• L’entrée au Parlement européen du parti espagnol Podemos

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Podemos_%28Espagne%29

    L’initiative citoyenne Podemos, lancée publiquement le 17 janvier 2014 à l’initiative du professeur de Sciences politiques et présentateur de télévision Pablo Iglesias Turrión, d’un groupe d’enseignants réuni autour de lui et d’Izquierda Anticapitalista, s’est enregistrée comme parti politique le 11 mars 2014 avec comme objectif immédiat de présenter une liste aux élections européennes. Dans ces élections ils ont obtenu cinq sièges, en finissant comme 4eme force en Espagne.

    Avec Podemos, les Indignados font leur entrée au Parlement européen
    http://www.slate.fr/monde/87607/podemos-espagne-europeennes

    En mai 2011, le mouvement des Indignados naissait en Espagne.

    Trois ans plus tard, le parti qui en est issu, Podemos (Nous Pouvons, en français) envoie cinq députés au Parlement Européen. Dans un article publié une semaine avant l’élection, Le Monde s’était penché sur le parti et avait évoqué son programme (...)

    Elections européennes : Le « projet politique en construction » de Podemos dans l’Etat espagnol
    http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article31824

    Notre programme a été construit en deux étapes, avec la participation ouverte de toutEs : l’une « virtuelle » et l’autre « physique ». Le résultat de ce processus a été l’adoption d’un programme influencé à la fois par les idées nées du mouvement des IndignéEs (15M), la fin des politiques néolibérales et la radicalité démocratique.

    Dans ce sens, je considère que les deux principales revendications de notre programme sont l’ audit public de la dette et l’ouverture d’un processus constituant .

    Comment se structure Podemos ?

    Nous avons plus de 300 « circulos » : ce sont des lieux ouverts qui nous permettent l’exercice d’un pouvoir populaire collectif, où l’on n’exige pas d’appartenances politiques bien définies ,où l’on ne demande à personne d’abandonner ses choix et engagements politiques où sociaux, et où nous participons à égalité avec les personnes n’ayant aucune appartenance politique.

    Podemos et le besoin d’un renouvellement politique
    http://alencontre.org/europe/espagne/espagne-podemos-et-le-besoin-dun-renouvellement-politique.html

    Le projet progressera s’il est capable de proposer des mesures pratiques facilitant la participation démocratique de la société face à une Union européenne peu démocratique et très éloignée des peuples, mais également face au système corrompu du bipartisme qui s’appuie sur une Constitution espagnole qui entrave l’exercice d’une série de droits fondamentaux et qui impose la monarchie. Enfin, il faut souligner que le projet ira de l’avant s’il réussit à devenir une organisation très différente des partis conventionnels, où la figure du leader remplace la voix des membres, où la hiérarchisation empêche la participation et où le « sommet » obstrue la prise de décision démocratique.

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    #Podemos #15m #espagne #démocratie #élections_européennes #25mai2014 #Europe #Assemblée_constituante #audit_public_de_la_dette

    • Este es un momento en el que el bipartidismo tiene miedo. Es un modelo caduco y defiende el mismo proyecto político. El bipartidismo es una forma de organizar el poder que garantiza que aquellos que no se presentan a las elecciones nos estén gobernando. Y esos que no se presentan son el poder económico y la oligarquía financiera: Repsol, Iberdrola, Banco Santander, BBVA...

      Esto que se produce a través del bipartidismo se está empezando a destapar. Se está empezando a ver que hay unos hombres con corbata sentados en los consejos de administración que son quienes están manejando los hilos.
      (…)
      Mientras, por otro lado, se oculta mediáticamente al verdadero agente corruptor, que es el poder económico. Nosotros tenemos que salir de este teatro señalando al responsable de la crisis, porque al final, lo importante es qué proyecto de país están planteando el PP y el PSOE. Y ellos están planteando una salida neoliberal a esta crisis que busca recomponer el mapa político. Por eso es importante señalar que los dos partidos trabajan al servicio de la banca.
      (…)
      Porque, como decía al principio, se inicia un ciclo electoral más amplio. Y cuando miras a lo que está pasando en Alemania, con la gran coalición entre la CDU y los socialdemócratas, es como tener una bola del futuro en la que podemos ver lo que puede pasar en España. Estamos asistiendo a la preparación de un pacto. Están abonando el terreno para un gran pacto entre PP y PSOE después de las Generales. Esto demuestra que el proyecto de la socialdemocracia, del capitalismo del rostro humano, es un proyecto fracasado.