[Radio Marie-Christine] #rmc Live #42
▻https://www.radiopanik.org/emissions/radio-marie-christine/rmc-live-42
Coming soon
#rmc
[Radio Marie-Christine] #rmc Live #42
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Coming soon
#rmc
#L'espace_d'un_instant #42 : De Gogankhat au Bangladesh à Genikan en Indonésie
▻http://liminaire.fr/entre-les-lignes/article/l-espace-d-un-instant-42
« La grande révélation n’était jamais arrivée. En fait, la grande révélation n’arrivait peut-être jamais. C’était plutôt de petits miracles quotidiens, des illuminations, allumettes craquées à l’improviste dans le noir ; en voici une. » Vers le phare, Virginia Woolf (...)
#Entre_les_lignes / #Écriture, #Poésie, #Récit, #Voix, #Sons, L’espace d’un instant, Fenêtre, #Quotidien, #Dérive, #Regard, #Sensation, #Voyage
L’hebd’Eau #42 du 17 mai 2021
▻https://reseaux.parisnanterre.fr/lhebdeau-42-du-17-mai-2021
La lettre de diffusion de l’association Réseau d’études en sciences sociales sur l’eau (Rés-EAUx) La vie du Rés-EAUx Exposition photographique « Regards de pêche » En raison du contexte sanitaire, les photographies de l’exposition « Regards de pêche » vous sont présentées en ligne, … Lire la suite
Je fais partie de celles et ceux qui ont adoré le vent de fraîcheur intelligente apportée par #Siné_Madame. Malheureusement, il y a un an, l’aventure se terminait avec ce numéro 6.
Excellent numéro, il comportait un dossier intitulé « 500 millions de complexes, et moi et moi et moi », qui listait des #complexes ressentis par des #femmes, la douleur qu’ils entraînent, mais aussi la responsabilité de celles et ceux (surtout ceux) qui les déclenchent...
Du coup, j’ai scanné ces quatre pages (4 à 7), et les voici :
ELO#420 - Complexées
Dror, Entre Les Oreilles, le 4 novembre 2020
▻https://entrelesoreilles.blogspot.com/2020/11/elo420-complexees.html
Épisode #42 | Minuit décousu
▻https://audioblog.arteradio.com/blog/139527/podcast/154382/episode-42
Le doc : Action violente et féminisme au Vénézuela Récits militants : La bataille de Cable Street La fiction : Anorexia. Durée : 1h08. Source : Radio Canut
▻https://sons-audioblogs.arte.tv/audioblogs/v2/sons/139527/154382/podcast_154382_oVl8m.mp3
For Math Fans: A Hitchhiker’s Guide to the Number 42 - Scientific American
▻https://www.scientificamerican.com/article/for-math-fans-a-hitchhikers-guide-to-the-number-42
Everyone loves unsolved mysteries. Examples include Amelia Earhart’s disappearance over the Pacific in 1937 and the daring escape of inmates Frank Morris and John and Clarence Anglin from Alcatraz Island in California in 1962. Moreover our interest holds even if the mystery is based on a joke. Take author Douglas Adams’s popular 1979 science-fiction novel The Hitchhiker’s Guide to the Galaxy, the first in a series of five. Toward the end of the book, the supercomputer Deep Thought reveals that the answer to the “Great Question” of “Life, the Universe and Everything” is “forty-two.”
Deep Thought takes 7.5 million years to calculate the answer to the ultimate question. The characters tasked with getting that answer are disappointed because it is not very useful. Yet, as the computer points out, the question itself was vaguely formulated. To find the correct statement of the query whose answer is 42, the computer will have to build a new version of itself. That, too, will take time. The new version of the computer is Earth. To find out what happens next, you’ll have to read Adams’s books.
The author’s choice of the number 42 has become a fixture of geek culture. It’s at the origin of a multitude of jokes and winks exchanged between initiates. If, for example, you ask your search engine variations of the question “What is the answer to everything?” it will most likely answer “42.” Try it in French or German. You’ll often get the same answer whether you use Google, Qwant, Wolfram Alpha (which specializes in calculating mathematical problems) or the chat bot Web app Cleverbot.
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Since the first such school was created in France in 2013 there has been a proliferation of private computer-training institutions in the “42 Network,” whose name is a clear allusion to Adams’s novels. Today the founding company counts more than 15 campuses in its global network. The number 42 also appears in different forms in the film Spider-Man: Into the Spider-Verse. Many other references and allusions to it can be found, for example, in the Wikipedia entry for “42 (number).”
The number 42 also turns up in a whole string of curious coincidences whose significance is probably not worth the effort to figure out. For example:
In ancient Egyptian mythology, during the judgment of souls, the dead had to declare before 42 judges that they had not committed any of 42 sins.
The marathon distance of 42.195 kilometers corresponds to the legend of how far the ancient Greek messenger Pheidippides traveled between Marathon and Athens to announce victory over the Persians in 490 B.C. (The fact that the kilometer had not yet been defined at that time only makes the connection all the more astonishing.)
Ancient Tibet had 42 rulers. Nyatri Tsenpo, who reigned around 127 B.C., was the first. And Langdarma, who ruled from 836 to 842 A.D. (i.e., the 42nd year of the ninth century), was the last.
An obvious question, which indeed has been asked, is whether the use of 42 in Adams’s books had any particular meaning for the author. His answer, posted in the online discussion group alt.fan.douglas-adams, was succinct: “It was a joke. It had to be a number, an ordinary, smallish number, and I chose that one. Binary representations, base thirteen, Tibetan monks are all complete nonsense. I sat at my desk, stared into the garden and thought ‘42 will do.’ I typed it out. End of story.”
Les secrets du nombre 42 (Jean-Paul Delahaye, Pour la Science, 27.01.20)
▻https://www.pourlascience.fr/sd/mathematiques/les-secrets-du-nombre-42-18744.php
Comment un nombre parfaitement banal a attiré l’attention des amateurs de science-fiction, des geeks... puis des mathématiciens.
#42
[Radio PANdemIK] Radio PANdemIK #42
▻http://www.radiopanik.org/emissions/radio-pandemik/radio-pandemik-42
Extrait Gilles Delheuze ’Qu’est-ce que c’est la mort ? Spinoza : immortalité et éternité’
Fieldrecording Cloches d’enterrement à Antraigues-sur-Volane, France par Flavien Gillié - 30 juillet 2017- 2’30
Fleurs de funérailles - lectures de son poème ’Toucher’ par Perrine Estienne - 2’
Jingle Pandemik par Claé
’Nous sommes tous morts’, lecture & mise en musique d’un texte de Jean-Luc Coudray, illustré par Lewis Trondheim. Editions l’Association, collection Patte de Mouche.
Lecture & musique Madame Patate pour Radio Panik - 4’33
Brigitte Fontaine - ’Dommage que tu sois mort’ - 2’26
« Tracas de trépas, tracas d’outre tombe », lecture par Yamina d’un extrait du Balainié, Vol 3 - Dictionnaire des tracas (ed. Seuil) sur musique « Ambient 1 » de Pantree Owllecture - 2’30
Témoignage de (...)
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/radio-pandemik/radio-pandemik-42_08969__1.mp3
Mathilde #Larrère : « De tout temps, la #révolte_populaire s’est heurtée au #mépris des élites »
▻https://reporterre.net/Mathilde-Larrere-De-tout-temps-la-revolte-populaire-s-est-heurtee-au-mep
#gilets_jaunes
Les Gilets jaunes s’inscrivent ainsi dans cette lignée de mouvements interclassistes, pas uniquement ouvriers, qui s’élèvent contre une situation de vie chère vécue comme injuste. Au XVIIIe siècle, la plupart des émeutes prérévolutionnaires avaient cette motivation : contre la faim, contre l’impôt injuste. Au XIXe siècle également, il y a eu de très nombreuses révoltes populaires dénonçant les inégalités.Deuxième continuité, dans toutes les périodes, la révolte s’est heurtée au discours de mépris social des élites. Le recours notamment au terme de « jacqueries » pour déconsidérer un mouvement. Les dominants refusent de reconnaître la capacité de politisation des acteurs révoltés. De la Révolution française jusqu’à nos jours, c’est le propre des pouvoirs libéraux que de nier cette question sociale… qui finit par s’imposer par la force, faute d’être entendue.
Même si le contexte diffère, la question sociale s’invite régulièrement dans l’Histoire. Alors que le discours dominant ne pose les problèmes que de manière gestionnaire, économique, ce qui monte, c’est le social. Comment on vit, comment on s’en sort. Avec les Gilets jaunes, ce n’est pas tant la question écologique que l’injustice sociale qui a éveillé la colère. J’ai vu un tag qui disait : « L’écologie c’est la guerre aux pauvres ». Dans un monde néolibéral, quand les mesures sont injustement réparties, c’est vrai.
Dans une interview au journal « Libération », l’historien Gérard Noiriel parle de l’aveuglement social de l’élite : « Pour Macron, les classes populaires n’existent pas », explique-t-il. Qu’en pensez-vous ?
Je suis d’accord. Tout se passe comme si le gouvernement avait oublié que des gens vivaient dans des situations difficiles et précaires. C’est lié à un problème de représentativité du monde politique : il n’y a presque plus de députés issus des classes populaires. Mais c’est aussi dû au fait que les classes populaires ne font plus peur. Or, on est obligé de faire attention à ceux qui nous font peur. Au XIXe siècle, il y avait un mépris social réel, avec les mêmes procédés de délégitimation. Mais la peur sociale faisait qu’on ne pouvait pas nier leur existence. Avec les émeutes des derniers week-ends, le pouvoir commence à avoir peur, et cela peut changer la donne.
Mathilde Larrère est maître de conférence en histoire contemporaine, spécialiste de la citoyenneté, des révolutions, et du maintien de l’ordre.
L’Appel des Gilets Jaunes de Commercy à des assemblées populaires partout en France !
structuration des revendications ?
▻https://www.facebook.com/136071526429368/photos/a.264526440250542/1958363590866810/?type=3&eid=ARAQGmkuKapqP7hbf4DroFM91J9NapWjQIRibtGUasTWI5HOox3RBdbXvGk_no
source ???
Zéro SDF, retraites, salaire maximum... Découvrez la liste des #revendications des #gilets_jaunes
►https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/zero-sdf-retraites-superieures-a-1-200-euros-salaire-maximum-a-15-000-e
mais malheuresement bcp d’autre choses bcp moins bien là dedans...
▻https://www.lejdd.fr/Politique/verbatim-voici-toutes-les-revendications-des-gilets-jaunes-3809783
#cohérence... #consensus #atomisation #convergeance ?
#Les_Lilas (93) : la préfecture expulse, le #Collectif_Baras continue à lutter !
▻https://fr.squat.net/2018/08/24/les-lilas-93-la-prefecture-expulse-le-collectif-baras-continue-a-lutter
LA PREFECTURE NOUS EXPULSE LE COLLECTIF BARAS CONTINUE À LUTTER ! Nous sommes environ 150 migrants originaires d’Afrique de l’Ouest et Centrale, rassemblés dans le collectif Baras. Depuis de nombreuses années, nous vivions en Libye : la guerre de 2011 nous a forcés à en partir. Aujourd’hui nous sommes en France pour vivre tranquillement et […]
#42_rue_des_Bruyères #Bagnolet #expulsion #rassemblement #sans-papiers #Seine-Saint-Denis
Votre recherche - #mai_1968 #affiches : #429 résultats - #Gallica
▻http://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&query=%28gallica+all%20%22mai%2
source : #larueourien
Au sujet de l’école 42 et de la publicité dont elle bénéficie
▻http://binaire.blog.lemonde.fr/2017/11/09/au-sujet-de-lecole-42-et-de-la-publicite-dont-elle-beneficie
(...) on oppose la modernité de l’école 42 aux pratiques supposées archaïques des universités, et où l’on vante l’enseignement privé. Pour ma part, j’ai un raisonnement simple : enseigner à une infime minorité sélectionnée est facile. La question difficile est celle de l’enseignement de masse, surtout si celui-ci doit déboucher sur des emplois (il me semble d’ailleurs que les diplômés d’informatique des universités n’ont en général aucun problème pour trouver un emploi). Pourquoi faut-il encore et encore rappeler pareilles évidences ?
#Les_Lilas (93) : occupation d’un nouveau lieu par le #Collectif_Baras
▻https://fr.squat.net/2017/08/16/les-lilas-93-occupation-dun-nouveau-lieu-par-le-collectif-baras
Expulsé fin juin, le collectif Baras occupe depuis dimanche 13 août l’ancienne blanchisserie RLD aux Lilas. Faute de volonté politique d’appliquer la loi de réquisition des bâtiments vides et faute de proposition concrète d’hébergement même provisoire, les membres du collectif Baras expulsés de leur maison au 72 rue René Alazard à Bagnolet ont dû dormir […]
#42_rue_des_Bruyères #ouverture #sans-papiers #Seine-Saint-Denis
Il lance 42 aussi à Fremont, Californie depuis juillet 2016 avec une capacité de 2048 étudiants.
Xavier Niel explains 42: the coding university without teachers, books, or tuition
▻http://venturebeat.com/2016/06/16/xavier-niel-explains-42-the-coding-university-without-teachers-books-or
VB: What were the reactions in the United States, given that the costs of studying there are more important than in France?
Niel: What’s crazy is that we have young folks at the 42 school of Paris coming from California. They came all this way because they couldn’t afford to study in the United States, and therefore came to France because of the free education and all the other things we put together in order to help them. We managed to give them a chance to study. The reaction was therefore very positive.
[...]
VB: How do students get into 42?
Niel: We don’t ask anything when you want to join: We only ask for a name, a last name, and a birthdate. The candidates have to be between 18 and 30. That’s all.
[...]
VB: Was placing a former student from 42 Paris at the new 42 school in Fremont a coincidence or intentional?
Niel: It’s a type of auto-management. That’s what rules our school, meaning that the best students help with its internal functioning. All students from our school develop huge computer systems, manage them internally etc. We systematically ask our top students to help us.
J – 156 : Dans la vie il y a des moments de grâce, avec l’âge, je me rends compte que c’est une bonne idée d’en prendre note, simple note, de le noter pour soi, pas nécessairement de l’écrire, mais au moins de s’en souvenir, comme de proposer à Adèle en ce dimanche après-midi au froid qui commence à piquer un peu, si, des fois, elle n’accompagnerait pas son vieux père encourager ses copains du rugby. Et nous voilà, elle serrée contre moi de froid, s’égosillant, Vincennes, Clac-clac-clac, Vincennes Clac-clac-clac , fort amusée quand je lui explique comment notre neuf est en train de chambrer les gros d’en face, interdite de voir un joueur resté à terre et auquel on donne un coup de bombe de froid dans le short ben oui Adèle je crois qu’il craint pour son intégrité physique, cramoisie de plaisir coupable en entendant certaines obscénités des supporteurs de Vincennes et les réponses des types d’en face et intriguée quand je lui explique la raison pour laquelle, malheureusement l’essai en contre de notre demi d’ouverture ne comptera pas, il y avait un en avant au départ de l’action lequel avait été dûment signalé par l’arbitre par un bras tendu au moment de la faute. Et puis il y a une échauffourée entre notre Léo et le huit d’en face, et alors on entend Adèle s’égosiller de sa petite voix de fille douze ans : le huit on sait où t’habites ! Crise de rire collective dans la tribune, dans la tribune des supporters d’en face et même sur le terrain, poignée de mains entre les impétrants, c’est aussi cela le rugby, le vrai, le rugby d’amateurs, d’amateurs qui s’empoignent, qui font tomber des ballons, qui commettent des en-avant, qui s’envoient, qui boitent bas en quittant le terrain sous les encouragements, qui se serrent la main à la fin du match et qu’on embrasse le long de la main courante quand ils regagnent le vestiaire, rompus, courbatus, parfois vaincus, crottus et fourbus.
Et d’y emmener sa fille lui expliquer les finesses du jeu, la règle du hors-jeu dans les regroupements, tout cela par un vrai froid automnal qui pique un peu, oui, de tels éclats, les garder pour soi, pour les jours où c’est à l’intérieur de soi qu’il fait froid.
Exercice #42 de Henry Carroll : Transformez la forme en rythme
▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/surnatural_orchestra_ffff.mp3
J-157 : Ah !, revoir, et réécouter le Surnat’ dans un concert normal, être au premier rang, prendre des photographies des solistes en contreplongée ( ▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/images/surnat20161126/index.htm ), c’est presque une seconde jeunesse qui m’était donnée samedi soir à la Marbrerie . J’en étais presque à remarquer que telle ou telle jeune femme à mes côtés étaient fort mignonnes, avant de me souvenir, rapidement, qu’elles avaient au mieux vingt ans de moins que moi, c’était presque cruel, pour les voir, l’instant d’après, attendri comme un grand-père, dans les bras de jeunes gens qui avaient l’air plutôt sympa. Pour couronner ce parcours d’ancien combattant, tandis que je claudiquais vers la sortie, un couple de jeunes gens me laissant le haut du pavé, comme on dit, et que je remerciais poliment, merci les jeunes , m’ont gratifié d’un, vous avez une bonne tête Monsieur , bref je suis un Grand-Père encore vert qui continue d’aller au concert même si ce dernier se termine bien au-delà de minuit, pas encore avalé ma tisane. Et j’entendais bien dans ce compliment, un peu cavalier tout de même, qu’il y avait du c’est pas mon père qui viendrait au concert du Surnat’ un samedi soir. D’ailleurs c’est plutôt marrant parce qu’aux tout débuts du Surnat’ , c’était souvent que j’emmenais Madeleine, petite, écouter son parrain de tromboniste cross-dresser, encore toute enfant, elle s’endormait souvent sur le bord de la scène, à l’époque le Surnat’ jouait sans retours de scène, sans bains de pied, et les solistes étaient parfois contraints d’enjamber ce petit corps endormi pour prendre le devant de scène et jouer leur chorus. À la fin du concert je récupérais le petit corps tout ensuqué, que je portais jusqu’à la voiture, que je logeais dans sa capsule de cosmonaute à l’arrière de la voiture, puis, arrivés à la maison que je portais, toute habillée jusqu’à son lit, et pas de souvenir plus doux de l’enfance des enfants que de tels soirs, ou d’autres encore. Alors, oui, merci pour le compliment, même si c’est un peu la première fois que l’on me dit que j’ai une bonne tête, une première vraiment, une bonne tête de vieux, encore vert.
Ils étaient plutôt en forme le Surnat’ , hyper en place sur le premier morceau, disciplinés presque, cut sur les relances et même que depuis le premier rang, juste au-dessus des bains de pied, ça brassait pas mal. Surtout ils paraissaient plus concentrés sur la musique, il faut dire aussi, cela ne doit pas être facile-facile de jouer du soubassophone en équilibre sur une bouteille de gaz.
Du coup j’aurais voulu maudire un peu cette jeunesse - ça y est je redeviens moi-même, un vieux réactionnaire - mais pas qu’elle, disons, plutôt, cette façon contemporaine d’être au monde, incapable de lâcher téléphones de poche et autres expédients connectés, incapable surtout d’interrompre ses discussions, souvent de peu de choses, pour ce que je pouvais en juger, vieux encore vert, mais déjà un peu raidi et guindé, et tout simplement, écouter, sans un mot, cette musique, remettre à plus tard rumeurs et ragots et écouter, refuser, en un sens, que la musique soit un bruit de fond. Et donc, pour les vieux, dont je suis, qui ne font qu’une seule chose à la fois, au concert, ils écoutent de la musique, le bruit de fond c’est une rumeur inextinguible, assez forte pour passer par-dessus la musique quand bien même on est juste à côtés des wedges, des retours de scènes. Il y aura bien tentative de la part d’un certain tromboniste de faire de l’ironie à propos de ces conversations, vous êtes bien modernes dira-t-il, ou encore, on ne voulait pas vous interrompre , mais il était manifeste que la conversation, les conversations, étaient plus pressantes, plus urgentes que de prêter attention à la musique.
L’acoustique de la salle, qui doit être à peu près celle du dernier bunker de Hitler à Berlin est parfaite pour un tel public, elle renvoie avec brio le bruit des conversations et étouffe l’orchestre, on ne comptait pas le nombre de musiciens faisant tel ou tel signe à la régie et qui disaient éloquemment, mais avec impuissance, qu’ils ne s’entendaient pas jouer sur scène. Les deux moments pendant lesquels le saxophoniste ténor a eu besoin d’un microphone pour chanter, la chose a été entièrement inaudible, et pareillement pour la lecture d’un texte par le tromboniste, toujours lui, qui se faisait mieux entendre, finalement, en parlant dans le petit micro pincé sur la pavillon de son instrument (qui n’est, évidemment pas du tout fait pour cela). Une boucherie.
Et pourtant cela faisait du bien de réécouter le Surnat’ en concert, seulement en concert, pour la musique, juste la musique. Prendre des photographies - dans des conditions particulièrement adverses, faible lumière et en plus extrêmement versatile, et musiciens fort agités, soit, la pire des combinaisons possibles - depuis le premier rang, un véritable rajeunissement, un peu plus et je trouverais ma voisine, épaule contre épaule, fort jolie, de fait une jolie jeune femme, pas sûr qu’elle ait la trentaine, avant qu’elle ne se jette au cou de son petit copain qui rapporte les bières, ils se dévorent des yeux, ils sont mignons comme tout, puis, claudicant, vieil arthritique au poignet droit perclus de tendinite, vers la sortie, on me retient la porte, vous avez une bonne tête Monsieur , me lance un jeune homme au bras de sa petite amie, merci c’est gentil les jeunes .
En fait je me demande si je n’ai pas pris un coup de vieux ces derniers temps. Au point de radoter un peu. C’est pas beau de vieillir. Ne vieillissons pas.
Exercice #42 de Henry Carroll : Prenez une photographie de quelque chose que vous détestez.
J – 158 : Guillaume
Alors voilà, je pense que ton film est un éloge réussi de la longueur en cinéma, mais que c’est long à accepter ! C’est même à certains égards l’océan de merde derrière la porte que décrit Michael et au fond duquel il faut aller chercher le diamant qui peut, va, nous sauver. Mais le diamant en question en vaut la chandelle absolument.
Le titre de la Liberté me paraît finalement très bon, comme je te l’ai dit brièvement à l’issue de la projection, j’aurais bien vu aussi les Philosophes .
Il faut une sacrée dose d’envie pour aller à la rencontre de ces personnes qui, de prime abord, auraient tendance à être tellement auto centrées, vivant la prison comme une injustice, et ne se préoccupant jamais, rarement, du mal qu’elles ont fait à leurs victimes, les victimes arrivent bien tard dans le discours et c’est à ce moment-là que cela devient vraiment intéressant, je dirais à vue de nez, avec le premier long entretien de Michael dans sa cellule.
La question de la rédemption est centrale, je ne peux m’empêcher de penser à la fin de Crime et Châtiment ou encore aux Souvenirs de la maison des Morts de Dostoïevski.
Il y a des moments on voudrait rendre la violence que le film nous fait en la donnant aux personnes du film qui sont, surtout au début du film, assez dégoutantes de si peu mentionner leurs victimes, ce n’est que vers le troisième tiers du film que l’on commence à prendre conscience du caractère psychologique de cette prison. Mais les trois dernières séquences nous réconcilient avec eux, et, ce qui est fort, avec la vie. Il n’y a rien d’idyllique derrière cette réconciliation, elle est fragile mais elle est nécessaire, « c’est quoi une deuxième chance ? » (J’ai d’ailleurs cru que le film se terminait là-dessus)
Les séquences avec l’électricien sont nécessaires même si elles manquent un peu de punch , de rythme, il est trop long à accoucher de choses qui au regard de ce que Michael nous livre sont peu de choses, je garderai au contraire le commentaire sur la vie immatérielle, mais j’élaguerais sur la démonstration de la nécessité de l’apprentissage de la vie matérielle, j’ai le sentiment de recevoir la démonstration deux fois.
Je continue d’avoir une petite réserve sur la remarque que tu fais au prisonnier sur la plage, sur le fait que c’est la première fois qu’on le voit sans sa barbe à l’écran, c’est artificiel, c’est ton délire de cinéaste et, comme je te le l’ai dit brièvement, cela souligne trois fois en rouge quelque chose que l’on peut comprendre tout seul, et même c’est plus intéressant, cela doit être coupable (si tu me passes l’expression), de le laisser expliquer pourquoi il s’est rasé sans qu’il y soit invité. Parce que c’est justement intéressant ce que cela engage de notre regard, de notre attention, c’est une transformation, il ne semble plus prendre de médicaments, il n’a pas plus cette fixité angoissante du regard, son discours est plus délié, son accent ardennais est plus léger, il a changé, il est effectivement en droit de demander cette seconde chance qu’il aimerait tant avoir.
Pareillement il est intéressant de voir la transformation de Michael qui n’énonce que des généralités, pas toutes très intéressantes, quand il est à visage masqué (très beau plan malgré tout, on dirait certains tableaux de mon ami Martin Bruneau) et qui au contraire rentre vraiment dans le vif du sujet quand il témoigne désormais à visage découvert.
Il faudrait pouvoir trouver la même transformation chez l’électricien mais on voit bien qu’il ne sort pas de sa dépression en dépit de ses efforts louables et de sa conscience très aigue des enjeux de la réinsertion.
Étonnamment, je ne pense pas que l’administration pénitentiaire devrait s’inquiéter de quoi que ce soit, ces détenus ont quand même la vie dure en quelque sorte et on voit bien que le caractère psychologique de la prison est plutôt un ressort qui fonctionne, qui produit, malgré tout, le résultat escompté, une prise de conscience, même si cette dernière, excepté dans le cas de Michael, est fragile, la sienne est plus profonde (et quel destin et quelle merveille qu’il soit parvenu à aller chercher ce diamant dans la fosse et quelle beauté cette histoire de la lettre de Béatrice, un vrai rosebud ).
Sinon, j’ai quand même quelques remarques déplaisantes à te faire, c’est très très très mal filmé. Je pense que tu ne peux pas faire l’économie d’un étalonnage qui gommerait les éclairages blafards du film, même les séquences à la mer sont pauvres en lumière, un comble. Il y a une exception, mais je ne suis pas sûr que tu puisses caler tout le film là-dessus, c’est la séquence du prisonnier culturiste. Le son ça va à peu près.
La fin est vraiment très très très belle, oui, allons prendre ce café hors caméra et faisons vraiment connaissance avec cet homme auquel on doit à la fois un café et une deuxième chance.
Très beau moment d’école buissonnière pour moi, la dernière fois que j’ai fait le mur c’était pour aller acheter Joe’s Garage de Frank Zappa le jour de sa sortie, j’avais quand même séché une composition de maths pour cela, vraiment pas le truc à faire et j’ai été sauvé par les excuses du professeur de maths qui m’avait dit qu’il ne comprenait pas que c’était la première fois en vingt de carrière qu’il avait égaré une copie. Avec le recul je me demande s’il n’avait pas compris mon méfait mais devait comprendre qu’il valait mieux le couvrir pour que je ne sois pas exclu de ce lycée disciplinaire. De la même manière aujourd’hui mon école buissonnière reste sans conséquence.
Exercice #42 de Henry Carroll : Laissez une fenêtre parler
Pour Maryam-Jân
German supermarket Edeka denies neo-Nazi symbolism in TV ad | World news | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/world/2016/nov/24/german-supermarket-edeka-denies-neo-nazi-symbolism-tv-ad
A Volvo shown in the 84-second clip has the numberplate MU SS 420. “SS” is forbidden on German numberplates because it is immediately recognisable as a synonym of the Schutzstaffel, the Nazis’ paramilitary “protection squadron”.
“420” is a common abbreviation – especially in far-right circles in the US – for Nazi leader Adolf Hitler’s birthday, 20 April.
Another car in the advert has the numberplate SO LL 3849. The “84” is recognised as an abbreviation for the eighth and fourth letters in the alphabet – H and D – signifying the greeting “Heil Deutschland”. The numbers 3 and 9, together number 39, are said to symbolise Christian identity and stand by implication for antisemitism.
Bravo à #SPIP et ses #contributeurs qui viennent de passer le cap des 100.000 commits sur la zone #collaborative !
▻http://zone.spip.org/trac/spip-zone/timeline
« Au premier abord, rien ne distingue le pavillon des autres habitations alignées à intervalles réguliers le long d’une petite rue calme et fleurie de Fresnes, en banlieue sud de Paris (Val-de-Marne). « Vous cherchez les geeks [informaticiens] ? Si vous trouvez des poules, c’est que vous êtes arrivé ! », s’enquiert un voisin, visiblement amusé par la présence régulière de six gallinacés sur le trottoir. Il n’y a plus qu’à suivre le conseil et le bruit des caquètements pour trouver la hacker house des neuf passionnés d’informatique. »
▻http://www.lemonde.fr/campus/article/2016/05/22/a-fresnes-de-jeunes-passionnes-d-informatique-hackent-les-codes-de-l-entrepr
#42 #pipeautage #Macron #esclavage #servage #entreprise #horaires_de_travail #pseudo-geeks #SSII
#informatique #start-up #exploitation #libéralisme et en gros #entre-couillisme (bah alors @mad_meg il existe pas déjà ce tag ? c’est quoi ce travail !)
@rastapopoulos On distingue une femme sur la photo (d’ailleurs, l’article en parle).
Une virulente (mais excellente) critique de Marie & Julien : ►http://mariejulien.com/post/2016/05/22/Startups-de-merde%2C-vous-devriez-avoir-honte
▻http://www.seed-up.io/fr/joinus.html#home
PLUS QU’UN MÉTIER OU UN STAGE, REJOINDRE SEED-UP EST UNE EXPÉRIENCE INCROYABLE. VOUS ÊTES LOGÉ, NOURRI, ET CHOISISSEZ LE PROJET SUR LEQUEL VOUS VOULEZ TRAVAILLER AVEC L’ÉQUIPE QUE VOUS VOULEZ. CHACUN APPREND DES AUTRES, LES BÉNÉFICES SONT REDISTRIBUÉS ET L’ESPRIT D’ÉQUIPE EST AU COEUR DE NOS PRÉOCCUPATIONS : VENEZ VIVRE L’EXPÉRIENCE !
Ah et aussi, la description des projets en gris clair sur fond blanc, c’est disruptif sur le plan du design.
@stephane oui c’est pour ça que je dis « en gros entre-couillisme », mais j’aurais dû dire « quasi entre-couillisme ». Et c’est une stagiaire.
Bonjour, je ne veux pas être méchant mais ras le bol des pubs, des contenus sponsorisés sur les start-ups achetés/rachetés/vendues peuvent pas faire leurs boulots comme le mec qui monte sa boite de maconnerie simplement, tranquille sans narcissisme et autres matuvus ? Un exemple sur la page ▻http://www.lemonde.fr/campus/article/2016/05/22/a-fresnes-de-jeunes-passionnes-d-informatique-hackent-les-codes-de-l-entrepr
Cliquer sur le contenu sponsorisé Ugo Rondinone vs tomberez sur vogue/Guzzi avec photos de mannequins squelettique et autres stupidités commerciales et nada rien sur Ugo ? alors qu’il y a un lien direct avec ▻https://news.artnet.com/art-world/see-incredible-photos-ugo-rondinone-las-vegas-493565 C’était le coup de gueule de Lov. Plaisir chez vous Seenthisiens.
Environ 40 % de leur temps est consacré aux commandes des clients. Les 60 % restants le sont au développement de projets personnels. Avec pour objectif de diminuer petit à petit la part consacrée aux commandes extérieures pour focaliser l’activité de l’entreprise sur les projets.
Très vite, ils ont dû augmenter la cadence pour répondre aux commandes, et il a fallu renforcer l’équipe, trouver de la main-d’œuvre qualifiée et rentable. Trois stagiaires ont renforcé les troupes, pour six mois.
En gros il se font des séances de développement personnel sur le dos des stagiaires
Rue 89 se met aussi au cirage de pompes ▻http://rue89.nouvelobs.com/2016/05/24/viens-chez-jhabite-hacker-house-264091
Radio debout — émission du #42mars
Rediffusion de l’émission enregistrée en direct de la place de la République à Paris, à partir de 19h pendant
.▻https://soundcloud.com/radiodebout/radio-debout-42-mars
►https://twitter.com/radio_debout
Radio debout, radio en direct le soir à partir de 18h depuis la place de la république à Paris pendant #Nuit_Debout.
Direct : ►http://mixlr.com/radiodebout
Rediffusions : #radio_debout
Archives :
#NuitDebout #jesuismarmite #liberezlesmarmites #42Mars #jesuissoupe #liberezlesmarmites #druide #asterixXXXLIEN49LIENXXX …
▻https://twitter.com/Darius_LeRoi/status/719633552640446464
#NuitDebout #jesuismarmite #liberezlesmarmites #42Mars #jesuissoupe #liberezlesmarmites #druide #asterixXXXLIEN51LIENXXX …
lundi 11 avril 2016 - Lille Centre - Nuit debout #42mars
▻http://lille.demosphere.eu/rv/4183
#lutte_sociale
A Simple Web Developer’s Guide To Color – Smashing Magazine
▻https://www.smashingmagazine.com/2016/04/web-developer-guide-color/#creating-harmonious-grays
Creating Harmonious #Grays
1) Create two shapes and fill them with #424242
and #fafafa
.
2) Insert a color fill layer above your two shapes.
3) Change that fill to your base color (#30c9e8).
4) Set the blending mode to overlay, and bring the opacity right down to between 5 and 40% (in the example below, it’s set at 40%).
5) Use the color picker and copy your new values.