#ça_fait_du_bien

  • Le 14 juillet, pile pendant le feu d’artifice, j’étais au festival de jazz du Rocher de Palmer pour écouter deux super groupes d’un coup, Rhoda Scott et son équipe de choc des Lady All Stars qui était au grand complet, puis Anthony Joseph et sa poésie politique sur fond de free jazz. C’est plus la classe que la musique militaire non ?

    Rhoda Scott et toutes l’équipe : Julie Saury ET Anne Paceo à la fois à la batterie, Airelle Besson à la trompette, Lisa Cat-Bero et Géraldine Laurent au sax alto, Céline Bonacina au sax baryton
    https://seenthis.net/messages/951431

    Anthony Joseph avec son dernier album « The rich are only defeated when running for their lives »
    https://anthonyjosephofficial.bandcamp.com/album/the-rich-are-only-defeated-when-running-for-their-li

    #musique #jazz #Rhoda_Scott #Anthony_Joseph

    • À l’Europa Jazz de ce printemps vu
      Louis Sclavis en quartet avec
      Ana Luis - violoncelle
      Bruno Ducret - violoncelle
      Keyvan Chemirani - zarb, percussions, santur
      Magnifique ! C’était le premier concert public de l’album qui venait de sortir.

      Suivi d’un concert de Truffaz accompagné du chœur Emelthée. Pas fan du trompettiste mais j’attendais quelque chose de cette formation -> c’est un peu beau 10 minutes et après c’est toujours pareil -> j’ai baillé

      Le lendemain :

      Géraldine Laurent en duo avec François Corneloup, ça marche super bien

      PAUL LAY TRIO « BACH’S GROOVE »
      Paul Lay - piano
      Matyas Szandai - contrebasse
      Donald Kantomanou - batterie
      pour une revisitation géniale et tonique de quelques préludes et fugues de Bach. Du coup Paul Lay était le Glenn Gould du jazz.

      Géraldine Laurent quartet « Cooking » + Mérédic Collignon très en forme et drôle
      Géraldine Laurent - saxophone
      Paul Lay - piano
      Yoni Zelnik - contrebasse
      Donald Kontomanou - batterie
      + Médéric Collignon - cornet, bugle, voix, machines

      Et pour terminer la soirée, la bande à Corneloup :
      François Corneloup - saxophone
      Fabrice Vieira - guitares, cavaquinho, voix
      Éric Duboscq - guitare basse
      Michaël Geyre - accordéon
      Fawzi Berger - zabumba, pandeiro,
      percussions, appeaux
      Ersoj Kazimov - derbuka, cajon
      + celleux qui jouaient avant ou joueraient le lendemain
      Musique joyeuse et dansante, j’ai dansé tout le concert !

      #ça_fait_du_bien

      Belle programmation les jours suivants (notamment Dhaffer Youssef et Airelle Besson) mais pas vraiment dispo et parce que j’ai pas les bourses à Rotchild.

  • Quand « ton » agriculteur de « ton » #AMAP t’écrit en début de saison...

    Bonjour à tous,

    Avec ce magnifique temps d’automne, c’est la rentrée des classes pour nous aujourd’hui ! Après deux mois et demi de pause nous voilà de retour !

    On espère que vous avez la forme, et on a hâte de vous retrouver. On est heureux de voir que beaucoup d’entre vous ont renouveler leur contrat, c’est une vrai #reconnaissance pour nous ! Merci !

    Grâce à vous, quasiment la moitié de notre production est vendu d’avance. La vente en Amap représente environ 40% de notre chiffre d’affaire. Ainsi nous avons une #trésorerie saine et on est capable de se projeter sur une saison en terme d’#investissement. C’est aussi pour nous une #sécurité en terme de revenu, même si une année est moins bonne à cause de la météo, ou autre. Je me dégage 1300€ de revenu par mois et j’arrive à mettre 400€ / mois de coté pour ma #retraite (car les #retraites_agricoles sont vraiment petites). Grâce à vous on embauche un salarié un gros mi temps sur l’année pour nous aider à la ferme et on cotise pour la retraite de Marie qui est conjointe collaboratrice sur la ferme (Marie a un autre travail à 80% par ailleurs). Voilà vous savez presque tout.

    Depuis 2014, année de notre installation, le chemin parcouru fut long et semé d’embûche, mais nous avons cheminé main dans la main dans un #partenariat qui prend d’autant plus de sens d’année en année. Depuis toutes ces années, on se connaît maintenant presque tous et j’ai parfois le sentiment qu’on fait tous parti de la même famille, avec des #valeurs communes de #partage, d’#entraide, de #solidarité. Alors même si parfois au cœur de l’hiver, on a marre de manger des choux et des navets et que moi même j’ai des moments de doute ; je continue à croire que ce modèle a de l’avenir car il est garant d’une agriculture « saine », écologique et équitable.

    Reçu par email le 19.05.2021

    #agriculture #ça_fait_du_bien #salaire #France

  • Non, je vais pas tenir un journal de confinée.
    Juste témoigner de ce qui se met en place ici #en_temps_de_pandémie.
    Mes voisin·es ont créé, la semaine dernière, un groupe sur WhatsApp pour s’organiser, s’entraider, s’informer, se soutenir, faire des courses groupées.
    J’ai pris le train en route car je n’ai pas de forfait internet sur mon mobile mais j’ai accès grâce au Wifi. J’avais reçu un message il y a quelques jours mais je ne savais ce que c’était. Ben, voilà, c’était une invitation à rejoindre le groupe, c’est fait. Et ça fait du bien cette #solidarité de voisinage #ça_fait_du_bien !

    • Tant mieux nous ici à 40km de Paris les choses se mettent en place aussi, je croise les doigts pour que les gens profite de ce confinement pour sortir de leur léthargie, et lisent des choses importantes qu’ils n’ont normalement pas le temps de lire. Mais j’ai très peut d’espoir. Surtout qu’ils mettent les bouchés doubles coté lois. amitiés Odilon, f.

    • #confinement_solidaire à opposer à #confinement_inégalitaire ou #confinement_violent ? Encore à la recherche d’un tag. Profite bien ! Ici dans la courée de Ménilmontant mes hôtes n’ont encore reçu aucune invitation des voisin·es à avoir des contacts réguliers alors qu’il s’agit d’une voie privée et que ça crée des liens comme une copro. Elle et il ont noté que certain·es qui avaient l’habitude de mettre leur bien en AirBnB sont parti·es sans prêter leur maison à des ami·es moins bien logé·es. Des maisons confortables avec jardin qui restent vides... Pas la grande classe.
      #bourgeoisie

  • #Gabriele_Del_Grande rule.
    Texte publié sur sa page FB, le 20.06.2018.

    Oggi è la #giornatamondialedelrifugiato. Criticare il governo sarebbe fin troppo facile. Oltre che consolatorio. Un po’ come scendere in piazza prima dell’aperitivo a chiedere di aprire i porti e di restare umani. Perché è bello sentirsi dalla parte dei buoni. È consolatorio. Siamo per il diritto d’asilo, per l’accoglienza, per il salvataggio in mare. E siamo così autocompiaciuti del nostro buonismo da non renderci conto di quanto ambigua e scivolosa sia la narrazione sulla frontiera che abbiamo costruito in questi anni. Una narrazione che paradossalmente rischia di fare il gioco di chi insegue il mito del controllo totale della mobilità Africa-Europa.

    Perché quel misto di civilismo ed etica della bontà ha spazzato via il lessico di una certa cultura politica della migrazione.

    Che fine ha fatto la critica alle politiche sui visti che da vent’anni sono alla base del fenomeno degli sbarchi? Che fine ha fatto la critica alla fabbrica della clandestinità e ai centri di identificazione ed espulsione? Che fine ha fatto il discorso sulla libertà di circolazione?

    Sulla rotta del contrabbando libico non viaggiano che pochi “rifugiati”. La grande maggioranza sono lavoratori partiti alla volta dell’Europa su quella che è rimasta l’ultima e unica via dell’emigrazione Africa-Europa. Le ambasciate europee hanno chiuso di fatto tutte le vie legali. Non esistono visti per ricerca di lavoro. Non vengono rilasciati nemmeno visti turistici, che comunque non potrebbero essere convertiti in permessi di soggiorno neanche in presenza di un contratto. Persino i ricongiungimenti familiari vengono concessi col contagocce. E tutto questo mentre l’Europa, da decenni, continua a importare manodopera a basso costo nel numero di milioni di lavoratori all’anno da quei paesi con cui ha firmato accordi di semi o totale libera circolazione: dai nuovi Stati Membri all’Europa orientale, dall’Albania a tutti i Balcani e al Sud America.

    L’Africa invece è stata mantenuta fuori da quegli accordi. Chiusi i canali legali di mobilità, da anni l’obiettivo europeo è chiudere l’ultima via rimasta aperta, quella del contrabbando libico che ormai ha il monopolio dei viaggi sud-nord nel Mediterraneo.

    L’unica eccezione che l’Europa è disposta a fare è proprio sui rifugiati. Su questo è d’accordo persino il ministro Salvini: chi scappa davvero dalla guerra, ha detto più volte, è il benvenuto. Stesso ritornello dalla Commissione a Frontex e ai tanti che a destra e sinistra da anni propongono di costruire in Libia dei centri di detenzione per selezionare i “veri” rifugiati da trasferire in Europa sotto la nostra protezione.

    Perché noi continuiamo a credere nel nostro stato di diritto. Chissà, forse ci aiuta a convivere con quella grande tomba a cielo aperto che è diventato il Mediterraneo, dove hanno perso la vita almeno trentamila viaggiatori negli ultimi vent’anni. Ebbene, la maggior parte di loro non erano perseguitati politici. Erano lavoratori alla ricerca della propria fortuna, spinti nelle braccia del contrabbando libico direttamente dalle ambasciate europee che da anni hanno smesso di rilasciare visti nei paesi della black-list dell’immigrazione clandestina.

    A loro l’Europa promette asilo politico, a patto che lo chiedano a nuoto. Soltanto chi di loro sopravviverà alla traversata ne avrà diritto. Basterà recitare una performance del dolore abbastanza credibile davanti ai funzionari delle commissioni per il riconoscimento dell’asilo, professionisti assunti per misurare il livello della sofferenza e certificare l’avvenuta persecuzione.

    Tutti quelli che avranno il diniego della commissione – e sono la maggioranza - dopo un ricorso fotocopia spesso inutile e spesso scritto da avvocati che campano su questo, saranno in teoria rimpatriati, in pratica espulsi dai circuiti dell’accoglienza e mandati ad allungare le file dei senza documenti che lavorano in nero nelle nostre periferie e nei nostri campi, o di quelli che ridotti in miseria si danno al piccolo crimine.

    E allora oggi più che mai, nella giornata mondiale del rifugiato, anziché chiedersi come estendere il concetto di asilo politico ai migranti climatici o ai disoccupati di mezzo mondo, noi dovremmo chiederci quale sia l’alternativa politica.

    Lo dico, guardate bene, anche per salvaguardare il sacrosanto istituto dell’asilo politico, previsto in Costituzione, nonché per tutelare le diverse migliaia di rifugiati politici a cui l’Italia ha offerto protezione in questi anni. Il punto è che qua la questione politica è un’altra. Ed è molto più grande dell’asilo.

    L’Africa di oggi non è più il terzo mondo. E noi dovremmo dire con forza che nel mondo globalizzato, nell’anno 2018, non è accettabile che l’emigrazione dall’Africa all’Europa sia ancora concepita e governata come uno stato d’eccezione, come un’emergenza.

    Noi dovremmo dire con forza che l’unico modo per porre fine al massacro del Mediterraneo è sperimentare con l’Africa le stesse politiche che da un decennio applichiamo con l’Est Europa e con l’America latina.

    Ovvero una progressiva semplificazione del regime dei visti.

    Non si tratta, attenzione, di trasferire in Europa milioni di lavoratori africani di cui il mercato del lavoro europeo non avrebbe evidentemente bisogno.

    Si tratta di riaprire quelle vie legali dell’emigrazione la cui progressiva chiusura è stata alla base del fenomeno degli sbarchi fin dagli ani Novanta.

    Un fenomeno che riguarda tra le ventimila e le centomila persone all’anno. Tanti sono i lavoratori africani che ogni anno prendono la via del mare verso l’Europa rimanendo poi bloccati in Italia. A quei lavoratori l’Europa potrebbe invece offrire la possibilità di viaggiare in aereo con in tasca un biglietto, un passaporto e un visto per ricerca di lavoro valido in tutta Europa.

    Affinché anziché rimanere bloccati nel limbo dell’accoglienza, in attesa di un permesso che non arriva, impossibilitati a lavorare e bloccati dalla burocrazia in paesi come l’Italia o la Grecia dove il lavoro scarseggia, queste persone possano rimboccarsi le maniche e cercare in modo dignitoso la propria fortuna in tutta Europa. Ammesso che quella fortuna qui si trovi.

    Perché – e concludo – il dibattito sulle migrazioni non può essere disgiunto dalle grandi questioni internazionali, dal discorso contro la guerra e dalle lotte politiche e sociali in corso nei paesi al di là del Mediterraneo.

    Decostruire la frontiera dovrebbe servire anche a questo: a costruire ponti di solidarietà con quelle lotte oltremare in cui ci riconosciamo per la nostra cultura politica.

    L’altro ponte invece dovremmo gettarlo verso le produzioni culturali di quei paesi che forse più di tanti discorsi ci aiuterebbero, attraverso l’arte e la bellezza, a non avere più paura. Perché, forse, comincia tutto da lì.

    https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2117499578263631&id=100000108285082
    #tri #catégorisation #asile #migrations #réfugiés #mobilité #visas #travail #ça_fait_du_bien #Afrique #frontières #ouverture_des_frontières #fermeture_des_frontières

    cc @albertocampiphoto @stesummi

  • La petite renarde rusée de Leos Janacek
    http://www.renarde.arcal-lyrique.fr/spectacle

    Je viens de voir ce #spectacle #magnifique, que dis-je MA-GNI-FIQUUUE

    L’opéra est beau et la mise en scène tout en poésie, finesse, fantaisie et inventivité. Et sans prétention. Une œuvre pour tous les âges, vraiment, il faut y aller.

    La Petite Renarde rusée, une fable de désir et de liberté
    Un chef d’œuvre inclassable

    Opéra pan­théiste, chef d’œuvre de cou­leurs, de sub­ti­li­tés mélo­di­ques et de poly­ryth­mie, de liberté créa­trice, de force ori­gi­nale, cette œuvre s’adresse autant (voire plus) aux adul­tes qu’aux enfants : à l’instar du garde-chasse dont la forêt pleine de poésie et de vigueur est le refuge, les autres adul­tes de cette fable douce-amère ont assez vécu pour être tour­men­tés par les regrets du passé.
    L’émancipation d’une femme

    Tous sont fas­ci­nés par la liberté et le désir, incar­nés par une femme, que ce soit Terynka ou la renarde (qui s’amuse à brouiller les pistes dans les vapeurs de l’alcool et des rêves). C’est cette émancipation de la renarde, cap­tu­rée par l’homme, enfant, puis femme, qui choi­sit la liberté au prix de sa vie, que nous sui­vons au fil des sai­sons, dans un grand cycle de la Nature.
    Désir et Liberté

    Ces thèmes de la liberté, de la nature, du désir, tra­ver­sent l’œuvre de Janacek de 1915 à sa mort, où, grâce à son amour hors conven­tions pour une jeune femme mariée de 32 ans, il trouve une seconde jeu­nesse créa­trice à 70 ans, pro­dui­sant des œuvres éblouissantes.
    Une équipe artistique créative

    Pour cela nous asso­cions les musi­ciens vir­tuo­ses de l’ensem­ble TM+, diri­gés par leur chef Laurent Cuniot - pré­cé­dem­ment dia­bles de notre Histoire du Soldat- à Louise Moaty, qui a mis en scène une autre œuvre tchè­que avec l’Arcal, L’Empereur d’Atlantis. Inspirée par l’aspect gra­phi­que à l’ori­gine de l’opéra, Louise pro­pose de suivre cette fable à tra­vers le tour­nage et mon­tage en direct d’un film d’ani­ma­tion, mêlant chan­teurs, vidéo, dessin et théâ­tre d’objet, et fai­sant par­ti­ci­per un chœur ama­teur dans chaque lieu, pour célé­brer les noces du renard et de la renarde au milieu des spec­ta­teurs.

    #La_petite_renarde_rusée de #Leos_Janacek #merci #ça_fait_du_bien
    https://vimeo.com/158633727

  • Nuit debout, le rêve éveillé d’une convergence des luttes
    https://blogs.mediapart.fr/benjamin-sourice/blog/030416/nuit-debout-le-reve-eveille-dune-convergence-des-luttes-0

    Le mouvement Nuit debout, né le 31 mars à des manifestations contre la loi travail, a professé de ne plus se coucher face au pouvoir et le « rêve général » a été décrété pour un durée illimitée. Dans plusieurs villes, en particulier à Paris place de la République, des occupations et assemblées populaires appellent à penser et réaliser la convergence des luttes, un vaste chantier porteur d’espoir. Source : Relevé sur le Net...

  • Le Rhône, la renaissance d’un fleuve | ARTE
    http://www.arte.tv/guide/fr/049462-000/le-rhone-la-renaissance-d-un-fleuve?autoplay=1

    A visionner pendant deux jours encore sur ARTE+7. C’est magnifique et très intéressant même si l’économie politique de ce projet n’est abordée que marginalement (mais quand même, les barrages hydroélectriques et les centrales nucléaires). Ce sont mes collègues directs qui font cela, chapeau !

    En décembre 2003, la montée rapide des eaux hivernales du Rhône vire au drame. Le fleuve casse des digues, tue des gens et en déplace des milliers d’autres. C’est le choc. On pensait le fleuve sous contrôle mais un constat stupéfiant s’impose : l’aménagement frénétique et anarchique du fleuve pour le dompter et l’asservir à nos besoins est en partie responsable de la catastrophe. Trop de digues, trop de barrages, trop de béton, de routes et de voies ferrées l’enserrent. Dénaturé dans ses paysages et appauvri dans sa biodiversité, le Rhône redevient même dangereux pour les hommes. On décide alors de le « restaurer ».

    Le Rhône mis à nu

    À travers le récit de cette passionnante aventure écologique et scientifique, le film se fait l’écho d’une belle idée qui s’impose dans le monde entier : redonner aux fleuves aménagés un peu d’espace et la liberté dont ils ont besoin. Aux côtés des chercheurs, nous perçons la surface des eaux, traversons le miroir et plongeons au sens propre comme au figuré dans les eaux tumultueuses du Rhône. Une étonnante exploration commence alors. Ce documentaire nous convie à la découverte d’un véritable organisme fluvial, un objet vivant, mouvant, beau et complexe, que la caméra explore dans toutes ses dimensions. L’occasion de mieux comprendre ce que devrait être le fleuve de demain.

    #écologie #fleuve #ingénierie_environnementale #cartographie