• Jiujiebian (九節鞭)
    九节鞭立圆舞花,高手看家招式,武术教练教你2分钟掌握要点 - 知乎
    https://zhuanlan.zhihu.com/p/50380840
    https://vdn3.vzuu.com/HD/76fc17ba-ec6b-11e8-a351-0a580a44bea7.mp4?auth_key=1704566792-0-0-5a4090fe

    https://de.wikipedia.org/wiki/Jiujiebian

    Die Jiujiebian (chinesisch 九節鞭 / 九节鞭, Pinyin jiǔjiébiān – „neunteilige/-gliedrige Peitsche“), auch Kettenpeitsche oder chain whip, wird in diversen Kampfkünsten verwendet. Neben der neungliedrigen Peitsche gibt es auch Varianten mit weniger oder mehr Gliedern, z. B. die Qijiebian (七節鞭 / 七节鞭, qījiébiān) mit sieben Gliedern.

    #Chine #arts_martiaux

  • Ces “hipsters de l’eugénisme” qui veulent changer l’avenir de l’humanité
    https://www.courrierinternational.com/long-format/rencontre-ces-hipsters-de-l-eugenisme-qui-veulent-changer-l-a

    Simone et Malcolm Collins sont persuadés de la supériorité de leurs gènes. Ils veulent avoir un maximum d’enfants pour peser sur l’évolution humaine. Leurs idées aux relents dystopiques sont en vogue dans les milieux américains de la tech, et promues entre autres par Elon Musk, raconte le site new-yorkais “Business Insider”.

    #eugénisme #kill_the_rich

    • Lien direct entre complotisme du Grand remplacement, eugénisme déguisé en progressisme, et exploitation du corps des femmes, considérées comme le terrain de bataille (et terreau reproductif) pour la grande et belle Civilisation qu’il faut sauver.

      ping @mad_meg

      Admire-moi ce dogwhistle pour faire passer le racisme (vaguement déguisé en classisme pour ne pas être trop obvious) pour du progressisme :

      Les Collins redoutent même que ces gens qui ne veulent pas d’enfant soient aussi ceux attachés aux droits des homosexuels, à l’éducation des femmes, à l’engagement dans la lutte pour le climat. Or ces engagements étant à leurs yeux codés génétiquement, ce sont des valeurs qui risquent de disparaître si leurs défenseurs ne se reproduisent pas.

    • Très bonne illustration de comment la revendication d’un « droit à mettre au monde », quelles que soient les circonstances et quelles que soient les contraintes biologiques, peut conduire à cette forme moderne d’eugénisme.
      L’appareillage technologique (PMA et GPA), défendu, au nom de la constitution d’une humanité augmentée ou transhumanistes, joue un rôle déterminant dans cette idéologie. Il est affligeant de constater que dans notre camp (" gauche") la dénonciation de cette idéologie soit souvent taxée de réactionnaire ou fasciste.
      Dans ce monde capitaliste, serait-il possible que cette forme de revendication trashumaniste prenne d’autres formes que cette défense de l’élite bourgeoise ?

    • Ah, fachos, comme je vous aime ! Vous me donnez des sentiments de « Heimat » comme si j’étais chez moi chez chez vous ...

      Lebensborn
      https://en.wikipedia.org/wiki/Lebensborn

      On 13 September 1936, Heinrich Himmler wrote the following to members of the SS:

      The organisation “Lebensborn e.V.” serves the SS leaders in the selection and adoption of qualified children. The organisation “Lebensborn e.V.” is under my personal direction, is part of the Race and Settlement Central Bureau of the SS, and has the following obligations:

      Support racially, biologically and hereditarily valuable families with many children.
      Placement and care of racially, biologically and hereditarily valuable pregnant women, who, after thorough examination of their and the progenitor’s families by the Race and Settlement Central Bureau of the SS, can be expected to produce equally valuable children.
      Care for the children.
      Care for the children’s mothers.

      It is the honorable duty of all leaders of the central bureau to become members of the organisation “Lebensborn e.V.”. The application for admission must be filed prior to 23 September 1936.[3]

      In 1939, membership stood at 8,000, of which 3,500 were SS leaders.[4] The Lebensborn office was part of SS Rasse und Siedlungshauptamt (SS Race and Settlement Main Office) until 1938, when it was transferred to Hauptamt Persönlicher Stab Reichsführer-SS (Personal Staff of the Reichführer-SS), i.e. directly overseen by Himmler. Leaders of Lebensborn e. V. were SS-Standartenführer Max Sollmann [de] and SS-Oberführer Dr. Gregor Ebner.

      #eugénisme #nazis

    • @arno, je vois pas en quoi l’aspect upper class, gagnants et être supérieur serait un déguisement ici. la référence à Gengis Khan n’est pas là pour rien. ils veulent des fondateurs et des maîtres d’empires, fussent-ils Hans ou Mongols. pas des nonos incapables d’aller à Harvard, ou de financer correctement l’investissement dans l’élevage de 8 enfants destinés à « réussir » comme de vulgaires prolos, fussent-ils blancs, mais une élite blanche pour tenir tête aux racisés et à la Chine. du classisme, je ne sais pas, mais assurer la domination de classe au moyen d’une élite génétiquement sélectionnée, oui.

      #grand_remplacement #natalisme

    • En gros ils ont regardé l’intro d’Idiocracy et l’ont pris au sérieux. C’est un beau spectacle que ce crépuscule de l’humanité, les mêmes qui ne sont pas capables de laisser vivable notre planète veulent tout de même continuer à régner sur ses ruines, voire devenir immortels. On se demande bien pour faire quoi.

    • La photo des Collins ne valide pas trop leur théorie de supériorité de leurs gènes puisqu’à 35 ans ils ont déjà tous les deux des lunettes sur le nez ! Sans parler des œillères dans la tête.

  • Mark Lilla, Margaret Atwood, Wynton Marsalis… : « Notre résistance à Donald Trump ne doit pas conduire au dogmatisme ou à la coercition »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/07/08/mark-lilla-margaret-atwood-wynton-marsalis-notre-resistance-a-donald-trump-n

    Un tel débat est intéressant, même si on peut toujours douter de l’emphase mise sur quelques cas pour les confondre avec une atmosphère de censure, ou plutôt de "gorkisme", qui n’est pas encore si prégnante que veut le dire le texte (mais le danger existe, notamment dans des cercles fermés, j’en ai fait l’expérience amère dans les groupes "soit-disant gauchistes" des années 1970). La liberté d’expression a elle-même des limites, notamment le discours de haine, la diffamation,... Mais la définition même ce ces limites est un enjeu politique. Certes, ce sont la droite et l’extrême-droite, notamment en ce qu’ils tiennent les cordons de la bourse des médias, qui sont les acteurs majeurs en ce domaine, et les revendications des minorités de vouloir "faire fermer leur g..." aux haineux sont totalement compréhensibles. Mais là encore, l’expérience du XXe siècle (réalisme socialiste, Djanov, Lin Piao, Yao Wen Yang,...) montre que sous des couleurs de "défense des opprimés" peut se mettre en place un système de censure d’autant plus sauvage qu’il fait appel aux "tribunaux populaires" et se réalise en "lynchages médiatiques". Pour autant, les signataires ne sont pas blanc bleu, car souvent ils négligent la colère des minoritaires et opprimés devant l’immobilisme de la "classe créative" face aux injustices intersectionnelles (classe, race, genre, culture,...). Un débat complexe, où tous les points de vue ont une part de justice et de réalisme. Il ne faudrait pas que cela devienne un chiffon rouge pour diviser les mouvements... ce qui est parfois présent dans des tournures "imprécises" du texte (qui a dit quoi et qui interdit quoi et quand et dans quelles circonstances,...). Comment inventer un art libre et une pensée ouverte sans sombrer dans le relativisme et ignorer les grands déséquilibres et inégalités qui percluent notre monde.

    Tribune. Nos institutions culturelles sont aujourd’hui à l’épreuve. Les puissantes manifestations en faveur de la justice raciale et sociale revendiquent une réforme de la police trop longtemps différée et font plus largement entendre des appels pour davantage d’égalité et d’inclusion dans notre société, notamment dans l’enseignement supérieur, le journalisme, la philanthropie et les arts.

    Mais cette nécessaire prise en compte a aussi renforcé tout un ensemble de postures morales et d’engagements politiques qui risquent d’affaiblir les règles du débat public et l’acceptation des différences au profit d’un conformisme idéologique. Autant nous avons salué la première phase de ce mouvement, autant nous voulons nous élever contre la seconde.

    Les forces illibérales gagnent du terrain partout dans le monde et trouvent un puissant allié en Donald Trump, qui représente une réelle menace contre la démocratie. Notre résistance ne devrait pas conduire au dogmatisme ou à la coercition. L’inclusion démocratique que nous appelons de nos vœux ne peut advenir que si nous refusons le climat d’intolérance général qui s’est installé de part et d’autre.
    Crainte des représailles

    L’échange libre des informations et des idées, qui est le moteur même des sociétés libérales, devient chaque jour plus limité. La censure, que l’on s’attendait plutôt à voir surgir du côté de la droite radicale, se répand largement aussi dans notre culture : intolérance à l’égard des opinions divergentes, goût pour l’humiliation publique et l’ostracisme, tendance à dissoudre des questions politiques complexes dans une certitude morale aveuglante. Nous défendons le principe d’un contre-discours solide et même caustique de toutes parts.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Non, Emmanuel Macron n’est pas l’incarnation du racisme systémique »

    Or, les appels à sanctionner rapidement et sévèrement tout ce qui est perçu comme une transgression langagière et idéologique sont devenus monnaie courante. Plus inquiétant encore, des dirigeants institutionnels, ne sachant plus où donner de la tête pour limiter les dégâts, optent pour des sanctions hâtives et disproportionnées plutôt que pour des réformes réfléchies.

    « La censure, que l’on s’attendait plutôt à voir surgir du côté de la droite radicale, se répand largement aussi dans notre culture »

    On renvoie des rédacteurs en chef pour avoir publié des articles controversés ; on retire des livres sous le prétexte d’un manque d’authenticité ; on empêche des journalistes d’écrire sur certains sujets ; on enquête sur des professeurs à cause des œuvres littéraires qu’ils citent en classe ; un chercheur est renvoyé pour avoir fait circuler un article scientifique dûment examiné par des pairs ; et on limoge des dirigeants d’organisation pour des erreurs qui ne sont parfois que des maladresses.

    Quelles que soient les raisons invoquées, la conséquence en est qu’il est de plus en plus difficile de prendre la parole sans craindre des représailles. Nous en faisons déjà les frais, à en juger par l’aversion au risque qui se développe parmi les écrivains, les artistes et les journalistes, inhibés par la peur de perdre leur gagne-pain s’ils s’écartent du consensus ou même s’ils ne font pas preuve du zèle attendu pour se conformer.
    La justice n’existe pas sans la liberté

    Cette atmosphère étouffante va finir par nuire aux causes les plus vitales de notre époque. Restreindre le débat, que ce soit le fait d’un gouvernement répressif ou d’une société intolérante, nuit immanquablement à ceux qui ne détiennent pas le pouvoir et nous rend tous moins aptes à participer à la vie démocratique.

    Pour vaincre de mauvaises idées, il faut les exposer, argumenter et convaincre, et non pas essayer de les taire ou espérer qu’elles disparaissent.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi Le réalisateur Jean-Pascal Zadi : « Il y a autant d’identités noires en France que de Noirs »

    Nous rejetons les faux choix qu’on nous présente entre la justice et la liberté : l’une n’existe pas sans l’autre. En tant qu’écrivains, notre métier repose sur la marge que la société nous accorde pour l’expérimentation, la prise de risque et même l’erreur. Nous avons besoin de préserver la possibilité d’un désaccord de bonne foi sans conséquences professionnelles désastreuses. Si nous ne défendons pas ce qui est la condition même de notre travail, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que le public ou l’Etat le fasse pour nous. (Traduit de l’anglais par Pauline Colonna d’Istria)
    La querelle de la « cancel culture » oppose de nombreux intellectuels aux Etats-Unis

    Aux Etats-Unis, la nouvelle gauche, née des mouvements #metoo et Black Lives Matter, serait à l’origine d’un phénomène qui inquiète de nombreux intellectuels américains, la « cancel culture », autrement dit une tendance à vouloir faire taire des voix jugées dissonantes, dangereuses ou haineuses. Né sur les réseaux sociaux, ce phénomène se traduit par des mobilisations qui ont fini par provoquer des démissions, renvois, annulations de conférence, etc. Cinq des auteurs de la tribune que nous publions (Mark Lilla, Thomas Chatterton Williams, George Packer, David Greenberg et Robert Worth) sont des intellectuels engagés dans la défense de la liberté d’expression. Avec les 150 personnalités qui se sont jointes à leur appel, ils estiment qu’une frange de la gauche radicale américaine pratiquerait ainsi une forme de censure. Publié sur le site du mensuel américain Harper’s, ce texte devrait l’être également en Allemagne, en Espagne et au Japon.

    Plusieurs événements récents témoignent de ces nouvelles tensions. Début juin, le directeur des pages « Opinion » du New York Times, James Bennet, a été licencié après la parution d’une tribune signée par un sénateur républicain appelant à l’envoi de l’armée contre les manifestations violentes. Tant au sein de la rédaction du quotidien new-yorkais que sur les réseaux sociaux, ce texte a suscité une vive émotion, certains estimant qu’il pouvait porter atteinte à la sécurité des personnes noires. Sans soutenir le contenu de cet article, d’autres personnalités ont estimé que James Bennet avait été limogé avec un empressement douteux, comme s’il fallait au plus vite donner satisfaction aux internautes en colère. Parmi les signataires de la présente tribune se trouvent d’ailleurs plusieurs grandes signatures du New York Times.

    Autre renvoi ayant suscité l’indignation, celui de David Shor, un analyste de données qui a été licencié début juin par son employeur, Civis Analytics, une société de conseil politique proche des démocrates. Il était reproché à M. Shor d’avoir retweeté l’étude d’un chercheur, de l’université de Princeton (New Jersey), qui tendait à démontrer que les manifestations violentes, comme il a pu y en avoir récemment aux Etats-Unis pour dénoncer les violences policières, ont un impact positif sur le vote républicain. Cette attention portée aux conséquences néfastes des manifestations violentes avait été considérée, par certains militants, comme une manière de faire taire la colère des populations noires aux Etats-Unis.

    D’autres intellectuels ne partagent pas cette vision du débat sur la « cancel culture ». Ils estiment au contraire qu’il va permettre de donner davantage la parole aux minorités généralement moins ou peu entendues. D’autres encore jugent que les dénonciateurs de la « cancel culture » font fausse route : selon eux, les menaces sur la liberté d’expression viendraient bien davantage de l’extrême droite que de la gauche radicale. Ils ajoutent que le recours à l’intimidation et à la violence pour faire taire ses opposants serait d’abord et avant tout, aux Etats-Unis, le fait des suprémacistes blancs. Ils rappellent également que Donald Trump a, lui aussi, durement attaqué la « cancel culture » le 4 juillet.

    Sont notamment signataires de cette tribune : Martin Amis, écrivain britannique ; Anne Applebaum, historienne américaine ; Marie Arana, essayiste et éditrice américaine ; Margaret Atwood, romancière canadienne ; John Banville, romancier irlandais ; Jennifer Finney Boylan, auteure, professeure à l’université Columbia (New York) ; David Brooks, chroniqueur américain ; Ian Buruma, journaliste et essayiste néerlandais ; Noam Chomsky, professeur émérite de linguistique, Massachusetts Institute of Technology ; Roger Cohen, chroniqueur américain ; Kamel Daoud, écrivain algérien ; Gerald Early, professeur de lettres modernes, d’anglais, d’études africaines et d’études afro-américaines, université Washington de Saint-Louis (Missouri) ; Jeffrey Eugenides, romancier américain ; Richard T. Ford, professeur de droit à l’université de Stanford (Californie) et spécialiste des discriminations ; Francis Fukuyama, politiste américain ; David Greenberg, professeur d’histoire, université Rutgers (New Jersey) ; Bill T. Jones, danseur et chorégraphe américain ; Joy Ladin, poète américaine ; Mark Lilla, essayiste et professeur de sciences humaines à l’université de Columbia (New York) ; Greil Marcus, essayiste et critique musical américain ; Wynton Marsalis, musicien américain ; Mark Oppenheimer, essayiste américain ; George Packer, journaliste et essayiste américain ; Nell Irvin Painter, historienne, spécialiste de l’histoire du sud des Etats-Unis et des Afro-Américains au XIXe siècle ; Steven Pinker, professeur de psychologie cognitive, université Harvard (Massachusetts) ; J.K. Rowling, romancière britannique ; Salman Rushdie, écrivain britannique ; Gloria Steinem, essayiste et militante féministe américaine ; Michael Walzer, professeur émérite de science sociale à Princeton (New Jersey) ; Thomas Chatterton Williams, essayiste et journaliste américain ; Robert F. Worth, journaliste américain ; Fareed Zakaria, journaliste américain, spécialiste des relations internationales. La liste complète des signataires :

    Liste Signataires Tribune Cancel Culture by Le Monde on Scribd

    #Liberté_expression

  • Poésies des Thang — Autres poètes connus - Gaoshi - 高適
    https://web.archive.org/web/20070626064909/http://afpc.asso.fr/wengu/Tang/Autres1.php

    Le retour dans la montagne

    On respire un air vif et pur, et voilà que le soleil disparaît dans les froides profondeurs de ces rochers immenses.

    Je veux vous reconduire jusqu’à votre montagne ; ami, je connais maintenant votre cœur.

    Quand l’âge mûr succède à l’active jeunesse, le temps est venu de cesser la lutte et de s’appartenir à soi-même ;

    Vous avez su, je le vois, comprendre la vie, et régler la vôtre comme il faut.

    Qu’il vous plaise de marcher ou de vous reposer, rien ne vous poursuit ni ne vous arrête ;

    Sans entendre d’autre murmure que celui des sources, d’autres bruits que ceux du vent ou de la pluie,

    Vous foulez un sol toujours jonché des fruits du song ou des fleurs du cannelier.

    Les simples que vous vendez vous procurent largement de quoi subvenir à vos faibles dépenses ;

    Vous recueillez enfin ces herbes précieuses, dont les sucs puissants donnent la longévité.

    Les nuages blancs sont de gracieux compagnons qui vous exhortent à boire ;

    En quelque endroit que vous vous retiriez pour dormir, la lune brillante n’est-elle point près de vous ?

    J’emporte, moi, de cette journée, des souvenirs que ne peut effacer le sommeil ;

    Nous allons donc nous revoir en songe, car mon esprit, cherchant le vôtre, saura bien revenir ici.

    Kao-chi (Gao Shi)

    Nous venons de voir quelques productions de l’époque des Thang, dont les auteurs précédèrent Thou-fou et Li-taï-pé. Nous arrivons maintenant aux poètes contemporains de ces deux hommes célèbres. A leur tête, et par droit d’ancienneté, doit figurer tout d’abord Kao-chi.

    Né dans le Chan-toung dès la fin du VIIe siècle, il attendit sa cinquantième année pour composer des vers. Son existence avait été des plus agitées, et sa célébrité fut précédée d’une longue période de découragement. Les biographes nous le montrent tour à tour dans les situations les plus diverses, luttant contre la pauvreté durant sa jeunesse ; épris d’une comédienne qu’il suit à travers les provinces, écrivant des pièces de théâtre pour la troupe nomade dont elle fait partie ; secrétaire d’un haut personnage en mission diplomatique dans le Tibet, puis soldat, puis enfin poète en renom, acquérant, au déclin de son âge, la fortune et les distinctions qui ne manquent guère, à la Chine, de suivre les succès littéraires.

    Kao-chi fut lié d’amitié avec Thou-fou malgré la grande différence d’âge qui existait entre eux. Les Chinois vantent l’élévation de ses sentiments et la noblesse de ses expressions. Il affectionne certaines tournures antiques, qui rendent parfois ses vers très difficiles à entendre pour le lecteur européen, et, dans le choix des rimes comme dans l’arrangement des strophes, il prend assez souvent des libertés dont ses contemporains de la nouvelle école n’usaient déjà plus que fort rarement.

    Gao Shi — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Gao_Shi

    #Chine #histoire #poésie #dynastie_tang

  • Hasenheide: Angoraziege geschlachtet – Tatverdächtige haben Bein im Rucksack
    https://www.berliner-zeitung.de/berlin/polizei/hasenheide-angoraziege-geschlachtet---tatverdaechtige-haben-bein-im

    Hunger ist der beste Koch, und vor allem macht er erfinderisch. Was für die vegane Streichelzoogentry von Kreuzkölln eine SS-Einsatzgruppen-Aktion ist, ist für die ganz armen Landbewohner Rumäniens Alltag.

    „Du kannst kein Essen kaufen?
    Kein Problem, der reiche Nachbar hat noch Schafe.“

    Einbrecher haben am Sonntagabend im Streichelzoo an der Neuköllner Hasenheide eine seltene Angoraziege geschlachtet. Am späten Sonntagabend erwischte die Polizei zwei Männer beim Verlassen des Tiergeheges im Volkspark Hasenheide. Zunächst war die Rede von einem getöteten Schaf - inzwischen steht jedoch fest: Das Tier war eine Angoraziege, die wegen ihres dichten Fells oft mit einem Schaf verwechselt wird.

    Soweit so gut. Achtung jetzt wird’s blutig. Kinder und Schwangere verlassen bitte den Saal, Gewaltporno ab!

    Einer der Männer habe ein blutverschmiertes Messer bei sich getragen, so ein Polizeisprecher. In einem Rucksack seien ein Bein des Tieres und Handschuhe mit Blutspuren gefunden worden.

    Um 1900 wurden im gar nicht mehr so wilden Westen der USA Pferdediebe gelyncht. Mal sehen, wie es den Berliner Ziegenmördern ergeht.

    Erst Ende Januar waren zwei Schafe aus dem Streichelzoo entwendet worden. In einem nahen Busch wurden Überreste eines säuberlich geschlachteten schwangeren Tiers gefunden. Das zweite gestohlene Schaf blieb damals unverletzt. Ob die Festgenommenen auch das erste Schaf töteten, ist noch unklar.

    War doch klar, geschnappt werden immer die Dummen, die keine Zeitung lesen. Wenn ein Ding solche Aufregung verursacht, dann geben sich die Sheriffs echt Mühe. Da geht man kein zweites Mal rein. Nicht nach so kurzer Zeit. Nicht in der Hasenheide. Dumm gelaufen, im wahrsten Sinne des Wortes.

    Die beiden 29-jährigen Rumänen hatten ersten Erkenntnissen zufolge der Ziege noch im Gehege die Kehle durchgeschnitten und ein Bein abgetrennt. Im Raum stehen der Verdacht des Verstoßes gegen des Tierschutzgesetz sowie des Diebstahls.

    Eigentich ein Wunder, wenn nicht noch mehr Mittellose auf die Idee kommen, dass da was anderes als Betteln geht. Rumänen sind halt einfallsreicher. Trotzdem schade ums Schaf, äh, nö, war ja ne Ziege. Auch schade.

    #Berlin #Armut #Kriminalität #Tierschutz

  • Was der Kaupert nicht weiß - Alfred-Scholz-Platz in Neukölln
    https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Stra%C3%9Fen_und_Pl%C3%A4tze_in_Berlin-Neuk%C3%B6lln


    Natürlich kennt Kaupert-online den Nicht-Platz Alfred-Scholz-Platz und auch seinen Vorgänger, den Nicht-Platz der Stadt Hof. Nur über Alfred Scholz weiß Kaupert nix. So viel Mühe, zu jeder Straße die wirkliche Geschichte aufzuschreiben hat sich nur die Edition Luisenstadt gemacht. Kaupert hat deren Datenbank vor langer Zeit gekauft. Seitdem ist sie tot. Historische Recherchen zu neuen Einträgen? Pustekuche. Vermutlich ist das den Kaupert-Besitzern zu teuer.

    Jetzt aber mal zum „Platz“, der keiner ist. Da will nie einer hin, nicht mit dem Taxi, und da muß höchstens mal jemand abgeholt werden, der im Schnäppchen-Center den Hals nicht voll gekriegt hat. Die Ecke heißt deshalb einfach „am Schnäppchen-Center“ und man muß schon wissen, wo das in der Karl-Marx ist. Tipp mal am Schnäppchen-Center ins Navi, dann versteht Du, wozu es Taxifahrer gibt. Aber vielleicht hat der „Platz“ doch eine Zukunft, seien wir mal optimistisch, und wird zu dem, was sein name verspricht.

    Der Platz wird begrenzt von Richardstraße, Donaustraße, Ganghoferstraße und Anzengruberstraße. Zu einem Platz wurde der Bereich erst 1984 durch den Anschluss einer Verkehrsinsel an den Bürgersteig und trug ab dem 6. Juli 1985 den Namen Platz der Stadt Hof, nach der Neuköllner Partnerstadt Hof an der Saale. Ab 2012 ließ die Bezirksverwaltung den Platz umfassend umgestalten und bis zur Richardstraße verlängern. Durch mehrfarbige Steinmosaike wird auf die Bevölkerung des Ortsteils hingewiesen, die aus verschiedenen Nationalitäten stammt. Außerdem sind mehrere Anwohnerhinweise berücksichtigt worden. Im September 2013 wurden Überlegungen bekannt, diesen Platz nach dem letzten Neuköllner (Stadt)-Bürgermeister Alfred Scholz umzubenennen. Die Wiedereröffnung und Umbenennung fand am 28. April 2014 unter dem neuen Namen und unter Anwesenheit von Angehörigen Scholz’ statt.

    Was ist denn eigentlich ein Platz?

    Platz – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Platz

    Ein Platz ist im städtebaulichen Kontext eine in der Regel von Gebäuden umbaute freie Fläche in Städten. Plätze sind häufig Brennpunkte des öffentlichen Lebens in der Stadt. Sie sind daher das zentrale Thema und Raumelement des Städtebaus.

    Zentrale Plätze sind die „gute Stube“ vieler Städte und repräsentieren die Stadtherren oder Bürgerschaft. Sie sind daher zumeist besonders aufwendig gestaltet. Oft liegen wichtige öffentliche Gebäude wie Rathäuser und Kirchen an zentralen Plätzen. Die umliegenden Bauwerke haben prächtige Schaufassaden. Der Platz selbst wird mit Monumenten und Brunnen dekoriert, der Bodenbelag besteht oft aus wertvollen Materialien.

    Man lerne - es reicht nicht, einer mit „Gebäuden umbauten freien Fläche“ einen Namen zu geben, um daraus einen Platz zu machen. Da müssen schon Rathäuser, Kirchen, prächtige Schaufassaden, Monumenten und Brunnen her, damit aus einer Freifläche ein Brennpunkt des öffentlichen Lebens wird. Nicht zu vergessen sind Plätze auch Verkehrsknotenpunkte, ob nun für Kutschen, Auto- oder Fahrradverkehr hängt von Zeitalter und Geschmack ab.

    Olle Alfred hat nix davon, der hat nur sein Schnäppchen-Center. Ob das reicht, um aus dem überflüssigen urbanen Leerraum einen Platz werden zu lassen, muß die Zukunft zeigen. Zum Glück wird die U-Bahn-Sanierung bald abgeschlossen und die Karl-Marx-Straße wieder voll befahrbar und begehbar sein. In einem Jahr sind wir schlauer. Für olle Alfred sieht es dennoch schlecht aus. Der Name ist viel zu schwer für die Ausländischsprecher von #Kreuzkölln.

    Alfred-Scholz-Platz in Berlin - KAUPERTS
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Alfred-Scholz-Platz-Berlin

    Postleitzahl 12043
    Ortsteil Neukölln
    ÖPNV Zone A Bus 104
    Straßenverlauf an #Richardstraße, #Donaustraße, #Ganghoferstraße und #Anzengruberstraße
    Falk‑Stadtplan Planquadrat OP 19
    Geschichte von Alfred-Scholz-Platz
    Ehemaliger Bezirk Neukölln
    Name seit 31.03.2014
    Name bis 31.03.2014: Platz der Stadt Hof

    Gedenktafeln in Berlin - Gedenktafel Anzeige
    http://www.gedenktafeln-in-berlin.de/nc/gedenktafeln/gedenktafel-anzeige/tid/alfred-scholz

    Die Edelstahltafel ist in das Pflaster an der Fußgängerampel in Höhe der Werbellinstraße eingelassen. Die Enthüllung fand zeitgleich mit der Platzumbenennung (vorher: Platz der Stadt Hof) durch Bezirksbürgermeister Heinz Buschkowsky und Baustadtrat Thomas Blesing am 28.4.2014 statt.

    Einladung zur Eröffnung des Alfred-Scholz-Platzes am 28. April 2014 - Berlin.de
    https://www.berlin.de/ba-neukoelln/aktuelles/pressemitteilungen/2014/pressemitteilung.281354.php

    Pressemitteilung vom 14.04.2014
    Am 28. April 2014 um 12 Uhr wird das neue Herzstück der Karl-Marx-Straße durch Herrn Bezirksbürgermeister Heinz Buschkowsky und Baustadtrat Thomas Blesing eröffnet und den Neuköllnern zur Nutzung übergeben.

    Vor dem Umbau war der Platz der Stadt Hof kaum als Platz wahrnehmbar. Im Zuge der Eröffnung nach der Neugestaltung erhält der Platz nun auch seinen neuen Namen „Alfred-Scholz-Platz“ , nach dem ersten sozialdemokratischen Bürgermeister der Stadt Neukölln. Angehörige von Alfred Scholz werden bei der Enthüllung des neuen Straßenschildes und einer Gedenkplatte anwesend sein.
    Die Neuköllner sind herzlich aufgerufen, ihren neuen Platz in zentraler Lage im Neuköllner Bezirkszentrum mit Leben zu füllen. Bereits bei der Planung des Platzumbaus wurden die Bürger umfangreich beteiligt. Die Künstlerin Nadia Kaabi-Linke und Vertreter von el:ch Landschaftsarchitekten, die den Wettbewerb zur Gestaltung des Platzes mit der Idee, die Neuköllner Bevölkerung und ihre Herkunft im Pflaster des Platzes abzubilden, gewonnen haben, werden bei der Eröffnung dabei sein.

    In der [Aktion! Karl-Marx-Straße] gestalten die Akteure der Karl-Marx-Straße gemeinsam die Zukunft des Neuköllner Geschäfts-, Verwaltungs- und Kulturzentrums. Auf Initiative des Bezirksamtes Neukölln von Berlin. Weitere Informationen unter www.Aktion-KMS.de

    Neuer Alfred-Scholz-Platz: Neukölln macht Hof nicht mehr den Hof - Berlin - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/berlin/neuer-alfred-scholz-platz-neukoelln-macht-hof-nicht-mehr-den-hof/9817454.html

    „Wir sind natürlich nicht begeistert und finden es sehr schade, dass der Platz der Stadt Hof nicht mehr den Namen unserer Stadt trägt“, sagt Hofs Oberbürgermeister Harald Fichtner von der CSU. Die Hofer könnten nachvollziehen, dass sich der alte Name nicht im Volksmund durchgesetzt habe, doch die Enttäuschung sei schon groß. Hof habe eine besondere Beziehung zu Neukölln, wo doch viele West-Berliner zu Zeiten des Eisernen Vorhangs mal kurz Urlaub in Oberfranken gemacht hätten, gleich hinter der Grenze.

    Quiez schreibt den Platz schön. Ganz interessant ist, wie der Artikel die künstliche Beatmung des Ortes beschreibt.
    Neues Zentrum: der Alfred-Scholz -Platz in Neukölln
    https://www.qiez.de/neukoelln/wohnen-und-leben/neues-zentrum-der-alfred-scholz-platz-in-neukoelln/167116765
    https://images01.qiez.de/P1090322.jpg/facebookShareImage/0/167.116.950/167.116.947

    Besucher kommen einfach vorbei, potenzielle Veranstalter können sich beim Citymanagement der [Aktion! Karl-Marx-Straße] über Vorgaben und Rahmenbedingungen informieren.

    So sieht es ein habes Jahr später aus beim Citymanagement: Nicht ganz up-to-date - man könnte sagen, da hat es Geld gegeben aber keine Nachhaltigkeit. Wenn kein Wunder geschieht, bleibt die Ecke ein verbreiteter Gehweg .
    Aktion Karl Marx Straße | Alfred-Scholz-Platz
    http://www.aktion-kms.de/alfred-scholz-platz

    Der Platz, der vor seinem Umbau noch Platz der Stadt Hof hieß, wirkte zuvor wie ein verbreiteter Gehweg, kaum als Platz wahrnehmbar und war bei den meisten Neuköllnerinnen und Neuköllnern unbekannt. Die [Aktion! Karl-Marx-Straße] hat ihn zum Mittelpunkt der Karl-Marx-Straße ausgebaut und seine städtebauliche Position betont. Mittlerweile hat er sich auch als beliebter Veranstaltungsort etabliert.

    Noch so eine nicht-nachhaltige Veranstaltung

    Soloh Market - Berlin.de
    https://www.berlin.de/special/shopping/designmaerkte/3802227-1741634-soloh-market.html

    Der Soloh Market ist gleichzeitig Designmarkt und Flohmarkt. Neben Design- und Upcycling-Produkten von Berliner Kreativen gibt es auch allerlei Trödel zu kaufen.

    Wann: Termine für 2018 noch nicht bekannt

    Wer soll das bezahlen? Na wir alle und zwar fürs Erste 750 Kiloeuro. Der laufende Betrieb des Platzes kostet dann natürlich laufend. Hier der Beweis:

    http://www.architekturpreis-berlin.de/Archiv/2016/Projekte/095

    Fertigstellung - April 2014
    Architekt - el:ch landschaftsarchitekten GbR
    Team - Elisabeth Lesche, Christian Henke
    Bauherr - Bezirksamt Neukölln von Berlin
    Adresse - Alfred-Scholz-Platz, 12043 Berlin (Neukölln)
    Flächenangabe - 3500 m2
    KG 500 nach DIN 276 - 750000 €

    Der Alfred-Scholz-Platz liegt im Herzen von Neukölln. Der dyna­mi­sche Bezirk ist bekannt für seinen hohen Bevölkerungsanteil mit Migrationshintergrund. Gentrifizierung hat bisher noch wenig Einfluss auf die demografische Struktur genommen. Alle Altersgruppen leben miteinander und vermischen sich auf kleinem Raum. Das Projekt „Mein Stein“ der Künstlerin Nadia Kaabi Linke prägt den Platzboden. Berliner Passe-Pflaster trifft auf mediterranes Mosaik: Die verwendeten Steine stammen aus 7 Weltregionen, der Heimat der heutigen Neuköllner Bevölkerung. Das „demographische Pflaster“ bietet viele Deutungsebenen. Das Konzept illustriert wie Neukölln durch seine Bewohner auf vielfältige Weise an Farbe, Form und Atmosphäre gewinnt. Die Arbeit übersetzt statistische Daten zurück in lebendige Formen und Farben. Dabei bildet es einen robusten Teppich, auf dem die Neuköllner ihre zahlreichen Feste feiern. Der Platz bietet seinen Nutzern Offen­heit, Flexibilität und viel Raum für Veranstaltungen und spontane Aktion. Sein lebendig gefärbter Boden verleiht ihm Dynamik und spielerische Leichtigkeit. Die Sitzgelegenheiten im lichten Schatten der Baumkronen sind vom ersten Sonnenstahl an umlagert. Auch die angepflanzten Bäume sind Kosmopoliten: Es handelt sich um Japanische Zelkoven, die genügend Widerstandskraft mitbringen.

    #Berlin #Neukölln #Alfred-Scholz-Platz #Kaupert

  • La maison hantée de Berlin-Kladow
    http://www.kladower-forum.de/?p=550

    Der Venezianische Löwenbrunnen aus Schloss Brüningslinden kommt nach Kladow zurück | Kladower Forum

    Kladow est un village à l’extrème ouest de Berlin qui perd son seul site historique pendant la folle époque lors ce que les subventions destinées à la création de logements sociaux s’écoulent directement dans les poches des promoteurs immobiliers surnommés « Baulöwen ». Cet animal, le « lion de la construction » est un cousin du « Immmobilienhai » connu des Anglais sous la charmante appellation « loan shark ». Ces espèces courent les antichambres de la ville du mur en costume de syndicaliste moderne et s’emparent de chaque terrain à vendre. En 1972 leurs copains social-démocrates au sein du gouvernement municipal considèrent que les profits d’aujourd’hui sont plus importants que les châteaux en piètre état et sacrifient volontièrement l’édifice de Kladow. Ainsi le joyau d’autrefois surnommé Schloß Brüningslinden cède sa place à des maisons mitoyennes.

    https://www.google.de/maps/place/Sakrower+Landstra%C3%9Fe+129,+14089+Berlin/@52.4426722,13.124394,293m/data=!3m1!1e3!4m5!3m4!1s0x47a85880688cf2ff:0x4fce67c23632e4b3!8m2!3d52.44353!
    Sur la photos de satellite on identifie encore l’emplacement du bâtiment impressionnant et de sa pelouse principale au milieu du terrain parsemé de petits pavillons petits bourgeois.

    En 2016 tout le monde est content, parce que la fontaine du château disparu retourne enfin dans sa banlieue de petit bourgeois arrivistes.

    Seit Jahren liegt der Brunnen in einem Keller im Rathaus Wilmersdorf. Das Kladower Forum und das Bezirksamt Spandau bemühen sich um eine Rückgabe des Brunnens an Spandau. Im Garten des Bürgerhauses soll er dann seinen Standplatz finden. Die Bezirksverordnetenversammlung Charlottenburg-Wilmersdorf hat einer Rückgabe bereits zugestimmt. Da das Rathaus Wilmersdorf jetzt in der Verwaltung des Berliner Immobilienmanagement steht beansprucht dieses jetzt den Brunnen. Hoffen wir, das die Berliner Verwaltung zu einer für Kladow erfreulichen Lösung kommt.

    Der Tagesspiegel meldet am 20.06.16 in der gedruckten Ausgabe: Nach Aussage des Spandauer Bürgermeisters Helmut Klebank, steht es fest, daß der Brunnen nach Kladow zurückkehrt. Auch der Anspruch des BIM sei vom Tisch, sagt Klebank gegenüber dem Tagesspiegel.

    https://www.berlin.de/converjon/?ts=1450258507&height=125&width=166&url=https%3A%2F%2Fwww.berlin.de%2Fba-char
    Si seulement les occupants des pavillons savaient que l’emplacement de l’ancien château est un lieu hanté comme le Simetierre de Steven King .

    Simetierre
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Simetierre_(roman)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Simetierre_(film)

    Pet Semetary (1989)
    https://www.youtube.com/watch?v=VRe16K6j4sA

    Venezianischer Löwenbrunnen im Rundhof des Rathauses Wilmersdorf - Berlin.de
    https://www.berlin.de/ba-charlottenburg-wilmersdorf/ueber-den-bezirk/gebaeude-und-anlagen/brunnen/artikel.118249.php

    Der Brunnen wurde am 2.9.1988 im Zentrum des runden Innenhofes im Rathaus Wilmersdorf inmitten der Rasenfläche aufgestellt. Er stand von 1911 bis 1972 im Garten des Ausflugslokals Schloss Brüningslinden in Kladow, wurde nach dem Abriss des Ausflugslokals von der Berliner Bank übernommen und 1988 dem Bezirk Wilmersdorf gestiftet.

    Von 1978 bis 1983 stand an dieser Stelle die Skulptur Versöhnung von Pablo Hannemann. Sie steht seit 2004 wieder im Rundhof (auf dem Foto zu sehen im Hintergrund rechts).

    Retournons à Kladow afin de découvrir l’histoire de Schloss Brüningslinden et de ses habitants.

    En 1972 on démolit le château Brüningslinden mais il faut encore des années pour décider qui aura droit au profit à tirer de la construction de nouvelles bâtisses. C’est l’entreprise immobilière des syndicats d’ouvriers allemands Gagfah qui construit en 1977 les maisons mitoyennes à la place du château. Peu après elle s’écroule prèsque sous le scandale qui frappe le groupe immobilier syndical Neue Heimat . Dans les années 1990 une lois néolibérale met fin à l’existence des entreprises immobilières d’utilité publique. Depuis il n’en reste plus que le nom , en 2016 la Gagfah expolite ses bâtiments et ses locataires comme chaque entreprise privée du secteur.
    https://de.wikipedia.org/wiki/GAGFAH

    La phase avant la démolition voit un projet inspiré par le premier parc Disney à Anaheim avec un petit train électrique et des marionettes animées électriquement. Le parc Märchenwald presente des scènes des contes allemandes, c’est comme si on avait croisé les légendes nationalistes avec les mythes insouciants des année du Wirtschaftswunder .

    https://de.wikipedia.org/wiki/Ernst_R%C3%BCdiger_von_Br%C3%BCning#Bauherr_von_Schloss_Br.C3.BCningsl

    In den 1960er Jahren wurde das Außengelände an die Märchenwald GmbH verpachtet, die jedoch bald in finanzielle Schwierigkeiten geriet. Ende 1972 wurde das Haus mit Genehmigung des damaligen Berliner Bausenators wegen Baufälligkeit abgerissen. Das Grundstück wurde von der GAGFAH erworben, die ab 1977 darauf 39 Reihenhäuser errichtete.

    Voici une vidéo avec des souvenirs d’enfance
    https://www.youtube.com/watch?v=37kmjR5T4-8

    Märchen für Alte | ZEIT ONLINE
    http://www.zeit.de/1968/45/maerchen-fuer-alte/komplettansicht

    „Zwei Drittel stellen die alten Leute“, sagt Günther Körste, der 40 Jahre alte Schloß- und Gartenpächter. Er hat am 3. Mai 1967 den Berliner Märchenwald auf eine Anregung des Kulissenfachmannes Georg Bartsch mit 840 000 Mark aus Lottomitteln eröffnet.

    C’est le temps des subventions. La ville accorde un emprunt qui ne sera jamais remboursé à l’entreprise de Günther Körste pour construire ce plagiat de pauvre. Ses visteurs sont quelques vieux alors qu’il espère remplir son restaurant avec les familles de la ville entière. Pourtant l’endroit évoque des sentiments nostalgiques chez certains.

    Forum zur Geschichte Berlins - Schloß Brüningslinden
    http://www.diegeschichteberlins.de/forum/download_thread.php?site=vfdgb&bn=vfdgb_forumzurgeschichteberli

    Autor: Regine Naeckel
    Datum: 04.01.2006 - 10:51
    Guten Tag!
    Ich war in meiner Kindheit in den 50er Jahren (unsere Familie ist aus Charlottenburg) oft mit meinen Eltern in Schloß Brüningslinden zum Essen. Daran habe ich schöne Erinnerungen. Freunde aus Lichterfelde haben mir nun letze Woche zum Geburtstag aus Ihrem Familienbesitz ein wunderschönes Aquarell vom Innenhof des Schlosses geschenkt. Das ließ alte Erinnerungen wieder wach werden und ich habe versucht, einiges über das Schloß zu recherchieren. Sicher weiß ich schon lange von dem Abriß etc. Nun konnte ich auch den Bauherrn und Architekten (Bauherr: Rüdiger von Brüning - ein Sohn des Farbwerke Hoechst - spätere IG Farben - Gründers und Architekt: Georg Siewert) im Internet finden und erfahren, dass der Löwenbrunnen mittlerweile den Innenhof des Rathauses Wilmersdorf schmückt. Was ich aber nicht weiß und gerne in Erfahrung bringen möchte: Wer waren nach von Brüning die Eigentümer? Es geht sogar das „Gerücht“, ein ehemaliger Zieten-Husar (Offizier) sei Eigner gewesen. Wer kann mir auf die Sprünge helfen und mich - mittlerweile im hohen Norden ansässig - mit „Berlinischer Geschichte“ ein wenig in die Heimat zurückholen? Ich danke im voraus für alle Infos über das Schloß Brüningslinden. Regine Naeckel

    Autor: Martin Mende
    Datum: 04.01.2006 - 17:10
    Sehr geehrte Frau Naeckel,
    nach meinen Unterlagen war Rüdiger von Brüning der Erbauer, ein Sohn von Dr. Adolf Brüning, Mitbegründer der Farbwerke Hoechst. 1883 bekam er den erblichen Adel. Sein Sohn Ernst Rütger war 1875 noch bürgerlich geboren worden, studierte Jura, beschloß aber als Referendar die Offizierslaufbahn einzuschlagen. Er fühlte sich zum Adel hingezogen und wählte deshalb das brandenburgische Husarenregiment Nr. 3 von Zieten in Rathenow aus. Dessen Offiziere gehörten ausschließlich dem Adel an. Als Oberleutnant von Brüning war er in den Botschaften in Tokio und Washington tätig, bevor er sich 1911/1912 das prunkvolle Haus in Kladow erbaute. Die Architekten waren Georg Siewert und für den Innenausbau Fritz Greppert.
    Nach seinem Tode erwarb 1935 Max Suchan, Chef der Weinhandlung Gruban und Souchay, das Haus. 1967 wurde auf dem Gelände ein Märchenwald eingerichtet durch die Märchenwald GmbH als Pächter, der Restaurantbetrieb entwickelte sich jedoch defizitär. Max Gruban stellte deshalb 1972 einen Antrag auf Abriß des Gebäudes, weil die Renovierung 300.000 DM erforderte und immer weniger Gäste das Haus aufsuchten. Auf eine Anfrage erklärte der damalige Bausenator Schwedler, bauhistorisch und künstlerisch habe Schloß Brüningslinden eine nicht so überragende Bedeutung, um es gegen den Willen des Besitzers zu erhalten.
    Das Haus vom Schwamm befallene Haus wurde Ende 1972 abgerissen, das Grundstück anschließend von der Gagfah für die Errichtung von Eigenheimen erworben. Mit dem Bau von Eigenheimen wurde allerdings erst 1977 begonnen.
    Mit freundlichen Grüßen
    Martin Mende

    Autor: Martin Mende
    Datum: 25.03.2008 - 15:51
    Sehr geehrte Frau Wahl,
    unser leider zu früh verstorbener Kurt Pomplun hat in der Berliner Morgenpost vom 7. März 1971 in der Serie „Häuser und ihre Geschichten“ unter der Überschrift „Bei der Wahl der Eltern gut beraten“ über Ernst Rüdiger von Brüning berichtet. Der Beitrag wurde später auch in Pompluns Buch „Großes Berlin-Buch“ aufgenommen, in verschiedenen Ausgaben mehrfach erschienen.
    Unter der Überschrift „Dolce vita“ in Kladow hatte vorher im Telegraf vom 20. 1. 1963 Felix Havenstein auch das Thema behandelt.
    Mit freundlichen Grüßen
    Martin Mende

    Autor: Martina Wagner
    Datum: 01.10.2009 - 10:07
    Guten Tag, mein Name ist Martina Wagner. Ich recherchiere zur Zeit an einem Zeitzeugen Programm was bisher von der Allgemeinheit unbeachtet wurde. Ich möchte an einem Wettbewerb teilnehmen und brauche hierzu Informationen. Hierbei handelt es sich aber mehr um den Märchenwald der von 1967-1972 existiert hat. Ein Kindheiterlebnis was für meinen Jahrgang (1961) unvergessen blieb. Doch die zaghaften Erinnerungen sind sehr schemenhaft. Foto exisieren kaum. Meine Spandauer Klassenkameraden, Verwandte und Bekannte helfen so gut sie können. Doch es ist ziemlich mau. Deshalb hoffe ich, hier in diesem Forum einen kleinen Schritt weiter zu kommen. Für Ihre Hilfe wäre ich Ihnen sehr Dankbar.
    Es grüßt Sie alle
    Martina Wagner
    tina-marie61@freenet.de

    Autor: Weyers
    Datum: 05.09.2007 - 15:01
    Hallo, Fr.Naeckel !
    Mein Freund hat von seiner Tante originale Eßzimmermöbel aus dem Schloß geerbt. Sind Sie an dem Erwerb dieser Möbel interessiert.Diese stehen zur Zeit noch in Lübeck und sind recht günstig zuerwerben.
    Sie könnten sich unter Tel.-Nr.0163/6072526 kurzfristig mit mir in Verbindung setzen.
    MfG
    K.Weyers

    Autor: Irene Gruban
    Datum: 23.10.2007 - 21:46
    Liebe Frau Naeckel,
    Brüningslinden war bis 1972 im Besitz der Fa. Max Gruban-F.C.Souchay und wurde dann abgerissen. Mein Urgroßvater hat das Schloss damals gekauft und als Gastronomie/Hotel betrieben. Ich war oft als Kind in der Schloßküche, um mir Eis zu besorgen! Meine Großmutter bewohnte im Sommer das Haus nebenan. Der Löwenbrunnen steht als Spende der Berliner Bank wirklich im Hof des Rathauses Wilmersdorf.
    Mit freundlichem Gruß
    Irene Gruban

    Autor: Gabriel Heim
    Datum: 15.02.2009 - 23:14
    Sehr geehrte Frau Gruban -
    ich arbeite derzeit an einer tv-Dokumentation zur Nachkriegszeit in Berlin. Brüningslinden war ab 1946 ein Erholungsheim für jüdische Kinder und Jugendliche. Haben Sie Erinnerungen daran oder gar Bilder?
    Ich würde mich freuen von Ihnen zu hören (lesen).
    Mit freundlichen Grüssen
    Gabriel Heim
    heim-home@t-online.de

    Autor: Elke Gruban-Göbel
    Datum: 17.08.2009 - 09:16
    Sehr geehrte Frau Heim,
    vielleicht kann ich noch etwas zur Ihrer Recherche beitragen. Ich bin die
    Witwe des letzten Eigentümers, Heinz-Joachim Gruban-Göbel.
    elkegruban@t-online.de
    Gruß Elke Gruban-Göbel

    Autor: Hans Wunder
    Datum: 15.02.2011 - 18:02
    Nach meiner Erinnerung befand sich links vom Eingang eine Art „Kutscherkneipe“ oder Bierschwemme o.ä.,in der z.B. die Fahrer etc., aber auch wir Kladower eine Kleinigkeit zu uns nehmen konnten. Kann das jemand bestätigen? Ich kann mich noch gut an die Pfingstkonzerte erinnern, die auf der Terrasse durchgeführt wurden, wenn das Wetter es zuließ.
    Meines Wissens gibt es leider noch kein umfangreiches Werk über Schloß B.
    H. Wunder

    Autor: detlef.holzapfel
    Datum: 08.11.2011 - 11:14
    zur kutscher-kneipe,bierschwemme vom eingang links,der ehemalige stall ich glaube
    1964 war aber nur einen sommer,wohl um eine bessere auslastung des hauses zu erreichen.zum frühkonzert zu pfingsten kamen 28 musiker aus der kaserne der briten
    schräg gegenüber.detlef holzapfel damals lehrling

    Autor: Sascha Kaiser
    Datum: 24.08.2013 - 00:46
    Hallo,
    mein Vater ist Detlef Kaiser, sein Vater war in dieser Zeit Pächter des Schlosses. Falls jemand Details dazu braucht kann sich beim ihm unter 08363/8038 melden.
    Gruss
    Sascha Kaiser

    Autor: Thomas Jurczok
    Datum: 11.01.2015 - 16:46
    Noch nicht und nirgends so zu finden(?), Innenaufnahmen für den Film „Die jungen Löwen“ mit Marlon Brando als junger deutscher Wehrmachtsoffizier im Krieg, wurden zum Teil in Schloß Brüningslinden gedreht. Ich sollte damals einen Hotelpagen spielen und mehr als die Erinnerung an Marlon Brando, der einen große Treppe hinabschreitet, und ein Bild der „Schloßhalle“ und des Innenhofes sind mir nicht erinnerlich.

    La photo suivante montre l’état du château pendant l’avant dernière phase de son existence. Il sert alors comme hôtel-restaurant.
    https://www.flickr.com/photos/lautenschlag/13975625057/sizes/o

    Flickr

    Tout de suite après la guerre Schloss Brüningslinden devient un refuge pour enfants juifs. Les photos montrent une sorte de colonie de vacances en 1947.

    Guide to the Displaced Persons Camps and Centers Photograph Collection1920s-1959(bulk 1945-1950)RG 294.5
    Schloss Brüningslinden (Berlin-Kladow) summer camp 1947
    http://findingaids.cjh.org/?pID=2262096#a14

    7 items. Camp for unaccompanied children, located in the British sector of Berlin and apparently run by the Jewish Community. Group shots of children with adults (outdoors playing; indoors with prayer books); also, male participants at a meeting or visit. Some photos have stamp of photographer Pisarek.

    Lien vers les photos de la colonie d’été : http://digital.cjh.org/webclient/DeliveryManager?pid=3844659

    Le château devient hôtel-restaurant déjà pendant la vie de son constructeur il profite de ses relations pour attirer des clients aisés.

    Pierre Laval
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Laval#Ministre.2C_pr.C3.A9sident_du_Conseil


    Descriptif de la photo : Septembre 1931, lors d’un voyage officiel à Berlin, André François-Poncet, ambassadeur de France, Pierre Laval, président du Conseil et Aristide Briand, ministre des Affaires étrangères, les deux derniers soulevant leurs chapeaux.

    Briand, de plus en plus malade reste ministre des Affaires étrangères. Laval négocie avec le chancelier allemand Brüning, accorde un crédit à la Reichsbank et se rend à Berlin avec Briand, le 27 septembre. Brüning avait obtenu des nazis berlinois que les SA ne se montrent pas pendant le séjour des Français. Devant la presse, Laval déclare « une collaboration loyale s’impose ».

    Les visites officielles suivent un rythme moins compact qu’aujourd’hui. Laval et Briand profitent des lacs berlinois et mangent au restaurant du château Brüningslinden . Il faut noter que le propriétaire von Brüning n’a pas de lien familial avec le chancelier allemand catholique Brüning .

    Der Spiegel 02.03.1955
    Bonn / FRANCOIS-PONCET - Ein Zeuge tritt ab
    http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-31969338.html

    Am 21. September 1931 war der neue Botschafter Frankreichs in der Reichshauptstadt eingetroffen. Sechs Tage blieben ihm, um neben allen Akkreditierungsformalitäten auch noch den Gegenbesuch Lavals und Briands an der Spree vorzubereiten.

    Die Visite verlief frostig.

    Pierre Laval war unglücklich, weil ihm bei den offiziellen Diners kein Sauerkraut vorgesetzt wurde, er hielt es für das deutsche Nationalgericht. Am Morgen der Abreise traf ihn sein Botschafter François-Poncet auf dem Bahnsteig. Poncet: "Laval hatte eine gelbe Gesichtsfarbe, müde Züge und sah schlecht aus. Ich erfuhr, er sei nach dem Essen in der Botschaft ins Hotel Adlon zurückgekehrt und habe dort Sauerkraut bestellt, wozu er seine Begleitung eingeladen hatte. Damit hatte er übrigens zu so später Stunde den Küchenchef und das Hotelpersonal in nicht geringe Verlegenheit gesetzt.

    „Es bekam ihm schlecht. Mitten in der Nacht war er, von Verdauungsbeschwerden geplagt, aufgewacht. Um die unangenehmen Wirkungen, die ihn quälten, loszuwerden, war er aufgestanden und Unter den Linden auf und ab gegangen, zum Erstaunen der Wachen, die ihm Ehrenbezeigungen erwiesen. Ein schlechtes Omen dachte ich, während der Zug abfuhr ... .“

    Der damalige deutsche Außenminister Julius Curtius ergänzt diese Darstellung: Schon bei einer gemeinsamen Fahrt durch die Havelseen habe man in Brüningslinden dem alten Angler Briand mit frischem Zander und Laval mit Fasan und Sauerkraut besondere Freude bereitet: „Gerade weil Laval das Sauerkraut in Brüningslinden so gut geschmeckt hatte, hat er es sich im Hotel noch einmal zum Souper bestellt.“ (Julius Curtius: „Sechs Jahre Minister der Deutschen Republik“; Carl Winter-Universitätsverlag Heidelberg, 1948; 275 Seiten; 8,25 Mark.)

    Le récit de Curtius témoigne du déclin de la noblesse militaire prusse après 1918. C’est la classe qui se trouve au centre de la construction de l’Allemagne depuis Frédéric le Grand au 18ème siècle. Entre 1813 et 1914 ses généraux ne connaissent que des batailles victorieuses. Il n’est pas étonnant qu’ils ne soient pas prêts à s’adapter à la nouvelle situation quand leur patron quitte l’Allemagne après avoir entraîné l’Europe dans un bain de sang inouï.

    Ernst Rüdiger von Brüning , le premier propriétaire du château fait partie de cette noblesse militaire. C’est vraisemblablement pendant la crise de 1929 qu’il transforme sa maison en hôtel-restaurant parce que suite à la démilitarisation de l’Allemagne son métier d’officier ne le nourrit plus et il n’a plus d’autre possibilité pour survivre. Il semble qu’il ne peut compter sur le soutien ni de sa famille maternelle, les très riches Spindler , ni sur celle du côté de son père, un fondateur des usines Hoechst / IG Farben . Les militaire issus de familles d’industriels richissimes ne font que rarement de bons directeurs d’hôtel et Ernst Rüdiger von Brüning meurt en 1936 en ne laissant d’importantes dettes à sa jeune épouse.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Ernst_R%C3%BCdiger_von_Br%C3%BCning#Bauherr_von_Schloss_Br.C3.BCningsl

    Nach Plänen des Architekten Georg Siewert ließ Brüning sich von 1910 bis 1912 in Kladow das so genannte Schloss Brüningslinden errichten. Für den Innenausbau war Fritz Greppert verantwortlich.

    Schloss Brüningslinden wurde 1935 vom Inhaber des Weinhandelshauses Gruban und Souchay erworben und als Hotel mit Ausflugsgastronomie betrieben.

    En 1933 malgré ses problèmes d’argent Ernst Rüdiger von Brüning épouse la sécretaire Eleonore Holtz . Elle n’a que 29 ans et donne encore deux enfants à son mari qui a 58 ans lors du mariage et meurt moins de trois ans plus tard. Son noble mari lui laisse comme héritage des dettes et les deux enfants l’obligeant à continuer sa recherche d’un mari influent et solvable. Un autre échec l’oblige en 1938 à un séjour dans une maison Lebensborn , où elle donne naissance à un enfant de père inconnu.

    Lebensborn
    https://de.wikipedia.org/wiki/Lebensborn

    Entretemps une entreprise de gastronomie professionnelle achète Schloß Brüningslinden . Le marchand de vin Gruban und Souchay continue à acceuillir des clients notables.

    Deutsche Denker : Eduard Spranger
    http://www.luise-berlin.de/bms/bmstxt97/9707deua.htm

    Spranger gehörte der 1863 gegründeten Mittwochsgesellschaft an, die am 19. Juni 1940 auf Schloß Brüningslinden an der Havel ihre 1 000. Sitzung feierte. Zu den damaligen Mitgliedern zählten der Botaniker Ludwig Diels (1874–1945), der Historiker Hermann Oncken (1869–1945), der Mediziner Ferdinand Sauerbruch (1874–1951), der Ökonom und preußische Finanzminister Johannes Popitz (1884–1945) und der Generaloberst Ludwig Beck (1880–1944). Im Zusammenhang mit dem Attentat vom 20. Juli 1944 wurden Beck und Popitz hingerichtet. Auch Spranger, der 1943 und 1944 zu Gast auf Neuhardenberg war, wo er Claus Graf Schenk von Stauffenberg (1907–1944) und Werner Karl von Haeften (1908–1944) kennenlernte, wurde im September 1944 für einige Zeit in Moabit inhaftiert.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Eduard_Spranger
    https://de.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Diels
    https://de.wikipedia.org/wiki/Hermann_Oncken
    https://de.wikipedia.org/wiki/Ferdinand_Sauerbruch
    https://de.wikipedia.org/wiki/Johannes_Popitz
    https://de.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Beck_(General)

    Enfin en 1942 un homme grand et beau s’éprend d’ Eleonore von Brüning et l’accepte comme épouse malgré l’enfant illégitime. C’est Oswald Pohl , un membre du NSDAP comme elle, le chef du SS-Wirtschafts- und Verwaltungshauptamt à Berlin-Lichterfelde. Il est le manager de tous les camps de concentration allemands et responsable pour leur développement économique.

    Oswald Pohl
    https://de.wikipedia.org/wiki/Oswald_Pohl

    Verantwortlich war Pohl auch für die Verwertung der bei solchen Aktionen anfallenden Güter wie Kleidung, Schmuck und Gold. Erhalten ist ein Schreiben an Heinrich Himmler mit einer Bestandsliste von über 100.000 Uhren sowie tausenden von Füllfederhaltern und dergleichen, die zur Tarnung als „jüdisches Hehlergut“ ausgewiesen wurden.

    SS-Wirtschafts- und Verwaltungshauptamt
    https://de.wikipedia.org/wiki/SS-Haupt%C3%A4mter#SS-Wirtschafts-_und_Verwaltungshauptamt

    Das WVHA verwaltete die SS-eigenen Industrien, Gewerbe und Betriebe in den Konzentrationslagern und führte diese zu eigenen Konzernen zusammen. Dabei arbeitete das WVHA eng mit dem SS-Hauptamt zusammen. Ab 1942/43 war ihm das gesamte Konzentrationslagerwesen allein unterstellt.

    L’héritage de von Brüning semble avoir encore servi à l famille Pohl. A la fin de la guerre tout le monde s’installe en Bavière où des prisonniers on rénové une autre maison de von Brüning .

    Brüningsau
    https://de.wikipedia.org/wiki/Ernst_R%C3%BCdiger_von_Br%C3%BCning#Br.C3.BCningsau

    Im Gutsanwesen der Familie Brüning, der so genannten Brüningsau bei Halfing (Kreis Rosenheim) in Bayern, wurde auf Veranlassung Oswald Pohls 1942 ein Außenlager des KZ Dachau eingerichtet (Kommando Dachau 556); handwerklich erfahrene Häftlinge mussten bis 1945 mehrfach das Haus renovieren, in dem teilweise ein Kinderheim eingerichtet wurde. Die Familie wohnte nach der Heirat nicht im Anwesen Brüningsau, sondern in Norddeutschland. Erst kurz vor Kriegsende, im April 1945, kehrte die Familie auf der Flucht vor der Roten Armee nach Brüningsau zurück und Oswald Pohl tauchte in der Nähe unter.

    L’histoire des femmes de notables nazis nous font comprendre les structures de la société et les relations entre les milieux différents. Martha Goebbels est membre du clan des Quandt, les propriétaires de BMW, et Eleonore Pohl s’allie avec un von Brüning au racines dans l’industrie et le militaire prusse. Après la fin du régime nazi les survivantes se rendent compte qu’elles ont fait un mauvais choix. Mais c’est une autre histoire.

    LANDSBERG : Mr. Brit ist eingetroffen - DER SPIEGEL 24/1951
    http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-29194094.html

    Frau Pohl hatte in Halfing am Chiemsee für den toten SS-Obergruppenführer Oswald Pohl, dem die Verwaltung aller Konzentrationslager unterstanden hat, keine Begräbnisstätte gefunden.
    Halfings Gemeinderat hatte Frau Pohl unmißverständlich wissen lassen, eine Beisetzung des in der Haft zum Katholizismus übergetretenen Kriegsverbrechers Pohl komme auf dem Gottesacker der Gemeinde nicht in Frage. Ein Gemeinderatsmitglied fügte hinzu, von ihm aus könne Pohls Leiche auf den Misthaufen geworfen werden. Oswald Pohl mußte deshalb auf dem Landsberger „Friedhof der Namenlosen“ neben dem SS-Brigadeführer Erich Naumann - der Massentötung von Juden, Zigeunern und anderen „unerwünschten Elementen“ für schuldig befunden - als Nummer 250 bestattet werden.

    Kinder des Lebensborn - STIMME.de
    http://www.stimme.de/teleschau/tv-tipp/tv/tvinkuerze/TV-2012-08-13-ARD-23-30-00-Kinder-des-Lebensborn;art4338,2509422


    C’est dans un film documentaire que la fille d’Eleonore Pohl raconte qu’elle n’a appris qu’à treize ans au moment de l’exécution d’Oswald Pohl qu’il n’était pas son vrai père.

    Heilwig Wegers Mutter war unehelich schwanger, brachte das Kind in einem Lebensbornheim zur Welt und heiratete bald darauf Oswald Pohl, General der Waffen-SS und verantwortlich für die wirtschaftliche Verwaltung der Konzentrationslanger. Er adoptierte Heilwig (Foto), die im Glauben aufwuchs, er sei ihr leiblicher Vater. Bei den Nürnberger Kriegsverbrecherprozessen wird er zum Tode verurteilt und 1951 als NS-Kriegsverbrecher hingerichtet. Erst da erfährt die 13-jährige Heilwig, dass sie nicht seine Tochter ist.

    On finit l’histoire du château hanté au moment de la naissance de son commanditaire et premier habitant. Ernst Rüdiger von Brüning naît le 20. Mai 1875 à Hoechst près de Francfort où son père dirige une usine de teinturerie qui est en train de conquérir le marché mondial. Sa mère est la fille de Wilhelm Spindler, le propriétaire de la première usine de nettoyage à sec près de Berlin. L’endroit est actuellement le quartier berlinois appellé Spindlersfeld .

    https://de.wikipedia.org/wiki/W._Spindler

    L’entreprise paternelle entre dans l’histoire sous le nom de IG Farben, le producteur des gases de combat et du Zyklon B utilisée dans les chambres à gaz d’Auschwitz.


    IG Farben Hauptverwaltung de l’architecte Hans Poelzig

    IG Farben
    https://de.wikipedia.org/wiki/I.G._Farben

    Si pénétrez jamais le sol de l’ancien château Brüningslinden faites attention aux fantômes de ses habitants et visiteurs. Ce sont des êtres tristes déchirées par l’avidité, l’orgueil, le mépris et le désespoir. L’impression devient vertigineuse dès qu’on pense aux âmes de leurs victimes à commercer par les accidentés des usines chimiques Hoechst et Spindler, les soldats tombés pendant deux guerres mondiales et les millions d’assassinés dans les camps. Pensez simplement à la fille d’Eleonore qui n’apprend qu’à treize ans lors de l’exécution d’Oswald Pohl qu’il n’est pas son vrai père et que sa mère l’a entraîné dans l’abîme de culpabilité d’où ne sortiront jamais les complices des meurtriers.

    #Berlin Wilmersdorf #Spandau #Kladow #histoire

  • Was der Kaupert nicht weiß - Alfred-Scholz-Platz
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Alfred-Scholz-Platz-Berlin


    Was der Kaupert weiß:

    Straßenverlauf an Richardstraße, Donaustraße, Ganghoferstraße und Anzengruberstraße
    Name seit 31.03.2014
    Name bis 31.03.2014: Platz der Stadt Hof

    Was der Kaupert nicht weiß:

    Geschichte von Alfred-Scholz-Platz

    den Anfahrttarif
    Der Platz hat im Kaupert keine Geschichte, was schade ist. Da hatte doch der Luisenstädtische Verein die Geschichte so gut wie aller Straßennamen Berlins recherchiert, der Kaupert-Verlag die Sammlung gekauft und weiterhin zugänglich gemacht. Nur gepflegt werden die Daten, über das Unerläßliche Technische hinaus, wohl kaum.

    Dann machen wir das mal eben selber:

    Alfred Scholz – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Alfred_Scholz

    Alfred Scholz ist der Name folgender Personen:
    Alfred Scholz (SPD) (1876–1944), deutscher Politiker (SPD)
    Alfred Scholz (MfS) (1921–1978), deutscher Generalleutnant des Ministeriums für Staatssicherheit

    Der verdienstvolle Stasigeneral hat, tot oder lebendig, im Neukölln der Sozen wohl kaum eine Chance auf die eigene Straße. Dann wird es der andere gewesen sein, der Stadt Hof vom Platz verdrängt hat.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Stra%C3%9Fen_und_Pl%C3%A4tze_in_Berlin-Neuk%C3%B6lln

    Länge/ Maße (in Metern) 70 × 20 (Dreiecksform)

    Alfred Scholz (1876–1944), Neuköllner Bürgermeister

    Zu einem Platz wurde der Bereich erst 1984 durch den Anschluss einer Verkehrsinsel an den Bürgersteig und trug ab dem 6. Juli 1985 den Namen Platz der Stadt Hof, nach der Neuköllner Partnerstadt Hof an der Saale. Ab 2012 ließ die Bezirksverwaltung den Platz umfassend umgestalten und bis zur Richardstraße verlängern. Durch mehrfarbige Steinmosaike wird auf die Bevölkerung des Ortsteils hingewiesen, die aus verschiedenen Nationalitäten stammt. Außerdem sind mehrere Anwohnerhinweise berücksichtigt worden. Im September 2013 wurden Überlegungen bekannt, diesen Platz nach dem letzten Neuköllner (Stadt)-Bürgermeister Alfred Scholz umzubenennen. Die Wiedereröffnung und Umbenennung fand am 28. April 2014 unter dem neuen Namen und unter Anwesenheit von Angehörigen Scholz’ statt.

    Was seit der Umgestaltung besonders mies an dem Platz ist: Seitdem ist diese Zufahrt zur Donaustraße gesperrt. Noch eine Nachbarschaft, in der das Abholen von Kunden überflüssigerweise erschwert wurde. Es ist höchste Zeit, erneut die Anfahrt zum Kunden in den Tarif aufzunehmen.

    Noch ein Hinweis auf schlampige Redakteure bei Kaupert und Wikipedia findet sich in der Lagebeschreibung zum Alfred-Scholz-Platz: Die Donaustraße berührt, anders als dort zu lesen, den Platz an keiner Stelle, dafür liegt er in ganzer Länge an der Karl-Marx-Straße, was in keinem der beiden Werke erwähnt wird. Diese Ungenauigkeit ist normal für die Wikipedia, dass hingegen der Kaupert so schlampt, war Zeit seiner Existenz als Druckwerk unmöglich.

    Übrigens: Bitte nicht verwechseln mit dem Scholzplatz , der liegt nämlich in Charlottenburg an der Heerstraße kurz vor Spandau.
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Scholzplatz-14055-Berlin

    Und weil wir gerade so schön detailversessen sind schauen wir auch noch nach, womit sich der der Ost-Scholz um die Menschheit verdient gemacht hat.

    Alfred Scholz (* 11. Februar 1921 in Groß Ullersdorf, Tschechoslowakei; † 11. August 1978 in Berlin-Buch) war von 1975 bis zu seinem Tode stellvertretender Minister für Staatssicherheit der DDR.

    1950 wurde er Leiter der Abteilung/HA IX, dem Untersuchungsorgan des MfS in Berlin, ab 1956 Leiter der HVA-HA II, die für die Ausforschung der Westalliierten zuständig war. ... Als Chef der Arbeitsgruppe des Ministers Aufgabenbereich „S“ war er zuständig für Mordplanungen. Für die Anfangsperiode eines Krieges gegen die Bundesrepublik plante er 1972 die Zerstörung von Zielobjekten der bundesdeutschen Infrastruktur und individuellen Terror.

    Da hat man sich für den Bürgermeister des roten Neukölln und gegen den kalten Krieger entschieden. Kann man verstehen, klappt aber nur, wenns um rote kalte Krieger geht. Die Schwarzen kriegen ihre Straßen. Anstandslos.

    #Berlin #Neukölln #Alfred-Scholz-Platz #Charlottenburg #Scholzplatz #Richardstraße #Donaustraße #Ganghoferstraße #Anzengruberstraße #Karl-Marx-Straße

  • RFC 7720 : DNS Root Name Service Protocol and Deployment Requirements

    L’Internet repose en grande partie sur le #DNS (si ce dernier est en panne, presque plus rien ne fonctionne) et le DNS doit à sa nature arborescente de dépendre de sa racine ou plus exactement de ses serveurs racine. La gestion de ces derniers est donc une question cruciale. Ce très court RFC précise les obligations des serveurs racine en terme de protocoles réseau à suivre. D’autres documents décrivent les exigences opérationnelles.

    http://www.bortzmeyer.org/7720.html

  • Murder on an industrial scale - The Washington Post

    http://www.washingtonpost.com/world/murder-on-an-industrial-scale/2015/01/22/b957f9a6-a28e-11e4-9f89-561284a573f8_graphic.html

    Remarquable ensemble cartographique sur la shoah

    During World War II, the Nazi leadership implemented the ”Final Solution” the systematic mass murder of European Jews, Gypsies, Slavs and other groups because of their perceived racial inferiority. Millions were killed in six primary extermination camps. The largest of these was Auschwitz. Related article.

    #visualisation #cartographie #shoah #nazisme

    • En principe le projet était connu du grand public depuis la première publication du livre « Mein Kampf » d’Adolf Hitler en 1925/1926. L’idée était présente mais il fallait encore la mettre en pratique avec l’aide des spécialistes des transports et des infrastructures, des ingénieurs et des chimistes.

      Title : Mein Kampf
      Author : Adolf Hitler (1889-1945)
      Translated into English by James Murphy (died 1946).
      A Project Gutenberg of Australia eBook
      http://gutenberg.net.au/ebooks02/0200601.txt

      The fact that the German people carried on the War proved that the Marxist folly had not yet been able to penetrate
      deeply. But as the War was prolonged German soldiers and workers gradually fell back into the hands of the Marxist leaders, and the number of those who thus relapsed became lost to their country. At the beginning of the War, or even during the War, if twelve or fifteen thousand of these Jews who were corrupting the nation had been forced to
      submit to poison-gas, just as hundreds of thousands of our best German workers from every social stratum and from every trade and calling had to face it in the field, then the millions of sacrifices made at the front would not have been in vain.
      On the contrary: If twelve thousand of these malefactors had been eliminated in proper time probably the
      lives of a million decent men, who would be of value to Germany in the future, might have been saved.

      http://seenthis.net/messages/300646

      D’après Eugen Kogon l’exploitation des victimes de la SS était totale, et s’étendait alors au delà de leur mort. On se souvient des cheveux coupés des prisonniers mis en vente par la SS et de l’abat-jour en peau d’homme du commandant de camp.

      Eugen Kogon
      http://en.wikipedia.org/wiki/Eugen_Kogon

      Der SS-Staat (L’Etat SS)
      https://de.wikipedia.org/wiki/Der_SS-Staat

      Der spanische Schriftsteller Jorge Semprún, der im Januar 1944 nach Verhören und Folter nach Buchenwald kam, hatte 1992 bei einem Besuch des Lagers Kogons „SS-Staat“ im Gepäck. Er nennt das Buch den objektivsten und erschöpfendsten Bericht über die Lebens-, Arbeits- und Todesbedingungen in Buchenwald.

      L’exercice du pouvoir par les SS gagnait en efficacité par l’utilisation de prisonniers comme complices. Eugen Kogon dépeint cette méthode dans son analyse sociologieque et économiques des camps.

      Lʼorganisation interne du camp, enjeu pour la survie des détenus
      http://www.cndp.fr/crdp-creteil/component/ressources/?task=view&id=368
      Extrait de Eugen Kogon, LʼEtat SS. Le système des camps de concentration allemands, Le Seuil, 1970, pp. 58-65.

      Il en fut à peu près de même lors de l’institution de ce que l’on appela les «  Kapos » (de l’italien il capo, la tête, le chef), détenus qui avaient le commandement de Kommandos de travail et qui étaient responsables devant le chef SS du Kommando qui les faisait placer là par le chef du service du travail. Les Kapos avaient à leurs côtés des contremaîtres  ; c’étaient des surveillants qui dirigeaient, mais ne travaillaient pas. Seulement, dans les cas où cela était indispensable, la SS plaçait à ces postes des ouvriers spécialistes. Le plus souvent, surtout dans les premières années, il s’agissait de forts gaillards — anciens SA, légionnaires étrangers ou criminels — qui savaient distribuer les coups et qui en recevaient d’ailleurs assez souvent de la SS. Dans de nombreux Kommandos, en particulier les Kommandos de construction, de mines ou de canalisations, il n’y avait généralement pas d’autre moyen pour le simple détenu qui voulait sauver sa peau que de pratiquer la corruption, qui, maintes fois, prenait des proportions et des formes inimaginables. Cette corruption était dignement secondée par le chantage. Au milieu de ce groupe de sombres figures qui ont exercé les fonctions de Kapos, se détachent lumineusement un certain nombre d’anciens détenus qui, lorsqu’ils sont restés en vie, ont donné, depuis le début jusqu’à la fin du camp, un exemple de propreté morale, d’humanité et de courage. Je considère qu’il est de mon devoir de citer ici les noms de Robert Siewert, de Chemnitz, et de Baptist Feilen d’Aix-la-Chapelle, qui furent tous deux à Buchenwald. Feilen dirigea, en qualité de Kapo, le lavoir de Buchenwald. Membre de la direction clandestine du camp, il était également apprécié par les détenus allemands ou étrangers pour son esprit juste, posé et objectif. Au cours des années, il fut Kapo de différents Kommandos, et il a eu le courage de prendre parti, même contre des chefs de Kommandos SS, ce qui, chaque fois, risquait de lui coûter la vie.

      Gillo Pontecorvo en parle dans son Film Kapò
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Kap%C3%B2
      Le sujet était tellement scandaleux qu’un seul plan suffit pour attirer les foudres de la critique contemporaine :

      Dans le numéro 120 des Cahiers du cinéma (juin 1961), Jacques Rivette rédigea une de ses critiques les plus connues De l’abjection : « Dans Kapo, le plan où Emmanuelle Riva se suicide, en se jetant sur les barbelés électrifiés : l’homme qui décide, à ce moment-là, de faire un travelling avant pour recadrer le cadavre en contre-plongée, en prenant soin d’inscrire exactement la main levée dans un angle de son cadrage final, cet homme-là n’a droit qu’au plus profond mépris. »

      #euthanasie #exploitation

      #corruption

  • L’Europe austéritaire nuit à la #santé
    http://www.lepartidegauche.fr/actualites/dossier/l-europe-austeritaire-nuit-la-sante-28156
    #genocide

    Les conséquences sanitaires de cette politique sont catastrophiques, et pour le dire clairement, honteuses : les infections au VIH chez les toxicomanes ont été multipliées par 30 entre 2010 et 2013, l’incidence de la tuberculose a plus que doublé entre 2012 et 2013 ; entre 2008 et 2011, le nombre d’enfants mort-nés a grimpé de 21 %, la mortalité infantile de 43%, les dépressions majeures ont été multipliées par 2,5 et les suicides ont bondi de 45%. L’austérité a ainsi tué ou rendu malades des milliers de grecs, faute de médicaments, de personnel médical, de programmes de prévention, d’accès aux soins les plus élémentaires, au moment même où ils en avaient le plus besoin. Or c’est bien la Troïka qui a imposé cette saignée générale. Alors même que la santé est censée relever de la compétence des Etats, la Commission s’est royalement assise sur l’obligation légale qui lui est faite d’examiner les conséquences des politiques européennes sur la santé. Une saignée générale car imposée non seulement à la Grèce mais aussi au Portugal (baisse de 10% des dépenses de santé), à l’Irlande (7% de baisse) et aux autres pays dont elle est la créancière principale. C’est même toute l’Union Européenne, obnubilée par la sacro-sainte baisse des dépenses publiques, qui voit ses dépenses de santé baisser ou au mieux stagner. Le prix sanitaire de la crise est lourd : pour la première fois depuis des dizaines d’années, l’espérance de vie stagne au sein de l’UE (à 80,3 ans en moyenne) et baisse dans de nombreux pays : la Grèce, le Portugal, mais aussi … la France, avec 2 mois d’espérance de vie perdus entre 2011 et 2012 (de 82,3 à 82,1) et un taux de mortalité en augmentation (de 8.6‰ à 9‰ entre 2011 et 2012).