#18 Ce n’est qu’un début
▻http://audioblog.arteradio.com/post/3070954/_18_ce_n_est_qu_un_debut
« Merci à tous les courageux et les courageuses de se battre pour tout le monde ! »
 Vendredi 60 mars, Nuit Debout Place Rosa Parks (Malakoff)
#Documentaire #Engagements,_Politique,_Radio
▻http://download.audioblogs.arteradio.com/sons/3047227/3073226_60marsLeQuartier.mp3
#revenu_jeunes : la #France à la traine d’une Europe généreuse
▻http://fr.myeurop.info/2016/04/26/revenu-jeunes-la-france-la-traine-d-une-europe-g-n-reuse-14522
Daniel Vigneron
Le gouvernement français envisage de mettre en place un revenu minimum à partir de 18 ans. Depuis longtemps, de nombreux pays européens assurent des #Minima_sociaux pour les jeunes tandis qu’ils soutiennent les étudiants. En attendant le #revenu_universel.
Encore une réforme censée être mise en chantier avant la fin du quinquennat : le 18 avril, le premier ministre Manuel Valls a annonc&eacu lire la (...)
#EUROFOCUS #Allemagne #Belgique #Danemark #Espagne #Finlande #Grèce #Italie #Pays-Bas #Royaume-Uni #Suède #Suisse #18-25_ans #allocations #Bourses #revenus_étudiants #RFI #RSA
Revenus jeunes : la #France à la traine d’une Europe généreuse
▻http://fr.myeurop.info/2016/04/26/revenus-jeunes-la-france-la-traine-d-une-europe-g-n-reuse-14522
Daniel Vigneron
Le gouvernement français envisage de mettre en place un revenu minimum à partir de 18 ans. Depuis longtemps, de nombreux pays européens assurent des #Minima_sociaux pour les jeunes tandis qu’ils soutiennent les étudiants. En attendant le #revenu_universel.
Encore une réforme censée être mise en chantier avant la fin du quinquennat : le 18 avril, le premier ministre Manuel Valls a annonc&eacu lire la (...)
#EUROFOCUS #Allemagne #Belgique #Danemark #Espagne #Finlande #Grèce #Italie #Pays-Bas #Royaume-Uni #Suède #Suisse #18-25_ans #allocations #Bourses #revenu_jeunes #revenus_étudiants #RFI #RSA
Mardi du Courrier de Russie #18 avec Michel Crépu
▻http://www.lecourrierderussie.com/annonces-franco-russes/2016/02/mardi-courrier-russie-michel-crepu
Un mardi par mois, Le Courrier de Russie organise une conférence avec des spécialistes abordant des thèmes aussi variés que les crises politiques, l’histoire, l’art ou la littérature.
Cauchemars et facéties #18
▻https://lundi.am/Cauchemars-et-faceties-18
Sur l’internet...
« ▻http://www.liberation.fr/france/2016/02/19/la-mairie-de-paris-veut-emmerder-fesser-punir-le-bourgeois_1434503?xtor=r »
« ►https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/des-caissieres-du-supermache-casino-de-port-saint-louis-chez-les-gendarme »
« ▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/02/18/le-chiffrement-a-empeche-la-detection-des-attentats-de-paris-selon-le-chef-d »
« ▻http://www.liberation.fr/futurs/2016/02/18/terrorisme-le-fbi-en-quete-du-code-d-acces_1434405 »
« ▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/02/18/fbi-nsa-derriere-la-guerre-contre-le-chiffrement-deux-batailles-tres-differe »
« ▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/02/19/chiffrement-et-terrorisme-les-enjeux-du-conflit-apple-fbi-touchent-la-police »
« ▻http://www.numerama.com/politique/145597-la-prison-fait-son-retour-contre-les-signalements-de-controleurs-su »
« ▻http://www.liberation.fr/debats/2016/02/17/a-notre-dame-des-landes-le-jeu-de-dupes-du-referendum_1434046 »
« ►http://www.liberation.fr/debats/2016/01/24/pour-un-processus-destituant-invitation-au-voyage_1428639 »
« ▻http://www.liberation.fr/debats/2016/02/16/une-post-democratie-aux-airs-de-prerevolution_1433769?refresh=36378 »
« ▻http://www.liberation.fr/debats/2016/02/11/pour-repondre-a-l-appel-de-julien-coupat-et-d-eric-hazan_1432682 »
« ▻http://www.liberation.fr/sciences/2016/02/18/quand-vivre-a-deux-modifie-notre-systeme-immunitaire_1434341 »
« ▻http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/02/15/01016-20160215ARTFIG00328-policier-un-metier-qui-attire-de-plus-en-plus-les »
« ▻http://www.internetactu.net/2016/01/05/larchitecture-et-le-bazar-quest-ce-qui-nous-determine »
« ▻http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1484656-je-suis-huissier-de-justice-et-croyez-moi-je-suis-tres-heu »
« ▻http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Incidents-apres-reims-bastia-le-supporter-bastiais-blesse-samedi-a-un-oeil-affirme-avoir-ete-touche-par-un-tir-de-flash-ball/635653 »
Bilan 2015 : Motohiro Hayakawa
▻http://www.foxylounge.com/Bilan-2015-Motohiro-Hayakawa
Une sélection des plus belles images postées en 2015 sur le compte Facebook de Motohiro Hayakawa. Yann nous avait déjà parlé de ce dessinateur génial qu’est Motohiro Hayakawa. Ce dernier poste quotidiennement des images, récentes ou plus anciennes, sur son compte Facebook. Nous vous proposons ici rien de plus qu’une sélection des plus incroyables images postées au cours de l’année 2015. #1 #2 #3 #4 #5 #6 #7 #8 #9 #10 #11 #12 #13 #14 #15 #16 #17 #18 #19 #20 #21 (...)
#Noze
/ #Art, #Bilans, #dessin, #peinture, #Outsider_Art, Suchis & Samouraïs, #Japon
#Suchis_&_Samouraïs
▻https://www.facebook.com/motohiro.hayakawa.1
Unable to move /srv/http/owncloud/_oc-upgrade/8.2.1.4/core/resources to /srv/http/owncloud/resources · Issue #189 · owncloud/updater · GitHub
▻https://github.com/owncloud/updater/issues/189
Amelia Earhart
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Amelia_Earhart
voila que je pérégrine et tombe sur ce beau portrait
Amelia Earhart, née à Atchison dans le Kansas le 24 juillet #1897 et disparue dans la région de l’archipel des îles Phœnix (actuelles Kiribati) le 2 juillet 1937, est une aviatrice américaine. Elle est célèbre notamment pour avoir été, en juin 1928, la première femme à traverser l’océan Atlantique en avion.
French: The Most Productive People In The World - Business Insider
▻http://www.businessinsider.com/are-the-french-the-most-productive-people-in-the-world-2009-8?IR=T
People work an average of 1,902 hours per year in the surveyed cities but they work much longer in Asian and Middle Eastern cities... People in Lyon and Paris, by contrast, spend the least amount of time at work according to the global comparison: 1,582 and 1,594 hours per year respectively.
Upon seeing this data, some might criticize the French for being lazy, but that misses the point completely. The real message here is that the French are likely some of the most productive people in the entire world.
Think about it. Nationmaster ranks France as #18 in terms of GDP per capita, at $36,500 per person, yet France works much less than most developed nations. They achieve their high standard of living while working 16% less hours than the average world citizen, and almost 25% than their Asian peers as per UBS. Plus, if you visit France you’ll also realize that their actual standard of living is probably much higher than GDP numbers would indicate.
SOUTIEN A EMMANUEL, JOUEUR DU #mfc ET SANS-PAPIER
▻http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2015/03/30/soutien-a-emmanuel-joueur-du-mfc-et-sans-papier
#EVENEMENT #LUTTES #SOLIDARITE #1871 #foot #procès #sans_papier #solidarité
18.03.2015: Blockupy: 1000 Aktivisten auf dem Weg zur EZB (neues-deutschland.de)
▻http://www.neues-deutschland.de/artikel/965225.blockupy-1000-aktivisten-auf-dem-weg-zur-ezb.html
Die Feier zur Eröffnung der neuen Türme der Europäischen Zentralbank in Frankfurt am Main soll nur klein sein – der Protest dagegen soll groß werden: Mit Tausenden Menschen rechnet das Blockupy-Bündnis, das unter dem EZB-Neubau gegen die herrschende Krisenpolitik und die Rolle der Notenbank demonstriert. Die Behörden in der Bankenmetropole bringen NATO-Stacheldraht und rigorose Absperrungen dagegen in Stellung. Blockupy plane »keine Gewalttaten, sondern einen friedlichen, bunten, lauten Protest«, hielt der hessische Landtagsabgeordnete Ulrich Wilken von der Linkspartei dagegen. Das Bündnis, dem über 90 Gruppen aus der linken Szene, Gewerkschafter und Attac angehören, hatte bereits zuvor die »Angstmache« der Polizei kritisiert. Am Dienstagnachmittag rollte in Berlin ein Sonderzug mit Hunderten Blockupy-Teilnehmern in Richtung Frankfurt.
Dort arbeitet die EZB bereits seit Monaten. Das neue Domizil hat rund 1,3 Milliarden Euro gekostet. »Die Europäische Zentralbank ist die mächtigste Institution der EU«, kritisierte die Vizevorsitzende der Linksfraktion, Sahra Wagenknecht am Dienstag. »Sie ist die Herrin über unser Geld, eine undemokratische Schattenregierung, die ihre Macht gnadenlos ausnutzt, um linke Politikansätze bereits im Keim zu ersticken.«
Das zielt nicht zuletzt auf das Gebaren der Notenbank gegen die SYRIZA-geführte Regierung in Griechenland. Kritiker hatten der EZB und ihrem Chef Mario Draghi vorgeworfen, ausdrücklich Athen zu benachteiligen. Der Italiener, der am Mittwoch bei einem Festakt in den Glastürmen neben Hessens grünem Wirtschaftsminister Tarek Al-Wazir und dem Frankfurter Oberbürgermeister Peter Feldmann von der SPD sprechen soll, hat in dieser Woche gefordert, die Staaten der Eurozone sollten mehr Macht an europäische Institutionen abgeben.
Ici, à Francfort et partout, rendez nous l’argent !
▻http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7619
Un an après
Le 22 mars 2014, un accord sur les règles de l’assurance #chômage était signé à minuit, dans une salle de réunion du #MEDEF, après un gueuleton bien arrosé et de petits arrangements entre amis. Car c’est ainsi que l’on décide du sort de 6 millions de chômeurs et de leurs familles, de leur accès ou non à des allocations chômage, et du montant de ces allocations : selon des méthodes quasi mafieuses, sans contrôle démocratique, sans l’avis des principaux concernés.
Cette nuit-là, deux syndicats qui prétendent défendre les salariés, FO et la CFDT, ont signé un accord qui égrenait une liste de mesures pour appauvrir les #pauvres et précariser les #précaires : baisse drastique des allocations chômage pour les #intérimaires et les #intermittents de la restauration, différé d’indemnisation de 6 mois pour les nouveaux licenciés, nouvelles attaques contre l’intermittence du spectacle,...
Après tout, 6 chômeurs sur 10 en France ne sont pas indemnisés, alors pourquoi ne pas continuer la politique du pire ?
Quand des collectifs de chômeurs ont multiplié actions et grèves pour protester, la CFDT avait une réponse toute prête : « Ah vous les intermittents, vous êtes des égoïstes, regardez la mesure-phare de l’accord, le dispositif des droits rechargeables, un progrès fantastique pour les chômeurs du régime général qui sont beaucoup plus nombreux que vous ».
Quand François Rebsamen, ministre dit socialiste du Travail, a donné son agrément à l’accord, il a tenu le même discours : « Les droits rechargeables, c’est une avancée historique, vous comprenez, je ne peux pas ne pas signer, c’est formidable, c’est le dialogue social... »
Nous l’avons dit dès le premier jour, ce fameux dispositif des « #droits_rechargeables », fondé, comme la réforme de l’intermittence de 2003, sur une logique aléatoire et injuste, allait provoquer une catastrophe sociale de grande ampleur.
Aujourd’hui, nous sommes en pleine catastrophe.
Dès la mi-juin 2014, l’UNEDIC mentionnait dans une note interne que 500 000 chômeurs verraient leur allocation baisser à cause des droits rechargeables, mais cela n’empêcha pas François Rebsamen de donner son agrément.
Aujourd’hui chacun se rend compte qu’avec le croisement des nouvelles règles (sur la recharge, sur l’épuisement des droits, sur l’activité reprise), c’est un nombre exponentiel de chômeurs qui sont lésés et se retrouvent avec une allocation bien inférieure à ce qu’ils auraient touché sans la réforme.
Certains, sûrs d’avoir travaillé et cotisé suffisamment pour avoir droit à une indemnisation correcte, apprennent au guichet de Pôle Emploi qu’ils vont toucher une allocation inférieure au RSA, de 150 ou de 200€ par mois, et ce pendant des années.
Ce 18 mars, les « partenaires (a)sociaux » responsables du désastre, après avoir admis des « dysfonctionnements », se réunissent à la hâte pour faire disparaître les cas les plus voyants... Que ce soit clair : nous ne nous contenterons pas de corrections à la marge, « pour 30 000 personnes », comme l’annonce l’UNEDIC. C’est l’ensemble des personnes lésées qui doivent voir leur droits recalculés, et c’est toute la convention 2014 sur l’assurance chômage qui doit être abrogée.
Dix ans après
Quand on n’est ni chômeur ni précaire, on croit pouvoir écouter d’une oreille distraite ces histoires de réforme de l’assurance chômage ou du #RSA.
Et pourtant.
S’il est un levier pour bouleverser un marché du travail, et une société entière, c’est celui-là.
Il y a dix ans, l’Allemagne achevait de mettre en place les #lois_Hartz, réformes de l’indemnisation du chômage et de l’aide sociale, réorganisation des Pôle emploi et des contrats prévus « pour sortir du chômage ». Le but avoué de ces quatre lois était « l’#activation_des_chômeurs », en clair : faire baisser drastiquement les allocations pour inciter chacun à accepter n’importe quel boulot à n’importe quel salaire, voire sans salaire du tout.
Cette réforme de l’allocation chômage était accompagnée de dispositifs de #contrôle qui se sont révélés toujours plus autoritaires et humiliants et d’une destruction massive du #droit_du_travail, de la levée de tout frein sur l’intérim, de l’invention de « contrats atypiques » comme les « mini-jobs » payés #1€/l’heure.
A la suite des lois Hartz, le salariat allemand, qui était un des plus protégés et stables d’Europe, a vu ses conventions collectives voler en éclats, et voilà aujourd’hui le « modèle allemand » que l’Europe entière est sommée d’imiter : le plus grand secteur à bas salaires d’Europe,15 millions de pauvres, une espérance de vie en recul, le record d’Europe des inégalités. Ces dix dernières années, le salaire réel a baissé en Allemagne de plus de 4%, de 20% dans le secteur des bas salaires.
Dans le même temps, et par la grâce de réformes fiscales aussi peu redistributives que possible, les richesses accumulées par le 1% de la population le plus riche ont pris des dimensions inouïes et le fossé qui sépare l’élite fortunée de la grande masse des précaires, les régions riches des Länder pauvres, est plus profond que jamais.
Les faits sont clairs : avant d’imposer aux pays du Sud de l’Europe le chantage de la dette pour détruire leurs droits sociaux et ruiner la vie de leurs habitants, l’oligarchie allemande a infligé ce traitement de choc à sa propre population. Ces réformes, menées il y a dix ans par le gouvernement social-démocrate/vert de G.Schröder, Angela Merkel n’a pas eu besoin de les faire, puisqu’un gouvernement dit de gauche s’en était chargé.
De l’agrément donné à un accord UNEDIC qui tape sur les plus pauvres jusqu’à une loi Macron qui aggrave les conditions de travail des précaires, le gouvernement Valls suit la même logique néo-libérale et autoritaire.
Aujourd’hui
Ce 18 mars, c’est aussi l’inauguration du nouveau bâtiment de la Banque Centrale Européenne à Francfort, un gratte-ciel dont la construction a coûté 1 milliard 300 millions d’euros.
Si on sait depuis longtemps que la BCE est un outil de l’oligarchie européenne pour enrichir les riches et appauvrir les pauvres à coup de « programmes d’austérité », de destruction des droits sociaux et de démantèlement des services publics, son attitude actuelle vis-à-vis du nouveau gouvernement grec jette la lumière la plus crue sur ses méthodes et sur ses objectifs.
En coupant dès le lendemain des élections un des guichets nécessaires au financement des banques grecques, en refusant toute négociation sur l’effacement de la dette, la BCE, appuyée par tous les gouvernements de la zone euro hors Grèce, quelle que soit leur prétendue couleur politique, se livre à un chantage d’une simplicité élémentaire. Comme la CIA s’est chargée de faire tomber le gouvernement Allende au Chili en 1973, la BCE entend bien faire tomber le gouvernement Syriza par une sorte de « coup d’état » financier et silencieux, mais qui n’hésitera pas à s’appuyer, si cela s’avère nécessaire, sur la brutalité de quelques nazis locaux.
Il s’agit de faire un exemple, de montrer aux autres peuples appelés bientôt aux urnes en Espagne, au Portugal ou en Irlande qu’aucun écart par rapport au dogme néo-libéral ne sera toléré. Depuis le 25 janvier, toute la politique européenne, d’Angela Merkel à François Hollande, de Jean-Claude Juncker à Wolfgang Schäuble, ne vise qu’à discréditer l’option Syriza, pour convaincre les Européens de l’inutilité de tels votes.
Il s’agit de prouver, si besoin par la force, qu’aucune alternative n’est possible. Ni par la voie parlementaire sur laquelle des partis comme Syriza, Podemos ou le Sinn Fein irlandais sont engagés, ni par l’intervention politique directe : on voit par exemple ces derniers temps comment l’opposition aux « grands travaux inutiles », qu’il s’agisse de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, du barrage de Sivens ou du TAV Lyon-Turin, est contrée par une violence policière inouïe, par l’utilisation de milices néo-fascistes, voire par l’assassinat de militants, comme l’a montré le meurtre de Rémi Fraisse. Ainsi la rhétorique de la croissance et de l’emploi sert à faire avaler des politiques d’austérité toujours plus brutales, mais aussi à masquer l’absence totale de démocratie, sous quelque forme que ce soit, dans le fonctionnement actuel de l’Europe.
(...) On sait que l’argent prêté à la Grèce est affecté au service de la dette, c’est-à-dire qu’il retourne dans les caisses des banques , opérant non un transfert de fond entre un Nord prospère et un Sud européen en crise, mais plutôt une subvention à des instituts privés avec l’argent des Etats.
L’oligarchie camoufle ce tour de passe-passe par des campagnes de presse où on fait croire aux contribuables allemands, y compris aux moins fortunés d’entre eux, que leurs impôts vont aux paresseux habitants du Sud de l’Europe : pour détourner le regard du linge sale des riches et de leur fortune, rien de tel qu’alimenter le ressentiment entre les peuples et de dresser les pauvres les uns contre les autres.
Chômeurs, précaires, intermittents, intérimaires, avec ou sans papiers, nous ne tomberons pas dans les pièges tendus par ces apprentis sorciers.
Luttons aux côtés des chômeurs d’Allemagne pour l’abolition immédiate des lois Hartz, luttons avec le peuple grec pour l’effacement de la dette et contre la dictature de la Troïka, luttons pied à pied pour une véritable indemnisation du chômage, mutualiste et solidaire, luttons ici et là-bas, luttons partout !
Coordination des Intermittents et Précaires Île-de-France
Journée d’action du mercredi #18mars - à Paris, l’heure et le lieu de rendez vous sera annoncé prochainement...
Syriza sur la corde raide | Ensemble
▻https://www.ensemble-fdg.org/content/syriza-sur-la-corde-raide
Après « l’ambiguïté créatrice », la stratégie de « la désobéissance sélective » - Stathis Kouvelakis, de la « plateforme de gauche » de Syriza, sur la situation à Athènes
C’est toutefois un nouveau point d’équilibre qui semble se dégager aussi bien du discours d’Alexis Tsipras devant le comité central que des annonces ministérielles qui ont suivi. Le gouvernement s’oriente à présent vers une sorte de « désobéissance contrôlée » vis-à-vis de la tutelle européenne. Tsipras a annoncé la présentation imminente de cinq projets de loi, qui porteront sur les mesures d’urgences pour faire face à la crise humanitaire, le règlement des arriérés au fisc selon des modalités favorables aux contribuables modestes, l’interdiction de la saisie des résidences principales pour cause de dette, la reconstitution de l’audiovisuel public et la constitution d’une commission d’enquête sur les responsabilités des politiques qui ont conduit à la signature des Mémorandums.
Le projet de loi pour résoudre la crise humanitaire a depuis été présenté au parlement, mais il faut souligner qu’il ne constitue qu’unε version fortement revue à la baisse du « premier pilier » du programme de Thessalonique, du fait notamment des conditions restrictives fixées pour avoir accès aux aides offertes. Son coût est évalué à 200 millions d’euros contre 1,8 milliard pour celui correspondant aux engagements préelectoraux, ou même 1,3 si on enlève les 500 millions prévus pour le rétablissement d’un treizième mois pour les bénéficiaires de la pension minimale. Il est toutefois complété par les mesures annoncées par le ministre des affaires sociales, Dimitris Stratoulis, qui annulent les coupes sur les retraites que le précédent gouvernement s’était engagé à effectuer courant 2015. Stratoulis, l’une des figure de proue de la Plateforme de gauche, a par ailleurs déclaré qu’il ne comptait soumettre le moindre de ses projets à l’accord préalable des « Institutions », seul le ministre des finances étant celui-lui chargé de discuter avec la Troïka relookée. Quant au salaire minimum, le projet de loi visant à le ramener à son niveau de 2009, soit 751 euros brut, en deux étapes (l’une au cours de cette année, la seconde en 2016), ainsi qu’à rétablir les conventions collectives, est attendue d’ici deux semaines.
Pour compléter ce tableau de désobéissance sélective, il faut mentionner les initiatives du ministre du redressement productif, et dirigeant de l’aile gauche de Syriza, Panagiotis Lafazanis qui à bloquer la poursuite des trois projets sans doute les plus emblématiques de la politique d’ « accumulation par dépossession » poursuivie à marche forcée par les gouvernements précédents : la poursuite du dépeçage de la compagnie d’électricité qui visait à privatiser sa partie « rentable », l’exploitation à à ciel ouvert de la mine d’or de Skouries dans la Chalcidique, cédée dans des conditions scandaleuses au mastodonte de l’extractivisme Eldorado Gold et la cession du terrain de l’ancien aéroport d’Athènes à un prix dérisoire à un holding constitué par le milliardaire grec Latsis associé à des capitaux qataris.
Vers un nouveau round d’affrontement
Cette orientation ne pourrait que compliquer davantage les rapports avec les « Institutions » et cela alors que la situation économique se dégrade fortement. Confronté à un effondrement des rentrées fiscales qui pourrait conduire à un défaut de paiement désordonné, le gouvernement a annoncé son intention de reporter le versement des obligations de la BCE qui viennent à échéance, pour pouvoir honorer celles du FMI.
Mais Wolgang Schäuble ne l’entend pas de cette oreille. Dans un entretien accordé à l’édition dominicale de Bild Zeitung, il a averti les dirigeants grecs qu’un quelconque retard dans le remboursement de la dette serait automatiquement considéré comme un défaut de paiement. Il les a également enjoint de mettre en œuvre immédiatement les « réformes » auxquelles ils se sont engagés sous peine de se voir refuser le moindre financement. Une menace à prendre d’autant plus au sérieux que la BCE n’a toujours pas levé les restrictions à l’approvisionnement en liquidité des banques grecques, plus que jamais dans un état critique. Mario Draghi a même tenu à préciser que ces restrictions ne seraient levées que si le conseil de la BCE « décidait que les conditions pour une achèvement réussi du programme sont réunies », tout en exprimant de fortes « réserves » concernant les réformes envisagées par Athènes.
Avertissement de la Destroïka
►https://lundi.am/Avertissement-de-la-Destroika
AVERTISSEMENT DE LA DESTROÏKA
aux petits maîtres de ce monde
Inutile de vous le cacher, vous nous avez irrités. Vos manières d’avares nous ont toujours semblé détestables ; vos manœuvres pour perpétuer votre règne feutré nous ont toujours paru infâmes ; l’hypocrisie complète de votre morale économique ne nous a jamais échappé.
Mais la semaine passée, vous êtes allés un peu trop loin. Vous avez poussé l’arrogance jusqu’à tomber les masques. En révoquant de manière unilatérale toute « facilité » de refinancement aux banques grecques, vous avez décidé de couper les vivres sans préavis à un État qui ne demandait guère qu’à jouir d’un petit peu de keynésianisme et de quelques instants d’euphorie nationale. Dans la foulée, vous avez osé déclarer en public, avec une franchise digne de Margaret Thatcher, qu’« il ne peut y avoir de choix démocratiques contre les traités européens » - façon de réduire le politique au casting d’un film dont le scénario ne doit pas varier, ayant été écrit par vous. Vous avez tracé, sous les yeux écarquillés de tous, une ligne. Il y a vous, vos commissaires européens falots mais despotiques, vos grises institutions qui livrent une discrète guerre à l’échelle continentale, votre Banque Centrale qui, sous prétexte de servir l’économie, mène, souveraine, sa propre politique. Il y a surtout votre univers glacé et impeccable de l’optimisation économique, qui a ses quartiers, son langage, ses buildings et ses corps modèles. Et il y a nous, nous la plèbe planétaire qui trime, qui triche, qui tranche, et fait toujours un peu mauvais genre. Mais que croyez-vous ? Vous vous croyez seuls dans votre république phénoménale des taux d’intérêts, dans votre bulle médiatique des petites phrases sans conséquence, dans vos quartiers d’angoisse sécurisée ? Vous nous croyez sourds et aveugles, ou simplement bêtes et soumis ?
Vous avez commis une erreur. La semaine passée, vous avez ajouté à l’humiliation muette du quotidien l’humiliation ouverte de la domination. Ce que vous avez fait « aux Grecs », vous nous l’avez déjà fait cent fois dans l’histoire, et vous le faites en permanence partout ailleurs sur la planète. Mais cela réveille en nous tous de vieilles blessures qui n’ont jamais cicatrisé.
Vous avez commis une erreur. Vous avez cru pouvoir déclarer la guerre à un pays entier depuis Francfort, entre une soirée à l’opéra et un cocktail au Frankfurter Hof. Et cela, aucune issue heureuse des négociations sur la « dette grecque » ne pourra l’effacer.
Vous avez commis une erreur. Vous pensez encore pouvoir inaugurer le nouveau siège à 1,2 milliard d’euros de la Banque Centrale Européenne le 18 mars prochain. Certes, vous avez prudemment réduit l’ampleur des festivités, étant donnée l’obscénité des circonstances, mais vous les avez maintenues. Erreur. Vous ne dominez pas encore le monde depuis les airs. Vous êtes quelque part sur terre. Vous êtes à Francfort les 16, 17 et 18 mars, les 16 et 17 pour discuter de « l’avenir de la branche financière » et le 18 pour manger des petits fours dans vos locaux flambant neufs. Chacun sait où vous trouver. Nous vous trouverons. Vous allez devoir payer. Nous allons vous faire la fête, avec tous nos amis, dès le lundi 16. Et croyez-nous : nous n’allons pas, nous, réduire nos festivités.
Avec ce que vous avez fait la semaine passée, nos amis de partout en Europe qui hésitaient encore à se déplacer de si loin pour venir à Francfort vous gâcher quelques digestions se sont finalement décidés à venir. Nos amis grecs sont particulièrement furieux. Et leur rage est contagieuse. Ceci n’est pas une menace. Ceci est un constat. Vous êtes quelque part, nous sommes partout. Vous avez commis l’erreur de nous déclarer la guerre que vous nous livrez depuis toujours. Les parois de vos salons ne sont pas à l’épreuve de nos coups. Vos assiettes ne sont pas à l’épreuve de nos crachats. Vos forteresses sont vulnérables. Vous allez bientôt vous en rendre compte.
MANE THECEL PHARES
Réponse aux sophistes Deux sophismes, ou plutôt... - Stathis Kouvelakis
▻https://www.facebook.com/stathis.kouvelakis/posts/10153046118360470?fref=nf
Nation subalterne (ou périphérique), lutte transnationale, internationalisme...Réponse de Stathis Kouvelakis, de l’aile gauche de Syriza, aux défenseurs de la stratégie Tsipras...
(en tous cas, Syriza a fait monter le niveau du débat politique sur FB de façon un peu vertigineuse)
Troisième sophisme, celui d’Etienne Balibar et de Sandro Mezzadra qui, de ce qui s’est passé, et après avoir ironisé sur la « gauche de Syriza » qui parlerait de « reniement » (personne bien entendu n’a jamais utilisé ces termes dans la gauche de Syriza, mais passons...), tirent la conclusion que cela montre « qu’une politique de liberté et d’égalité ne se construira pas en Europe sur la simple affirmation de la souveraineté nationale ». L’essentiel selon eux serait d’avoir gagné du temps, au prix certes de concessions ( avec la référence obligée à Lénine pour garantir le radicalisme du propos), et de permettre d’autres victoires politiques (ils mentionnent l’Espagne) et le déploiement de mobilisations sur le terrain des mouvements sociaux, de préférence « transnationaux » (type Blockupy).
Ici encore on nage en plein sophisme, d’une pseudo-naïveté confondante mais après tout logique de la part d’ardents défenseur du « projet européen » (certes dans une « bonne version ») tels que ces deux auteurs. Car bien sûr les rythmes des forces politiques et des mouvements sociaux auxquels ils se réfèrent ne sont pas synchrones. D’ici l’été, le gouvernement Syriza sera confronté à des échéances plus que pressantes et on ne voit pas en quoi le succès d’une manifestation à Francfort ou un possible succès de Podemos aux législatives de novembre pourrait d’ici là modifier la situation en sa faveur. Ce décalage entre rythmes temporels est l’une des modalités sous lesquelles se présente aux acteurs de la lutte politique le caractère stratégique du niveau national : il est le terrain où se condense de façon décisive le rapport de forces entre les classes.
Ce que Balibar et Mezzadra sous-estiment gravement par ailleurs c’est l’effet de démobilisation que ne manqueront pas d’avoir, au niveau grec interne et au niveau européen, la perception (qui s’imposera terme à tous malgré le battage qu’essaient d’organiser les défenseurs à courte vue du gouvernement grec) d’une Grèce et d’un gouvernement Syriza contraints de plier l’échine devant les diktats austéritaires de l’UE. Déjà en Grèce le climat de mobilisation et confiance retrouvée des premières semaines après les élections est loin derrière. Ce sont le désarroi et une certaine confusion qui dominent actuellement. Bien sûr les mobilisations peuvent reprendre mais d’une part elles seront cette fois dirigées contre les choix gouvernementaux et, de l’autre, elles ne peuvent surgir « sur commande ».
Conditionner un choix politique sur l’émergence de mouvements est plus qu’ hasardeux. C’est une manière de dire qu’il ne sera pas tenu, du fait de leur absence ou de leur insuffisance. En réalité, c’est en sens inverse qu’il s’agit de procéder. On assume un choix de rupture, et c’est cela qui stimule la mobilisation, laquelle possède ou acquiert sa propre autonomie. C’est d’ailleurs exactement ce qui s’est passé en Grèce lors de la phase de « confrontation » entre le gouvernement et l’UE, entre le 5 et le 20 février, lorsque des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue, de façon largement spontanée et en dehors des cadres partidaires.
Par ailleurs, l’argument du « temps gagné » relèvent en l’occurrence de l’illusion. Pendant ces quatre mois de supposé « répit », Syriza sera en réalité obligé de se mouvoir dans le cadre actuel, donc de le consolider en mettant en oeuvre une bonne part de ce que la Troïka (relookée en « Institutions ») exige, et en « reportant » l’application des mesures-phares de son programme, celles qui lui auraient justement permis de « faire la différence » et de cimenter l’alliance sociale qui l’a porté au pouvoir. Ce « temps gagné » risque fort en effet de s’avérer comme du « temps perdu », qui déstablisera la base de Syriza tout en permettant aux adversaires (notamment à l’extrême-droite) de regrouper leurs forces et de se présenter comme les seuls partisans d’une « vraie rupture avec le système ».
Relevons également que, malgré le dégoût qu’inspire toute référence nationale à des mordus de l’européisme comme Balibar et Mezzadra, que les succès politiques auxquelles eux-mêmes se réfèrent, ceux de Syriza ou de Podemos, sont non seulement des victoires dans le cadre national, qui ne modifient le rapport de forces que parce qu’elles permettent à des forces politiques de gauche radicale d’accéder aux leviers d’un Etat national, mais aussi que ces succès se sont pour une part déterminante construits sur la revendication de la souveraineté nationale, dans un sens démocratique, populaire, non-nationaliste, et ouvert sur autrui. Le discours « national-populaire », et les références au « patriotisme » abondent, de façon parfaitement assumée dans les discours de Tsipras et d’Igglesias, comme abondent les drapeaux nationaux (grec ou républicain dans le cas de l’Espagne, sans mentionner ceux des nationalités de l’Etat espagnol dans son ensemble) parmi les foules et les mouvements « autonomes » (pour reprendre le terme de Mezzadra et Balibar) qui remplissent les rues et les places de ces pays.
Plus que tout autre élément, cela montre que le référent national est, tout particulièrement dans les pays dominés de la périphérie européenne, un terrain de luttes que dans des pays comme l’Espagne ou la Grèce des forces progressistes ont réussi à hégémoniser, pour un faire l’un des moteurs les plus puissants de leur succès. C’est sur cette base que peut se construire un véritable internationalisme, et non sur le discours creux, entièrement déconnecté des réalités concrètes de la lutte politique, d’un niveau censée être d’emblée et sans médiation « européen » ou « transnational ».
#national_populaire #Gramsci #Europe #18_mars #Francfort #Syriza #eurogroupe #Grèce
à moitié #imbitable ce truc quand même, par contre très juste sur le truc patriotique...
Syriza gagne du temps et de l’espace (Tribune.... - Isabelle Saint-Saens
►https://www.facebook.com/isabelle.saintsaens/posts/10205694472026085
Une tribune dans Libération, relayée ici sans #paywall...
Dans un article extraordinaire que vient de publier le Guardian de Londres, le ministre Varoufakis montre qu’il en est lui-même parfaitement conscient. (2) Fondamentalement, nous dit-il, ce qu’un gouvernement peut faire aujourd’hui, c’est de chercher à « sauver le capitalisme européen de sa tendance à l’autodestruction », qui menace les peuples et ouvre la porte au fascisme. C’est de faire reculer la violence de l’austérité et de la crise, pour ouvrir des espaces de conservation et de coopération, où la vie des travailleurs soit un peu moins « solitaire, misérable, violente, et brève », pour le dire dans les vieux mots de Hobbes. Pas plus, mais pas moins.
Interprétons à notre tour le discours de Varoufakis. Le dépassement du capitalisme est par définition hors de portée de tout gouvernement, que ce soit en Grèce ou ailleurs. Par-delà le sauvetage en urgence du capitalisme européen de sa catastrophe qui serait aussi la nôtre, une telle perspective se situe à l’horizon de luttes sociales et politiques prolongées qui ne sauraient s’enfermer dans un périmètre institutionnel. Mais il se trouve que c’est aussi sur cet autre « continent » que doit se construire matériellement dès aujourd’hui la force collective dont dépendent les avancées des prochains mois ou des prochaines années. Et le terrain que doit investir une telle force ne peut être que l’Europe elle-même, en vue d’une rupture constituante avec le cours actuel de son histoire. D’où l’importance de mobilisations comme celle que le mouvement Blockupy convoque pour l’inauguration du nouveau siège de la BCE, le 18 mars à Francfort. C’est une occasion de faire entendre la voix du peuple européen en soutenant l’action du gouvernement grec. Par-delà l’indispensable dénonciation du capital financier et du régime postdémocratique (Habermas), c’est aussi l’occasion d’éprouver l’avancement des forces alternatives, à défaut desquelles l’action même des gouvernements et partis qui se battent contre l’austérité sera condamnée à l’impuissance.
Dopo l’Eurogruppo. Guadagnare tempo, guadagnare spazio? - EuroNomade | EuroNomade
▻http://www.euronomade.info/?p=4275
La mobilitazione convocata dalla coalizione Blockupy a Francoforte per il 18 marzo, il giorno dell’inaugurazione della nuova sede della BCE, acquista da questo punto di vista un’importanza fondamentale. È un’occasione per intervenire direttamente nello scontro in atto a livello europeo (e dunque per sostenere l’azione del governo greco), andando oltre una generica contestazione dei simboli del capitale finanziario e della BCE. Ma è anche un momento di verifica delle forze che si muovono in quell’“oltre” senza consolidare il quale (è uno dei paradossi del nostro presente) la stessa azione di governi e partiti che si battono contro l’austerity è destinata all’impotenza.
#Eurogroupe #Grèce #Syriza #austérité #18_mars #BCE #Francfort
Blockupy #Francfort 2015 contre la #BCE - Solidaires :
▻http://solidaires.org/article49616.html
En mai 2012 puis 2013, des dizaines de milliers de manifestant-es venu-es de plusieurs pays européens ont symboliquement encerclé le siège de la Banque Centrale Européenne ; en novembre 2014, un festival des résistances s’est tenu au même endroit. 2015 sera la quatrième année de mobilisation à l’initiative des mouvements #Blockupy. Ces mouvements radicaux nés dans la continuité des Occupy aux États Unis, se sont développés en Allemagne et en particulier à Francfort avec des initiatives de campement, de blocages, de manifestations européennes contre la Banque Centrale Européenne.
Appel de la #Destroika
►http://destroika.noblogs.org/fr
La #Troïka ne se contente pas de dicter la politique d’États entiers, voire de les administrer directement, d’imposer les budgets et les régimes qui lui complaisent ; elle détermine aussi nos conditions de vie afin de nous réduire à de simples ressources humaines. Le sentiment d’être dominé, débordé et pour finir écrasé par un « moteur de l’Europe » auto-déclaré, ne cesse de se répandre en Europe, d’y devenir plus palpable.
Destroïka
►http://lundi.am/Destroika
Le siège de la BCE menacé d’émeute.
Friedhof der Märzgefallenen
▻http://www.friedhof-der-maerzgefallenen.de/start
Der Friedhof der Märzgefallenen, der versteckt im Volkspark Friedrichshain liegt, ist ein solcher Ort, der eigens für die Berliner Opfer der Revolution errichtet wurde. Seine historische Bedeutung ist genauso groß wie die der Bundesfestung Rastatt und der Frankfurter Paulskirche – trotzdem kennen ihn nur wenige.
Platz des 18. März
▻http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/55/Sign.Platz_des_18._M%C3%A4rz.Berlin_.JPG
Der Platz des 18. März liegt am östlichen Ende der Straße des 17. Juni und des Großen Tiergartens auf der westlichen Seite vor dem Brandenburger Tor in der Dorotheenstadt im Berliner Ortsteil Mitte ...
#berlin #revolution #1848 #1918
Chrono-Cartography of the 1871 Paris Commune - The Funambulist
►http://thefunambulist.net/2014/04/23/history-chronological-cartography-of-the-1871-paris-commune
On January 29, 2014, friends Mariabruna Fabrizi and Fosco Lucarelli posted an interesting article on Socks (check out their new interface!) based on photographs taken by Mike Ma of a map illustrating the chronology of the bloody week (May 21-28 1871) that eradicated the socialist Paris Commune. Seeing this map made me want to, not only retrace it in a “cleaner” version but add to it other valuable information so to obtain a comprehensive “chrono-cartography” of the 1871 Paris Commune. You can download a high-resolution of this map (28 Mb) here under a Creative Commons Attribution-NonCommerical-ShareAlike 4.0 International license (i.e. use it in any way you want providing that you’re not making money out of it and that you’re referring to the original map’s credits). This article is built on five chapters that distinguishes each component of the map.
#1871
Il y a eu une très belle expo de photos méconnues de la commune. Les communards arrivaient à tirer depuis Courbevoie des boulets de canon qui abimaient l’Arc de triomphe !
Et l’hôtel de ville a aussi eu son lot !
#Perturbations #trafic #sncf grandes lignes le #18_avril #2014
▻http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-18-avril-2014
Attention, le trafic #Intercités et TER sera totalement interrompu entre Amiens et Longueau : -du 19 au 21 avril -les dimanches 4 et 11 mai jusqu’à 12h30. Les conséquences d’importants #travaux de rénovation des voies...Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes le 18 avril 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.
#Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #Elipsos #greve #lunea #retards #Teoz #TGV #trains
“This country [USA] is our #palestine. This city is our #jerusalem. This house of God is our temple.”
▻http://levant.tumblr.com/post/82112352885
“This country [USA] is our Palestine. This city is our Jerusalem. This house of God is our...
Chronique « Domaine public » #5 du 56Kast #18
▻http://romainelubrique.org/tv-chronique-domaine-public-5-56kast-18
Où il est question du calculateur du domaine public et surtout de la Tour Eiffel vue sous l’angle de la propriété intellectuelle.
"►http://ecrans.liberation.fr"
"►http://www.nolife-tv.com"
"▻http://www.calculateurdomainepublic.fr"
"▻http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9pliques_et_imitations_de_la_tour_Eiffel"
"▻http://blogs.afp.com/makingof/?post/2014/01/28/Un-monde-de-tours-Eiffel"
"▻http://www.thingiverse.com/thing:53279"
"▻https://www.youtube.com/watch?v=liYJ5qJJb4Q