• Openly Licensed Images, Audio and More | Openverse
    https://openverse.org

    Projet »sponso« par WP.

    Openverse is a tool that allows openly licensed and #public_domain works to be discovered and used by everyone.

    Openverse searches across more than 300 million #images from open #APIs and the Common Crawl dataset. It goes beyond simple search to aggregate results across multiple public repositories into a single catalog, and facilitates reuse through features like machine-generated tags and one-click attribution.

    For many years, #Creative_Commons has offered its users a dedicated search portal for searching platforms that have #CC licensing filters built in. In fact, this is still maintained at oldsearch.creativecommons.org.

    For users of the legacy CC Meta Search site, the “External Sources” feature on Openverse will look familiar. The goal was to ensure that the functionality is not lost, but is updated and embedded within our new search engine for openly licensed content. In addition, the “External Sources” feature builds on this functionality, allowing us to quickly add new external sources as we discover them, and support new content types in the future, as we expand.

    #stock

  • Entretien avec David Revoy : « Au début, publier en licence libre me faisait peur »
    https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Entretien-avec-David-Revoy-Au-debut-publier-en-licence-l

    Faire des bandes dessinées, décider d’en abandonner le droit d’auteur et espérer en vivre en terres capitalistes, mais quelle idée  ! C’est pourtant ce qu’a décidé de faire le bédéiste et militant libriste David Revoy. Retour sur un parcours hors du commun dans les communs.

    Alternative libertaire : Salut David, ton œuvre principale narre les aventures de la jeune sorcière Pepper et de son chat Carrot, et tu diffuses tes œuvres sous licences libres. Qu’est-ce qui t’as mené à faire de tes œuvres des communs  ?

    David Revoy : Au début, les licences libres me faisaient peur, j’avais peur qu’un de mes personnages soit repris, que mon style soit imité, que je n’ai pas de contrôle dessus.

    Dans les années 2009–2010, j’ai travaillé pour la Blender Foundation, la Creative Commons était obligatoire et sous son égide, ça me faisait moins peur. J’ai fait des concept-arts et ça s’est bien passé, j’ai vu de belles dérivations, des fan-arts et aucune dérivation déplaisante, ça m’a beaucoup rassuré. J’ai même vu des effets bénéfiques de propagation, d’audience et d’engouement. Il y avait une plus-value, ça devenait un bien commun, un bac à sable que d’autres créateurs et créatrices pouvaient réutiliser.

    Quand j’ai fait mon propre projet de bande dessinée, Pepper & Carrot [1], c’est devenu une évidence du commun.

    #creative_commons #licence #licence_libre #livre #bd #édition

  • UI Design Daily | Weekly FREE UI resources straight to your inbox
    https://uidesigndaily.com

    My name is Ildiko, I am a designer and interface developer based in Bergen, Norway ⛰️👋

    I started doing daily UI practices back in March 2016, and since then I created more than 1000 designs.

    I planned on creating a #design every week day until I reach 100 days total, to practice consistency and improve my skills. The improvement after the first hundred days was really encouraging, so I decided to make another hundred focusing on specific areas I am lacking in; and then another hundred, and then many more.

    I created #UI Design Daily to be able to share these designs with anybody who is interested in using them as #inspiration or research material. I am hoping this project also takes me out of my comfort zone and provides new challenges. I’m planning to get better at development and pick up blogging as well, so lots of exciting things to look out for!

    All the free items on this website are under #Creative_Commons license.

  • [Émissions spéciales] Expert de rien de François De St Georges - #Communs ? Com’on !
    http://www.radiopanik.org/emissions/emissions-speciales/communs-com-on--2

    Des réalisatrices et réalisateurs ont répondu/es à l’invitation de Radio Panik pour produire une série de podcasts autour de la notion des communs. Qu’est ce que cette idée ? Où la trouve-t’on ? Comment la notion de commun est investie par des personnes et des groupes, en ville comme à la campagne. Couvrant des champs aussi divers que l’identité musicale, le traitement de l’eau, la préservation des forêts ou la lutte contre l’obsolescence programmée.

    Ces réalisations s’égreneront du lundi 2 mars au vendredi 6, tous les matins à 10h.

    Lundi :

    ’Aux #ateliers_Merlin' de Marcan et Lydia Baziz

    Mardi :

    ’Bois commun’ de François St Georges A Virginal, un joli #bois était à vendre. Et ils ont décidé, eux, les Virginalois, que ce serait un bois commun. Acheter une #forêt, rouvrir des chemins, expérimenter…Ca passe par (...)

    #creative_commons #citoyenneté #repair_café #parc #solidarité #partage #eaux #Brusseau #jardin_essentiel #marais_Wiels #El_encuentro #creative_commons,citoyenneté,repair_café,parc,solidarité,bois,partage,forêt,eaux,Brusseau,jardin_essentiel,marais_Wiels,Communs,El_encuentro,ateliers_Merlin
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/emissions-speciales/communs-com-on--2_08234__0.mp3

  • L’affaire Jamendo et les Creative Commons : où est (exactement) le problème ? – – S.I.Lex –
    https://scinfolex.com/2020/01/01/laffaire-jamendo-et-les-creative-commons-ou-est-exactement-le-probleme

    Par trois fois – en première instance, appel et cassation -, les tribunaux ont choisi de faire droit aux prétentions de la SACEM et de la SPRE, ce qui signifie que Saint Maclou sera bien contraint de payer ces 120 000 euros, en pouvant se retourner pour cela contre Jamendo qui sera obligé de verser cette somme à son client.

    C’est assurément un coup dur porté aux licences Creative Commons et une limite sévère à la possibilité de construire des alternatives en s’appuyant sur ces instruments. Néanmoins, je voudrais apporter quelques précisions pour essayer de cerner exactement où se situe le problème avec cette décision de la Cour de Cassation.

    En réalité, c’est d’abord l’ambiguïté de Jamendo dans sa manière de présenter son service qui ne facilite pas l’interprétation de la décision de la Cour de Cassation. La société présente en effet son offre de sonorisation comme constituée par « 220 000 titres libres de droits« . Or cette expression est toujours très délicate à manier et même souvent trompeuse. Par « libre de droits », Jamendo entend « libre de rémunération équitable à payer » et c’était ce qui faisait tout l’intérêt du service offert aux magasins. Mais cela ne voulait pas dire pour autant que cette offre était gratuite, par Jamendo pratiquait bien un tarif, sans doute inférieur à celui de la SACEM pour que son offre soit attractive. Il ne s’agissait donc pas de musique « sous licence libre » à proprement parler et encore moins de musique « libre de droits », si l’on entend par là des oeuvres appartenant au domaine public.

    Mais le plus aberrant va être les conséquences pour les artistes et les producteurs qui étaient en affaire jusqu’à présent avec Jamendo Licensing et qui touchaient 65% des recettes générées. A présent, ils vont devoir se tourner vers la SPRE pour toucher la part de la rémunération équitable versée par les magasins en affaire avec Jamendo et qui devrait logiquement leur revenir. Or ces artistes ne sont pas membres des sociétés de gestion collective classiques et on en est certain, car Jamendo exige que les artistes lui certifie ne pas appartenir à de telles sociétés pour pouvoir entrer dans son programme Jamendo Licensing. La Cour de Cassation estime que ces artistes peuvent néanmoins se tourner à présent vers ces sociétés de gestion collective pour réclamer leur part de rémunération équitable, mais il est hautement improbable que tous le fassent et pas certain non plus que ces sociétés ne leur imposent pas de devenir membres pour pouvoir prétendre toucher leur rémunérations…

    Au final, l’effet le plus probable de l’arrêt de la Cour est que les artistes qui passaient par Jamendo ne verront jamais la couleur de cet argent qui leur est pourtant légitimement dû et ces sommes finiront dans ce que les sociétés de gestion collective appellent leurs « irrépartissables » pour aller gonfler les budgets qu’elles consacrent à leurs actions propres (y compris d’ailleurs le lobbying assidu qu’elles exercent pour inciter constamment le législateur à renforcer le droit d’auteur…).

    #Droit_auteur #Creative_commons #Droits_voisins #Jamendo #Propriété_intellectuelle

  • L’affaire Jamendo et les Creative Commons : où est (exactement) le problème ? | Calimaq
    https://scinfolex.com/2020/01/01/laffaire-jamendo-et-les-creative-commons-ou-est-exactement-le-probleme

    En début de semaine, une décision de justice rendue par la Cour de Cassation le 11 décembre dernier a suscité un certain émoi en ligne, après que des sites d’information comme Next INpact ou ZDNet s’en soient faits l’écho. Ce jugement était d’importance, car il portait sur les licences Creative Commons et, plus précisément, sur leur articulation avec les mécanismes de gestion collective du droit d’auteur et des droits voisins. Depuis leur création en 2001, les licences Creative Commons n’avaient jamais fait encore l’objet d’une décision de justice en France et on comprend donc que cet arrêt de la Cour de Cassation était très attendu. Source : : : S.I.Lex : (...)

    • Mais le plus aberrant va être les conséquences pour les artistes et les producteurs qui étaient en affaire jusqu’à présent avec Jamendo Licensing et qui touchaient 65% des recettes générées. A présent, ils vont devoir se tourner vers la SPRE pour toucher la part de la rémunération équitable versée par les magasins en affaire avec Jamendo et qui devrait logiquement leur revenir. Or ces artistes ne sont pas membres des sociétés de gestion collective classiques et on en est certain, car Jamendo exige que les artistes lui certifie ne pas appartenir à de telles sociétés pour pouvoir entrer dans son programme Jamendo Licensing. La Cour de Cassation estime que ces artistes peuvent néanmoins se tourner à présent vers ces sociétés de gestion collective pour réclamer leur part de rémunération équitable, mais il est hautement improbable que tous le fassent et pas certain non plus que ces sociétés ne leur imposent pas de devenir membres pour pouvoir prétendre toucher leur rémunérations…

      Au final, l’effet le plus probable de l’arrêt de la Cour est que les artistes qui passaient par Jamendo ne verront jamais la couleur de cet argent qui leur est pourtant légitimement dû et ces sommes finiront dans ce que les sociétés de gestion collective appellent leurs « irrépartissables » pour aller gonfler les budgets qu’elles consacrent à leurs actions propres (y compris d’ailleurs le lobbying assidu qu’elles exercent pour inciter constamment le législateur à renforcer le droit d’auteur…).

      Donc oui, sur ce point, la décision de la Cour de Cassation est proprement scandaleuse et c’est un épisode de plus dans la dégénérescence des droits de propriété intellectuelle qui devraient toujours rester des droits ouverts aux artistes pour assurer leur subsistance et non venir engraisser des intermédiaires.

  • J’écoutais ça sur Mutine (THE radio brestoise) dernièrement, et je découvre aujourd’hui par le biais de http://www.acim.asso.fr/ziklibrenbib/ukandanz-awo que l’album est en creative commons, classe :)

    https://bigoutrecords.bandcamp.com/album/awo

    uKanDanZ (Ehtiopian crunch - France / Ethiopia)

    uKanDanZ... a unique style, an unusual meeting between an electric quartet and Asnake Guebreyes,charismatic lead singer originates from the vibrant music scene in Addis Abeba.

    Their music is inspired by traditional and popular Ethiopian songs. uKanDanZ has a real crunch energy. Between rock, jazz, noise...

    With impertinence, they rock it wildly. Without compromise. Guitar, saxophone, bass, drums and vocals shuffle our bearings. What a pleasure! The stage presence of uKanDanZ swings alternately between energy and emotion... then the public, transcended, dances and shivers.

    #son #creative_commons #cc

  • Reproductions of Public Domain Works Should Remain in the Public Domain - Creative Commons
    https://creativecommons.org/2019/11/20/reproductions-of-public-domain-works

    We acknowledge that in some cases cultural heritage institutions use CC licenses in order to get credit for their work or to indicate the provenance of the digital surrogates. There are better, more appropriate technical tools to achieve that goal, including metadata and machine readability standards.

    Lastly, we understand the concerns over revenue and profit that some cultural heritage institutions express when evaluating open access policies. However, claiming copyright over public domain works and successful revenue strategies are different conversations that don’t belong in the same space. If anything, there is a growing amount of evidence that shows that the associated costs for licensing images dwarf the potential benefits or revenue streams for licensing images.2

    #domaine_public #creative_commons #appropriation

  • Coil, Mozilla et Creative Commons lance Grant for the Web, un projet de 100 millions de dollars pour améliorer la monétisation dans l’écosystème Web
    https://open-source.developpez.com/actu/277528/Coil-Mozilla-et-Creative-Commons-lance-Grant-for-the-Web-un-

    Coil, Mozilla et Creative Commons ont lancé Grant for the Web (littéralement subvention pour le Web), une initiative visant à responsabiliser les créateurs et à créer un modèle commercial alternatif pour le contenu en ligne.
    [...]
    Grant for the Web vise à :
    – permettre aux créateurs d’être rémunérés directement pour leur travail et élargir ainsi la participation sur le Web, y compris aux groupes du monde entier qui ont toujours eu un accès limité ;
    – protéger la confidentialité en créant des solutions de remplacement pour la monétisation Web qui ne dépendent pas de la collecte de données sur les consommateurs, telles que l’historique de navigation ;
    – réduire les coûts administratifs liés à la réception de paiements pour du contenu Web en créant un écosystème de paiement ouvert qui permet la concurrence entre les fournisseurs de services de paiement ;
    – encourager l’innovation sur le Web en permettant de payer pour un contenu qui n’est actuellement pas monétisé ou qui est monétisé à des taux très bas ;
    – investir dans la création de contenus ouverts et de logiciels libres ;
    – donner aux créateurs et aux consommateurs la possibilité d’utiliser n’importe quelle devise et éliminer les silos de paiement qui les verrouillent ou les obligent à détenir plusieurs comptes.

    Le site officiel du projet : https://www.grantfortheweb.org

    #grant_for_the_web #mozilla #creative_commons #monétisation #logiciel_libre

  • Je recherche des articles et discussions (en français ou en anglais) sur le sujet de la clause restrictive NC (pas d’utilisation commerciale) dans les Creative Commons, plus particulièrement dans le domaine du droit d’auteur des écrits, romans, essais etc.

    Y a t’il des opposant⋅es notables à cette restriction (ou à la restriction de modification d’une œuvre d’ailleurs), qui ne soient pas strictement des informaticien⋅nes mais plus des « auteur⋅es » (et à part Eric S. Raymond) ?

    #Creative_Commons #romans #littérature #licences_libres #livres

    • C’est la licence que j’utilise en photo quand je peux (c’est à dire trop rarement à mon goût) : il y a un gros souci avec les médias et autres concernant cette licence, qu’ils confondent avec le copyleft. Je pars du principe que si quelqu’un-e est payé, alors je le suis aussi, et je refuse particulièrement que des medias qui ont des régies publicitaires se servent de mon travail sans le rémunérer.
      Ça répond pas trop à ta demande, mais comme c’est rare que je puisse aborder le sujet, qui m’importe beaucoup, étant photographe auteure, bah... c’est une manière de me présenter à toi !

    • @val_k je comprends ton point de vue, ça fait toujours mal de voir des gros médias faire de l’argent sans en reverser aux personnes qui créent les contenus (et mal payer aussi leurs employé⋅es dans le processus)
      @grommeleur Je ne connaissais pas David Revoy, merci pour les liens.

      Je suis allé faire un tour sur la page actualités de la licence art libre, il y a plusieurs projets « commercialisés » sous cette licence :
      http://artlibre.org/category/news

      J’essaierai de mettre par écrit ce que je pense sur le sujet, personnellement les restrictions NC et ND ne me satisfont pas dans le cadre d’une diffusion censée être libre, mais je reconnais que c’est un sujet délicat. Je trouve que les notions d’œuvre initiale et d’attribution sont déjà protectrices, et j’aurai tendance à dire que le problème de la rétribution est le même que dans l’économie du logiciel libre. Sauf que je sais aussi qu’il y a une différence entre du code « fonctionnel » et une œuvre de l’esprit (même si les deux se rejoignent par endroits). Le vrai problème là-dedans c’est l’industrie et l’absence de masse critique en face d’elle probablement...

  • Vaccines Save Lives | SELF
    https://www.self.com/story/vaccines-save-lives-editors-letter

    Un journal crée de nouvelle photographies pour promouvoir la vaccination (licence CC). Celles qui figurent dans les banques d’images sont si tristes qu’elles ont un effet inverse...

    People who are vaccine hesitant aren’t necessarily completely anti-vaccine—instead for a variety of reasons they’re reluctant to vaccinate themselves or their kids because they aren’t convinced that the benefits outweigh the risks. As a parent, I can relate to the feeling of anxiety about wanting to make sure that everything that goes on, around, near, or in my child is actually safe and in her best interest. I understand why parents have questions, and they should feel empowered to ask those questions. The key is making sure that anyone with questions is getting evidence-based information from trustworthy sources. Because unfortunately there’s a ton of misinformation out there—and it’s putting people at risk.

    Which is why today we’re launching SELF magazine’s latest project: Vaccines Save Lives. Our mission with this project is to use storytelling, reporting, and creative imagery to show just how necessary and important vaccines are—for your health, your family’s health, and the health of your whole community.

    As one component of this project, we partnered with the American Academy of Pediatrics (AAP) to create a series of immunization stock photos that we’ve published on Flickr and on the AAP website under a Creative Commons license, which means they’re free for anyone—media outlets, brands, bloggers, hospitals, and so on—to download and use with proper attribution. We’ve seen health reporters and physicians griping on social media that typical vaccine stock photography is pretty awful: It’s often inaccurate, fearmongering, or both. So we worked with the AAP to create medically accurate pictures that better convey the importance and usefulness of vaccines. We shot the photos at a One Medical doctor’s office in Brooklyn, New York, and the pictures feature actual physicians from the practice administering the vaccines (and doing it correctly!). You can read more about the partnership and photo project here.

    #Vaccins #Photographie #Creative_Commons

  • Quelques organismes qui défendent le domaine publique en Allemagne et ailleurs

    Commons und Konvivialismus – Das Commons-Institut
    https://commons-institut.org/commons-und-konvivialismus

    Das »Konvivialistische Manifest« (2014 auf Deutsch erschienen) hat die globale Debatte um die Frage neu formatiert, wie wir das Zusammenleben angesichts von Klimakatastrophe und Finanzkrisen gestalten wollen und müssen. Die Beiträge des Bandes »Konvivialismus. Eine Debatte« (Hg. Frank Adloff und Volker M. Heins, erschienen im Transcript-Verlag) eröffnen nun die Diskussion um die Möglichkeiten und Grenzen des Manifests im deutschsprachigen Raum: Wo liegen seine Stärken, wo die Schwächen? Was hieße es, eine konviviale Gesellschaft anzustreben – in Politik, Kultur, Zivilgesellschaft und Wirtschaft? Welche neuen Formen des Zusammenlebens sind wünschenswert und welche Chancen bestehen, sie durchzusetzen? Acht Mitglieder des Commons-Instituts haben einen Kommentar-Beitrag zu dem Diskussionsband geschrieben

    Free software is a matter of liberty, not price — Free Software Foundation — working together for free software
    https://www.fsf.org/about

    The Free Software Foundation (FSF) is a nonprofit with a worldwide mission to promote computer user freedom. We defend the rights of all software users.
    As our society grows more dependent on computers, the software we run is of critical importance to securing the future of a free society. Free software is about having control over the technology we use in our homes, schools and businesses, where computers work for our individual and communal benefit, not for proprietary software companies or governments who might seek to restrict and monitor us. The Free Software Foundation exclusively uses free software to perform its work.

    GNU und die Freie-Software-Bewegung
    http://www.gnu.org/home.de.html

    GNU ist ein Betriebssystem, das Freie Software ist ‑ d. h. es respektiert die Freiheit der Nutzer. Das GNU-Betriebssystem besteht aus GNU-Paketen (Programme, die speziell vom GNU-Projekt freigegeben wurden) sowie von Dritten freigegebene Freie Software. Die Entwicklung von GNU ermöglichte es einen Rechner ohne Software benutzen zu können, die Ihre Freiheit mit Füßen treten würde.

    Commons einfach erklärt - Hauptsache Commons
    https://www.hauptsache-commons.de/home/commons-einfach-erkl%C3%A4rt

    Die Haupt-Commons-Formel lautet:
    ∑[aD+nW] = bL

    aD = anderes DENKEN
    nW = neues WIRTSCHAFTEN
    bL = besseres LEBEN

    Das Handeln nach Commons-Prinzipien ermöglicht eine Gesellschaft ohne soziale Widersprüche oder ökonomische Krisen. Commons ersetzen die alten Strukturen. Sie bilden sich selbst organisierende Netzwerke aus, geeignet für Innovationen, da sie die kollektive Intelligenz für das Wohlergehen Aller nutzen.

    Wildnis in Deutschland - Hauptsache Commons
    https://www.hauptsache-commons.de/spezielles/wildnis-in-deutschland

    Die Initiative „Wildnis in Deutschland“ wird von 18 Naturschutzorganisationen getragen. Die Beteiligten finden, dass es ’höchste Zeit für mehr Wildnis in Deutschland’ ist !

    Sie unterstützen die Gründung von Nationalparks und die Schaffung von Wildnisgebieten und stärken die Öffentlichkeitsarbeit rund um das Thema Wildnis. Gemeinsam mit vielen Partnern und Initiativen sind sie aktiv für mehr faszinierende große Wildnisgebiete in Deutschland – für uns, unsere Kinder und Enkel.

    Creativity & Innovation | Electronic Frontier Foundation
    https://www.eff.org/issues/innovation

    Our digital future depends on our ability to access, use, and build on technology. A few media or political interests shouldn’t have unfair technological or legal advantages over the rest of us. Unfortunately, litigious copyright and patent owners can abuse the law to inhibit fair use and stifle competition. Internet service providers can give established content companies an advantage over startups and veto the choices you make in how to use the Internet. The Electronic Frontier Foundation fights against these unfair practices and defends digital creators, inventors, and ordinary technology users. We work to protect and strengthen fair use, innovation, open access, net neutrality, and your freedom to tinker.

    In principle, intellectual property laws (or IP law, a catchall term for copyright, patents, and trademarks) should serve the public in a number of ways. Copyrights provide economic incentives for authors and artists to create and distribute new expressive works. Patents reward inventors for sharing new inventions with the public, granting them a temporary and limited monopoly on them in return for contributing to the public body of knowledge. Trademarks help protect customers by encouraging companies to make sure products match the quality standards the public expects.

    #domaine_publique #creative_commons #convivialité #Allemagne

  • Réseaux sociaux toxiques : on a trouvé la solution, elle était là depuis le début.

    Plein de choses qui font beaucoup réfléchir dans cette interview de Caterina Fake, co-fondatrice du site de partage de photos Flickr : malgré une vision systématiquement mercantile de « La solution », oubliant au passage des expériences comme #Wikipedia, elle insiste sur ce qui est pourtant sa base fondamentale (comme celle de #seenthis !) : la gestion communautaire.
    https://www.ladn.eu/tech-a-suivre/reseau-sociaux-lente-derive-web-caterina-fake

    On peut prendre au pied de la lettre ce que disait Lawrence Lessig - un juriste américain fondateur des #Creative_Commons : « Le code est la loi ». La loi, comme le code, crée la manière dont les gens interagissent les uns avec les autres. L’ancien responsable de la communauté de Flickr disait une chose très juste : « Ce que vous tolérez indique ce que vous êtes vraiment ». Donc si votre code tolère le sexisme, vous êtes une plateforme sexiste. Si votre code tolère les suprématistes blancs, vous êtes une plateforme qui soutient le suprématisme blanc.

    Je pense surtout que l’approche très libertarienne qui imprègne la #Silicon_Valley est en train de montrer ses limites. Malgré leurs promesses, toutes ces compagnies ont échoué à s’auto-réguler et c’est un terrible bilan pour l’ensemble de la communauté tech. Les entrepreneurs des nouvelles technologies avaient la liberté nécessaire pour proposer un autre modèle de société, mais il suffit de regarder l’exemple récent de Facebook et sa gestion catastrophique de l’après #Cambridge_Analityca pour se rendre compte que c’est un échec. À cause de ce scandale, les médias sociaux vont subir une nouvelle forme de régulation.

    Article trouvé en lisant celui de #Olivier_Ertzscheid : Si c’est pourri c’est que t’es pas le bon produit (ma réponse à #Mark_Zuckerberg.)
    https://www.affordance.info/mon_weblog/2019/01/si-cest-pourri-tes-pas-le-bon-produit.html

    Mark Zuckerberg vient de se lancer dans une grosse campagne de communication en publiant une tribune simultanément dans plusieurs très grands journaux dont Le Monde ou le Wall Street Journal. Elle est intitulée : « Je souhaite clarifier la manière dont Facebook fonctionne. »
    Il y rappelle avec raison une première vérité qui est que le métier de #Facebook n’est pas de vendre des données personnelles à des annonceurs mais de permettre à des annonceurs d’accéder à un ciblage très fin d’audience pour l’affichage de leurs publicités. La nuance est de taille et je le dis sans aucune ironie.
    Mais pour le reste, comment dire...

  • Urteil zu gemeinfreier Kunst : Kulturerbe für alle, aber nicht im Netz – Wikimedia Deutschland Blog
    https://blog.wikimedia.de/2018/12/20/urteil-zu-gemeinfreier-kunst-kulturerbe-fuer-alle-aber-nicht-im-netz

    Argh ! Désormais en Allemagne la photographie d’une oeuvre d’art constitue une nouvelle oeuvre à part entière même s’il s’agit d’une réproduction exacte de l’oeuvre originale. C’est le contraire d’un cadeau de Noël que nous fait le Bundesgerichtshof (BGH), la plus haute instance de justice d’Allemagne en dessous du tribunal constitutionnel Bundesverfassungsgericht (BVG).

    Concrètement cette décision entraîne une charge de travail importante pour chacun qui publie des images. Il faudra toujours vérifier si l’auteur de la copie d’une oeuvre ancienne autorise sa publication. Une grande partie des images d’illustration disparaîtront de la toile, car après la publication de l’image d’une oeuvre ancienne on ne pourra plus être sûr de ne pas être poursuivi en justice et de perdre beaucoup d’argent.

    By John Weitzmann
    Lisa Dittmer
    20. Dezember 2018

    Im Rechtsstreit um Digitalisate gemeinfreier historischer Kunstwerke auf Wikimedia Commons hat der Bundesgerichtshof heute seine lang erwartete Entscheidung verkündet. Museen können demnach den digitalen Zugang zu urheberrechtsfreien Werken beschneiden. Das Urteil ist ein Rückschlag für unsere Rechte am gemeinsamen Kulturerbe.

    Das Gericht hat den klagenden Reiss-Engelhorn-Museen (rem) Recht gegeben. Damit ist zumindest für die deutsche Rechtsordnung geklärt, dass auch 1-zu-1-Reproduktionen urheberrechtsfreier Kunstwerke nicht ohne Zustimmung derjenigen gezeigt oder verbreitet werden dürfen, die diese Reproduktionen angefertigt haben. Die reproduzierten Werke mögen als Teil des Kulturerbes also schon lange Allgemeingut geworden sein, ihre Darstellung in Form von Repro-Fotos jedoch unterliegt laut BGH denselben Lichtbildrechten wie sie auch an anderen Fotografien automatisch entstehen.

    Wir sind nicht mit dem Argument durchgedrungen, dass unser Kulturerbe in Zeiten digitaler Medien seiner Eigenschaft als Allgemeingut beraubt wird, wenn sich auch bei exakten Reproduktionen gemeinfreier Werke am Ende die Foto-Rechte gegenüber dem gemeinfreien Status des fotografierten Werks durchsetzen.

    Der BGH führt zur Begründung aus, dass „der Fotograf Entscheidungen über eine Reihe von gestalterischen Umständen zu treffen [hat], zu denen Standort, Entfernung, Blickwinkel, Belichtung und Ausschnitt der Aufnahme zählen.“ Das sei das „erforderliche Mindestmaß an persönlicher geistiger Leistung“ für den Lichtbildschutz nach § 72 Urheberrechtsgesetz.

    Auch reicht laut BGH das Foto-Verbot, das in den Reiss-Engelhorn-Museen gilt, bis ins Netz, das heißt: Wer dagegen verstößt (im aktuellen Fall war umstritten, ob vor Ort das Museums-Personal die Fotos doch erlaubt hatte), darf die Bilder auch nicht im Netz veröffentlichen.

    Keine Aussage macht der BGH dazu, ob auch aus dem Eigentum an Werkstücken ein Verbot der Veröffentlichung von Fotos entstehen könnte.

    Jetzt ist also der Gesetzgeber gefragt, den allzu pauschalen Paragrafen 72 des Urheberrechtsgesetzes zu reformieren. Denn ob die geistigen Schöpfungen früherer Jahrhunderte auch im Digitalen zu Allgemeingut werden, darf nicht vom guten Willen jedes einzelnen Museums abhängen. Genau das aber ist nach dem Richterspruch des BGH nun der Fall:

    Wenn ein Museum die von ihm selbst erstellten Digitalisate mit Verweis auf Lichtbildrechte rechtlich unter Verschluss hält und zusätzlich auch von seinem Hausrecht Gebrauch macht und keine Fotografien durch Besucherinnen und Besucher zulässt, gibt es keinen Weg, unser aller kulturelles Erbe so frei zugänglich zu machen, wie es die Gemeinfreiheit dieser Werke rechtlich eigentlich vorsieht.

    Dass dies dem öffentlichen Auftrag der Museen vollständig zuwiderläuft, haben zum Glück viele von ihnen erkannt und stellen Digitalisate von sich aus rechtlich frei. Auch wenn der Trend längst die Öffnung für digitale Möglichkeiten der Wissensvermittlung und die aktive Einbindung des Publikums ist … ob die Allgemeinheit, also wir alle und nächste Generationen wirklich das ganze kulturelle Erbe frei erfahren können oder nicht, darf nicht davon abhängen, ob die Museen ihren Auftrag richtig verstehen oder nicht.

    Das Rijksmuseum Amsterdam ist eines der führenden Museen, die ihre Sammlungen urheberrechtsfreier Werke zur kreativen Nachnutzung zur Verfügung stellen. https://www.rijksmuseum.nl/en/rijksstudio

    Alfried Wieczorek, Generaldirektor der Reiss-Engelhorn-Museen in Mannheim, die im vorliegenden Fall gegen die freie Verfügbarkeit ihrer Digitalisate geklagt hatten, berief sich bei einer Diskussion 2017 vor allem darauf, “eventuelle zukünftige Einnahmemöglichkeiten” seiner Häuser schützen zu müssen. Das ist kein illegitimes Interesse, aber eine solche Rechnung blendet den gesellschaftlichen Wert des freien Zugangs zum Kulturerbe aus, den Projekte wie Wikimedia Commons ermöglichen, und widerspricht direkt dem öffentlichen Auftrag öffentlich geförderter Museen. Letztlich läuft das finanzielle Argument schlicht auf eine Art Geiselnahme hinaus:

    “Liebe Allgemeinheit, weil wir viel Aufwand mit der Bewahrung und Digitalisierung deines kulturellen Erbes haben und Du uns über die öffentliche Förderung nicht genug Geld zur Verfügung stellst, behalten wir uns die Monetarisierung der digitalen Repräsentationen Deines Erbes vor.”

    Es ist ein offenes Geheimnis, dass bei denjenigen Museen, die ähnlich restriktiv handeln wie die Reiss-Engelhorn-Museen in Mannheim, noch weitere Sorgen eine Rolle spielen. Sorgen wie die, durch eine Zugänglichkeit der Digitalisate im Netz am Ende als Museum irrelevant und überflüssig zu werden. Zwar gibt es zahlreiche Beispiele, die das genaue Gegenteil belegen, dass die Relevanz durch digitale Freigaben wieder zunimmt und es eher die digital versperrten Häuser sein werden, die einen Bedeutungsverlust erleiden. Doch selbst wenn die “digitalen Sorgen” berechtigt wären: Sich an ihnen zu orientieren hieße, die Institutionen über ihren Auftrag zu stellen. Es hieße, das Kulturerbe nur denjenigen zugänglich zu machen, die dafür Geld, Zeit und Mühe aufwenden können.

    Das Art Institute of Chicago stellte dieses Jahr 50.000 hochauflösende gemeinfreie Bilder von Werken wie Hokusais Großer Welle und diesem George Wesley Bellows Gemälde online. https://kottke.org/18/11/the-art-institute-of-chicago-has-put-50000-high-res-images-from-their-collec

    Dass die Kultur zu den Menschen muss, statt auf das Kommen der Menschen zur Kultur zu warten, haben eigentlich alle Museen auch verstanden. Viele versuchen, mit hauseigenen Projekten und Netzwerken auch im Netz präsent zu sein. Das ist gut und wo es funktioniert, sollten wir uns freuen. Doch zu glauben, die Museen könnten das digitale Bewussthalten des kulturellen Erbes alleine stemmen, ist vermessen. Das wahre gesellschaftliche Potenzial der Kultur entfaltet sich erst durch den Übergang der Werke ins Allgemeingut, der aus gutem Grund auch gesetzlich spätestens 70 Jahre nach Tod der Urheberin oder des Urhebers vorgesehen ist.

    Wenn nun laut Bundesgerichtshof der Lichtbildschutz des Paragraphen 72 des Urheberrechtsgesetzes also dazu führt, dass sich die Gemeinfreiheit der Originale an den Digitalisaten nicht fortsetzt, muss das Gesetz in diesem Punkt nachgebessert werden. Gelegenheit dazu wird spätestens dann bestehen, wenn die bereits laufende EU-Urheberrechtsreform in deutsches Recht umgesetzt werden muss.

    Wikimedia Deutschland ist dazu im Gespräch mit den zuständigen Bundesministerien und Ausschüssen des Bundestages, aber auch mit denjenigen Museen, die es ähnlich sehen wie die Kläger in diesem Rechtsstreit. Letztendlich muss es uns allen darum gehen, das kulturelle Erbe möglichst umfassend zugänglich zu machen, damit es nicht im medialen Lärm der Gegenwart untergeht und so aus dem (digitalen) Bewusstsein der Menschen verschwindet. Die Wikimedia-Projekte und ihre Communitys können und wollen hier helfen, gerade wegen der heutigen Entscheidung.

    #droit_d_auteur #Allemagne #creative_commons

  • Deutsche Fotothek
    http://www.deutschefotothek.de/cms/gebuehren.xml

    The Archiv der Fotografen — Archive of Photographers provides a virtual showroom for the works of distinguished photographers in Germany - from the portfolio of the Deutsche Fotothek and the collections of our partners.

    Furthermore you can currently search in 1,996,000 images from 90 institutions: photographs, paintings, graphics as well as maps and architectural drawings.
    ...
    Free of charge are our digital objects provided by the Deutsche Fotothek (reduced quality) - they are licensed under the Creative Commons License CC-BY-SA 3.0 . You are allowed to reproduce and distribute the content, to adapt and build upon the material for different purposes, as long as you credit the SLUB as source and license your new creations under the identical terms.

    Use of individual images in academic publications with an edition of less than 1,000 copies shall also be free of charge.

    As soon as digital objects are published in printed matter or other offline media, the customer is to deliver a specimen copy unsolicitedly. The images in questions are to be marked. According to § 26 of the German law on publishing rights, the SLUB holds the right to purchase further copies at a preferential price.

    In case of online use the URL is to be sent to fothothek@slub-dresden .

    Media center services are excluded from the usage charges stated above. They are listed seperately under item III.

    When publishing textual media and music sheets of the SLUB stock, the source must be indicated in the following way:

    SLUB, signature, if applicable PURL

    Images from the stock of the Deutsche Fotothek must be indicated as followed:

    SLUB/Deutsche Fotothek, name of photographer

    Customers are liable for the use of images as stated in the General Terms and conditions.

    Please note, also third party copyrights may apply. The customer is to preserve these rights (e.g. copyright of a reproduced piece of arts, personal rights, proprietary rights of collections, brand law).

    #photographie #collection #creative_commons

  • These tools will help you find the right images for your stories | Poynter
    https://www.poynter.org/news/these-tools-will-help-you-find-right-images-your-stories

    Editor’s note: After this article published, we heard from many esteemed journalists who were critical of our approach and the message that we delivered. In the spirit of fostering more dialogue about the use of digital images — particularly free ones — we sought out people whose opinion we respect to write about the issue.

    One such person who did was Mark E. Johnson, an educator and visual journalist who has had a longtime relationship with Poynter and who has taught here several times. He wrote a thorough and thoughtful piece that is published on our site: Article about free images ’contradicts everything I hold true about journalism.
    https://www.poynter.org/news/article-about-free-images-contradicts-everything-i-hold-true-about-journali

    https://search.creativecommons.org

    https://pixabay.com

    https://unsplash.com

    https://pablo.buffer.com

    https://www.canva.com

    #photographie #journalisme #creative_commons #images_gratuites

  • Le Met autorise l’utilisation gratuite et sans condition de 375 000 images d’œuvres d’art - Pop culture - Numerama

    https://www.numerama.com/pop-culture/231343-le-met-autorise-lutilisation-gratuite-et-sans-condition-de-375-000-

    Et en HD. Ils ne se moquent pas de nous.

    Le Metropolitan Museum of Art annonce cette semaine l’arrivée d’une licence très permissive pour 375 000 images d’œuvres d’art. Cette nouvelle licence permet à n’importe qui d’utiliser ces reproductions gratuitement et sans condition.

    C’est une décision formidable pour le domaine public et on espère ardemment qu’elle fera tache d’huile dans tous les musées du monde. Mardi, le très célèbre Metropolitan Museum of Art a en effet annoncé la mise à disposition sur un site web dédié de plus de 375 000 reproductions d’œuvres d’art.

    Vous voulez voir une interprétation du Couronnement de la Vierge ? Une estampe nippone de Utagawa Yoshikazu sur une Française à cheval ? L’un des tableaux du Champ de blé avec cyprès de Vincent Van Gogh ? La Mer calme de Gustave Courbet ? Alors il vous suffit de vous rendre sur le site des Creative Commons.

  • Terms of Use | Transcribathon
    https://transcribathon.com/en/terms-of-use

    Voilà qui est fort bien !!!

    Les gens sont d’autant plus incités à participer à un projet collectif que le résultat aura la garantie de rester collectif.

    Vive le Transcribathon

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    #Europeana #Transcribathon #Creative_commons

  • European Data Journalism Network
    http://www.europeandatajournalism.eu

    Welcome to the European Data Journalism Network!
    Starting from October 2017, a new platform for data-driven news on European affairs brought to you in up to 12 languages by a consortium of media and data journalists from all over Europe
    Meanwhile, you can check the stories produced by EDJNet on the Network members’ websites and social media accounts, and follow us on Twitter
    You want to know more or join the Network? Contact us info@europeandatajournalism.eu


    #journalisme #data #datajournalisme #eu #europe #creative_commons

  • Creative Commons : Community Activities Fund Application Form
    https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeOrNfq3Kh4w0_GIjUMA3Qv6y41IilkMcW04BOh1WpFY_fI-w/viewform
    https://lh3.googleusercontent.com/NzY4XbrNjVovJM-drJzdQdnuz2G28p7VFWiP8DCXm8dUQSfKlCx--t9LDviab

    The #Creative_Commons Community Activities #Fund provides small amounts of funding resources to CC Community Members for everyday activities that support projects aligned with the Creative Commons Strategy. These grants are meant to provide quick support for activities, projects and events. For kickstarting projects, facilitate travel and mentorships, and support the organization of CC-themed events around the globe.

    Un simple formulaire à remplir pour demander une petite somme (de 0 à 1000$) à la fondation Creative Commons, pour soutenir un projet ou événement contribuant aux communs.

  • 470,000 images from Europeana join the new Creative Commons Search database - Europeana Professional
    http://pro.europeana.eu/blogpost/more-than-470-000-images-from-europeana-are-now-integrated-to-the-new-

    A tool for discovery, collaboration and re-use, CC Search enables users to search a variety of open repositories through a single interface to find content in the commons. Developed by Creative Commons, the current CC Search tool is used by nearly 600,000 people every month. The new beta version of the project, which was released in early February, includes simple, one-click attribution making it easier to credit the source of any image. CC Search beta also provides social features, allowing users to create, share and save lists as well as adding tags and favorites to the objects in the commons.

    The beta version of CC Search has recently integrated 470,00 images from Europeana into its database, which already incorporates artworks provided by cultural institutions and repositories from across the globe.

    #creative_commons #europeana
    #xyzaeiou

  • 14 propositions pour le développement des licences libres en France – SavoirsCom1
    http://www.savoirscom1.info/2017/04/14-propositions-pour-le-developpement-des-licences-libres-en-france

    Le collectif SavoirsCom1 a été auditionné la semaine dernière par le CSPLA (Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique) dans le cadre d’une mission consacrée à l’économie des licences libres.

    Nous publions à la suite une liste de 14 propositions que nous estimons importantes pour le développement des licences libres en France.

    #licences_libres #creative_commons #politique_culturelle