weeks after the murder of his comrades and friends Rosa Luxemburg and Karl Liebknecht.

    Franz Mehring clearly lived a remarkable life and left behind a weighty body of work: the old East German edition of his collected works includes fifteen large volumes, even though it omitted most of his earlier writing and some other material. Yet his name is still not very well known to the English-speaking public.

    Mehring’s career spanned the entire duration of the German Empire from 1871 to 1918. His trajectory still has much to tell us about the fate of democracy in Germany, the role of the printed word and newspaper press in the development of democratic politics, and the evolution of German socialist thought.
    The Dismal Nests of Pomerania

    Mehring came from an unpromising background for a revolutionary. He was born in Schlawe in Prussian Pomerania — today Sławno in Poland — on February 27, 1846. Mehring would later describe the small towns of largely rural Pomerania as “the most dismal nests of philistines,” where people “vegetate more than they live.”

    Mehring’s family was archetypically Prussian, deeply rooted in the conservative Prussian establishment. His father was a civil servant, a tax official, and by all indications a loyal and conscientious servant of the Prussian crown. He went to schools that sought to instill loyalty to the monarchy and belief in Protestantism, and at one stage he expected to study Protestant theology.

    Mehring later claimed to have spent much of his childhood in Protestant vicarages. This Prussian upbringing left a deep imprint on his thinking, although the main expression of this later in life was the fervor with which he reacted against the influence of Prussian conservatism in the German Empire.

    The young Mehring’s horizons were broadened when he attended university in Leipzig, one of Germany’s most important commercial cities and a center of the publishing industry. In the 1860s, it was also in the process of becoming the cradle of the nascent German labor movement. In addition to this, Saxony’s largest city was drawn into the political conflicts around the unification of the German states.

    After a couple of years in Leipzig, studying classics, Mehring moved to Berlin. The previously dull Prussian city was turning into the rapidly growing capital of the powerful new German Empire. Mehring seems to have been soon distracted from his studies, drawn into radical democratic politics and journalism.
    Liberalism and Socialism After 1848

    Mehring’s first political activities were on the radical left of middle-class politics, in the camp of the bourgeois-democratic veterans of the 1848 revolutions. This group was separate from the fledgling German socialist movement but maintained friendly relations with it.

    August Bebel, who became the preeminent German socialist leader from the 1870s to his death in 1913, later remembered long nights drinking with his fellow socialist Reichstag member Wilhelm Liebknecht and the young democrats from the bourgeois radical camp, including Mehring, during the first year of the new Reich. Bebel added that Liebknecht and Mehring were better drinkers than he was.

    In German politics during the early 1870s, the faction of genuine bourgeois democrats was tiny. Most German liberals were willing to knuckle under Chancellor Otto von Bismarck’s authoritarian treatment of parliament in exchange for national unification and policies to promote industrial development.

    The very notion of “democracy” was still considered radical in an era when many state and local government elections were run on highly discriminatory property-based franchises. It was one thing for middle-class men of liberal views to advocate parliamentary scrutiny of executive government, but quite another to contemplate allowing the workers in their businesses and their domestic servants to out-vote gentlemen of property and education.

    Mehring spent much of the early 1870s writing for various democratic and liberal newspapers. He was sympathetic enough to social democracy to write a pamphlet attacking the National Liberal historian Heinrich von Treitschke for having written an anti-socialist essay.

    However, Mehring soon broke with Bebel, Liebknecht, and the newly unified SPD when he accused people connected with the liberal Frankfurter Zeitung under the democrat Leopold Sonnemann of corruption — this was the time of a speculative boom-and-bust cycle that followed German unification. For their part, Bebel and Liebknecht regarded Sonnemann as a political ally.

    Mehring never compromised when he believed that he was fighting corruption. For a few years he became a harsh critic of the SDP, writing a critical history of the party that socialists found to be especially damaging, as Mehring was better informed about the party than any other outsider.
    Toward Social Democracy

    In 1878, Bismarck banned the SPD and exiled many of its active members. Faced with this exercise of state repression, Mehring’s sympathy for social democracy started to revive. During the 1880s, Mehring edited the Berlin Volks-Zeitung (People’s News), a democratic paper that staked out the most left-wing position of any nonsocialist newspaper.

    In March 1889, Mehring published an article on the anniversary of the 1848 revolution in which he paid tribute to the revolutionaries who had challenged the reactionary Prussian elite and stressed the outstanding role of working people in the revolutionary struggles of that time. The police responded by banning the Volks-Zeitung — the only case of a nonsocialist newspaper being banned under the anti-socialist law.

    Police raided the newspaper’s editorial office and Mehring’s home and confiscated masses of banned socialist literature. As soon as the anti-socialist law expired, Mehring wrote to the police to demand the return of the confiscated books, newspapers, and periodicals.

    During the late 1880s, Mehring came increasingly close to a Marxist understanding of history as well as moving politically closer, once again, to the socialist movement. His final break with attempts to organize a bourgeois-democratic political camp in the German Empire came in 1890 when he took up the cause of an actress, Elsa von Schabelsky.

    In a case with resonances of today’s #MeToo movement, Schabelsky had found it impossible to get any work in Berlin theaters after she left a relationship with the influential theater critic Paul Lindau. Mehring wrote a pamphlet attacking the corruption of Berlin’s literary and theatrical cliques that had orchestrated the boycott of Schabelsky. When Lindau’s supporters in the Berlin press turned on Mehring, attacking him personally, Mehring responded with a longer and even more polemical pamphlet called Capital and Press.

    He had now burned his bridges with the world of bourgeois journalism. Not long after the appearance of Capital and Press, he began writing a weekly “Letter from Berlin” that appeared in the first pages of the Marxist journal Die Neue Zeit (The New Age).
    Marxist Missiles

    Mehring’s new role on Die Neue Zeit was viewed with ambivalence by its leading editor, Karl Kautsky, the party leader August Bebel, and others — although Kautsky and Bebel both admired Mehring’s capacities as a journalist and writer. On the basis of his abilities alone, he was considered an obvious choice for editor in chief of Vorwärts, the party’s central daily newspaper. However, there were political and personal sensitivities on the grounds of his previous conflicts with the party, and with leading figures like Wilhelm Liebknecht in particular.

    Mehring’s regular column in Die Neue Zeit was the only part of the journal that many people would reliably read every week, according to Bebel. Mehring’s articles appeared anonymously at first, with an arrow serving as a cipher. Initially, the anonymity was to spare the journal embarrassing commentary on Mehring’s past as a critic of the party. But the arrows came to symbolize the missiles that Mehring directed every week at reactionary Prussian aristocrats, militarists, imperialists, lily-livered liberals, and others whom he sought to skewer with his columns.

    From 1902 to 1907, Mehring also took over the editorship of the Leipziger Volks-Zeitung (Leipzig People’s Daily). The newspaper, which was based in the industrial center of the “Red Kingdom” of Saxony, became a leading mouthpiece of the SPD’s radical left, gaining attention well beyond its regional base.

    In addition to his regular political commentary, the phenomenally well-read Mehring also contributed regular articles and reviews on literature and theatre to Die Neue Zeit and other Social Democratic publications. His first major book as a Marxist and Social Democrat was dedicated to literary history: Die Lessing-Legende (The Lessing Legend).

    In this book, Mehring attacked the view of the eighteenth-century Enlightenment writer Gotthold Ephraim Lessing that prevailed in mainstream bourgeois literary history and criticism. In place of the conventional, conservative view of Lessing, who is best known for his drama of religious tolerance Nathan the Wise, Mehring sought to restore the historical Lessing as a radical, even revolutionary, critic of the social and political order in the German states. He also intended to make the life of Lessing a case study in the superiority of historical materialism over idealistic bourgeois historiography.

    Mehring looked to salvage what he regarded as the revolutionary potential of German literature from the age of the Enlightenment and the French Revolution — a legacy that had since been abandoned by the bourgeoisie. He wrote on Friedrich Schiller for German workers, trying to emphasize the youthful rebellious Schiller of the Sturm und Drang period, who wrote The Robbers and who had initially sympathized with the French Revolution.

    Mehring tried to persuade his comrade Rosa Luxemburg of Schiller’s merits as well. She had been brought up in a family that revered the German classical literary canon and had rebelled against the idealized bourgeois cult of Schiller. Mehring also championed the brilliant radical satirical poet Heinrich Heine, producing an edition of Heine’s works for workers’ libraries. This was at a time when Heine was still devalued by conservative and antisemitic critics.
    A People’s Theater

    In 1892, Mehring was approached by a group of Berlin Social Democratic workers who were members of the Berlin Freie Volksbühne (Free People’s Theater). They asked him to take over running the association, which organized cheap theater performances for Berlin workers.

    The association had been founded by socially critical progressive writers who sought to acquaint workers with the latest avant-garde stage works, chiefly of the Naturalist tendency influenced by Émile Zola and Henrik Ibsen. There had been a split between the nonsocialist leadership and rank-and-file members, partly over the association’s undemocratic statutes.

    Mehring was initially reluctant, arguing that he was not cut out for running associations. He was also doubtful of the efficacy of artistic work during the intense period of class conflict that Germany was experiencing. But he eventually decided to accept the post.

    Mehring’s tenure at the head of the Freie Volksbühne is often associated with his interest in recovering the revolutionary spirit of the combative period of German classical bourgeois literature. Yet he was also open to works by contemporary socialist writers, even though Bertolt Brecht’s blend of agit-prop and formal creativity would be another generation away, and suitable works were still scarce.

    Mehring gave up his work at the Freie Volksbühne after conflicts with the Berlin police censorship over Gerhart Hauptmann’s dramatization of the 1844 Silesian weavers’ uprising, The Weavers. This demonstrated that his doubts about the potential of the theater to advance socialist aims in the existing German state were well founded.
    The Revisionist Ambush

    In September 1903, Mehring interrupted his journalistic work for the Leipziger Volkszeitung — three of whose other editors had just been arrested, a common occurrence at that time — to travel to Dresden for the SPD’s party congress. He had been tipped off that certain revisionist delegates were planning to launch a concerted attack on his credibility there.

    In the months leading up to the Dresden congress, Mehring had been writing polemical articles criticizing the collusion of some revisionists with the maverick liberal journalist Maximilian Harden, who had been publishing their anonymous critiques of the direction of the SPD. Mehring, who had previously conducted his own journalistic feuds with Harden, published a number of articles attacking the collaboration of Social Democrats with hostile bourgeois periodicals or newspapers.

    One of these revisionist writers, Heinrich Braun, organized what Mehring characterized as a veritable “ambush” at the Dresden congress. Braun dredged up material from the 1870s in a bid to discredit Mehring by pointing to his past attacks on the party in nonsocialist periodicals and other publications, long before Mehring had been a party member. The party congress was thus confronted with an organized campaign of character assassination against one of the SPD’s foremost radical left voices. Braun accused Mehring of an ideological “reign of terror,” which could be seen as a backhanded compliment to the power of Mehring’s pen.

    Historians often characterize the Dresden congress of 1903 as the climax of the party’s “revisionist debate.” Much of it took the form of a “Mehring debate,” with Mehring’s character and biography becoming a proxy for the broader debate about the attempts of the party’s right wing to “revise” its Marxist program.

    Bebel had had his own differences with Mehring — and would have more disagreements with him in the years to come over their respective readings of the party’s history. The SPD leader described Mehring as a “psychological riddle,” noting that his combative personality made him sometimes his own worst enemy.

    On this occasion, however, Bebel threw his enormous authority into the debate on the side of Mehring and against the revisionists. In a long and powerful speech, Bebel declared himself the “mortal enemy of this bourgeois society” and rejected revisionist efforts at accommodating the party to collaboration with its political opponents. The result was a resounding defeat for the revisionists, although the right-wing tendency managed to extend its influence in the party’s leadership over the following years.
    Mehring as Historian

    By this time, Mehring was already established as the leading historian of the party. In 1897–98, his history of German Social Democracy until the Erfurt Program of 1891 appeared. Its second, revised edition appeared in four volumes in 1903–04.

    The first half of Mehring’s history took the reader through the origins of socialism in Germany until the founding of the General German Workers’ Association (ADAV) under the leadership of Ferdinand Lassalle in 1863 — the first independent German socialist workers’ party. It is a notable fact that this occurred a full thirty years before the creation of the Independent Labour Party in Britain, despite Britain’s head start in industrialization compared to the German states.

    The second half of the work covered the early years of the ADAV, the foundation of the Social Democratic Workers’ Party at Eisenach in 1869 under Bebel and Wilhelm Liebknecht, the unification of the party in 1875, and the anti-socialist law. Mehring’s account of the period of the anti-socialist law is still valuable, but the whole work is testimony to his wide and deep knowledge of the history of socialism.

    Bebel criticizes Mehring’s account of social democracy’s early years in Germany for its sympathies with Lassalle and the Lassallean strand in social democracy. For the same reason, it was later censured by East German historians in the old German Democratic Republic, who otherwise praised Mehring.

    This leaning may have been partly a product of Mehring’s Prussian-centric perspective. One of the main differences between Lassalle’s ADAV and the party of Bebel and Liebknecht was that the latter were strongly opposed to the creation of a Prussian-dominated German Empire, preferring a more federal solution and a larger German confederation in which Austria might have provided a counterweight to Prussia. Lassalle and his followers, on the other hand, were more prepared to accept a smaller German state in which Prussia was predominant.

    Yet Mehring was no friend of conservative Prussian historiography. He produced some of his most vigorous writing on German history as a reaction against the patriotic and nationalist commemorative literature that poured out of publishing houses during the centenary commemorations of the Napoleonic Wars, glorified in Germany as the “Wars of Liberation.”

    Mehring vehemently attacked such patriotic history writing from a historical materialist standpoint, stressing the cultural and political backwardness of Prussia under the domination of the agrarian Junker class, who continued to exercise a baleful, reactionary influence in the imperial German state a hundred years after Germany’s so-called “liberation” from Napoleon. He also wrote a concise survey history of German history from the Middle Ages on for working-class readers.
    The Life of Marx

    In 1918, Mehring published his last major work, a biography of Karl Marx. This drew on decades of study of Marx’s life and works — Mehring had been interested in writing a biography of Marx as early as the mid-1880s. He had compiled an edition of Lassalle’s correspondence with Marx and Engels and had been the preferred choice of Marx’s daughter Laura Lafargue to edit the Marx-Engels correspondence.

    As subsequent critics of Mehring have pointed out, he was partly responsible for the bowdlerizing of some passages of Marx’s letters that reflected negatively on German socialist leaders or used offensive language (especially about Lassalle). The Russian Marx scholar David Ryazanov, who was then head of Moscow’s Marx-Engels Institute, published an unexpurgated version in 1929.

    Despite many subsequent biographies of Marx, Mehring’s work arguably remained the standard biography until David McLellan’s biography over half a century later, which benefited from the findings of several decades of scholarship that Mehring’s work had helped to stimulate. It remains a vivid and readable portrait of Marx.

    Mehring’s work did have some limitations. He was reluctant to engage too closely with what he considered esoteric philosophical debates, feeling satisfied that Marx’s historical materialism had solved any outstanding philosophical problems once and for all. And he readily acknowledged his limitations in economic theory, enlisting the assistance of his friend Rosa Luxemburg for the chapters on Marx’s economic thought.

    Later writers have accused Mehring of hagiography: most recently, Gareth Stedman Jones has argued that he mythologized Marx. Yet Mehring was willing to point out instances where he believed that Marx had been unfair in dealings with contemporaries — for example, Lassalle and Mikhail Bakunin.
    War, Revolution, and Counterrevolution

    Mehring’s Marx biography was completed under the most difficult circumstances: war, political repression (including a period of imprisonment), and debilitating illness. The appearance of the book was also delayed by long battles with the military censorship, which eventually involved the Reich chancellor, head of the imperial government.

    After the disastrous vote for war credits by the Social Democratic Reichstag deputies on August 4, 1914, Mehring joined Luxemburg, Clara Zetkin, and Karl Liebknecht in the activist antiwar minority of the party, forming first the Gruppe Internationale and then the Spartacus League. Mehring worked on the illegal “Spartacus Letters” and the first issue of the journal Die Internationale with Luxemburg in 1915.

    His antiwar agitation resulted in his arrest in August 1916, and incarceration for four months at the age of seventy. The following year, he was elected to the Prussian state parliament as a replacement for Karl Liebknecht, who was still in jail for his antiwar and revolutionary activism.

    Mehring gave two speeches in the Prussian parliament, the first of which criticized wartime censorship, the second of which was a critique of the prowar SPD right. His voice was barely audible over the interjections of his political opponents. Despite his thunderous pen, Mehring always had a weak voice when it came to public speaking. Age, illness, and the effects of his recent incarceration in a Berlin city jail had weakened it further.

    Mehring greeted the coming of the Russian revolution in 1917 enthusiastically, but he was too ill to participate in person in the founding of the Communist Party of Germany in December 1918. Its newspaper, Die Rote Fahne (the Red Flag) still brought out some of his writing, including an account of his time in prison.

    Mehring died of inflammation of the lungs on January 29, 1919, two weeks after the murder of his comrades Luxemburg and Liebknecht by right-wing troops. Mehring’s friend and the first editor of his collected works, Eduard Fuchs, left a moving description of how profoundly distressed and shaken Mehring was at the news of the murders. Fuchs suggested that the effects of the shock on Mehring’s weakened constitution, already marked by the rigors of his imprisonment a couple of years earlier, hastened his death.

    No sooner had Fuchs completed his edition of Mehring’s Marx biography, which was already the fifth edition of the work, than the Reichstag fire of February 1933 provided a pretext for the brutal repression of the German left by the Nazis. A couple of months later, Nazi students were burning Mehring’s books along with many other products of “un-German” literature. Burned by the Nazis, then (selectively) canonized by the East German Socialist Unity Party after 1949, Mehring’s works still deserve to be better known today.

    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Junker

    #Allemagne #histoire #socialisme #presse #Prusse #Junker

  • Le retour du travail des enfants est le dernier signe du déclin des Etats-Unis — Steve Fraser
    https://www.legrandsoir.info/le-retour-du-travail-des-enfants-est-le-dernier-signe-du-declin-des-et

    En 1906, un vieux chef amérindien visitait New York pour la première fois. Il était curieux de la ville et la ville s’intéressait à lui. Un journaliste d’un magazine demande au chef amérindien ce qui l’avait le plus surpris dans ses déplacements en ville. « Les petits enfants qui travaillent », répondit le visiteur. [...]

    Reprenez votre souffle et considérez ceci : le nombre d’enfants au travail aux Etats-Unis a augmenté de 37% entre 2015 et 2022. Au cours des deux dernières années, 14 États ont introduit ou promulgué des lois annulant les réglementations qui régissaient le nombre d’heures pendant lesquelles les enfants pouvaient être employés, réduisant les restrictions sur les travaux dangereux et légalisant les salaires minimums pour les jeunes.

    L’État de l’Iowa autorise désormais les jeunes de 14 ans à travailler dans des blanchisseries industrielles. A l’âge de 16 ans, ils peuvent occuper des emplois dans les domaines de la toiture, de la construction, de l’excavation et de la démolition, et ils peuvent utiliser des machines à moteur. Les jeunes de 14 ans peuvent même travailler de nuit et, dès l’âge de 15 ans, ils peuvent travailler sur des chaînes de montage. Tout cela était bien sûr interdit il n’y a pas si longtemps.

    #travail #enfant #enfance

    • l’accroche est moyenne. chez les peuples premiers, il n’y a (en général) pas de travail et les enfants sont dès que possible associés aux activités de subsistance et à tout ce qui concourt à la reproduction, y compris élargie à des besoins « non vitaux »(chasse, pêche, confection diverses) car ces activités ne sont pas séparées de la vie et n’ont d’ailleurs pas la production pour but, même si dès l’arrivée des européens elles ont pu avoir un but marchand (la traite des fourrures) mais bien plutôt la satisfaction des besoins (sociaux, et non pas strictement physiologiques). Mais sans doute s’agissait t-il aussi de souligner l’étrangeté du travail ...
      si ça amuse quelqu’un ici, mille récits le montrent dont Le peuple rieur - hommage à mes amis innus, de Serge Bouchard et Marie_Christine Lévesque (Lux, 2017)
      il n’en est pas de même chez les peuples à État (Incas), ou à mise en esclavage/servitude, mais chez les « amérindiens », je n’en sais pas assez mais j’en doute très fortement.

      #travail

    • C’est plus compliqué que ça. Il y a un choix politique assez évident : garder la suprématie mondiale en s’équipant du plus gros gourdin. Le reste est à l’avenant de ce constat : besoin de ressources quasi-illimitées pour soutenir l’effort de guerre perpétuelle, laquelle est précisément pensée dans le sens de l’accès prédateur aux ressources, mais aussi, besoin de chair à canon pour nourrir l’effort de guerre et prédation intérieure.

      Après, c’est une question de point de vue : les classes populaires encaissent (comme à peu près partout ailleurs) un gigantesque retour en arrière qui est totalement stratégique et délibéré (qui ne peut donc être considéré comme un déclin) alors que les hautes classes bourgeoises réinvestissent un niveau quasi aristocratique d’inégalités qui leur sont monstrueusement profitables.

      C’est aussi une tendance mondiale.

      Les indicateurs de bien-être de la population générale se cassent la gueule à peu près partout… mais ce ne serait un déclin que si cela arrivait malgré de fortes volontés politiques d’améliorer les conditions de vie du plus grand nombre. Ce qui n’est pas du tout le cas.

      Destruction des systèmes publics d’éducation et de soins… les USA sont juste à la pointe par rapport aux autres pays dits « industrialisés ».

      Après, si tu déplaces le curseur au niveau global, il est certain que l’épicentre économique se déplace très fort sur la zone Pacifique. T’as un bon tiers de l’humanité (35%) qui se répartit seulement entre la Chine et l’Inde et eux, ils investissent encore dans l’expansion intérieure.

      Les USA sont des nains dans ce jeu-là et les Européens font figure de vieille tante décatie toute fièrote dans ses vieilleries souvenir d’une gloire révolue… et c’est bien. Parce que dès qu’on regarde un peu plus loin que notre nombril, c’est juste avec une mentalité de coloniaux.

      D’où la politique du gourdin.

  • Angela Davis : eine Amerikanerin in der DDR
    https://www.mdr.de/geschichte/ddr/kalter-krieg/angela-davis-amerikanerin-solidaritaet-briefe-100.html

    La solidarité internationale était une des raisons d’être de l’état est-allemand. C’était un sujet où ses dirigeants étaient entièrement d’acord avec la majorité des citoyens ordinaires. Ma famille de la DDR m’a étonné quand ils continuaient après 1989 à collecter des dons et les envoyer au Vietnam par cargaison de conteneur EVP et par coli postal pour les dons individuels. Chez nous à l’Ouest la solidarité internationale se limitait (et c’est toujours comme ça) aux cartes postales de noël pour Amnesty.

    Angela Davis était alors considérée comme symbole de la lutte contre l’oppression et la ségrégation raciste de l’impérialisme américain. Ce mouvement prenait une ampleur que les historiens et journalistes de droite n’ont jamais compris. Ils essayent toujours de le dénoncer comme campagne organisée sous des contraintes généralisées alors que c’est faux. Va savoir pourquoi. Depuis les raisons pour les réactionnaires de l’acabit de Pécresse de haïr Angela n’ont fait qu’augmenter. La célèbre professeure d’université s’est muée du personnage du parti communiste des États Unis le mieux connu en militante de la cause féministe et gay.

    Aujourd’hui au contraire de ses camarades communistes qui ont perdu leur influence avec la disparition du bloc de l’Est Angela Davis ne cesse de représenter les causes actuelles de la lutte contre l’oppression par les élites capitalistes . C’est la raison pour l’acharnement de la droite contre elle.

    Angela Davis ist eine schwarze Bürgerrechtlerin, die von 1970 bis 1972 unschuldig hinter Gittern sitzt. Sie ist des Mordes, Menschenraubes und der Verschwörung angeklagt. Aus der DDR erreichen sie in dieser Zeit mehr als eine Millionen Briefe und Postkarten. 1972 wird sie in allen Punkten freigesprochen und sagt: „Diese Briefe haben meine Gefängniszelle aufgeschlossen“. Als Angela nach ihrem Freispruch die DDR bereist, um sich bei ihren Unterstützern zu bedanken, warten sehnsüchtig Tausende in Berlin, Magdeburg und Leipzig auf die Ankunft der jungen Frau.
    Angela Davis’ Kampf

    Bereits im jungen Alter ist Angela Davis politisch aktiv. Nach ihrem Erststudium der französischen Literatur in Massachusetts und Paris zieht sie nach Frankfurt am Main, um Philosophie und Soziologie zu studieren. Dort wird sie Mitglied im Hochschulverband der Sozialdemokratischen Partei Deutschlands und nimmt an ersten Protestaktionen teil. Nach ihrer Rückkehr in die USA verstärkt sich Angelas politisches Engagement. Vordergründig setzt sie sich nun für die schwarze Bürgerrechtsbewegung ein und wird Mitglied der „Black Panther Party“. Angela engagiert sich für die Freilassung von schwarzen Gefangenen. Einer der Haftinsassen ist George Jackson. Jonathan Jackson, Georges Bruder, versucht ihn im August 1970 aus einem Gerichtssaal zu befreien. Doch der Versuch missglückt. Es kommt zu einer Schießerei und vier Toten. Eine der verwendeten Waffen ist auf Angela Davis zugelassen. Das FBI setzt die untergetauchte Angela Davis auf die Liste der zehn meistgesuchten Verbrecher der USA. Einige Wochen später, am 13. Oktober, wird sie verhaftet.
    Solidaritätskampagne für Angela

    Bis zu ihrem Prozess im Jahr 1972 entwickeln sich weltweit Kampagnen und Proteste für Davis. Viele Menschen glauben, dass die Vorwürfe konstruiert sind, um die Stimme der jungen Frau und Black Power-Aktivistin mundtot zu machen. Die Ungerechtigkeit stößt besonders in der DDR auf Gegenwehr. Die Solidarität, die Bürgerrechtlerin Davis dort erhält, ist beispiellos. Mit Briefen, Postkarten, gemalten Rosen und Buttons mit dem Aufdruck „Free Angela“ stehen sie Davis bei.

    Diese Eigendynamik führte dazu, dass wirklich aus dem letzten Dorf und aus der letzten kleinen Dorfschule die Post abgeschickt worden ist. Ich hab das in den USA selbst gesehen. Ich bin in einer LKW-Kolonne durch San Francisco gefahren. Auf den LKWs waren Säcke über Säcke mit Solidaritätspost für Angela Davis.
    (Klaus Steiniger Ehemaliger Korrespondent „Neues Deutschland“)

    Nach zweijähriger Prozessdauer wird Davis am 4. Juni 1972 in allen Punkten der Anklage freigesprochen. Nach ihrer Freilassung reist sie in die DDR, um ihre Unterstützer persönlich zu treffen. Die DDR-Presse betitelt die Reise als „Triumphtour“. In Berlin, Magdeburg und Leipzig macht Angela Halt, um sich zu bedanken. Allein in Leipzig kommen 200.000 sehnsüchtige Besucher, die gemeinsam mit ihr feiern und jubeln wollen. Auch in Berlin sammeln sich am 10. September 1972 50.000 Bürger am Flughafen Berlin Schönefeld. Auf die Frage einer Reporterin, was der Empfang von Davis für die Unterstützer bedeutet, antwortet eine junge Frau:

    Wir haben gerade gesagt, dass der heutige Empfang von Angela Davis vielleicht ein Stück Geschichte für uns ist. Wir haben diesen Kampf alle gemeinsam geführt und es ist für uns praktisch ein Triumph, dass wir Angela Davis empfangen können.
    Junge DDR-Bürgerin kurz vor der Ankunft von Angela Davis

    Zum Beginn der Solidaritätskampagne wird eine Broschüre mit dem Titel „Freiheit für Angela Davis“ verteilt. Das Heft wird über 500.000 Mal gedruckt und für den Betrag von Zwei Mark in der ganzen DDR verkauft. Der Erlös fließt dem zentralen „Solidaritätskonto“ der DDR zu.

    Diese halbe Millionen Exemplare gelangten in alle Betriebe, in alle Ecken des Landes. Schon zu diesem Zeitpunkt hat Angela Davis viel Post bekommen. Aber jetzt wurde voll aufgedreht.
    (Klaus Steiniger Ehemaliger Korrespondent „Neues Deutschland“)

    Die Broschüre wird auch ins Englische übersetzt und in Amerika verlegt. Als Herausgeber der Heften wird das DDR-Komitee für Menschenrechte sowie der Friedensrat der DDR genannt. Historiker Dr. Stefan Wolle schaut kritisch auf die Solidaritätskampagne, die die DDR für Davis inszenierte.

    Das war organisiert bis ins Letzte. Also wenn die DDR etwas verstanden hat, dann die Organisation von Kampagnen. Und das wurde sehr, sehr gründlich gemacht. Da blieb kein Auge trocken.
    (Dr. Stefan Wolle Historiker)

    Historiker Prof. Wolle ist der Meinung, dass sich die DDR mit Davis als eine der wenigen westlichen Ikonen schmückte. Seine Erklärung für Menschenmassen, die sich beim Empfang von Davis in Leipzig, Magdeburg oder Berlin sammelten, liegt in dem „freiwilligen Zwang“, den die DDR-Bürger verspürten.

    In der DDR war jeder an den freiwilligen Zwang gewöhnt. Es war alles formal freiwillig. [...] Das heißt wer sich dem verweigert, der hatte mehr oder weniger schon große Schwierigkeiten. Und so ähnlich war das auch mit den ständigen Solidaritätskampagnen.
    Dr. Stefan Wolle Historiker

    Durch ihre Verhaftung und den späteren Freispruch wurde Angela Davis weltweit zu einer Symbolfigur der Bewegung für die Rechte von politischen Gefangenen in den USA. Seit September 1972 trägt sie die Ehrendoktorwürde, die ihr von der Karl-Marx-Universität, jetzt Universität Leipzig, verliehen wurde. Noch heute ist Angela Davis eine der bekanntesten Gesichter der Black-Power-Bewegung.

    https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:Angela_Yvonne_Davis_Wanted_Poster.jpg


    ADN-ZB-Franke-26.11.71-ku-Berlin : Solidarität - Prof. Werner Klemke signierte am 26.11.71 in der Ausstellung des Friedensrates der DDR « Freiheit für Angela » Reproduktionen seiner Davis-Porträtzeichnung zur Aktion « Eine Million Rosen für Angela »."


    Berlin 1972, Erich Honecker empfängt Angela Davis

    Way : Lycée Angela Davis (522038422)
    https://www.openstreetmap.org/way/522038422#map=16/48.9139/2.3643

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Angela_Davis

    #DDR #Allemagne #solidarité_internationale #USA #gauche #communisme #racisme #histoire

  • Nach Auseinandersetzung : US-Soldat in Rheinland-Pfalz von Security-Mitarbeiter angeschossen
    https://www.tagesspiegel.de/gesellschaft/nach-auseinandersetzung-us-soldat-in-rheinland-pfalz-von-security-mitar

    Opsreys in Baumholder at Baumholder Military Training Area, April 23, 2014. (U.S.Army photo by Visual Information Specialist Erich Backes/ Released)

    Rappel : A la différence avec l’armée rouge les forces d’occupation états-uniennes n’ont jamais quitté l’Allemagne. On les a rebâtisé « partenaires » et « amis » mais leur mission stratégique n’a jamais changé profondément. Ils sont là pour contenir l’ennemi à l’Est, rendre impossible qu’il crée une alliance avec l’Allemagne et empêcher le pays d’accéder au rang de puissance indépendante.
    Ce fait divers est typique pour la vie quotidienne dans le périmètre des garnisons

    Am US-Militärstandort Baumholder in Rheinland-Pfalz ist ein US-Soldat von einem Sicherheitsdienstmitarbeiter mit einem Schuss ins Bein verletzt worden.

    Ersten Ermittlungen zufolge war es in der Nacht zum Sonntag zunächst zu einer Auseinandersetzung zwischen zwei Security-Mitarbeitern und dem 23-jährigen Soldaten gekommen, nachdem dieser am Haupteingangstor den Sicherheitsdienst angriffen haben soll.

    Daraufhin schoss einer der Securityleute auf den Oberschenkel des Soldaten, wie die Polizeistationen in Baumholder und Trier mitteilten.

    Der US-Soldat sei sofort notversorgt und im Anschluss in ein Krankenhaus gebracht worden, hieß es. Laut den Angaben sollte der 23-Jährige die Klinik am Sonntag oder am Montag wieder verlassen können.

    Die genaueren Hintergründe des Vorfalls waren zunächst unklar. „Die Kriminalpolizei ist vor Ort und es laufen Vernehmungen“, sagte eine Polizeisprecherin.

    Angrenzend an die Gemeinde Baumholder befindet sich einer der größten Standorte der US-Army in Europa. In der „Baumholder Military Community“ sind etwa 6000 Amerikaner ansässig, neben den Soldatinnen und Soldaten leben dort auch Familienangehörige.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Baumholder

    Die Kasernen der Amerikaner heißen Smith Barracks und Wetzel Barracks. In den Einrichtungen der US Army leben rund 15.000 Menschen. Auch existiert das Baumholder Airfield, ein Flugplatz für militärische Zwecke. Die Amerikaner betreiben eine eigene Polizeiwache (Military Police), zwei eigene Kirchen, ein PX, ein Commissary, ein Krankenhaus, sowie eigene Schulen. Viele Geschäfte der Gemeinde akzeptieren US-Dollar als Zahlungsmittel und sind in hohem Maße von den Amerikanern abhängig.

    1979–81 war der spätere Serienmörder Jeffrey Dahmer als Soldat im medizinischen Dienst der Amerikaner in Baumholder stationiert.

    Bis heute sind die US-Streitkräfte und die Bundeswehr die größten Arbeitgeber für die örtliche Bevölkerung.

    Der Truppenübungsplatz Baumholder steht unter der Verwaltung der Bundeswehr. Auf mehr als 35 Schießbahnen und Feuerstellungen für Infanterie, Panzertruppe und Artillerie üben Soldaten der Bundeswehr, der USA und anderer NATO-Mitglieder.

    Seit 2002 verlagerte die US Army ihre Übungen zunehmend auf die Truppenübungsplätze Grafenwöhr und Hohenfels in der Oberpfalz, die ihrer eigenen Kontrolle unterstehen. Teile der im Ort stationierten US-Truppen wurden regelmäßig im Irakkrieg eingesetzt und kehrten großteils auch wieder nach Baumholder zurück.

    Am 13. Januar 2012 gab US-Verteidigungsminister Leon Panetta ein massives Sparprogramm für die US-Streitkräfte bekannt. So sollen unter anderem zwei der vier in Europa stationierten Kampfbrigaden der US Army abgezogen werden. Die 170. US-Infanteriebrigade, welche bisher in Baumholder stationiert war, wurde im Jahr 2012 aufgelöst.

    Seit 2012 wird die Baumholder Military Community aus Kaiserslautern geleitet. Es sind eine Logistikbrigade (16th SB), Flugabwehreinheiten (5–7 ADA), ein Fernmeldebataillon (44th ESB) und eine Medizinbrigade (30th MED) in Baumholder stationiert. Außerdem sind einige kleinere Einheiten in Baumholder stationiert, die einer größeren Einheit einer anderen Garnison unterliegen. Auch sind Untereinheiten von in Baumholder stationierten Einheiten in anderen Garnisonen beheimatet, z. B. im nah gelegenen Kaiserslautern oder in Grafenwöhr.

    Im April 2019 wurde das 44th Expeditionary Signal Battalion (44th ESB) mit 500 Soldaten samt Familien aus Grafenwöhr nach Baumholder verlegt. Im Januar 2019 wurden für die Angehörigen dieser Einheit 84 kleinere „Townhouses“ für 48 Millionen Euro fertig gestellt, weitere sollen folgen. Neben den Investitionen in die Townhouses will die US-Armee weitere 100 Millionen Euro für die Sanierung von älteren Kasernengebäuden ausgeben. Zudem sind Mehrfamilienhäuser, Schulen und ein zusätzliches Sportgelände geplant.

    #Allemagne #USA #occupation #militaire #

  • J’ai un souci avec une table interactive à livrer : il me manque un seul et unique titre à traduire en Breton, mais je n’ai toujours pas reçu la traduction et il faudrait que j’expédie le matériel (idéalement) aujourd’hui.

    Est-ce que quelqu’un serait capable de traduire en Breton ce titre :
    16e-20e siècle - À la découverte de Brest à travers les cartes

  • Neujahrsansprache der Regierenden
    https://www.rbb-online.de/fernsehen/programm/01_01_2023/1845487.html

    Bei 3:20

    Als Regierende Bürgermeisterin kann ich Ihnen heute sagen, die Energieversorgung in unserer Stadt ist in diesem Winter in allen Sektoren sichergestellt.

    Verstehe, nicht nur im amerikanischen, britischen und französischen, auch im sowjetischen Sektor fließt der Sprit in Strömen. Ende Blockade. Demnächst iss auch in der Szone Schluß mit Sparsam, wünscht sich unser Rejiersternchen aus Frankfurt anne Oder . Welchet Jahr hamwa heute, 1949 oder?

    Und für alle, die es nicht glauben können oder wollen folgt hier die offizielle Veröffentlichung der Senatskanzlei. Da steht es texto.

    Giffey in ihrer Neujahrsansprache: Berlin ist „Stadt der offenen Arme und Herzen“ - Berlin.de
    https://www.berlin.de/rbmskzl/aktuelles/pressemitteilungen/2022/pressemitteilung.1279328.php

    „Liebe Berlinerinnen, liebe Berliner,

    ein einschneidendes und herausforderndes Jahr 2022 liegt hinter uns – und ein neues Jahr mit neuen Aufgaben vor uns. Als Ihre Regierende Bürgermeisterin wünsche ich Ihnen allen für 2023 viel Glück, Gesundheit und Kraft!

    Im letzten Jahr sind in Berlin über 30.000 Kinder zur Welt gekommen. Ihnen und allen anderen Kindern in unserer Stadt eine gute Zukunft zu ermöglichen, dafür arbeite ich zusammen mit dem Berliner Senat und unseren 12 Bezirken: für gleiche Chancen, gute Bildung und soziale Gerechtigkeit. Deshalb haben wir 2022 über 5.000 Kitaplätze und über 8.000 Schulplätze neu geschaffen. Und wir treiben die Schulbauoffensive auch künftig mit über einer Milliarde Euro pro Jahr voran.

    Zu einer guten Zukunft gehört auch bezahlbarer Wohnraum. 16.500 Wohnungen wurden 2022 neu gebaut – trotz Krise mehr als 2020 und 2021 und mehr als im Bundesdurchschnitt.

    Denn Berlin soll für alle Generationen eine soziale Stadt bleiben: bezahlbar, lebenswert und nachhaltig, vielfältig und sicher – mit einer starken Wirtschaft und guter Arbeit.

    Seit dem russischen Angriff auf die Ukraine herrscht Krieg in Europa. Viele Menschen machen sich Sorgen um die Zukunft. Es ist jetzt umso wichtiger, dass wir uns auf unsere Stärken besinnen. Aus unserer Geschichte wissen wir, dass Berlin in Krisen immer wieder zur Höchstform aufläuft – so wie bei der Versorgung und Unterbringung geflüchteter Menschen aus der Ukraine. Berlin hat sich als Stadt der offenen Arme und der offenen Herzen gezeigt. Viele haben Geflüchtete bei sich zuhause aufgenommen, haben am Bahnhof geholfen, haben Lebensmittel und Kleidung gespendet.

    Ihnen und allen beteiligten Hilfsorganisationen und Ehrenamtlichen danke ich für ihre beispielhafte Solidarität. Sie alle sind Botschafter der Menschlichkeit Berlins.

    Für Berlin beschämend sind die Fehler, die vor meiner Amtszeit bei den Wahlen 2021 gemacht wurden und die zur Entscheidung des Landesverfassungsgerichtshofs zur Wahlwiederholung führten. Diese Fehler schmerzen mich zutiefst. Das darf nie wieder passieren. Sie können versichert sein: Dieser Senat und der neue Landeswahlleiter tun alles dafür, dass die Wahlwiederholung reibungslos verläuft.

    Gleichwohl haben wir in Berlin im letzten Jahr auch Entscheidendes erreicht, was angesichts der vor einem Jahr noch bedrohlichen Corona-Pandemie kaum vorstellbar erschien: Berlins Wirtschaft ist im vergangenen Jahr überproportional gewachsen. Viele neue Unternehmen haben sich in Berlin angesiedelt, neue Arbeitsplätze sind entstanden und Millionen Gäste haben Berlin wieder besucht. Das zeigt, dass Berlin nichts von seiner Anziehungskraft verloren hat. Im Gegenteil!

    Als Regierende Bürgermeisterin kann ich Ihnen heute sagen, die Energieversorgung in unserer Stadt ist in diesem Winter in allen Sektoren sichergestellt. Mit unserem Berliner Entlastungspaket unterstützen und helfen wir denjenigen, die von hohen Energiepreisen und Inflation besonders betroffen sind. Zum Beispiel mit dem 29-Euro-Ticket, das eine echte Entlastung ist und der BVG einen neuen Kundenrekord beschert.

    Liebe Berlinerinnen und Berliner, ich danke heute insbesondere denjenigen, die unsere Stadt mit ihrer Arbeit rund um die Uhr am Laufen halten – den Beschäftigten in den Krankenhäusern und Pflegeeinrichtungen, bei Feuerwehr und Polizei, bei der BSR, bei BVG und S-Bahn. Und den vielen Ehrenamtlichen, die sich täglich für unsere Gesellschaft einsetzen und für Solidarität einstehen.

    Wir bewältigen die Krise in einer gemeinsamen Kraftanstrengung von Politik, Wirtschaft und Zivilgesellschaft. Vertrauen wir auf diese starke Kraft in unserer Stadt. Denn es ist die Kraft von uns allen! Die Kraft des Miteinander-Anpackens!

    Ich wünsche Ihnen, dass Sie trotz aller Herausforderungen zuversichtlich ins neue Jahr blicken können. Lassen Sie uns Berlin weiter tatkräftig gestalten. Ich bin sicher: Gemeinsam wird es uns gelingen.“

    #Berlin #Politik #SPD #Blockade #1949 #2023 #WTF

    • Dans son discours du nouvel an la maire de Berlin affirme que « la sécurité énergétique de notre ville est assurée dans tous les secteurs ».

      Le terme « secteur » prend une signification spécifique dans le contexte berlinois. C’est l’appellation des zones d’occupation étatsunienne, britannique, française et soviétique entre 1945 et 1991. Quand la maire principale de la ville et ses assistants ne sont plus au courant de la signification propre au contexte local de cette expression, on ne peut que rire de leur incompétence. C’est comme une maire parisienne qui ignore le mur des Fédérés et l’histoire du boulevard périphérique.

      Le partage de la ville de Berlin en secteurs a marqué la vie quotidienne des berlinois pendant plusieurs générations. Il en résulte un angle de vue sur le monde unique aux berlinois de l’Ouest et de l’Est. Leurs perspectives sont profondément différentes malgré leurs points communs et chacune n’est partagée par personne d’autre sur terre.

      #Berlin #mur #occupation #guerre_froide

  • Aboyeuses de Josselin — Wikipédia
    (via @jean_no)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Aboyeuses_de_Josselin


    La guérison des aboyeuses, sur un vitrail de la basilique Notre-Dame-du-Roncier.

    Les aboyeuses de Josselin étaient des femmes qui entraient en transe à la Pentecôte et lors du pèlerinage de Notre-Dame du Roncier à Josselin (Morbihan). Les sons rauques animaliers, semblables à des aboiements, qu’elles produisaient pendant leur crise, sont à l’origine de cette appellation.

    Ce phénomène, parfois vu comme un mouvement d’hystérie collective, est étayé par de nombreux témoignages, de 1728 à 1953.

  • Direction de la marché de Rungis avec « Bleu fuchsia » d’Odezenne
    , une ode aux travailleurs de l’ombre, fiers de leur « race ferroviaire ».
    https://lhistgeobox.blogspot.com/2022/04/bleu-fuchsia-dodezenne-une-ode-aux.html

    "Au delà des difficultés professionnelles rencontrées, Odezenne célèbre la capacité de résilience de l’employé, dont l’identité ouvrière - la « race ferroviaire » - est brandie avec fierté. Ainsi, les mains du chanteur prennent « la forme du travail », comme une œuvre d’art façonnée par un créateur. Les paroles insistent d’ailleurs sur la dimension artistique des tâches à accomplir, comme le suggère l’assimilation des transpalettes à un ballet de danse. Le charriot élévateur, outil indispensable du secteur de la logistique, n’est plus ici le symbole de l’exploitation, mais plutôt de la libération.

    Au fil du morceau, le travailleur parvient à fuir l’exploitation d’un labeur débilitant, en se réfugiant dans l’art et la poésie. "

  • Quand les artistes tentaient de préserver le patrimoine musical afghan du silence imposé par les talibans.

    https://lhistgeobox.blogspot.com/2021/12/quand-les-artistes-tentaient-de.html

    "Avec l’arrivée des talibans au pouvoir, Radio Kaboul ferme, contraignant à l’exil de nombreux musiciens. (3) Bien conscients du risque de disparition du riche patrimoine musical afghan, les artistes de la diaspora réagissent comme le prouve la création de l’Ensemble Kaboul, un groupe composé de musiciens formés en Afghanistan avant l’interdiction de la pratique musicale. Hossein Arman, le fondateur du groupe, revient sur la genèse du projet. « J’ai quitté le pays six mois après l’arrivée des Moudjahidines, quand Rabanni était président. La plus grande tragédie de ma vie a été la fermeture [du] lycée musical. Je suis le seul professeur survivant, les autres sont morts en exil ou sur place. (...) Mes meilleurs souvenirs sont ceux de la radio (...). Depuis que je suis arrivé en Europe, je me suis donné pour mission de sauvegarder la musique afghane, notamment en fondant l’Ensemble Kaboul avec mon fils Khaled, avec l’aide des Ateliers d’ethnomusicologie de Genève. Nous avons essayé de rassembler les musiciens afghans talentueux qui étaient dispersés dans différents pays occidentaux. Nous avons alors enregistré notre premier disque "Nastaran". » "

  • PricewaterhouseCoopers International : Razzia wegen Verdacht auf Steuerhinterziehung - manager magazin
    https://www.manager-magazin.de/unternehmen/razzia-beim-wirtschaftspruefer-pwc-a-b1c6bee7-5d32-477e-936b-f1a8c1d

    Travailler an Allemagne et payer ses impôt en Suisse, c’est prèsque aussi bien que de travailler en Suisse et payer ses impôts là bas. Le fisc allemand est de l’avis que la première solution est illégale et entreprend une énième tentative de récupérer de l’argent allemand qui est parti dans le système financier suisse sans dire adieu. Là ce sont les dirigeants de PWC qui ont suivi les conseils qu’ils donnent régulièrement à leurs clients : Optez pour la première solution, nous on nous occupe du reste. Je pense que le Luxembourg de Suisse , le canton Zug , y est pour quelque chose.

    01.12.2021 - Ausgerechnet im Zusammenhang mit der Beratung bei Steuerverfahren sollen Mitarbeiter des Wirtschaftsprüfers PwC Steuern in zweistelliger Millionenhöhe hinterzogen haben. Nun haben Fahnder Büros und Privatwohnungen durchsucht.

    Razzia bei der Wirtschaftsprüfungsgesellschaft PwC: Nach Angaben der Generalstaatsanwaltschaft Frankfurt vom Dienstag besteht der Verdacht, dass in den Jahren 2012 bis 2017 in Deutschland erbrachte Beratungsleistungen über die Schweizer Niederlassung abgerechnet wurden. Den Steuerschaden für den deutschen Fiskus bezifferten die Ermittler auf mehr als elf Millionen Euro.Auf der Suche nach Beweismaterial habe es am Dienstag mit Unterstützung der hessischen Steuerfahndung und des Bundeskriminalamts (BKA) eine umfangreiche Durchsuchung in mehreren Bundesländern gegeben, teilten die Ermittler mit.

    Wegen des Verdachts von Steuerhinterziehung in besonders schweren Fällen seien die Wohnungen von vier leitenden Mitarbeitern sowie vier ehemaligen leitenden Mitarbeitern der - von der Generalstaatsanwaltschaft nicht namentlich genannten - Wirtschaftsprüfungsgesellschaft durchsucht worden. Weitere Durchsuchungen gab es in Geschäftsräumen in Frankfurt am Main, Berlin, Düsseldorf, Hannover und Stuttgart.
    PwC: „Wir kooperieren in vollem Umfang mit den Behörden“

    Ein Sprecher von PwC bestätigte die Durchsuchungen. „Staatsanwaltliche Untersuchungen kommen immer wieder vor. Wir haben dazu präzise Prozesse und klare Vorgehensweisen, die unseren Mitarbeitenden bekannt sind; wir kooperieren in vollem Umfang mit den Behörden“, teilte der Sprecher auf Anfrage mit.

    Die Beschuldigten im Alter von 50 bis 67 Jahren stehen nach Angaben der Generalstaatsanwaltschaft im Verdacht, die erbrachten Leistungen gegenüber den Finanzämtern „wahrheitswidrig als solche eines schweizerischen Unternehmens im gemeinsamen internationalen Netzwerkverbund deklariert“ zu haben. „Die Einbeziehung des schweizerischen Unternehmens soll ausschließlich der Verschleierung der Beratungsleistungen im Inland und somit der Umsatzsteuerhinterziehung gedient haben“, erklärten die Ermittler.

    PricewaterhouseCoopers International
    https://de.wikipedia.org/wiki/PricewaterhouseCoopers_International

    PricewaterhouseCoopers International (PwC) ist ein globales Netzwerk rechtlich selbständiger und unabhängiger Unternehmen in den Bereichen Wirtschaftsprüfung, Steuerberatung und Unternehmens- bzw. Managementberatung.

    Kanton Zug

    https://de.wikipedia.org/wiki/Kanton_Zug#Vom_Armenhaus_zum_reichsten_Kanton

    Vom Armenhaus zum reichsten Kanton

    Die wirtschaftsfreundliche Steuerpolitik des Kantons zeigte Wirkung. Von einem Armenhaus schwang sich Zug bis 1990 zum reichsten Kanton der Schweiz auf. Noch in den sechziger Jahren hatte er die höchste Pro-Kopf-Verschuldung, und das Durchschnittseinkommen lag unter dem schweizerischen Durchschnitt. Heute zahlt Zug mit annähernd 300 Millionen Schweizer Franken im Jahr und 2’042 Franken pro Kopf am meisten in den interkantonalen Finanzausgleich NFA. Die Steuerbelastung beträgt aber nur rund die Hälfte des Schweizer Durchschnitts, und das Volkseinkommen pro Kopf zählt zu den höchsten in der Schweiz. 2011 lag das Bruttoinlandsprodukt pro Kopf im Kanton Zug bei 125’138 Franken.

    Steuern
    https://de.wikipedia.org/wiki/Kanton_Zug#Steuern

    Viele Domizilfirmen und Holdings haben ihren Sitz im Kanton Zug, da die Unternehmungsbesteuerung auf einem im internationalen Vergleich sehr niedrigen Niveau ist. Aber auch viele Unternehmen, die der ordentlichen Besteuerung unterliegen, sind im Kanton Zug ansässig. Die Rolle als Steueroase wird international und auch in der Schweiz selbst kritisch gesehen.

    Steuertarif — Kanton Zug
    https://www.zg.ch/behoerden/finanzdirektion/steuerverwaltung/steuertarif

    Der an­wend­ba­re Steu­er­ta­rif für die or­dent­li­chen Steu­ern von Na­tür­li­chen Per­so­nen rich­tet sich nach § 35 StG und § 44 StG. Die kan­to­na­le Steu­er­ver­wal­tung passt die Ta­rif­stu­fen bei der Ein­kom­mens­steu­er und der Ver­mö­gens­steu­er jähr­lich an den Lan­des­in­dex der Kon­su­men­ten­prei­se an.

    Die an­wend­ba­ren Steu­er­ta­ri­fe für die Di­rek­te Bun­des­steu­er fin­den Sie di­rekt auf der Home­page der Eidg. Steu­er­ver­wal­tung.

    Steuerrechner — Kanton Zug
    https://www.zg.ch/behoerden/finanzdirektion/steuerverwaltung/steuerrechner

    #Allemagne #Suisse #impôts #fraude