Les élections – Manifestation de la souveraineté populaire ?
▻https://bascules.blog/2024/03/15/les-elections-manifestation-de-la-souverainete-populaire
Source PARTAGE NOIR par P.J. Vidal (CC by-nc-sa) On nous demande de voter ?… C’est oublier que le Parlement est un masque, et que le pouvoir réel, dans la société actuelle, réside on ne sait où, incroyablement incontrôlable et secret.(C. Radcliffe : « Anarchy », n° 37, 1964.) Les anarchistes ne voteront pas, une fois de plus, aux prochaines élections. […]
#Non_classé #Elections #Pouvoir_populaire
Trump la menace : en live avec Corentin Sellin
▻https://lesjours.fr/obsessions/this-is-america-3/ep25-live-corentin-sellin-trump
Notre spécialiste de la vie politique américaine répond à vos questions sur la présidentielle et le duel annoncé entre Donald Trump et Joe Biden.
]]>Donald Trump, destination finale
▻https://lesjours.fr/obsessions/this-is-america-3/ep24-trump-nikki-haley
En roue libre, l’ex-Président a écrasé Nikki Haley lors de la primaire républicaine en Caroline du Sud. L’horizon est dégagé, mais la partie pas encore gagnée.
]]>#Frontex, comment sont gardées les frontières de l’Union européenne ?
L’ancien directeur #Fabrice_Leggeri a annoncé rejoindre la liste du #Rassemblement_national pour les élections européennes. L’occasion de se demander quel est le #mandat de Frontex, et quel droit régule cette agence chargée de contrôler les frontières européennes.
Fabrice Leggeri, ancien patron de Frontex, l’agence européenne chargée d’assister les États membres dans la gestion et le contrôle des frontières extérieures de l’espace Schengen, rallie le Rassemblement national ainsi que la liste de Jordan Bardella pour les #élections_européennes de juin prochain. L’occasion de revenir sur les attributions de Frontex.
L’obligation d’assistance
Créée en 2004, Frontex fête ses vingt ans cette année. Deux décennies, au cours desquelles l’agence chargée d’assister les États membres dans la gestion et le contrôle de leurs frontières, a démultiplié tant ses effectifs que son budget et s’est progressivement imposée au cœur du débat migratoire européen. Ludivine Richefeu, maîtresse de conférences en droit privé et sciences criminelles à l’université de Cergy-Pontoise, met en avant les exigences humanitaires et d’#assistance auxquelles l’organisation est soumise par le droit européen et international. “Frontex est une agence qui peut intervenir en amont, avant que les migrants soient dans le territoire européen, en apportant un soutien logistique et opérationnel aux États tiers. Par exemple en #Algérie, au #Maroc ou en #Tunisie en ce qui concerne les flux migratoires traversant les côtes maghrébines. Concrètement, le soutien se traduit par l’envoi de personnel Frontex, de #personnel_détaché des États membres ou encore de matériel. Lorsqu’une embarcation entre dans les eaux territoriales, le droit contraint l’agence à lui porter secours et à la rattacher à un port sûr. S’il y a des mineurs non accompagnés ou des femmes enceintes parmi les passagers, ils doivent obligatoirement être pris en charge. Juridiquement, le statut de réfugié est déclaratoire et n’est pas soumis à l’approbation des États membres. La personne est d’abord réfugiée en elle-même. Le #droit_international oblige les États à la prendre en charge pour ensuite examiner sa demande afin de la protéger des persécutions qu’elle risque ou subit dans son pays.”
Une agence sous le feu des critiques
Fabrice Leggeri, l’ancien directeur de Frontex entre 2015 et 2022 qui vient de rejoindre la liste du Rassemblement national pour les élections européennes, avait démissionné de son poste notamment à la suite d’accusations de refoulement illégaux de migrants. Ludivine Richefeu nous détaille cette pratique aussi appelée le "pushback" et ses origines. “Le refoulement a lieu lorsqu’une embarcation pénètre dans les eaux territoriales d’un État membre et qu’elle en est repoussée sans que les situations des passagers soient examinées et que l’assistance qui leur est due soit apportée. Des sources journalistiques et des rapports de l’#Office_Européen_Antifraude (#OLAF), nous détaillent ces pratiques. Concrètement, lorsque que l’embarcation est détectée, Frontex envoie les coordonnées aux équipes d’intervention des États membres qui repoussent le navire sous sa supervision. Pour ce faire, les équipes recourent à des menaces, à des formes coercitives et même parfois à l’usage d’armes.”
Ces pratiques illégales s’inscrivent notamment dans l’élargissement des compétences de l’agence ces dernières années, rappelle la chercheuse. “Grâce à plusieurs règlements adoptés entre 2016 et 2019, Frontex a maintenant un rôle fondamental en matière de lutte contre la criminalité transfrontière et la migration irrégulière est intégrée à cet objectif de criminalité.”
▻https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-question-du-jour/frontex-comment-sont-gardees-les-frontieres-de-l-union-europeenne-135792
#frontières #migrations #réfugiés #audio #podcast #externalisation #contrôles_frontaliers #push-backs #refoulements
Quand un président d’université insulte la démocratie
▻https://academia.hypotheses.org/54945
Les 28, 29 et 30 novembre 2023, le personnel et les usager·es de l’Université Grenoble Alpes votaient pour renouveler leurs conseils centraux (Conseil d’administration, Commission recherche et Commission formation et vie universitaire du Conseil Académique). Le 11 janvier 2024, Yassine … Continuer la lecture →
#Actualités_/_News #Démocratie_universitaire #Gouvernance_de_l'ESR #élections_universitaires #recours_administratif #Université_Grenoble_Alpes #Yassine_Lakhnech
]]>Elections européennes : Fabrice Leggeri, ex-directeur de Frontex, rejoint la liste du #Rassemblement_national
L’ancien responsable de l’agence européenne chargée du contrôle des frontières avait démissionné en 2022, visé par une enquête disciplinaire de l’Office européen de lutte antifraude. « Nous sommes déterminés à combattre la #submersion_migratoire », a déclaré M. Leggeri au « Journal du Dimanche ».
►https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/17/elections-europeennes-fabrice-leggeri-ex-directeur-de-frontex-rejoint-la-lis
#élections_européennes #Leggeri #Fabrice_Leggeri #Frontex #extrême_droite #RN
]]>13.02.2024 Christine Buchholz : Warum ich das Bundestagsmandat nicht annehme
▻https://christinebuchholz.de/2024/02/12/warum-ich-das-bundestagsmandat-nicht-annehme
Le parti Die Linke n’est plus le parti de la paix et ne représente plus les intérêts de la classe ouvrière. L’ancienne membre du Bundestag Christine Buchholz refuse d’y siéger à nouveau à la place de l’élu berlinois Pascal Meiser qui doit quitter le parlement après les élections de dimanche dernier.
Une particularité du droit électoral allemand exige que la faible participation des Berlinois aux élections fasse perdre un siège à la ville mais pas au parti qui envoie alors à l’assemblée nationale un candidat d’un autre Land.
Avec Pascal Meiser Berlin perd un député syndicaliste qui ne fait pas partie de la droite qui domine le « parti de gauche » à Betlin.
Am 11. Februar fand in Berlin eine Wiederholungswahl statt. Aufgrund des bundesdeutschen Wahlsystems hat der Verlust des Mandats des Abgeordneten Pascal Meiser aus Berlin dazu geführt, dass ich ein Mandat erhalten habe. Ich werde dieses Mandat nicht antreten.
Im Frühjahr 2021 hat mich die hessische LINKE zum vierten Mal für ihre Landesliste nominiert. Ich hatte in den 12 Jahren davor als Mitglied des Bundestags meinen Schwerpunkt in den Bereichen Krieg und Frieden sowie im Kampf gegen rechts, speziell in der Auseinandersetzung mit antimuslimischem Rassismus.
Die Entwicklungen der letzten Jahre haben mich wiederholt in Konflikt mit der mehrheitlichen Linie der Partei und der Fraktion gebracht. Das betrifft sowohl einen defensiven Umgang mit der Kritik an der NATO und der deutschen Rolle im Krieg um die Ukraine als auch ihr Versagen in der Kritik der deutschen Unterstützung für Israels Krieg in Gaza. Gerade vor dem Hintergrund der Mobilmachung gegen das mit über einer Million Geflüchteten überfüllte Rafah an der Grenze zu Ägypten wird das tödliche Ausmaß dieses Versagens deutlich. DIE LINKE wird ihrer Aufgabe als Antikriegspartei in den aktuell entscheidenden Situationen nicht gerecht. Die Annahme des Mandats würde mich nun in einen ständigen Konflikt mit der Linie der Parteispitze und der Gruppe der LINKEN im Bundestag bringen. Ich sehe dort momentan keinen Raum für meine Positionen in diesen Fragen.
Die Wagenknecht-Partei BSW ist für mich keine Alternative. Ihre Argumentation für eine Begrenzung der Migration knüpft an die „das Boot ist voll“-Rhetorik des rechten politischen Spektrums an. Ihr Standortnationalismus schwächt eine linke und internationalistische Perspektive in gesellschaftlichen Bewegungen, darunter insbesondere der Gewerkschaftsbewegung.
Die Ablehnung des Mandats heißt nicht, dass ich mich aus der politischen Aktivität zurückziehe. Ich bringe meine Kraft und mein ehrenamtliches Engagement dort ein, wo ich außerhalb des Parlaments gemeinsam mit anderen aus der LINKEN und darüber hinaus gegen Krieg und das Erstarken des Faschismus wirken kann – zum Beispiel in der Antikriegskoordination in Berlin, bei Aufstehen gegen Rassismus und bei der Gruppe Sozialismus von unten.
▻https://www.jungewelt.de/artikel/469237.christine-buchholz-warum-ich-das-bundestagsmandat-nicht-annehme.htm
Christine Buchholz, die ehemalige Bundestagsabgeordnete der Partei Die Linke, begründete am Montag in einer auf ihrer Website veröffentlichten Erklärung, warum sie das erneute Bundestagsmandat infolge der Berliner Wiederholungswahl nicht antreten wird:
Am 11. Februar fand in Berlin eine Wiederholungswahl statt. Aufgrund des bundesdeutschen Wahlsystems hat der Verlust des Mandats des Abgeordneten Pascal Meiser aus Berlin dazu geführt, dass ich ein Mandat erhalten habe. Ich werde dieses Mandat nicht antreten.
Im Frühjahr 2021 hat mich die hessische Linke zum vierten Mal für ihre Landesliste nominiert. Ich hatte in den zwölf Jahren davor als Mitglied des Bundestags meinen Schwerpunkt in den Bereichen Krieg und Frieden sowie im Kampf gegen rechts, speziell in der Auseinandersetzung mit antimuslimischem Rassismus.
Die Entwicklungen der letzten Jahre haben mich wiederholt in Konflikt mit der mehrheitlichen Linie der Partei und der Fraktion gebracht. Das betrifft sowohl einen defensiven Umgang mit der Kritik an der NATO und der deutschen Rolle im Krieg um die Ukraine als auch ihr Versagen in der Kritik der deutschen Unterstützung für Israels Krieg in Gaza. Gerade vor dem Hintergrund der Mobilmachung gegen das mit über einer Million Geflüchteten überfüllte Rafah an der Grenze zu Ägypten wird das tödliche Ausmaß dieses Versagens deutlich. Die Linke wird ihrer Aufgabe als Antikriegspartei in den aktuell entscheidenden Situationen nicht gerecht. Die Annahme des Mandats würde mich nun in einen ständigen Konflikt mit der Linie der Parteispitze und der Gruppe der Linken im Bundestag bringen. Ich sehe dort momentan keinen Raum für meine Positionen in diesen Fragen.
Die Wagenknecht-Partei BSW ist für mich keine Alternative. Ihre Argumentation für eine Begrenzung der Migration knüpft an die »Das Boot ist voll«-Rhetorik des rechten politischen Spektrums an. Ihr Standortnationalismus schwächt eine linke und internationalistische Perspektive in gesellschaftlichen Bewegungen, darunter insbesondere der Gewerkschaftsbewegung. (…)
]]>Les vulnérabilités de la condition d’élu
▻https://laviedesidees.fr/Les-vulnerabilites-de-la-condition-d-elu
La défiance à l’égard du personnel #Politique, devenu l’une des cibles de la vindicte populaire et la dégradation de leur rémunération et de leur considération sociale sont-elles le signe d’une dévalorisation générale du métier politique ?
#élections #vulnérabilité
▻https://laviedesidees.fr/IMG/docx/202401_elus.docx
▻https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240207_elus.pdf
▻https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20240207_elus.docx
La crainte d’établir un précédent qui ferait date. Une bonne partie de la rédaction de France Télévisions oscille entre inquiétude et effarement depuis que la décision du directeur de l’information, Alexandre Kara, a été ébruitée en interne. Vendredi 19 janvier, les journalistes travaillant sur les magazines (« Complément d’enquête », « Envoyé spécial », « 13 h 15 ») du groupe audiovisuel public se sont vu demander de faire une pause dans leurs investigations concernant les portraits de responsables politiques d’ici aux élections européennes qui auront lieu le 9 juin en France‧▻https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/01/25/france-televisions-la-direction-restreint-la-place-des-portraits-de-personna
France Télévisions : malaise après la décision de la direction de limiter les enquêtes sur les personnalités politiques
Dans un souci d’équité de temps de parole et pour laisser la priorité aux émissions de débat, le groupe audiovisuel public demande aux magazines d’investigations de faire une pause sur ces formats. La rédaction désapprouve ce choix.
#censure #élections
A Detroit, les Arabes-Américains soudés derrière les Palestiniens et en colère contre Joe Biden
▻https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2024/01/20/a-detroit-la-colere-des-arabes-americains_6211873_4500055.html
Le journal local, « The Arab American News », soutien des démocrates en 2020, appelle à lâcher Joe Biden, jugé complice d’Israël. Quitte à livrer le pays à Donald Trump.
]]>Un récit anxiogène adossé à une géographie inventive
▻https://metropolitiques.eu/Un-recit-anxiogene-adosse-a-une-geographie-inventive.html
Dans son essai La France d’après, Jérôme Fourquet propose une analyse territoriale des comportements électoraux français. Facilement accessible au grand public, l’ouvrage articule cartes, #sondages et références culturelles, mais conforte un certain sens commun plus qu’il ne le déconstruit. Dans un article intitulé « La carte, le #territoire et la #politique », un journaliste fin connaisseur des sciences sociales relevait à l’occasion d’une discussion croisée des essais La France périphérique (Guilluy #Commentaires
/ #vote, #élections, territoire, #géographie, politique, sondages
]]>#Crest : Mariton va « démissionner » pour tenter de faire perdurer son système
▻https://ricochets.cc/Crest-Mariton-va-demissionner-pour-tenter-de-faire-perdurer-son-systeme-de
Les rumeurs de démission du seigneur de Crest Hervé Mariton se sont confirmées samedi 6 janvier. Il a régné sans partage sur la mairie pendant 29 ans, enkysté au trône depuis 1995 ! Bon débarras ! Il annonce, apparemment pour des motifs de basse stratégie électoraliste (et non de santé), démissionner à l’été 2024 au profit de sa première adjointe Stéphanie Karcher. De nombreuses personnes, de tout bord, à Crest et dans les environs, en ont plus qu’assez des méthodes, projets, actions et (...) #Les_Articles
/ #Elections_locales, Crest, #Elections_municipales_Crest,_Drôme
]]>Réenchantez la démocratie, comment faire ?!
▻https://ricochets.cc/Reenchantez-la-democratie-comment-faire-7242.html
L’envie de réenchanter la démocratie, la démocratie du faire, fondée sur l’auto-organisation, l’horizontalité, l’intelligence collective, et œuvrant à l’élaboration de communs : voilà ce qui a rassemblé à Crest, ce samedi 2 décembre, une trentaine de personnes venues de 7 communes de Drôme et d’Ardèche. #Les_Articles
/ #Démocratie_locale, #Elections_locales, #Politique,_divers, Démocratie directe, communes libres...
#Démocratie_directe,_communes_libres...
]]>Kaum Überschneidungen zwischen Wähler*innenpotenzial - Rosa-Luxemburg-Stiftung
▻https://www.rosalux.de/news/id/51251
Auch wenn beide Parteien scheinbar ein ähnlich großes Potenzial haben, sind die Überschneidungen voraussichtlich deutlich geringer als erwartet. Nur 13 Prozent der Befragten mit einer klaren Parteipräferenz für DIE LINKE könnten sich vorstellen, evtl. ihre Stimme auch einer von Wagenknecht geführten Partei zu geben.
Dagegen könnten sich aber 29 Prozent mit einer Präferenz für die AfD und 21 Prozent mit einer Präferenz für die FDP vorstellen, BSW zu wählen. Bei Befragten mit einer Präferenz für DIE LINKE können sich nur vier Prozent vorstellen evtl. auch die AfD zu wählen, umgekehrt sind es Null – zwischen AfD und LINKER gibt also kaum noch oder keine Überschneidungen. Es scheint sich zu bestätigen, dass der Austausch zwischen Wähler*innen der LINKEN und der AfD ist schon seit längerem abgeschlossen ist.
Von den Nicht-Wähler*innen können sich 12 Prozent vorstellen für BSW zu stimmen, neun Prozent für DIE LINKE. Die Erwartungen, dass BSW die AfD deutlich schwächen und viele derjenigen überzeugen könnte, die sich enttäuscht von «der Politik» abgewandt haben, werden durch die Ergebnisse der Umfrage relativiert.
Deutliche Unterschiede zwischen der Partei DIE LINKE und BSW gibt es auch mit Blick auf die Altersstruktur: DIE LINKE hat deutlich größere Potenziale bei jüngeren Menschen, während die potenziellen Wähler*innen von BSW strukturell älter sind.
...
]]>#Istanbul, vitrine du #technonationalisme électoral de l’AKP
▻https://metropolitiques.eu/Istanbul-vitrine-du-technonationalisme-electoral-de-l-AKP.html
En #Turquie, le président Erdoğan a été réélu pour un troisième mandat en mai 2023. Revenant sur la dernière campagne électorale à Istanbul, Yohanan Benhaïm montre comment le « technonationalisme » et son déploiement dans l’espace urbain sont devenus un outil électoral pour l’AKP, le parti islamo-conservateur au pouvoir. En Turquie, malgré la crise économique et le tremblement de terre de février 2023, les #élections des 14 et 28 mai 2023 ont vu la coalition du Peuple (Cumhur Ittifakı) conserver sa majorité au #Terrains
/ Istanbul, Turquie, #politique, élections, #mégapole, #industrie_de_défense, technonationalisme, campagne (...)
#campagne_électoral
▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_benhaim.pdf
⚡ #électoralisme #élections #chimères > #politiciens #domination #servitude
✊ #émancipation ! #autogestion ! > #abstentionnisme #abstention !
★ #anarchisme
★ ... l’électoralisme, la grande mystification : en finir avec les illusions électoralistes dans un système hiérarchisé, bureaucratique, technocratique, bourgeois, étatique et capitaliste. 🏴
]]>★ L’ABSTENTIONNISME, UN ACTE POLITIQUE - Socialisme libertaire
Peu importe que le président de la République soit de droite ou de gauche. Pour résister à l’hégémonie néolibérale, l’essentiel n’est pas de voter mais de lutter. Lutter contre le pouvoir, quel qu’il soit, car il corrompt les mieux intentionnés. Lutter pour l’émergence d’une société plus juste, plus libre et, pourquoi pas, égalitaire. Toutes les expériences socialistes de gouvernement, en France et ailleurs, sont des échecs au regard du socialisme. Ne parlons pas des dérives du communisme d’Etat. Quant à la gauche antilibérale, elle a montré combien les stratégies électoralistes sont destructrices de l’action collective (...)
#élections #électoralisme #politiciens #étatisme #capitalisme #abstention #anarchisme #autogestion
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▶️ ▻https://www.socialisme-libertaire.fr/2022/03/l-abstentionnisme-un-acte-politique.html
Une #histoire du conflit #politique sans géographie
▻https://metropolitiques.eu/Une-histoire-du-conflit-politique-sans-geographie.html
Julia Cagé et Thomas Piketty livrent une somme ambitieuse analysant les #élections en France depuis la Révolution de 1789, qui accorde une place centrale à la notion de « classe géo-sociale ». Le livre comporte toutefois des limites méthodologiques importantes notamment dans l’usage des données géographiques. Ces dernières décennies, les inégalités sociales se sont accrues, la production des richesses s’est concentrée dans les grands centres urbains et la participation électorale s’est effondrée au point #Commentaires
/ #vote, élections, #territoire, histoire, politique, #démocratie
]]>#Lampedusa : ’Operational emergency,’ not ’migration crisis’
Thousands of migrants have arrived on Lampedusa from Africa this week, with the EU at odds over what to do with them. DW reports from the Italian island, where locals are showing compassion as conditions worsen.
Long lines of migrants and refugees, wearing caps and towels to protect themselves from the blistering September sun, sit flanked on either side of a narrow, rocky lane leading to Contrada Imbriacola, the main migrant reception center on the Italian island of Lampedusa.
Among them are 16-year-old Abubakar Sheriff and his 10-year old brother, Farde, who fled their home in Sierra Leone and reached Lampedusa by boat from Tunisia.
“We’ve been on this island for four days, have been sleeping outside and not consumed much food or water. We’ve been living on a couple of biscuits,” Abubakar told DW. “There were 48 people on the boat we arrived in from Tunisia on September 13. It was a scary journey and I saw some other boats capsizing. But we got lucky.”
Together with thousands of other migrants outside the reception center, they’re waiting to be put into police vans headed to the Italian island’s port. They will then be transferred to Sicily and other parts of Italy for their asylum claims to be processed, as authorities in Lampedusa say they have reached “a tipping point” in migration management.
Not a ’migration crisis for Italy,’ but an ’operational emergency’
More than 7,000 migrants arrived in Lampedusa on flimsy boats from Tunisia earlier this week, leading the island’s mayor, Filippo Mannino, to declare a state of emergency and tell local media that while migrants have always been welcomed, this time Lampedusa “is in crisis.”
In a statement released on Friday, Italian Prime Minister Giorgia Meloni said her government intends to take “immediate extraordinary measures” to deal with the landings. She said this could include a European mission to stop arrivals, “a naval mission if necessary.” But Lampedusa, with a population of just 6,000 and a reception center that has a capacity for only 400 migrants, has more immediate problems.
Flavio Di Giacomo, spokesperson for the UN’s International Organization for Migration (IOM), told DW that while the new arrivals have been overwhelming for the island, this is not a “migration crisis for Italy.”
“This is mainly an operational emergency for Lampedusa, because in 2015-2016, at the height of Europe’s migration crisis, only 8% of migrants arrived in Lampedusa. The others were rescued at sea and transported to Sicily to many ports there,” he said. “This year, over 70% of arrivals have been in Lampedusa, with people departing from Tunisia, which is very close to the island.”
Di Giacomo said the Italian government had failed to prepare Lampedusa over the past few years. “The Italian government had time to increase the reception center’s capacity after it was set up in 2008,” he said. “Migration is nothing new for the country.”
Why the sudden increase?
One of Italy’s Pelagie Islands in the Mediterranean, Lampedusa has been the first point of entry to Europe for people fleeing conflict, poverty and war in North Africa and the Middle East for years, due to its geographical proximity to those regions. But the past week’s mass arrival of migrants caught local authorities off guard.
“We have never seen anything like what we saw on Wednesday,” said a local police officer near the asylum reception center.
Showing a cellphone video of several small boats crammed with people arriving at the Lampedusa port, he added, “2011 was the last time Lampedusa saw something like this.” When the civil war in Libya broke out in 2011, many people fled to Europe through Italy. At the time, Rome declared a “North Africa emergency.”
Roberto Forin, regional coordinator for Europe at the Mixed Migration Centre, a research center, said the recent spike in arrivals likely had one main driving factor. “According to our research with refugees and migrants in Tunisia, the interceptions by Tunisian coast guards of boats leaving toward Italy seems to have decreased since the signing of the Memorandum of Understanding in mid-July between the European Union and Tunisia,” he said. “But the commission has not yet disbursed the €100 million ($106.6 million) included in the deal.”
The EU-Tunisia deal is meant to prevent irregular migration from North Africa and has been welcomed by EU politicians, including Meloni. But rights groups have questioned whether it will protect migrants. Responding to reporters about the delayed disbursement of funds, the European Commission said on Friday that the disbursement was still a “work in progress.”
IOM’s Giacomo said deals between the EU and North African countries aren’t the answer. “It is a humanitarian emergency right now because migrants are leaving from Tunisia, because many are victims of racial discrimination, assault, and in Libya as well, their rights are being abused,” he said. "Some coming from Tunisia are also saying they are coming to Italy to get medical care because of the economic crisis there.
“The solution should be to organize more search-and-rescue at sea, to save people and bring them to safety,” he added. “The focus should be on helping Lampedusa save the migrants.”
A group of young migrants from Mali who were sitting near the migrant reception center, with pink tags on their hands indicating the date of their arrival, had a similar view.
“We didn’t feel safe in Tunisia,” they told DW. “So we paid around €750 to a smuggler in Sfax, Tunisia, who then gave us a dinghy and told us to control it and cross the sea toward Europe. We got to Italy but we don’t want to stay here. We want to go to France and play football for that country.”
Are other EU nations helping?
At a press briefing in Brussels on Wednesday, the European Commission said that 450 staff from Europol, Frontex and the European Union Agency for Asylum have been deployed to the island to assist Italian authorities, and €40 million ($42.6 million) has been provided for transport and other infrastructure needed for to handle the increase in migrant arrivals.
But Italian authorities have said they’re alone in dealing with the migrants, with Germany restricting Italy from transferring migrants and France tightening its borders with the country.
Lampedusa Deputy Mayor Attilio Lucia was uncompromising: “The message that has to get through is that Europe has to wake up because the European Union has been absent for 20 years. Today we give this signal: Lampedusa says ’Enough’, the Lampedusians have been suffering for 20 years and we are psychologically destroyed,” he told DW.
“I understand that this was done mostly for internal politics, whereby governments in France and Germany are afraid of being attacked by far-right parties and therefore preemptively take restrictive measures,” said Forin. “On the other hand, it is a measure of the failure of the EU to mediate a permanent and sustainable mechanism. When solidarity is left to voluntary mechanisms between states there is always a risk that, when the stakes are high, solidarity vanishes.”
Local help
As politicians and rights groups argue over the right response, Lampedusa locals like Antonello di Malta and his mother feel helping people should be the heart of any deal.
On the night more than 7,000 people arrived on the island, di Malta said his mother called him saying some migrants had come to their house begging for food. “I had to go out but I didn’t feel comfortable hearing about them from my mother. So I came home and we started cooking spaghetti for them. There were 10 of them,” he told DW, adding that he was disappointed with how the government was handling the situation.
“When I saw them I thought about how I would have felt if they were my sons crying and asking for food,” said Antonello’s mother. “So I started cooking for them. We Italians were migrants too. We used to also travel from north to south. So we can’t get scared of people and we need to help.”
Mohammad still has faith in the Italian locals helping people like him. “I left horrible conditions in Gambia. It is my first time in Europe and local people here have been nice to me, giving me a cracker or sometimes even spaghetti. I don’t know where I will be taken next, but I have not lost hope,” he told DW.
“I stay strong thinking that one day I will play football for Italy and eventually, my home country Gambia,” he said. “That sport gives me joy through all this hardship.”
▻https://www.dw.com/en/lampedusa-operational-emergency-not-migration-crisis/a-66830589
#débarquements #asile #migrations #réfugiés #Italie #crise #compassion #transferts #urgence_opérationnelle #crise_migratoire #Europol #Frontex #Agence_de_l'Union_européenne_pour_l'asile (#EUEA #EUAA) #solidarité
Livre de #Cagé et #Piketty : les #data sont un sport de combat | Mediapart
▻https://www.mediapart.fr/journal/politique/120923/livre-de-cage-et-piketty-les-data-sont-un-sport-de-combat?userid=554f9cc5-
dommage de ne pas parler de la théorie du #bloc_bourgeois de #bruno_amable et #stefano_palombarini, qui étudient ces sujet et avaient identifié une large série de résultats de cette étude il y a plus de 10ans, et dont la primauté n’est rappelé dans aucun média...
]]>Julia Cagé et Thomas Piketty livrent une vision inédite de l’histoire politique française
▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/09/05/julia-cage-et-thomas-piketty-livrent-une-vision-inedite-de-l-histoire-politi
Dans « Une histoire du conflit politique », les économistes publient une somme sur l’histoire électorale de la France. En fonction des revenus, du milieu social et du lieu d’habitation des votants, ils analysent les rapports de force – bipartition ou tripartition – qui dominent le champ politique et leurs liens avec les inégalités sociales.
La classe géosociale
Mais comment fait-on pour savoir qui vote pour qui ? A cette question centrale, les auteurs ne peuvent s’appuyer que sur des informations électorales à l’échelon des communes – ce qui implique un niveau territorial et non individuel. Ils ne bénéficient pas, en effet, d’études d’opinions avant les années 1950. D’où la nécessité, de l’aveu même des auteurs, de redoubler de prudence quant aux interprétations, mais aussi de trouver une autre base de référence : la classe géosociale.
Grâce à l’usage systématique de cette notion, les deux économistes arrivent à des conclusions fortes qui viennent contredire les débats politiques actuels. Ils expliquent notamment que les variables liées à la religion et aux origines étrangères ont beaucoup moins d’importance que celles liées à la classe géosociale. « Autrement dit, ce sont bien les enjeux socio-économiques – et non les questions identitaires ou la proportion d’étrangers – qui déterminent les clivages électoraux. » Ces résultats sont valables pour les scrutins présidentiels de 1848, mais aussi de 1965 à 2022, malgré l’omniprésence de ces thèmes dans le débat public.
Les auteurs proposent aussi une chronologie originale de deux cent trente ans de vie politique française. Celle-ci a connu, expliquent-ils, des périodes de « bipolarisation » et de « tripartition ». Ainsi, de 1848 à 1910, on assiste à une première tripartition, avec des socialistes et radicaux-socialistes à gauche ; des républicains modérés et opportunistes au centre, et, à droite, des conservateurs catholiques et des monarchistes, permettant aux partis du centre de gouverner.
https://img.lemde.fr/2023/09/05/1721be9_1693921400935-webdeb-3623-electorat-piketty-carte-700.png#.jpeg https://img.lemde.fr/2023/09/05/e900b79_1693921399833-webdeb-3623-electorat-piketty-vote-gauche-700.png#.jpeg https://img.lemde.fr/2023/09/05/e65667a_1693922926775-webdeb-3623-electorat-piketty-vote-droite-richesse-700.png#.jpeg
]]>★ Le parlement est la représentation politique de la société bourgeoise - GLJD
(...) Nous faisons partie du peuple, cette partie du peuple qui exprime de manière presque corporelle son rejet total de ce qu’est la démocratie parlementaire, mais surtout en affirmant de manière très simple qu’on ne perçoit pas de changement fondamental dans notre vie à voter ou à ne pas voter. Tant de politiciens nous ont trompés, nous ont volés. En votant pour eux, la vie allait changer. Mais au lendemain des élections, les petits chefs commandaient toujours à l’usine. Les inspecteurs inspectaient toujours les enseignants et les fins de mois étaient toujours aussi difficiles. La domination du petit peuple continuait. Parfois même avec un changement de gouvernement. Les gens essayaient la gauche puis revenaient à la droite, c’est ce qu’on appelait l’alternance. De nos jours, avec le RN, on parle de tripartition de la politique française. C’est un nouveau terme pour dire qu’il y a maintenant trois pôles qui aspirent au pouvoir et non plus deux comme auparavant (...)
#politique #bourgeoisie #capitalisme #parlementarisme #vote #élections #politiciens #gauche #droite #extrêmedroite #abstention #antiélectoralisme #antiétatisme #anarchisme #anticapitalisme #émancipation #autogestion
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The Worst 2024 Election Interference Won’t Come From Russia Or China
▻https://caitlinjohnstone.com/2023/07/12/the-worst-2024-election-interference-wont-come-from-russia-or-chin
12.7.2023 by Caitlin Johnstone - The New York Times has been churning out an amazing number of hit pieces on Robert F Kennedy Jr lately.
On Tuesday the Times published an audio essay titled “Why I Regret Debating Robert F. Kennedy Jr.” by opinion columnist Farhad Manjoo. Manjoo debated Kennedy in 2006 about the legitimacy of George W Bush’s 2004 win against John Kerry, believing that Kennedy’s skepticism of the election results was dangerous.
“Disputing elections is just not good for democracy,” Manjoo says, joining the rest of the American liberal political/media class in rewriting history to pretend they didn’t just spend the entire Trump administration doing exactly that.
Manjoo cites his experience debating Kennedy (whom he repeatedly refers to as a “conspiracy theorist”) to argue that nobody should debate the presidential candidate on the topic of Covid vaccines, adding yet another entry to the countless articles and news segments which were published in the mass media last month saying that vaccine scientist Peter Hotez should reject Joe Rogan’s offer of $100,000 to a charity of his choice if he’d debate Kennedy on the subject.
Last week The New York Times published an article titled “5 Noteworthy Falsehoods Robert F. Kennedy Jr. Has Promoted,” along with a Paul Krugman article which opens with the line “Robert F. Kennedy Jr. is a crank” and an opinion piece titled “Pro-Vaccine Views Are Winning. Don’t Fear the Skeptics.” which opens with a stab at Kennedy. The week before that there was a standard hit piece by Gail Collins. The week before that there was another piece by Farhad Manjoo about how nobody should debate Kennedy about vaccines.
Sometimes they’re presented as opinion pieces, sometimes they’re presented as hard news stories despite brazenly biased language and overt editorializing, and all are slanted against Kennedy in some way. The New York Times plainly dislikes RFK Jr, and makes no secret of working to make sure its audience dislikes him too.
And this is pretty much what we can expect from American mass media until Kennedy has either lost his presidential race or had his reputation so thoroughly destroyed among the electorate that he can be safely ignored. The message will be hammered and hammered and hammered home until the illusory truth effect causes readers to mistake rote repetition for truth, and Kennedy’s campaign will fizzle.
And Silicon Valley is playing, too. Last month YouTube took down multiple videos featuring two different interviews with Kennedy on the grounds that they violated the platform’s policies against “vaccine misinformation”. Youtube is owned by Google, which has had ties to the CIA and NSA since its inception and is now a full-fledged Pentagon contractor.
Kennedy tweeted some interesting comments about YouTube’s removal of his interviews.
“People made a big deal about Russia supposedly manipulating internet information to influence a Presidential election. Shouldn’t we be worried when giant tech corporations do the same?” asked Kennedy, adding, “When industry and government are so closely linked, there is little difference between ‘private’ and ‘government’ censorship. Suppression of free speech is not suddenly OK when it is contracted out to the private corporations that control the public square.”
This is a point I’ve been emphasizing for years: in a corporatist system of government, where there’s no real separation between corporate power and state power, corporate censorship is state censorship.
And it really is interesting how almost everyone seems to be pretty much okay with corporations in the media and Silicon Valley interfering in a US election like this. Everyone shrieked their lungs out about the (now wholly discredited) narrative that Russian bots had influenced the US election with tweets and Facebook memes, but immensely wealthy corporations with universes more influence manipulating the way people think and vote is perfectly fine?
That does seem to be the way of it, though. This past April the Obama administration’s acting CIA director Mike Morell admitted to using his intelligence connections to circulate a false story in the press during the 2020 presidential race that the Hunter Biden laptop leak was a Russian disinfo op, because he wanted to ensure that Joe Biden would win the election. And absolutely nothing happened to him; Morell just went on with his day.
It’s just taken as a given that it’s fine for US oligarchs and empire managers to interfere in an election with brazen psyops and mass media propaganda, even as more and more internet censorship gets put in place on the grounds of protecting election security. If an ordinary American circulated disinformation to manipulate the election, imperial spinmeisters would cite that as evidence that online communication needs to be more aggressively controlled. But when Obama’s acting CIA director does it, it’s cool. Election interference for me but not for thee.
This is where the most election interference will come from in this presidential race: not from Russia, not from China, but from the rich and powerful drivers of the US-centralized empire. The operation of a globe-spanning power structure is simply too important to be left in the hands of the electorate.
I don’t have any strong opinions about RFK Jr and won’t be supporting any presidential candidate in America’s pretend election. But these presidential races do often provide opportunities to highlight the ways our rulers have got everything locked down.
]]>Une voisine secrète, #élisabeth_borne par Bérangère Bonte
▻https://www.youtube.com/watch?v=zkEJfjz4mQc
#ségolène_royale #administration #livre #enquête #élections_présidentielles soit disant de #gauche #France #politique #Femme
Source : ▻https://www.librairie-tropiques.fr/2023/06/une-voisine-secrete.html
]]>Zehn Tipps für eine linke Wahlniederlage
▻https://www.telepolis.de/features/Zehn-Tipps-fuer-eine-linke-Wahlniederlage-9062895.html?seite=all
24.5.2023 von Wassilis Aswestopoulos - Erdrutschsieg der konservativen Nea Dimokratia in Griechenland. Die selbst erklärte linke Partei Syriza erleidet schwere Niederlage. Was Linke auch in Deutschland davon lernen können – und sollten.
Der einstige linke Hoffnungsträger Alexis Tsipras fuhr am Wochenende mit Syriza eine vernichtende Wahlniederlage ein. Sein Gegner war mit Premierminister Kyriakos Mitsotakis ein autokratisch regierender Politiker, in dessen Amtszeit zahlreiche Affären und Skandale für Aufruhr sorgten.
Eine neue Regierung wird es trotzdem noch nicht geben, weil wegen des geltenden Wahlrechts die Nea Dimokratia keine absolute Parlamentsmehrheit erhalten hat. Das neue Parlament tritt am nächsten Wochenende zu einer konstituierenden Sitzung zusammen, um ein Präsidium zu wählen und sich aufzulösen.
Die nächsten Wahlen sind für den 25. Juni vorhergesagt. Bis dahin wird eine Interimsregierung das Land führen. Verfassungsgemäß wird der kommende Premier aus den Reihen der obersten Richter berufen. Dieses Mal ist der oberste Richter des Hellenischen Rechnungshof Ioannis Sarmas der Auserwählte.
Tsipras Wahlkampftaktik war und ist ein Rezept für eine sichere Niederlage, die auch deutsche Politiker studieren sollten. Für ihn haben alle anderen schuld, auch die Wähler – nur er nicht.
Ein historisches Ergebnis
In blanken Zahlen präsentiert sich das Ergebnis wie folgt: Die Wahlbeteiligung lag mit 60,92 Prozent leicht höher als 2019, als 57,78 Prozent verzeichnet wurden. Die Nea Dimokratia (ND) kommt auf 40,79 Prozent der Stimmen und holt das beste Ergebnis seit 16 Jahren.
Verglichen mit den Wahlen von 2019 bedeutet es einen Zuwachs von 0,95 Prozent. Durch das dieses Mal geltende Verhältniswahlrecht sind es am Ende 146 Parlamentssitze für die Partei, die vorher 158 der insgesamt 300 Sitze innehatte. Bei den nächsten Wahlen gibt es wieder Bonussitze.
Weit abgeschlagen hinter der ND landet Syriza mit 20,7 Prozent, mit dem schlechtesten Ergebnis seit elf Jahren, also seit der Gründung von Syriza als Partei und der Auflösung des vorher bestehenden Parteienbündnisses. Fast 11,5 Prozent gingen verglichen mit den gut 31 Prozent von 2019 verloren.
Zum allerersten Mal seit dem Sturz der Militärregierung 1974 wurde „ganz Kreta blau“. Sprich, die konservative Nea Dimokratia konnte alle Wahlkreise auf der größten griechischen Insel holen.
Punkten konnte auch die sozialdemokratische Pasok, die unter ihrem neuen Parteichef Nikos Androulakis von acht Prozent bei der letzten Wahl auf gut elf Prozent zulegte, und die kommunistische Partei KKE. Die Pasok, einst stolze Regierungspartei, holte sich ihr seit 2012 bestes Ergebnis. Die Kommunisten holten mit rund sieben Prozent fast zwei Prozent mehr als vor vier Jahren.
Marginal auf gut vier Prozent verbessern konnte sich auch die rechtspopulistische „Griechische Lösung“ von Kyriakos Velopoulos. Alle anderen Parteien, auch MeRA25 von Yanis Varoufakis, schafften es nicht ins Parlament und scheiterten an der Drei-Prozent-Hürde. Stolze 16 Prozent der Wähler sind nicht parlamentarisch vertreten.
Noch vor Varoufakis, dessen Partei auf 2,6 Prozent kam, liegt die einstige Parteigenossin und Parlamentspräsidentin der ersten Regierungszeit von Tsipras Zoe Konstantopoulou mit ihrer „Plevsi Eleftherias“ und 2,8 Prozent. Auf den sechsten Platz mit 2,9 Prozent kam die neue, pro-russische, religiös geprägte nationalistische Partei Niki
Mitsotakis träumt von einer Verfassungsänderung
Mit dem Bonuswahlrecht könnte Mitsotakis bei gleicher Prozentzahl mit rund 170 Sitzen rechnen. Er strebt nun danach, das Ergebnis zu verbessern, um so mit der entscheidenden Zweidrittelmehrheit eine Verfassungsreform in Angriff zu nehmen. Verfassungsänderungen müssen in zwei aufeinanderfolgenden Legislaturen mindestens einmal mit einer Zweidrittelmehrheit bestätigt werden.
Entscheidend wird auch sein, ob es die kleineren, nun gescheiterten Parteien ins Parlament schaffen. Je mehr Parteien vertreten sind, umso weniger Sitze erhält Mitsotakis.
Für Mitsotakis günstig ist, dass bei den jetzt feststehenden Neuwahlen, die innerhalb von achtzehn Monaten stattfinden müssen, die Wähler keinen Einfluss auf die Kandidatenauswahl haben. Die Reihenfolge der zu wählenden Parlamentarier wird nicht mit der Vorzugsstimme der Wähler, sondern mit von den Parteichefs bestimmten Listen geregelt. Mitsotakis kann sich eine Regierungskoalition nach seinem Gusto zimmern.
In ersten Stellungnahmen nach Sondersitzungen der Partei hat Tsipras bereits die Niederlage bei den kommenden Wahlen akzeptiert. Es geht nun darum, mit einem möglichst guten Ergebnis die sich abzeichnende Allmacht Mitsotakis‘ einzuschränken.
Auch von der Pasok kommt ein ähnliches Signal. Deren Parteichef Nikos Androulakis spürt das Momentum des Aufschwungs und gab als erstes Ziel aus, seine Partei wieder zum Gegenpol und zur Regierungsalternative werden zu lassen. Demensprechend versprach Tsipras „Hard-Rock gegen linke und kommunistische Parteien“, und will im Wahlkampf scharf gegen Parteien aus dem linken Lager vorgehen.
Selbstkritik? – Fehlanzeige
Anders als sein Vetter, Giorgos Tsipras, sieht Alexis Tsipras den Grund für die Niederlage bei allen anderen, nur nicht bei seiner Partei. Er übernimmt verbal die Verantwortung, will aber für sich keine personellen Konsequenzen ziehen.
Er hatte zu keinem Zeitpunkt ein klares Programm, beklagt sich aber, dass keine der anderen Parteien eine Koalition mit ihm als realistisch einstufte. Dabei strotzte der Wahlkampf und das Oppositionsverhalten von Syriza nur so von Fehlern. Zehn davon sind:
1. Leugnen der linken Identität
2012 trat Syriza unter dem Namen „Syriza – Koalition der radikalen Linken“ an. Der Ausdruck „radikal“ ist im Griechischen nicht negativ konnotiert. Tsipras wollte sich zum Zentrum öffnen, erlangte Beobachterstatus bei den europäischen Sozialdemokraten.
Die Partei trat nun als „Syriza – Fortschrittskoalition“ an. Im Streben nach Distanzierung von der linken Vergangenheit ging Tsipras so weit, sich öffentlich mit der Pasok zu streiten, wer der wahre Erbe des Pasok-Gründers und begnadeten sozialdemokratischen Populisten Andreas Papandreou sei.
Dass die Wähler dann lieber das Original, die Pasok, wählten, dürfte eigentlich niemanden ernsthaft überraschen.
2. Flüchtlingsfeindlichkeit
Zu den fundamentalen Themen linker Parteien zählen die Menschenrechte. Bereits frühzeitig bemühte sich Tsipras, die Wähler davon zu überzeugen, dass seine Flüchtlingspolitik dem konservativen Credo der „Festung Europa“ entsprechen würde.
Syriza befürwortet den Ausbau des Grenzzauns und nimmt die Push-Backs auf dem Meer billigend in Kauf. Das kam bei linken Wählern nicht gut an. Den rechten Wählern, nach denen Tsipras schielte, missfiel, dass Syriza die Befürwortung des Grenzzauns zwischenzeitlich immer wieder kurz in Zweifel zog, um die linken Wähler nicht vollständig zu verprellen.
3. Rekrutierung rechter Politiker
Die Nea Dimokratia hatte unter ihrem Premier Kostas Karamanlis von 2004 bis 2009 das Land in die Pleite geführt. Tsipras rekrutierte einen von Karamanlis engsten Vertrauten, den früheren Regierungssprecher Evangelos Antonaros als Parlamentskandidaten.
Dies blieb kein Einzelfall. So trat in Kilkis im April die Abgeordnete und Zentralratsmitglied Irini Agathopoulou ihre Parlamentskandidatur aus Protest zurück, weil Tsipras in ihrem Wahlkreis einen einst zum rechten Flügel der Pasok gehörenden Kandidaten auf die Wahlliste von Kilkis setzte. Mit Pavlos Tonikidis als Mitkandidaten wollte Agathopoulou aus Gewissensgründen und wegen ihrer linken Ideologie nicht in einem Atemzug genannt werden.
4. Querfrontaufbau während der Pandemie
Während der Pandemie biederte sich Syriza rechten Corona-Kritikern an, machte aber auch das nicht mit letzter Konsequenz. Gleichzeitig wurde die Regierung für ihre Coronapolitik und die Einschränkungen der bürgerlichen Freiheiten kritisiert, aber zugleich angeprangert, dass es zu viele Corona-Tote gäbe.
Es fehlte bei der Kritik der Ansatz, das – auch von Syriza – kaputtgesparte Gesundheitssystem als entscheidenden Faktor für die im europäischen Vergleich hohe Übersterblichkeit zu erfassen. Das hätte Selbstkritik erfordert.
Es ist bezeichnend, dass sich Tsipras mit Professorin Athina Linou eine Virologin ins Kandidatenteam holte, die ernsthaft behauptete, der Coronavirus könne wegen des göttlichen Segens nicht während der Heiligen Messe übertragen werden.
5. Als Atheist den Segen bei homo- und transfeindlichen Bischöfen suchen
Der Bischof von Piräus Seraphim ist für seine rassistischen Ansichten, seine neofaschistischen Reden und seine Verurteilung homosexueller und Transmenschen bekannt. Tsipras, der sich selbst als Atheisten bezeichnet, hatte nichts Besseres zu tun, als vor den Wahlen einen Fototermin mit Seraphim zu buchen.
Populismus inklusive Kuscheln mit Nato und Neonazis
6. Shoot the Messenger
Frühzeitig zeigten Meinungsforschungsinstitute auf, dass Tsipras gegen „den schlechtesten Premier aller Zeiten“ (O-Ton Syriza) nicht punkten konnte. Letztendlich lagen alle Umfrageinstitute falsch, weil sie zwar die Niederlage von Syriza, nicht aber deren verheerendes Ausmaß vorhersagten.
Nun entschuldigen sich die Meinungsforscher, sie hätten aus Angst vor den von Syriza angedrohten Klagen die wahren Zahlen nicht ohne „Gewichtung der Ergebnisse“ veröffentlichen wollen. Auch ohne die Erhebungen von Meinungsforschungsinstituten war bei Protesten und Demonstrationen sowie Wahlen von Gewerkschaften und Studentenparlamenten erkennbar, dass Syriza nicht punkten konnte. Auch parteiinterne Kritiker wurden klein gehalten. Das Bild des mächtigen und weisen Parteichefs sollte nicht befleckt werden.
7. Antikommunismus statt Kapitalismuskritik
In Studentenparlamenten setzte sich die kommunistische Jugend als stärkste Fraktion durch. Auf der Straße bestimmten die KKE, der parteinahe Gewerkschaftsbund Pame und außerparlamentarische Linke neben Anarchisten das Geschehen.
Im vom Bürgerkrieg erschütterten Nachkriegsgriechenland gab es die vereinigte Linke, EDA. In ihr waren die verbotene KKE und die Linke vereint. Statt sich auf diese Tradition zu berufen, übte Tsipras antikommunistische Kritik am Wahlspruch der EDA „Plastiras und Papagos sind gleich“.
General Nikolaos Plastiras hatte in drei Amtszeiten von 1945 bis 1952 als Premier Kommunisten, Linke und Demokraten gejagt, hinrichten lassen, in Straflager gesteckt, gefoltert und verbannt. Trotz internationaler Gnadengesuche, auch von Pablo Picasso, ließ er den Kommunisten Nikos Belogiannis, Zentralratsmitglied der KKE, wegen seiner Gesinnung hinrichten.
Feldmarschall Alexandros Papagos war Generalstabschef der Rechtsnationalen im griechischen Bürgerkrieg. Er folgte 1952 auf Plastiras als Premier und setzte die streng antikommunistische Politik fort. Heute, im Wahlkampf fand Tsipras die Kritik der EDA an beiden falsch. Es war seine Antwort auf die Kritik aus der KKE, an antikommunistischen Sprüchen aus Reihen von Syriza.
8. Mitsotakis treuester Helfer
Syriza ging mehrfach die KKE an. Sie sei Mitsotakis treuester Helfer, wurde behauptet. Tatsächlich hat Syriza im Parlament der Hälfte der Gesetzesvorhaben von Mitsotakis zugestimmt. Übertroffen wird dies nur von den siebzig Prozent der Pasok.
9. Die Nato in Griechenland
Anders als in den übrigen europäischen Staaten ist es in Griechenland für Parteien des linken Spektrums nicht angebracht, der Nato unkritisch gegenüberzustehen. Zu sehr war das Verteidigungsbündnis in die Verfolgung Linker, die Militärdiktatur von 1967 bis 1974 sowie in die bis heute bestehende Besetzung eines Drittels von Zypern verwickelt.
Tsipras hatte nach seinem Schwenk zum Sparkurs nicht nur die vorher verurteilten unsozialen Sparmaßnahmen durchgedrückt. Er sorgte mit seiner Nato freundlichen Politik dafür, dass Griechenland heute über die Stützpunkte wie den Hafen von Alexandroupolis verfügt, über die von der Nato Waffensysteme in die Ukraine gebracht werden.
Tsipras hatte als Transatlantiker sogar dem umstrittenen US-Präsidenten Donald Trump attestiert, „diabolisch gut“ zu sein. Mitsotakis setzt nur fort, was Tsipras begann.
10. Werben um Neonazis
Besonders fatal war in der letzten Wahlkampfwoche der Aufruf Tsipras an potenzielle Wähler der verbotenen neonazistischen Parteien, Syriza zu wählen. Explizit wandte sich Tsipras an das Wählerpotenzial der Goldenen Morgenröte und an die von den Wahlen ausgeschlossene Partei des inhaftierten Neonazis Ilias Kasidiaris. Tsipras stufte die Wähler als antisystemische Menschen ein und meinte, sie würden zu seiner Partei passen.
Dazu kommt als – von Tsipras nicht zu verantwortender – Grund für die Niederlage, dass die Presse in Griechenland zwar frei berichten kann, von Mitsotakis jedoch die regierungsfreundliche Presse finanziell während der Pandemie gefördert wurde. Das Gesamtbild der Medien in Griechenland hat sich nach rechts bewegt.
]]>Les #classes_populaires rurales, « un sujet obligé des #campagnes électorales » ?
▻https://metropolitiques.eu/Les-classes-populaires-rurales-un-sujet-oblige-des-campagnes-elector
Le sociologue Benoît Coquard livre dans un entretien à Métropolitiques ses réflexions sur le rapport à la politique des classes populaires rurales trop souvent stigmatisées. Il souligne que le véritable enjeu reste celui de la lutte contre les #inégalités et les dominations. Dossier : Élections nationales 2022 : pour une analyse localisée du vote et de ses enjeux Entretien réalisé par Emmanuel Bellanger et Jean Rivière. Dans votre ouvrage Ceux qui restent. Faire sa vie dans les campagnes en déclin (La #Entretiens
/ classes populaires, #élections, campagnes, #jeunes, #dépolitisation, inégalités, #rural, #domination
▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_entretien_coquard.pdf
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★ via la Fédération anarchiste
▶️ ►https://federation-anarchiste.org
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★ SI ET SEULEMENT SI… - Socialisme libertaire
Si seulement la politique n’était pas un métier ;
Si seulement la politique ne se réduisait pas à la course politicienne ;
Si seulement nous votions pour des projets au lieu d’élire des gens ;
Si seulement les mandats étaient impératifs, que l’élection n’accordât pas des blancs-seings aux élus, mais les contraignît à conduire des projets d’intérêt général, vraiment d’intérêt général ;
Si seulement les élus étaient révocables ;
Si seulement les élus ne cumulaient pas les mandats et les indemnités ;
Si seulement les élus n’étaient pas tous les mêmes ou presque, masculins, blancs et issus de classes aisées, et que leurs réunions ne fussent pas des raouts « non-mixtes racisés » ;
Si seulement les élus ne faisaient pas mine de maîtriser alors qu’ils improvisent ;
Si seulement les élus ne tentaient pas de nous faire oublier que leurs privilèges sont ceux des aristocrates d’aujourd’hui (...)
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▶️ ▻https://www.socialisme-libertaire.fr/2021/04/si-et-seulement-si.html
Turquie : le gouvernement Erdogan, un bilan catastrophique | Le mensuel
▻https://mensuel.lutte-ouvriere.org/2023/04/02/turquie-le-gouvernement-erdogan-un-bilan-catastrophique_5886
L’AKP a sans doute perdu au cours des années une grande partie de la base populaire qu’il avait gagnée dans les années 2002-2011, et la coalition d’opposition compte sur son érosion électorale pour réussir enfin à se débarrasser d’#Erdogan. Il n’est pas encore dit qu’elle y réussisse, car Erdogan a montré qu’il n’était pas prêt à quitter facilement le pouvoir et qu’il n’hésiterait devant aucune manœuvre pour le garder. Mais, pour les travailleurs, la question ne se limite pas là, car le gouvernement qui succédera au gouvernement actuel devra gérer une crise sans précédent, dans une situation internationale particulièrement dégradée.
Le seul ciment de la #coalition dite Union du peuple est le désir de remplacer le gouvernement monopolisé depuis vingt ans par les hommes de l’#AKP. Si elle parvient au pouvoir, les classes populaires ne pourront donc en attendre que des coups. Le nouveau gouvernement et la bourgeoisie ne pourront avoir d’autre politique que de faire payer aux masses la lourde facture de la crise, quitte à le justifier par la situation catastrophique dont ils auront hérité, aggravée encore par les conséquences du séisme du 6 février. Les travailleurs doivent dès maintenant se préparer à riposter sur leur terrain de classe. Ouvrir des perspectives révolutionnaires, face à ce régime d’oppression, est une tâche urgente.
#Turquie #élection #élections_présidentielles #élections_législatives
]]>RD Congo : Rejeter la proposition de loi discriminatoire sur la nationalité | Human Rights Watch
Human Rights Watch appelle le Parlement de la République démocratique du Congo à rejeter une proposition de loi que les autorités pourraient utiliser pour exercer une discrimination contre certains citoyens congolais en raison de l’origine nationale de leurs parents. Cette loi empêcherait tout Congolais dont l’un des parents n’est pas d’origine congolaise d’accéder à la fonction présidentielle et aux postes à responsabilités au sein des institutions. L’examen de cette proposition de loi au cours d’une année électorale renforce les craintes que les autorités ne l’utilisent pour empêcher certaines personnes de se présenter aux élections
]]>★ #Bakounine
#anarchisme #communisme_libertaire #Liberté #autogestion #émancipation #écologie #antimilitarisme #anticléricalisme #fédéralisme_libertaire #feminisme #antiétatisme #anticapitalisme #antifascisme #internationalisme...
⚡ #bourgeoisie #pouvoir #gouvernement #politiciens #parlementarisme #capitalisme #étatisme #domination #élections #soumission #conformisme
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★ Pas d’élections ! Autogestion ! - Socialisme libertaire
Les élections prétendent donner le pouvoir au peuple, mais la réalité est bien loin de celle-ci : voter, c’est donner sa voix à un-e politicien-ne pour qu’elle ou il parle et décide à notre place. Par différence avec le mandat clair de délégué-e-s révocables, élire c’est signer un chèque en blanc, car les promesses électorales n’engagent que celles ou ceux qui les croient. Elles se résument à des opérations de communication superficielles, masquant mal des luttes de pouvoir sur fond de grands intérêts économiques (révélés périodiquement par des affaires comme Clearstream ou Karachi).
Les élections nous confortent dans l’illusion d’un choix, alors que les candidat-e-s sont présélectionné-e-s et que les votes concernent des courants politiques et non des décisions précises. Le pouvoir, au lieu d’être entre les mains de tou-te-s, reste cantonné à une élite, une oligarchie, et nous nous en retrouvons sans grande maîtrise sur nos vies, privilégiant à l’élaboration de projets communs la délégation, en mettant un bulletin dans une urne (...)
⚡ #pouvoir #politiciens #élections #électoralisme #abstention #abstentionnisme
★ #Anarchisme #Autogestion #émancipation
⏩ Lire l’article complet…
▶️ ►https://www.socialisme-libertaire.fr/2022/03/pas-d-elections-autogestion.html
Sénégal : Mettre fin à la répression, garantir le respect des droits humains et des libertés fondamentales - FIDH
La FIDH et ses organisations membres au Sénégal, la RADDHO, l’ONDH et la LSDH, expriment leur vive préoccupation face à l’intensification de la répression contre des membres de l’opposition politique et des journalistes. Alors que se rapproche l’échéance de l’élection présidentielle prévue en février 2024, elles appellent les autorités nationales à garantir le respect des droits humains et des libertés fondamentales.
]]>★ #anarchisme #émancipation ★
#abstention #autogestion #abstentionnisme #démocratie
#vote #électoralisme #élections #chimères > #politiciens #domination #servitude
★ LE SUFFRAGE UNIVERSEL N’EST PAS UN INSTRUMENT D’ÉMANCIPATION SOCIALE - Socialisme libertaire
« Même avec le suffrage universel, et nous pourrions dire particulièrement avec le suffrage universel, le gouvernement est resté le serviteur de la bourgeoisie et le gendarme à son service. S’il en était autrement, si le gouvernement menaçait de devenir hostile à la bourgeoisie, si la démocratie pouvait un jour être autre chose qu’un leurre pour tromper le peuple, la bourgeoisie menacée dans ses intérêts s’empresserait de se révolter et emploierait toute la force et toute l’influence qui lui viennent de ce qu’elle possède la richesse pour rappeler le gouvernement à son rôle de simple gendarme à son service... » Errico Malatesta - L’anarchie (1892)
▶️ Lire le texte complet…
▶️ ▻https://www.socialisme-libertaire.fr/2019/05/le-suffrage-universel-n-est-pas-un-instrument-d-emancipation-s
Wahlrechtsreform beschlossen : Lex Linke lässt auch CSU zittern
▻https://www.telepolis.de/features/Wahlrechtsreform-beschlossen-Lex-Linke-laesst-auch-CSU-zittern-7549235.htm
D’après Claudia Wangerin il n’y a pas d’exception au nouveau règlement qui lie le nombre de sièges qu’un parti obtient au Bundestag à son résultat au vote proportionnel et impose donc le seuil de cinq pour cent au niveau national aussi aux élus du vote majoritaire dans les circonscriptions qui n’entreront alors pas au Bundestag si leur parti n’obtient pas les voix nécessaires à la proportionnelle.
Dans ►https://dserver.bundestag.de/btd/20/060/2006015.pdf le comité pour les affaires intérieures et de la patrie explique
Die insgesamt abgegebenen Zweitstimmen werden zunächst bundesweit ins Verhältnis gesetzt und die Zahl der den einzelnen Parteien zufallenden Mandate bestimmt (Oberverteilung), bevor diese dann auf die einzelnen Landeslisten verteilt werden (Unterverteilung). Die Zahl der Sitze, die auf eine Landesliste entfallen, definiert die Höchstzahl der erfolgreichen Wahlkreisbewerber dieser Partei, die in dem Land aus dem Wahlkreis heraus einen Sitz erringen können.
Cette explication fait penser que l’Unterverteilung donc le résultat au niveau du Land autorise l’accès au parlement national des élus par vote majoritaire si leur parti dépasse le seuil de cinq pour cent des voix au niveau du Land. Le commentaire critique du parti CSU qualifie le texte de loi d’anticonstitutionnel et invalide cette interprétation.
Die Koalitionsfraktionen haben das zunächst avisierte Ziel der klaren Begrenzung auf 598 Mandate mit der nunmehrigen Erhöhung auf 630 Mandate aus den Augen verloren. Diese Anzahl minimiere die Gefahr der Kappung von Mandaten von Wahlkreissiegern insgesamt nur minimal, maximiere allerdings die nicht gekappten Mandate für die SPD. Beim Wegfall der Grundmandatsklausel zeige sich, dass die Wählerinnen und Wähler nicht interessieren, sondern die Koalition nur prozesstaktisch darauf aus sei, in Karlsruhe vor dem Bundesverfassungsgericht zu bestehen. Die Streichung der Grundmandatsklausel bedeute, dass möglicherweise ein Großteil von Wahlkreisen nicht mehr durch die Wahlkreissieger vertreten wird. Bezogen auf Bayern und basierend auf der letzten Bundestagswahl könnte dieser Vorschlag dazu führen, dass 2,6 Millionen Wählerstimmen, somit 30 Prozent der Wählerstimmen und 45 gewonnene Direktmandate keine Berücksichtigung im Bundestag finden würden. Dies sei eine
eklatante Missachtung des Bundestaatsprinzips. Auch verstoße der Wegfall der Grundmandatsklausel gegen die Rechtsprechung des Bundesverfassungsgerichts zur Berücksichtigung regionaler Besonderheiten beim Wahlrecht. Die Streichung schaffe damit viele neue verfassungsrechtliche Probleme. Die Behauptung, dass bei der Anhörung die Streichung der Grundmandatsklausel in der jetzigen Form eine Rolle gespielt habe, stimme nicht. Die von der CDU/CSU-Fraktion benannten Sachverständigen hätten mit der Grundmandatsklausel argumentiert, um aufzuzeigen, wie stark der Systembruch durch die vorher beabsichtigte Reform sei. Der Gesetzentwurf habe den Grundsatz, wer einen Wahlkreis gewinnt, ziehe in den Bundestag ein, aufgehoben. Verfassungsrechtlich problematisch sei dann auch, ob eine Fünfprozentklausel überhaupt noch haltbar sei. Ferner lösen die Regelungen zu
den unabhängigen Kandidaten eine Ungleichbehandlung aus.
Il est alors vrai : Seuls les candidats indépendants et ceux des minorités nationales accéderont au Bundestag sans avoir besoin d’au moins cinq pour cent des voix au niveau national. Je n’ai pas l’habitude de suivre facilement les arguments de la droite, mais les remarques du CSU sur les injustices anticonstitutionnelles de la nouvelle loi ne sont pas fausses.
17.3.2023 von Claudia Wangerin - Ampel-Mehrheit ändert Bundeswahlgesetz. Gewonnene Direktmandate führen nicht mehr automatisch in den Bundestag. Bundesweite Fünf-Prozent-Hürde gilt nun auch für bayerische Unionsschwester.
Eine linke Oppositionspartei gäbe es im aktuellen Deutschen Bundestag nicht, wäre diese Wahlrechtsreform zwei Jahre früher beschlossen worden. Als „Lex Linke“ wollten die Parteien der Ampel-Koalition ihren Gesetzentwurf aber nicht verstanden wissen. Schließlich ging es auch um Mandate der CSU, die als bayerische Unionsschwesterpartei nun an die bundesweite Fünf-Prozent-Hürde gebunden ist.
Die Linke war bei der letzten Bundestagswahl mit 4,9 Prozent nur dank dreier Direktmandate wieder in Fraktionsstärke ins Parlament eingezogen. Das ist mit der nun erfolgreich von SPD, Grünen und FDP auf den Weg gebrachten Änderung des Bundeswahlgesetzes nicht mehr möglich.
Mit der Reform soll der auf 736 Abgeordnete angewachsene Bundestag ab der nächsten Wahl dauerhaft auf 630 Mandate verkleinert werden, indem auf Überhang- und Ausgleichsmandate ganz verzichtet wird. Überhangmandate entstehen, wenn eine Partei über Direktmandate mehr Sitze im Bundestag erringt, als ihr laut Zweitstimmenergebnis zustünden – sie darf diese Sitze behalten. Die anderen Parteien erhalten dafür Ausgleichsmandate.
Nach der heute mit 399 Ja-Stimmen, 261 Nein-Stimmen und 23 Enthaltungen beschlossenen Neuregelung muss nicht mehr zwangsläufig in den Bundestag einziehen, wer seinen Wahlkreis direkt gewinnt. Das könnte auch die CSU Mandate kosten.
Der innenpolitische Sprecher der SPD-Fraktion, Sebastian Hartmann, warb dafür mit den Worten: „Eine Verzerrung des Wahlergebnisses zugunsten der CSU und Privilegierung einzelner Gruppen schließen wir zukünftig sicher aus!“
Dobrindt sieht „Existenzrecht der CSU“ gefährdet
CSU-Landesgruppenchef Alexander Dobrindt reagierte erzürnt und sagte in der letzten Aussprache vor der Abstimmung, der Plan der Ampel-Parteien ziele darauf ab, die Linke aus dem Parlament zu drängen und stelle sogar „das Existenzrecht der CSU“ infrage. Die nun nötige „Zweitstimmendeckung“ bindet sie an eine bundesweite Fünf-Prozent-Hürde, die sie 2021 zwar genommen hatte, aber aus eigener Sicht nicht mit dem nötigen Sicherheitsabstand nach unten.
Die Grünen-Politikerin Britta Haßelmann sagte in der Aussprache, ihr sei nicht klar gewesen, dass die CSU Angst vor der Fünf-Prozent-Hürde habe. So musste am Ende der Eindruck entstehen, dass es ihr persönlich – und womöglich auch den Grünen insgesamt – vor allem darum ging, Die Linke loszuwerden. Zumal diese Partei heute noch friedenspolitische Gründungsideale der Grünen vertritt, von denen sie sich selbst längst verabschiedet haben.
Die Ampel-Parteien hatten dennoch allen Ernstes damit argumentiert, dass die Verkleinerung alle Parteien gleichermaßen treffe; die Reform sei somit fair und verfassungsgemäß.
„Das Parlament wird nach der Reform noch weniger Menschen repräsentieren, bildet die Gesellschaft noch weniger ab“, kommentierte die Linken-Abgeordnete Heidi Reichinnek auf Twitter. Auch „spannend“ fand sie, dass alle von der Verkleinerung des Bundestages redeten, aber niemand „von einem sich immer weiter aufblähenden Regierungsapparat: neues Kanzleramt für mindestens 770 Millionen, 168 neue sehr gut bezahlte Beamt:innen, mehr Staatssekretär:innen“.
Die CDU/CSU-Fraktion hatte in einem eigenen Antrag eine Wahlrechtsreform auf der Grundlage des personalisierten Verhältniswahlrechts vorgeschlagen, mit der die Zahl der Bundestagsmandate „in Richtung einer Regelgröße von 590 Abgeordneten reduziert“ werden sollte. Außerdem schlugen die Unionsparteien vor, die Zahl der Wahlkreise von auf 270 zu reduzieren und die Regelgröße für Listenmandate auf 320 anzuheben.
Zugleich plädierten CDU und CSU für eine Erhöhung der Zahl unausgeglichener Überhangmandate von zuletzt drei „auf die vom Bundesverfassungsgericht zugelassene Anzahl“ von 15. Überhangmandate einer Partei in einem Bundesland sollten nach ihrem Willen „wie bisher mit Listenmandaten der gleichen Partei in anderen Bundesländern verrechnet“ werden.
Die Linksfraktion hatte ganz eigene Vorschläge zur Reform des Wahlrechts gemacht – in drei Anträgen zielte sie darauf ab, das Mindestalter für das aktive Wahlrecht bei Bundestagswahlen von 18 auf 16 Jahre abzusenken, ein Ausländerwahlrecht auf Bundesebene ab einem fünfjährigen legalen Aufenthalt einzuführen – und zur Stärkung des Frauenanteils im Bundestag im Parteiengesetz festzuschreiben, dass Frauen und Männer bei der Aufstellung der Landeslisten gleichermaßen berücksichtigt werden müssen.
Und wer denkt an das größte Lager?
Nicht gedacht wurde im Bundestag wieder einmal an das in Wahrheit größte Lager – nämlich die Menschen, die zwar wählen dürfen, sich von keiner wählbaren Partei ausreichend vertreten fühlen, um es zu tun.
Hierzu hatte der Ex-SPD-Politiker Marco Bülow (Die Partei) bereits einen Vorschlag gemacht: „Fällt die Wahlbeteiligung unter 80 Prozent, müssen Plätze in der Größenordnung der Nichtwähler:innen frei bleiben oder per Los besetzt werden.“ Dann würden die Parteien sich endlich um diese riesige Gruppe bemühen, argumentiert Bülow.
]]>Notstand der bürgerlichen Demokratie
▻https://www.telepolis.de/features/Notstand-der-buergerlichen-Demokratie-7549942.html
En Israël, en France et en Allemagne progresse le démontage des acquis sociaux et des lois protégeant les faibles. Le parlement allemand vient de voter en toute tranquillité et sans débat public une modification de la loi sur son élection qui élimine effectivement la gauche de ses rangs.
17. 3.2023 von Peter Nowak
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Wo bleiben Proteste gegen die Wahlrechtsreform in Deutschland?
Willi Hajek und seine Freunde warnten die gesellschaftliche Linke in Deutschland aber auch immer vor einer Mythologisierung der Proteste in Frankreich. Er rief dazu auf, doch hierzulande selbst damit anzufangen, gegen Maßnahmen der Regierung auf die Straße zu gehen.
Da stellt man sich die Frage, wo denn die Proteste gegen den aktuellen Notstand der Demokratie in Deutschland bleiben? Damit ist die sogenannte Wahlrechtsreform gemeint, die jenseits allen parteipolitischen Streits dazu führen wird, dass ein weiteter Teil der Wähler im Bundestag nicht mehr repräsentiert ist.
Damit wurde genau das von einer Mehrheit aus Grünen, SPD, FDP sowie drei AfD-Abgeordneten beschlossen, was in den letzten Jahren besonders gegeißelt wurde, wenn es von Rechtskonservativen in den USA praktiziert wurde.
Man bastelt so lange am Wahlrecht herum und schneidet Wahlkreise neu zu, bis man dann die gewünschten Mehrheiten hat. Auch die US-Republikaner geben für ihre Maßnahmen natürlich immer an, es ginge doch nur darum, den Wählerwillen besser abzubilden oder die Parlamente zu verkleinern. Das ist auch das Argument aller Befürworter der Wahlrechtsreform in Deutschland und macht den undemokratischen Charakter besonders deutlich.
Was ist denn eigentlich das Problem, wenn der Bundestag wie aktuell 736 Abgeordnete hat? Soll da wirklich das Argument von nicht ausreichend großer Säle dazu herhalten, um eine auch nach bürgerlich-demokratischen Grundsätzen undemokratische Reform durchzusetzen?
Und das in einer Zeit, wo die technischen Voraussetzungen von Abstimmungen auch einer großen Anzahl von Abgeordneten viel leichter zu bewerkstelligen ist, als vor mehr als 100 Jahren, als auf Rätekongressen Tausende Arbeiter und Arbeiterinnen berieten und auch zu Abstimmungen kamen.
Gerade Kritiker der repräsentativen Demokratie müssten die aktuelle Wahlrechtsreform entschieden verurteilen. Sie ist ein Teil des Notstands der bürgerlichen Demokratie.
#Allemagne #politique #démocratie #gauche #Bundestag #élections
]]>The age of the Obidients
▻https://africasacountry.com/2023/02/the-age-of-the-obidients
By Camilla Houeland & Sa’eed Husaini. Peter Obi, one of the three main candidates for Nigerian president, is neither a savior nor a socialist, but his candidacy and his supporters have enlivened Nigerian elections.
#Afrique #Nigeria #Démocratie #Elections #Syndicalisme #Mouvement_social
]]>Présidentielle au Nigeria : que le plus riche gagne ! - AOC media
▻https://aoc.media/analyse/2023/02/22/presidentielle-au-nigeria-que-le-plus-riche-gagne
Par Sophie Bouillon. Le Nigeria, pays le plus peuplé d’Afrique, élira dans quelques jours son prochain président dans l’un scrutin des plus incertains et volatiles de son histoire. Une bataille sans merci se joue entre trois candidats principaux, dans un contexte de grave crise sécuritaire, d’une économie à genoux, d’âpres divisions ethniques et religieuses, mais surtout de corruption massive et endémique… qui redessine intégralement les « règles » de la démocratie.
]]>États-Unis : après les élections de mi-mandat
►https://mensuel.lutte-ouvriere.org//2023/02/25/etats-unis-apres-les-elections-de-mi-mandat_521783.html
Cet article, daté du 28 janvier, a été publié dans la revue Class Struggle (n° 114 – hiver 2022-2023), éditée par le groupe trotskyste américain The Spark. Les notes sont de la rédaction de Lutte de classe.
L’année dernière, à l’approche des élections de mi-mandat, les sondages montraient que Biden était aussi impopulaire que #Trump. Les conditions de vie étant de plus en plus dégradées du fait de l’inflation et des autres problèmes de l’économie, il semblait que le #Parti_démocrate, qui détenait tous les leviers du pouvoir fédéral, allait payer le prix fort dans les urnes. Mais les démocrates ont échappé à la claque électorale prédite par les commentateurs. Non seulement ils ont gardé le contrôle du Sénat, mais ils y ont gagné deux sièges. À la #Chambre_des_représentants, ce fut une courte défaite, avec une perte de seulement cinq sièges sur 435. En outre, ils ont remporté plusieurs élections décisives de gouverneurs. Ils ont probablement bénéficié de la récente décision de la #Cour_suprême d’annuler l’arrêt Roe v. Wade (...)
]]>#électoralisme #élections #chimères
> #politiciens #bourgeoisie #capitalistes #domination #servitude
#émancipation #anarchisme
> #abstentionnisme #abstention #anticapitalisme #autogestion
★ Vote = délégation de pouvoir et symbole de la répression de l’expression politique de la société... - Groupe Libertaire Jules-Durand
Les élections sont le symbole de régimes qui empêchent de fait la société de prendre ses propres décisions. Depuis des temps immémoriaux, les processus électoraux ont été un instrument par lequel les structures de pouvoir qui gouvernent la société ont créé le consensus correspondant qui a facilité « la coopération » entre gouvernants et gouvernés, et grâce auquel elles se sont dotées de leur légitimité si nécessaire. Les urnes ont été présentes d’une manière ou d’une autre, mais toujours pour maintenir la domination d’une minorité dirigeante sur le reste de la population.
Les référendums sont un autre exemple paradigmatique de l’utilisation des urnes pour confirmer la volonté des élites chargées de formuler la question et d’établir les réponses possibles. En ce sens, les élections sont aussi une autre manière de réprimer l’expression de la volonté de l’individu, et par extension de la société dans son ensemble. L’acte de voter consiste à déposer un bulletin dans une urne avec lequel l’électeur exprime son soutien à un certain parti politique, mais en aucun cas il ne sert à exprimer ce qu’il veut ou attend réellement de ladite organisation et de ses principaux dirigeants (...)
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