• Interview de #Emmanuelle_Wargon, ministre déléguée chargée du #logement sur les événements qui ont eu lieu à Place de la République lors de l’évacuation du campement le #23_novembre_2020

    Sur les événements :
    https://seenthis.net/messages/888104

    L’interview (à partir de la minute 16’30) :

    "Certaines images de l’#évacuation m’ont choquée, comme le ministre de l’intérieur et je trouve bien qu’il y a eu une enquête de l’IGPN qui permette de regarder ce qui s’est vraiment passé pendant cette évacuation. Ces images ne montrent pas ce qu’on fait par ailleurs pour héberger les mêmes personnes, pour héberger les 3000 personnes qui venaient du #campement de Saint-Denis et qui ont été mises à l’abri et j’espère pouvoir trouver des solutions dans les jours qui viennent aux 300 qui étaient #Place_de_la_République. D’ailleurs, hier soir j’ai annoncé qu’on avait trouvé 103 places, il en manque encore donc nous sommes toujours en train de chercher des places.
    Journaliste : Je voulais revenir sur le communiqué que vous avez fait hier avec Marlène Schiappa, vous parlez d’une opération d’évacuation, pourquoi il n’y a pas un mot sur les #violences_policières ?

    EW : La question posée n’est pas seulement la manière dont s’est déroulée l’évacuation, c’est : qu’est-ce qu’on fait pour ces personnes... Et c’est à cette question que nous avons voulu répondre, en disant que tous les jours nous ouvrons des places, nous cherchons à héberger ces personnes qui sont sans solution et qui finissent à la rue.

    Journaliste : On a là des gens à qui on interdit, que ça soit à Paris ou ailleurs, de faire des choses basiques : de manger, de boire, de dormir dans des conditions normales. Est-ce que ça vous choque ?

    EW : Mais un campement, que ça soit sous l’autoroute, sur le parvis de l’hôtel de ville ou sur la Place de la République, ça n’est pas une solution. Quand les campements sont évacués, après beaucoup de temps... En fait, on laisse s’installer une situation qui est une situation en général indigne... On a ouvert 185’000 places d’hébergement, c’est les chiffres, c’est hyper abstrait, personne ne sait si c’est beaucoup ou pas. Il y en avait 155’000 y a 4 ans à la fin du quinquennat Hollande, donc ça fait 30’000 de plus, c’est beaucoup. Le sujet pour moi c’est de trouver une solution à chaque personne, et c’est difficile, et on n’a pas de solution en claquant des doigts, mais c’est ce qu’on essaie de faire.
    –-> le journaliste montre une vidéo avec le témoignage de « Reza » :
    « On a parlé avec les représentants de la mairie, ils ont dit ’On a beaucoup beaucoup de places et c’est la préfecture qui bloque. Le problème vient de la préfecture, la préfecture c’est le ministre de l’intérieur, c’est le gouvernement, c’est le gouvernement qui doit prendre ses responsabilités’ »

    EW : "ça c’est trop facile, parce que c’est pas la mairie qui a des solutions et il suffirait de suivre la mairie et l’Etat qui ne veut pas. La mairie a fini pour nous dire : ’Il y a deux centres de congrès possibles’. J’ai d’ailleurs reçu un courrier des deux maires d’arrondissement concernés pour me dire qu’ils n’avaient pas été concertés, que ce n’était pas avec leur accord et que c’était plus compliqué que ça. On va étudier ces deux centres, on en a trouvé un troisième, qui est Porte de la Villette, que nous avions déjà identifié et qui est en train d’être équipé. Moi, je prends toutes les solutions, mais il faut aussi financer ces places et c’est pas la mairie qui les finance.

    Journaliste : L’Etat a refusé les deux propositions...

    EW : Pas du tout ! L’Etat n’a pas du tout refusé, on est en train d’instruire...

    Journaliste : On a toujours l’impression qu’il faut faire disparaître ces gens... Qu’il ne faut pas qu’ils restent...

    EW : Franchement vous vous plaquez un modèle de vision, vous plaquez un schéma de vision sur la réalité. Moi, je me bats...

    Journaliste : Le préfet les fait partir de Paris pour pas qu’ils soient visibles dans Paris...

    EW : C’est pas ce qui se passe. On les héberge dans des hôtels dans Paris, dans des centres d’hébergement dans Paris. On ne peut pas dire que l’action du gouvernement c’est une action qui leur tourne le dos et qui s’en désintéresse. Ce n’est juste pas vrai. C’est pas ce qu’on fait tous les jours. Il y a une attention. Il n’y a jamais eu autant d’argent sur l’aide alimentaire, il n’y a jamais eu autant d’argent sur l’hébergement d’urgence, il n’y a jamais eu autant de personnes accueillies. On a ouvert avec la ville de Paris un centre de plus au Carreau du Temple, c’est en plein centre-ville, donc ça n’est juste pas vrai de dire que le gouvernement veut les faire disparaître. Je ne peux pas vous laisser dire cela.

    Commentaire de Célia Mebroukine (journaliste Mediapart) par rapport aux propos de Emmanuelle Wargon :

    "Ce que dit la ministre est vrai concernant les financements sur l’hébergement d’urgence, sur l’aide alimentaire, mais ce qu’on sait aussi, et c’est assez malheureux, c’est qu’en 2019 un demandeur d’asile sur deux n’était pas hébergé, malgré la création de places, ce sont les conclusions d’un rapport de l’association Forum Réfugiés Cosi. On reste donc sur un gros chantier pour le gouvernement Macron...
    Autre journaliste sur le plateau :
    « Et je note que des maires d’arrondissements ont refusé que soient utilisés des locaux qui étaient vides pour héberger ces exilés et que la ministre n’y peut rien »

    Cécile Rilhac, députée du Val-d’Oise (LREM) :

    « C’est la #séparation_des_pouvoirs. Les #municipalités, c’est très délicat... Nous, dans le Val-d’Oise, quand il y a eu la première évacuation de Saint-Denis... nous avons accueilli beaucoup de réfugiés de Saint-Denis, et là c’est le gouvernement qui a ’imposé’ à Cergy de récupérer... on a utilisé la patinoire »

    Journaliste : « Donc c’est possible ? »

    CR : « Donc c’est possible. Mais vous savez très bien qu’il y a aussi des résistances des populations locales, je pense à certains arrondissements de Paris, ou les riverains, ils n’ont pas envie... et ils font pression sur leurs maires, justement, parce qu’ils ne veulent pas avoir de migrants »

    Journaliste : « C’est donc une histoire de rapport de force »

    CR : "A un certain moment il faut aussi que nous, nous sortons aussi les biscotto... le gouvernement et aussi les services préfectoraux, parce que ce sont souvent les préfets qui doivent mener des bras de fer avec certains maires pour faire en sorte que ces migrants soient hébergés dignement.

    https://www.youtube.com/watch?v=g6dJA_6iG3c&feature=emb_logo

    #migrations #asile #réfugiés #France #hébergement #logement #compétence #responsabilité

    ping @karine4 @isskein @thomas_lacroix

  • Les exilé·es chassé·es de la #République. #Violence d’un soir, continuité d’une politique

    Lundi soir, place de la République, les forces de police ont brutalement appliqué le principe "#zéro_tolérance" qui résume à lui seul la politique de #harcèlement méthodiquement menée contre les exilé·es qui tentent, faute de solutions d’hébergement, de survivre en s’installant dans les #interstices de l’#espace_public.

    Au cœur de #Paris, sur cette place symbole et sous le regard de témoins qui peuvent et savent se faire entendre, la violence de cette politique est devenue visible : les coups, les tentes arrachées et confisquées, leurs occupant·es pourchassé·es à coups de grenades lacrymogènes ou de désencerclement ont répliqué à la "constitution d’un campement" qui n’était tout simplement "pas acceptable" selon le communiqué par lequel la préfecture de police et celle de la région Île-de-France (Prif) ont tenté de justifier "la dispersion de cette occupation illicite ».

    Cette opération de police n’a fait que mettre en évidence le traitement que les exilé·es subissent, en réalité, depuis des mois sinon des années. En tout cas depuis que la doctrine du gouvernement repose sur un même credo : parce que leur seule présence n’est "pas acceptable", empêcher qu’ils se rassemblent, disperser tout regroupement, interdire la (re)constitution de tout ce qui peut ressembler, de près ou de loin, à un lieu de vie. Et pour ce faire, entraver et discréditer l’action de toutes celles et ceux qui tentent de substituer l’entraide à l’isolement, la solidarité au dénuement.

    Que personne ne s’y trompe, ces #violences sont depuis longtemps le lot quotidien des habitants des #campements. À Paris et dans les environs de Paris où, par exemple, celles et ceux que la dispersion de celui de Saint Denis, le mardi précédent, avait laissé·es sans solution d’hébergement étaient, ces derniers soirs, systématiquement traqués jusque dans les fourrés où ils étaient contraints de se cacher.

    Si la brutalité policière de la place de la République justifie pleinement les condamnations indignées qu’elle suscite, elle n’a pour autant rien à envier à celle que subissent pareillement, à Calais et dans sa région, les centaines d’exilé·es qui tentent, depuis plusieurs années, de survivre dans le même dénuement et où sévit, sous l’autorité du ministre de l’intérieur, la même politique d’éradication des "points de fixation". Dispersion systématique des campements, harcèlement policier permanent, confiscation des tentes et des effets personnels, coups, invectives, gazages, sont régulièrement constatés et documentés par les associations et bénévoles qui, dans une indifférence fataliste, s’épuisent à tenter d’inverser la logique du rejet.

    En confiant une enquête à l’IGPN sur les événements de la place de la République, le ministre feint d’ignorer que le mauvais scénario qui s’y est joué n’est que la réplique de l’action constante de ses forces de police et le produit d’une politique délibérée qui prétend faire du harcèlement une méthode de dissuasion. Aurait-il soudainement pris conscience des excès, voire même des impasses, de la guerre d’usure ainsi menée contre les exilé·es ?

    Ce serait un revirement spectaculaire de celui qui, après avoir reçu la maire de Calais le 10 septembre dernier, annonçait le renforcement des effectifs de CRS et avoir demandé au préfet du Pas de Calais de prendre un arrêté interdisant aux associations de distribuer de la nourriture aux exilé·es dans le centre de la ville [1].

    « Choquantes », c’est le qualificatif que Gérald Darmanin a choisi à propos des images et vidéos non floutées que les réseaux sociaux ont permis de diffuser et qui lui auraient ouvert les yeux sur les violences exercées par ses propres services.

    Si d’aventure il entendait convaincre de sa volonté de tourner le dos à la politique sur laquelle les événements de la place de la République ont jeté une lumière crue, le retrait du projet de loi sur la sécurité globale serait un premier test de sa sincérité.

    https://www.gisti.org/spip.php?article6508
    #violences_policières #asile #migrations #réfugiés #destruction #démantèlement #France #23_novembre_2020
    #place_de_la_République

    • Evacuation de la place de la République : le #rapport vite fait mal fait de l’#IGPN

      Dans son rapport de synthèse sur la soirée de lundi, rendu public sur décision de Gérald Darmanin, la « police des polices » n’évoque que trois scènes. Et concède d’éventuels #manquements dont deux sont déjà aux mains de la justice.

      C’est la copie médiocre d’un élève pris par le temps, mais obligé de rendre son devoir. Saisie d’une #enquête_administrative sur l’évacuation de la place de la République, lundi soir, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) explique qu’elle a fait de son mieux compte tenu du délai imparti et du cadre posé : « la diffusion sur les réseaux sociaux de vidéos et de messages évoquant des comportements inappropriés de policiers ».

      Dans un « rapport de synthèse » de deux pages adressé au préfet de police de Paris Didier Lallement et rendu public jeudi soir (à télécharger ici) – Gérald Darmanin s’y était engagé –, la directrice de l’IGPN s’excuse presque. « Dans le temps imparti (48 heures), je ne peux vous rendre compte que des conclusions provisoires qui sont contenues dans les trois rapports d’enquête joints. » Lesdits rapports restent confidentiels, les citoyens ayant seulement accès à leur substantifique moelle.

      Il faut souligner, d’abord, ce que le rapport de synthèse n’évoque pas. Rien sur le dispositif policier en lui-même, sa pertinence, sa proportionnalité, les ordres donnés, le recours à des BAC de nuit plutôt qu’à des unités spécialisées dans le maintien de l’ordre. Rien sur les nasses dans lesquelles se sont retrouvés piégés des manifestants et des élus, des avocats, des journalistes. Rien, surtout, sur les migrants vidés de leurs tentes comme des jambons, les affaires confisquées, les chaussures manquantes, la poursuite dans les rues puis la reconduite aux frontières de Paris.

      Invité sur France 2 pour une interview de sept minutes, jeudi soir, le ministre de l’intérieur n’a développé aucun discours critique sur le déroulement de l’opération, renouvelant son soutien au préfet de police. Gérald Darmanin a rappelé que la manifestation place de la République était « illégale » puisque sans « aucune autorisation ». « J’ai demandé qu’on évacue, bien sûr, cette place », a ajouté le ministre, appelant ses concitoyens à ne pas « toujours juger dans l’émotion » provoquée, selon lui, par les images.

      Le rapport de l’IGPN ne porte pas sur la soirée entière mais sur trois scènes, filmées et largement relayées sur les réseaux sociaux comme dans les médias traditionnels. Deux d’entre elles ont déclenché, mardi, l’ouverture d’enquêtes préliminaires menées par le parquet de Paris pour « violences par personne dépositaire de l’autorité publique ». C’est sur celles-là que le rapport s’attarde.

      La première scène montre le croche-pied d’un policier sur un migrant qui tombe au sol, interrompu dans sa fuite. L’auteur de ce croche-pied, un commissaire divisionnaire de la BAC nuit en Seine-Saint-Denis, a reconnu son geste, qu’il explique par la fatigue, la lassitude et un dispositif de maintien de l’ordre mal construit.

      Selon le rapport de synthèse, ce commissaire « avait reçu la mission d’empêcher les usagers d’emprunter la rue dont il tentait d’interdire l’accès ». « S’il est possible de comprendre qu’au regard de ces instructions, il ait envisagé un moyen pour ralentir ou stopper la progression des manifestants, […] le barrage qu’il constituait quasiment seul n’était ni efficace ni inviolé. »

      Compte tenu du risque de blessure grave, et puisque l’homme qui court ne représente aucune menace, l’IGPN conclut que ce geste, choisi « sans doute en une fraction de seconde », constitue « un manquement par un usage disproportionné de la force ». Le ministre a complété au 20 heures : pour cet acte « totalement injustifié », il réclame un conseil de discipline, l’organe interne à la police qui propose des sanctions.

      La deuxième scène, faisant également l’objet d’une enquête judiciaire, montre le journaliste de Brut, Rémy Buisine – même si le rapport prend soin de flouter son nom – recroquevillé au sol, contre un mur, un policier s’agitant au-dessus de lui. Le journaliste a fait savoir, par la suite, que le même agent s’en était pris trois fois à lui dans la soirée. Mais les vidéos de ce moment précis ne permettent pas de discerner, il est vrai, s’il reçoit des coups.

      À ce sujet, le rapport de l’IGPN souligne dans un langage administratif alambiqué que « les constatations réalisées sur la vidéo, malgré l’impression donnée par les images, ne font état d’aucun coup porté par le policier avec les poings ou avec la matraque ». Il résume l’audition du gardien de la paix, qui « nie tout acte de violence, ayant simplement cherché à se dégager d’une situation de corps à corps ».

      Les déclarations de ce policier n’étant « ni corroborées ni infirmées » par d’autres témoignages ou d’autres vidéos, l’IGPN promet de continuer ses investigations « pour compléter et déterminer s’il y a eu usage de la force, pour quelles raisons éventuelles et dans quelles conditions M. Buisine s’est retrouvé allongé au sol ».

      Au détour d’une phrase, le rapport souligne que « l’usager victime n’a pas répondu aux sollicitations de l’IGPN », ce qu’a répété le ministre de l’intérieur sur France 2. « C’est bien évidemment faux, je reste à disposition des enquêteurs dans les plus brefs délais », a répondu Rémy Buisine quelques minutes plus tard.

      Le gardien de la paix mis en cause par Rémy Buisine, appartenant lui aussi à la BAC de nuit du 93, est visible sur d’autres images au cours de la soirée. L’IGPN écarte tout manquement professionnel dans la troisième scène, tendue, où ce fonctionnaire écarte un manifestant d’un coup de pied à l’entrejambe. Car pour l’IGPN, il ne s’agit pas d’un simple coup de pied, mais d’un « chassé frontal », geste technique d’intervention enseigné dans les écoles de police.

      « La technique a été mise en œuvre avec un objectif à ce moment précis de maintien à distance. Le danger (attitude offensive et agressive des manifestants) était réel et de plus en plus imminent. » Ce policier sans casque ni bouclier, qui selon l’IGPN ne disposait pas non plus de gazeuse lacrymogène, « semble avoir utilisé la seule possibilité qu’il avait de repousser ses agresseurs. […] Il a atteint son objectif et n’a pas blessé d’usager ».

      Anticipant, peut-être, les critiques, voire les moqueries, l’IGPN prend soin de rappeler que « tout usage de la force, quelle que soit l’analyse technique et juridique que l’on puisse en faire, est par nature choquant pour des observateurs ». Mais qu’elle se doit de « décortiquer les images » pour en proposer une analyse légale et déontologique. Ce geste, le seul examiné dans son rapport à ne pas faire l’objet d’une enquête pénale, lui semble donc conforme aux canons de la profession.

      https://www.mediapart.fr/journal/france/261120/evacuation-de-la-place-de-la-republique-le-rapport-vite-fait-mal-fait-de-l

    • #Fabien_Jobard, sociologue, à propos de l’#évacuation de la place de la #République

      #Fabien_Jobard, sociologue, à propos de l’#évacuation de la place de la #République : « Cela illustre la hantise des pouvoirs publics de tout mouvement qui s’installe. Les préfets aujourd’hui sont formés à craindre tout ce qui peut ressembler à une zone d’occupation temporaire ».

      https://twitter.com/_alairlibre/status/1331300451833274372

      Transcription :

      "La hantise de la part des pouvoirs publics de tout mouvement qui s’installe quelque part... Les préfets aujourd’hui sont formés en France à craindre tout ce qui peut, de près ou de loin, ressembler à une #zone_d'occupation_temporaire, voire le pire de tout, une #ZAD.
      En ce qui concerne les migrants, la #peur du #campement.
      Effectivement, on intervient le plus tôt possible, pour éviter que se mettent en place des #habitudes : apporter de la #nourriture, apporter de l’eau, mettre en place des toilettes sèches, que sais-je... qui transforment la Place la république et qui rendent, plus tard, l’évacuation médiatiquement plus difficile. Cela explique une intervention très précoce, brutale, quasi-instantanée, qui a l’avantage en plus, puisqu’on est dans une #bataille_de_l'image... la manifestation... c’est rendre manifeste, rendre visible les choses. Là, elle a l’avantage, en hiver, de se dérouler de #nuit, donc ça explique cette intervention très rapide. Bien sûr les migrants ne sont pas seuls, il y a autour d’eux depuis au moins les années 1970 tout un ensemble d’associations , y compris d’#élus, d’élus locaux, #Audrey_Pulvard, d’élus nationaux comme #Eric_Coquerel... et donc ça donne ces #images difficilement compréhensibles d’élus de la République ne pouvant être entendus, ne parlant presque pas la même langue que des policiers qui semblent exécuter des #ordres venus d’une #autorité très lointaine.

      #Place_de_la_république #points_de_fixation #fixation

    • La #violence comme seul horizon politique

      Inacceptable ; c’est le mot qu’a utilisé le préfet de police de Paris, à propos de l’« #occupation_illicite » de la place de la République après que des exilé·es y ont installé une centaine de tentes, pour justifier la violence rare avec laquelle a été menée, le 24 novembre, leur « #dispersion ».

      Sans doute estimait-il « acceptable » que plusieurs centaines de personnes qui n’avaient pas été prises en charge une semaine auparavant, lors de l’évacuation du campement dans lequel elles survivaient depuis plusieurs semaines porte de Paris, à Saint-Denis, soient privées de toit, contraintes à l’errance et exposées au harcèlement policier.

      Depuis des mois, les violences à l’égard des personnes exilées se sont amplifiées, que ce soit dans le nord-ouest de la France [1], le long de la frontière franco-italienne ou à Paris et dans sa périphérie. Celles infligées lors des opérations de démantèlement de leurs campements – au caractère hautement politique – sont particulièrement impressionnantes.

      Le 17 novembre, une énième expulsion – c’est le 65e démantèlement de grande ampleur en Île-de-France depuis 2015 – mobilise d’importantes forces de police dès 4 heures du matin. Il s’agit, comme chaque fois, de « mettre à l’abri » – provisoirement et dans des hébergements d’urgence [2] – des personnes survivant dans des conditions insalubres et contraires à la dignité humaine. Comme chaque fois, des centaines d’entre elles ne peuvent même pas grimper dans le bus qui les mènerait vers cet hébergement, juste pour souffler. Car, comme chaque fois, l’opération policière n’a pour but que de les faire disparaître. Cette fois encore, les forces de l’ordre ont pourchassé tou·tes ces recalé·es de l’hébergement en banlieue nord et jusque dans les rues de la capitale pour les empêcher de poser leur tente. Au cours des nuits qui ont suivi, la chasse à l’homme a continué avec une violence inouïe.

      Pour que leur sort ne reste pas dans l’ombre, des exilé·es, rejoint·es par des militant·es, ont installé un campement symbolique place de la République en plein cœur de Paris. Dans l’espoir que, leur situation étant ainsi exposée, des solutions de mise à l’abri pérenne leur soient proposées. Mais le préfet de police ne l’entendait pas ainsi et ses troupes, mobilisées en hâte, ne les ont pas lâché·es ; il ne leur a pas fallu plus d’une heure pour sortir les matraques, les grenades lacrymogènes ou de désencerclement et les LBD. Des vidéos, largement diffusées sur les réseaux sociaux, montrent des policiers soulevant des tentes et les secouant pour en faire tomber les occupants, et jetant dans un camion le peu d’affaires que les exilé·es avaient réussi à conserver… Tolérance zéro. Et à nouveau, la traque impitoyable et indigne a recommencé.

      Rarement mises en évidence et condamnées, les violences policières ont cette fois suscité de nombreuses réactions d’indignation, y compris de responsables politiques dont on pourrait attendre qu’ils mobilisent les moyens à leur disposition plutôt que de se contenter de protestations, aussi bienvenues soient-elles. Au demeurant, elles ne peuvent faire oublier que ces violences s’inscrivent dans la continuité de la politique d’éradication des « points de fixation » méthodiquement menée depuis plusieurs années tant à Paris qu’à la frontière britannique ; parce que leur seule présence n’est « pas acceptable », il s’agit d’empêcher que les exilé·es se rassemblent et d’interdire la (re)constitution de tout ce qui peut ressembler à un lieu de vie. Et, pour ce faire, d’entraver et de discréditer l’action de toutes celles et ceux qui tentent de substituer l’entraide à l’isolement, la solidarité au dénuement [3].

      Plusieurs actions sont en cours pour dénoncer ces violences commises devant des journalistes, des membres d’associations et des élu·es, comme la demande de mise en place d’une commission d’enquête parlementaire et le dépôt de plaintes pénales groupées pour violences volontaires et dégradations de biens. On espère qu’elles auront plus de succès que l’enquête confiée à l’IGPN par le ministre de l’intérieur qui s’est dit « choqué » par les événements de la place de la République… feignant d’ignorer qu’ils sont la réplique de l’action constante de ses forces de police et le produit d’une politique délibérée qui prétend ériger le harcèlement en méthode de dissuasion.

      Si le ministre a dû se résoudre à cette désapprobation minimaliste, c’est qu’il ne pouvait que s’incliner devant l’évidence après la circulation de vidéos montrant la violence des forces de l’ordre. Ces images, sans appel, font écho au délit que le gouvernement tente d’intégrer dans la proposition de loi sur la sécurité globale. Les diffuser pourrait, désormais, être passible d’emprisonnement ! En muselant les défenseurs des libertés publiques, le gouvernement veut imposer un monopole policier sur le récit des opérations dites de maintien de l’ordre.

      L’invisibilisation est de longue date un élément central des politiques ignorant les droits et rejetant a priori toute revendication des exilé·es, que les gouvernements voudraient isoler dans un face-à-face à huis clos avec les forces de l’ordre. En cherchant à priver l’ensemble des mouvements sociaux du « droit à l’image », le gouvernement franchit une nouvelle étape de son projet visant à étouffer les voix dissidentes sous la pression policière. Ne le laissons pas faire. Nous ne renoncerons pas à opposer la réalité vécue par les exilé·es aux « éléments de langage » institutionnels.

      https://www.gisti.org/spip.php?article6526

  • #Police attitude, 60 ans de #maintien_de_l'ordre - Documentaire

    Ce film part d´un moment historique : en 2018-2019, après des affrontements violents entre forces de l´ordre et manifestants, pour la première fois la conception du maintien de l´ordre a fait l´objet de très fortes critiques et d´interrogations insistantes : quelle conception du maintien de l´ordre entraîne des blessures aussi mutilante ? N´y a t-il pas d´autres manières de faire ? Est-ce digne d´un État démocratique ? Et comment font les autres ? Pour répondre à ces questions, nous sommes revenus en arrière, traversant la question du maintien de l´ordre en contexte de manifestation depuis les années 60. Pas seulement en France, mais aussi chez nos voisins allemands et britanniques, qui depuis les années 2000 ont sérieusement repensé leur doctrine du maintien de l´ordre. Pendant ce temps, dans notre pays les autorités politiques et les forces de l´ordre, partageant la même confiance dans l´excellence d´un maintien de l´ordre « à la française » et dans le bien-fondé de l´armement qui lui est lié, ne jugeaient pas nécessaire de repenser la doctrine. Pire, ce faisant c´est la prétendue « doctrine » elle-même qui se voyait de plus en plus contredite par la réalité d´un maintien de l´ordre musclé qui devenait la seule réponse française aux nouveaux contestataires - lesquels certes ne rechignent pas devant la violence, et c´est le défi nouveau qui se pose au maintien de l´ordre. Que nous apprend in fine cette traversée de l´Histoire ? Les approches alternatives du maintien de l´ordre préférées chez nos voisins anglo-saxons ne sont sans doute pas infaillibles, mais elles ont le mérite de dessiner un horizon du maintien de l´ordre centré sur un rapport pacifié aux citoyens quand nous continuons, nous, à privilégier l´ordre et la Loi, quitte à admettre une quantité non négligeable de #violence.

    https://www.dailymotion.com/video/x7xhmcw


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  • #Migration_and_Asylum_Package : New Pact on Migration and Asylum documents adopted on 23 September 2020

    INTRO

    Migration has been a constant feature of human history with a profound impact on European society, its economy and its culture. With a well-managed system, migration can contribute to growth, innovation and social dynamism. Key societal challenges faced by the world today – demography, climate change, security, the global race for talent, and inequality – all have an impact on migration. Policy imperatives such as free movement in the Schengen area, safeguarding fundamental rights, ensuring security, and filling skills gaps, all call for an effective migration policy. The task facing the EU and its Member States, while continuing to address urgent needs, is to build a system that manages and normalises migration for the long term and which is fully grounded in European values and international law.

    The New Pact on Migration and Asylum offers a fresh start to address this task. The refugee crisis of 2015-2016 revealed major shortcomings, as well as the complexity of managing a situation which affects different Member States in different ways. It unearthed genuine concerns, and brought to the surface differences which need to be acknowledged and overcome. Above all, it highlighted a fundamental truth inherent in the nature of the EU: that every action has implications for others. While some Member States continue to face the challenge of external border management, others must cope with large-scale arrivals by land or sea, or overpopulated reception centres, and others still face high numbers of unauthorised movements of migrants. A new, durable European framework is needed, to manage the interdependence between Member States’ policies and decisions and to offer a proper response to the opportunities and challenges in normal times, in situations of pressure and in crisis situations: one that can provide certainty, clarity and decent conditions for the men, women and children arriving in the EU, and that can also allow Europeans to trust that migration is managed in an effective and humane way, fully in line with our values.

    The New Pact recognises that no Member State should shoulder a disproportionate responsibility and that all Member States should contribute to solidarity on a constant basis.

    It provides a comprehensive approach, bringing together policy in the areas of migration, asylum, integration and border management, recognising that the overall effectiveness depends on progress on all fronts. It creates faster, seamless migration processes and stronger governance of migration and borders policies, supported by modern IT systems and more effective agencies. It aims to reduce unsafe and irregular routes and promote sustainable and safe legal pathways for those in need of protection. It reflects the reality that most migrants come to the EU through legal channels, which should be better matched to EU labour market needs. And it will foster trust in EU policies by closing the existing implementation gap.

    This common response needs to include the EU’s relationships with third countries, as the internal and external dimensions of migration are inextricably linked: working closely with partners has a direct impact on the effectiveness of policies inside the EU. Addressing the root causes of irregular migration, combatting migrant smuggling, helping refugees residing in third countries and supporting well-managed legal migration are valuable objectives for both the EU and our partners to pursue through comprehensive, balanced and tailor-made partnerships.

    In designing the New Pact, the Commission undertook dedicated high-level and technical consultations with the European Parliament, all Member States, and a wide variety of stakeholders from civil society, social partners and business. The New Pact has been shaped by the lessons of the inter-institutional debates since the Commission proposals of 2016 to reform the Common European Asylum System. It will preserve the compromises already reached on the existing proposals and add new elements to ensure the balance needed in a common framework, bringing together all aspects of asylum and migration policy. It will close gaps between the various realities faced by different Member States and promote mutual trust by delivering results through effective implementation. Common rules are essential, but they are not enough. The interdependency of Member States also makes it indispensable to ensure full, transparent and consistent implementation on the ground.

    The New Pact on Migration and Asylum:

    ·robust and fair management of external borders, including identity, health and security checks;

    ·fair and efficient asylum rules, streamlining procedures on asylum and return;

    ·a new solidarity mechanism for situations of search and rescue, pressure and crisis;

    ·stronger foresight, crisis preparedness and response;

    ·an effective return policy and an EU-coordinated approach to returns;

    ·comprehensive governance at EU level for better management and implementation of asylum and migration policies;

    ·mutually beneficial partnerships with key third countries of origin and transit;

    ·developing sustainable legal pathways for those in need of protection and to attract talent to the EU; and

    ·supporting effective integration policies.

    https://ec.europa.eu/info/publications/migration-and-asylum-package-new-pact-migration-and-asylum-documents-adopt

    #new_pact #pacte #migrations #UE #EU #asile #migrations #réfugiés #Union_européenne #23_septembre_2020 #Dublin #règlement_dublin #fin #fin_de_Dublin #suppression

    –-

    métaliste sur le pacte :
    https://seenthis.net/messages/1019088

  • Réfugiés morts sur la route des Balkans

    En 2015, en Macédoine, un train a renversé plus de quatorze réfugiés. Parmi eux, #Mahdi_Mohebi, un jeune afghan âgé de 19 ans, qui a survécu à la catastrophe. Depuis l’accident, Mahdi n’a plus aucune nouvelle de son jeune frère Alireza. À Brême, il poursuit tant bien que mal son existence, dans une incertitude angoissante...

    D’autres familles qui ont perdu des proches dans ce drame sont en quête de réponses. Mais elles se heurtent au silence des autorités macédoniennes, peu enclines à collaborer. Leur dernier espoir : retourner sur la route des Balkans, afin de mener leur propre enquête.

    https://www.arte.tv/fr/videos/078229-004-A/arte-regards
    #migrations #asile #réfugiés #route_des_balkans #Balkans #Macédoine #accident #morts #mourir_dans_la_forteresse_européenne #cadavres #identification #attente #Croix-Rouge #mourir_sur_la_route_des_balkans

    –-> Dans le documentaire on dit que la tragédie du #23_avril_2015 a fait 14 morts.

    • Izbjeglice umiru na balkanskoj ruti

      Balkanska ruta se od 2016. godine smatra zatvorenom. Ali izbjeglice i dalje umiru pokušavajući da pređu granice - kao što je slučaj sa Ihsanudinom Gull Muhammadom.

      hsanudin Gull Muhammad stradao je u maju 2018. Njegovo tijelo su našli u rijeci Korani. Ta rijeka predstavlja granicu između Bosne i Hercegovine i članice EU - Hrvatske. Rasim Ruždić živi u blizini Korane. On ima terensko vozilo sa prikolicom, tako da ga policija uvijek pita za pomoć kada treba da se transportuje nešto sa teško pristupačnog terena. Tako je bilo i ovaj put. “Okrenuo sam auto i stavio beživotno tijelo u prikolicu. Držao sam ga za ruke. Koža mu se već počela guliti, što znači da je već nekoliko dana bio u vodi”, kaže Rasim.

      Ihsanudin Gull Mohammad imao je na sebi sivu majicu, traperice, tene, jednu bosansku marku i 30 centi gotovine, gumu za kosu i perle za molitvu safirne boje. Kada je Rasim Ruždić položio njegovo tijelo u prikolicu, vidio je da je u Ihsanudinovoj lijevoj šaci ostao tespih - čvrsto stegnut.

      Udavio se u bijegu od hrvatske granične policije?

      Okolnosti pod kojima je Ihsanudin umro nemoguće je razjasniti. Zna se da je bio u grupi i da je pokušao da pređe bosansko-hrvatsku granicu. Ruždić pretpostavlja da je grupu zaustavila hrvatska granična policija:

      “Onda su pobjegli natrag u Bosnu, ali jadni mladić se najvjerovatnije izgubio i nije znao kako da se vrati. Ušao je u duboku vodu, vjerojatno nije znao plivati i utopio se.”

      Bosna i Hercegovina godinama nije bila na takozvanoj „Balkanskoj ruti". Putevi ka zapadnoj Evropi vodili su kroz druge, susjedne zemlje. Tokom 2017. godine u BiH je došlo manje od 800 ljudi, dok je 2018. godine registrovano čak 25.000 takozvanih ilegalnih migranata. Ljudi se pokušavaju domoći neke od članica EU. Neki uspijevaju, druge hvata i vraća hrvatska granična policija.

      Migranti i izbjeglice uvijek iznova izvještavaju da im hrvatska policija ne daje šansu da podnesu zahtjev za azil, da ih ilegalno šalje nazad preko “zelene granice” i da koristi silu. Hrvatska konsekventno odbacuje ove navode. Rasim Ruždić ne vjeruje hrvatskim vlastima i ima o tome jasno mišljenje:

      “Ako želite da spriječite ljude da pređu granicu, trebali biste da ih zaustavite, ali ne morate ih ubiti.”

      Ihsanudin Gull Mohammad sahranjen je na muslimanskom groblju u Bihaću, na sjeverozapadu Bosne. Prije toga je njegovo tijelo držano mjesec dana u mrtvačnici. Bosanske vlasti nisu bile sigurne šta da rade sa lešom. Na kraju je sahranu organizovala Zemira Godinjac, koja se dobrovoljno brine o izbjeglicama u Bihaću. “Svako ljudsko biće zaslužuje minimum dostojanstva na kraju ovozemaljskog života, i ja sam, kao čovjek, u to duboko uvjerena”, kaže ova Bosanka.

      Zemira Godinjac je najprije pokušala dobiti informacije o nastradalom mladiću. Od jednog Ihsanudinovog pratioca saznaje da je mladić bio oženjen i da je imao dvoje djece. Nakon toga pokreće akciju da njegovo tijelo bude prebačeno u rodni Afganistan.

      Zemira Godinjac traži Ihsanudinove članove porodice

      To je teško, jer nema kontakta sa njegovom porodicom i jer joj nedostaju informacije o njegovom mjestu porijekla. Ali Zemira Godinjac ne odustaje i nada se da će neko već početi da traži Ihsanudina. Dodaje i da je imao jednu osobenost: šest prstiju na lijevoj ruci. Zato će, kaže, na sigurno pohraniti Ihsanudinov plavi tespih I njegovu gumu za kosu. “Sigurno je želio više od ovoga ostaviti svojoj porodici, ali tako vam je to. Njegova sudbina je bila da pronađe smiraj u Bosni. Ovo je njegov tespih a sa ovim je vjerovatno vezao kosu. Ostaviću te stvari kod sebe da ih jednoga dana mogu dati njegovoj porodici.”

      https://www.dw.com/bs/izbjeglice-umiru-na-balkanskoj-ruti/a-48052681

    • Die Story im Ersten: Tote auf der Balkanroute

      2015 überrollt ein Zug in Mazedonien 14 Flüchtlinge. In Europa ist dieses Unglück nicht einmal eine Randnotiz. Recherchen vor Ort zeigen: Die Ermittlungen wurden schnell eingestellt, nicht alle Augenzeugen befragt. Wie der 19-jährige Afghane Mahdi Mohebi aus Bremen. Er hat das Unglück überlebt. Von seinem Bruder jedoch fehlt jede Spur: Hat der Zug seinen 14-jährigen Bruder verletzt, getötet? Wenn ja, was ist mit seinen sterblichen Überresten geschehen?

      Statt aufzuklären und zu helfen, schob die mazedonische Polizei Mahdi Mahebi sofort zurück nach Griechenland: ein klarer Verstoß gegen die Europäische Menschenrechtskonvention, wie die Kritiker sagen. Informationen und Hinweise zur Identifizierung der unbekannten Toten werden von den mazedonischen Behörden bis heute zurückgehalten. Kein Einzelfall, doch kaum jemand traut sich, die Verantwortlichen anzuklagen.
      Entlang der Balkanroute sind Tote Alltag

      Anders die Eltern des sechsjährigen Mädchens Madina Hussiny. Sie starb an der kroatisch-serbischen Grenze in Folge eines „Pushbacks“, einer polizeilichen Sofort-Abschiebung. Ihre Eltern klagen an, ihre Tochter hätte nicht sterben müssen, wenn es Rechtsstaatlichkeit an der kroatischen EU-Außengrenze gegeben hätte. Die Eltern erleben dann einen weiteren Schock. Denn statt den Fall aufzuklären, versucht die Regierung in Zagreb, genau das Gegenteil zu erreichen.

      Fast überall entlang der Balkanroute sind Tote Alltag: Menschen, die erfrieren, die vor Erschöpfung zusammenbrechen, die Opfer von Gewaltverbrechen werden. Genaue Zahlen gibt es nicht, nirgendwo in Europa eine Stelle, die Zahlen fortlaufend zusammenträgt und jeden Fall prüft.
      Behörden und Politik fühlen sich nicht zuständig

      In Deutschland leben mehrere Flüchtlingsfamilien, die ihre Angehörigen vermissen und annehmen müssen, dass sie auf der Balkanroute ums Leben gekommen sind. Es sind Familien, die 2015 über diesen beschwerlichen Weg nach Deutschland gekommen sind. Nach ihrer Ankunft wenden sie sich an die deutsche Polizei, berichten dem BAMF, dass es von ihren Verwandten auf der Balkanroute kein Lebenszeichen mehr gibt. Hilfe jedoch bekommen sie nicht.

      Weder Behörden noch Politik in Deutschland fühlen sich zuständig. Der Suchdienst des Deutschen Roten Kreuzes ist zwar bereit zu helfen, ist jedoch auf eine Kooperation der Behörden im In- und Ausland angewiesen. Die aber gibt es nur selten. Ist die Notlage von in Deutschland lebenden Flüchtlingsfamilien also einfach egal?
      Leidvolles Bangen um das Schicksal von Angehörigen

      Der Film belegt: Es wird so gut wie gar nicht hingeschaut, wenn Flüchtlinge in Deutschland sich seit Jahren mit der Ungewissheit um den Verbleib ihrer Familienmitglieder quälen. Einige halten das leidvolle Warten nicht mehr aus: Sie wollen zurück auf die Balkanroute, um ihre Kinder und Geschwister zu finden.

      „Die Story im Ersten“ hat sie auf ihrer Spurensuche begleitet und die Behörden vor Ort konfrontiert. Werden die Angehörigen Antworten auf ihre drängendste Frage finden: Was geschah mit ihren Familienmitgliedern?

      Der Film zeigt auf, welchen Stellenwert Rechtsstaatlichkeit und Menschenwürde einnehmen, wenn es um den Umgang mit toten Geflüchteten und ihren Angehörigen geht.


      https://www.daserste.de/information/reportage-dokumentation/dokus/sendung/tote-auf-der-balkanroute-100.html

  • #Gap (05) : Mobilisation de soutien contre l’expulsion du Chum de #Veynes
    https://fr.squat.net/2018/03/08/gap-05-mobilisation-de-soutien-contre-lexpulsion-du-chum-de-veynes

    Depuis le 9 septembre 2017, le centre d’Hébergement d’Urgence de Mineurs Exilés (Chum) de Veynes a accueilli plus d’une centaine de jeunes arrivant de la frontière italienne, car ni le Conseil Départemental ni l’État n’ont eu la volonté de mettre en place des dispositifs d’hébergement suffisants, pourtant de leur responsabilité ! Face à ces lamentables moyens […]

    #23_avenue_des_Martyrs #procès #rassemblement #sans-papiers

  • The Doyenne of DNA Says : Just Chillax With Your Ex - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2017/11/18/style/anne-wojcicki-23andme-genetics.html

    Alors comme ça, les pages people ne sont plus pour les têtes couronnées, ou pour les vedettes du show biz... mais les tycoons de la Silicon Valley. Bon, c’est la page people du NYT, évidemment. Mais c’est significatif.

    Il faudra aussi se rappeler ce que veut dire « aristocratie » en Californie à l’ère des start-ups et des licornes. Les mariages ont toujours été des manières de lier les familles de pouvoir. Mais la nouvelle définition des liens aristocratiques vient certainement de la manière de se comporter quand le mariage s’éteint. Quand le maintien des statuts devient l’enjeu majeur et doit par pure distinction effacer les douleurs et les sentiments d’abandon.

    Like others in Silicon Valley obsessed with living forever, she takes the long view: “If we’re going to live to 150 years, the reality that you’re going to be with one person for 100 years is low. And so you have to find a way that we can have relationships with people and preserve what’s positive.”

    She says she wants to be a model for how to deal with controversy and disappointment to her son and daughter.

    “I get really sad when I meet people who have conflict in their family,” she says. “Like people who hate their parents or don’t like a sibling or have an acrimonious divorce. Life is just too short.”

    Et comme toujours, le mode de vie des aristocrates et des célébrités devient le modèle pour tous les autres. Peut être même de bons modèles, une fois que l’on met de côté les valuers de pouvoir qui s’y cachent.

    Ms. Wojcicki admits that next time, “I’d really love to date someone who’s really simple and not famous. My life is already pretty complicated.”

    I ask her if Harvey Weinstein, an early investor, is still involved.

    “Once an investor, always an investor. It’s like ‘Hotel California,’” she says. “He has always been supportive of the company and of me, but he clearly has behavior that you can’t possibly condone. You recognize that people can have two different worlds. So it’s disappointing.”

    She said that her best mentors have been Arianna Huffington and Diane von Furstenberg. “They are the two people who are just like, ‘I want to support women. I want to support you doing awesome things. I believe in you. You can do it.’”

    #Presse_people #Médias #Anne_Vojcicki #23_and_me #Silicon_Valley #Aristocratie #Serguey_Brin

  • A Paris, le #23_juin, la police en mode expédition punitive
    https://www.mediapart.fr/journal/france/050716/paris-le-23-juin-la-police-en-mode-expedition-punitive

    Le soir du 23 juin, après la « casse » des vitres du siège de la CFDT, plusieurs unités de police – Compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI) et CRS – se sont lancées à la poursuite d’une manifestation sauvage dans le Xe arrondissement. Neuf personnes ont été interpellées, et trois d’entre elles, dont un passant, ont subi des violences injustifiées et des mauvais traitements.

    #France #manifestation_loi_travail #violences_policières

  • Comment #François_Hollande a changé d’avis
    https://www.mediapart.fr/journal/france/220616/comment-francois-hollande-change-d-avis

    Après avoir annoncé l’interdiction de la #manifestation parisienne contre la #loi_sur_le_travail jeudi, François Hollande et son gouvernement ont finalement trouvé un compromis avec FO et la CGT pour un parcours très réduit. L’épisode révèle une nouvelle fois les vives tensions au sein de la majorité.

    #France #23_juin #Bernard_Cazeneuve #jean-claude_mailly #Manuel_Valls #Philippe_Martinez #syndicats

  • Comment #François_Hollande a changé d’avis
    https://www.mediapart.fr/journal/france/220616/comment-francois-hollande-change-davis

    Après avoir annoncé l’interdiction de la #manifestation parisienne contre la #loi_sur_le_travail jeudi, François Hollande et son gouvernement ont finalement trouvé un compromis avec FO et la CGT pour un parcours très réduit. L’épisode révèle une nouvelle fois les vives tensions au sein de la majorité.

    #France #23_juin #Bernard_Cazeneuve #jean-claude_mailly #Manuel_Valls #Philippe_Martinez #syndicats

  • Suite aux succès des interdictions de manifester, le #gouvernement les multiplie à l’infini
    https://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2016/06/21/suite-aux-succes-des-interdictions-de-manifester-le-gouv

    Comme les 130 interdictions de manifester n’ont pas découragé des centaines de milliers de personnes de défiler contre la loi travail, de s’en prendre aux banques, assurances et autres commerces, de ne pas se laisser tabasser, gazer, nasser par la … Continue reading →

    #ANTICAPITALISME #23_juin #interdiction #interdit #liberticide #manif #manifestation

  • « Emeutia érotika » et autres textes - Érotisme, littérature et politique, Zones subversives
    http://www.zones-subversives.com/2015/05/erotisme-litterature-et-politique.html

    La contestation politique doit s’appuyer sur les plaisirs de la vie. #Lilith_Jaywalker propose des récits érotiques qui alimentent également une réflexion #politique sur l’amour et le plaisir sensuel. Sa #litterature permet de renouveller le #feminisme à travers une critique des normes et des contraintes sociales. Mais Lilith Jaywalker s’inscrit surtout dans une demarche révolutionnaire pour inventer une nouvelle société fondée sur le plaisir et la jouissance.

     
    (...)
    L’#érotisme devient une forme de #résistance dans un contexte de pacification sociale. Mais la jouissance ne remplace pas l’#action_révolutionnaire. Au contraire, les deux semblent liés. « Non pas que je pense que l’un soit exclusif de l’autre, car qui m’aura lu aura compris que je place la jouissance au cœur même de l’émeute, mais dans les temps morts de paix sociale, l’érotisme conserve son pouvoir subversif », précise Lilith Jaywalker. En 1997, la Bibliothèque des émeutes rapproche également le fait émeutier du sentiment amoureux. « L’explosion du départ, où se brisent les barrières des comportements courants, où se culbutent la liberté et la responsabilité, où détruire devient construire, en est le clairon », indique le texte insurrectionaliste. L’#amour et la #révolte permettent de briser la monotonie du quotidien pour s’enthousiasmer pour des sensations nouvelles, avec le désir que le changement s’éternise.

    La nouvelle « Emeutia erotika » se situe le #23_mars_1979 au cours de la grande #manifestation des sidérurgistes à Paris. Les ouvriers qui voient leur monde s’effondrer n’hésitent pas à affronter la police. Cette lutte des sidérurgistes reste mythique. La CFDT issue des années 1968 préconise des actions violentes comme des occupations et même des attaques de commissariat [enfin, ça c’est à Longwy, pas à la conf’]. La CGT délaisse un moment son stalinisme pour laisser place à l’expérience d’une #radio pirate : Lorraine Cœur d’Acier. Le 23 mars, la manifestation devient une véritable insurrection ouvrière. L’émeute ne s’inscrit pas dans une optique de revendication syndicaliste mais permet une ouverture des possibles et des rencontres, y compris érotiques.

     

    Lilith Jaywalker revient sur ce contexte de la manifestation du 23 mars et de l’#autonomie désirante. « Tout était prétexte à faire dégénérer les cortèges, des rassemblements plan-plan, ou encore des concerts payants », décrit Lilith Jaywalker. Le 23 mars réunit la fraction la plus révoltée de la classe ouvrière et la jeunesse émeutière, deux composantes du prolétariat que les bureaucraties syndicales tentent de séparer et d’opposer.

  • #Perturbations #trafic #sncf grandes lignes le #23_mai #2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-23-mai-2014

    Des suppressions de #trains et des modifications d’horaires sont à prévoir, pour plusieurs #Intercités de nuit de la ligne Paris Austerlitz-Nice et Paris Austerlitz-Briançon, au mois de mai 2014. Des #travaux importants sont réalisés dans ce secteur...Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes le 23 mai 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #Elipsos #greve #lunea #retards #Teoz #TGV

  • #Perturbations #trafic #sncf grandes lignes le #23_avril #2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-23-avril-2014

    Travaux sur les voies plus longs que prévu entre Nantes et Angers. Le trafic est totalement interrompu entre ces deux villes afin de permettre l’intervention des équipes de maintenance. Des #travaux sont prévus...Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes le 23 avril 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #Elipsos #greve #Intercités #lunea #retards #Teoz #TGV #trains

  • #Perturbations #trafic #sncf grandes lignes le 24 mars #2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-24-mars-2014

    En raison d’un mouvement de grève, le trafic des TER sera perturbé le Lundi 24 Mars sur les lignes : - Tours > Château-du-Loir > Le Mans - Paris > Chartres > Le Mans...Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes le 24 mars 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #23_mars #Elipsos #greve #Intercités #lunea #retards #Teoz #TGV #trains #travaux

  • #Perturbations #trafic #sncf grandes lignes le #23_janvier #2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-23-janvier-2014

    Prévision : Trafic interrompu entre Libourne et Bordeaux les 1er et 2 février 2014. En raison d’importants #travaux au nord de Bordeaux, aucun #TGV ne circulera entre Libourne et Bordeaux, du samedi ...Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes le 23 janvier 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #Elipsos #greve #Intercités #lunea #retards #Teoz #trains

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien les 23-24 novembre #2013
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-les-23-24-novembre-

    RER D : Des travaux de maintenance sur les voies modifient la circulation des #trains sur la ligne D du #RER - axes Melun / Paris Gare de Lyon via Corbeil Essonnes jusqu’au samedi 14 décembre 2013...Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien les 23-24 novembre 2013 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #23_novembre #banlieue #bus #lignes #metro #Tramway

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien le #23_octobre #2013
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-23-octobre-2013

    #RER D : Des travaux de maintenance modifient la circulation des #trains sur la ligne D du RER, axe Paris Gare de Lyon -La Ferté Alais, les matins jusqu’au vendredi 25 octobre 2013.Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien le 23 octobre 2013 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #banlieue #bus #lignes #metro #Tramway

  • #Perturbations #trafic #sncf grandes lignes le #23_octobre #2013
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-23-octobre-2013

    La circulation a désormais repris sur les deux voies, comptez cependant 10 à 15 minutes d’allongement de temps de parcours pour les #TGV dans le sens Paris / Province.Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes le 23 octobre 2013 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #Elipsos #greve #Intercités #lunea #retards #Teoz #trains #travaux

  • #Perturbations #trafic #sncf grandes lignes le #23_septembre #2013
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-23-septembre-2013

    Modernisation du tunnel de Monte-Carlo du 30/09/13 au 30/03/14. La circulation des #trains sera modifiée entre Nice et Menton du lundi 30 septembre 2013 au 30 mars 2014 en raison de #travaux ...Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes le 23 septembre 2013 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #Elipsos #greve #Intercités #lunea #retards #Teoz #TGV

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien le #23_septembre #2013
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-23-septembre-2013

    Prévision Transilien J : Des travaux sur la RD1 (route départementale) modifient la circulation des #trains sur la ligne J - axe Paris Saint-Lazare - Mantes la Jolie via Poissy - les samedi 12...Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien le 23 septembre 2013 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #banlieue #bus #lignes #metro #RER #Tramway

  • #Perturbations #trafic #sncf grandes lignes le 23 août #2013
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-le-23-aout-2013

    Les circulations des #TGV reliant Paris et la Vallée du Rhône sont modifiées en août et en septembre, en raison de #travaux à Pierrelatte, dans la Drôme. Les #trains concernés sont les TGV 6191...Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes le 23 août 2013 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #23_aout #Elipsos #greve #Intercités #lunea #retards #Teoz