person:juana

  • Premier équipage entièrement féminin sur un remorqueur portuaire. C’est à Saint-Domingue, en République Dominicaine.

    Svitzer Employs First All-Female Crew in Dominican Republic – gCaptain
    https://gcaptain.com/svitzer-employs-first-all-female-crew-in-dominican-republic


    The team on board Svitzer Monte Cristi is led by Captain Maria de los Santos, accompanied by Chief Engineer Marysabel Moreno and supported by sailors, Paloma Montero, Loreanni Torres and Juana Custodio.
    Photo courtesy Svitzer

    Global towage operator Svitzer has hired the first 100% female crew for one of its tugs in the Dominican Republic.

    The vessel, the 70-ton bollard pull Svitzer Monte Cristi, provides harbor towage services for ships in the port Santo Domingo.

    Svitzer says the all-female crew in an industry typically dominated by men is part of a gender inclusion initiative and marks a milestone for gender diversity in the Latin American maritime industry.
    […]
    The General Manager of Svitzer Caribbean, Captain Dickson Rivas, and others at the company spent two years pursuing the project, focusing the team’s energy on training.

    These women have become local icons for others and have proven to be an efficient and hardworking team,” said Captain Eduard Medina.

    Svitzer says it hopes the gender-inclusive initiative will help buck the historical predominantly male trend in the maritime industry. According to The International Transport Worker’s Federation, it is estimated that only 2% of the maritime workforce is made up of women, most of them employed on cruises and ferries.

  • Espagne : Elle ne remet pas ses enfants au père : 5 ans de prison - Monde - lematin.ch
    https://www.lematin.ch/monde/Elle-ne-remet-pas-ses-enfants-au-pere-5-ans-de-prison/story/13167508

    Une mère espagnole divorcée a été condamnée vendredi à cinq ans de prison pour s’être enfuie et cachée avec ses deux enfants après qu’un tribunal eut ordonné qu’elle les remette à leur père italien, qu’elle accusait de violences.

    Le tribunal de Grenade, estimant que Juana Rivas avait « exploité l’argument de la violence » pour garder avec elle ses deux enfants, maintenant âgés de 12 et 4 ans, l’a condamnée pour « enlèvement d’enfant ».

    30’000 euros à payer

    Outre la peine de prison, elle devra également payer 30’000 euros de compensation et de frais à son ancien compagnon, et n’aura plus la garde de ses enfants pendant six ans. Mme Rivas accusait son ancien compagnon italien, Francesco Arcuri, de violence à son égard. Elle s’était enfuie de Sardaigne, où habitait le couple, avec les deux enfants en mai 2016 et avait déposé une plainte pour violences conjugales en juillet de la même année, des accusations niées par son compagnon.

    La bataille autour des enfants est devenue publique en juillet 2017, lorsqu’un tribunal a jugé en faveur d’Arcuri et ordonné à son ex-compagne de lui remettre les enfants. Après s’être cachée pendant un mois avec les enfants, elle s’était finalement rendue et avait remis les enfants.
    Ce cas a provoqué de vifs débats en Espagne, où la lutte contre la violence conjugale est une des grandes priorités du gouvernement. Certains ont critiqué la mère pour avoir refusé d’obéir à la décision du tribunal, estimant que ses accusations de violence étaient fausses - certaines femmes dénonçant la façon dont elle avait, selon elles, utilisé les souffrance bien réelles de nombreuses femmes à ses propres fins.

    D’autres la soutenaient au contraire, soulignant que Francesco Arcuri avait déjà été condamné pour violence conjugale à l’encontre de Juana Rivas en 2009. Mais le tribunal a estimé que le fait qu’elle se soit ensuite remise en couple avec lui et ait eu un deuxième enfant mettait en doute ses assertions.

    Dans sa plainte de 2016, Mme Rivas affirmait avoir vécu un enfer en Sardaigne, disant que son compagnon « l’enfermait dans une pièce pendant des heures, la frappait, lui crachait dessus, lui tirait les cheveux », et que les enfants, particulièrement le plus âgé, avait « beaucoup souffert et été témoin de nombreuses choses ».

    Mais un psychologue mandaté par le tribunal qui a examiné l’enfant a dit n’avoir trouvé aucune trace de traumatisme dû à des violences de ce type. Le tribunal en a déduit qu’il n’y avait plus eu de violences depuis l’épisode de 2009. (afp/nxp)

    Créé : 27.07.2018, 15h34

  • Île Clipperton — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_Clipperton

    Les oubliés de Clipperton (1914-1917)En février 1914, un cyclone détruit les potagers de la petite garnison de 11 soldats installés sur place avec femmes et enfants depuis 1906. Le bateau de ravitaillement de mai n’arrive pas. À la fin du mois de juillet, l’USS Cleveland vient secourir l’île, mais le chef de la garnison refuse d’embarquer sur un navire ennemi9. La troupe est alors décimée par la famine et le scorbut. En mai 1915 ils ne sont plus que 3 hommes, 6 femmes et 8 enfants9. 2 des hommes meurent en tentant de rejoindre un navire passant au large9. Le dernier survivant, le gardien du phare fait vivre un calvaire aux autres et se comporte en dictateur. Il est assassiné à coups de marteau par les femmes survivantes le 17 juillet 1917. Le lendemain l’USS Yorktown les sauve ; il était venu vérifier qu’aucun navire allemand ne s’y cache. Certaines encyclopédies ont longtemps indiqué que l’île Clipperton avait une cinquantaine d’habitants, restant à ce chiffre de 1914.

    voir aussi http://clipperton.fr
    Tout ça parce qu’un plugin de SPIP (pays) a oublié d’inclure cette île :)

    #ile #tom #océan_pacifique

    L’histoire des survivantes https://infosmexique.wordpress.com/2009/07/23/lincroyable-histoire-des-naufrages-de-clipperton

    • Tiens, en parlant d’oubliés sur des îles, je découvre l’île de Tromelin et l’histoire relatée dans la BD « Les Esclaves oubliés de Tromelin » par Sylvain Savoia
      http://bdzoom.com/86707/interviews/%c2%ab-les-esclaves-oublies-de-tromelin-%c2%bb-par-sylvain-savoia

      Naufragés sur un îlot de l’océan Indien puis abandonnés par l’équipage d’un navire français, des esclaves malgaches ont survécu 15 ans seuls, sur ce tout petit territoire balayé par les vents.

      #bd

    • A Clipperton :

      En juin 1915, Alicia, Tirsa, Altagracia et Juana, se retrouvent abandonnées à leur sort, avec 6 enfants à leurs charges, et bientôt 8, car Alicia et Tirsa attendent toutes deux un bébé. Femmes et enfants survivent tant bien que mal de la pêche, des crabes et des œufs des oiseaux bobos qui peuplent l’île. Heureusement, l’eau douce ne manque pas, car il pleut fréquemment sur l’île, ce qui permet aux habitants d’assouvir leur soif. Mais un nouvel élément vient bientôt perturber la routine, pourtant déjà difficile des femmes : Victoriano Alvarez, un des soldats de la garnison que tout le monde pensait mort, a en fait survécu au scorbut. Celui-ci se rend compte qu’il est le seul mâle à être encore en vie sur l’île, et au lieu de venir en aide à ses compagnes d’infortune, il décide de mettre à profit la situation et de convertir les femmes en ses esclaves sexuelles. C’est d’abord le tour de Juana, qui meurt assassiné par Victoriano, puis le tour d’Altgracia. Au final, toutes subiront les sévices sexuels de celui qui s’est autoproclamé roi de Clipperton, y compris les enfants. Si l’on en croit le livre de María Teresa Arnaud de Guzmán, seule Alicia aurait échappé à Victoriano, car après 2 ans de sévices, en juillet 1917, Tirsa et Alicia décident dans un ultime accès de colère, d’en finir avec leur bourreau.

      Curieusement, ce même jour, le navire américain Yorktown pose l’ancre à proximité de l’île de Clipperton. Ce n’est pas un hasard. La Première Guerre Mondiale bat son plein, et le capitaine H. P. Perril qui commande le navire, a été chargé par ses supérieurs de réaliser une visite d’inspection à Clipperton, car des rumeurs courent que les Allemands ont installé des bases de sous-marins au large des côtes mexicaines. Quelle sera leur surprise en découvrant, en lieu et place des Allemands, 4 femmes et 8 enfants, vêtus de grossières toiles de navire !

      #sexisme #pédophilie #viols

    • A Tromelin :

      L’ordre règne : blancs et esclaves vivent dans des camps différents. Rapidement, le commandant fait construire une embarcation avec le bois arraché à l’épave. Une forge est même installée à terre. En deux mois, le bateau est achevé. La gazette poursuit ainsi son récit : « On se prépare donc au départ sans délai pendant la nuit du 26 au 27 septembre 1761. Tous les bras s’emploient avec le plus grand empressement... Enfin, on le lance à l’eau, en le retenant avec une ancre à jet qu’on avait retirée des débris. » Mais l’embarcation est trop petite pour que tout le monde y trouve place. « Les cent vingt-deux Français s’embarquent ainsi avec l’espérance, ils sont obligés de s’entrelacer les uns dans les autres, pour pouvoir y être tous contenus avec quelques vivres. Les Noirs, qu’on était forcé de laisser dans l’île, demeurèrent dans un silence accablant. »

      http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/2007-01-17/les-naufrages-de-tromelin/919/0/15068

      « Malgré le nombre d’esclaves morts pendant l’aventure, c’est une histoire plutôt positive, estime l’ancien militaire. Les rescapés se sont pris en main, ont recréé une petite société. » Les archéologues ont retrouvé la trace de douze maisons en pierre, un type de construction interdit à l’époque à Madagascar car réservé aux sépultures. Les survivants « sont allés contre leurs habitudes devant la nécessité de survivre », note Max Guérout. Les scientifiques ont aussi retrouvé des bijoux créés sur place, signe d’une « vie normale ». Pour le feu, des briquets et des silex ont été retrouvés. Les habitants utilisaient le bois de l’épave de L’Utile pour l’alimenter.

      https://www.francetvinfo.fr/decouverte/l-histoire-houleuse-de-l-ile-tromelin-perdue-au-milieu-de-l-ocean-indie

      Ce n’est que le 29 novembre 1776, quinze ans après le naufrage, que le chevalier de Tromelin, commandant la corvette La Dauphine, récupère les huit esclaves survivants : sept femmes et un enfant de huit mois.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_Tromelin#Naufrag%C3%A9s_de_Tromelin

      Dans les deux cas, il n’y a que des femmes et des enfants survivants !

      #île #île_déserte #bateau #naufrage #racisme

    • merci @sinehebdo ces deux histoires sont assez terrifiantes.
      https://www.tahiti-infos.com/Carnet-de-voyage-Victoriano-Alvarez-le-roi-violeur-de-Clipperton_a1473

      La tragédie de Clipperton a inspiré autant les historiens que les romanciers. Voici quelques livres (essais et romans) ayant pour objet le drame des oubliés de Clipperton.

      – Clipperton l’île tragique, André Rossfelder (Albin Michel)
      – Les Oubliés de Clipperton, Claude Labarraque Reyssac (ED. André Bonne)
      – L’homme de Clipperton, Gil Pastor (Luneau Ascot Editeurs (1987)
      – Le Roi de Clipperton, Jean-Hugues Lime (Le Cherche Midi)
      – Agua verde, Anne Vallaeys (Fayard)
      – L’île aux fous, Ana García Bergua (Mercure de France ; bibliothèque étrangère)

      #survivre #femmes

  • Entretien avec deux libertaires cubains

    Isbel Díaz Torres, Mario Gonzalo Castillo Santana et Juana Vázquez

    http://lavoiedujaguar.net/Entretien-avec-deux-libertaires

    Isbel Díaz Torres est biologiste et poète, activiste social comme l’historien Mario Gonzalo Castillo Santana. Tous deux font partie de l’Observatoire critique cubain, de l’Atelier libertaire Alfredo López et du collectif antiraciste Confrérie de la négritude. Voici leur point de vue libertaire et critique à propos de la réalité cubaine.

    Isbel : Cuba vit un processus soutenu et sans ambiguïté de restauration du capitalisme, il est dirigé par les élites politico-militaires au pouvoir sur l’île. Ce processus implique la libéralisation de l’économie, avec l’habilitation des mécanismes d’investissements étrangers connus, la renégociation de la dette extérieure, l’obtention de crédits à travers des organisations internationales, la promotion de « zones spéciales de développement » en dehors des législations du travail en vigueur et avec la flexibilisation nécessaire pour que les sociétés étrangères puissent agir librement (...)

    #Cuba #libertaires #changements #capitalisme #transgéniques #médias #surveillance #racisme #homophobie #mémoire #révolution

  • J’en parlerai à mon cheval • Feminist texts written by women of color
    http://mamie-caro.tumblr.com/post/137474500134/feminist-texts-written-by-women-of-color

    This list is stil a work in progress, but I really wanted to get it posted. I have either read parts of/all of the texts below or they have been recommended to me. Please reblog and add your own suggestions to the list. Each time someone adds something new, I’ll go back to this original post and make sure to include them. Thanks and enjoy!

    Books

    Women, Race, and Class by Angela Davis
    Women Culture and Politics by Angela Davis
    Black Feminist Thought by Patricia Hill Collins
    Borderlands/La frontera: The New Mestiza by Gloria Anzaldua
    Aint I a Woman: Black Women and Feminism by bell hooks
    Feminism is for Everybody by bell hooks
    Feminist Theory from Margin to Center by bell hooks
    Sister Outsider by Audre Lorde
    Feminism without Borders: Decolonizing Theory, Practicing Solidarity by Chandra Talpade Mohanty
    Medicine Stories by Aurora Levins Morales
    Reimagining Equality: Stories of Gender, Race, and Finding Home by Anita Hill
    Killing the Black Body: Race, Reproduction, and the Meaning of Liberty by Dorothy Roberts
    Conquest: Sexual Violence and American Indian Genocide by Andrea Smith
    Pilgrimages/Peregrinajes: Theorizing Coalition Against Multiple Oppressions (Feminist Constructions) by Maria Lugones (submitted by oceanicheart)
    Feminism FOR REAL: Deconstructing the Academic Industrial Complex of Feminism by Jessica Yee (submitted by oceanicheart)
    Communion: The Female Search for Love by bell hooks (via easternjenitentiary)
    Nervous Conditions by Tsisti Dangarembga (via easternjenitentiary)
    A Taste of Power by Elaine Browne (via tinajenny)
    Talkin’ Up to the White Woman: Indigenous Women and Feminism by Aileen Moreton-Robinson (via jalwhite)
    I Am Woman: A Native Perspective on Sociology and Feminism by Lee Maracle (via jalwhite)
    Shadowboxing: Representations of Black Feminist Politics by Joy James (via jalwhite)
    Re-Creating Ourselves by Molara Ogundipe-Leslie (via reallifedocumentarian)
    Chicana Feminist Thought by Alma M. Garcia (via eggplantavenger)
    Queer Latinidad by Juana Maria Rodriguez (via eggplantavenger)
    The Truth That Never Hurts by Barbara Smith (via sisteroutsider)
    Pilgrimages/Peregrinajes: Theorizing Coalition Against Multiple Oppressions by Maria Lugones (via guckfender)
    Consequence: Beyond Resisting Rape by Loolwa Khazzoom (via galesofnovember)
    The Autobiography of My Mother by Jamaica Kincaid (via wherethewildthingsmoved)

    Anthologies

    Companeras: Latina Lesbians by Juanita Ramos and the Lesbian History Project
    Colonize This! Young Women of Color on Today’s Feminism edited by Daisy Hernandez
    This Bridge Called My Back edited by Cherríe Moraga and Gloria Anzaldúa
    this bridge we call home: radical visions for transformation edited by Gloria Anzaldúa and AnaLouise Keating
    Making Face, Making Soul/Haciendo Caras: Creative and Critial Perspectives by Feminists of Color edited by Gloria Anzaldua
    Women Writing Resistance: Essays from Latin America and the Caribbean edited by Jennifer Browdy de Hernandez
    Unequal Sisters edited by Ellen DuBois and Vicki Ruiz
    Chicana Feminist Thought: The Basic Historical Writings edited by Alma M. Garcia (submitted by oceanicheart)
    Undivided Rights: Women of Color Organize for Reproductive Justice (submitted by oceanicheart)
    The Color of Violence: The Incite! Anthology
    I Am Your SIster by Audre Lorde (via marlahangup)
    Indigenous Women and Feminism: Politics, Activism, Culture edited by Cheryl Suzack, Shari M. Huhndorf, Jeanne Perreault, Jean Barman (via jalwhite)
    Dragon Ladies: Asian American Feminists Breathe Fire edited by Sonia Shah (via jalwhite)
    Pinay Power: Feminist Critical Theory: Theorizing the Filipina/American Experience edited by Melinda L. de Jesus (via titotibok)
    Dragon Ladies: Asian American Feminists Breathe Fire edited by Sonia Shah (via titotibok)
    MOONROOT: An Exploration of Asian Womyn’s Bodies (more Asian Pacific Islander American ones here) (via titotibok)
    Making Space for Indigenous Feminism edited by Joyce Green via jalwhite)
    All the Women are White, All the Blacks are Men, But Some of Us are Brave: Black Women’s Studies, more commonly known as But Some of Us Are Brave: Black Women’s Studies edited by Gloria T. Hull, Patricia Bell Scot, and Barbara Smith (via jalwhite)
    Homegirls: A Black Feminist Anthology edited by Barbara Smith (viasisteroutsider)
    Theorizing Black Feminisms: The Visionary Pragmatism of Black Women edited by Stanlie James and Abena Busia (via sisteroutsider)
    Black Woman edited by Toni Cade Bambara (via ancestryinprogress)

    Essays

    “Mapping the Margins: Intersectionality, Identity Politics, and Violence Against Women of Color.” by Kimberle Crenshaw
    The Combahee River Collective Statement
    “Tomboy, Dyke, Lezzie, and Bi: Filipina Lesbian and Bisexual Women Speak Out” by Christine T. Lipat and others (via titotibok)
    “Rizal Day Queen Contests, Filipino Nationalism, and Feminity” by Arleen De Vera (via titotibok)
    “Pinayism” by Allyson G. Tintiangco-Cubales (via titotibok)
    “Practicing Pinayist Pedagogy” by Allyson G. Tintiangco-Cubales and Jocyl Sacramento (via titotibok)
    “Asian Lesbians in San Francisco: Struggle to Create a Safe Space, 1970s – 1980s” by Trinity Ordona (via titotibok)
    “A Black Separatist” by Anna Lee (via girlsandgifs)
    “For the Love of Separatism” by Anna Lee (via girlsandgifs)
    “Separation in Black: A Personal Journey” by Jacqueline Anderson (via girlsandgifs)
    “Separatism is not a Luxury: Some Thoughts on Separatism and Class” by C. Maria (via girlsandgifs)
    “Coming Out Queer and Brown” by Naomi Littlebear Morena (via girlsandgifs)
    “Internalising the Lesbian Body of Color” by Jamie Lee Evans (via girlsandgifs)
    “In Search of Our Mother’s Garden” by Alice Walker (via wherethewildthingsmoved)

    Other authors and poets you should know

    Maya Angelou
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    Nawaal El Sadaawi
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    #féminisme #blackféminisme #antiracisme #lecture #liste