L’abus de festivals bretons nuit à la santé… des couples. En tout cas, selon une étude, on y trompe son conjoint à tour de bras, ou presque. C’est le FIL qui décroche la palme.
Selon une étude (à peine orientée) du site de rencontres extra-conjugales AshleyMadison, ils sont nombreux dans la liste de ceux au cours desquels le plus grand nombre de participants ont trompé leur conjoint.
La morale est sauve, ou presque : c’est le festival albigeois Pause Guitare qui occupe a première place du podium, avec 14,2% de participants qui auraient trompé leur conjoint en son sein, selon cette étude relevée par France3. Le sud, la chaleur, tout ça…
Suivent les Francofolies de La Rochelle, et c’est après que le drame se produit : des Bretons partout ou presque.
Le Festival interceltique de Lorient, troisième avec 11,4% d’infidèles, peut avancer qu’il dure dix jours. Mais Astropolis, à Brest, 4e avec 10,5% ?
Pas loin derrière, les Vieilles Charrues, 7es avec 7,1% de courageux prêts à braver l’inconfort des campings et les voisins avinés, puis Bobital, 5,9% (et des conditions assez similaires).
Plus sage, la Route du Rock de Saint-Malo, n’est l’occasion d’une aventure extraconjugale que pour 3,3% des participants. Le Festival du Bout du Monde, pour sa part, n’est la cause d’infidélités que de 0,8% de ses spectateurs. Deux solutions : soit l’abus de jazz malien est mauvais pour la libido (mais on ne peut y croire), soit au contraire le Bout du Monde est le lieu où les couples se retrouvent et repartent, ensemble, pour de nouvelles pages de vie commune. Comme un voyage au bout du monde...