• Un magistrat ordonne la censure préalable d’une enquête de Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/politique/211122/un-magistrat-ordonne-la-censure-prealable-d-une-enquete-de-mediapart

    Vendredi 18 novembre, un huissier est venu au siège de Mediapart nous délivrer un acte judiciaire sans précédent de mémoire de journaliste comme de juriste.

    Il nous ordonne de ne pas publier une enquête d’intérêt public à la demande expresse de la personnalité concernée sans qu’à un seul instant les arguments de Mediapart n’aient été sollicités. Mediapart n’était pas informé de cette procédure et l’ordonnance a été prise par un juge sans que notre journal n’ait pu défendre son travail et ses droits.

  • KZ Columbia – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/KZ_Columbia

    https://www.openstreetmap.org/node/1588678695

    Das Konzentrationslager Columbia (kurz: KZ Columbia oder K.L. Columbia, auch bekannt als KZ Columbia-Haus oder nur Columbia-Haus, eine seltenere Schreibweise war KZ Columbiahaus) war ein nationalsozialistisches Konzentrationslager am nördlichen Rand des Tempelhofer Feldes im Berliner Ortsteil Kreuzberg.

    Das Gebäude wurde um 1900 als Militärstrafanstalt an der damaligen Prinz-August-von-Württemberg-Straße (seit 1927: Columbiadamm) errichtet und ab 1933 zunächst als Gestapo-Gefängnis benutzt. Das eigentliche Konzentrationslager wurde am 27. Dezember 1934 eröffnet und bestand offiziell bis zum 5. November 1936. Durch seine Lage nahe der Berliner Innenstadt waren viele prominente Persönlichkeiten des politischen Lebens im Columbia-Haus inhaftiert. Anlässlich des seinerzeitigen Neubaus des Flughafens Tempelhof wurde das Columbia-Haus 1938 abgerissen. An die Geschichte des Ortes erinnert seit 1994 ein Mahnmal (von Georg Seibert).

    Auflösung des KZ

    Mit dem geplanten Großprojekt des Flughafens Tempelhof wurde die Auflösung des KZ Columbia beschlossen. Die Columbia-Häftlinge sollten in ein neues zentrales Konzentrationslager bei Berlin verlegt werden – das KZ Sachsenhausen. Die Baupläne für Sachsenhausen wurden zunächst im frühen Lager Oranienburg, dann im K.L.Columbia ausgearbeitet. Zusammen mit Häftlingen des KZ Esterwegen errichteten die Insassen des Columbia das KZ Sachsenhausen. Das Gelände des Columbia ging am 1. Oktober 1936 an das Reichsluftfahrtministerium. Am 5. November 1936 wurde das KZ Columbia schließlich auch offiziell aufgelöst. Fotos von der Baustelle des Tempelhofer Flughafens zeigen, dass die Gebäude des KZ noch mindestens bis zum März 1938 existierten.

    Stolperstein Franz Klühs, Kleineweg 77, 12101 Berlin-Tempelhof
    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/2e/Stolperstein_Kleineweg_77_%28Templ%29_Franz_Kl%25C3%25BChs.jpg


    https://www.openstreetmap.org/way/186405159

    Othmar Toifl - Wikimedia Commons

    The intelligence agent and guard in Columbia Haus Concentration Camp in Berlin Othmar Toifl (1898-1934) who was shot on 1 July 1934 during the purge by the National Socialist government known as Night of the Long Knives.
    Date 1934
    Source Berlin Document Centre
    Author KZ Columbia – Wikipedia
    Kurt Daluege (+ 1946)
    Permission
    (Reusing this file) PD-old

    Usage on de.wikipedia.org
    Liste der im Zuge des sogenannten Röhm-Putsches getöteten Personen
    https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_im_Zuge_des_sogenannten_R%C3%B6hm-Putsches_get%C3%B6teten_Pe

    KZ Oranienburg – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/KZ_Oranienburg

    Nach der Entmachtung der SA wurde die SS am 20. Juli selbstständig. Das allein von der SS kontrollierte, systematisch organisierte System der Konzentrationslager entstand. Die meisten der frühen, improvisierten Lager im Reichsgebiet wurden geschlossen. Lediglich eine SS-Einheit, die das KZ Columbia-Haus in Berlin bewachte, blieb im Schloss Oranienburg stationiert.

    Heinrich Deubel - Wikimedia Commons

    Kommandant at Dachau (1934-1936) and Columbia Haus (1936-1937.) He left the SS in 1937 and played no active role in the war. German authorities decline to prosecute him after the war. Deubel died on October 2, 1962 in Dingolfing, Germany.

    Source
    http://thefifthfield.com/camp-men/heinrich-deubel
    https://antirrevisionismo.wordpress.com/2014/09/30/heinrich-deubel-el-mas-extrano-de-los-comandantes-de-da

    File:Stolperstein Richterstr 48, 12105 Berlin-Mariendorf) Günther Keil
    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/64/Stolperstein_Richterstr_48_%28Mard%29_G%25C3%25BCnther_Keil.jpg

    Category:KZ Columbia - Wikimedia Commons
    https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:KZ_Columbia

    #Berlin #Tempelhof #Nazis #Columbiadamm #Flughafen

    • Ce texte s’attaque à cette démarche intellectuelle de réduction nommée ici dénégation. [...] cette dénégation n’est pas du déni ou du tabou, puisqu’elle laisse au contraire une grande place à l’exhibition des raisons pour lesquelles il ne faut pas penser avec une partie de la situation réelle, qui devient même centrale, de ce fait, ou obsessionnelle dans le discours et la théorie.

      Face à une réalité effrayante, la fuite est parfois possible, mais quand c’est l’Histoire et l’humanité qui se font ogres, quand ce qui se passe dépasse notre capacité de compréhension et d’acceptation, la tentation semble exister de transformer l’ogre en souris, et ainsi de sortir triomphant d’une confrontation dont on pense avoir pu choisir les termes, à l’intérieur des limites contraintes de notre, parfois susceptible, entendement. Et chaque événement démesuré voit naître, très tôt car il ne faudrait pas laisser s’installer une représentation de ce qui se passe dans sa taille originelle, ses détracteurs, ou ses réducteurs, comme si réduire la représentation de ce qui se passe pour le mettre à sa portée donnait le moyen de triompher de ce qui terrifierait, si toutefois on le regardait dans ses dimensions propres. Comme si se battre contre les faits était une manière de se battre contre le monde qui les produit.

      Ces «  réducteurs d’Histoire  » trouvent enfin ainsi un adversaire à leur petite taille, et il peuvent alors, littéralement, le réduire à leur merci, le tenir en respect sur la table de leur cuisine et rêvasser enfin, eux aussi, à la dévoration. Mais se rêve-t-on dévoreur de planète comme ça, un matin, en se réveillant ? Aussi petit et insignifiant qu’on soit face à un fait objectivement écrasant, comme le chat du conte face à l’ogre, on peut donc le rapetisser à une taille accommodable, le tenir captif et apprivoisé dans sa main en le regardant dans les yeux, et même l’écraser, et passer sans trop de peine à autre chose.

      publication d’origine https://ravageeditions.noblogs.org/post/2020/05/01/denegations-maria-desmers

      #crise_sanitaire #dénégation #Maria_Desmers

    • si tous ceux qui doivent normalement mourir un jour sont égorgés dans la même seconde, c’est toujours la mort qui advient, mais pas tout à fait pareil que si chacun avait vécu sa vie...

    • comme une séance d’hypnose où on voudrait persuader chacun qu’il n’a rien vu et rien entendu et qu’il doit passer son chemin.

      ça le fait penser aussi aux histoires de #gaslighting

      une forme d’abus mental dans lequel l’information est déformée ou présentée sous un autre jour, omise sélectivement pour favoriser l’abuseur, ou faussée dans le but de faire douter la victime de sa mémoire, de sa perception et de sa santé mentale.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaslighting

    • bon *me, je ne parle pas encore de moi à la troisième pers. Juste qu’y veut pas me laisser modif le robot. (@seenthis #bug qui serait peut-être intéressant à résoudre (?), j’ai mis une tof, et quand je clique sur modifier, il me renvois à la page d’accueil. Je suis sous firefox, windows je sais plus combien...)

  • Typology: The semi-detached house | Thinkpiece | Architectural Review

    https://www.architectural-review.com/essays/typology/typology-the-semi-detached-house/8685582.article

    Symbol of middle-class aspiration, conservatism and compromised individualism, the semi-detached house is England’s modern domestic type par excellence

    ‘My pink half of the drainpipe keeps me safe from you’: so sang the Bonzo Dog Doo-Dah Band about the ambiguous pleasures of the semi-detached house. This type - the Doppelhaus in German, or the duplex, as it is known in much of North America - is England’s great gift to world architecture, and to comedy. A symbol of middle-class aspiration, conservatism and compromised individualism, it is the British modern domestic type par excellence, even though it has more frequently appeared in Tudorbethan fancy dress than high-tech garb. This may make our metropolitan readers wince, but it is undeniable that the semi is the dream (and actual) home of vast numbers of people: it is the most common dwelling in the UK, where it houses one third of the population. Why should this be? Where did the semi come from? And, in the midst of an acute housing crisis and widespread calls for ‘sustainability’, what can we - should we - do about this bipolar beast that gobbles up space and people’s hearts along with it?

    #architecture #urban_matter

    • Merci @reka d’attirer l’attention sur un sujet aussi déagréable.

      Le nom de cette forme d’habitation est un synonyme pour une couche de la population dont les qualités principales sont son étroitesse d’esprit, l’obédience à l’autorité, le mépris des moins fortunés qu’eux et l’aspiration jamais satisfaite à des sphères sociales plus riches et cultivées. On y contraint même les enfants les moins talentueux à apprendre le piano. Pendant le règne du nazisme et pendant l’après guerre on y pratiquait la tradition bourgeoise de la Hausmusik sans jamais atteindre le niveaux musical des salons bourgeois et nobles du dix neuvième siècle. Grâce au pragmatisme qui est l’unique qualité positive de cette couche sociale, cette tradition a complètement disparu pour faire place à la pratique du hard rock / death metal dans la quasi totalité des sous-sols et garages petit bourgeois de province.

      Quand on a vendu les maisons d’ouvriers anglais à leur habitants on a préparé l’avènement du thatcherisme. En Allemagne les programmes de soutien d’accès à la propriété immobilière pendant le Wirtshaftswunder (les trente glorieuses allemandes) ont transformé la classe ouvrière déjà corrompue par sa participation aux crimes de la Wehrmacht dans une masse à l’image de son parti de traditonnel, la socialdémocratie, après sa transformation anticommuniste depuis 1945.

      Quand les jeunes gens se lancent dans l’achat d’une demeure qu’ils ne cesseront de rembourser jusqu’à l’age de la retraite ils savent que c’est la fin de la jeunesse et le début de der Ernst des Lebens , on fait partie des adultes car on accepte les même contraintes que ses parents dans l’espoir de pouvoir fournir à ses propres enfants "une vie meilleure".

      Ce sont exactement ces personnes bien sur tout rapport qui ont été la cause de la montée du nazisme avant ’33 et c’est eux qui aujourd’hui forment les bataillons "Pegida" et identitaires. Une politique de logement progressiste favorise les habitations collectives et refuse de développer les banlieues réactionnaires.

      Doppelhaushälfte : Französisch » Deutsch | PONS
      https://de.pons.com/%C3%BCbersetzung/deutsch-franz%C3%B6sisch/Doppelhaush%C3%A4lfte

      Doppelhaushälfte - maison f jumelée

      Doppelhaus – Wikipedia
      https://de.wikipedia.org/wiki/Doppelhaus


      La maison Doppelhaus dont rêvent les peits bourgeois.

      Die Vorteile dieser Bauweise gegenüber freistehenden Gebäuden sind eine günstigere Flächenausnutzung der Grundstücke und eine Verminderung der Heizkosten durch einen geringeren Außenwandanteil. Nachteile liegen darin, dass je eine Wand fensterlos bleiben muss sowie in der eingeschränkten Schalltrennung der beiden Haushälften.
      ...
      Baurecht

      Im deutschen Baurecht bezeichnet ein Doppelhaus nach § 22 Baunutzungsverordnung (BauNVO) eine Gebäudekonstruktion mit zwei einseitig an der Grundstücksgrenze aneinander gebauten Häusern. Entscheidend ist dabei die Stellung zur Grundstücksgrenze. Doppelhäuser auf ungetrennten Grundstücken gelten baurechtlich als Einzelhaus. Unerheblich ist die Zahl der Wohnungen oder der Hauseingänge. So können auch Mehrfamilienhäuser oder Bürohäuser baurechtlich ein Doppelhaus bilden. Andere Gebäudetypen der offenen Bauweise nach § 22 BauNVO sind das Einzelhaus und die Hausgruppe.

      Doppelhaushälfte : Doppelhaushälften suchen und finden
      https://www.immobilienscout24.de/wohnen/doppelhaushaelfte.html

      Die Tabelle macht deutlich, dass sich eine Doppelhaushälfte oft als der goldene Mittelweg erweist. Sowohl Familien als auch Paare finden ausreichend Platz, die Kosten sind dennoch im akzeptablen Rahmen. Außerdem sind durch die Nähe zur Innenstadt die Arbeitswege kurz und Einkaufsmöglichkeiten meist in unmittelbarer Umgebung. Dafür sind leichte Abstriche beim Thema Lärmschutz zu machen. Wer sich aber vorher über die Nachbarn informiert, kann diesem Problem vorbeugen.

      Doppelhaushälfte in begehrter Lage von Bischofsheim von privat in Hessen - Bischofsheim | Doppelhaushälfte kaufen | eBay Kleinanzeigen
      https://www.ebay-kleinanzeigen.de/s-anzeige/doppelhaushaelfte-in-begehrter-lage-von-bischofsheim-von-privat/1121254650-208-4441
      https://framapic.org/HXx2PpUgxFZk/xMPs8hrgVzvn.JPG Une Doppelhaushälfte typique

      https://www.openstreetmap.org/relation/444944#map=8/49.986/8.372

      Preis: 460.000 € VB

      Unsere großzügige Doppelhaushälfte liegt unweit von Dienstleistern des täglichen Bedarfs. Bäckerei, Apotheke, Ärzte, Friseur, Postfiliale sowie ein Vollversorger sind leicht zu Fuß erreichbar. Des weiteren befindet sich in unmittelbarer Nähe ein Kindergarten.

      Die Verkehrsanbindungen in Bischofsheim sind optimal. Autobahnen und B43 sind in wenigen Minuten erreichbar. Am Bahnhof „Mainz-Bischofsheim“ ist man in wenigen Gehminuten und die S- und Regionalbahnen sorgen für eine schnelle Verbindung nach Mainz, Wiesbaden, Frankfurt und Darmstadt, die insbesondere für Pendler geeignet sind.

      Das Haus ist komplett ausgeräumt, so dass man es sofort nach seinen Wünschen gestalten kann.Es besticht durch seine Helligkeit und eine gut durchdachte Grundrissgestaltung.

      Spießbürger – Wikipedia
      https://de.wikipedia.org/wiki/Spie%C3%9Fb%C3%BCrger

      Als Spießbürger, Spießer oder Philister werden in abwertender Weise engstirnige Personen bezeichnet, die sich durch geistige Unbeweglichkeit, ausgeprägte Konformität mit gesellschaftlichen Normen und Abneigung gegen Veränderungen der gewohnten Lebensumgebung auszeichnen. In der Schweiz werden Spießbürger auch als Bünzli oder als Füdlibürger (Füdli = Hinterteil) bezeichnet

  • Das Brandenburger Tor als Denkmal für Mord, Erpressung, Feigheit, und Verrat.


    Fidel Castro am Brandenburger Tor
    Quelle: https://de.wikipedia.org/wiki/Werner_Lamberz

    Von 1945 bis 1991 kam Viktoria ohne Eisernes Kreuz aus, und verzichtete auf preußischen Militarismus im Siegerkranz. Hier zu sehen beim Besuch des kubanischen Ministerpräsidenten Fidel Castro in Ostberlin am 14.7.1972. Der Berliner Stadtkommandant Arthur Kunath erläutert dem kubanischen Ministerpräsidenten den Blick nach Westberlin.

    Berlin, Fidel Castro an der Grenze

    Berlin: Castro / Die Partei- und Regierungsdelegationen unter Leitung des Ersten Sekretärs der KPK und Ministerpräsidenten der Revolutionären Regierung der Republik Kuba, Fidel Castro(M), besichtigte am 14.6.1972 die Staatsgrenze der DDR zu Westberlin. Die Delegation, von Werner Lamberz, Mitglied des Politbüros und Sekretär des ZK der SED (2.v.l.), und anderen Persönlichkeiten, begleitet, wurde von Generalleutnant Arthur Kunath, Stadtkommandant von Berlin (2.v.r.), informiert. Rechts: Carlos Rafael Rodriguez, Mitglied des Sekretariats des ZK der KPK und Minister der Revolutionären Regierung.

    Johann Gottfried Schadow, Schöpfer der Quadriga auf dem Brandenburger Tor
    https://de.wikipedia.org/wiki/Johann_Gottfried_Schadow#Weitere_Skulpturen

    1793: Quadriga (Berlin, Skulpturengruppe auf dem Brandenburger Tor). König Friedrich Wilhelm II. ließ das Brandenburger Tor im Andenken an seinen Vorgänger Friedrich den Großen als Friedenstor errichten.

    Wikipedia vermischt hier Dichtung und Wahrheit. Richtig ist, dass Schadow der Schöpfer von Quadriga und EK im Siegerkranz ist. Über Anlaß und Grund des Baues jedoch verbreitet die online-Enzyklopädie im Schadow-Artikel 232 Jahre nach den Ereignissen immer noch Preußenpropaganda.


    7.7.1991 Berlin.- Brandenburger Tor, Quadriga. Preußischer Adler auf Eichenkranz am Stab der Göttin mit Eisernem Kreuz

    Der Artikel über Brandenburger Tor und Quadriga ist da schon erhellender.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Brandenburger_Tor#Quadriga

    „Victoria konnte als Symbol nahtlos in die Bildsprache des Absolutismus eingegliedert werden. Sie diente Friedrich Wilhelm folglich als […] Legitimierung der eigenen Militäraktion im Herbst 1787 und der anschließenden Bündnispolitik, die eine Friedensabsicht verfolgte.

    Wozu eine Quadriga?
    https://de.wikipedia.org/wiki/Quadriga

    Als Fahrerin ist in der Kunst oft die Göttin Eirene dargestellt. Man findet aber auch Apollon als Fahrer in der antiken Kunst vor.

    Die historischen Vorbilder der Berliner Quadriga werden von der Göttin des Friedens oder vom Gott der Dichtung gelenkt. Auf dem Brandenburger Tor dominiert eine preußische Siegesgöttin. Das macht neugierig. Wo Frieden symbolisch durch kriegerischen Triumph ersetzt wird, müssen wir die Wahrheit unter den Opfern auf den Schlachtfeldern suchen.

    Die Errichtung des repäsentativen Brandenburger Tors ist das Ergebnis einer Aneinanderreihung von Lügen und Betrügereien. Im Krieg gegen die junge holländische Republik siegte Preußenkönig Friedich Wilhelm II. durch Verrat. Der schwache König Ludwig XVI. von Frankreich ließ die mit ihm verbündeten holländischen Patriotten (mit Doppl-T) ohne Schutz. Zwei Jahre vor der Französischen Revolution hatte er gedroht, den 25.000 Preußenkriegern ein Heer von 100.000 Soldaten entgegen zu stellen, diese Soldaten jedoch nie geschickt.

    Verhandlungen und Vorbereitung
    https://de.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Wilhelm_II._(Preu%C3%9Fen)#Verhandlungen_und_Vorbereitung


    Die Wahrheit kennen wir als erstes Opfer jeden Krieges. Auch hier war eine gefälschte Depesche von Wilhelmine von Preußen der Frau des Statthalters in den Niederlanden Wilhelm V. und Schwester des Preußenkönigs Auslöser und Vorwand für den Einmarsch der Preußentruppen unter dem Herzog von Braunschweig.

    Letztlich zwang eine Kutschfahrt Wilhelmines den König zur militärischen Intervention. Am 26. Juni 1787 wollte Wilhelmine provokativ ohne Geleitschutz von Nimwegen nach Den Haag reisen. Nach Zwei Dritteln der Strecke wurden die Wagen an einem holländischen Grenzübergang bemerkt und vor dem Übersetzen mit der Fähre über den Fluss Leck angehalten. Bei Schonhoven wurden die Insassen durch ein Patriotten-Freikorps nicht zum Umkehren, sondern zum Warten aufgefordert.

    Diese „Festnahme“, die real keine wahr, da die Prinzessin ja nur die Entscheidung der Generalstaaten über ihre Weiterreise abwarten sollte, um dann ihre Fahrt fortsetzen zu können, schilderte sie Friedrich Wilhelm II. als „Inhaftierung“ mit „unwürdiger Behandlung“. In Wahrheit wurde Wilhelmine im Wohnhaus des Kommandanten untergebracht und standesgemäß behandelt. Letztlich beschlossen die Generalstaaten die Rückreise Wilhelmines nach Nimwegen.

    Preußische Intervention in die Niederlande (1787)
    https://de.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Wilhelm_II._(Preu%C3%9Fen)#Einmarsch

    am 10. Oktober 1787 kapitulierte Amsterdam. Wilhelm V. wurde als Statthalter wieder eingesetzt. Die Wiederherstellung des Friedens in den Niederlanden verherrlichte der preußische König in Berlin mit dem Bau des Brandenburger Tors. Das Brandenburger Tor orientierte sich an den Propyläen des Perikles (dem Torbau der Akropolis in Athen). Mit dieser Anspielung auf Perikles inszenierte sich der König als Begründer eines goldenen Zeitalters, das aus einer klugen Bündnispolitik, d. h. auf Basis der protestantischen Allianz zwischen Preußen, den Niederlanden und Großbritannien, hervorgeht. Die außenpolitische Realität der nächsten Jahre unterschied sich jedoch deutlich von diesem Anspruch.

    Was für ein Sieg, dabei war Friedich Wilhelm II. nicht in Holland. Er gab nur den Befehl zum Krieg und ließ dann seine Offiziere ihr Werk als Schuldeintreiber und Auftragsmörder verrichten. Das Brandenburger Tor macht den feigen Sack dann nachträglich doch zum Helden seiner Klasse.

    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c7/1797_Frisch_Friedrich_Wilhelm_II._von_Preussen_anagoria.JPG/808px-1797_Frisch_Friedrich_Wilhelm_II._von_Preussen_anagoria.JPG

    Die Zahl der beteiligten Soldaten belegt, dass die Kampagne keine unbedeutende war. Zahlreiche Opfer sind gefallen, die allgemein bekannten Berichte enthalten uns ihre Zahl vor. Die damals auf Feldzügen üblichen hygienischen Zustände, zehn Tage Belagerung und Kampf um Amsterdam und einige Begegnungen mit Einheiten der Patriotten lassen vermuten dass wenigesten tausende Soldaten auf Befehl des Königs ihr Leben lassen mussten. Auch dieser Krieg war Massenmord im Machtkampf von Monarchen.

    Patriotten
    https://de.wikipedia.org/wiki/Patriotten

    Obwohl 1787 durch die preußische Invasion unterdrückt, erhob die Partei der Patriotten bald wieder ihr Haupt und bewirkte mit Hilfe der Franzosen 1795 die Vertreibung der Oranier und die Errichtung der Batavischen Republik.


    ca. 1855 Photographische Aufnahme des Brandenburger Tores von Leopold Ahrendts (1825–1870)


    Die blutige Arroganz unserer Brandenburger Kutsche wird von den Stadtbären des Plastik-Zeitalters aufs Schönste ihrer Bedeutung entkleidet. Beliebigkeit siegt über Preußenheroismus. Wie nett.

    #Berlin #Mitte #Pariser_Platz #DDR #Mauer #DDR #Kuba #Geschichte #Preußen #Militarismus

  • Rituale allein reichen nicht - Kommentar Holocaust-Gedenktag Silke Mertens - TAZ 27.1.208
    http://www.taz.de/!5477381


    Raté ! Dans les pages du Journal de moins en moins à gauche TAZ la journaliste Silke Mertens nous rappelle que les rituels ne suffiront pas pour contrer une nouvelle montée du nazisme et de l’antisémitisme. Manque de bol son article est encore un de ces textes qui n’apportent rien de nouveau au discours ritualisé qui énerve tant de monde. En omettant des éléments essentiels de l’histoire antisémite quelle raconte elle crée des boucs-émissaires. Elle finit par prononcer implicitement l’absolution des vrais coupables.

    Reprenons dès le début.

    Dans les années 1930 le pouvoir nazi fait construire à côté du beau quartier Berlin-Friedenau des logements sociaux de bas de gamme pour les ouvriers fidèles au régime. La cité s’étend sur plusieurs blocs et met en pratique les idées politiques et architecturales du fascisme allemand. Contrairement au projets italiens on respecte la norme d’hauteur en vigeur pour toutes les maisons de la ville et on organise l’emplacement des blocs d’une manière à les protéger des tempêtes de feu après les bombardements.


    Une charmante cité nazie

    Jusque dans les années 1970 c’est une population d’ouvriers, d’employés de bureau et de petits fonctionnaires anticommunistes qui habite les immeubles restés entacts malgé de nombreux raids aériens sur les quartiers et gares avoisinants. Ceci change avec les nouvelles politiques de logement après la réunification de la ville. La cité appartient encore à la ville qui commence à remplacer les habitants allemands viellissants par des familles d’immigrés du Levant et d’Arabie et par des « Volksdeutsche » arrivant du Kazakhstan après l’écroulement de l’URSS. C’est un mélange socio-culturel de plus en plus disparate et explosiv. A la fin du siècle le taux de chômage dans la cité tourne autor de 70 pour cent.

    Nos amis qui habitent la cité ne laissent plus jouer leurs enfants dehors dans les jolies cours intérieures fleuries. Un gamin sans grands frères y est perdu. Les gosses de dix ans frappent et volent ceux de huit ans qui n’ont rien d’autre à faire de d’essayer ce quils viennent d’apprendre sur les petits de cinq et six ans. Quand tu te plains, c’est le grand frère qui règle l’histoire. Tu ne peux pas gagner. Quand il sont bien énervés les gamins arrivent à casser les tables de pingpong en béton armé épais de dix centimètres. Nos amis quittent la cité et acceptent un loyer deux fois plus élevé dès qu’ils trouvent un travail adéquat.


    Relief affichant un Hitlerjunge au dessus d’une entrée d’immeuble

    L’école où se passe le fait divers antisémite se situe dans le bloc d’immeubles à l’extrémité nord-ouest à l’endroit où l’autoroute frôle la cité. Au moment des événements l’apothicaire du coin est partie depuis quelques années déjà, la MJC dans le même bâtiment a cédé ses locaux à une secte évangéliste et de plus en plus d’appartements d’ouvrier sont rachetés par des non-berlinois cherchant à placer de l’argent où pour leurs enfants qui partent faire des études dans la capitale.

    C’est un melange instable qui devait exploser tôt ou tard. Depuis longtemps déjà les voisins connaissant la situation et ne mettent plus leurs enfants dans l’école du quartier. Parmi les nouveaux arrivant une malheureuse famille juive croit les affirmations de la direction de l’école où les enseignants font d’ailleurs un travail admirable. Il arrive ce qui doit forcément arriver. Le gamin juif se fait maltraiter par les enfants « arabes » déjà pas tendres entre eux et les journalistes de tous les bords crient à l’antisémitisme.


    Au centre du quartier à côté de l’église un magasin de légumes turc et une pizzeria, à gauche le local de vente d’appartements.

    Si seulement les voisin bourgeois s’étaient engagés autant pour empêcher la vente des immeubles aux spéculateurs, si seulement ils avaient oeuvré pour établir des contacts avec les familles du quartier, si seulement ils n’avaient pas abandonné les laissés pour compte de la société d’exclusion sociale.

    Les occasions pour agir contre les problèmes étaient nombreuses et proches. L’école à problèmes est située á deux cent mètres du quartier le plus aisé de la région où habitent des journalistes bien placés de tous les médias et pays. Il aurait suffit de passer sous le train et l’autoroute, il aurait suffit d’inviter les classes de l’école derrière la voie des chemins de fer à des projets communs avec les écoles du beau quartier. C’était possible mais personne ne le voulait. Alors c’est un pauvre petit enfant juif qui souffre des conséquences de la ségrégation sociale qui divise les cités du même quartier urbain.

    Je plains les parents qui essaient de prendre sur leurs épaules et sur cellles de leur enfant le poids de cet immense projet de société qui n’a pas eu lieu jusqu’à présent. Mais en réalité ils ne sont pas à plaindre. La réaction des parents juifs a été celle de leur classe sociale. Leur gamin va désormais sur une école privée et portera une rancoeur éternelle envers les arabes et autres muselmans pauvres pendant que ses parents et les médias bourgeois crient à l’antisémitisme.

    On connait le procédé - tu cries à tue tête au voleur afin de ne pas te faire prendre après récupéré le butin. L’événement traumatisant est-ce qu’il provoque un changement d’attitude des citoyens du beau quartier ? Pas vraiment. Comme d’habitude on fait faire le ménage après par les instituteurs et institutrices et on retourne organiser des vernissages et réceptions entre soi.


    Le beau quartier de Friedenau à quelques centaines de mètres

    Antisemitismus nimmt zu, die Erinnerungskultur hat versagt. Solange der Staat jüdische Kinder nicht schützt, sollte er Privatschulen für sie bezahlen.

    Es gibt nicht vieles, auf das man in Deutschland so stolz ist wie auf die Erinnerungskultur und die Aufarbeitung des Holocaust, dem größten Verbrechen der Menschheitsgeschichte. Gedenkstätten, Mahnmale, Stolpersteine, Gespräche mit Zeitzeugen, eine Vielzahl an Dokumentationen und Veranstaltungen. Am heutigen 27. Januar, dem Holocaust-Gedenktag, ist es wieder so weit. Politiker werden sagen, dass der Völkermord an den Juden eine unfassbare moralische Katastrophe war, aus der die immerwährende Verantwortung Deutschlands erwachse, so etwas nie wieder zuzulassen. Wehret den Anfängen!

    Das Problem ist nur: Niemand wehrt den Anfängen. Antisemitismus ist heute im deutschen Alltag wieder so verbreitet und so laut, dass nicht wenige jüdische Eltern ihre Kinder anweisen, in der Schule lieber nicht zu sagen, welcher Religion sie angehören. Denn wer es tut, dem kann es ergehen wie dem 14-jährigen Jungen an der Gemeinschaftsschule Friedenau in Berlin, der von seinen muslimischen Mitschülern gemobbt, verprügelt und schließlich scheinhingerichtet wurde. Dutzende ähnliche Fälle werden auch aus anderen Teilen Deutschlands berichtet.

    Die Vertreter des Staats reagieren durchweg mit bemerkenswerter Gleichgültigkeit. In Dresden waren es dann auch nicht Lehrer, sondern eine Schülerin, die ihre Klassenkameraden wegen Volksverhetzung anzeigte. In ihrer Klasse war es unter anderem cool geworden, den Handyakku auf 88 Prozent zu laden – 88 ist der Nazi-Code für „Heil Hitler“ – und Bilder von Rauchwolken als „jüdische Familienfotos“ zu bezeichnen.

    Nun soll die Bundesregierung einen Antisemitismusbeauftragter berufen. Und die Berliner Staatssekretärin Sawsan Chebli fordert neuerdings einen verpflichtenden Besuch in einer KZ-Gedenkstätte für alle Schüler und Neubürger. Beides sehr ehrenwert. Doch soll das ernsthaft eine Strategie gegen Antisemitismus sein? Der Leiter der Gedenkstätte Sachsenhausen,

    Günter Morsch, wehrt sich gegen die Vorstellung, NS-Gedenkstätten als antifaschistische Durchlauferhitzer zu verstehen. Zu Recht.

    Solche Forderungen zu erheben und einen neuen Beauftragten einzusetzen, ist leichter als sich das Unvermeidbare einzugestehen: Die deutsche Erinnerungskultur ist gescheitert. Ihr ist es auch nach Jahrzehnten nicht gelungen, Antisemitismus zurückzudrängen. Alte antisemitische Klischees wie das des Kindermörders und Brunnenvergifters tauchen beim Antiisraelismus und Antizionismus sogar neu und immer enthemmter auf. Es scheint, als wäre ein Damm gebrochen.

    Dennoch wird in den Schulen häufig die NS-Vergangenheit noch immer so unterrichtet, als habe man es, die Herkunft der Schüler betreffend, mit homogenen Klassen zu tun. Dabei liegt seit Jahren auf der Hand, dass für Schüler aus muslimischen Ländern andere Konzepte und Anknüpfungspunkte gebraucht werden. Ähnliches dürfte auf die Kinder aus russlanddeutschen Aussiedlerfamilien zutreffen, eine Minderheit, die überproportional stark in der AfD zu finden ist. Tatsache ist, dass 73 Jahre nach Auschwitz ein jüdisches Kind nicht gefahrlos auf eine ganz normale deutsche Schule gehen kann. Die betroffenen Familien weichen auf jüdische wie nichtjüdische Privatschulen aus. Auch der antisemitisch gemobbte Junge aus der Gemeinschaftsschule Friedenau geht inzwischen auf eine solche Privatschule. Dass die Eltern selbst für die Schulgebühren aufkommen müssen, ist so skandalös und beschämend wie das antisemitische Mobbing selbst. Solange der Staat und seine Institutionen den Schutz jüdischer Schulkinder nicht sicherstellen können, wäre es das Mindeste, diese Kosten zu übernehmen.

    Stattdessen werden Reden gehalten und Kränze niedergelegt. Erinnerungsrituale können wichtig sein, sogar identitätsstiftend. Aber wenn sich der Kampf gegen Antisemitismus auf sie verengt, sind sie bedeutungslos.

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    Telefon : 030 / 8552484

    Siedlung am Grazer Damm
    https://de.wikipedia.org/wiki/Grazer_Damm#Siedlung_am_Grazer_Damm

    Tag des Gedenkens an die Opfer des Nationalsozialismus – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Tag_des_Gedenkens_an_die_Opfer_des_Nationalsozialismus

    Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_internationale_d%C3%A9di%C3%A9e_%C3%A0_la_m%C3%A9moire_de

    Volksdeutsche
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Volksdeutsche

    Le terme Volksdeutsche (littéralement « Allemand par le peuple ») est un terme allemand, forgé au début du XXe siècle et ultérieurement investi de connotations raciales et nationalistes. Ce terme renvoie à des populations vivant hors des États à population majoritairement allemande dont elles n’ont pas la nationalité, mais qui se définissent (ou sont définies) ethniquement ou culturellement comme allemandes.

    Kazakhstan
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Kazakhstan#Histoire

    Dans les années suivantes du régime stalinien, le Kazakhstan, en partie dans le cadre du complexe correctionnel du « steplag » et du « karlag », est une destination pour de nombreuses déportations (et évacuations de guerre), et en particulier, pendant et juste après la Seconde Guerre mondiale, de groupes ethniques parfois entiers : Tatars de Crimée, Polonais, Tchétchènes, Allemands de la Volga, et autres.

    #Allemagne #Berlin #Friedenau #Rubensstraße #antisémitisme #gentrification

  • Ridley Scott et la saga Alien : quand l’auteur devient son propre monstre… | Calimaq
    https://scinfolex.com/2017/05/14/ridley-scott-et-la-saga-alien-quand-lauteur-devient-son-propre-monstre

    Cette semaine est sorti sur les écrans le film Alien : Covenant qui ajoute un nouvel épisode de la saga initiée par Ridley Scott en 1979. Après le déjà très controversé Prometheus en 2012, Ridley Scott revient aux commandes d’un film qui est en train de déclencher parmi les fans un véritable torrent de critiques négatives, accusant le… Source : : : S.I.Lex : :

    • Viol de l’oeuvre par son propre auteur ?

      Ce qui était déjà en germe dans Prometheus devient cette fois encore plus problématique avec Alien : Covenant . Ridley Scott – peut-être comme le dit Durendal parce qu’il atteint l’âge canonique de 80 ans – paraît s’enfoncer dans un délire mystique à tendance créationniste et il plaque artificiellement ces nouvelles thématiques sur l’univers d’Alien. Ce qui était à la base avant tout un film d’horreur, caractérisé par la figure iconique du xénomorphe, devient à présent une sorte de réflexion pseudo-philosophique ampoulée sur les origines de la vie et de l’être humain. Dans Covenant , Ridley Scott s’attache à faire des révélations sur la création jusqu’alors inexpliquée de l’Alien, à laquelle il apporte une réponse… plus que surprenante (je vous épargne les spoils). Le problème, c’est que ce faisant, il introduit un nombre invraisemblable d’incohérences qui rejaillissent sur les films suivants (l’action de Covenant se déroulant avant le premier épisode de la saga). Or ici, on peut dire d’une certaine manière que Ridley Scott se comporte comme le xénomorphe avec sa propre création : avec ces nouvelles thématiques religieuses, il insémine l’histoire avec des corps étrangers qui la font muter et la boursouflent jusqu’à la faire littéralement exploser. Et du coup, j’ai rarement vu quelque chose qui mérite autant le qualificatif de « dénaturation de l’oeuvre », au sens d’une violation du droit moral, alors qu’elle est commise par l’auteur lui-même.

      L’auteur est littéralement devenu son propre monstre et c’est l’univers d’Alien qui en est la première victime !

    • Souvent, le spectateur est plutôt bienveillant envers l’œuvre qu’il découvre et accepte les présupposés de l’univers qui lui sont proposés tant qu’ils ne vont pas à l’encontre de leur propre cohérence.

      On accepte donc beaucoup de petites faiblesses, jusqu’au moment où l’on trouve le propos tellement con qu’on éclate de rire pendant une scène qui n’est manifestement pas destinée à déclencher cette réaction. Généralement, c’est là que le réalisateur me perd.
      Ça a déjà été très chaud avec la scène d’intro, que j’ai trouvée prétentieuse au possible, mais bon, on passe l’éponge. Mais ça tourne directement au slasher avec des personnages et des situations totalement risibles parce mal écrits ou montés, je ne sais pas.
      Grosso merdo, t’as un vaisseau colonisateur de première vague avec, globalement, aucun système redondant et un équipage de gens qui se révèlent parfaitement inaptes au moindre stress, alors que la moindre hôtesse de l’air chez nous est formée pour ça : gérer le merdier. Et très rapidement, le #WTF se laisse bouffer par sa propre entropie, jusqu’au moment où tu te retrouves avec des monstrasses sortis du slip (parce que tu y repenses bien, si tu suis le scénario, en dehors de vouloir faire un plan par plan d’une scène du premier opus, ben, le bestiau, il ne peut pas être là. Pas possible !)
      Y a deux ou trois plans jolis, mais rien qui justifie de s’infliger deux heures de #bullshit autour.

    • Pas aimé du tout le texte de S.I. Lex sur Ridley Scott :
      https://scinfolex.com/2017/05/14/ridley-scott-et-la-saga-alien-quand-lauteur-devient-son-propre-monstre

      Après avoir expliqué, apparemment sagement, qu’il ne veut pas faire un procès à Scott :

      Certes, il ne s’agit pas de dire que Ridley Scott devrait être traîné en justice pour avoir commis quelque chose d’aussi mauvais qu’Alien : Covenant

      dans le paragraphe suivant (et final), il assène :

      On en vient presque à se dire qu’il vaudrait mieux que Ridley Scott ne vive pas assez longtemps pour poursuivre ce massacre méticuleux de sa propre création

      Pas de procès, mais il faudrait qu’il meure, parce qu’il saccage l’« univers » que ses fans aiment ? Ah ah ah… Non mais c’est quoi la cohérence ?

      Autre difficulté je pense : qu’on dénonce les excès du droit moral de l’« auteur », qui ici passe par le droit de producteur (Scott a racheté ses droits, si je comprends bien), pour qu’ensuite on dénie totalement le droit moral de l’auteur pour carrément l’attribuer aux « fans », au motif génial que :

      c’est le public qui se fait le gardien de l’esprit d’une oeuvre

      Sérieusement, la logique de SILex, maintenant, c’est d’arriver à réclamer un « gardien de l’esprit de l’œuvre » tellement intransigeant que le contrevenant devrait mourir ? (C’est pas du tout ce que j’avais compris du principe du remix, moi.)

      J’ai détesté Prometheus, je pense que Scott est, de longue date, un idéologue réactionnaire, mais là, franchement, la pente de SILex m’inquiète. Qu’on dénonce la « posture d’auteur », ou ses excès, ou le fait que l’auteur monopolise légalement la vie de l’univers créé, oui ; mais si c’est pour que le public devienne non plus un créateur, mais un gardien de l’orthodoxie de l’œuvre qui souhaite qu’Untel meure parce qu’il aurait trahi l’« esprit », on tombe dans le pire de ce qui serait justement une posture d’auteur 2.0.

      Parce que ça veut dire quoi, « plaquer artificiellement de nouvelles thématiques » ?

      il plaque artificiellement ces nouvelles thématiques sur l’univers d’Alien

      Je déteste les foutaises de Scott sur la foi qu’on en a tous besoin et les croyants qu’on persécuterait , mais qu’il tente d’ajouter des trucs à un idée somme toute particulièrement basique (monstre-voit, monstre-tue), je suis très pour. Si j’allais dans le sens de SILex, ce serait pour qu’on autorise « les gens » à enrichir eux-même cet univers, quitte à se foirer eux aussi, quitte à détourner le truc, mais pas à se poser en « gardiens » au motif qu’ajouter des thématiques, ce serait « artificiel » (je veux dire, c’est quand même des conneries de série B avec des monstres violeurs, par définition tout ça c’est « artificiel » !).

      (Et puis, franchement franchement, je pense qu’on est en plein délire du moment sur ces « univers », qui sont très exactement le gros fantasme économique à la mode de Hollywood, avec le Marvel-Truc-Universe (« MCU » in Ingliche), le X-Men-Reboot-de-mes-Fesses, le rachat de l’« univers » Star Wars, etc. On est tout de même largement dans le divertissement pas grandiose à base de produits dérivés, hein. Réclamer que la « fanbase » de l’« œuvre » décide d’un truc qui, dans tous les cas, n’est fait que pour engranger les milliards de profits sur la vente de figurines en plastoque, ça me semble pas intéressant du tout comme indignation…)

    • Il y a par ailleurs un autre contre-sens ici, qui est de parler de « délire mystique à tendance créationniste ». Or le film n’est clairement pas créationniste, puisque la première scène de Prometheus montre un alien se sacrifier pour que son ADN se répande sur Terre et ainsi donner naissance à la race humaine. Il n’y a donc pas de Dieu (puisque c’est fondamentalement ça, le créationnisme américain), mais des extraterrestres. (Et dans un film de SF, imaginer que des extra-terrestres sont à l’origine de la vie sur Terre, c’est tout de même assez banal.)

      En revanche, c’est un discours beaucoup plus malsain qui est mis en avant (surtout à mon avis dans Prometheus, où c’est le sujet d’un bon tier des dialogues), et qui fait que @nidal avait considéré que Scott relevait du néo-conservatisme. Et que les critiques passent à côté, comme ils le font avec d’autres mouvements néo-fascistes (une partie de la alt-right, ou la nouvelle droite plus ancienne).

      Le besoin de conserver une foi « traditionnelle »

      C’est très clair dans Prometheus : au début on montre la vie humaine « créée » par les extra-terrestres (donc pas du tout du créationnisme typique du fondamentalisme religieux américain), mais ensuite l’héroïne qui, tout en étant celle qui développe la thèse des « Ingénieurs », revendique sa foi chrétienne. Et à la fin du film, alors que tout lui a contredit le récit biblique de la création, elle récupère sa croix avant d’aller bouter l’alien à l’autre bout de l’univers. Dans Covenant, c’est moins omniprésent, mais on a bien ce personnage du nouveau capitaine, qui aurait été écarté du commandement à cause de sa foi, et à qui l’héroïne (qui semble-t-il ne croit pas elle-même en Dieu), affirme que son équipage en difficulté a plus que jamais « besoin de sa foi ».

      C’est-à-dire qu’on a pour thèse très explicite que : (a) la foi traditionnelle est explicitement contredite par les faits, (b) « on » a besoin cependant de s’accrocher à cette foi pourtant démontrée comme fausse.

      C’est vraiment une idée tordue et cynique. Mais… ça me semble tout un courant de pensée, qu’on croise régulièrement dans la culture populaire américaine, qui affirme qu’il est nécessaire d’avoir la foi, alors même qu’on affirme que cette croyance se base sur des faits faux (genre : même les zombies finissent par ressentir le « besoin » d’aller à l’église…). Ce qui, à mon avis, est une tendance fascisante : « je » ne crois pas en Dieu, mais je crois qu’il est nécessaire qu’« on » continue de croire en Dieu, au moins dans la forme culturelle du christianisme. Ainsi des « intellectuels » rigoureusement athées réclament que le peuple continue de maintenir son « identité chrétienne ».

      On ne peut pas vivre ensemble

      Ce cynisme néo-conservateur se double d’un pessimisme d’ordre plus ou moins raciste. Là on se fait souvent promener parce que, dans d’autres films, Scott rappelle que les Chrétiens ont commis des massacres pendant les Croisades. Ce qui nous ramène à une erreur dans la critique des racistes, ou de la théorie du Choc des civilisations par exemple, qui est de les accuser de croire à l’inégalité des races ou des cultures, ce à qui ils rétorquent qu’ils n’en pensent rien (bon, je pense que si on creuse…), et que tout ce qu’ils disent, c’est le pessimisme profond selon lequel les cultures sont incompatibles, et quel la guerre est inévitable.

      Et ça aussi, c’est un élément très présent (et pénible) dans la culture populaire américaine, avec notamment l’omniprésence des histoire des massacres, de génocides, et plus récemment de torture systématique.

      Ce qui ressort d’ailleurs dans Prometheus de manière grotesque : comprenant que les « Ingénieurs » se préparaient à revenir sur Terre, on affirme sans plus se poser de question que c’était dans le but d’y détruire la race humaine (à aucun moment on ne dit ce qui justifie cette conclusion). Dans Convenant, David arrive sur la planète des Ingénieurs et, sans attendre, ouvre le sas de son vaisseau et éradique totalement leur civilisation en déversant sur eux une « arme de destruction massive ». Parce que, comme dans les références aux Croisades de Scott, ces massacres et ces génocides, c’est inévitable. C’est pas parce que ce serait justifié, c’est juste qu’on considère de manière extrêmement cynique que c’est inévitable.

      Bref je trouve que tout ça relève d’un proto-fascisme néo-conservateur, avec un vieux fond de guerre culturelle à la fois sceptique et cynique, et un pessimisme fondamental sur l’impossibilité des cultures et des races condamnées à la guerre et au génocide.

    • Tout est vrai ou prèsque de ce que vous dites. Ce qui m’a frappé au milieu du film après avoir assisté bouche bée les agitations des boulets décrits par Agnès c’est qu’il est construit autour de la peinture d’Arnold Böcklin L’Île des Morts .

      Ce n’est certainement par hasard qu’un set designer s’est décidé de faire ressembler exactement le le paysage où se trouve l’entrée dans la grotte du monstre à la peinture enblématique. On le découvre donc au milieu du film à un tournant de l’histoire.

      Une rapide vérification de cette découverte dans l’encyclopédie qui ment (en allemand seulement) me fait alors découvrir d’autres élements plausibles et révélateurs.

      https://de.wikipedia.org/wiki/Die_Toteninsel

      1977 zeichnete der Schweizer Künstler H. R. Giger seine Hommage an Böcklin. In dem Bild wird die Toteninsel im giger-typischen, biomechanischen Stil gezeigt.

      O.K. ca va, on comprend que l’équipe du film est tombée sur l’image à cause de le vénération de l’auteur de l’alien initial H. R. Giger pour Böcklin.

      Pourquoi alors lui donner une place au centre du récit ?

      Das Gemälde wird neben „Das Gestade der Vergessenheit“ von Eugen Bracht als eines der wichtigsten Werke des Symbolismus betrachtet. Kaiser Wilhelm II. besaß eine Version von beiden Werken.

      Ah, déjà le Kaiser admirait le génie de Böcklin. Après c’est le symbolisme qui nous mène droit vers le Gesamtkunstwerk et de là on tombe sur - vous l’avez deviné dès le début de mes remarques - sur Richard Wagner dont les airs hautement symboliques marquent le début et la fin du film.

      Mais il y a encore mieux :

      Die dritte Version entstand 1883 für Böcklins Galeristen Fritz Gurlitt. 1936 wurde diese Version auf dem Kunstmarkt angeboten und von Adolf Hitler erworben, der das Werk bewunderte. Er hängte es zunächst auf dem Berghof auf, ab 1940 in der Berliner Neuen Reichskanzlei.

      Tadaa, entrée du Führer qui nous emmène vers les portes du royaume des morts comme font toujours le fachos.

      Chemises noires ou brunes, le résultat est systématiquement le même, il ne varie que dans son ampleur touchant quelques africains, des européens sélectionnés d’après des critères loufoques ou la population entiére d’un monde semblable au notre.

      N’est pas mentionnée explicitement Friedrich Nietzsche, le charmant créateur de la célèbre phrase

      Gott ist tot.

      Pourtant c’est lui et son Zeitgeist dont les phantômes nourrissent l’imagination des neo-neo-neo-libres-penseurs amerloques alors que nous pauvres victimes allemands d’une éducation scolaire ratée et surchargée d’idées du dix-neuvième siècle nous n’avons pas le choix et sommes obligés de nous laisser emporter par un flux de pensées aux références éclectiques pendant que nos voisins de rang se crispent aux accoudoirs de leurs fauteuils à chaque apparition du monstre CGI.

      Passons sur l’histoire du Übermensch dont il ne reste que l’UBERtaxi , c’est encore une histoire à dormir debout à cause de son incohérence et banalité.

      Nietzsche’s idea of “the overman” (Ubermensch) is one of the most significant concept in his thinking

      https://seenthis.net/messages/391223

      En fin de compte Alien - Covenant n’est qu’un film pour tous sans réflexion particulièrement profonde, c’est un amalgame idéologique et éclectique dont la prétention ressemble à la cathédrale protestante de Berlin de 1894 avec son mélange de styles commandé par l’empereur Guillaume II .

      On aime ou on n’aime pas, ici tout est spectacle, même Richard Wagner reste sans défense contre la machine de recyclage d’idées fin de siècle entre les mains de Ridley Scott.

      #cinéma #film #hollywood #science-fiction #idéologie #nihilisme #nouvelle_droite

    • Le #Luberon, ses riches, ses célébrités. Au village d’Oppède, on peut croiser une actrice, des pédégés, une présentatrice TV, un chansonnier… Croiser ? Pas vraiment, car ces gens-là se vautrent rarement avec le commun des pézouilles. Et surtout personne ne doit résister à la puissance de leur #pognon.

      Mis à jour le :15 décembre 2009. Auteur : Anatole Istria.
      http://www.cequilfautdetruire.org/spip.php?article2122&var_recherche=ridley%20scott#nh1

    • http://www.cequilfautdetruire.org/spip.php?article2122&var_recherche=ridley%20scott#nh1

      « À Oppède, c’est Scott qui a quasiment fixé le prix de la terre, rappelle Christophe. Nos anciens étaient peut être plus influençables face à la célébrité et à l’argent, mais moi je n’en ai rien à foutre. Je ne partirai pas de mon terrain à moins de cinq millions d’euros ! Une somme extravagante pour 8000 m2, mais c’est pour me mettre au même niveau que lui. » Au fait, le prochain long-métrage de Ridley Scott est consacré à Robin Hood. Vous savez, le hors-la-loi qui volait les riches…

  • On représente toujours les pupilles des dinosaures carnivores avec des yeux en fente. Je ne suis pas expert en phylogénétique, mais si comme on dit, la poule descend du vélociraptor, ils devaient plutôt avoir des pupilles rondes. Même la plupart des ovipares ont des pupilles rondes. Et je ne suis pas le seul à me faire la remarque.
    http://www.huffingtonpost.fr/jean-sabastien-steyer/critique-jurassic-world-par-un-paleontologue_b_7669100.html

    Les raptors, encore eux, ont une pupille verticale alors que nous les reconstituons depuis des années avec une pupille ronde, comme les oiseaux, pour justement rappeler leur étroite parenté.

    Vélociraptor :


    Poule moderne :

    Dragon de Komodo :

    Alors sûrement pour augmenter la peur dans les fictions.
    Chat méchant :