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#afrique_du_sud

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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 15/02/2021
    3
    @sombre
    @james
    @vanderling
    3

    #Peter_Gabriel reprend son Biko pour #Playing_For_Change, avec #Angélique_Kidjo, #Yo-Yo_Ma, #Meshell_Ndegeocello...
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=jWNEr4eHL18

    Qui plus est, il explique avoir accepté de le faire parce que :

    Bien que le gouvernement de la minorité blanche soit parti en Afrique du Sud, le racisme dans le monde que l’apartheid représentait n’est pas parti. Le racisme et le nationalisme sont malheureusement en hausse. En Inde, au Myanmar et en Turquie, en Israël et en Chine, le racisme est délibérément exploité à des fins politiques.

    Watch Peter Gabriel Re-Record ‘Biko’ With Artists From Around the World
    Andy Greene, Rolling Stones, le 12 février 2021
    ▻https://www.rollingstone.com/music/music-news/peter-gabriel-biko-performance-1126360

    #Steven_Biko #Musique #Musique_et_politique #Afrique_du_Sud

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @james
      James @james PUBLIC DOMAIN 16/02/2021

      et reste du monde
      et #angelique_kidjo !

      James @james PUBLIC DOMAIN
    • @james
      James @james PUBLIC DOMAIN 16/02/2021

      et merci pour la découverte de #cristina_pato ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Cristina_Pato

      James @james PUBLIC DOMAIN
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 16/02/2021

      En français :

      Regardez le ré-enregistrement de « Biko » de Peter Gabriel avec des artistes du monde entier
      Andy Greene, Rolling Stones, le 12 février 2021
      ▻https://agencemediapalestine.fr/blog/2021/02/16/regardez-le-re-enregistrement-de-biko-de-peter-gabriel-avec-des

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 28/02/2021

      Peter Gabriel a ajouté son catalogue à Bandcamp en novembre 2019
      ▻https://daily.bandcamp.com/features/peter-gabriel-bandcamp-catalog
      ses trois premiers album
      ▻http://hipgnosiscovers.com/petergabriel.html
      ▻https://petergabriel.bandcamp.com/track/biko

      September ’77
      Port Elizabeth weather fine
      It was business as usual
      In police room 619
      Oh Biko, Biko, because Biko
      Oh Biko, Biko, because Biko
      Yihla Moja, Yihla Moja
      The man is dead
      The man is dead
      When I try to sleep at night
      I can only dream in red
      The outside world is black and white
      With only one colour dead
      Oh Biko, Biko, because Biko
      Oh Biko, Biko, because Biko
      Yihla Moja, Yihla Moja
      The man is dead
      The man is dead
      You can blow out a candle
      But you can’t blow out a fire
      Once the flames begin to catch
      The wind will blow it higher
      Oh Biko, Biko, because Biko
      Yihla Moja, Yihla Moja
      The man is dead
      The man is dead
      And the eyes of the world are watching now, watching now

      Vanderling @vanderling
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 25/01/2021
    1
    @monolecte
    1
    @cede

    #Urbanisme. Dans les #villes sud-africaines, les fantômes de l’#apartheid

    https://www.courrierinternational.com/sites/ci_master/files/styles/image_original_765/public/assets/images/p-23-walenta-w.jpg?itok=7ZfY_RKW#.jpg

    Jusque dans leur #architecture et leur organisation, les villes sud-africaines ont été pensées pour diviser #Noirs et #Blancs. Vingt ans après la fin de l’apartheid, des activistes se battent pour qu’elles soient enfin repensées.

    Lors de la dernière nuit que Sophie Rubins a passée dans son taudis de tôle rouillée, au début du mois de septembre, la première pluie du printemps s’est abattue sur son toit. De son lit, elle l’a regardée s’infiltrer dans les interstices des parois. Les fentes étaient si grandes qu’on pouvait « voir les étoiles », dit-elle, et en entrant, l’eau faisait des flaques sur le sol, comme à chaque fois qu’il avait plu durant les trente dernières années.

    Mme Rubins avait passé la majeure partie de sa vie dans ce « zozo » - une bicoque en tôle - situé dans une arrière-cour d’Eldorado Park. Ce #township de la banlieue sud de #Johannesburg avait été construit pour abriter un ensemble de minorités ethniques désigné dans la hiérarchie raciale de l’apartheid sous le nom de « communauté de couleur ». Les emplois et les services publics y étaient rares. La plupart des postes à pourvoir se trouvaient dans les secteurs « blancs » de la ville, où l’on parvenait après un long trajet en bus.

    Mais cette nuit était la dernière qu’elle y passait, car, le lendemain matin, elle déménageait de l’autre côté de la ville, dans un appartement qui lui avait été cédé par le gouvernement. Cela faisait vingt-quatre ans qu’elle figurait sur une liste d’attente.

    Je pensais avoir ce logement pour y élever mes enfants, soupire-t-elle, mais je suis quand même contente car j’aurai un bel endroit pour mourir."

    Construits pour diviser

    Quand la #ségrégation a officiellement pris fin en Afrique du Sud au milieu des années 1990, les urbanistes ont été confrontés à une question existentielle : comment réunir les communautés dans des villes qui avaient été construites pour les séparer ?? Pendant des décennies, ils l’avaient esquivée pour se concentrer sur une question plus vaste encore : comment fournir un #logement décent à des gens entassés dans des quartiers pauvres, isolés et dépourvus de services publics ?? Depuis la fin de l’apartheid, le gouvernement a construit des logements pour des millions de personnes comme Mme Rubins.

    Mais la plupart sont situés en #périphérie, dans des quartiers dont l’#isolement contribue à accroître les #inégalités au lieu de les réduire. Ces dernières années, des militants ont commencé à faire pression sur les municipalités pour qu’elles inversent la tendance et construisent des #logements_sociaux près des #centres-villes, à proximité des emplois et des écoles. D’après eux, même s’ils ne sont pas gratuits, ces logements à loyer modéré sont un premier pas vers l’intégration de la classe populaire dans des secteurs de la ville d’où elle était exclue.

    Le 31 août, un tribunal du Cap a donné gain de cause à ces militants en décrétant que la ville devait annuler la vente d’un bien immobilier qu’elle possédait près du quartier des affaires et y construire des logements sociaux. « Si de sérieux efforts ne sont pas faits par les autorités pour redresser la situation, stipule le jugement, l’#apartheid_spatial perdurera. » Selon des experts, cette décision de justice pourrait induire une réaction en chaîne en contraignant d’autres villes sud-africaines à chercher à rééquilibrer un statu quo très inégalitaire.

    Ce jugement est important car c’est la première fois qu’un tribunal estime qu’un logement abordable et bien placé n’est pas quelque chose qu’il est bon d’avoir, mais qu’il faut avoir", observe Nobukhosi Ngwenya, qui poursuit des recherches sur les inégalités de logements à l’African Centre for Cities [un centre de recherches sur l’urbanisation] du Cap.

    Près de la décharge

    Cet avis va à contre-courant de l’histoire mais aussi du présent. L’appartement dans lequel Mme Rubins a emménagé au début de septembre dans la banlieue ouest de Johannesburg a été construit dans le cadre du #Programme_de_reconstruction_et_de_développement (#PRD), un chantier herculéen lancé par le gouvernement dans les années 1990 pour mettre fin à des décennies - voire des siècles en certains endroits - de ségrégation et d’#expropriation des Noirs. Fondé sur l’obligation inscrite dans la Constitution sud-africaine d’"assurer de bonnes conditions de logement" à chaque citoyen, ce programme s’engageait à fournir un logement gratuit à des millions de Sud-Africains privés des services essentiels et de conditions de vie correctes par le gouvernement blanc.

    Le PRD a été dans une certaine mesure une réussite. En 2018, le gouvernement avait déjà livré quelque 3,2 millions de logements et continuait d’en construire. Mais pour réduire les coûts, la quasi-totalité de ces habitations ont été bâties en périphérie des villes, dans les secteurs où Noirs, Asiatiques et métis étaient naguère cantonnés par la loi.

    Le nouvel appartement de Mme Rubins, par exemple, jouxte la décharge d’une mine, dans un quartier d’usines et d’entrepôts construits de manière anarchique. Le trajet jusqu’au centre-ville coûte 2 dollars, soit plus que le salaire horaire minimum.

    Cet #éloignement du centre est aussi un symbole d’#injustice. Sous l’apartheid, on ne pouvait accéder à ces #banlieues qu’avec une autorisation de la municipalité, et il fallait souvent quitter les lieux avant le coucher du soleil.

    « Il y a eu beaucoup de luttes pour l’accès à la terre dans les villes sud-africaines et elles ont été salutaires », souligne Mandisa Shandu, directrice de Ndifuna Ukwazi, l’association de défense des droits au logement qui a lancé l’action en #justice au Cap pour que la vente immobilière de la municipalité soit annulée. « Ce que nous avons fait, c’est réclamer que l’#accès mais aussi l’#emplacement soient pris en considération. »

    Au début de 2016, l’association a appris que la municipalité du Cap avait vendu une propriété située dans le #centre-ville, [l’école] Tafelberg, à une école privée locale. Alors que l’opération avait déjà eu lieu, l’association a porté l’affaire devant les tribunaux en faisant valoir que ce bien n’était pas vendable car la ville était tenue d’affecter toutes ses ressources à la fourniture de #logements_sociaux.

    Après quatre ans de procédure, le tribunal a décidé d’invalider la vente. Les autorités ont jusqu’à la fin de mai 2021 pour présenter un plan de logements sociaux dans le centre du Cap. « Je pense que ce jugement aura une influence majeure au-delà du Cap, estime Edgar Pieterse, directeur de l’African Centre for Cities. Il redynamisera le programme de logements sociaux dans tout le pays. »

    Fin de « l’#urbanisme_ségrégationniste »

    Cependant, même avec cette nouvelle impulsion, le programme ne répondra qu’à une partie du problème. Selon M. Pieterse, le gouvernement doit trouver des moyens pour construire des #logements_gratuits ou à #loyer_modéré pour faire des villes sud-africaines des endroits plus égalitaires.

    Ainsi, à Johannesburg, la municipalité a passé ces dernières années à améliorer le réseau des #transports_publics et à promouvoir la construction le long de liaisons qui avaient été établies pour faciliter les déplacements entre des quartiers coupés du centre-ville par un urbanisme ségrégationniste.

    Quand Mme Rubins a emménagé dans son nouvel appartement, elle ne pensait pas à tout cela. Pendant que l’équipe de déménageurs en salopette rouge des services publics déposait ses étagères et ses armoires, dont les pieds en bois étaient gauchis et gonflés par trente ans de pluies torrentielles, elle a jeté un coup d’oeil par la fenêtre de sa nouvelle chambre, qui donnait sur un terrain jonché de détritus.

    Sa nièce, June, qui avait emménagé à l’étage au-dessus une semaine plus tôt, l’aidait à trier les sacs et les cartons. Mme Rubins s’est demandé à haute voix s’il y avait de bonnes écoles publiques dans le coin et si les usines embauchaient. Elle l’espérait, car le centre-ville était à trente minutes en voiture.

    Si tu es désespérée et que Dieu pense à toi, tu ne dois pas te plaindre. Tu dois juste dire merci", lui a soufflé June.

    ▻https://www.courrierinternational.com/article/urbanisme-dans-les-villes-sud-africaines-les-fantomes-de-lapa
    #Afrique_du_Sud #division #séparation #Segregated_By_Design #TRUST #master_TRUST

    ping @cede

    CDB_77 @cdb_77
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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 21/01/2021

    L’un des premiers groupes de #rap d’ #Afrique_du_Sud (post-apartheid), et du coup de toute l’ #Afrique :

    #Prophets_of_da_City - Understand Where I’m Coming From (1993)
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=9FUnCjyvx2M

    Prophets of da City - Neva Again (1994)
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=vhN_GzCbH0I

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 20/01/2021
    1
    @colporteur
    1

    Can I be re-infected with the new #variant if I’ve had #COVID-19? | NICD
    ▻https://www.nicd.ac.za/can-i-be-re-infected-with-the-new-variant-if-ive-had-covid-19

    https://www.nicd.ac.za/wp-content/uploads/2020/07/file-20200429-51485-1wiqvdo.jpg

    The blood samples from half the people we tested showed that all neutralizing activity was lost. This suggests that they may no longer be protected from re-infection. In the other half, the levels of antibodies were reduced and so the risk of re-infection is not known.

    #afrique_du_sud #réinfection #anticorps #immunité

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 31/12/2020
    @karine4 @isskein

    Le néo-populisme est un néo- libéralisme

    Comment être libéral et vouloir fermer les frontières ? L’histoire du néolibéralisme aide à comprendre pourquoi, en Autriche et en Allemagne, extrême droite et droite extrême justifient un tel grand écart : oui à la libre-circulation des biens et des richesses, non à l’accueil des migrants.

    ►https://aoc.media/analyse/2018/07/03/neo-populisme-neo-liberalisme

    –-> je re-signale ici un article publié dans AOC media qui date de 2018, sur lequel je suis tombée récemment, mais qui est malheureusement sous paywall

    #populisme #libéralisme #néo-libéralisme #néolibéralisme #fermeture_des_frontières #frontières #histoire #extrême_droite #libre-circulation #migrations #Allemagne #Autriche

    ping @karine4 @isskein

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 31/12/2020

      #Globalists. The End of Empire and the Birth of Neoliberalism

      https://www.hup.harvard.edu/images/jackets/9780674979529.jpg

      Neoliberals hate the state. Or do they? In the first intellectual history of neoliberal globalism, #Quinn_Slobodian follows a group of thinkers from the ashes of the Habsburg Empire to the creation of the World Trade Organization to show that neoliberalism emerged less to shrink government and abolish regulations than to redeploy them at a global level.

      Slobodian begins in Austria in the 1920s. Empires were dissolving and nationalism, socialism, and democratic self-determination threatened the stability of the global capitalist system. In response, Austrian intellectuals called for a new way of organizing the world. But they and their successors in academia and government, from such famous economists as Friedrich Hayek and Ludwig von Mises to influential but lesser-known figures such as Wilhelm Röpke and Michael Heilperin, did not propose a regime of laissez-faire. Rather they used states and global institutions—the League of Nations, the European Court of Justice, the World Trade Organization, and international investment law—to insulate the markets against sovereign states, political change, and turbulent democratic demands for greater equality and social justice.

      Far from discarding the regulatory state, neoliberals wanted to harness it to their grand project of protecting capitalism on a global scale. It was a project, Slobodian shows, that changed the world, but that was also undermined time and again by the inequality, relentless change, and social injustice that accompanied it.

      ▻https://www.hup.harvard.edu/catalog.php?isbn=9780674979529

      #livre #empire #WTO #capitalisme #Friedrich_Hayek #Ludwig_von_Mises #Wilhelm_Röpke #Michael_Heilperin #Etat #Etat-nation #marché #inégalités #injustice #OMC

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/01/2021

      Quinn Slobodian : « Le néolibéralisme est travaillé par un conflit interne »

      Pour penser les hybridations contemporaines entre néolibéralisme, #autoritarisme et #nationalisme, le travail d’historien de Quinn Slobodian, encore peu connu en France, est incontournable. L’auteur de Globalists nous a accordé un #entretien.

      L’élection de Trump, celle de Bolsonaro, le Brexit… les élites des partis de #droite participant au #consensus_néolibéral semblent avoir perdu le contrôle face aux pulsions nationalistes, protectionnistes et autoritaires qui s’expriment dans leur propre camp ou chez leurs concurrents les plus proches.

      Pour autant, ces pulsions sont-elles si étrangères à la #doctrine_néolibérale ? N’assisterait-on pas à une mutation illibérale voire nativiste de la #globalisation_néolibérale, qui laisserait intactes ses infrastructures et sa philosophie économiques ?

      Le travail de Quinn Slobodian, qui a accordé un entretien à Mediapart (lire ci-dessous), apporte un éclairage précieux à ces questions. Délaissant volontairement la branche anglo-américaine à laquelle la pensée néolibérale a souvent été réduite, cet historien a reconstitué les parcours de promoteurs du néolibéralisme ayant accompli, au moins en partie, leur carrière à #Genève, en Suisse (d’où leur regroupement sous le nom d’#école_de_Genève).

      Dans son livre, Globalists (Harvard University Press, 2018, non traduit en français), ce professeur associé au Wellesley College (près de Boston) décrit l’influence croissante d’un projet intellectuel né « sur les cendres de l’empire des Habsbourg » à la fin de la Première Guerre mondiale, et qui connut son apogée à la création de l’#Organisation_mondiale_du_commerce (#OMC) en 1995.

      À la suite d’autres auteurs, Slobodian insiste sur le fait que ce projet n’a jamais été réductible à un « #fondamentalisme_du_marché », opposé par principe à la #puissance_publique et au #droit. Selon lui, l’école de Genève visait plutôt un « #enrobage » ( encasement ) du #marché pour en protéger les mécanismes. L’objectif n’était pas d’aboutir à un monde sans #frontières et sans lois, mais de fabriquer un #ordre_international capable de « sauvegarder le #capital », y compris contre les demandes des masses populaires.

      Dans cette logique, la division du monde en unités étatiques a le mérite d’ouvrir des « voies de sortie » et des possibilités de mise en #concurrence aux acteurs marchands, qui ne risquent pas d’être victimes d’un Léviathan à l’échelle mondiale. Cela doit rester possible grâce à la production de #règles et d’#institutions, qui protègent les décisions de ces acteurs et soustraient l’#activité_économique à la versatilité des choix souverains.

      On l’aura compris, c’est surtout la #liberté de l’investisseur qui compte, plus que celle du travailleur ou du citoyen – Slobodian cite un auteur se faisant fort de démontrer que « le #libre_commerce bénéficie à tous, même sans liberté de migration et si les peuples restent fermement enracinés dans leurs pays ». Si la compétition politique peut se focaliser sur les enjeux culturels, les grandes orientations économiques doivent lui échapper.

      L’historien identifie dans son livre « trois #ruptures » qui ont entretenu, chez les néolibéraux qu’il a étudiés, la hantise de voir s’effondrer les conditions d’un tel ordre de marché. La guerre de 14-18 a d’abord interrompu le développement de la « première mondialisation », aboutissant au morcellement des empires de la Mitteleuropa et à l’explosion de revendications démocratiques et sociales.

      La #Grande_Dépression des années 1930 et l’avènement des fascismes ont constitué un #traumatisme supplémentaire, les incitant à rechercher ailleurs que dans la science économique les solutions pour « sanctuariser » la mobilité du capital. Les prétentions au #protectionnisme de certains pays du « Sud » les ont enfin poussés à s’engager pour des accords globaux de #libre_commerce.

      L’intérêt supplémentaire de Globalists est de nous faire découvrir les controverses internes qui ont animé cet espace intellectuel, au-delà de ses objectifs communs. Une minorité des néolibéraux étudiés s’est ainsi montrée sinon favorable à l’#apartheid en #Afrique_du_Sud, du moins partisane de droits politiques limités pour la population noire, soupçonnée d’une revanche potentiellement dommageable pour les #libertés_économiques.

      Le groupe s’est également scindé à propos de l’#intégration_européenne, entre ceux qui se méfiaient d’une entité politique risquant de fragmenter le marché mondial, et d’autres, qui y voyaient l’occasion de déployer une « Constitution économique », pionnière d’un « modèle de gouvernance supranationale […] capable de résister à la contamination par les revendications démocratiques » (selon les termes du juriste #Mestmäcker).

      On le voit, la recherche de Slobodian permet de mettre en perspective historique les tensions observables aujourd’hui parmi les acteurs du néolibéralisme. C’est pourquoi nous avons souhaité l’interroger sur sa vision des évolutions contemporaines de l’ordre politique et économique mondial.

      Dans votre livre, vous montrez que les néolibéraux donnent beaucoup d’importance aux #règles et peuvent s’accommoder des #frontières_nationales, là où cette pensée est souvent présentée comme l’ennemie de l’État. Pourriez-vous éclaircir ce point ?

      Quinn Slobodian : Quand on parle d’ouverture et de fermeture des frontières, il faut toujours distinguer entre les biens, l’argent ou les personnes. Mon livre porte surtout sur le #libre_commerce, et comment des #lois_supranationales l’ont encouragé. Mais si l’on parle des personnes, il se trouve que dans les années 1910-1920, des néolibéraux comme #von_Mises étaient pour le droit absolu de circuler.

      Après les deux guerres mondiales, cette conception ne leur est plus apparue réaliste, pour des raisons de #sécurité_nationale. #Hayek a par exemple soutenu l’agenda restrictif en la matière de #Margaret_Thatcher.

      Même si l’on met la question de l’immigration de côté, je persiste à souligner que les néolibéraux n’ont rien contre les frontières, car celles-ci exercent une pression nécessaire à la #compétitivité. C’est pourquoi l’existence simultanée d’une économie intégrée et de multiples communautés politiques n’est pas une contradiction pour eux. De plus, une « #gouvernance_multiniveaux » peut aider les dirigeants nationaux à résister aux pressions populaires. Ils peuvent se défausser sur les échelons de gouvernement qui leur lient les mains, plus facilement que si on avait un véritable #gouvernement_mondial, avec un face-à-face entre gouvernants et gouvernés.

      Cela pose la question du rapport entre néolibéralisme et #démocratie…

      Les néolibéraux voient la démocratie de manière très fonctionnelle, comme un régime qui produit plutôt de la #stabilité. C’est vrai qu’ils ne l’envisagent qu’avec des contraintes constitutionnelles, lesquelles n’ont pas à être débordées par la volonté populaire. D’une certaine façon, la discipline que Wolfgang Schaüble, ex-ministre des finances allemand, a voulu imposer à la Grèce résulte de ce type de pensée. Mais c’est quelque chose d’assez commun chez l’ensemble des libéraux que de vouloir poser des bornes à la #démocratie_électorale, donc je ne voudrais pas faire de mauvais procès.

      Les élections européennes ont lieu le 26 mai prochain. Pensez-vous que l’UE a réalisé les rêves des « globalists » que vous avez étudiés ?

      C’est vrai que la #Cour_de_justice joue le rôle de gardienne des libertés économiques au centre de cette construction. Pour autant, les règles ne se sont pas révélées si rigides que cela, l’Allemagne elle-même ayant dépassé les niveaux de déficit dont il était fait si grand cas. Plusieurs craintes ont agité les néolibéraux : celle de voir se développer une #Europe_sociale au détriment de l’#intégration_négative (par le marché), ou celle de voir la #monnaie_unique empêcher la #concurrence entre #monnaies, sans compter le risque qu’elle tombe aux mains de gens trop peu attachés à la stabilité des prix, comme vous, les Français (rires).

      Plus profondément, les néolibéraux sceptiques se disaient qu’avec des institutions rendues plus visibles, vous créez des cibles pour la #contestation_populaire, alors qu’il vaut mieux des institutions lointaines et discrètes, produisant des règles qui semblent naturelles.

      Cette opposition à l’UE, de la part de certains néolibéraux, trouve-t-elle un héritage parmi les partisans du #Brexit ?

      Tout à fait. On retrouve par exemple leur crainte de dérive étatique dans le #discours_de_Bruges de Margaret Thatcher, en 1988. Celle-ci souhaitait compléter le #marché_unique et travailler à une plus vaste zone de #libre-échange, mais refusait la #monnaie_unique et les « forces du #fédéralisme et de la #bureaucratie ».

      Derrière ce discours mais aussi les propos de #Nigel_Farage [ex-dirigeant du parti de droite radicale Ukip, pro-Brexit – ndlr], il y a encore l’idée que l’horizon de la Grande-Bretagne reste avant tout le #marché_mondial. Sans préjuger des motivations qui ont mené les citoyens à voter pour le Brexit, il est clair que l’essentiel des forces intellectuelles derrière cette option partageaient des convictions néolibérales.

      « L’hystérie sur les populistes dramatise une situation beaucoup plus triviale »

      De nombreux responsables de droite sont apparus ces dernières années, qui sont à la fois (très) néolibéraux et (très) nationalistes, que l’on pense à Trump ou aux dirigeants de l’#Alternative_für_Deutschland (#AfD) en Allemagne. Sont-ils une branche du néolibéralisme ?

      L’AfD est née avec une plateforme ordo-libérale, attachée à la #stabilité_budgétaire en interne et refusant toute solidarité avec les pays méridionaux de l’UE. Elle joue sur l’#imaginaire de « l’#économie_sociale_de_marché », vantée par le chancelier #Erhard dans les années 1950, dans un contexte où l’ensemble du spectre politique communie dans cette nostalgie. Mais les Allemands tiennent à distinguer ces politiques économiques du néolibéralisme anglo-saxon, qui a encouragé la #financiarisation de l’économie mondiale.

      Le cas de #Trump est compliqué, notamment à cause du caractère erratique de sa prise de décision. Ce qui est sûr, c’est qu’il brise la règle néolibérale selon laquelle l’économie doit être dépolitisée au profit du bon fonctionnement de la concurrence et du marché. En ce qui concerne la finance, son agenda concret est complètement néolibéral.

      En matière commerciale en revanche, il est sous l’influence de conseillers qui l’incitent à une politique agressive, notamment contre la Chine, au nom de l’#intérêt_national. En tout cas, son comportement ne correspond guère à la généalogie intellectuelle de la pensée néolibérale.

      Vous évoquez dans votre livre « l’#anxiété » qui a toujours gagné les néolibéraux. De quoi ont-ils #peur aujourd’hui ?

      Je dirais qu’il y a une division parmi les néolibéraux contemporains, et que la peur de chaque camp est générée par celui d’en face. Certains tendent vers le modèle d’une intégration supranationale, avec des accords contraignants, que cela passe par l’OMC ou les méga-accords commerciaux entre grandes régions du monde.

      Pour eux, les Trump et les pro-Brexit sont les menaces contre la possibilité d’un ordre de marché stable et prospère, à l’échelle du globe. D’un autre côté figurent ceux qui pensent qu’une #intégration_supranationale est la #menace, parce qu’elle serait source d’inefficacités et de bureaucratie, et qu’une architecture institutionnelle à l’échelle du monde serait un projet voué à l’échec.

      Dans ce tableau, jamais la menace ne vient de la gauche ou de mouvement sociaux, donc.

      Pas vraiment, non. Dans les années 1970, il y avait bien le sentiment d’une menace venue du « Sud global », des promoteurs d’un nouvel ordre économique international… La situation contemporaine se distingue par le fait que la #Chine acquiert les capacités de devenir un acteur « disruptif » à l’échelle mondiale, mais qu’elle n’en a guère la volonté. On oublie trop souvent que dans la longue durée, l’objectif de l’empire chinois n’a jamais consisté à étendre son autorité au-delà de ses frontières.

      Aucun des auteurs que je lis n’est d’ailleurs inquiet de la Chine à propos du système commercial mondial. Le #capitalisme_autoritaire qu’elle incarne leur paraît tout à fait convenable, voire un modèle. #Milton_Friedman, dans ses derniers écrits, valorisait la cité-État de #Hong-Kong pour la grande liberté économique qui s’y déploie, en dépit de l’absence de réelle liberté politique.

      Le débat serait donc surtout interne aux néolibéraux. Est-ce qu’il s’agit d’un prolongement des différences entre « l’école de Genève » que vous avez étudiée, et l’« l’école de Chicago » ?

      Selon moi, le débat est un peu différent. Il rappelle plutôt celui que je décris dans mon chapitre sur l’intégration européenne. En ce sens, il oppose des « universalistes », partisans d’un ordre de marché vraiment global construit par le haut, et des « constitutionnalistes », qui préfèrent le bâtir à échelle réduite, mais de façon plus sûre, par le bas. L’horizon des héritiers de l’école de Chicago reste essentiellement borné par les États-Unis. Pour eux, « l’Amérique c’est le monde » !

      On dirait un slogan de Trump.

      Oui, mais c’est trompeur. Contrairement à certains raccourcis, je ne pense pas que Trump veuille un retrait pur et simple du monde de la part des États-Unis, encore moins un modèle autarcique. Il espère au contraire que les exportations de son pays s’améliorent. Et si l’on regarde les accords qu’il a voulu renégocier, quels sont les résultats ?

      Avec le Mexique, on a abouti à quelque chose de très proche de ce qui existait déjà. Dans le débat dont j’ai esquissé les contours, il serait plutôt du côté des constitutionnalistes, avec des accords de proximité qui s’élargiraient, mais garderaient la Chine à distance. De façon générale, l’hystérie sur les populistes au pouvoir me semble dramatiser une situation beaucoup plus triviale, qui oppose des stratégies quant à la réorganisation de l’économie mondiale.

      Est-ce que le rejet de la Chine s’inscrit dans la même logique que les positions hostiles à l’immigration de Hayek en son temps, et de Trump ou des pro-Brexit aujourd’hui ? En somme, y aurait-il certains pays, comme certains groupes, qui seraient soupçonnés d’être culturellement trop éloignés du libre marché ?

      On retrouve chez certains auteurs l’idée que l’homo œconomicus, en effet, n’est pas universel. Les règles du libre marché ne pourraient être suivies partout dans le monde. Cette idée d’une altérité impossible à accommoder n’est pas réservée à des ressentiments populaires. Elle existe dans le milieu des experts et des universitaires, qui s’appuient sur certains paradigmes scientifiques comme le #néo-institutionnalisme promu par des auteurs comme #Douglass_North. Cette perspective suppose qu’à un modèle socio-économique particulier, doivent correspondre des caractéristiques culturelles particulières.

      ▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/100319/quinn-slobodian-le-neoliberalisme-est-travaille-par-un-conflit-interne #WWI #première_guerre_mondiale

      CDB_77 @cdb_77
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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 24/10/2020
    1
    @kassem
    1

    Un article de l’an dernier, mais qui est très intéressant, en particulier dans la comparaison avec le boycott de l’Afrique du Sud :

    Quand est-il antisémite de critiquer Israël ?
    Michael Bueckert, Africa Is A Country, mars 2019
    ▻https://agencemediapalestine.fr/blog/2020/10/23/quand-est-il-antisemite-de-critiquer-israel

    https://agencemediapalestine.fr/wp-content/uploads/2020/10/plage.png

    Beaucoup d’autres se sont demandés pourquoi « les bonnes âmes libérales » ne boycottaient pas l’Union soviétique ou d’autres États africains. Une publication contre les sanctions, publiée en novembre 1985 par le Globe and Mail et l’Ottawa Citizen, a fustigé « les menaces unilatérales de se rendre en Afrique du Sud » et « les sanctions hypocrites » du Premier ministre Mulroney, et elle demandait pourquoi le Canada ne boycottait pas la « dictature marxiste de Tanzanie ».

    Alors que les allégations d’hypocrisie s’inscrivaient pour une grande part dans une ligne idéologique anticommuniste, les défenseurs de l’Afrique du Sud s’inspiraient parfois d’autres exemples. Comme un membre de l’assistance l’a fait une fois remarquer lors d’un forum public sur la censure sud-africaine en 1988, pendant la Première Intifada, « Quelle est cette préoccupation démente avec l’Afrique du Sud en ce moment ? Je veux dire, 200 Palestiniens ont été abattus dans les rues en Cisjordanie, vous savez. J’espère que vous utiliserez la même énergie pour faire connaître ces injustices au grand public ».

    #Palestine #Afrique_du_Sud #Boycott #Antisionisme #Antisémitisme #Diabolisation #Deux_poids_deux_mesures #Délégitimation

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @squat_net
    Squat.net @squat_net 25/08/2020
    1
    @rezo
    1

    #Cape_Town (Afrique du Sud) : un enfant tué pendant une opération d’expulsion !
    ▻https://fr.squat.net/2020/08/25/cape-town-afrique-du-sud-un-enfant-tue-pendant-une-operation-d-expulsion

    Lundi 24 août 2020, la police a envahi le quartier occupé d’Epping Forest, à Cape Town, pour y démolir plusieurs habitations auto-construites illégalement, provoquant des #émeutes, les habitant⋅e⋅s refusant de se laisser déloger et de voir leurs domiciles démolis. Pendant les affrontements qui ont eu lieu pendant les expulsions, un garçon de 8 ans a […]

    #Afrique #Afrique_du_Sud #expulsion

    Squat.net @squat_net
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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 27/07/2020

    Comment les lobbyistes pro-israéliens ont investi l’héritage de Mandela
    Nkosi Zwelivelile Mandela, Al Jazeera, le 18 juillet 2020
    ▻https://agencemediapalestine.fr/blog/2020/07/22/comment-les-lobbyistes-israeliens-ont-investi-lheritage-de-mand

    https://www.telegraph.co.uk/content/dam/family/2019/02/08/TELEMMGLPICT000187739185_trans%2B%2BqVzuuqpFlyLIwiB6NTmJwe6-ZVnhtjBVmIetOaROfvM.jpeg

    Nous avons plus que jamais besoin de l’héritage de Nelson Mandela en Palestine-Israël – non pas pour prêcher le pardon et la réconciliation – mais pour élaborer des solutions politiques ancrées dans la justice et la dignité. La plus grande leçon qu’Israël et ses partisans peuvent tirer de la vie de Nelson Mandela est que la paix, le pardon et la réconciliation ne viendront que lorsque tous les peuples jouiront de la justice, de la liberté et de la dignité.

    #Palestine #Afrique_du_Sud #Nelson_Mandela #Zwelivelile_Mandela

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 19/07/2020

    Outrage: student movement from the margins to the heart of power | Essay | Architectural Review
    ▻https://www.architectural-review.com/essays/campaigns/outrage/outrage-student-movement-from-the-margins-to-the-heart-of-power/10042310.article
    ▻https://www.architectural-review.com/pictures/2000x2000fit/4/5/0/3151450_sydellewillowsmith.jpeg

    outh Africa has a long history of student protest. Black students were historically excluded from tertiary education – and therefore power – and the dramatic surge in numbers since 1994 means South African university students are a unique group, both from and of the margins yet now occupying the centre of society (or at least close to it). Historically protests were directed at white or apartheid rule and conducted away from white urbanites for whom the city was a place of pleasure and leisure, not violent and often fatal protest. The spatial organisation of South African cities situates black townships on the periphery of the city (Soweto in Johannesburg, Khayelitsha and Mitchells Plain in Cape Town, for example), reinforcing a sense of being outside the power structure and the amenities that make up contemporary urban life.

    #architecture #afrique_du_sud

    Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @fil
    Fil @fil 7/07/2020
    1
    @reka
    1

    Green Apartheid: Urban green infrastructure remains unequally distributed across income and race geographies in South Africa - ScienceDirect
    ▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0169204620303947

    Highlights
    • Parks occur in neighborhoods with 82% higher income than those without parks.
    • White-dominated neighborhoods have 12% higher tree cover than others.
    • Spatial inequalities are mirrored in both public and private green space.
    • Green space inequity has been maintained and entrenched since Apartheid.
    • Open-access data offers possibilities for environmental justice.

    https://ars.els-cdn.com/content/image/1-s2.0-S0169204620303947-gr8.jpg

    #inégalités #jardins #espaces_verts #greenness #afrique_du_sud #apartheid

    Fil @fil
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  • @zhipeng_li
    CEPED - MIGRINTER - IC MIGRATIONS - Asie de l’Est (Chine, Japon, Corée du Nord et du Sud, Mongolie) @zhipeng_li 21/05/2020
    1
    @elsa_gomis
    1

    Rapatriement de 72 ressortissants sud-coréens depuis l’Afrique du Sud | AGENCE DE PRESSE YONHAP
    #Covid-19#migrant#migration#Corée_du_Sud#rapatriement#Afrique_du_Sud
    ▻https://fr.yna.co.kr/view/AFR20200521000400884

    https://img6.yna.co.kr/etc/inner/FR/2020/05/21/AFR20200521000400884_01_i_P4.jpg

    CEPED - MIGRINTER - IC MIGRATIONS - Asie de l’Est (Chine, Japon, Corée du Nord et du Sud, Mongolie) @zhipeng_li
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  • @zhipeng_li
    CEPED - MIGRINTER - IC MIGRATIONS - Asie de l’Est (Chine, Japon, Corée du Nord et du Sud, Mongolie) @zhipeng_li 19/05/2020

    Coronavirus: Hong Kong family quarantined on return from South Africa accuses Carrie Lam of exceeding confinement powers | South China Morning Post
    #Covid-19#migrant#migration#Chine#Hongkong#retour#Afrique_du_Sud#quarantaine
    ▻https://www.scmp.com/news/hong-kong/law-and-crime/article/3085116/coronavirus-hong-kong-family-quarantined-return-south

    https://cdn.i-scmp.com/sites/default/files/styles/og_image_scmp_coronavirus_generic/public/d8/images/methode/2020/05/19/38f7cb46-99c4-11ea-96ff-7aff439fc3be_image_hires_205828.jpg?itok=wWi6RkSY&v=1589893118

    CEPED - MIGRINTER - IC MIGRATIONS - Asie de l’Est (Chine, Japon, Corée du Nord et du Sud, Mongolie) @zhipeng_li
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  • @fil
    Fil @fil 11/05/2020
    1
    @reka
    1

    What exactly is ’spatial apartheid’ and why is it still relevant? - The Daily Vox
    ▻https://www.thedailyvox.co.za/what-exactly-is-spatial-apartheid-and-why-is-it-still-relevant-in-201

    https://www.thedailyvox.co.za/wp-content/uploads/2017/04/FeatureImage-SpatialApartheid-Unequal-Scenes.png

    #ségrégation #Afrique_du_Sud

    Fil @fil
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 11/05/2020

      #apartheid #géographie #apartheid_spatial

      CDB_77 @cdb_77
    • @unagi
      unagi @unagi CC BY-NC 11/05/2020

      Tu as un début de documentaire impressionnant : Bus 174 de José Padilha. Prise aérienne, foret favelas et quartiers riches.
      Je ne trouve pas l’ouverture sur yt ou autres.

      unagi @unagi CC BY-NC
    • @fil
      Fil @fil 11/05/2020

      ▻https://vimeo.com/240313562

       ?

      Fil @fil
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  • @die_brucke
    Die Brücke @die_brucke CC BY-NC 4/05/2020
    5
    @kassem
    @colporteur
    @reka
    @gastlag
    @lieuxcommuns
    5

    L’Afrique sous la menace d’une violente crise économique
    ►https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/04/27/l-afrique-sous-la-menace-d-une-violente-crise-economique_6037921_3212.html

    Épisode 1 : En Côte d’Ivoire, le cacao et la noix de cajou restent à quai
    ▻https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/04/28/en-cote-d-ivoire-le-cacao-et-la-noix-de-cajou-restent-a-quai_6038043_3212.ht

    Épisode 2 : En Tunisie, le secteur du tourisme se prépare à une énième saison manquée
    ▻https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/04/29/en-tunisie-le-secteur-du-tourisme-se-prepare-a-une-enieme-saison-manquee_603

    Épisode 3 : Au Mali, l’effondrement des transferts d’argent de la diaspora frappe durement les populations
    ►https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/04/30/au-mali-l-effondrement-des-transferts-d-argent-de-la-diaspora-fragilise-grav

    Épisode 4 : Le Nigeria paie très cher son addiction au pétrole
    ▻https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/05/01/le-nigeria-paie-tres-cher-son-addiction-au-petrole_6038391_3212.html

    Épisode 5 : En Afrique du Sud, le secteur minier éprouvé par des semaines de confinement
    ▻https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/05/02/en-afrique-du-sud-le-secteur-minier-eprouve-par-des-semaines-de-confinement_

    #Côte_Ivoire #Tunisie #Mali #Afrique_du_Sud #Nigeria #Covid19 #crise_économique_2020

    Die Brücke @die_brucke CC BY-NC
    • @kassem
      Kassem @kassem CC BY-NC-SA 4/05/2020

      #Afrique

      Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 1/05/2020
    1
    @monolecte
    1
    @ceped_migrinter_afrique

    Winter is Coming

    https://4mpodcast.files.wordpress.com/2020/03/8bedc020-coronavirus000_1ov74d-scaled-1536x1024-1.jpg?w=1000#.jpg

    20 March 2020 – As Europe shuts down in response to the spread of COVID-19, other African countries are just beginning to grapple with the early signs of the pandemic. In this show, we discuss the COVID-19 response in South Africa, where an impending winter, a long history of the HIV-AIDS pandemic, and xenophobic attitudes are combining to generate some surprising and unexpected responses to the crisis. Leading Public Health specialist, Professor #Jo_Vearey chats to Abbey and Darshan.

    ▻https://4mpodcast.com/2020/03/21/winter-is-coming
    #Afrique_du_Sud #coronavirus #covid-19 #confinement #audio #podcast
    ping @ceped_migrinter_afrique

    CDB_77 @cdb_77
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  • @die_brucke
    Die Brücke @die_brucke CC BY-NC 30/04/2020

    Hors de contrôle : crise, Covid-19 et capitalisme en Afrique
    ▻https://www.contretemps.eu/crise-covid19-capitalisme-afrique
    ►https://roape.net/2020/03/26/out-of-control-crisis-covid-19-and-capitalism-in-africa

    Des militant·e·s et des chercheurs·ses à travers l’Afrique évoquent les conséquences du Covid-19 sur leurs pays respectifs dans cet article publié initialement par ROAPE (Review of African Political Economy). Depuis le Kenya, l’Afrique du Sud, le Burkina Faso, le Nigeria et le Zimbabwe, Femi Aborisade, Heike Becker, Didier Kiendrebeogo, Gacheke Gachihi, Lena Anyuolo et Tafadzwa Choto observent les contours pris par la crise et la manière dont les gouvernements sous couvert de lutte contre le virus étendent la répression, dans le contexte plus général du capitalisme, du changement climatique et des luttes populaires pour des transformations radicales.

    #covid19 #témoignages #Kenya #Afrique_du_Sud #Burkina Faso #Nigeria #Zimbabwe

    Die Brücke @die_brucke CC BY-NC
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  • @fil
    Fil @fil 24/04/2020
    1
    @sinehebdo
    1

    PHOTOS : South Africa’s Unequal Coronavirus Lockdowns : Goats and Soda : NPR
    ▻https://www.npr.org/sections/goatsandsoda/2020/04/21/837437715/photos-lockdown-in-the-worlds-most-unequal-country

    https://media.npr.org/assets/img/2020/04/19/dscf5770-67_custom-612febf2182ab8e85ded2c6fbf1fb0354bb82c3d-s1300-c85.jpg

    #photographie #afrique_du_sud (avec ma plage préférée et un de mes auteurs préférés !)

    Fil @fil
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 24/04/2020

      Voir aussi la compile ici :
      ►https://seenthis.net/messages/833902

      #coronavirus #art #photo pas si #vide #photographie #villes_fantômes #villes #Tommy_Trenchard

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 24/04/2020
    @mobileborders

    #Moratoire sur le #service_de_la_dette accordé par le G20 : un peu d’aide et beaucoup de com’

    Des pays africains comme l’Egypte, le Maroc, la Tunisie, l’Afrique du Sud et l’Algérie ne bénéficieront pas de l’initiative de #suspension_temporaire du service de la dette décidée par le #G20 au profit de certains pays, a appris l’Agence Ecofin, d’une analyse de l’Institute of International Finance (IIF), une organisation basée à Washington DC, aux Etats-Unis, et qui regroupe les acteurs mondiaux du secteur financier.

    Déjà, l’#Afrique_du_Sud est membre du G20 et pour cela, ne peut pas bénéficier de cette mesure, malgré des conséquences économiques évidentes du #coronavirus sur son #économie. De plus, elle fait partie avec l’#Egypte de ce qu’on appelle les gros pays émergents. Le #Maroc et la #Tunisie se retrouvent dans la catégorie des pays à faibles revenus, mais qui ne sont pas bénéficiaires des appuis de l’#Association_internationale_pour_le_développement (#IDA). L’#Algérie quant à elle, est présentée par la Banque mondiale comme un pays à revenus élevés.

    77 pays éligibles, dont une quarantaine en Afrique subsaharienne

    Un total de 77 pays sont éligibles à ce soutien du G20, dont une quarantaine en Afrique, en plus de l’Angola qui bien qu’étant dans la même catégorie que le Maroc, est considéré comme un des pays les moins développés de la planète par les Nations unies, donc éligible au programme. Le gros enjeu désormais est celui de déterminer la quantité de dettes dont le remboursement sera suspendu.

    Le communiqué du G20 précise qu’il s’agit des intérêts et principaux de dette dus entre le 1er Mai et le 31 décembre 2020. Il s’agit donc en réalité de 8 mois de services de la dette qui sont suspendus et non toute la dette de l’année 2020 comme on a cru le percevoir dans les déclarations politiques reprises par les médias. Pour l’ensemble des pays éligibles, le service de la dette pour l’année en cours est estimé à 140 milliards $. Un point positif toutefois, le remboursement des montants suspendus se fera sur trois ans, après une année de délai de grâce et ils ne seront pas réévalués à leur valeur du moment.

    Sur ce montant, environ 64 milliards $ sont le fait des intérêts et du principal de dette à court terme, et qui est majoritairement détenue par des acteurs privés, comme les traders des matières premières ou des investisseurs en portefeuille. L’IIF a estimé que si on reste sur la dette strictement publique, le volume de remboursements prévus en 2020 est de 45 milliards $. Sur ce montant, seulement 27 milliards $ sont estimés être dus dans le cadre de la dette bilatérale, concernée par la suspension.

    Un geste finalement très modeste…

    Le G20 n’a pas garanti que les autres créanciers de la dette publique des pays éligibles seront partants pour l’accord de suspension. Il s’agit notamment des organismes multilatéraux comme la Banque européenne d’investissement, la Banque mondiale ou encore le FMI. Il est aussi difficile de savoir si les banques d’investissement et les créanciers détenteurs des obligations souveraines de ces pays s’impliqueront.

    Des organisations de la société civile internationale ont déjà critiqué une mesure qui ne sera à leurs yeux pas efficace. Déjà, le bénéfice de cette suspension n’est pas automatique. Les pays qui souhaitent en bénéficier devront faire une demande et s’engager à dépenser la ressource disponible à des objectifs précis, comme l’amélioration du système de santé. Il faudrait aussi que le pays demandeur soit à jour de ses cotisations avec le FMI et la Banque mondiale ; ce qui exclut d’emblée des pays comme le Mozambique qui a un procès international sur sa dette.

    Le montant global de la dette des pays éligibles à l’initiative du G20 est estimé à un peu plus de 750 milliards $. Le moratoire accordé ne représente donc que 3,6% de ce montant ; ce qui est la marque d’un moindre effort. Dans ce contexte, on a du mal à comprendre pourquoi le groupe des 19 pays les plus riches de la planète et l’Union européenne peinent à abandonner complètement la dette de ces pays éligibles.

    Lorsqu’on la rapporte au produit intérieur brut (PIB) du G20 de 2019 qui était de 78 286 milliards $, l’ensemble de cette dette ne représente que 1% de la valeur créée chaque année par les économies de cette organisation. Une annulation complète comme le préconise la France ne créerait donc aucun danger pour les pays riches qui en périodes ordinaires n’hésitent pas à être agressifs pour l’obtention en Afrique de conditions fiscales avantageuses ou de garanties d’investissements lucratifs pour leurs entreprises.

    ▻https://www.agenceecofin.com/finances-publiques/1904-75852-moratoire-sur-le-service-de-la-dette-accorde-par-le-g20-un-

    #dette #éligibilité
    via @mobileborders

    CDB_77 @cdb_77
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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 23/04/2020

    Le 19 mars, le panel réuni pour la Semaine sur l’apartheid israélien intitulé « Conversations sur l’apartheid, de l’Afrique du Sud à la Palestine », avec le député sud-africain Mandla Mandela et la conférencière afro-féministe Desirée Bela, se tenait en ligne.
    ▻https://www.bdsfrance.org/le-depute-sud-africain-mandla-mandela-appelle-la-societe-civile-a-souteni

    https://www.bdsfrance.org/wp-content/uploads/2020/03/thumbnail_converses-2-3-1.jpg

    Mandla Mandela appelle la société civile internationale à demander à ses gouvernements de soutenir le boycott d’Israël de la même manière qu’ils l’ont fait pour l’Afrique du Sud.

    #Palestine #IAW #Mandla_Mandela #Desirée_Bela #Afrique_du_Sud #BDS #boycott

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 3/04/2020

    Quelques nouvelles:

    De #Syrie:

    “Before Corona, I will die of hunger”: The socio-economic impact of Covid-19 on the Syrian population and new challenges for the regime
    ▻https://blogs.eui.eu/medirections/corona-i-will-die-hunger-socio-economic-impact-covid-19-syrian-population-

    D’ #Afrique_du_Sud:

    One working tap for 2,000 households as virus lockdown looms
    ▻https://www.heraldlive.co.za/news/2020-03-26-one-working-tap-for-2000-households-as-virus-lockdown-looms

    d’ #Italie:

    Singing stops in Italy as fear and social unrest mount
    ▻https://www.theguardian.com/world/2020/apr/01/singing-stops-italy-fear-social-unrest-mount-coronavirus-lockdown

    #coronavirus #pauvreté

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @fil
    Fil @fil 1/04/2020
    1
    @rezo
    1

    Police kill three people in three days of lockdown. This is normal for South Africa | GroundUp
    ▻https://www.groundup.org.za/article/police-kill-three-people-three-days-lockdown-normal-south-africa-data-r

    Across the planet, people have questioned what type of world will emerge from the Covid-19 pandemic. Some have warned that states with authoritarian tendencies will exploit the fear of the pandemic and the restrictions of lockdown to roll back freedom in their countries over the long term. In South Africa a reframing of this question is warranted: what type of police service will emerge from the pandemic and the lockdown?

    commentaire d’Emile Engel:

    “these videos expose what has always gone on. What we saw this weekend is a consequence of a deeply rooted culture of impunity within the police. It is underwritten by failing oversight mechanisms and a general lack of political will to see the police held accountable.”

    Fil @fil
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/04/2020

      #Afrique_du_Sud #police #violences_policières #confinement #coronavirus #assassinat #meurtre #impunité

      CDB_77 @cdb_77
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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 25/03/2020
    1
    @gastlag
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    Pas écouté, mais pour s’occuper...

    #Miriam_Makeba, les ailes de l’exil, France Culture, le 14 mars 2020
    ▻https://www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/miriam-makeba-les-ailes-de-lexil

    #Harriet_Tubman : la « Moïse noire » de l’Amérique
    Épisode 1 : L’héroïne de l’Underground Railroad, France Culture, le 14 mars 2020
    ▻https://www.franceculture.fr/emissions/une-histoire-particuliere-un-recit-documentaire-en-deux-parties/harriet-tubman-la-moise-noire-de-lamerique-12-lheroine-de-lunderground

    Épisode 2 : Les chants de ralliement de l’ancienne esclave, France Culture, le 15 mars 2020
    ▻https://www.franceculture.fr/emissions/une-histoire-particuliere-un-recit-documentaire-en-deux-parties/harriet-tubman-la-moise-noire-de-lamerique-22-les-chants-de-ralliement

    #Musique #Musique_et_politique #Afrique_du_Sud #USA

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 25/03/2020
    1
    @thomas_lacroix
    1
    @fil @mobileborders @thomas_lacroix

    South Africa to build 40km fence along #Zimbabwe border

    Authorities say fence will stem irregular migration as well as spread of coronavirus in the country.

    Authorities in South Africa have said they will build a 40km (25 miles) fence along its border with Zimbabwe to prevent undocumented migrants from entering and spreading coronavirus - even though the neighbouring country has no confirmed cases.

    The planned fence is to be erected on either side of the Beitbridge Land Port of Entry to “ensure that no undocumented or infected persons cross into the country,” Patricia de Lille, the public works minister, said in a statement on Thursday.

    As of Friday, South Africa has reported 202 confirmed cases of the virus and no deaths. President Cyril Ramaphosa has already ordered 35 of 53 land entry points closed.

    “This measure will ... not be effective if the fences at the border are not secure, which in many places, they are not,” de Lille said in the statement.

    "All 40km of fence will be finished within one month. Local labour will be sourced by the contractor.

    “We are certainly not xenophobic. We have had thorough consultations with all the countries that are our neighbours. What is important for South Africa is to protect our own citizens and people coming into our country because at the border post now, you’ve got health inspectors and you’ve got environmental professionals and they are doing the testing and screening at the border. But if somebody just walks over the border, there are no such facilities,” she added.

    South Africa, the continent’s most industrialised country, has long sought to reduce irregular migration from Zimbabwe, which it sees as a threat to local jobs in a country with unemployment of around 30 percent.

    Countries around the world have been cancelling flights, banning travel from certain countries and tightening controls at borders to prevent the virus’s spread.

    According to the World Health Organization (WHO), more than 209,000 people have tested positive for COVID-19, the infection caused by the novel coronavirus, around the world.

    The virus has claimed the lives of at least 8,700, according to the UN health body.

    The outbreak reached Africa later than other continents, but at least 33 countries have now confirmed cases, with 13 reported deaths.

    ▻https://www.aljazeera.com/news/2020/03/south-africa-build-40km-fence-zimbabwe-border-200320062936120.html
    #murs #frontières #Afrique_du_Sud #barrières_frontalières #migrations #asile #réfugiés #fermeture_des_frontières #coronavirus

    ping @fil @mobileborders @thomas_lacroix

    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 24/03/2020
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    @sinehebdo
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    @mad_meg
    3
    @albertocampiphoto @reka @philippe_de_jonckheere

    The Great Empty

    https://i.imgur.com/UV2WZUZ.png https://i.imgur.com/iVw1YB4.png https://i.imgur.com/fYRlw12.png https://i.imgur.com/GOJidaO.png

    During the 1950s, New York’s Museum of Modern Art organized a famous photo exhibition called “The Family of Man.” In the wake of a world war, the show, chockablock with pictures of people, celebrated humanity’s cacophony, resilience and common bond.

    Today a different global calamity has made scarcity the necessary condition of humanity’s survival. Cafes along the Navigli in Milan hunker behind shutters along with the Milanese who used to sip aperos beside the canal. Times Square is a ghost town, as are the City of London and the Place de la Concorde in Paris during what used to be the morning rush.

    The photographs here all tell a similar story: a temple in Indonesia; Haneda Airport in Tokyo; the Americana Diner in New Jersey. Emptiness proliferates like the virus.

    The Times recently sent dozens of photographers out to capture images of once-bustling public plazas, beaches, fairgrounds, restaurants, movie theaters, tourist meccas and train stations. Public spaces, as we think of them today, trace their origins back at least to the agoras of ancient Greece. Hard to translate, the word “agora” in Homer suggested “gathering.” Eventually it came to imply the square or open space at the center of a town or city, the place without which Greeks did not really regard a town or city as a town or city at all, but only as an assortment of houses and shrines.

    Thousands of years later, public squares and other spaces remain bellwethers and magnets, places to which we gravitate for pleasure and solace, to take our collective temperature, celebrate, protest. Following the uprisings in Tiananmen Square, Tahrir Square, Taksim Square and elsewhere, Yellow Vest protesters in France demonstrated their discontent last year not by starting a GoFundMe page but by occupying public sites like the Place de la République and the Place de l’Opéra in Paris.

    Both of those squares were built during the 19th century as part of a master plan by a French official, Baron Georges-Eugène Haussmann, who remade vast swaths of Paris after the city passed new health regulations in 1850 to combat disease. Beset by viruses and other natural disasters, cities around the world have time and again devised new infrastructure and rewritten zoning regulations to ensure more light and air, and produced public spaces, buildings and other sites, including some of the ones in these photographs, that promised to improve civic welfare and that represented new frontiers of civic aspiration.

    Their present emptiness, a public health necessity, can conjure up dystopia, not progress, but, promisingly, it also suggests that, by heeding the experts and staying apart, we have not yet lost the capacity to come together for the common good. Covid-19 doesn’t vote along party lines, after all. These images are haunted and haunting, like stills from movies about plagues and the apocalypse, but in some ways they are hopeful.

    They also remind us that beauty requires human interaction.

    I don’t mean that buildings and fairgrounds and railway stations and temples can’t look eerily beautiful empty. Some of these sites, like many of these photographs, are works of art. I mean that empty buildings, squares and beaches are what art history textbooks, boutique hotel advertisements and glossy shelter and travel magazines tend to traffic in. Their emptiness trumpets an existence mostly divorced from human habitation and the messy thrum of daily life. They imagine an experience more akin to the wonder of bygone explorers coming upon the remains of a lost civilization.

    They evoke the romance of ruins.

    Beauty entails something else. It is something we bestow.

    It will be the moment we return.

    ▻https://www.nytimes.com/interactive/2020/03/23/world/coronavirus-great-empty.html
    #photographie #vide #géographie_du_vide #coronavirus #villes-phantomes #ghost-town #urban_matter #villes #géographie_urbaine
    via @albertocampiphoto
    ping @reka @philippe_de_jonckheere

    CDB_77 @cdb_77
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 24/03/2020

      De New York à Bangkok, le coronavirus transforme les métropoles du monde entier en villes fantômes
      Le Monde, le 23 mars 2020
      ▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/03/23/de-new-york-a-bangkok-le-coronavirus-transforme-les-metropoles-du-monde-enti

      Voir #coronavirus #art #villes_fantômes :
      ►https://seenthis.net/messages/832830

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/04/2020

      Deserted cities of the heart

      https://cdn-ed.versobooks.com/blog_posts/000004/620/wuhan-empty-10-.jpg

      The past few weeks have seen images spreading around the internet of empty streets and deserted cities. But what do these images tell us about the present moment, and what does their cultural value suggest about our relationship to the current crisis?

      In Liu Cixin’s sci-fi novel The Three-Body Problem, an astrophysicist, radicalized by reading Silent Spring, and having been persecuted during the Cultural Revolution, decides the human race is irredeemable and sells it out to an alien invader. I started the book a few weeks ago; now it has become grimly timely. Demagogues would now have us believe that the novel coronavirus is an alien invasion force while also trying to sell millions of us out to it as quickly as possible. Some have made a comparison to the risk-reward calculus of driving, arguing that governments don’t force people to drive slow in order to save lives. So why should they prevent us from endangering ourselves and others? Lives must be sacrificed to road wrecks to maintain a certain rate of return. As the skies clear dramatically over cities that are accustomed to thick smog, one can imagine the demagogues making a similar argument about the air pollution that already ruins lungs and truncates lives: All coronavirus does is accelerate the process — fast capitalism in its apotheosis.

      But the eschatological fantasies of Liu’s anti-humanity cadres are also echoed, however faintly, in the celebration of abandoned urban spaces and brightened city skies as some sort of coronavirus consolation. These are not like the images of empty grocery shelves, caused by those merely participating in the panic. They evoke something more sedate, serene. Earlier in the crisis, when Italy was the focal point, the sudden clarity of Venice’s canals were widely discussed with wonder. Without boat traffic, the sediment in them settled, making it possible to see the marine life they host. CNN quoted a random person saying, “What a marvel this Venice was; this virus brought something ... beautiful." That sentiment was echoed on Twitter feeds that shared video of the canals, the fish newly visible. Implied in this sharing was a message about the resilience of nature and humanity’s fundamental tendency to interfere rather than participate in it: See how nice and pure the world is without tourists, without other people living their lives by their own priorities and privileges? This is the way I like to see the world, with no one else around to see it. The way things “really should be” is the way they are when human activity is subtracted. The canals are supposed to be clear and stagnant. To borrow a phrase from writer Mark O’Connell, describing the butterflies in the Chernobyl Exclusion Zone, “It is all quite lovely, in its uncanny way: The world, everywhere, protesting its innocence.”

      The clear canals may be taken as emblematic of a broader silencing to come. In an essay for the Point, philosopher Justin E.H. Smith wrote, “We have little idea what the world is going to look like when we get through to the other side of this, but it is already perfectly clear that the ‘discourses’ of our society, such as they had developed up to about March 8 or 9, 2020, in all their frivolity and distractiousness, have been decisively curtailed, like the CO2 emissions from the closed factories and the vacated highways.” He concludes that if an invading alien force came to Earth, there is no reason to believe that it would even have any interest in humanity (even to exterminate it), given that it’s only our own hubris that leads us to believe that we are “this planet’s true and legitimate representatives.”

      The broad fascination with the images of empty cities — as in this New York Times photo essay, for instance — is in part a fascination with that hubris, but more as a means of fetishizing it rather than overcoming it or rejecting it. Cities appear in these images not as practical commercial spaces but as monuments to humanity’s transformational power in the abstract, something that doesn’t require collaboration, competition, or conflict but just seems just to exist as a natural force. They are seen as especially beautiful when rendered useless, but that’s not because they remind us of our own uselessness or insignificance. Instead, the sense of personal impotence may be dispersed in majestic images of the vacated cathedrals of civilization.

      At the same time, cities are given the deserted quality that has often been reserved for conventional natural landscapes, where an absence of people serves as a signifier of “naturalness.” Landscape paintings typically tend to mask whatever alterations humans have made to the land so a particular perspective can appear as given, as inherent or inevitable. How the land is framed is both foregrounded and effaced: A vantage point is isolated and idealized as characteristic, as typical, as frameless.

      The photos of people-less cities extend that mood of givenness to urban landscapes, suggesting how they endure without us or despite us. We can regard cities not as purpose-built environments, but as natural ones to which humans have adapted, much like the species at the bottom of the ocean have adapted to life without light. From that point of view, humans are othered to themselves, becoming a species for remote observation. By looking at the images, we can see ourselves as exempt, as belonging to an evolution beyond that, the contours of which are emerging in the strange dislocations we are now experiencing in everyday life.

      Our ability to appreciate these images doesn’t underscore our ultimate harmony or interconnection with the natural world and the life that purportedly re-emerges when the highways are finally vacated. Rather it lets us use mediation (our ability to consume representations) to rearticulate our exceptionality. We can assume the subject position of the camera and pretend that makes us immune to being objects in the world.

      The deserted cities allow us to imagine that we’re in a comfortable position from which to enjoy them — that the erasure of humanity doesn’t actually include us. As this piece by Cherine Fahd and Sara Oscar notes, “The viewer is looking at a representation of the scene, not the scene itself, from a position of far-off comfort.” This becomes obvious when you actually walk around a deserted city, which is certainly uncanny but inspires more grief than delight. The images let us consume a distance from the emptiness as much as the emptiness itself. Wherever we are can then feel more full.

      In an essay that accompanied the New York Times’s collection of images, Michael Kimmelman suggests that the photos are hopeful because in their eerie, ruin-porn-like emptiness they “remind us that beauty requires human interaction.” But that reading strikes me as somewhat idealistic; he dismisses what seems to me their more fundamental allure, that they offer a vicarious experience of “the wonder of bygone explorers coming upon the remains of a lost civilization.” That is, they give viewers a kind of imperial transcendence, a sense of sublime survival as a kind of conquering. “Beauty” might be, as Kimmelman claims, a thing we “bestow” with social interaction, but the images remind us also that the consumption of beauty can be had unilaterally, placing us at a perspective that provides pleasure precisely by protecting us from complicity or vulnerability.

      What these images of empty cities remind me of are photos of dead malls that have served over the past decade or so as symbols of the oft-predicted “retail apocalypse.” I spent lots of time working and hanging out in a mall as a teenager, so these sorts of images have always had a bracing form of anti-nostalgia for me, like seeing your childhood home being bulldozed. But I also tend to read the dead-mall images as metonyms for the dead end of consumerism. They depict not the absence of commerce but its negation.

      Many have predicted that one of the lasting effects of the pandemic will be the end of conventional retail, because everyone will have gotten fully acclimated to home delivery and its conveniences. But this prediction seems premature; it’s impossible to tell just how drastically our everyday life and our perception of what is convenient will be reworked by the experience of extended isolation.

      It’s tempting to treat the images of deserted cities as symbols, as evocations, as metaphors, as prophecies, but the most compelling and troubling thing about them is that they can be taken as just direct representations of the world outside as it is. Our old lives are over; where we lived are ghost towns. The photos seem to document something historic and exceptional that we lived through, only we’re still living it. There is an apparent finality to total emptiness that might help us pretend that the crisis is already over, and the world is there, where we left it, and not in the social relations and the sorts of choices we’re now facing to try to remake it.

      ▻https://www.versobooks.com/blogs/4620-deserted-cities-of-the-heart

      CDB_77 @cdb_77
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 11/04/2020

      Le photographe MANNY a capturé un Montréal vide et apocalyptique pendant la crise Covid-19
      Alexandre Turcotte, Nightlife, le 8 avril 2020
      ▻https://seenthis.net/messages/842027

      https://nightlife.ca/wp-content/uploads/2020/04/Montre%CC%81al_Covid19_par_Manny_Fortin_Republik_25-1536x1025.jpg

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 11/04/2020

      En images : dans le métro parisien en temps de confinement
      Le Monde, le 9 avril 2020
      ▻https://seenthis.net/messages/841181

      https://img.lemde.fr/2020/04/09/0/0/5568/3712/630/0/60/0/5f8385e_gUGxDhy7CFEgRrMW2Uh2sBTi.jpg

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 13/04/2020

      La Plaine (place Jean-Jaurès). « Ce qui fait la beauté de cette ville, ce sont les gens qui l’habitent. Ces calicots pendus aux fenêtres en sont la trace. Ici, à la Plaine, c’est la colère qui domine. Plus bas, dans le centre, les banderoles sont plus "douces". »
      Photo #Yohanne_Lamoulère. Tendance Floue pour Libération

      https://medias.liberation.fr/photo/1303766-prodlibe-2020-0452-marseille-confine.jpg?modified_at=1585648700&width=1350

      ►https://seenthis.net/messages/841970

      La Plaine. « J’ai une forme de fascination pour les graffitis, comme celui-ci, très hauts : "Le virus c’est l’Etat". Je suis retournée à la Plaine pour le photographier, dans ce quartier, qui organise des prêts de livres, mais aussi des tournées de nourriture pour les soignants. Symbole de cette énergie militante, très forte à Marseille, qui comble finalement énormément de vide. »
      Photo Yohanne Lamoulère. Tendance Floue pour #Libération

      https://medias.liberation.fr/photo/1303793-prodlibe-2020-0452-marseille-confine.jpg?modified_at=1585649816&width=1350

      #Marseille

      Vanderling @vanderling
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 13/04/2020

      Et des #aéroports vides :

      Les images impressionnantes des Airbus A380 stationnés à l’aéroport de Châteauroux
      Jérôme Collin, France Bleu Berry, le 13 avril 2020
      ▻https://seenthis.net/messages/842857

      https://seenthis.net/local/cache-vignettes/L600xH338/870x489_airbab44-e70d5.jpg

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 18/04/2020

      Coronavirus : avec les joggeurs, les poivrots, les livreurs, les promeneurs de chiens, les drogués, les migrants... dans la nuit confinée de Paris
      Christophe Ayad, Le Monde, le 17 avril 2020
      ▻https://seenthis.net/messages/844309

      https://img.lemde.fr/2020/04/16/0/0/2400/1600/630/0/60/0/f28e915_Jt7I7zQy3NZsOf9CYm40lJUR.jpg

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 21/04/2020

      Fenêtres sur tour - confinement 2020 - Tentatives d’épuisement d’une vue parisienne
      MARTIN ARGYROGLO PHOTOGRAPHE
      ▻https://seenthis.net/messages/846078

      https://seenthis.net/local/cache-vignettes/L600xH400/arton3006-re42fa-e50b1.jpg

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 24/04/2020

      Lockdown In The World’s Most Unequal Country
      Tommy Trenchard, Goats and Soda, le 21 avril 2020
      ▻https://seenthis.net/messages/847358

      https://media.npr.org/assets/img/2020/04/19/dscf3968-30_custom-8cb394bddb37c7ade0acc09d3b8d5d4b58b46160-s1200-c85.jpg

      #Afrique_du_Sud

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 26/04/2020

      Retrato de un país en el balcón
      El País Semanal, le 26 avril 2020
      ▻https://seenthis.net/messages/847750

      https://ep00.epimg.net/elpais/imagenes/2020/04/17/album/1587139482_914037_1587139545_album_normal.jpg

      Syrian Dancer Performs in Paris’ Empty Streets
      Albawaba, le 26 avril 2020
      ▻https://seenthis.net/messages/847805

      https://www.albawaba.com/sites/default/files/styles/default/public/2020-04/000_1QR667.jpg?itok=rz-U60P1

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 26/04/2020

      Living In A Ghost Town - The Rolling Stones
      ▻https://www.fip.fr/rock/living-ghost-town-la-bonne-surprise-des-rolling-stones-17941

      ▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=27&v=LNNPNweSbp8&feature=emb_logo

      Vanderling @vanderling
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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 17/03/2020
    3
    @loutre
    @stephane_m
    @mydylarama
    3

    Palestine events on African continent put on hold due to Coronavirus
    Africa For Palestine, le 16 mars 2020
    ▻http://www.bdssouthafrica.com/post/palestine-events-on-african-continent-put-on-hold-due-to-coronavirus

    Ils mettent à disposition cette liste de films pour nous occuper :
    ►https://www.youtube.com/playlist?list=PL_FuAw3qkivre7W-RKHeYpsFd0p8GCGX6

    #Palestine #Afrique #Afrique_du_Sud #coronavirus #Films #Cinéma #Documentaires

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 17/03/2020

      Je vous rajoute Arnas’s Children, Z32, et un site à explorer :
      ►https://www.idfa.nl/en/film/12bb4122-10a1-40df-a95e-2a4dbf899415/arnas-children
      ►https://www.idfa.nl/en/film/a1c0cea7-a094-41a5-a906-e578b3da7f20/z32
      ►https://www.idfa.nl/en

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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