Aufruf : Soldaten für den Frieden
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Les généraux de la DDR expriment leur peur d’une nouvelle guerre avec la participation de l’Allemagne.
ISOR Sozialverein e. V.
Initiativgemeinschaft zum Schutz der sozialen Rechte ehemaliger Angehöriger bewaffneter Organe und der Zollverwaltung der DDR
In den Jahren des Kalten Krieges, in denen wir eine lange Periode der Militarisierung und Konfrontation unter der Schwelle eines offenen Konflikts erlebten, haben wir unser militärisches Wissen und Können für die Erhaltung des Friedens und den Schutz unseres sozialistischen Staates DDR eingesetzt. Die Nationale Volksarmee war keinen einzigen Tag an kriegerischen Auseinandersetzungen beteiligt, und sie hat bei den Ereignissen 1989/90 maßgeblich dafür gesorgt, dass keine Waffen zum Einsatz kamen. Frieden war immer die wichtigste Maxime unseres Handelns. Deshalb sind wir entschieden dagegen, dass der militärische Faktor erneut zum bestimmenden Instrument der Politik wird. Es ist eine gesicherte Erfahrung, dass die brennenden Fragen unserer Zeit mit militärischen Mitteln nicht zu lösen sind.
Weil wir sehr gut wissen, was Krieg bedeutet, erheben wir unsere Stimme gegen den Krieg, für den Frieden.
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https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/55/Bundesarchiv_Bild_183-1988-0704-410%2C_Heinz_Ke%C3%9Fler.jpg 
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/68/Admiral-T.Hoffmann.jpg Armeegeneral a.D. Heinz Keßler
Admiral a.D. Theodor Hoffmann
Die Generaloberste a.D. Horst Stechbarth; Fritz Streletz; Fritz Peter
Die Generalleutnante a.D. Klaus Baarß; Ulrich Bethmann; Max Butzlaff; Manfred Gehmert; Manfred Grätz; Wolfgang Kaiser; Gerhard Kunze; Gerhard Link; Wolfgang Neidhardt; Walter Paduch; Werner Rothe; Artur Seefeldt; Horst Skerra; Wolfgang Steger; Horst Sylla; Ehrenfried Ullmann; Alfred Vogel; Manfred Volland; Horst Zander
Vizeadmiral a.D. Hans Hofmann
Die Generalmajore a.D.
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Nationale Volksarmee
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Nationale_Volksarmee
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La NVA n’a participé à aucune guerre. Des détachements de la NVA ont été prévus en 1968 en vue de l’écrasement du printemps de Prague, mais la NVA n’a pas été immédiatement préparée à une invasion de la Tchécoslovaquie. Il y a eu des plans de faire entrer la 7e division de blindés et la 11e division de chasseurs motorisés en Tchécoslovaquie. En raison des effets ravageurs que l’on aurait pu attendre sur le plan diplomatique d’une telle mesure, au sein et hors du pacte de Varsovie (cela aurait été la première opération à l’étranger de troupes allemandes depuis la Seconde Guerre mondiale), ces divisions ne furent pas engagées normalement. Elles fournirent une aide logistique pour l’invasion, et restèrent tout près de la frontière, prêtes à intervenir au cas où une révolte populaire échapperait au contrôle des Soviétiques.
Divers officiers de liaison, soldats des transmissions de la NVA, et autres officiers du Ministère de la Sécurité d’État (Stasi) étaient sur place en Tchécoslovaquie sous couverture ou pour assurer les liaisons.
En automne 1981, la NVA prit position à la frontière polonaise, afin de pouvoir éventuellement mater un mouvement syndical. Mais l’ordre d’invasion ne fut finalement pas donné.
À plusieurs occasions, la NVA se trouva en état d’alerte renforcée pour une période assez longue, comme en 1961 pendant la construction du mur de Berlin, en 1962, pendant la crise de Cuba, en 1968 pendant l’entrée des troupes soviétiques en Tchécoslovaquie, et pour la dernière fois, en automne 1989.