• #Jean-Luc_Mélenchon : « Je propose ma candidature pour #2017 »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/100216/jean-luc-melenchon-je-propose-ma-candidature-pour-2017

    Le cofondateur du #parti_de_gauche a annoncé mercredi 10 février qu’il souhaitait être candidat à la #présidentielle de 2017. Dans un entretien à Mediapart, il expliquait déjà ses motivations. « Il y a des gens qui comptent sur moi. Sur ce qu’ils m’ont vu faire depuis 2012, tenir bon contre vents et marées, refuser tous les compromis et les arrangements », disait-il, tout en critiquant l’idée d’une #primaire. Il appelle à sortir des traités européens.

    #France #Front_de_gauche #GAUCHE_S_ #PG

  • #Jean-Luc_Mélenchon : « La #primaire est une machine à enterrer les questions de fond »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/060216/jean-luc-melenchon-la-primaire-est-une-machine-enterrer-les-questions-de-f

    Le cofondateur du #parti_de_gauche refuse de participer à la primaire de toute la gauche pour la #présidentielle de #2017, convaincu qu’elle restera dans un « entre-soi étouffant et politicien ». Et qu’elle est une machine à « enterrer les questions de fond ». Notamment l’avenir de l’Europe, où l’ancien candidat de 2012 prédit un « tsunami » balayant les institutions en place. Jean-Luc Mélenchon, en campagne présidentielle, le 4 mai 2012 © Reuters

    #France #Front_de_gauche #GAUCHE_S_ #PG

  • Comment #Arnaud_Montebourg prépare sa candidature pour #2017
    https://www.mediapart.fr/journal/france/040216/comment-arnaud-montebourg-prepare-sa-candidature-pour-2017

    Arnaud Montebourg en campagne pour la #primaire de 2011 © Reuters L’ancien ministre de l’économie, discret depuis un an et demi, consulte et réunit régulièrement une petite équipe, en plein débat sur l’organisation d’une primaire à gauche. Mais il n’a pas encore acté sa participation à la #présidentielle de 2017.

    #France #GAUCHE_S_

  • Primaires… Par Jacques Sapir ·

    Un certain nombre de personnalités de la gauche viennent de publier dans un quotidien une tribune appelant à une primaire pour désigner le candidat de la « gauche » à l’élection présidentielle de 2017[1]. Cet appel contient certaines choses avec lesquelles ont peut être en accord. Mais, le sens de cette initiative tend plus à obscurcir qu’à éclairer le débat. Fondée sur une illusion, cette initiative ne peut avoir que des résultats contraires à ceux qu’affichent certains de ses promoteurs.
     
    Un appel « anti-Hollande »

    Cet appel se présente comme une « réaction » aux succès électoraux du Front National aux dernières élections régionales de décembre 2015. Il affirme que le système politique est bloqué ce qui induit que : « Faute de propositions satisfaisantes, de perspectives claires et de résultats tangibles, nos concitoyens sont nombreux à s’abstenir aux élections, quand ils ne s’abandonnent pas aux promesses insensées et au discours de haine du Front national » . Mais, on remarquera qu’il ne produit nulle analyse des raisons fondamentales de cette situation. Et pour cause : les participants à cet appel viennent d’horizons et de positions trop diverses pour qu’un accord sur ce point soit possible.

    Dans les faits, cette tribune constitue un appel contre une nouvelle candidature de François Hollande. Ceci est parfaitement compréhensible. Le bilan du mandat de François Hollande est en effet tout à plein désastreux. Qu’il s’agisse de son bilan politique, avec l’échec patent sur le chômage, l’absence de politique économique remplacée par un simple saupoudrage de subventions aux patrons (à l’efficacité dérisoire), le reniement éhonté des promesses de campagne, la perpétuation de la tendance à l’affaiblissement de la République ou une politique étrangère calamiteuse, ou que l’on regarde dans le domaine symbolique où sous les oripeaux d’une présidence prétendument « normale » se cache un président jouisseur et la perpétuation des habitudes de clientélisme et de corruption, ce bilan est l’un des pires depuis les début de la IIIème République. La méfiance exprimée par les signataires de ce texte envers une nouvelle candidature de François Hollande se comprend donc parfaitement, et on la partage.

    Mais, fallait-il pour dire cela en passer par un « appel pour une primaire » ? Il y a là un singulier manque de courage de la part des signataires. Comme si, paralysé parce qu’il leur apparaît par l’énormité de leur constat, ils cherchaient une forme d’euphémisation de leur propos. Cette euphémisation fait perdre une grande partie de sa force potentielle à cet appel. Car, des primaires à gauche, il y en eut, en 2007 et en 2012. On sait ce qu’il en est advenu. La campagne de ces primaires a été l’occasion d’un formidable déferlement d’hypocrisie. Et, aujourd’hui, nous avons comme Premier-ministre un homme qui a fait à peine 5% des voix lors de la primaire de 2012.
     
    Primaire et démocratie

    En fait le mécanisme de la primaire soulève énormément de problèmes du point de vue démocratique. Il ne faut pas oublier qu’initialement ce mécanisme a été conçu comme un contournement des partis, une manière de faire disparaître la voix des militants en la noyant dans un ensemble indistinct. Ce contournement peut se justifier si l’on fait le constat que les partis politiques, et le P « S » en particulier, ne sont plus des appareils démocratiques mais sont devenus le champ clôt de clientèles particulières, de mécanismes de corruption qu’ils soient directs ou indirects. Mais, si tel est bien le cas – et l’on se souvient du conflit qui opposa Arnaud Montebourg aux dirigeants de la Fédération des Bouches du Rhône du P « S », conflit qui alla jusqu’à des menaces physiques – alors c’est le parti qu’il convient de changer et de défaire. La primaire apparaît alors comme une rustine, certes nécessaire à un moment, face à un navire qui prend l’eau. Mais, les rustines ne sont pas des solutions pérennes.

    Le mécanisme de la primaire implique aussi qu’il n’y aurait pas de divergences importances de ligne politique au sein du camp qui se définit comme « la gauche ». Comme si la ligne fédéraliste de Daniel Conh-Bendit était la même que celle de Thomas Piketty, ou que ces positions étaient compatibles avec celles des militants du Parti de Gauche ou d’autres. L’irréalisme de cette proposition saute aux yeux. Au-delà, se pose la question du débat nécessaire qu’il faudra avoir, car certaines des positions ne sont tout simplement pas conciliables. L’un des plus grands reproches que l’on peut faire à cet appel est qu’il présente comme une réalité homogène un espace politique qui est profondément et durablement divisé. Que cette réalité ne fasse pas plaisir aux signataires est une évidence et, encore une fois, on peut le comprendre. Mais il faut avoir le courage de faire face à cette réalité. C’est Jean-Luc Mélenchon qui, encore une fois, a mis les choses au point[2]. En refusant de participer à la cette « primaire » il fait éclater l’illusion consensuelle qui se cache, aussi, derrière ce projet.
     
    La primaire ou le débat ?

    Cette illusion consensuelle, l’idée que l’on pourrait par la discussion et le débat, arriver à faire émerger un candidat commun à ceux qui ont voté pour le traité budgétaire européen (le TSCG) comme à ceux qui ont voté contre, à ceux qui préparent la liquidation des services publiques et de l’école républicaine et à ceux qui refusent et d’opposent de toutes leurs forces à ces néfastes projets pour ne citer que ces points de clivages, cette illusion est le principal problème que soulève cet appel.

    Ce qui se cache derrière cette idée de « primaire », et ce en dépit de la bonne volonté évidente de plusieurs des auteurs du texte, c’est donc aussi la volonté d’esquiver le débat fondamental sur le programme qu’un (ou une) Président(e) devrait mettre en œuvre. Et, ce débat ne pourra aboutir à un accord. Entre les tenants de différentes formes de soumission à l’UE et à l’Allemagne et ceux qui perçoivent que la constitution d’une autre politique pour la France, qu’il s’agisse de la politique économique bien entendu mais aussi de la politique étrangère et du problème lancinant de mettre fin à la décrépitudes de la République, implique une rupture avec l’UE telle qu’elle existe et avec l’Euro, il ne pourra y avoir de compromis. Cela impliquera très certainement une pluralité des candidatures.
    [1] http://www.liberation.fr/france/2016/01/10/notre-systeme-politique-est-bloque_1425550
    [2] http://www.lejdd.fr/Politique/Une-primaire-des-gauches-pour-2017-EELV-et-le-PCF-partants-le-Parti-de-gauche-

    Jacques Sapir - 12 janvier 2016
    Source : http://russeurope.hypotheses.org/4630
    #Jacques_Sapir #primaires #Elections #Débat #élections_présidentielles #2017 #TSCG #services_publiques #Ecole_Républicaine #union_européenne #République #UE #PS #Désastre #Chômage #Partis_politiques

    • Intéressant, cet article, mais, sur ce site,
      Je suis assez étonne de ne pas trouver grand chose sur monsieur hollande, et surtout sur son père Georges Gustave Hollande, catholique, candidat d’extreme droite à des élections pour un parti dont l’attaché de presse était monsieur le pen

      Pour un site spécialisé sur le confusionnisme, je trouve cela étonnant.

      Je dois faire une erreur en recherchant.
      Pour ce qui est d’ être confusioniste, no’t président et son parti méritent pourtant la médaille d’or.

      Etonnant !

    • Rien d’étonnant.
      Il y a un concours.
      angella merkel, fille de pasteur . . . . par exemple.

      Relire par exemple :
      Le Mouvement du libre-esprit, Généralités et témoignages sur les affleurements de la vie à la surface du Moyen Âge, de la Renaissance et, incidemment, de notre époque , Ramsay, 1986 réédition L’Or des fous, 2005.
      La Résistance au christianisme. Les hérésies des origines au XVIIIe siècle , Fayard, Paris 1993
      Les Hérésies 1994
      du copain de Noel Godin, l’entartreur.

      Ca permet de comprendre pas mal de choses.

    • Bon... à ce point, je précise que Hollande aurait pu être orphelin ou fils d’un stalinen, qu’on en aurait pas grand chose à faire. C’est surtout un satané fils d’HEC-ENA.

      Quant à Sapir, quoi qu’en pensent son père et sa mère, c’est un chauvin, souverainiste, productiviste, sexiste, imbuvable qui fricote avec les fafs.

    • hollande Orphelin ?
      Comme gérard depardieu ?
      Au moins il nous aurait fait rire, le hollande.

      Au lieu de cela, il réalise le programme de droite extréme révé par son père.

      Ah ! le fameux point Godwin !

      Les fafs, , , il est curieux de constater à quel point ce sont des références pour les confusionistes. Lire les articles du site.

  • Sommes-nous prêts ?
    #MaVoix
    Découvrons-nous, rencontrons-nous

    https://www.youtube.com/watch?v=3eQ4XrgBQBE

    Nous sommes de ceux qui n’arrivent plus à aller #voter la tête haute.

    Certains d’entre nous ne votent plus du tout, d’autres votent blanc, ceux qui votent encore le font par défaut, avec tristesse ou colère.

    Nous nous sentons piégés par un système politique qui ne nous respecte pas, ne nous entend pas, et depuis quelques temps nous dégoûte même par ses frasques, ses renoncements, ses promesses jamais tenues, ses mensonges, ses trahisons, son inhumanité.

    Nous sommes multiples.

    Nous sommes tous différents.

    Nous ne sommes pas d’accord sur tout. Et c’est ça notre richesse. Nos expériences de vie montrent qu’il y a tant de chemins pour atteindre des résultats concrets.

    Nous voulons expérimenter . Pas à pas.

    Nous sommes en mouvement.

    Nous avons arrêté de regarder vers le haut avec espoir. Il n’y a plus rien à attendre de ceux qui nous gouvernent. Nous en constatons l’échec, nous le disons sans haine, ni colère.

    Et finalement, ils échouent les uns après les autres, car les règles datent des siècles passés, elles ne sont plus adaptées.

    Nous ne voulons plus signer de chèque en blanc à des #partis_politiques.

    Nous allons construire une offre politique qui ressemble au monde que nous dessinons jour après jour : libre, connecté, coopératif, interdépendant, concret.

    Nous voulons que chacun de nos actes soit émancipateur pour nous tous.

    Nous voulons prendre notre place à la table des décisions .

    Nous voulons co-construire le monde tel que nous, les gens, l’aurons décidé.

    Nous nous mettons en marche de manière collective, horizontale, débarrassée des quêtes de pouvoirs personnelles et des postures partisanes stériles.

    Nous allons entrer à l’Assemblée Nationale.

    En juin #2017.

    Pas dans le poulailler, là où nous sommes parqués aujourd’hui, ou devant notre télé.

    Non, nous allons entrer pour de vrai. Gagner des sièges, des circonscriptions.

    Nous voulons faire entrer la Démocratie dans l’ère de la multitude, de l’interdépendance, du partage et de la coopération.

    Nous développons des méthodes et des outils d’#intelligence_collective pour donner à tous les #citoyens les capacités de s’approprier les enjeux, de se porter candidat, de proposer et de voter les #lois.

    Nous expérimenterons ces nouvelles pratiques en faisant élire lors de l’élection #législative de 2017 des #volontaires formés et tirés au sort qui relaieront les décisions de leurs électeurs pendant 5 ans.

    A plein de femmes et d’hommes, nous serons plus intelligents qu’un seul être humain. Surtout qu’il est prisonnier aujourd’hui à l’Assemblée des logiques de partis.

    Nos députés ne seront pas seuls face aux #lobbies ou aux experts. La force du nombre leur permettra d’affronter la puissance de l’institution.

    Emanation de leurs électeurs, députés aux milles visages, les nôtres, ils seront le prolongement de notre volonté individuelle.

    Nous déciderons collectivement ce que le député votera.

    Pas sur une loi.

    Non, sur toutes les lois.

    Pendant 5 ans. A chaque fois qu’un sujet nous passionnera.

    A chaque fois qu’une loi heurtera nos libertés, nos valeurs, nos principes.

    Plus jamais sans nous.

    Cette idée, c’est essayer la Démocratie au sens propre.

    En 2017 nous entrons à l’Assemblée avec suffisamment de sièges pour pouvoir démarrer une expérience inédite.

    Le monde se construit déjà avec nous. Où que nous soyons, nous avons déjà pris nos responsabilités. Dans nos vies professionnelles, associatives, dans nos familles, dans nos quartiers, nos immeubles, les conseils d’école, nous sommes déjà debout à donner le meilleur de nous-mêmes pour le #bien_commun.

    Comme énormément de Français, nous aimons la #politique, nous aimons débattre, nous aimons participer, nous voulons faire quelque chose qui nous dépasse.

    Dans le monde entier des mouvements naissent, répondant tous à la même soif de #Démocratie. Allemagne, Mexique, Argentine, Italie, Espagne, Islande, Grèce, Irlande, Canada, Tunisie et dans des villes et villages français.

    Partout dans le monde des initiatives portent la volonté des Peuples à prendre leur place à la table des décisions.

    Et nous, ici, sommes-nous prêts ?
    Rencontrons-nous

    #MaVoix - 2015

  • #Suède : Des #voitures sans conducteur en #circulation en #2017
    http://www.ouest-france.fr/node/1757959

    « Nous ne sommes pas le plus grand pays du monde, nous ne sommes pas le plus gros fabricant de voitures, mais nous compensons en faisant preuve d’intelligence et en travaillant main dans la main, de manière plus simple », a affirmé le directeur général de #Volvo_Cars, #Haakan_Samuelsson, lors d’une conférence de presse à #Stockholm, en faisant allusion à la tradition des partenariats #privés-publics en Suède.

    #drone #voitures_autonomes