Wohnen in Brüssel - BauNetzWoche #639
▻https://www.baunetz.de/baunetzwoche/baunetzwoche_ausgabe_8515283.html
Text: SONNTAG
Foto: Tagesspiegel / Marlon Saadi
Hand aufs Herz, Uber oder Taxi? Die Berlinale hat sich jedenfalls wieder für Uber entschieden. Wie schon im vergangenen Jahr lassen sich die Filmfestspiele von dem internationalen Konzern sponsern. Aus Sicht von Taxifahrer Klaus Meier werden die Berliner Taxis dadurch arg benachteiligt. Deshalb organisierte er kurzerhand ein eigenes Festival, das TaxiFilmFest. Noch bis Sonntag, 25. November steht auf dem Boulevard der Stars am Potsdamer Platz ein Großraumtaxi, in dem Taxifilm-Klassiker gezeigt werden. Zum Abschluss dieser sympathischen Protestaktion findet am
Sonntag sogar eine Preisverleihung statt. Ob wohl Martin Scorsese ́s Taxi Driver gewinnt? Auf der Webseite darf abgestimmt werden. mh
#Berlin #Mitte_Potsdamer_Straße #Berlinale #TaxiFilmFest #Medienecho
]]>#CommemorAction 2024 : on n’oublie pas, on ne pardonne pas !
Le #6_février, c’était la journée mondiale de lutte contre le régime de mort aux frontières et pour exiger la vérité, la justice et la réparation pour les victimes de la migration et leurs familles. Pour la troisième année consécutive, #Douarnenez a répondu à l’appel qui été suivi par 55 villes (dont sept en #Bretagne) de 17 pays d’Afrique, d’Asie et d’Europe.
▻https://blogs.mediapart.fr/938539/blog/130224/commemoraction-2024-noublie-pas-ne-pardonne-pas
#commémor'action #commémoration #mourir_aux_frontières #morts_aux_frontières #migrations #réfugiés #mémoire #oubli #pardon #6_février_2024 #France #portfolio #photographies
[Surreal Sound System] #611 - Love is overrated
▻https://www.radiopanik.org/emissions/surreal-sound-system/611-love-is-overrated
Two hours of black...
A Thunder Orchestra – diabolical gesture
Xymox – call it weird
Grauzone – traume mit mir
Linear Movement – the game
Martin Dupont – just because
The Musicwreckers – commercial break
Keine Achnung – nacht
The Actor – deutsche madchen
Severed Heads – now an explosive new movie
Max Berlin – elle et moi
John Bender – 36a2
Vovokai – de teleurstelling
DAF – ich will
Vomito Negro – dare
A Split Second – rigor mortis
Simple Minds – this fear of gods
COMA – femme robot
Data Bank A – in it’s time
Rational Youth – le meilleur des mondes
Artificial Organs – while the city sleeps
Metro Pakt – neue strassen
Tense – disconnect myself
Der Plan – commerce extérieur
Stereo – somewhere in the night
Boytronik – bryllyant
Crash Course In Science – factory forehead
Fiction Technology – in the city
Absolute (...)
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/surreal-sound-system/611-love-is-overrated_17312__1.mp3
]]>Personnes migrantes disparues : agir contre l’#oubli !
En cette journée de CommemorAction, EuroMed Rights rejoint les organisations de défense des droits humains qui plaident pour l’adoption de mesures (▻https://commemoraction.net) pour empêcher les décès sur les routes migratoires vers l’Europe.
EuroMed Rights s’inscrit aussi aux côtés des familles des trop nombreuses victimes disparues en mer Méditerranée ou dans le désert nord-africain. A cet effet, nous publions aujourd’hui notre cartographie (►https://euromedrights.org/fr/soutien-de-la-societe-civile-aux-familles-de-personnes-migrantes-dece) des principaux acteurs régionaux de l’#identification des corps des victimes et de recherche des personnes disparues.
Cette cartographie, fondée sur un travail mené en 2023 par #EuroMed_Rights (▻https://euromedrights.org/fr/publication/personnes-migrantes-et-refugiees-loubli-jusque-dans-la-mort) avec l’aide du chercheur indépendant Filippo Furri, est un outil destiné principalement aux familles de victimes qui peinent trop souvent à obtenir des informations sur leurs proches disparus.
Ce sont ainsi plus de 3.000 personnes qui ont disparu en 2023 sur les routes migratoires vers l’Europe (▻https://missingmigrants.iom.int/region/mediterranean?region_incident=All&route=All&year%5B%5D=11681&mo). Silence des autorités, absence de soutien psychologique, les familles de victimes font trop souvent face à un mur dans leurs recherches sur le devenir de ces proches.
EuroMed Rights espère que cette cartographie permettra à ces familles d’obtenir un début de réponse en attendant que les efforts de plaidoyer envers les autorités de la région mettent en place un cadre juridique plus consistant pour venir en aide aux familles de victimes.
▻https://euromedrights.org/fr/publication/personnes-migrantes-disparues-agir-contre-loubli
#commémoration #commémoraction #6_février #mourir_aux_frontières #morts_aux_frontières #asile #migrations #réfugiés #frontières #6_février_2024 #disparus
]]>Briançon : un cairn en #hommage aux migrants décédés érigé au petit matin
Ce mardi 6 février, au petit matin, un collectif de « solidaires des personnes exilées » a érigé un cairn en hommage “aux morts aux frontières”, à proximité de la porte du pont d’Asfeld, dans la vieille ville de Briançon.
Il est un peu plus de 7 heures, ce mardi 6 février à Briançon, et le soleil n’a pas encore percé depuis l’Italie, à quelques dizaines de kilomètres. Sur la petite butte, juste après avoir passé la porte de la cité Vauban en direction du pont d’Asfeld, un petit groupe s’affaire à la frontale et à la truelle : un collectif de « solidaires des personnes exilées » érige un cairn.
(#paywall)
▻https://www.ledauphine.com/societe/2024/02/06/briancon-un-cairn-en-hommage-aux-migrants-decedes-erige-au-petit-matin
#mémoire #commémoration #Briançon #migrations #réfugiés #6_février #commémor'action #commémoraction #Hautes-Alepes #France #cairn #monument #mémoriel #morts_aux_frontières #mourir_aux_frontières #frontières #frontière_sud-alpine #mémorial #6_février_2024
Commémoraction des victimes des politiques migratoires aux frontières Paris, 6 février 2024
Dans le cadre de la Journée mondiale de lutte contre le régime de mort aux frontières et pour exiger la vérité, la justice et la réparation pour les victimes des politiques migratoires, retrouvons-nous à la #CommemorAction.
📅 le 6 février 2024
📍 place Edmont Michelet à #Paris
▻https://piaille.fr/@LDH_Fr/111878731145971123
#commémoration #commémor'action #2024 #mémoire #mourir_aux_frontières #morts_aux_frontières #migrations #frontières #réfugiés #6_février #6_février_2024
]]>Commémor’Action le 6 février #2024 - Dixième anniversaire
Journée mondiale de lutte contre le régime de mort aux frontières et pour exiger la vérité, la justice et la réparation pour les victimes de la migration et leurs familles
Leur vie, notre lumière. Leur destin, notre colère. Ouvrez les frontières !
Le 6 février 2014, plus de 200 personnes, parties des côtes marocaines, ont tenté d’accéder à la nage à la plage du Tarajal, dans l’enclave espagnole de Ceuta. Pour les empêcher d’arriver en « terre espagnole », la Guardia civil a utilisé du matériel anti-émeute et aussi les militaires marocains présents n’ont porté secours aux personnes qui se noyaient devant eux. Quinze corps ont été retrouvés côté espagnol, des dizaines d’autres ont disparu, les survivants ont été refoulés, certains ont péri côté marocain.
Dix ans ont passé depuis le massacre de Tarajal.
Dix ans pendant lesquels le nombre de morts et de disparus n’a cessé d’augmenter, en Méditerranée et sur la route des Canaries, au sein des frontières internes de l’UE, dans la Manche, aux frontières orientales, le long de la route des Balkans, ou encore dans le désert du Sahara et le long de toute autre trajectoire de mobilité. Le régime de frontière a montré encore en 2023 son visage cynique de manière totalement décomplexé, lors du naufrage de Cutro, quand la nuit du 25 février 94 personnes sont décédées et au moins 11 autres ont disparu à quelques mètres des cotes italiennes, sous les regards immobiles de Frontex et des autorités italiennes, encore le 14 juin quand plus de 600 personnes ont disparu à jamais au large de Pylos, en Grèce et tout comme le 23 avril 2022, quand un bateau avec 90 personnes à son bord a coulé au large des côtes libanaises.
Dix ans pendant lesquels les associations, les familles, et tous celles et ceux qui luttent pour le droit à la mobilité pour toutes et tous n’ont cessé de réclamer vérité et justice pour ces victimes, de surligner les responsabilités directes et indirectes du régime des frontières, de travailler pour prouver ces responsabilités et pour soutenir les familles et les proches dans les douloureux parcours de recherche des disparus et d’identification des victimes.
À l’occasion du dixième anniversaire du massacre de Tarajal, nous réitérons ici l’appel lancé l’année dernière, avec l’espoir que toujours plus d’organisations, d’associations, de familles, d’activistes s’associent à ce processus de Commémor’Actions décentralisées, réalisées chaque année le 6 février, pour que cette mobilisation transnationale prenne de plus d’ampleur, soit de plus en plus visible dans l’espace public, et arrive à fédérer de plus en plus de personnes.
Nous demandons à toutes les organisations sociales et politiques, laïques et religieuses, aux groupes et collectifs des familles des victimes de la migration, aux citoyens et citoyennes de tous les pays du monde d’organiser des actions de protestation et de sensibilisation à cette situation le 6 février 2024.
Nous vous invitons à utiliser le logo ci-dessus, ainsi que vos propres logos, comme élément pour souligner le lien entre toutes les différentes initiatives. Tous les évènements qui auront lieu peuvent être publiés sur le groupe (►https://www.facebook.com/groups/330380128977418) et sur la page Facebook « Commemor-Action » (▻https://www.facebook.com/people/Commemor-Action/100076223537693).
Migrer pour vivre, pas pour mourir !
Ce sont des personnes, pas des chiffres !
Liberté de circulation pour tous et toutes !
En savoir plus :
- événements et rassemblements qui ont lieu le 6 février (▻https://missingattheborders.org/en/index.php?p=news/2023/commemorazione-eventi)
▻https://www.gisti.org/spip.php?article7173
#commémoration #mourir_aux_frontières #morts_aux_frontières #commémoraction #migrations #frontières #réfugiés #mémoire #6_février
]]>Commémor’ action des Mort·es des frontières
« Migrer pour vivre. Pas pour mourir »
Depuis 2014, le 6 février est, à l’appel des familles de victimes des frontières la journée mondiale de commémor’action des mort·es des frontières. Une journée pour lutter contre les régimes faisant de la migration un périple trop souvent mortel et exiger la vérité, la justice et la réparation. Dans le Briançonnais, la frontière franco-italienne et le non-accueil ont encore fait au moins 3 mort·es en 2023.
Les #affiches refusées dans les rues de Briançon :
▻https://briancon-solidaire.org
#commémoraction #commémoration #Briançon #morts_aux_frontières #mémoire #mourir_aux_frontières #migrations #asile #réfugiés #6_février #Hautes-Alpes #Briançonnais #lexique #mots #vocabulaire
]]>[Bruxelles nous habite] #62
▻https://www.radiopanik.org/emissions/bruxelles-m-habite/62-bxlnh-en-mode-tryptiquement-affectees
Une émission en trois parties, avec des changements d’humeur comme cela peut nous prendre en hiver :
une saga de propreté proprement bruxelloise, qui met en lumière les frustrations du quotidien dans un espace urbain partagé un détour par la gare centrale, pour se questionner sur nos affects et abjects et notre (in)capacité à s’exprimer publiquement solidaires avec la lutte pour la survie palestinienne une diffusion d’un documentaire sur les enjeux autour de l’entretien des logements sociaux, via une balade radiophonique aux blocs de logements sociaux rue des Goujons (1070) et rue Rempart des Moines (1000)
Pour aller plus loin
▻https://www.instagram.com/brusselsagainstgenocide
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/bruxelles-m-habite/62-bxlnh-en-mode-tryptiquement-affectees_17206__1.mp3
]]>[Surreal Sound System] #610 - Une neige inattendue
▻https://www.radiopanik.org/emissions/surreal-sound-system/610-une-neige-inattendue
Due to snow, no live tonight. Ben ouais, on vient en voiture...
Yuto Takei - kerr former De Ambassade - verderfelijke Filmmaker - hostile environment Geier Aus Stahl - geschichten aus dem narrenkasten KP Transmission - drosera Pluramon - noh Roter Rot - get away dark side The Dreams - peplum Tribalistic Junkies Of Universe - indi Untold - wet wool Years Of Denial - crow Yoshinori Hayashi - 9828 Video Mind - do it for me Dance Machine - virgin ballet Rose - magic carillon Ox Dancer - ultra Squires - hold me The Chinese Fightes - disco streak Trophy - slow fight Veit Marvos - right on Antipop Consortium - disorientation Dj Paul - fuck all them hoes Earl Sweatshirt - earl Tommy Wright III - time to (...)
#hip_hop #electronic #downtempo #italo_disco #hip_hop,electronic,downtempo,italo_disco
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/surreal-sound-system/610-une-neige-inattendue_17163__1.mp3
L’autre #tradition - Ce que les musiques traditionnelles doivent aux femmes
Avec
Camille Lainé, Marthe Tourret, Noëllie Nioulou, Emmanuelle Bouthillier, Caroline Dufau, Maider Martineau, Sandra Richard, Marine Lavigne, Lila Fraysse, Françoise Etay, Aline Dumont, Manon Pibarot, Perrine Lagrue, Sterenn Diridollou, Elodie Ortega, Maud Herrera, Pauline Willerval, Perrine Bourel, Meriem Koufi, Maura Guerrera, Valérie Imbert.
Et les éclairages de Joëlle Vellet, chercheuse en danse spécialiste de la bourrée ; Morgane Montagnat, géographe des pratiques culturelles et Françoise Etay enseignante et ethnomusicologue en Limousin.
Et les musiques de Thérèse, Les Poufs à cordes, L’Abrasive, Choc Gazl, Spartenza, Pauline
Willerval, Maud Herrera et pour le générique Louise Reicher, Emmanuelle Bouthillier, les Violoneuses, les filles de Illighadad et la participation exceptionnelle d’Elisa Trebouville.
Et les voix de Maxence Camelin, Antoine de Peyret, Jean-Bernard Louis, Henri Maquet, Gabriel
Moulin et Anaïs Vaillant.
–—
Chapitres :
#1 Grandir avec les musiques traditionnelles / les Brayauds
Avec les musiciennes Camille Lainé, Marthe Tourret et Noëllie Nioulou (Massif Central) et Joëlle Vellet, chercheuse en danse.
#2 Grandir avec les musiques traditionnelles / monde associatif
Avec les musiciennes Emmanuelle Bouthillier (Bretagne et Québec), Caroline Dufau (Soule), Maider Martineau (Pays Basque) et Morgane Montagnat, géographe des pratiques culturelles.
#3 Grandir avec les musiques traditionnelles / musique de la langue
Avec Sandra Richard (la Réunion), Marine Lavigne (Bretagne) et Lila Fraysse (Occitanie) et Françoise Etay, ethnomusicologue.
#4 Découvrir les musiques traditionnelles / rencontre du #bal
Avec Aline Dumont (musicienne - Morvan), Manon Pibarot (organisatrice de bals sauvages et du festival Winterlut - Strasbourg), Perrine Lagrue (programmatrice et directrice de la Grande Boutique - Langonnet), Sterenn Diridollou (chanteuse - Côtes d’Armor) et Elodie Ortega (productrice et graphiste de la Compagnie La Novia – Haute-Loire).
#5 Découvrir les musiques traditionnelles / basculements et immersions choisies
Avec les musiciennes Maud Herrera, Pauline Willerval, Perrine Bourrel.
#6 Découvrir les musiques traditionnelles / basculements et immersions choisies
Avec les musiciennes Meryem Koufi, Maura Guerrera et Valérie Imbert.
#7 Découvrir les musiques traditionnelles / basculements et immersions choisies
Avec Perrine Bourrel, Maud Herrera, Valérie Imbert, Marthe Tourret, Emmanuelle
Bouthillier
#8 Des musiques populaires et inclusives ?
Conclusion du premier épisode avec Morgane Montagnat et extrait de l’article « George, Michèle, Catherine et les autres : le « revival » du côté du genre » de François Gasnault in Musique • Images • Instruments Revue française d’organologie et d’iconographie musicale, n°16, Itinérances musicales romantiques, CNRS Editions, Paris, 2016, pp. 184-195.
▻https://podcast.ausha.co/contretemps-les-podcasts-de-la-famdt/l-autre-tradition-1-revivalisme-heritages-et-decouvertes
#audio #podcast #femmes #musique #musique_traditionnelle #musique_populaire
]]>[Surreal Sound System] #608 - We are not alone !
▻https://www.radiopanik.org/emissions/surreal-sound-system/608-we-are-not-alone
Maybe some tracks are missing ? Maybe maybe...
Debbie Malone - rescue me
Red Light - and then
Devine Masters - cause i need you
House Syndicate - jam the mace
The Party’s Over - no more words
New Grooves II - 2am
Gazebo - masterpiece
NOIA - looking for love
SA42 - pleasure and crime
Front 242 - special forces
Inhalt - alles klar
LNR - kream
Leftfield - not forgotten
Lil Louis - frequency
Turbolenz - naked city
The Human League - you remind me of gold
Kano - it’s a war
LFO - probe
1/2 Gott - sehnsucht
Eddy Grant - time warp
Grey House - move your assit
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/surreal-sound-system/608-we-are-not-alone_17041__1.mp3
]]>Chilly Gonzales (Sheldon, M Le Maudit, Le Juiice, Jwles, Bob Marlich, Le Lij, la Rumeur) | Grünt #63
▻https://www.youtube.com/watch?v=YTwkiWLVBxU
24’42’’
#La_Rumeur “L’Ombre Sur La Mesure” / "Sous Peu Il Fera Jour", “Un Gosse À La Fenêtre", “Non Sous-titré”
]]>Evgeny Morozov : We Need a Nonmarket Modernist Project
An interview with Evgeny Morozov
▻https://jacobin.com/2023/12/evgeny-morozov-interview-technology-sovereignty-global-south-development-cy
Cybersyn et les leçons à tirer pour atteindre l’indépendance technologique
12.6.2023 Interview by Simón Vázquez
Evgeny Morozov has spent more than a decade studying the transformations unleashed by the internet. He became famous with two internationally awarded books, The Net Delusion: The Dark Side of Internet Freedom (2012) and To Save Everything, Click Here: The Folly of Technological Solutionism (2013), before turning to study the connection between technology, political economy, and philosophy.
Founder of the knowledge curation platform The Syllabus, his most recent work is The Santiago Boys, a nine-episode podcast focused on the experimental Chilean model in socialism led by Salvador Allende’s Unidad Popular from 1970–73. It tells of radical engineers’ strivings to achieve technological sovereignty, the development of the Cybersyn project to manage the nationalization of the economy, and the country’s fight against ITT, the great technological multinational of the time.
Morozov has presented his work in Brazil, Chile, and Argentina, ending his tour in New York, in a joint event with Jacobin. Simon Vázquez spoke to him about what it has to tell us about creating socialism today.
Simón Vázquez
In several interviews you have argued that it is necessary to involve workers in decisions on technological development, instead of betting on technocratic solutions. Could you explain the problems of imposing technical visions that do not have popular support?
Evgeny Morozov
The technocratic solution in the case of today’s digital economy usually comes from the neoliberal right (or center) and insists on the need to police the platforms and what they do in order to improve competition and make it easier for consumers to move across platforms. Such solutions have traditionally been more prevalent in Europe than in the United States, partly for ideological reasons (under the influence of the Chicago School, Americans have been quite lenient in enforcing antitrust rules) and partly for geopolitical reasons (Washington doesn’t want to overregulate its own companies, fearing that their place might be taken by Chinese rivals).
So, it’s Europe that thinks that it can resolve the problems of the digital economy through more regulation. Some of it might, of course, be useful and necessary, but I think that such a technocratic approach has often been underpinned by a certain blindness toward geopolitics and industrial strategy and even the crisis of democracy that we can observe across the globe. It’s fine for the neoliberal technocrats to fake this blindness, but this would be a mistake for the more progressive and democratic forces to rally behind such calls. The problems of the digital economy won’t be resolved by regulation alone — not least because the digital economy, in both its Chinese and American versions, wasn’t created by regulation alone.
Simón Vázquez
On the Left, and more specifically among socialists, there is a debate on planning and technology that in recent years has given rise to the emergence of a current known as cybercommunism. Do you identify with it, and what criticisms would you raise against it?
Evgeny Morozov
My main critique of their project is that it’s both too narrow and too broad in its ambitions. The way I see it, it’s an effort to deploy mathematical modeling and computation in order to administer what Karl Marx called the “realm of necessity.” I don’t doubt that for some basic basket of goods necessary for a good life — e.g. housing, clothing, food — an approach like this might be necessary. But I think we also have to be critical of the strict distinction that Marx draws between the realm of necessity and the realm of freedom; the latter he mostly leaves undefined. But that’s precisely where creativity and innovation happen, while the realm of necessity is mostly the realm of social reproduction. Cybercommunism, like Marx, leaves the realm of freedom undertheorized, and, as a result, it doesn’t seem to have a sharp vision for what computers can do when it comes to enabling these more creative pursuits.
Contrast this to neoliberalism. It starts by refusing a strict distinction between the two realms, arguing that the market is both a system for satisfying our basic needs and demands — and an infrastructure for managing and taming complexity, i.e. the source of the new, the creative, and the unexpected. If you look at the digital economy, you see this fusionist logic playing out in full force: when we play, we also “work,” as it generates value for the platforms. And as we “work,” we also play, as work has become something very different from the Fordist times.
The Left has traditionally rejected such fusion of the two realms, complaining of the biopolitical turn in modern capitalism, etc. But what if such a fusion is something the Left should embrace? And if so, how could the traditional answer to the neoliberal market as the central feature of the alternative system — i.e. the mathematical plan — be sufficient, given that it doesn’t seek to accomplish anything in the realm of freedom?
To put it at a higher level of abstraction, neoliberalism is market civilization, as it merges the progressive logic of society becoming ever-more complex and different with the market as the main instrument for achieving it. A better name for it would be “market modernism.” To counter this civilization, we need a “nonmarket modernism” of some kind. Cybercommunism does okay on the “nonmarket” part, but I’m not at all sure it even understands the challenge and the need to solve the “modernist” part of the equation.
Simón Vázquez
Why turn back now to the experience of Cybersyn, a proto-internet project to use telex and computers to organize the economy? What is the political purpose of bringing up “what ifs” of the paths not taken? And what does “postutopia” mean, in this context?
Evgeny Morozov
Well, the most obvious reason for doing this is to sensitize the global public to the fact that the digital economy and society we have today are not the result of some natural tendencies of internet protocols but, rather, the result of geopolitical struggles, with winners and losers. I don’t think it’s correct to see Cybersyn as an alternative technological infrastructure, because, at the end of the day, there was nothing unique or revolutionary in its telex network or the software that it used or its Operations Room.
A better lens on it is as a contribution to an alternative economic system, whereby computers could have been used to better aid in the management of enterprises in the public sector. Similar management systems existed in the private sector for a long time — Stafford Beer, the brains behind Cybersyn, was already preaching them in the steel industry a decade before Cybersyn.
The uniqueness of Cybersyn is that it came out of Allende’s broader efforts to nationalize companies deemed strategic to the economic and social development of Chile, all of it informed by an interesting blend of structural economics from the United Nations Economic Commission for Latin America and the Caribbean (CEPAL) and dependency theory. It’s the end of that project — not just of Cybersyn — that we should be mourning. That’s why in my public interventions after the publication of the podcast, I’ve been so keen to stress the existence of what I call the “Santiago School of technology” (as counterpart to the Chicago School of economics). I think that once we realize that Allende and many of the economists and diplomats around him did have a vision for a very different world order, Cybersyn — as the software that was supposed to help bring that vision about in the domestic context — acquires a very different meaning.
Simón Vázquez
In addition to offering a counterhistory of the Chicago Boys, one of the most interesting arguments you offer is that they were not the true innovators of the time, but that their work was limited to thwarting, in the hands of the dictator Augusto Pinochet, Chile’s technological development and the Santiago Boys’s alternative to the incipient neoliberal model. Could you reflect on the contribution you make to the intellectual history of economic thought?
Evgeny Morozov
Well, throughout the presidency of Eduardo Frei Montalva, who preceded Allende, and then, of course, during Allende’s own rule, the Chilean economists that we know as the “Chicago Boys” had several kinds of critique to advance. One was of the corrupt and rentierist nature of the Chilean state; here the critique was that various interest groups leveraged their connection to the state to get favorable treatment and shield themselves from competition.
The other critique was that of policy prescriptions that came out of CEPAL and dependency theory; most of those policies went against the idea that economic development should be left to the market (instead, they defended, first, the idea of industrialization through import substitution, and, then, the need to protect national technological autonomy and sovereignty).
So, some of the Chicago Boys saw the Allende period as a consequence rather than the cause of a deeper crisis inside the Chilean society and economy; they really saw the workers and the peasants who elected Unidad Popular as just one of the many interest groups fighting to defend their interests inside a state system perceived to be corrupt and sectarian.
Whatever the substance of the Chicago critique, I think we err in seeing them as some kind of perceptive and pioneering economists who stepped in to save Chile with a heavy dose of neoliberalism. While Unidad Popular did make some errors in running the economy, it did have a coherent — and far more relevant — political vision of what Chile should do to be an independent, autonomous, and well-developed state in the global economy. Some might say that Chile, for all its inequality, got there. I think it didn’t get at all where it may have been — and where it may have been had it only followed the prescriptions of Allende’s Santiago Boys would have been today’s South Korea or Taiwan, countries that punch far above their weight technologically.
Simón Vázquez
Another contribution you make in the podcast is to recover the tradition of dependency theory. In the last answer you imply that if Allende’s project had been allowed to prosper, today Latin America would be more just, as well as richer, and Chile, an alternative technological power, with a technological development model different from that of Silicon Valley. But what does dependency theory tell us about contemporary debates in the digital economy?
Evgeny Morozov
Dependency theory is a radicalization of CEPAL’s structural economics, which traditionally preached the importance of industrialization. It’s not very different from today’s digital gurus preaching the importance of digitalization. Dependency theorists, however, saw that industrialization in itself cannot be the main objective; economic and social development is. And, as they found out, the relationship between industrialization and development is not linear.
Sometimes, more industrialization (which often worked as a euphemism for foreign direct investment) means more development; but sometimes it can mean no development or even underdevelopment. It was a debate rife with all sorts of intermediate concepts like Fernando Henrique Cardoso’s “associated development” or “dependent development,” which sought to show that countries can still develop even if industrialization is led primarily by foreign capital. The more radical theorists like Ruy Mauro Marini, Theotonio dos Santos, and Andre Gunder Frank argued that technological autonomy — the development of the country’s own technological base — is a prerequisite to the kind of industrialization that could lead to meaningful development.
In today’s terms, it would mean that digitalization conducted without a prior commitment to digital sovereignty is likely to create new dependencies and obstacles to development, especially as countries now have to swallow giant bills for cloud computing, artificial intelligence, microchips, etc. The dependencies are, of course, not just economic but also geopolitical, which explains why the United States has been so keen to block China’s efforts to achieve technological sovereignty in areas like 5G and microchips.
Simón Vázquez
From this idea of subverting unequal relations, there is the question of industrial planning and state direction of the development process. What do you think was the contribution of Stafford Beer and the Chilean radical engineers in understanding, if not planning, the politics of cybernetic management?
Evgeny Morozov
Beer didn’t come to these questions from the more conventional questions of allocation and distribution that would normally be present in debates about national planning. Rather, he came to this agenda from the corporate environment, where it was much more important to think about how to adapt to a future that is always changing. In this sense, corporations tend to be humbler than nation states; they take future as it is, instead of thinking that they can bend it to their own national objectives. One of the consequences of this epistemic humility practiced by Beer was his insistence that while the world was getting even more complex, complexity was a good thing — at least as long as we have the right tools to survive its effects. That’s where computers and real-time networks came into play.
That’s one part that I still find extremely relevant about Cybersyn, as I made it clear in my remarks about cybercommunism. If we accept that the world is going to become even more complex, we need to develop tools of management — and not just tools of allocation and planning. I find this humility about one’s ability to predict the future and then bend it to one’s will rather useful, not least because it goes against the usual modernist temptation to act like an omniscient and omnipotent god.
Simón Vázquez
Stafford Beer talked in his books about designing freedom; you talk about “planning freedom” and governing complexity. Can you elaborate on how this agenda would fit in, within what you pointed out earlier, the importance of talking about the “sphere of freedoms”?
Evgeny Morozov
As I explained above, the contribution of Beer to the traditional socialist agenda (with its statist focus on satisfying the most immediate needs of the population) has been to show that there’s much that computers can do in the realm of freedom as well; they are not just tools to be used in the realm of necessity. Beer’s thought closes the door to the kind of technophobic attitude that is still common among some on the Left; he thought — on my view correctly — that just ignoring the question of technology and organization would result in undesirable, highly inefficient outcomes.
We kind of know it intuitively, which is why we use simple technologies — from traffic lights to timetables — to enhance social coordination without bringing in chaos. But what if such technologies do not have to be so simple? Can’t they be more advanced and digital? Why trust the neoliberal account that the only way to coordinate social action at scale is via the market? That’s where, I think, Beer’s approach is very useful. If start with a very flexible, plastic account of human beings as always evolving and becoming, then we probably want to give them the tools by which they can push themselves (and the collectives they form) in new, completely unexpected, and untried directions and dimensions.
What’s happened these past two decades is that Silicon Valley has gotten there before the leftists did. That’s why we have tools like WhatsApp and Google Calendar facilitating the coordination of millions of people, with a nontrivial impact on the overall productivity. In this case, social coordination occurs, more complexity is produced, and society moves forward. But it doesn’t happen — contrary to the neoliberal narrative — by means of the price system, but, rather, by means of technology and language.
This Silicon Valley model, as we discovered more recently, is not without its costs, including politically and economically (just look at the proliferation of disinformation online or the concentration of artificial intelligence [AI] capabilities — the consequence of all this data being produced and gathered — in the hands of a number of corporate giants). So, this neoliberal nonmarket complexity comes at a huge price. What the Left should be thinking about are alternative non-neoliberal ways to deliver similar — and, perhaps, even better — infrastructure for social coordination.
Simón Vázquez
Why do you think socialists have given up on some of these concepts? Does it have something to do with the intellectual defeat of Marxism in the Cold War? Or with not having paid enough attention to the debates in the Global South?
Evgeny Morozov
I think the answers have to do primarily with the overall intellectual dead end reached both by Western Marxism and its more radicalized versions. The more moderate camp bought into the neoliberal dichotomy between the market and the plan, accepting the former as a superior form of social coordination, especially after the collapse of the Soviet Union. Someone like Jürgen Habermas is a good illustration of this attitude: he accepts the increasing complexity of social systems, but he simply cannot see any alternative to reducing complexity by means of the market or law, with technology being nothing more than applied science.
The more radical strands — the ones that culminated in cybercommunism — didn’t fully engage with critiques of Soviet planning and its incongruence with liberal democracy that came from the Soviet bloc during the Cold War. I am thinking of people like György Márkus, who, without renouncing Marxism, did write many profound critiques of what Marxists get wrong about — to cite Engels — the shift to the “administration of things” under communism.
There’s also a certain naive view of technology propelling the broader Marxist project, with its insistence on maximizing the productive forces (something that only the abolition of class relations under communism can achieve). This seems to ignore the highly political nature of striving for efficiency: what might be efficient for some might be inefficient for others. So, to proclaim that, objectively speaking, every technology would have some kind of objectively stated optimum toward which we must aim seems to be misguided. It’s just not what we know from science and technology studies.
This is not to say that such value conflicts are best resolved in the market — they aren’t — but I see no point in Marxists denying that they do exist. And once we acknowledge that they exist, then one may want to optimize for something other than efficiency — perhaps, what we want as a result of public policy is to maximize the emergence of polyvalent interpretations of a given technology, so that new interpretations of it and its uses can emerge in the communities using it.
That said, some Marxist thinkers — Raymond Williams, for example — have thought about complexity as a value that the Left should go after. Simplicity, as an overarching goal, just doesn’t easily square with progressivism as an ideology of the new and the different. And I think that Williams got it right: the answer to greater complexity lies in culture, broadly conceived.
So, instead of trying to answer to the neoliberals by claiming that the right counterpart to the market is the plan, perhaps the Left should be arguing that the right counterpart to the economy — as an organizing goal and method of this market modernism I’ve already mentioned — is culture, conceived not just as high culture but also the mundane culture of the everyday. After all, it’s as productive of innovations as the “economy” — we just don’t have the right system of incentives and feedback loops to scale them up and have them propagated through other parts of society (this is what capitalism excels at when it comes to innovations by individual entrepreneurs).
Simón Vázquez
There are many debates in the European Union, the United States, and China about technological sovereignty. In many cases, they are capitalist visions, trying to protect national industries and escape what we could call free markets. You have used this same concept on several occasions in your interviews in Brazil. How does this type of digital autonomy differ and what dimensions does it comprise?
Evgeny Morozov
Well, there’s a pragmatic element to it and a utopian element. Pragmatically, I don’t think that technological sovereignty in the near term is achievable without reliance on some kind of domestic counterparts to the American and Chinese providers of the same services, be they in the sphere of cloud computing, 5G, or AI. On a more utopian plane, we are talking about a policy agenda that would harvest these services not in order to preach the gospel of start-ups and incubators — as often happens when the likes of Emmanuel Macron talk about it — but would actually push for a more sophisticated industrial agenda. In the Global South’s case, it would mean shifting away from a development model tied to exporting raw materials, as these economies (especially in Latin America) have done traditionally. But both on utopian and pragmatic grounds, it’s important to keep this discussion tethered to a discussion about economics — and not just about innovation or national security. Without economics, the agenda of technological sovereignty will always be flat and somewhat one-dimensional.
Simón Vázquez
Given the current geopolitical correlation of forces, the existence of progressive governments in Latin America, and the consolidation of the BRICS as an active nonaligned movement in the ongoing “Cold War 2.0” between the United States and China, do you think that the Global South can be a kind of global outpost, an inclusive vanguard in terms of technology? What forms do you think a digital internationalism would take in this context?
Evgeny Morozov
I don’t quite see where else this opposition to the hegemony of Silicon Valley can come from. It has to rely on regional and international partnerships and alliances, for the simple reason that the costs involved are too huge. But the extra factor is to avoid getting into individual negotiations with the likes of Google and Amazon. While I don’t believe in the techno-feudal thesis that preaches that these companies are not as powerful as nation-states, they do have the American state behind them — and often that state is, in fact, more powerful than the states in the Global South. That’s why it’s important to reexamine past efforts at such cooperation that had technological sovereignty as their goal, the Andean Pact being the foremost example.
Signed by five nations in Peru, this pact’s main objective was to overcome external trade barriers and promote regional cooperation to foster industrialization and economic development. Orlando Letelier, Chile’s foreign minister under Allende, led the negotiations, highlighting the need to address the exploitation derived from technological property and dependence on foreign companies. Letelier proposed the creation of something like a technological equivalent of the International Monetary Fund (IMF), the Andean Pact, to facilitate developing countries’ access to technological advances and patents. These are the kind of ideas at the international level that we need today.
Andean Community
▻https://en.m.wikipedia.org/wiki/Andean_Community
The Andean Community (Spanish: Comunidad Andina, CAN) is a free trade area with the objective of creating a customs union comprising the South American countries of Bolivia, Colombia, Ecuador, and Peru. The trade bloc was called the Andean Pact until 1996 and came into existence when the Cartagena Agreement was signed in 1969. Its headquarters are in Lima, Peru.
#Chili #Andean_Pact #cybersyn #technologie #cybernétique #Weltraumkommumismus #histoire #socialisme #marxisme #impérialisme #tiers_monde #développement
]]>[Bruxelles nous habite] #61
▻https://www.radiopanik.org/emissions/bruxelles-m-habite/61
Nous parlerons de l’acquisition immobilière pour pérenniser des tiers-lieux associatifs / projets de vie sortant d’un « moule » avec :
Geert de Paauw, pour CLTB / Fair Ground Brussels ; Solina de Daryacu, une maison collective et solidaire ; et Krek, notre acolyte qui sera en direct du Nova pour la soirée d’information autour de leur projet d’achat.
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/bruxelles-m-habite/61_16918__1.mp3
]]>Performance Tip of the Week #64: More Moore with better API design
▻https://abseil.io/fast/64
Originally posted as Fast TotW #64 on October 21, 2022
By Chris Kennelly
Updated 2023-10-10
Quicklink: abseil.io/fast/64
Optimizing library implementations only carries us so far in making software more efficient. In this episode, we discuss the importance of good APIs and the right abstractions for finding optimization opportunities. As we can make the hardware–especially with the end of Moore’s Law–and software run only so fast, the right abstractions give us continued optimization opportunities.
Correctness is paramount
We can simplify an implementation down to return 42; regardless of the input to see blazing fast results, but an API that doesn’t work correctly isn’t doing its job.
“Subtle” and “clever” code has costs for both maintainers and users alike. Today’s tricky edge cases can be (...)
]]>Performance Tip of the Week #60: In-process profiling: lessons learned
▻https://abseil.io/fast/60
Originally posted as Fast TotW #60 on June 6, 2022
By Chris Kennelly
Updated 2023-10-15
Quicklink: abseil.io/fast/60
Google-Wide Profiling collects data not just from our hardware performance counters, but also from in-process profilers.
In-process profilers can give deeper insights about the state of the program that are hard to observe from the outside, such as lock contention, where memory was allocated, and the distribution of collisions on a hashtable. In this tip we discuss how to determine that a new profiler is necessary, and the best practices for producing one.
Overview
“The purpose of computing is insight, not numbers.” – Richard Hamming
Developing a new profiler and augmenting existing ones allows us to have more information to make optimization decisions and aid debugging. (...)
]]>Les bobines de la villes #6 – Inégalités raciales et histoires coloniales dans la ville
Les Bobines de la ville #6 – Inégalités raciales et histoires coloniales dans la ville est le sixième épisode d’une série de courts-métrages pédagogiques tout public sur les questions urbaines. Il a été réalisé dans le cadre de plusieurs cycle d’ateliers auprès de groupes d’adolescent.es et d’adultes du 20e et 19e arrondissement de Paris et intègre également des micro-trottoirs récoltés lors de ces ateliers dans l’espace public du 20eme et 19e arrondissement. Ce film a été réalisé avec le soutient financier de : la Ville de Paris, la CAF de Paris, l’ANCT et la DRAJES
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/09/25/les-bobines-de-la-villes-6-inegalites-raciales
]]>[Surreal Sound System] #600 - Special Belgium
▻https://www.radiopanik.org/emissions/surreal-sound-system/600-special-belgium
Yes, you read it right. Notre 600e à Panik ! Et vu que ca tombe la veille du 21 juillet, le sujet est tout trouvé :)
Surreal Sound spéciale Belgium, uniquement des artistes belges dans tous les styles : disco, minimal wave, techno rave, jazz etc...
De 20h30 à ... ? ..., ; +/- 00:06
Tonight you have heard the following and ’l’union fait la force’ (very partial tracklist)
Pas De Deux & Big Band - Rendez-Vous Les Tueurs De La Lune De Miel - Prends l’Avion Pour Un Autre Là Bas Transvolta - Disco Computer The Rogers - Cosmos 81 Autumn - The Third Autumn André & Leslie - Stress
Les Snuls - AvoirFacilePourAvoirBon Grand Jojo - Patrouille De Nuit Snowy Red - Euroshima Arbeid Adelt - Death Disco Public Relations - 88
Opus 303 - Le Mystère
Asmodaeus - Radiation Dance Absolute Body Control - (...)
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/surreal-sound-system/600-special-belgium_16263__1.mp3
]]>Dans le noir la nuit : Anima Sola #6
Récit poétique à partir d’images créées par procuration.
▻https://liminaire.fr/palimpseste/article/l-ombre-bleutee
Je me dresse en soupirant de bonheur. Dans le contrejour de cette fin de journée sur la plage, rythmée par le bruit des vagues, le ressac incessant. Je ne parviens pas à identifier la femme regardant l’horizon devant moi. Je crois la connaître mais je n’en suis pas certaine. Les traits de son visage s’efface sous la trop forte luminosité. La chaleur fait trembler l’air, trouble transparence.
(...) #Écriture, #Langage, #Poésie, #Lecture, #Photographie, #Littérature, #Art, #AI, #IntelligenceArtificielle, #Dalle-e, #Récit (...)
]]>antiAtlas Journal #6 : Patrick Suter, Hétérographies et polyphonies littéraires
▻https://www.antiatlas.net/antiatlas-journal-6-heterographies-patrick-suter-heterographies-et-polyph
La revue antiAtlas Journal invite pour son n°6 Hétérographies l’écrivain, critique et traducteur suisse Patrick Suter, professeur extraordinaire de littératures … Continuer la lecture de « antiAtlas Journal #6 : Patrick Suter, Hétérographies et polyphonies littéraires » L’article antiAtlas Journal #6 : Patrick Suter, Hétérographies et polyphonies littéraires est apparu en premier sur antiAtlas des frontières.
]]>antiAtlas Journal #6 : Lauren Lee McCarthy, You Can Say
▻https://www.antiatlas.net/antiatlas-journal-6-lauren-lee-mccarthy-you-can-say
La revue antiAtlas Journal invite pour son n°6 « Hétérographies » l’artiste Lauren Lee McCarthy, qui s’intéresse aux enjeux des … Continuer la lecture de « antiAtlas Journal #6 : Lauren Lee McCarthy, You Can Say » L’article antiAtlas Journal #6 : Lauren Lee McCarthy, You Can Say est apparu en premier sur antiAtlas des frontières.
]]>Des centaines de morts, mais Le Figaro a pensé qu’il fallait que tu le sachiasses : Naufrage en Grèce : un bateau d’une richissime famille mexicaine a participé au sauvetage de migrants
▻https://www.lefigaro.fr/international/naufrage-en-grece-un-bateau-d-une-richissime-famille-mexicaine-a-participe-
Estimé à 175 millions de dollars
Ce bateau pesant très exactement 3879 tonnes était arrivé de Naples, en Italie, où il a été enregistré au port entre le 6 et le 7 juin. Il a ensuite pointé en Grèce ce mercredi, selon Vessel Finder, qui suit le trafic maritime en temps réel. Fabriqué par la société de construction navale allemande Blohm & Voss, il est estimé à près de 175 millions de dollars et incarne, d’après le site SuperYachtFan, le « luxe incarné en mer ».
]]>Commémoractions #2022
Paris d’Exil signe l’appel international à une commémoraction des mort•e•s des frontières le 6 février 2022
▻https://www.parisdexil.org/commemoraction
#commémor'action #commémoration #morts_aux_frontières #mourir_aux_frontières #migrations #asile #réfugiés #cartographie #visualisation #commémoraction
]]>Dans mon bled, la CGT du coin a déjà appelé à une #casserolade demain soir devant la préfecture.
#retraites #foutonslezbeul #64AnsCestToujoursNon #1erMai #1Mai2023
►https://files.mastodon.social/media_attachments/files/110/299/426/783/257/655/original/7d92a5e1278cec58.mp4
]]>[Djiboutik] Calypso #6
▻https://www.radiopanik.org/emissions/djiboutik/calypso-6
Pour un peu mieux savoir ce qu’est le créole, comment ça marche et l’histoire du créole français dans le calypso.
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/djiboutik/calypso-6_15750__1.mp3
]]>Tourcoing : la chanteuse Zaho de Sagazan annoncée sur la scène du Grand Mix - La Voix du Nord
▻https://www.lavoixdunord.fr/1317217/article/2023-04-17/tourcoing-la-chanteuse-zaho-de-sagazan-annoncee-sur-la-scene-du-grand-m
Zaho de Sagazan, la chanteuse française du moment, est annoncée sur la scène du Grand Mix, à Tourcoing, en décembre prochain.
Par Vincent Depecker
C’est l’artiste du moment, le phénomène pop de la rentrée, un « nouvel espoir de la chanson française » qui vient d’avoir les honneurs de la dernière une du magazine culturel Télérama.
Zaho de Sagazan est annoncée sur la scène du Grand Mix, le 14 décembre 2023 à 20 heures, dans le cadre du festival Pop Factory #6 qui a pour ambition de valoriser la « French Pop ».
Avec ce concert (en plus de quelques guests), le Grand Mix marque assurément un gros coup. Zaho de Sagazan, jeune chanteuse originaire de Saint-Nazaire, doit se produire en première partie du (probable) concert de Stromae, à la Défense Arena avant d’enchaîner le Trianon (complet), l’Olympia et le Printemps de Bourges. Là-bas, comme à Tourcoing, elle jouera les titres de son premier album, La Symphonie des éclairs, sorti le 31 mars dernier.
Billetterie ouverte sur les sites legrandmix.com ou tickandyou.com ; 26 euros tarif normal, 22 euros tarif abonnés, 18 euros - de 18 ans.
]]>Réforme des retraites : « La décision du Conseil constitutionnel s’impose mais, parce qu’elle est mal fondée et mal motivée en droit, elle ne peut pas clore le contentieux »
▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/04/16/reforme-des-retraites-la-decision-du-conseil-constitutionnel-s-impose-mais-p
Le constitutionnaliste Dominique Rousseau souligne, dans une tribune, les contradictions de la décision de l’institution de la rue de Montpensier sur la réforme des retraites qui fait selon lui « souffrir la logique juridique ».
Inutile d’aller chercher dans le mode de nomination des membres du Conseil constitutionnel, dans leur passé politique, dans la mise au jour des intérêts particuliers et connivences des uns et des autres pour qui veut discuter la décision du vendredi 14 avril. Il suffit, simplement, de la lire pour qu’en sorte la critique :
« § 65. En dernier lieu, la circonstance que certains ministres auraient délivré, lors de leurs interventions à l’Assemblée nationale et dans les médias, des estimations initialement erronées sur le montant des pensions de retraite qui seront versées à certaines catégories d’assurés, est sans incidence sur la procédure d’adoption de la loi déférée dès lors que ces estimations ont pu être débattues. » Enorme !
« § 69. D’autre part, la circonstance que plusieurs procédures prévues par la Constitution et par les règlements des assemblées aient été utilisées cumulativement pour accélérer l’examen de la loi déférée, n’est pas à elle seule de nature à rendre inconstitutionnel l’ensemble de la procédure législative ayant conduit à l’adoption de cette loi. » Enorme !
« § 70. En l’espèce, si l’utilisation combinée des procédures mises en œuvre a revêtu un caractère inhabituel, en réponse aux conditions des débats, elle n’a pas eu pour effet de rendre la procédure législative contraire à la Constitution. Par conséquent, la loi déférée a été adoptée selon une procédure conforme à la Constitution. » Enorme !
« § 11. D’autre part, si les dispositions relatives à la réforme des retraites, qui ne relèvent pas de ce domaine obligatoire, auraient pu figurer dans une loi ordinaire, le choix qui a été fait à l’origine par le Gouvernement de les faire figurer au sein d’une loi de financement rectificative ne méconnaît, en lui-même, aucune exigence constitutionnelle. Il n’appartient pas au Conseil constitutionnel de substituer son appréciation à celle du législateur à cet égard, mais uniquement de s’assurer que ces dispositions se rattachent à l’une des catégories mentionnées à l’article L.O. 111-3-12 du Code de la sécurité sociale. » Enorme !
Le Conseil constitutionnel reconnaît ainsi que des ministres ont délivré des « estimations erronées » lors des débats parlementaires, que plusieurs procédures ont été utilisées « cumulativement » pour accélérer l’adoption de la loi et que l’utilisation combinée des procédures mises en œuvre a un « caractère inhabituel ».
Un doute sur le bien-fondé juridique de la décision
Il était donc logique en droit qu’il en conclue que le principe de clarté et de sincérité des débats parlementaires n’avait pas été respecté. Or, il juge que tous ces défauts ne rendent pas inconstitutionnel l’ensemble de la procédure législative...
]]>Du pain et des parpaings #6 - La forêt, de l’extractivisme à la réappropriation collective | Radio Pikez | Ecoutez hearthis.at
▻https://hearthis.at/radiopikez/dpedp6-forets
Du pain et des parpaings, une série d’émissions mensuelle sur les luttes contre l’accaparement des terres, la gentrification, l’agro-industrie, le capitalisme vert, le pourrissement des écosystèmes, le colonialisme, l’extractivisme des corps et des matières, le tout principalement en Bretagne mais pas que. Parce que les luttes ne sont pas que locales, elles s’insèrent le plus souvent dans un système économique et politique global, délétère et injuste.
Dans cette sixième émission, on balaie une histoire des usages de la forêt en France, en évoquant l’exploitation guerrière, coloniale et capitaliste. Pour arriver à l’échelle extractiviste actuelle, couplée pour la forme avec un greenwashing bien huilé. On en parle notamment avec Metig Jakez-Vargas de la revue Z.
Puis on entre dans les bois pour observer celleux qui défendent une forêt qui vit, qui se régénère, qui se partage et se protège, avec Adam, bûcheron de métier et de passion.
▻https://static.piaille.fr/media_attachments/files/110/142/052/858/618/116/original/ee50a93eeef0f8a2.mp4
]]>Motion de censure : « Tout repose sur le vote » des députés LR, affirme Charles de Courson - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=VD8txP8_9UU
(s’abstraire des interventions des « journalistes »…)
]]>Dix années de guerre civile (#Barta, 6 février 1944)
Quand le 6 février 1934, sous prétexte de lutter contre la « corruption », les #bandes_fascistes faillirent s’emparer du Palais Bourbon, une grande émotion s’empara des ouvriers et des milieux populaires de Paris et de province.
La veille encore de soi-disant chefs répétaient : « La France n’est pas l’Allemagne ». Mais en Allemagne aussi les ouvriers avaient été bernés par de pareils leaders qui leur disaient, en présence des bandes de Hitler, que « l’Allemagne n’est pas l’Italie ».
Malgré l’échec en ce qui concerne le but principal, la tentative fasciste du colonel de la Rocque et des différentes ligues paramilitaires ouvrait en France une époque de guerre civile qui ne pouvait se terminer que par la victoire du capitalisme sur les masses réduites à l’impuissance et à un niveau de vie inférieur ("vaincre la crise") ou par la victoire du socialisme, c’est-à-dire l’expropriation des capitalistes par le prolétariat.
L’entrée en scène des bandes fascistes pour soutenir le capitalisme ouvrit la série des gouvernements extra-parlementaires, les gouvernements des décrets-lois et des mesures anti-démocratiques, qui eurent ce caractère sans exception de Doumergue, en passant par Léon Blum, jusqu’à Daladier et Reynaud.
Au coup fasciste les masses prolétariennes ripostèrent par la #grève_générale_du_12_février, qu’elles imposèrent à la direction capitularde de la #CGT et de la #SFIO, et au #PC qui avait manifesté seul le 9 février. Par une politique instinctive et par une volonté puissante de combat, les masses prolétariennes réalisaient ainsi l’unité prolétarienne de combat, par dessus la tête des vieilles organisations.
L’histoire des années qui suivirent peut se résumer ainsi : les masses, et non seulement les masses ouvrières mais l’immense majorité de la population pauvre des villes et des campagnes, voulaient en finir avec un régime qui les vouait à la misère et à l’insécurité. Mais leur poussée se heurta à la politique des organisations ouvrières officielles (CGT, #CGTU, SFIO, #SFIC) qui, elles, s’accrochèrent au cadavre pourrissant du #parlementarisme. Les masses entrèrent en lutte d’une façon décisive en juin 1936. Mais au lieu de pousser la lutte, à travers les étapes nécessaires jusqu’au renversement de la bourgeoisie, le parti « communiste » donna le signal de la retraite sur la base des #accords_Matignon : « il faut savoir finir une grève », tel est le « bolchévisme » qu’enseigne Thorez aux travailleurs de France au moment-même où la révolution espagnole se transformait en LUTTE ARMEE.
Toute l’histoire de la #classe_ouvrière montre que si l’on n’ose pas aller jusqu’au bout, toute demi-victoire mène à une grande défaite. Juin 1936 fut une demi-victoire que le #Front_Populaire (alliance des partis ouvriers avec les agents « démocratiques » de l’#impérialisme : Daladier, Sarraut, Cot, etc...) transforma en une grande défaite. A juin succédèrent les #fusillades_de_Clichy en 1937, quand le « socialiste » #Dormoy fit tirer sur les manifestants ouvriers. La #grève_générale de novembre 1938 à laquelle les masses participèrent avec dévouement sous le coup des sanctions impitoyables prises par le #gouvernement_Daladier, échoua parce qu’à la tête des organisations se trouvaient les mêmes chefs bons à encaisser les cotisations, mais non à se battre contre la bourgeoisie.
Mais c’est la guerre impérialiste à l’extérieur qui permit à la bourgeoisie de porter le coup décisif aux masses. De novembre 1939 à juin 1940 #Daladier et Reynaud introduisirent le système des camps de concentration, de la chasse à l’étranger, des emprisonnements, des tortures et de la peine de mort contre les militants de la classe ouvrière adversaires de leur politique, montrant ainsi ce que cachait véritablement l’écran du parlementarisme : l’Etat bourgeois, c’est-à-dire « des hommes armés et des prisons » (Engels).
Après juin 1940, avec l’#Occupation, ce système prit une ampleur exceptionnelle, sa violence décupla, centupla le nombre des victimes. Mais en aurait-il été autrement si #Reynaud était resté au pouvoir derrière des troupes se battant sur le front ?
L’agonie du #capitalisme arrivé au stade impérialiste, ne laisse pas d’autre issue aux masses qu’une guerre civile menée jusqu’au bout, jusqu’au renversement du capitalisme. Sans cette volonté du prolétariat d’aller jusqu’au bout dans sa guerre civile contre la bourgeoisie c’est la bourgeoisie qui mène jusqu’au bout sa #guerre_impérialiste à l’extérieur et sa #guerre_civile à l’intérieur contre le #prolétariat.
A BAS LA GUERRE IMPERIALISTE !
VIVE LA GUERRE CIVILE CONTRE LA BOURGEOISIE !
#lutte_de_classe #fascisme #extrême_droite #émeutes_fascistes
]]>David Crosby, “What are their names?” (1971)
▻https://www.youtube.com/watch?v=9a0rDLlSGSo
I wonder who they are
The men who really run this land
And I wonder why they run it
With such a thoughtless hand
What are their names and on what streets do they live?
I’d like to ride right over this afternoon and give
Them a piece of my mind about peace for mankind
#Peace is not an awful lot to ask
]]>#6_février 2023 - MIGRER EST UN DROIT !
#Journée_mondiale_de_lutte_contre_le_régime_de_mort_aux_frontières et pour exiger la vérité, la justice et la réparation pour les victimes de la migration et leurs familles
Nous sommes parents, amis et amies de personnes décédées, portées disparues et/ou victimes de disparitions forcées le long des frontières terrestres ou maritimes, en Europe, en Afrique, en Amérique.
Nous sommes des personnes qui ont survécu à la tentative de traverser les frontières à la recherche d’un avenir meilleur.
Nous sommes des citoyen.e.s solidaires qui aident les immigré.e.s durant leur voyage en fournissant une aide médicale, de la nourriture, des vêtements et un soutien lorsqu’ils se trouvent dans des situations dangereuses pour que leur voyage ait une bonne fin.
Nous sommes des activistes qui ont recueilli les voix de ces immigrés et de ces immigrées avant leur disparition, qui s’efforcent d’identifier les corps anonymes dans les zones frontalières et qui leur donnent une sépulture digne.
Nous sommes une grande famille qui n’a ni frontières ni nationalité, une grande famille qui lutte contre les régimes de mort imposés à toutes les frontières du monde et qui se bat pour affirmer le droit de migrer, la liberté de circulation et la justice globale pour tous et toutes.
Année après année, nous assistons aux massacres en cours aux frontières et dans les lieux de détention conçus pour décourager les départs des personnes migrantes. Nous ne pouvons pas oublier ces victimes ! Nous ne voulons pas rester silencieux face à ce qui se passe !
En février 2020, familles et militants se sont réunis à Oujda pour organiser le premier Grand CommémorAction. A cette occasion, nous avons choisi la date du 6 février, jour du massacre de Tarajal, comme date symbolique pour organiser des événements décentralisés dans tous les pays du monde contre la militarisation des frontières et pour la liberté de circulation.
En septembre 2022, nous nous sommes réunis à Zarzis en Tunisie pour la deuxième Grand CommémorAction et à cette occasion nous avons réaffirmé notre volonté de continuer à construire la date du 6 février comme une journée pour unifier toutes les luttes que de nombreuses organisations mènent chaque jour pour dénoncer la violence mortelle des régimes frontaliers du monde et pour exiger vérité, justice et réparation pour les victimes de la migration et leurs familles.
Nous demandons à toutes les organisations sociales et politiques, laïques et religieuses, aux groupes et collectifs des familles des victimes de la migration, aux citoyens et citoyennes de tous les pays du monde d’organiser des actions de protestation et de sensibilisation à cette situation le 6 février 2023.
Nous vous invitons à utiliser le logo ci-dessus, ainsi que vos propres logos, comme élément pour souligner le lien entre toutes les différentes initiatives. Tous les événements qui auront lieu seront publiés sur la page Facebook Commemor-Action.
Migrer pour vivre, pas pour mourir !
Ce sont des personnes, pas des chiffres !
Liberté de mouvement pour tous et toutes !
Pour adhérer à l’appel, vous pouvez écrire à : globalcommemoraction@gmail.com
▻https://migreurop.org/article3150.html?lang_article=fr
#commémoraction #commémoration #migrations #asile #réfugiés #mourir_aux_frontières #décès
]]>Quelle situation économique en #Russie ? – Séminaire Franco-Russe #64 – Jacques Sapir
▻https://www.les-crises.fr/quelle-situation-economique-en-russie-seminaire-franco-russe-64-jacques-s
La 64ème session du séminaire franco-russe s’est tenu à Moscou, en partie en présentiel et en partie par vidéo conférence, les 21, 22 et 23 novembre 2022. Ce séminaire était coorganisé par l’Institut de Prévision Économique de l’Académie des Sciences de Russie (INP ASR, Moscou), l’Institut d’économie et d’organisation de la production industrielle SB ASR […]
]]>Le Cri du lapin #69 - Numéro spécial Elon Musk et Twitter
▻https://mailchi.mp/lecridulapin/le-cri-du-lapin-1-vaches-virtuelles-gamejam-de-lextrme-et-jeux-114984?e=4827
Scènes de chaos à San Francisco
La chute de l’oiseau bleu
Résumé de deux semaines de descente dans la folie, par notre correspondant de guerre.
4 novembre
• La moitié des effectifs de Twitter, soit environ 3 700 personnes, est renvoyée par mail. Parmi eux, on compte la quasi-totalité des équipes chargées de l’éthique et de l’accessibilité, celle chargée de garantir la transparence des algorithmes et des personnes qui avaient travaillé tout le week-end pour mettre en place le nouveau système de vérification.
• Dans un tweet aux accents trumpistes, Musk explique que le site connaît une baisse importante de son revenu publicitaire en raison de « militants qui font pression sur les annonceurs », preuve selon lui qu’ils veulent « détruire la liberté d’expression aux États-Unis ». Un spécialiste de marketing bien intentionné tente de lui expliquer que les militants n’y sont pour rien, que les marques ont avant tout envie de sécurité et de s’assurer que leurs annonces ne vont pas se retrouver sur une plateforme bourrée de contenu toxique. Musk le bloque immédiatement.
]]>49.3 : Comment on vire un gouvernement ? - FAQ Politique #6 - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=fli0fdSHZ44
Nouvel épisode des FAQ Politiques ! N’hésite pas à poser tes questions sur la politique et les institutions en stream !
Programme :
00:00 : Pourquoi la rentrée parlementaire n’a-t-elle lieu qu’en octobre ?
01:55 : Pourquoi le Président ne dissout-il pas l’Assemblée ?
03:00 : Mais c’est quoi le 49.3 en fait ?
06:59 : C’est quoi le vote de confiance ?
09:07 : Que se passe-t-il lors d’une censure de gouvernement ?
10:25 : Que se passe-t-il si le budget n’est pas voté ?
]]>« 61 rue Schaeffer », écoutez les luttes des personnes sans-papiers
▻https://radioparleur.net/2022/06/29/61-rue-schaeffer-ecoutez-les-luttes-des-personnes-sans-papiers
Cette semaine dans l’Actu des Luttes, on vous propose un documentaire exclusif. Avec 61 rue Schaeffer, écoutez le récit conté d’une histoire vraie, celle du Collectif Schaeffer. Découvrez comment ces habitant·es, tous et toutes sans-papiers en situation de précarité, se rencontrent, s’accordent et se mobilisent pour mener un même combat face à « l’accueil de merde » […] L’article « 61 rue Schaeffer », écoutez les luttes des personnes sans-papiers est apparu en premier sur Radio Parleur.
]]>Palestinian Child Dies From Serious Wounds He Suffered In Ramallah
Jun 25, 2022 – IMEMC News
▻https://imemc.org/article/soldiers-shoot-and-abduct-a-young-man-near-ramallah
The Palestinian District Coordination Office (DCO) has confirmed that a Palestinian child, who was shot and seriously injured by Israeli army fire near Ramallah Friday, has succumbed to his wounds at an Israeli hospital on Saturday dawn.
The DCO said the Israeli side officially informed that Mohammad Abdullah Saleh Hamed, 16, from Silwad town, east of the central West Bank city of Ramallah, had succumbed to his serious wounds.
The soldiers shot Hammad during protests that took place after several Israeli military jeeps invaded Silwad.
Talking to Palestine TV, Silwad Mayor Raed Nimir said that he was shot with a bullet in the face near bypass road #60 and added that his corpse will be transferred to his family in the evening today, Saturday, before the official burial ceremony is held on the same day.
At the time of his injury, Abdullah’s name or age remained unknown; however, his condition was known to the Palestinians to be serious before the army took him away. (...)
]]>Législatives - Français à l’étranger - 1er tour
#circo - LREM vs Nupes / participation
#1 - 35 vs 33 / 21%
#2 - 34 vs 28 / 15%
#3 - 38 vs 31 / 28%
#4 - 38 vs 32 / 29%
#5 * 24 vs 27 / 24%
#6 - 36 vs 20 / 22%
#7 - 34 vs 26 / 29% (LREM est Modem)
#8 - 28 vs 27 / 12% (UDI/LR vs LREM)
#9 * 27 vs 39 / 14%
#10 - 32 vs 22 / 19%
#11 - 38 vs 24 / 28%
les sortant.e.s sont tous des LREM
(ou le contraire) ; sauf 8e (UDI) et 9e (candidate LREM pas sortante).
les écarts au 1er tour sont tous >5%, sauf 1ere, 5e et 8e.
participation 20-30%, sauf 2e, 8e et 9e à 12-15%
Nupes en tête : 2/11 (5e et 9e)
LREM en tête : 8/11
Valls était dans la 5e, fait 15% et appelle à voter pour le sortant, dissident LREM.
source : ►https://lepetitjournal.com/expat-politique/actualites/resultats-premier-tour-legislatives-francais-etranger-339557
]]>Useless Talents | Planet terror Wiki | Fandom
▻https://planetterror.fandom.com/wiki/Useless_Talents
in: Planet Terror
Useless Talents
The Useless Talents are a set of talents or traits one can have that are regarded as not having any purpose.
Contents
1 In The Film
2 Useless Talents
2.1 Useless Talent #12
2.2 Useless Talent #32
2.3 Useless Talent #66
2.4 Useless Talent #37
Useless Talent #12
This talent is go-go dancing. Skip had asked Cherry if she know what a go-go dance is, to which she responds that it is Useless Talent #12.
▻https://www.getyarn.io/yarn-clip/aa1df92a-238e-4d31-bb05-a5681689e8d5
▻https://y.yarn.co/aa1df92a-238e-4d31-bb05-a5681689e8d5.mp4
Useless Talent # 32
This is riding a motorcycle. Upon leaving The Bone Shack, Wray asks Cherry if she remebers how to ride one. Cherry replied by saying that it is.
Useless Talent #37
This Useless Talent was not clearly stated. After Cherry attacks Rapist #1, Dr. Dakota grabbed her needles that she kept straddled to her hip and shoots Rapist #2. Cherry had asked her where she got those from and Dakota replied by saying “Useless Talent #37.” It can be speculated that Useless Talent #37 is either carrying a hidden weapon or being an anesthesiologist.
▻https://www.getyarn.io/yarn-clip/7cb7e917-aaa5-4998-a9ae-9624c0a5f870
▻https://y.yarn.co/7cb7e917-aaa5-4998-a9ae-9624c0a5f870.mp4
Useless Talent # 66
Useless Talent #66 is performing a backbend. As Cherry and Dakota were held captive by Rapist #1 and Rapist #2, Cherry asks Dakota if she is a doctor, to which she repsonded by saying that she was earlier tonight. Dakota then asks her if she is a dancer and Cherry says the same answer. Cherry then added that she always wanted to be a doctor, but instead she can perform a backbend. Cherry utilizes this useless talent while avoiding an attack from a Sicko.
▻https://getyarn.io/yarn-clip/6460761c-a969-4fa9-873b-72b16f0f9e4a
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