« particularly the internalisation of the notion that a woman’s body is imperfect unless it is somehow modified »
La bonne nouvelle c’est que désormais cette notion s’étend aux hommes aussi (cf témoignage Agnès Maillard sur les rugbymen épilés..) , on ne pourra plus parler d’inégalité du coup.. :-)
Je rigole, mais ça me désespère...
Barbie et Ken ont façonné en profondeur notre vision de l’humain : ne pas assumer notre appartenance au règne animal, se distinguer sur la forme, mais pas sur le fond. Distinction sexiste, physiologique, mythe de la pureté, volonté de s’émanciper de la nature peut être... Sauf que nos instincts prédateurs, pour ne pas dire anthropophages, tels qu’ils se manifestent dans la sphère économique, bizarrement on cherche moins à s’en débarrasser que de nos poils..