Le scoptisme
TW - c’est un synonyme pour la castration volontaire
►https://susaufeminicides.blogspot.com/2012/02/scoptisme.html
Déjà mentionnés par ailleurs la secte de skoptzy a inspiré le nom du syndrome psychiatrique du rejet et dégoût de ses propres organes génitaux, prétendant à la mutilation qui serait seule acceptable. Cette haine peut porter sur l’un des quatre membres également.
La médecine sexuelle ne peut en rester aux apparences - Il est bien impossible de dire que l’intersexuation, qui n’est pas une indifférenciation du tout, ni non plus en rien volonté obsessionnelle de castration dit syndrome de skoptzy, ceci n’est donc du tout valide et validable même avec des découvertes ultérieures sur toutes les variantes génétiques des gênes superfétatoires qui suivraient XY et XX, et que d’aucuns appellent des sexes autres que les sexes féminin et masculin. Ce qui demande à être nommé avec précision à chaque avancement mais qui ne me parait pas pouvoir être appelé sexe au bas mot. Ce serait affreux de jeter les quelques hermaphrodites vrais ou faux sur la voie de la mutilation sexuelle par confusion, comme il est fait par certains médecins,
« Il existe bien encore des indifférenciés sexuels, des hommes qui ne savent pas qu’ils sont des femmes et des femmes qui ne savent pas qu’elles sont des hommes, ou... plus scientifiquement, si j’ose dire, selon le DSM IV de sinistre fréquentation, des syndromes de Skoptzy... Qui investigue les transformations psychologiques induites par l’euphémisme urologique ainsi nommé Traitement Hormonal alors qu’il ne s’agit, ni plus ni moins, que d’une mutilation. Faut-il faire confiance aux urologues pour mener des essais sur le retentissement psychosocial de l’eunuquisme ? Qui le fera ? Qui se soucie également de ces hommes qui se cachent, qui cachent non seulement leur cancer mais aussi les conséquences du traitement ? Qui les soutient ? Que font les Autorités Académiques ? Que font les Sociétés Savantes en médecine générale ?Il existe 600 000 castrés aux Etats-Unis d’Amérique.Combien en France ?Regardez autour de vous et comptez les eunuques. » ▻http://docteurdu16.blogspot.com/2010/08/la-reapparition-invisible-et-massive.html
Celle-ci faisait partie du christianisme et des écrits dogmatiques sur le péché et la pureté, l’Ancien testament de mention de la créature divine hermaphrodite ou androgyne qui avait été partagée justifiait que ces sectataires se mutilent de tous leurs attributs sexuels, tant les femmes que les hommes, lors de rituels d’automutilation collective.
Nous avons là la première trace religieuse de castration partielle des femmes, à l’époque l’hystérectomie inusitée n’avait pas été envisagée probablement aussi du fait de l’ignorance en matière gynécologique de son inventeur.
La technique évoluant et l’anesthésie aussi, l’uranisme prussien de la croyance dualiste et spiritiste, animiste donc toujours, de l’âme féminine mal tombée dans une corps masculin, tout d’abord les opérations de castration élective combinée se sont multipliées pour les adultes. L’on voit ainsi que la médecine n’en évolue pas pour autant, la technique parfois leurre le public.
►https://susaufeminicides.blogspot.com/2012/02/scoptisme.html
Je m’intéresse en particulier aux « trace religieuse de castration partielle des femmes » dont je découvre l’existence. J’ai pensé que ca pouvait être l’excision et l’infibulation mais c’est différent ;
Castration =
Opération ayant pour but ou résultat de priver l’individu mâle ou femelle de ses facultés de reproduction.
Empr. au lat. castratio, de même sens, employé à propos des animaux, des hommes et en bot.
▻https://www.cnrtl.fr/definition/castration
Sur wikipédia je ne trouve pas de traces de castration patielle des femmes
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Castration#Chez_l'humain
mais j’apprends que
La première ovariectomie a été pratiquée le jour de Noël 1809 par Ephraim McDowell qui réalisa une laparatomie sur une femme souffrant d’un énorme kyste de l’ovaire suffocant, transgressant ainsi le principe moral « Nul ne parviendra à exciser les tumeurs internes quelles que soient leurs origines » puisque la « limite imposée par Dieu » interdisait de franchir le péritoine (seules l’orthopédie et la césarienne étaient admises)1.
Dès 1862, Eugène Koeberlé fut l’un des tout premiers à en pratiquer avec succès.
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Ovariectomie
Décembre 1809, le jour de Noel, Danville, Etat du Kentucky, USA. Une jeune femme, Jane Crawford, a une douleur abdominale intense, elle va mourir. Elle se croit enceinte mais elle a un énorme kyste de l’ovaire suffocant. Le chirurgien, le Docteur Éphraïm McDOWELL, était venu l’examiner dans sa ville de Green County à 100 km. Sa famille est originaire d’Ecosse, il a été formé à l’université d’Édimbourg. Il est médecin itinérant, il va de ville en ville à cheval. Il diagnostique une tumeur ovarienne. Poussé par la demande de la femme et des villageois, il accepte d’ouvrir l’abdomen et de faire l’ovariectomie. Tumeur de 24 livres. Il transgresse le principe moral : « Nul ne parviendra à exciser les tumeurs internes quelles que soient leurs origines ». La chirurgie des organes internes était jusqu’alors formellement interdite, le chirurgien avait l’interdiction de franchir le péritoine, interdit religieux, "la limite imposée par Dieu" ; seule l’orthopédie était pratiquée ainsi que la césarienne. Éphraïm McDOWELL réalise donc la première intervention chirurgicale sur les organes internes. Sans anesthésie, sans asepsie. Mais il est très méticuleux et souligne son souci de propreté absolue. Bien qu’incroyable, la patiente n’aura aucune infection, aucune péritonite, et elle retournera dans sa ville 25 jours après l’intervention.
La douleur humaine et la pression populaire ont poussé McDOWELL à transgresser les interdits déontologiques et religieux. Et religieux, il l’était : il avait fondé l’église épiscopale (anglicane) de Danville ! Ajoutons qu’il n’avait pas vraiment le choix : les villageois avaient dressé un gibet devant son domicile et promettaient de le pendre haut et court s’il refusait...et s’il échouait ! Jane Crawford a vécu 33 ans après l’opération et elle fut la première opérée de l’histoire.
Pour mémoire le premier chirurgien à ouvrir un abcès appendiculaire sera Henry HANCOCK en 1848.
La césarienne est une opération dont la première mention remonte à une loi de Numa Pompilius (715-672 avant JC), second roi légendaire de Rome. D’après cette loi, aucune femme morte en couches ne pouvait être enterrée avant que l’on eût extrait son enfant par une incision abdominale. En pratique, jusqu’au début du XXème siècle, la mortalité des mères est proche de 100 %. Les surinfections étaient systématiques et terribles. Les médecins passaient d’une autopsie à un accouchement sans se changer ni se laver les mains ! Le Docteur Ignace-Philippe SEMMELWEIS (1818-1865), sujet de thèse de Louis-Ferdinand CELINE, fut le premier a fonder l’hygiène. Alors brisons là une légende : César n’est pas né par césarienne. Dans un texte, il parle de sa mère qui est toujours vivante. CQFD. Le mot césarienne vient du latin coedere, couper. La première césarienne (connue dans les Temps modernes) semble avoir été faite, en 1610, par le chirurgien allemand Jeremias TRAUTMANN.
Jean-Dominique LARREY (1766-1842) : chirurgien de Napoléon I, il participe à toutes les batailles et assiste à la terrible retraite de Russie, accompagne les blessés, opère sans relâche. Le Baron LARREY pense qu’il est préférable d’amputer tôt et vite, tant qu’existe l’anesthésie physiologique après tout choc. En 1828, il sera le seul soutien à la première communication faite à l’Académie de Médecine, sur les essais d’anesthésie préopératoire réalisés en Angleterre.
▻https://www.psychiatriemed.com/textes/41-dr-fabrice-lorin/79-composante-psychologique-de-la-douleur-chronique-dr-fabrice-lorin
– Je cherche la source de ceci sans la trouvé ;
« Nul ne parviendra à exciser les tumeurs internes quelles que soient leurs origines »
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Lors du culte de Cybèle dans la rome antique on trouve la mention de femmes qui se coupent les seins et d’hommes qui se castrent.
Avec l’expansion du territoire de Rome tout autour de la Méditerranée, la présence des eunuques dans la Rome antique est devenue de plus en plus fréquente. On impute traditionnellement cette évolution à l’assimilation et l’intégration progressives de cultes orientaux au cœur des pratiques religieuse de la cité italienne, comme celui de la déesse Cybèle , à l’origine décriée pour son association aux pratiques bachiques et orgiaques.
Par la suite, cependant, la déesse est devenue l’une des divinités gardiennes de Rome, à laquelle on attribuait notamment dans l’Antiquité le fait d’avoir détourné Hannibal de la ville en 204 av. J.-C..
Pour remercier cette divinité, on intégra au calendrier romain une fête en l’honneur de la déesse au cours de laquelle des prêtres castrés (les galles) et les fidèles se flagellaient mutuellement. Durant ces fêtes, des femmes s’y amputaient les seins et des hommes se castraient publiquement .
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Eunuques_dans_la_Rome_antique
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