• Managing churn and return: Keeping SVOD audiences engaged and revenue flowing
    https://www.streamingmedia.com/Articles/Editorial/Spotlights/Managing-churn-and-return-Keeping-SVOD-audiences-engaged-and-revenue

    Understanding churn and return behaviour

    “Churn and return”, “binge and bail” or “serial churn” all refer to the cyclical behavior of subscribers who cancel and then resubscribe to services based on their needs. This behavior is increasingly common, with 31% of consumers admitting to being serial churners. Often driven by specific events, promotional offers, content discovery or personal finance management, this strategy allows consumers to optimize their spending, paying only when they truly need the service.

    Consumers are closely managing their subscription expenses in today’s economy, with 53% tracking their spending and 37% admitting to spending more on subscriptions than last year. The average subscription spend of $1,416 per year, combined with 63% of consumers preferring to pay monthly rather than committing to an annual fee, has led to a desire for greater flexibility.

    #Churn #Streaming #Vidéo #Abonnements

  • Des interfaces truquées sur tous les sites web contrôlés par le SPF Economie Agence Belga

    Des interfaces truquées ou « dark pattern », conçues pour inciter les consommateurs à entreprendre des actions qui ne sont souvent pas à leur avantage, ont été retrouvées sur tous les sites web belges contrôlés lors d’une enquête internationale menée par 27 autorités de protection des consommateurs et 26 autorités de protection de la vie privée.

    Dans 70% des cas belges, deux pratiques douteuses au moins étaient utilisées, prévient mardi le SPF Economie.

    Les contrôles, qui ont eu lieu entre le 29 janvier et le 2 février dernier, ont mis l’accent sur les sites web et les applications proposant des abonnements à des produits ou à des services. « Il s’agit par exemple de la livraison hebdomadaire de repas ou de fleurs, mais aussi d’abonnements à des plateformes de streaming ou à des contrats d’entretien. Les entreprises ont été sélectionnées sur la base de signalements et d’un échantillonnage », précise le SPF Economie.

    Plus de 600 sites internet ont été contrôlés dans le monde, dont 13 en Belgique. « En Belgique, des pratiques ont été détectées particulièrement fréquemment au cours de la campagne de contrôle : des pratiques suspectées d’être ’sournoises’, telles que l’impossibilité de désactiver le renouvellement automatique d’un abonnement lors de l’achat, et des pratiques ’d’interface interference’, telles que le pré-cochage des abonnements », détaille le SPF.

    Des interfaces truquées ou « dark pattern » ont été détectées sur 75,7 % des entreprises contrôlées au cours d’une enquête internationale. Elles sont conçues pour inciter les consommateurs à entreprendre des actions qui ne sont souvent pas à leur avantage. Au niveau belge, tous les sites web contrôlés présentaient au moins un dark pattern, et près de 70 % d’entre eux ont même eu recours à deux pratiques trompeuses ou plus.

    Source : https://www.lalibre.be/economie/conjoncture/2024/07/09/des-interfaces-truquees-sur-tous-les-sites-controles-par-le-spf-economie-IQC

    #internet #smartphones #commerce #interfaces #applications #services #plateformes #streaming #abonnements #dark_pattern #algorithmes

  • Faux abonnés, faux commentaires ou faux « j’aime » : comment tricher sur Instagram ? François Ruchti, Camille Lanci, Valentin Tombez - RTS - Mise au point
    Le business des influenceurs et influenceuses

    Acheter des abonnés ou des « j’aime » pour paraître plus populaire sur les réseaux sociaux : des sites internet proposent ce type de services pour une poignée de francs suisses. Parmi la clientèle, des personnes actives dans le monde de l’influence, de la politique ou du sport, comme le révèle une enquête de Mise au Point.

    En quelques clics, l’équipe de Mise au Point est virtuellement devenue, avec son profil « Emmalicieuse », l’un des comptes Instagram les plus prometteurs de Suisse romande. Pourtant, sur le profil de cette dernière, rien n’est vrai. Tout est acheté sur des sites internet qui proposent des centaines d’abonnés et des « j’aime » pour quelques euros.

    Pour paraître plus populaire et gonfler son audience, Emmalicieuse a ainsi pu compter sur l’achat de plus de 13’000 abonnés, de milliers de « j’aime » et de milliers de vues pour ses vidéos. Avec un budget total de 300 francs suisses , il a également été possible de lui payer des dizaines de commentaires comme « trop belle la photo » ou encore « j’adore ton look ». Son profil a depuis été effacé.

    Durant l’expérience qui a duré quelques semaines, le compte Emmalicieuse n’a jamais été bloqué par Instagram. Le réseau social prétend pourtant lutter activement contre les abonnés achetés et autres techniques pour gonfler sa notoriété.

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    Capture d’écran du profil d’Emmalicieuse [Instagram]

    Sous-traitants basés en Asie
    Parmi les fournisseurs d’abonnés achetés, Marc (Nom connu de la rédaction) , le patron d’une entreprise française spécialisée dans le domaine, a accepté de répondre aux questions de Mise au Point sous couvert d’anonymat.

    "Il y a différents types de qualité d’abonnés, avec plus ou moins de photos et d’éléments pour les rendre plus authentiques. Une fois qu’un client nous fait une commande, nous utilisons des stocks de profils pour générer des « j’aime » ou des commentaires. Généralement, ce ne sont pas de vraies personnes qui cliquent, tout est fabriqué par des réseaux d’ordinateurs et des sous-traitants basés en Asie. Il y a également la possibilité d’obtenir des vrais profils, des vrais abonnés. Ceci est possible grâce à des concours où il est obligatoire de s’abonner à nos clients. Ce service coûte plus cher", révèle-t-il.

    Ces gens veulent crédibiliser leur présence sur les réseaux. Avoir 100 ou 50’000 abonnés, cela fait la différence
    Marc*, le patron d’une entreprise française spécialisée dans le domaine

    Le jeune homme ne souhaite pas donner le nom de ses clients. « Parmi eux, il y a des gens qui souhaitent briller sur les réseaux, qui souhaitent impressionner leurs amis. Ce sont des ’Monsieur et Madame tout le monde’ », explique-t-il au micro de l’émission de la RTS. Avant d’ajouter qu’il y a aussi des politiciens, des influenceurs et de grosses entreprises qui font appel aux services de son entreprise. « Ces gens veulent crédibiliser leur présence sur les réseaux. Avoir 100 ou 50’000 abonnés, cela fait la différence », souligne-t-il.

    Son entreprise est également sollicitée pour se servir de l’algorithme de YouTube. Ces plateformes mettent en avant, comme il l’explique, les vidéos qui ont du succès. Et le succès amène le succès : « Notre service permet de créer de la visibilité. J’ai un client qui achète des dizaines de milliers de vues dès qu’il publie une vidéo. À chaque fois, cela lui permet de mettre en avant sa vidéo. Des vraies personnes finissent par aller voir sa vidéo. Et il fait ainsi facilement un million de vues », poursuit-il.

    Avec Emmalicieuse, la fausse influenceuse de Mise au Point, les abonnés ont été achetés via le site de Marc, mais également sur le site de ses concurrents. Ceci a permis d’identifier précisément un échantillon de 200 profils payants sur Instagram. L’équipe data de la RTS a analysé ces 200 comptes. Ces profils payants sont abonnés à Emmalicieuse, mais également à toute une série de gens bien réels.

    Des sportifs, artistes et politiciens _
    nicocapone.comedy [Instagram]De petites célébrités locales, des entrepreneurs, mais aussi quelques sportifs et artistes ont les mêmes abonnés qu’Emmalicieuse. Sur les 200 profils payants analysés, une cinquantaine suit par exemple le joueur de football Olivier Boumal. On trouve également une politicienne turque, Elvan Işık Gezmiş, membre du Parlement.

    En Suisse, c’est chez des influenceurs vaudois, nicocapone.comedy, qu’on retrouve une partie de notre échantillon de profils payants. Le couple vaudois, connu sur internet, fait régulièrement des apparitions à la télévision. Il affiche officiellement plus de 10 millions d’abonnés sur Instagram.

    Contactées, aucune de ces personnes n’a répondu à nos questions. Attention toutefois : les profils payants analysés se sont peut-être abonnés exceptionnellement gratuitement à ces différentes personnes.

    Sortir du lot *
    Mais pourquoi cette course aux « j’aime », aux abonnés ou aux commentaires ? Certains influenceurs interrogés ont avoué sous couvert d’anonymat utiliser ces artifices afin de sortir du lot et devenir attractifs pour les marques. En Suisse, une personne influenceuse peut déjà gagner plusieurs milliers de francs par mois avec 20 à 30’000 abonnés.

    Avec l’avènement des réseaux sociaux, des agences d’influence ont vu le jour. Ces agences mettent en relation les marques avec des influenceurs. Ils utilisent des outils afin de vérifier l’authenticité des influenceurs, mais la supercherie est parfois très dure à détecter. Hors caméra, des agences d’influenceurs avouent à demi-mot connaître l’ampleur du faux. Cette supercherie ne semble toutefois pas leur poser des problèmes.

    « Si 50% des abonnés d’un instagrammer sont achetés, ce n’est pas si grave. Certains ont plus d’un million de followers... Alors 50% de faux, ça reste 500’000 personnes qui peuvent être touchées, impactées par cette personne. Ca reste très intéressant de faire de la publicité avec ces influenceurs », indique l’une d’entre elles.

    Dans ce monde du faux, entre la course à la notoriété, aux partenariats, aux « j’aime » et aux commentaires, il est difficile de savoir qui joue le jeu sans tricher. Les consommatrices et consommateurs lambda sont donc laissés à eux-mêmes dans la jungle d’Instagram.

    #influenceurs #influenceuses #publicité #sport #politique #notoriété #réseaux_sociaux #blogs #notoriété #profils #abonnements #partenariats #fraude #internet #algorithmes #supercherie

    Source : https://www.rts.ch/info/suisse/14241142-faux-abonnes-faux-commentaires-ou-faux-jaime-comment-tricher-sur-instag

  • « On veut que le boulanger du coin puisse facilement utiliser les #Services de #NUBO »
    https://framablog.org/2019/11/30/on-veut-que-le-boulanger-du-coin-puisse-facilement-utiliser-les-services-

    Si vous lisez ces lignes, vous êtes en théorie déjà familier avec le collectif #CHATONS initié en 2016. Aujourd’hui, direction la #Belgique pour découvrir Nubo, une coopérative qui propose des services en ligne respectueux de la vie privée. Interview réalisée … Lire la suite­­

    #Contributopia #Dégooglisons_Internet #Internet_et_société #Libres_Logiciels #Libres_Services #abonnements #biocoop #chatons #Coopcity #coopérateurs #cooperative #Librehosters #parts

  • Qui veut la peau de #Sci-hub ?
    https://theconversation.com/qui-veut-la-peau-de-sci-hub-114794
    #paywall

    Ceci dit, Sci-hub est en pratique alimenté en articles par des #chercheurs militants faisant profiter de leurs #abonnements à des bibliothèques qui ont accès aux abonnements payants. Ironiquement, si toutes les #bibliothèques arrêtaient de s’abonner, on ne pourrait plus alimenter Sci-hub !

    De ce point de vue, se reposer sur Sci-hub c’est aussi ne pas remettre en cause le système actuel. C’est un peu comme #pirater des copies de MS Office plutôt que d’utiliser un traitement de texte #libre : on entretient la suprématie du #système_propriétaire et on freine le développement d’#alternatives.

    • Oui c’est un argument à la noix, surtout en conclusion et présenté de manière aussi affirmative.

    • tout à fait d’accord. D’ailleurs je l’utilise largement. Il faut en effet favoriser les alternatives qd on peut, mais aussi des changements systémique pour facilliter l’engagement individuel (qui n’est pas envisageable pour les jeunes chercheurs ou des pays en dev. qui doivent d’abord faire leurs preuves).

  • Nous sommes des paysans de l’Internet : achevez-nous… ou sauvez-nous !
    https://reflets.info/nous-sommes-des-paysans-de-linternet-achevez-nous-ou-sauvez-nous

    Je lis tous ces commentaires et analyses négatives sur notre passage au payant. Je repense à la conférence gesticulée de Lunar de ce samedi soir que je suis en train de mettre en ondes pour […]

    #Breves #abonnements #GAFAM #gratuité #modèle_économique #presse_indépendante #presse_payante #pure-player

    • Cet article parle de « fabriquer des bouts d’internet », alors que ce dont il s’agit, c’est de « faire du journalisme à thématique internet ». Ce n’est pas contradictoire, mais c’est une question un peu différente, un peu plus restreinte.

      Il y a différents modèles de financement de la presse et de la presse sur internet, je n’ai rien contre le fait qu’ils en essaient un autre, mais je ne suis pas tout à fait convaincu par la manière dont est formulé l’argument.

      Par ailleurs cette distinction entre « vous » (qui devez payer) et « nous » (qui produisons), bon… si on veut aller par là, c’est pas très internet.

      « Il va falloir s’habituer à payer » - there is no alternative. OK.

    • Je suis pour ma part abonné à plusieurs publications. Quand j’ai moins de budget mensuel je peux supprimer ou non un abonnement et en conserver un autre. C’est moi qui décide. Mais je sais, que dans le même temps je claque bien plus pour mon forfait data de téléphonie et mon abonnement Internet domestique. Je paye bien plus pour accéder à l’information que pour l’information elle-même. J’ai accepté ce modèle, et je le cautionne. Mais quand je vois que les 4 grands opérateurs qui détiennent les accès au réseau deviennent aussi fournisseurs « d’information gratuite », je suis inquiet.

    • Pour parler un peu politique,, si j’étais (camembert) président, c’est le système de subventions à la presse que je réformerais. Pub ? Débrouille-toi. Pas de pub ? Éligible. S.A. ? Débrouille-toi. Coop ? Éligible... Après, il faudrait un savant mélange de fixe et de variable. Un débat pour dans 5 ans peut-être ?

  • Le #FT abandonne le #Paywall au compteur au profit d’un accès total temporaire.

    Le #Financial_Times revoit sa stratégie numérique
    http://www.lefigaro.fr/medias/2015/02/28/20004-20150228ARTFIG00002-le-financial-times-revoit-sa-strategie-numerique.

    Petit big bang au Financial Times. Le quotidien économique, pionnier dans le développement des #abonnements numériques, a décidé de changer de modèle. Huit ans après son introduction, le titre abandonne le principe du « #compteur » (les internautes ont le droit de lire gratuitement un nombre fixe d’articles chaque mois, et doivent au-delà s’acquitter d’un abonnement), repris depuis par le #New_York_Times ou, en France, par #lexpress.fr. Désormais, le Financial Times proposera aux internautes une #offre d’essai leur permettant de consulter à volonté les contenus du site durant un mois pour un euro. Après cette période, l’internaute devra prendre un abonnement numérique s’il souhaite continuer sa lecture.

    #presse #sites_de_presse #commerce #abonnements