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#action_publique

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  • @metropolitiques
    Metropolitiques @metropolitiques via RSS 24/05/2021
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    @monolecte
    @ericw
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    Intervenir sur les rez-de-chaussée en ville : une #action_publique à enrichir
    ▻https://metropolitiques.eu/Intervenir-sur-les-rez-de-chaussee-en-ville-une-action-publique-a-en

    Décisifs pour l’animation des centres-villes, les commerces disparaissent dans beaucoup de rues. Valérie Strock-Huttepain et David Rottmann reviennent sur les causes de cette déprise et sur quelques initiatives imaginées pour redonner vie aux rez-de-chaussée. Les rez-de-chaussée, fondements de l’animation des centres-villes et de leur mixité fonctionnelle et sociale, sont aujourd’hui en crise. Si la déprise commerciale des centres-villes ne date pas d’hier, elle est aujourd’hui accentuée par #Essais

    / #centre-ville, #commerce, #villes_moyennes, #foncier, action publique

    ▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_rottman-strock.pdf

    Metropolitiques @metropolitiques via RSS
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 28/05/2021

      Cette vacance est une ressource qui doit être reconnue pour ouvrir les rez-de-chaussée à d’autres programmations, et en premier lieu le maintien ou le retour d’activités productives en ville. L’implantation de rez-de-chaussée productifs ou hybrides permettrait d’accueillir de nombreuses activités qui ne trouvent pas leur place dans nos tissus urbains, alors même qu’elles favorisent le retour de l’artisanat, une économie et des services plus inclusifs ou encore l’entrepreneuriat. C’est le cas par exemple à Villeurbanne qui, dans le cadre de l’expérimentation « Territoire zéro chômeur de longue durée » et en partenariat avec des bailleurs sociaux, des entreprises sociales et des PME locales, a favorisé l’implantation d’Emerjean

      , une entreprise d’insertion qui occupe un ancien rez-de-chaussée vacant et y déploie de la petite production textile ou des activités liées à l’ESS.

      Ainsi, dans des cas où les marchés sont défaillants, il n’y a plus de transaction et plus d’occupation des rez-de-chaussée, les lois du marché ne favorisent plus mécaniquement les activités commerciales au détriment des activités artisanales. D’autres activités peuvent alors s’installer. C’est donc peut-être dans les interstices de ces marchés défaillants, et à condition d’adapter les locaux, que l’on peut retrouver l’espace nécessaire au retour ou au développement d’activités qui s’étaient retrouvées en concurrence avec les activités commerciales.

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 10/01/2021
    @isskein @karine4

    De l’usage des #campements dans les #politiques_migratoires

    La litanie des #expulsions de migrants se poursuit, après Paris place de la République fin novembre, les associations alertent sur l’accélération du phénomène à #Calais au cours du mois écoulé. Alors que l’expérience longue pourrait informer de nouvelles pratiques, pourquoi ce recours systématique à l’expulsion perdure-t-il ? Parce que les campements sont un répertoire des politiques migratoires, et non la conséquence d’un trop plein auquel nos capacités d’accueil ne pourraient plus faire face.

    **

    Lundi 23 novembre 2020, vers 19h, plusieurs centaines de personnes exilées issues du campement de St-Denis n’ayant pu bénéficier de “la #mise_à_l’abri” organisée par la préfecture de Paris la semaine précédente, accompagnées d’associations de soutien, d’avocats, d’élus et de journalistes, déploient 200 tentes sur la #place_de_la_République. Malgré la résistance des exilés et de leurs soutiens, la place sera évacuée le soir même. La police pourchassera jusque tard dans la nuit et en dehors de #Paris celles et ceux qui n’ont plus où aller. La #violence déployée fera l’objet de nombreuses images sur les réseaux sociaux.

    Cette opération est loin d’être inhabituelle, contrairement à ce que laisse penser la médiatisation inédite à laquelle elle a donné lieu et qui s’explique par une conjonction de facteurs : le lieu de la scène (le centre de Paris), le moment (montée des critiques sur les violences policières et adoption d’une loi interdisant de les filmer), les acteurs (des journalistes et des élus violentés et non plus seulement des exilés et leurs soutiens). Depuis le 2 juin 2015 et l’évacuation d’un campement dans Paris (sous le métro la Chapelle), on dénombre soixante-six opérations de ce type dans la capitale et sa petite couronne (une moyenne d’un par mois). Dans le Calaisis, elles relèvent de la routine.

    Les évacuations de campement sont ainsi devenues courantes, relayées par des articles de presse qui se suivent et se ressemblent, préférant souvent à l’analyse un alignement de faits bruts immédiats, peu éloignés des communiqués de la préfecture de police. Que révèle donc la litanie dans laquelle s’inscrit cet énième épisode ? Que cristallise-t-il comme phénomènes ?

    Pour le comprendre, nous proposons de revenir sur la manière dont sont fabriqués ces campements et mises en scène ces évacuations en faisant l’effort d’inverser le regard, de le diriger vers les coulisses que la lumière des projecteurs laisse dans l’ombre.

    La fabrique des campements

    À première vue, le campement apparaît comme le signe d’un #trop_plein, preuve que les étrangers seraient trop nombreux et que nous aurions atteint les limites de nos #capacités_d’accueil, d’un point de vue économique comme social. Les campements sont en réalité davantage fabriqués par les choix de politiques migratoires de l’État, que par une submersion par le nombre.

    Ceux qui survivent dans les campements du Nord de Paris sont majoritairement en demande d’asile, certains attendent une réponse, d’autres de pouvoir simplement déposer une demande, une minorité a été déboutée. Ils sont majoritairement Afghans et Soudanais, mais aussi Ethiopiens et Erythréens et dans une moindre mesure Guinéens et Ivoiriens. Pas de Chinois, de Sri-Lankais, de Maliens… qui sont accueillis – bien ou mal – par des compatriotes installés de longue date. Pas non plus de Syriens – qui sont peu venus en France.

    Les campements sont le résultat de #politiques_publiques qui ont précarisé les demandeurs d’asile au lieu de les laisser doucement s’intégrer au tissu économique et social de notre pays. Car en vertu d’une loi adoptée en 1991, les demandeurs d’asile n’ont pas le droit de travailler. En contrepartie, ils sont censés bénéficier d’un #hébergement, d’une #allocation et de l’#accès_aux_soins. En leur interdisant l’accès au marché de l’emploi, on les assigne à une #dépendance, qui leur est ensuite reprochée. Et qui s’est transformée en #précarité extrême – jusqu’à la rue pour certains – à mesure que les réformes successives ont introduit de nombreuses conditions pour accéder et se maintenir dans le #dispositif_d’aide. Des aides par ailleurs attribuées dans la pratique de manière toujours plus tardive, incomplète et fréquemment suspendues sous divers motifs, ou simplement par erreur.

    Les campements sont également fabriqués par le #choix_politique de sous-dimensionner de manière structurelle le #dispositif_d’hébergement dédié aux demandeurs d’asile. Ce choix, car il s’agit bien d’un choix et non d’une fatalité, est spécifiquement français. On ne trouve en effet aucun campement dans les rues des pays européens comparables à la France. Les seuls pays confrontés à ce phénomène sont ceux qui, situés aux portes de l’Europe, conjuguent arrivées massives et contexte économique dégradé, tels la Grèce, la Bulgarie ou l’Italie.

    Au plus fort des mouvements migratoires vers l’Europe en 2015, la France ne recensait que 79 000 demandeurs d’asile (soit 0,1% de sa population) là où l’Allemagne en comptabilisait un million, mais aucun camp de rue. L’#Allemagne a en effet choisi d’ouvrir des #hébergements, réquisitionner des centaines de gymnases et même un ancien aéroport, plutôt que de laisser les exilés dehors. En France, c’est la théorie de l’#appel_d’air, selon laquelle des conditions favorables risqueraient d’attirer les migrants et des conditions défavorables de les dissuader de venir, qui explique le choix de privilégier une politique basée sur l’#insuffisance_structurelle.

    À la fois issu de dynamiques spontanées (des personnes à la rue qui se regroupent pour passer la nuit) et organisées (des soutiens qui apportent nourritures, tentes et vêtements puis qui exigent des pouvoirs publics l’installation de points d’eau et de WC), les campements apparaissent et s’étendent jusqu’au jour où, jugés trop gros et/ou trop visibles, les autorités décident d’une opération d’évacuation. Ces évacuations laissent cependant toujours dans leur sillage les germes du prochain campement.

    Car si une partie des personnes est effectivement mise à l’abri dans des #hôtels pour entrer dans le #dispositif_national_d’accueil, d’autres sont placées dans des #gymnases avant d’être remises à la rue une ou deux semaines plus tard. Un dernier groupe est systématiquement laissé sur le trottoir sans aucune solution, pas même celle de retourner au campement puisque celui-ci a été détruit pour des raisons sanitaires.

    Un sondage organisé par des associations en 2020 a montré qu’une évacuation laisse en moyenne un quart des personnes sans solution le jour même et que près de la moitié de ceux qui sont mis à l’abri se retrouvent à la rue le mois suivant. Les deux-tiers des personnes évacuées l’auraient ainsi déjà été plusieurs fois.

    Rien d’étonnant donc à ce que les campements succèdent aux opérations de mise à l’abri, et inversement. Cela n’empêche pas la préfecture d’annoncer à chaque évacuation, que cette fois c’est la dernière.

    Une question se pose alors. À la soixante-sixième évacuation, alors que l’expérience longue pourrait informer de nouvelles pratiques, pourquoi rien ne change ?

    Est-ce de l’impuissance ? De l’impréparation ? Et si le campement et l’évacuation constituaient des répertoires de l’#action_publique, plutôt que les manifestations d’un phénomène qui la dépassent ? Ils serviraient alors à cadrer le débat en mettant en scène et en image l’immigration comme un problème, un « trop-plein », justifiant selon la théorie – jamais démontrée – de l’appel d’air, une politique de fermeté.

    Le campement : invisible mais pas trop

    Le campement doit pouvoir servir d’illustration sans cependant prendre trop d’ampleur. D’où une gestion subtile par l’État de la visibilité des campements qui nécessite de naviguer habilement entre la #mise_en_scène du débordement et la maîtrise du #désordre.

    Les campements existent de longue date en France (campements Rroms, campements du Calaisis depuis la fin des années 1990) ainsi que les regroupements informels (à Paris, gare de l’Est au début des années 2000, puis à Austerlitz en 2014) mais ne surgissent dans l’espace médiatique qu’à partir de l’été 2015. Leurs images, relayées par les médias et les réseaux sociaux, entrent en résonance avec les messages, différents selon les publics, que les autorités souhaitent faire passer sur l’immigration.

    Aux citoyens français, on montre l’immigration comme problème en mettant en #spectacle des migrants non seulement trop nombreux mais aussi affamés, sales, malades qui suscitent dès lors un mélange d’#empathie, de #dégoût et de #crainte. La persistance des campements malgré les évacuations fait apparaître l’immigration comme un puits sans fond en donnant l’impression qu’on écume, mais que l’inondation est trop importante.

    Aux migrants, c’est le message du #non-accueil (« il n’y a pas de place pour vous ») qu’on espère faire passer par ces images dans l’objectif de faire fuir ceux qui sont déjà là et décourager ceux qui pourraient vouloir venir.

    Mais les campements ne doivent pas non plus être trop visibles car ils peuvent susciter une #solidarité susceptible de se mettre en travers des politiques migratoires restrictives. Pour peu qu’ils soient au cœur des villes, ils peuvent devenir lieux de rencontre, d’apprentissages, d’engagement et de mobilisation. La quasi-totalité des #collectifs_solidaires est ainsi née dans les campements. Leur recrutement dans les milieux non militants et leur mode de fonctionnement agile et horizontal ont largement renouvelé et même bousculé le champ du soutien aux étrangers.

    Les campements, lieux où personne a priori ne souhaite se retrouver, sont ainsi devenus, dans un renversement, un objectif, un moyen d’obtenir quelque chose pour les exilés et leur soutien. Car, paradoxalement, alors que les évacuations avaient pour objectif affiché de faire disparaître les campements, elles ont abouti à en faire une modalité d’accès à l’hébergement, bien souvent la seule.

    « Faire tenir » un campement est devenu dès lors stratégique pour les personnes exilées et les militants. Il constitue non seulement une solution immédiate bien que précaire mais il permet aussi de rendre visible la situation des exilés et susciter par là une solution plus pérenne. Ce n’est dès lors plus seulement le campement mais aussi sa visibilité qui est devenue une ressource, pour les exilés et leurs soutiens. Et c’est bien en retour la lutte contre cette visibilité qui est devenue un enjeu pour les pouvoirs publics.

    D’où l’ambivalence du traitement étatique à l’égard des campements : les laisser se former tant qu’ils restent de petite taille et peu visibles, les évacuer mais jamais complètement ; les tolérer mais pas n’importe où. Surtout pas au centre, à Paris : depuis 2016, la politique de la préfecture de police de la capitale, appuyée en cela par la Mairie, consiste à repousser les campements à la périphérie puis à l’extérieur de la ville. Les consignes des policiers auprès des personnes exilées sont sans ambiguïté : pour espérer poser sa couverture quelque part, il faut partir en dehors de Paris.

    Le campement revient néanmoins sous les feu des projecteurs au moment de l’évacuation organisée comme un spectacle.

    L’évacuation : le spectacle… et ensuite

    L’évacuation est autant une opération de #maintien_de_l’ordre que de #communication. C’est le moment où l’État met en scène sa #responsabilité et sa #fermeté. Son #humanité aussi. Il doit laisser voir un subtil mélange de deux facettes : non, il n’est pas laxiste en matière d’immigration mais oui, il respecte les valeurs républicaines et humanistes. Il doit aussi faire croire aux habitants du campement, comme aux médias, que tout le monde va être mis à l’abri… tout en ayant prévu un nombre de places insuffisant.

    D’où les deux moments de l’évacuation : celui visible du spectacle sur une scène centrale sous les projecteurs, en présence de nombreux acteurs ; puis quand ces derniers sont partis, la suite en coulisses, où la violence peut se déployer à l’abri des regards.

    Après 66 évacuations parisiennes, il est possible d’identifier un #rituel respecté à la lettre. Les mêmes gestes sont répétés avec précision et minutie, sans presque aucune variation.

    D’abord la date : un vrai-faux mystère est savamment entretenu autour du jour de l’évacuation. Certains acteurs, les structures d’hébergement mais aussi les journalistes, doivent être au courant. D’autres, les associations et les personnes exilées, doivent être tenus dans l’ignorance pour limiter les risques d’installations de dernière minute sur le campement. Les collectifs solidaires seront néanmoins les premiers sur place au petit matin pour distribuer boissons chaudes et informations, tenter de récupérer du matériel et surveiller les comportements des policiers.

    Les opérations proprement dites débutent à 5h du matin par l’encerclement du campement par des policiers lourdement équipés ; le préfet arrive, il ouvre la conférence de presse à laquelle assistent les journalistes, les élus et l’opérateur France Terre d’Asile. Il déclare qu’il convient de lutter contre les « #points_de_fixation » que constituent les campements parce qu’ils sont dangereux « pour les riverains comme pour les migrants », il annonce que suffisamment de places ont été mobilisées pour que tout le monde soit hébergé, que c’est la dernière évacuation et que le campement ne se reformera pas. Les journalistes relaient le nombre de places rendues disponibles et interviewent un exilé et un soutien.

    Les exilés montent dans les bus après avoir été fouillés un par un, pendant que leurs tentes, sacs de couchage et autres affaires sont détruites. Les soutiens profitent de la fenêtre d’attention médiatique pour déployer une banderole destinée à être photographiée et relayée sur les réseaux sociaux.

    Alors que les journalistes et les élus sont partis depuis longtemps, on « s’apercevra » qu’il n’y a pas assez de place. Commence alors la seconde partie de l’évacuation. La mise à l’abri prend un sens différent : il s’agit de mettre à l’abri des regards ceux qui demeurent à la rue. Les policiers laissés seuls face à cette pénurie organisée, ayant ordre de faire disparaître « le campement », piochent alors dans leur répertoire : violence verbale et physique, coups de matraque, coups de pied, gaz lacrymo… pour chasser les personnes vers un ailleurs indéfini. Ce que les exilés et les soutiens encore présents s’efforceront de rendre visible par des photos et films sur les réseaux sociaux.

    *

    Comme les « faux mineurs isolés » et les « étrangers qui abusent » (des allocations, du système de soin et d’asile), les campements et leur évacuation sont une figure centrale du #récit_médiatique sur le phénomène migratoire. Pourtant, ils n’en représentent qu’une toute petite partie et nous en disent moins sur ce dernier que sur nos choix politiques. Ce récit sert tout autant à raconter une histoire qu’à en taire une autre.

    Les campements et les évacuations racontent l’immigration comme #problème et les étrangers comme trop nombreux et trop coûteux pour pouvoir être bien accueillis. L’horizon des politiques migratoires est dès lors restreint à une seule question : comment réduire le nombre des arrivées et éviter les « appels d’airs » ? Ainsi racontée, l’histoire interdit de prendre le recul nécessaire à une compréhension fine du phénomène migratoire. Elle dirige toutes les ressources vers le #non_accueil, le #contrôle et la #répression et les détourne de l’investissement dans l’accueil, la formation, l’insertion et tous les autres outils permettant aux étrangers de construire leur place dans notre société.

    Ce #récit laisse dans l’ombre l’histoire d’un #État qui condamne à la misère les nouveaux arrivants en les privant du droit de travailler, substitué par un système d’accueil structurellement sous-dimensionné et de moins en moins accessible. Il permet enfin de continuer à ignorer les recherches qui depuis maintenant plus de 30 ans démontrent de manière presque unanime que l’immigration est très loin de constituer un problème, économique, social ou démographique.

    Les campements sont un répertoire des politiques migratoires et non la conséquence d’un #trop_plein. Ils perdurent jusqu’à ce jour car ils sont non seulement le résultat mais aussi une justification des politiques migratoires restrictives. À rebours du campement et des impasses qui nous tiennent aujourd’hui lieu de politique, les recherches et les pratiques de terrain, vivifiées par l’émergence en 2015 d’un mouvement solidaire inédit, inventent des #alternatives et dessinent des perspectives où l’immigration n’est ni un problème ni une solution, mais bien ce qu’on en fait.

    ▻https://aoc.media/analyse/2021/01/05/de-lusage-des-campements-dans-les-politiques-migratoires
    #campement #migrations #asile #réfugiés #Karen_Akoka #Aubépine_Dahan #précarisation #visibilité #in/visibilité #vide #plein #droit_au_travail #travail #SDF #sans-abris #sans-abrisme #destruction #ressources_pédagogiques

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    CDB_77 @cdb_77
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  • @af_sobocinski
    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 12/03/2020

    #Services_publics : « des usagers seuls face à un écran »
    ▻https://www.banquedesterritoires.fr/rapport-genest

    https://www.banquedesterritoires.fr/sites/default/files/2020-03/carteobstetrique.jpg

    La réorganisation des services de l’État conduite tambour battant depuis le milieu des années 2000 a contribué au développement d’un « fort sentiment d’abandon » d’une grande partie de la population, mais aussi des élus locaux et de certains agents sur le terrain. C’est le constat du sénateur LR de l’Ardèche Jacques Genest dans son rapport intitulé Agir pour nos concitoyens : redonner de la proximité et de l’efficacité à l’#action_publique dans les territoires (▻http://www.senat.fr/notice-rapport/2019/r19-334-notice.html), présenté devant la commission des finances, le 19 février, qui s’inscrit dans les pas des députés Jean-Paul Dufrègne et Jean-Paul Mattei.

    #rgpp #map #action_publique_2022 #budget_de_l'État #déficit #dématérialisation #haut_débit #forces_de_sécurité #anct #aménagement_du_territoire #préfectures #maisons_France_services #trésorerie #dgfip #santé #offre_hospitalière #hôpitaux #médecine_libérale

    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
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  • @af_sobocinski
    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 26/02/2020
    2
    @antonin1
    @colporteur
    2

    Le rapport public annuel 2020 | Cour des comptes
    ▻https://www.ccomptes.fr/fr/publications/le-rapport-public-annuel-2020

    https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2020-02/rpa2020-1440x577.png

    Introduit par une courte rétrospective des travaux des juridictions financières en 2019, le rapport public annuel 2020 de la #Cour_des_comptes comprend 22 chapitres, répartis en deux parties, mettant l’accent sur les services rendus au travers des politiques publiques.
    La première partie comporte 13 chapitres sur la situation d’ensemble des finances publiques à fin janvier 2020, les politiques et la gestion publiques, ainsi que sur l’action publique dans les territoires. La deuxième partie est consacrée, pour la première fois, à une thématique transversale : le #numérique au service de la transformation de l’#action_publique, à travers 9 enquêtes. Une troisième partie se concentre spécifiquement sur le suivi des recommandations des juridictions financières. Enfin, un nouveau rapport d’activité présente les actions, les résultats et les moyens des juridictions financières en 2019.

    ▻https://www.banquedesterritoires.fr/localtis-25-fevrier-2020

    #finances_publiques #APL #logement #santé #insuffisance_rénale_chronique #navire #sécurité #drones_militaires #aéroports #desserte_aéroportuaire #Bretagne #restauration_collective #communes #abattoirs_publics #Corse #Poste #courrier #éco-organismes #recyclage #école_polytechnique #retraite_complémentaire #Agirc_Arrco #dématérialisation #titres_d'identité #Pôle_emploi #santé #logement_social

    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
    • @arno
      ARNO* @arno ART LIBRE 26/02/2020

      Cour des comptes attend premier président, désespérément – Economie
      ▻https://www.lopinion.fr/edition/economie/cour-comptes-attend-premier-president-desesperement-212546

      C’est une institution sans tête qui présente son rapport annuel ce mardi. Depuis le 1er février, la Cour des comptes n’a plus de premier président. Après dix ans de bons et loyaux services, Didier Migaud a tiré sa révérence le 31 janvier pour prendre la succession de Jean-Louis Nadal à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. Depuis, plus rien. Silence radio du côté de l’Elysée, qui doit désigner le futur patron de la maison.

      ARNO* @arno ART LIBRE
    • @arno
      ARNO* @arno ART LIBRE 26/02/2020

      Et comme c’est même à ça qu’on les reconnaît : Nicole Belloubet envisagée par Emmanuel Macron pour présider la Cour des comptes
      ▻https://www.lejdd.fr/Politique/nicole-belloubet-envisagee-par-emmanuel-macron-pour-presider-la-cour-des-compt

      https://cdn-lejdd.lanmedia.fr/var/europe1/storage/images/lejdd/politique/nicole-belloubet-envisagee-par-emmanuel-macron-pour-presider-la-cour-des-comptes-3951163/54150597-2-fre-FR/Nicole-Belloubet-envisagee-par-Emmanuel-Macron-pour-presider-la-Cour-des-comptes.jpg

      Dans l’hypothèse d’un futur remaniement, l’actuelle garde des Sceaux, Nicole Belloubet, pourrait quitter son ministère pour rejoindre la Cour des comptes, dont la présidence est pour l’instant vacante.

      ARNO* @arno ART LIBRE
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  • @monolecte
    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 14/04/2019
    5
    @simplicissimus
    @marielle
    @recriweb
    @kassem
    @af_sobocinski
    5

    Privatisations : la République en marché - #DATAGUEULE 88
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=1hYR2o1--8s

    Tout doit disparaître... surtout les limites ! Depuis 30 ans, les privatisations, à défaut d’inverser la spirale de la dette, déséquilibrent le rapport de force entre Etat et grandes entreprises à la table des négociations. Infrastructures, télécoms, BTP, eau ... les géants des marchés voient leur empire s’élargir dans un nombre croissant de secteurs vitaux. Cédant le pas et ses actifs au nom de la performance ou de l’efficacité, sans autre preuve qu’un dogme bien appris, la collectivité publique voit se dissoudre l’intérêt général dans une somme d’intérêts privés ... dont elle s’oblige à payer les pots cassés par des contrats où elle se prive de ses prérogatives. Mais comment donc les agents de l’Etat ont-ils fini par se convaincre qu’il ne servait à rien ?

    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @af_sobocinski
      AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 8/05/2019

      #privatisation #État #France #emploi #industrie #entreprises_publiques #Grèce #dette #efficacité #Royaume-Uni #eau #fuite #dividendes #intérêt_général #pont #Gênes #autostrade #cahier_des_charges #autoroutes #inflations #barrages_hydroélectriques #concurrence #union_européenne #tfue #traités_internationaux #SNCF #renationalisation #biens_communs #idéologie #marchés_financiers #pantouflage #haute_fonction_publique #rapport_pebereau #action_publique #henri_de_castrie #carrière_de_bureaucrate #max_weber #élite_administrative #pouvoir #fonds_de_pension #monnaie #planification #Lionel_Jospin

      AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 2/03/2019
    1
    @reka
    1
    @reka

    Un an après l’abandon du projet d’aéroport de notre-dame-des-landes : que peut-on apprendre de la #zad et de ses mondes ?

    La proposition est d’abord de tenir ensemble un récit réaliste, ni romantique, ni anxiogène, d’une expérience, d’un « cas » (et de quelques autres). Cela nous renvoie à la dimension pragmatique d’un phénomène comme la ZAD et à l’ouverture des imaginaires dans une temporalité étendue qui transmet, suggère, sollicite et se déploie. La ZAD apparaît ainsi à la fois comme lieu d’apprentissage de la #mobilisation_sociale et comme enquête individuelle et collective, un « devenir-enquête » lié à « l’#habiter en conscience d’habiter ». La ZAD est aussi un lieu d’#apprentissage pour l’#action_publique en vue de l’intérêt général. Elle pose enfin la question de la place des sciences sociales dans ce type d’événements et plus généralement à l’échelle locale.

    https://www.pacte-grenoble.fr/sites/pacte/files/nddl.jpg

    ▻https://www.pacte-grenoble.fr/actualites/un-an-apres-l-abandon-du-projet-d-aeroport-de-notre-dame-des-landes-q
    Le 12 février 2019, j’ai assisté à cette conférence présentée par #Frédéric_Barbe #NDDL

    Pendant sa conférence, Barbe a fait passer en boucle quelques #dessins dont je ne connais pas l’auteur... mais je vous mets ici les photos (sorry pour la qualité) :

    https://i.imgur.com/tJ1oGhE.jpg https://i.imgur.com/DT6U7RF.jpg https://i.imgur.com/LaglfUs.jpg https://i.imgur.com/zxxsqmt.jpg https://i.imgur.com/a3WQNTu.jpg https://i.imgur.com/NrpIZU9.jpg https://i.imgur.com/oOr9T4n.jpg https://i.imgur.com/xnes6Jo.jpg https://i.imgur.com/VtvAPv1.jpg https://i.imgur.com/OmvosnO.jpg https://i.imgur.com/RZa9Xqy.jpg

    Et une carte, de Frédéric Barbe :

    https://i.imgur.com/GugyksZ.jpg

    #cartographie

    #dessin #visualisation

    ping @reka

    CDB_77 @cdb_77
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  • @af_sobocinski
    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 4/07/2018
    1
    @biggrizzly
    1

    Le gouvernement envisage de réduire le budget de protection de la #biodiversité
    ▻https://reporterre.net/Le-gouvernement-envisage-de-reduire-le-budget-de-protection-de-la-biodiv

    Alors que Nicolas Hulot doit annoncer ce mercredi son « Plan biodiversité », un #rapport publié début juin relève le fossés entre les objectifs de préservation de la biodiversité fixés par l’État et les moyens qui lui sont alloués… avant de recommander de revoir à la baisse ces objectifs, de mutualiser les établissements et de supprimer des postes.

    #finances_de_l'État #ddtm #dreal #afb #Action_publique_2022 #comptes_publics #police_de_l'environnement #parcs_nationaux

    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
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  • @mondes
    Mondes Sociaux @mondes 17/04/2018
    1
    @mondes
    1

    Depuis la Révolution française, républicains, anti-républicains, libéraux, socialistes ont dénoncé le #nombre de #fonctionnaires. Mais est-ce le nombre qui fait problème les #services_publics ?

    ►https://sms.hypotheses.org/11366

    https://sms.hypotheses.org/files/2018/04/Capture-d%E2%80%99e%CC%81cran-2018-04-12-a%CC%80-10.35.51-342x500.png

    #fonctionnaire, #service_public, #nombre, #chiffre, #politique, #histoire, fonction_publique, #coût, #contribuable, #statut, #contractuel, #état, #besoin, #usager, #précarité, #CDD, #action_publique

    Mondes Sociaux @mondes
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 29/03/2018

    Les fonctionnaires redoutent d’être les prochaines victimes de Macron
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/290318/les-fonctionnaires-redoutent-d-etre-les-prochaines-victimes-de-macron

    L’association Attac, mobilisée dans le cortège de la #Fonction_Publique, met en scène l’unité des revendications entre fonctionnaires. © MG Hormis l’annonce tonitruante sur les « plans de départs volontaires », l’exécutif reste flou sur la réforme qu’il envisage pour les fonctionnaires et le sort qu’il réserve aux services publics. De manière informelle, le gouvernement cache moins son jeu : il souhaite rogner ou contourner le #statut des agents de la fonction publique. Leur licenciement éventuel en cas de suppression de poste est bel et bien sur la table.

    #France #Action_publique_2022 #contractuels #Edouard_Philippe #Gérald_Darmanin #RGPP #salaire #social

    Mediapart @mediapart
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  • @mondes
    Mondes Sociaux @mondes 7/02/2018
    1
    @mondes
    1

    L’inscription au #patrimoine_mondial de l’#UNESCO peut-elle, en distinguant un #territoire, attirer #touristes et #industriels ? C’est à voir… Ou plutôt, c’est à lire ici :

    ▻http://sms.hypotheses.org/10958

    #patrimoine, #tourisme, #économie, #promotion, #label, #Albi, #mobilité, #attractivité, #local, #action_publique, #coopération

    https://f-origin.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/1243/files/2018/01/320px-World_Heritage_Logo_global-300x300.jpg

    Mondes Sociaux @mondes
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  • @la_vie_des_idees
    La Vie des idées @la_vie_des_idees 1/09/2017
    9
    @02myseenthis01
    @vazi
    @monolecte
    @reka
    @ze_dach
    @7h36
    @colporteur
    @sombre
    @rastapopoulos
    9

    Exploite-toi toi-même
    ►http://www.laviedesidees.fr/Exploite-toi-toi-meme.html

    Via le prisme de l’auto-entreprise, l’enquête de la sociologue Sarah Abdelnour révèle des dynamiques de fragilisation du #salariat. Elle en explore les différentes facettes, depuis ses enjeux idéologiques et politiques jusqu’aux réalités vécues par des acteurs qui ne distinguent plus leurs clients de leurs patrons.

    Livres & études

    / salariat, #entreprise, #patron, #auto-entrepreneur

    #Livres_&_études

    • #Sarah Abdelnour
    La Vie des idées @la_vie_des_idees
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 6/09/2017

      http://www.laviedesidees.fr/IMG/arton3822.jpg?1504009277

      Fondé sur une solide enquête, écrit dans un style très accessible, direct mais toujours réflexif quant aux conditions de l’enquête et à ce que permettent ou ne permettent pas les données récoltées, cet ouvrage a vocation à intéresser bien au delà du cercle des sociologues du travail, et même du petit monde de la sociologie. L’analyse de l’acceptabilité, voire de la désirabilité d’une condition, au bout du compte, plutôt précaire, conduit la sociologue à des réflexions intéressantes sur la « double vérité du travail » et sur l’auto-exploitation qui mobilisent Bourdieu, Gramsci et Burawoy, et plus largement sur le statut de la parole des enquêtés dans l’analyse sociologique.

      #exploitation #travail

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-SA 8/09/2017

      Ce livre est mentionné dans les commentaires de cet article : ►https://blog.monolecte.fr/2017/09/05/pigeons-se-prenaient-aigles

      Tout contre le salariat, ce régime d’auto-entrepreneur se développe toutefois « contre » lui, insiste Sarah Abdelnour, là aussi à plusieurs reprises et sous plusieurs angles. Il se présente d’abord souvent, dans le discours politique, mais aussi dans celui des acteurs, comme une voie délibérée de sortie du salariat. Mais il se développe également contre la société salariale en ce qu’il la « détricote par le bas ». Ainsi, en aménageant le cumul des revenus et en faisant reposer la situation du travailleur sur la « débrouille individuelle », ce régime rend par exemple plus difficile la construction de collectifs de travailleurs, et tend à affaiblir la revendication salariale. Cette offensive contre le salariat, les concepteurs même du régime de l’auto-entrepreneur ne s’en sont d’ailleurs jamais cachés, comme le souligne à plusieurs reprises Sarah Abdelnour. « Cela abolit d’une certaine manière la lutte des classes », écrivaient ainsi Hervé Novelli et Arnaud Floch en 2009 : « Il n’y a plus d’“exploiteurs” et d’“exploités”. Seulement des entrepreneurs : Marx doit s’en retourner dans sa tombe. »

      Et aussi :

      Sarah Abdelnour s’interroge enfin sur les effets de la diffusion de ce dispositif sur les pratiques de travail mais aussi, plus largement, sur les rapports aux institutions et les représentations politiques des individus. En testant l’hypothèse d’une « libéralisation de la société par le bas » et en observant au plus près le quotidien des auto-entrepreneurs et de leurs pratiques, elle s’intéresse in fine à la manière dont ce régime participe plus largement d’un nouveau mode de gouvernement des conduites, un mode néolibéral au sens de Foucault. Sarah Abdelnour reprend à son compte ce passage des cours au Collège de France où ce dernier suggère que c’est « la vie même de l’individu – avec par exemple son rapport à sa propriété privée, son rapport à sa famille, à son ménage, son rapport à ses assurances, son rapport à sa retraite » qui ferait de lui « comme une sorte d’entreprise permanente et d’entreprise multiple ». Foucault se joint donc à Bashung pour éclairer le titre du livre…

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=9wflvuzLm2o

      Sombre @sombre CC BY-SA
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 13/09/2017

      #Demande_de_revenu #revenu #action_publique #organisation_du_travail

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @af_sobocinski
    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 9/02/2016

    #Conflits_d’aménagements : du « #NIMBY » au « #NIABY »
    ▻http://www.lagazettedescommunes.com/428491/conflits-damenagements-du-nimby-au-niaby

    Selon de nombreux scientifiques spécialistes de la question, le sigle « NIABY » — signifiant « Not in anyone back-yard », littéralement « dans aucune arrière-cour » — convient bien mieux à ces luttes se jouant sur les modalités de la prise de décision ou le fondement même des projets, et non plus seulement sur la nature et leur lieu d’implantation.

    Le registre argumentaire des opposants s’est considérablement diversifié au cours des dernières années. A entendre leurs revendications, de nouvelles origines dépassant les intérêts particuliers des mouvements NIMBY sont en effet trouvées aux scènes de conflits :

    — absence de #transparence et/ou de #dialogue, faible poids donné à la parole citoyenne, insuffisance des procédures de #participation ;
    — complexification de la gouvernance et multiplication des #conflits_d’intérêts, errements de la démocratie représentative locale ;
    — absence de rationalité socio-économique, remise en cause de l’utilité du projet ;
    — crise de la #légitimité de l’#action_publique_locale, nécessité de redéfinir la notion d’#intérêt_général ;
    — remise en cause de la politique anachronique sous-tendue par le projet, soutien dépassé à un « modèle agricole productiviste » et volonté de porter un nouveau modèle de société ;
    — toute-puissance des forces de l’ordre et de « l’État-policier » ;

    Se conférer également à :▻http://seenthis.net/messages/456751

    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 14/01/2014
    1
    @monolecte
    1

    Rapport Terra Nova : les #crèches, outil de lutte contre les #inégalités

    A la suite de la note « L’#enfance : un #investissement d’#avenir » publiée en octobre 2013, le rapport du groupe de travail de Terra Nova présidé par Olivier Noblecourt propose une nouvelle vision de la #petite_enfance : les crèches ne doivent plus être conçues seulement comme un mode de #garde au service des parents, mais avant tout comme des lieux d’#éducation au service du développement des enfants, notamment les plus défavorisés.

    Articulant études internationales et exemples de terrain, propositions concrètes et recul scientifique, ce rapport encourage le politique à agir dès cette période clé du développement de l’individu, où les #inégalités_sociales ont l’impact le plus lourd mais où l’#action_publique peut, justement, être la plus efficace et la plus pertinente.

    A travers 10 recommandations, des pistes d’actions concrètes se dessinent pour les communes et intercommunalités, les conseils généraux, l’Etat ou encore la CNAF.

    https://scontent-b-ams.xx.fbcdn.net/hphotos-ash4/t1/1546308_666593243393659_2107019960_n.jpg

    ►http://www.tnova.fr/note/la-lutte-contre-les-galit-s-commence-dans-les-cr-ches

    #visualisation #infographie

    • #Terra Nova
    • #Olivier Noblecourt
    CDB_77 @cdb_77
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