• Je t’attends à Charonne

      La répression au métro #Charonne de la manifestation du #8_février_1962 est un cas de violence policière qui a lieu autour et dans la station de #métro Charonne à Paris, à l’encontre de personnes manifestant contre l’#Organisation_armée_secrète (#OAS) et la #guerre_d'Algérie, faisant finalement neuf morts.

      Étant donné le contexte des plus tendus et l’#état_d'urgence décrété en avril 1961 après le putsch d’Alger, la #manifestation, organisée par le Parti communiste français et d’autres organisations de gauche, avait en effet été interdite, et le préfet de police de Paris, Maurice Papon, avait donné l’ordre de la réprimer, avec l’accord du ministre de l’Intérieur, Roger Frey, et du président de la République, Charles de Gaulle.

      Parmi les manifestants qui essaient de se réfugier dans la bouche de la station de métro, huit personnes trouvent la mort, étouffées ou à cause de fractures du crâne, ainsi qu’une neuvième à l’hôpital, des suites de ses blessures.

      –—

      L’automne va mourir
      Et l’on entend déjà
      Le printemps refleurir
      Aux branches des lilas
      C’est une éternité
      Quand on est amoureux
      Tu verras mille étés
      Éclabousser ses yeux
      C’est aujourd’hui l’hiver
      Et c’est encore printemps
      La nature est au vert
      Lorsque l’on a vingt ans

      Marie, ô Marie, je t’aime
      Tu es mon premier baptême
      Marie, que l’amour me pardonne
      On m’appelle à Charonne

      On l’appelle à Charonne
      Et moi je reste là
      Ni Dieu ni la Madone
      N’ont plus d’amour que moi
      Ça me brûle le cœur
      D’une douleur si tendre
      Que c’est encore bonheur
      Pour moi que de t’attendre
      Je t’attends, je t’attends
      Comme l’oiseau qui mourut
      D’attendre le printemps
      Où il l’avait connue

      Marie, ô Marie, je t’aime
      Tu es mon premier baptême
      Marie, que l’amour me pardonne
      J’ai si peur à Charonne

      Il a peur à Charonne
      Mon Dieu, prends-lui la main
      Pour venir de Charonne
      Il est long le chemin
      Quelle est cette rumeur
      Venue du fond des temps ?
      J’ai si froid, j’ai si peur
      Daniel, oh ! Reviens-t’en
      Y a notre vie à nous
      Qui dort dedans mon ventre
      Les fleurs s’ mettent à genoux
      Les fleurs te disent « Rentre »

      Marie, ô Marie, je t’aime
      Tu es mon dernier baptême
      Marie, que l’amour me pardonne
      Je t’attends à Charonne

      https://www.youtube.com/watch?time_continue=5&v=GQP7I-uzSkM&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fwww


      #histoire #violences_policières #Leny_Escudero #chanson #musique #musique_et_politique #massacre_de_Charonne

    • Bilan du “massacre de Charonne” ce 8 février 1962 à Paris : 9 morts et plus de 250 blessés. En pleine guerre d’Algérie, après 8 ans de violences, des milliers de manifestants, la plupart militants de gauche, avaient bravé l’état d’urgence pour réclamer la paix. Ils manifestent suite à une série d’attentats de l’Organisation armée secrète (OAS), opposée à l’indépendance de l’Algérie. La veille, une de ces explosions avait défiguré une fillette de 4 ans. A 19h30, alors que l’ordre de dispersion a été donné près du métro Charonne, la police, noyautée par l’extrême droite et sous l’autorité du préfet Maurice Papon, s’en prend aux manifestants. Des années plus tard, des manifestants présents se souviennent de ce traumatisme, qui ne sera jamais jugé. https://www.radiofrance.fr/franceculture/le-massacre-de-charonne-en-1962-ils-s-en-souviennent-8444866

  • Maintien de l’ordre et violences policières : ce que l’histoire nous apprend
    http://theconversation.com/maintien-de-lordre-et-violences-policieres-ce-que-lhistoire-nous-ap

    Les manifestations des gilets jaunes de ces dernières semaines ont soulevé à nouveau la question des violences policières et d’un usage accru de la violence par les forces de l’ordre, une question déjà posée en 2016 à l’occasion du mouvement contre la « loi travail ». On voudrait apporter un éclairage historique sur ce phénomène supposé de « retour » de la violence. Il ne s’agit pas de relativiser les agissements policiers, mais d’inscrire les événements dans l’évolution du maintien de l’ordre en France.
    Calmer le « citoyen momentanément en colère »

    Le maintien de l’ordre repose en France depuis longtemps sur des unités spécialisées : les gendarmes mobiles, apparus en 1921, complétés par les CRS, à partir de 1944, avec le recours à certaines périodes à des unités non permanentes comme les compagnies d’intervention de la Préfecture de Police à Paris dans les années 1950-1960.

    A l’origine de ces forces se trouve la préoccupation de ne plus recourir à l’armée, de ne plus traiter le manifestant comme un « ennemi » mais un « citoyen momentanément en colère ».

    La montée de ces forces est aussi liée au développement de la manifestation canonique dans les formes légitimes d’expression politique depuis la fin du XIXème siècle. Les moyens mortels (armes à feu) sont évacués, remplacés après-guerre par des instruments en principe non létaux dont la matraque est l’emblème, puis les gaz à partir de 1947 et enfin les grenades assourdissantes.
    Les grévistes forcent le barrage de police le 20 mars 1906. Wikimedia
    Un matériel plus sophistiqué

    Depuis Mai 68 (qui avait pris la police au dépourvu), la sophistication du matériel s’est accentuée avec le développement des protections individuelles et des véhicules, le perfectionnement de l’armement. Le maintien de l’ordre s’est aussi technicisé, puisqu’après de longues décennies d’apprentissage « sur le tas » au sein des unités, il fait l’objet d’un enseignement spécifique, comme au centre de Saint-Astier, créé par la gendarmerie au lendemain de Mai 68 puis devenu permanent, où les unités s’entraînent régulièrement dans le décor d’une ville fictive. Les agents s’aguerrissent aux manoeuvres et aussi à la maîtrise de soi nécessaire au métier. Un répertoire s’est alors fixé, fondé sur son caractère défensif, la planification, le contrôle à distance des manifestants, le retardement de l’usage de la force, et le dialogue, voire la cogestion avec les organisateurs des manifestations pour faciliter leur encadrement policier. Depuis quarante ans, les effectifs de ces forces sont restés stables, autour de 30 000 hommes (17 000 gendarmes mobiles, 13 000 CRS). Elles peuvent recevoir le renfort d’autres forces de police, dont le maintien de l’ordre n’est cependant pas le « métier ». Ces interventions ont été à l’origine de violences policières (comme la mort de Malik Oussekine à Paris le 6 décembre 1986).
    CRS et manifestants pendant la lutte contre l’extension du camp militaire, Larzac, France, années 1970. Community of the Ark of Lanza del Vasto/Wikimedia, CC BY-ND
    Quel critère pour définir la violence policière ?

    La question du niveau de violence policière et de son évolution est éminemment complexe. Quel critère retenir en effet ?

    Le seul nombre de morts, souvent retenu, montrerait cependant que le maintien de l’ordre devient plus meurtrier en France à partir de 1879, en particulier pendant la période de l’après-guerre, marquée par la guerre froide et la guerre d’Algérie.

    En témoignent les épisodes sanglants du 17 octobre 1961 et du 8 février 1962, qui ont fait respectivement au moins cent morts et 8 morts à Paris.

    Cette seule courbe contredit l’existence d’un processus séculaire graduel de « réduction de la violence » et de pacification du maintien de l’ordre. En dehors de rares grands événements très meurtriers, il est difficile pour certains spécialistes de juger du niveau de violence policière le critère du nombre de morts dissimule d’autres formes de violence (charges, interpellations et intensité de la répression) et le « niveau de violence » renverrait avant tout aux perceptions de la manifestation.

    Si on s’en tient à ce seul critère mesurable, depuis un siècle, des phases d’apaisement relatif alternent avec des cycles de violence : celui qui oppose les organisations communistes à la police et culmine avec les manifestations contre le général Ridgway en mai 1952, puis la police aux Algériens en 1960-1962. Ces épisodes montrent que la violence policière fait toujours partie du répertoire d’action de l’État et a pu être un recours dans certaines circonstances.
    Contact plus fréquent

    La question du « retour » des violences policières doit être lue à la lumière des transformations du maintien de l’ordre depuis les années 2000. Celui-ci a été modifié par la lutte contre les « violences urbaines », autrement dit les émeutes des quartiers populaires (2005 et 2007). Les unités sont devenues plus mobiles et plus offensives, tant grâce à un armement plus agressif qu’en projetant des forces destinées à interpeller les émeutiers en vue d’une répression judiciaire.

    Il s’ensuit une transformation notable des formes de maintien de l’ordre, où le contact est plus fréquent, avec toutes les occasions de violence que peuvent provoquer de telles situations. Aux dispositifs adoptés lors des manifestations parisiennes des gilets jaunes, on peut appliquer des constats dressés à l’occasion du mouvement contre la loi travail en 2016 .
    Manif du 11 novembre 2018 contre l’invitation de Donald Trump pour les commémorations du 11 novembre 1918 par M. Macron. Jeanne Menjoulet/Flickr, CC BY-SA

    On note ainsi une dimension offensive marquée, avec des tirs de lanceur de balle de défense (LBD) (communément appelé Flashball), le déploiement massif d’unités dédiées à l’interpellation de manifestants par un pouvoir politique désireux d’afficher le soir même « la restauration de l’ordre », en utilisant des agents venus des BAC et de la BRI, et non des professionnels du maintien de l’ordre.

    Tout cela tend à brouiller les frontières entre encadrement des manifestations et police des « violences urbaines ». De telles interventions, perçues comme un usage indiscriminé de la force, ne manquent pas de générer des phénomènes de solidarisation des manifestants et de nouvelles violences.
    Des pratiques françaises pointées du doigt

    A cet égard, les spécialistes pointent des pratiques françaises à rebours des stratégies de « désescalade » menées dans d’autres pays européens, qui passent par le dialogue continu avec les organisateurs et les manifestants : depuis la présence d’officiers de liaison médiateurs, comme les Peace Units aux Pays-Bas, les « officiers de dialogue » en Suède, jusqu’à des panneaux lumineux donnant les instructions de la police à ceux qui défilent.
    Intervention de ‘Peace Units’ néerlandais lors d’une manifestation sportive.

    La sophistication de l’arsenal n’est pas non plus synonyme de pacification : le LBD et les grenades de désencerclement sont des armes susceptibles d’entraîner de graves blessures. Les forces de l’ordre conservent aussi des instruments archaïques, comme les grenades offensives (responsables de la mort de Rémi Fraisse à Sivens en 2014).

    Si l’on peut évoquer un apaisement tendanciel ou relatif de la violence du maintien de l’ordre depuis 1968, la situation reste ouverte : l’usage de la violence dépend in fine du degré de légitimité des protestataires aux yeux de l’autorité politique et des forces de l’ordre.

    #maintien_de_l'ordre

  • Disque Course à pied
    Par le Groupe son de Jef Klak

    http://jefklak.org/disque-course-a-pied

    On ne change pas les bonnes habitudes : le dernier numéro de la revue Jef Klak , (n°5 - « Course à pied ») enflamme vos esgourdes d’un disque de créations sonores inédit. Concocté par le groupe son du collectif tout au long de l’année 2018, il prolonge l’exploration du thème papier. À écouter de toute urgence pour, tour à tour, se sauver, se remémorer, s’arracher, fuir les condés, garder la forme ou même rêver en sprint. Reportages, musiques, interludes du futur : Oï Oï Oyez !

    • Merci. Message transmis au collectif. On en avait déjà discuté dans le groupe, mais je crois que la part « graphique » de Jef avait insisté sur la possibilité d’avoir des visuels avec les sons, ce que archive.org ne semble pas offrir... Bref, un débat récurrent sur : oui pour plus de libre, non pour y sacrifier l’esthétique.. Si vous avez des idées, on prend !

      @intempestive @supergeante

    • Arf, nous voilà encore avec de belles discussions lors de la prochaine AG du collectif, à laquelle vous êtes d’ailleurs convié·es ;-)

      Entre primauté de l’image et absence d’image, il semble tout de même y avoir un pas. Idem entre communication et accueil de l’auditeur·trice. C’est vrai que cela rejoint les débats que nous avions ici sur Facebook par exemple. Pour un petit média comme nous qui peinons à être connu, comment se soustraire aux réseaux sociaux privatifs sans nous condamner à la confidentialité ?

      C’est un peu pareil avec les images : en fait certain·es d’entre nous préfèreraient ne faire que du papier, du CD/Vynile avec livret et ne pas avoir à passer par le net du tout. D’autres pensent qu’on n’est pas assez nombreux·euses pour une diffusion exclusivement papier-CD qui soit conséquente, et que la gratuité relative du net permet un accès à plus de monde, qui n’ont pas forcément les moyens financiers ou l’habitus d’acheter en librairie.

      À partir de là, pourquoi accepter un player unique noir si on ne fait pas un CD monochrome ni une revue sans images, etc. ?

      On se retrouve avec une autre tension : nous retirer du net, ou bien attendre, participer à, la création d’outils informatiques qui soient non pas « user friendly » mais en cohérence avec le minimum d’esthétique et d’ouverture politique que nous essayons de proposer ? Car l’esthétique fait partie du politique et inversement, etc.

      Nous sommes toujours à l’étude d’une rencontre intermédias et « usager·es » de nos médias pour pousser plus avant ces questions en irl. Merci @intempestive de nous rappeler à cette tâche d’organisation que nous avions délaissée. Mais diable, qu’il y a de choses à faire pour si peu de forces en présence !

      À tantôt.

    • Yep, @intempestive la prochaine AG tombe le week-end du 1er décembre, et une partie de l’équipe, notamment sonore sera pourtant à Bruxelles, won’t you ? Pour d’autres qui seraient intéressé·es pour une AG, elles sont ouvertes depuis toujours, il suffit de nous écrire à contact@jefklak.org ;-) Viva ! Ven ven ven !

    • Ça va être la méga fiesta alors. Le programme du 1er décembre est méga fat. Je ne sais pas pour les auditeurs mais à faire les 35 ans 35 heures c’était magique.

      Pour soundcloud, il y a aussi la question de l’obligation de connexion permanente. Par rapport aux podcasts, téléchargeables soundcloud et mixcloud me posent ce problème, l’impossibilité d’écouter hors ligne (Donc débauche de bande passante). J’aime ecouter les créations radio en marchant, au jardin, en voiture, en train, en faisant la cuisjne, la nuit dans mon lit, dans plein d’endroits de non connexion choisie ou forcée.

      Je suis revenue sur la question de la gratuité, et j’ai décidé de payer pour une certain nombre de services faussement gratuits comme l’email. Donc, le problème ce n’est pas ça.

      A la limite, je préfère bandcamp, ou tu peux permettre à la fois l’écoute en streaming et le téléchargement gratuit ou payant. Après, tu peux écouter depuis le logiciel que tu veux les contenus récupérés.

      Le fait de pouvoir en tant que producteurs proposer aux personnes qui écoutent le fait de pouvoir écouter gratuitement à l’essai peux être prolongé par des formes de vente quand c’est nécessaire. Les codes de download sont aussi une façon intermédiaire que ne trouve meilleure que le streaming cloud seul.

    • Sur la question de l’usage des réseaux sociaux, j’en discutait avec des groupes associatifs et militants bruxellois récemment (genre nova etc.) Je trouve difficile de trancher, par ex. Fb c’est aussi une sorte d’agenda d’événements. A panik, il y a des comptes Instagram et un groupe, tous les deux non officiels et autogérés par les émissions que ça branche. C’est une sorte de décision non décision conseunsuelle. Je sais que c’est vital pour certaines émissions, pas pour d’autres. J’ak tendance a suggerer d’utiliser seenthis ou mastodon et d’utiliser les flux rss automatiques pour renvoyer vers Twitter ou fb. Ça permet d’être visible tout en renvoyant votre public ou utilisateurs vers une autre plateforme... Je ne vois pas de solution simple. Je donne des cours à des 20-25 ans et on ne vit pas du tout dans le même monde, c’est difficile de juste refuser ces plateformes, je crois qu’il est possible de penser une sorte de moyen terme sans renoncer à ses valeurs ou identité politique.

      Un autre débat, c’est la question de la vidéo à la radio, mais on an discutera une autre fois ?

  • #Perturbations #trafic #sncf grandes lignes les 8-9 février #2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-sncf-grandes-lignes-les-8-9-fevrier-2014

    En raison d’un mouvement social local le trafic des TER sera perturbé dans la région Rhône-Alpes jusqu’au dimanche 9 février 2014. Les #trains circulant entre Dax et Pau et dans les Landes ...Cet article Perturbations trafic SNCF grandes lignes les 8-9 février 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_Grandes_Lignes #8_fevrier #Elipsos #greve #Intercités #lunea #retards #Teoz #TGV #travaux

  • Une bonne bande dessiné qui parle de la manifestation du 8 février 1962 au métro Charonne : Dans l’ombre de Charonne de Désirée et Alain Frappier.

    Désirée Frappier évoque l’évènement à travers le souvenir d’une manifestante dont elle est proche et a recueilli le témoignage. Alain Frappier a mis le récit en dessin.

    Je suis allé à une rencontre avec les auteurs dans une bibliothèque proche du métro Charonne. C’était une soirée très forte : dans la salle, l’immense majorité des personnes avait les cheveux gris ou blancs, beaucoup avaient vécu la manifestation, soit directement, soit à distance, parfois par un père, une grand-mère. Chacun évoquait ses souvenir, ajoutant un élément qu’il trouvait important, rappelant la mémoire de tel ou tel militant - qui m’était totalement inconnu, mais qui faisait hocher le tête d’acquiescement la moitié de la salle.

    Je n’avais pas l’impression d’être à l’une de ces rencontres formelles, mais au cœur d’un moment très intense, où l’Histoire surgit dans la parole et le visage des personnes à côté de moi. Incroyable comme cette histoire de la guerre d’Algérie nous habite encore. Les auteurs rapportent une phrase de leur héroïne-témoin : « De Charonne, je garde très peu de souvenirs et beaucoup de séquelles ». Eux cherchent à rappeler les souvenir, à leur donner chair dans ces dessins, pour, peut-être, guérir un peu les séquelles.

    http://livre.fnac.com/a3807269/Alain-Frappier-Dans-l-ombre-de-Charonne

    http://ombrecharonne.blogspot.com

    https://www.facebook.com/OmbreCharonne

    La même soirée était présenté Mourir à Charonne, pourquoi ?, un documentaire de Daniel Kupferstein, lui aussi très fort et très instructif.

    #bd #bande_dessinée #documentaire #livre #Charonne #8_février_1962 #Frappier