• #Mickey_Z : Rien ne changera tant que nous refuserons de NOMMER LE PROBLÈME.
    https://scenesdelavisquotidien.com/2017/07/09/mickey-z-rien-de-changera-tant-que-nous-refuserons-de-nommer

    [Avertissement : Cet article traite de violences graves]

    Nous lui donnons toutes sortes de noms. Des noms comme la violence, la guerre, le terrorisme et l’oppression …

    MAIS :

    Ce sont des hommes qui sont responsables de 90% des agressions violentes, de 95% de la violence au foyer et entre partenaires et aussi de 95% des sévices sexuels sur enfants.

    Des hommes déchirent des poules vivantes pour ensuite les agresser sexuellement.

    Un homme comme Frank Yeager dresse une liste de 200 cibles – des femmes agents immobiliers qu’il envisageait de violer – parce que, comme il l’a dit, « j’aime vraiment la chasse ».

    Des femmes comme celle-ci sont violées et victimes de traite dès l’âge de 7 ans.

    Des hommes prennent plaisir et fierté à retirer leur préservatif au moment de rapports sexuels.

    Les femmes de la Caroline du Nord ne peuvent légalement mettre fin à un rapport sexuel une fois celui-ci entamé.

    Des poupées sexuelles infantiles (sic) de la taille de fillettes de 3 ans se vendent comme des petits pains dans le monde entier.

    Un homme de 32 ans, Benjamin Taylor, vient de violer et assassiner la fillette de 9 mois de son amie.

    Nous nous accrochons à des euphémismes comme : le fascisme, le communisme, le capitalisme, le libertarisme, le totalitarisme, le socialisme, etc.

    MAIS :

    Les hommes s’accaparent ouvertement les idées et les réalisations des femmes et les revendiquent comme étant les leurs.

    Des hommes vont violer en bande une femme et assassiner son bébé.

    Un homme va coller les parties génitales de son épouse sous prétexte qu’elle a « aimé » un message Facebook, et il s’en sort avec une amende de 10$.

    La culture du viol est tellement normalisée que des hommes diffusent des viols en direct sur Internet.

    Un homme nommé Richard Paterson peut tuer son amie et prétendre qu’elle s’est « accidentellement » étouffée avec son pénis durant une fellation.

    Que l’on parle d’homicide involontaire, de situation compréhensible ou de peine capitale, c’est idéalisé comme un divertissement…

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : http://worldnewstrust.com/there-will-be-no-progress-until-we-name-the-problem-mickey-z

    Mickey Z. est le fondateur de l’organisme Helping Homeless Women – NYC, qui offre un soutien direct aux femmes de la rue à New York.

    #violences_masculines #proféministes #agir

  • L’homme est libre parce qu’il est un commencement !
    http://efleury.fr/suicidequotidien/2016/12/25/lhomme-est-libre-parce-quil-est-un-commencement

    Il s’agit de cerner la définition de l’acte formulée par #Hannah_Arendt. Un #acte dans sa dimension politique. J’ai déjà évoqué son côté fondateur, un acte est un début dans la mesure où il tranche avec un passé. C’est aussi quelque chose d’indépendant de la volonté simple. Il ne suffit pas de vouloir. Car la …

    #Le_blog #philosophie #agir #conforter #consolider #création #forrtifier #inédit #liberté #répéter

    • Le président François Hollande veut définir un « état de guerre » adapté à la situation. Que pensez-vous de cette discussion ? Croyez-vous plus généralement qu’une modification de la Constitution soit une réponse adaptée aux attentats du 13 novembre ?

      Jürgen Habermas .- Il me semble sensé d’adapter à la situation actuelle les deux dispositions de la Constitution française relatives à l’état d’urgence. Si cette question est désormais à l’ordre du jour, c’est parce que le président a proclamé l’état d’urgence à la suite des événements choquants de la nuit du 13 au 14 novembre, et entend le prolonger trois mois durant. Je peux difficilement juger de la nécessité de cette politique et de ses raisons. Je ne suis en rien un expert des questions de sécurité.

      Mais, envisagée à distance, cette décision ressemble à un acte symbolique permettant au gouvernement de réagir – vraisemblablement de la manière qui convient – au climat régnant dans le pays. En Allemagne, la rhétorique guerrière du président français, guidée semble-t-il par des considérations de politique intérieure, suscite plutôt des réserves.

      Le président Hollande a aussi décidé d’accroître son niveau d’intervention en Syrie, notamment en bombardant Rakka, la « capitale » de l’Etat islamique, et en se rapprochant de la Russie. Que pensez-vous de l’interventionnisme en général ?

      Il ne s’agit pas d’une décision politique inédite mais seulement de l’intensification de l’engagement de l’aviation française, qui est en action depuis déjà un certain temps. Certes, les experts se montrent d’accord pour dire qu’un phénomène aussi déconcertant que l’Etat islamique – ce mélange de « califat » n’ayant pas encore trouvé son territoire définitif et de commandos de tueurs essaimant à l’échelle du globe – ne peut être vaincu uniquement par les armes aériennes.

      Mais l’intervention au sol de troupes américaines et européennes n’est pas seulement irréaliste, elle serait avant tout d’une grande imprudence. Il ne sert à rien d’agir en court-circuitant les pouvoirs locaux. Obama a appris des interventions de ses prédécesseurs et de leurs échecs, et a insisté sur un point important lors du dernier sommet du G20 qui s’est déroulé il y a peu en Turquie. Il a souligné que des troupes étrangères ne peuvent garantir très longtemps, après leur retrait, le résultat de leurs succès militaires.

      Du reste, on ne peut prendre à la gorge l’Etat islamique en recourant aux seuls moyens militaires. Les experts se montrent également d’accord sur ce point. Nous pouvons considérer ces barbares comme des ennemis, et nous devons lutter contre eux, inconditionnellement ; mais, si nous voulons vaincre cette barbarie sur le long terme, nous ne devons pas nous leurrer quant à ses raisons, qui sont complexes.

      Ce n’est sans doute pas le moment pour une nation française profondément blessée, pour une Europe bouleversée et une civilisation occidentale ébranlée, de se souvenir de l’origine de ce potentiel de conflit explosif et momentanément non maîtrisé du Proche-Orient – de l’Afghanistan et de l’Iran jusqu’à l’Arabie saoudite, l’Egypte et le Soudan.

      Que l’on se remémore seulement ce qui s’est passé dans cette région depuis la crise de Suez de 1956. Une politique des Etats-Unis, de l’Europe et de la Russie déterminée presque exclusivement par des intérêts géopolitiques et économiques s’est, dans cette fragile région du monde, heurtée à un héritage de l’époque coloniale à la fois artificiel et fait de déchirements ; et cette politique a tiré profit des conflits locaux sans stabiliser quoi que ce soit.

      Comme chacun sait, les conflits opposant les sunnites et les chiites, dont le fondamentalisme de l’Etat islamique tire aujourd’hui en premier lieu ses énergies, se sont à l’évidence déchaînés à la suite de l’intervention américaine en Irak décidée par George W. Bush, qui a bafoué les règles du droit international.

      Le coup d’arrêt au processus de modernisation de ces sociétés s’explique également par certains aspects spécifiques de la très fière culture arabe. Mais l’absence de perspective et d’espoir en l’avenir qui afflige les jeunes générations de ces pays, avides de mener une vie meilleure, avides aussi de reconnaissance, est en partie le fait de la politique occidentale.
      Ces jeunes générations, lorsque échouent toutes les tentatives politiques, se radicalisent afin de regagner leur amour-propre. Tel est le mécanisme de cette pathologie sociale. Une dynamique psychologique semblablement désespérée, qui trouve là encore son origine dans ce défaut de
      reconnaissance, semble aussi faire de petits criminels isolés, issus des populations immigrées européennes, les héros pervers de commandos de tueurs téléguidés. Les premières enquêtes journalistiques consacrées au milieu et aux itinéraires respectifs des terroristes du 13 novembre le laissent en tout cas supposer. A côté de la chaîne de causalité qui conduit en Syrie, il en existe une autre, qui attire l’attention sur les destins ratés de l’intégration dans les foyers sociaux de nos grandes villes.

      Lors des attentats du 11 septembre 2001, des intellectuels, dont le philosophe Jacques Derrida et vous-même, s’étaient inquiétés du recul des libertés démocratiques que risquaient de provoquer la pression de la lutte contre le terrorisme et le recours à des notions comme la « guerre des civilisations » ou « les Etats voyous ». Le diagnostic a été largement vérifié par l’usage de la torture, les contrôles de la NSA, les détentions arbitraires de Guantanamo, etc. Une lutte contre le terrorisme qui maintiendrait l’espace public démocratique intact est-elle, selon vous, possible ou pensable ? Et à quelles conditions ?

      Un regard rétrospectif sur le 11-Septembre ne peut que nous conduire à constater, comme nombre de nos amis américains, que la « guerre à la terreur » de Bush, Cheney et Rumsfeld a abîmé la constitution politique et mentale de la société américaine. Le Patriot Act adopté à l’époque par le Congrès, encore en vigueur aujourd’hui, porte atteinte aux droits fondamentaux des citoyens, et touche à la substance même de la Constitution américaine.

      Et il est permis d’en dire de même de l’extension fatale de la notion de combattant ennemi, qui a légitimé Guantanamo et d’autres crimes, et qui n’a été écartée que par l’administration Obama. Cette réaction irréfléchie aux attentats du 11-Septembre, qui avaient été jusqu’alors inconcevables, explique en bonne part la propagation d’une mentalité incarnée aujourd’hui par une personnalité aussi innommable que Donald Trump, candidat aux primaires républicaines. Ce n’est en rien une réponse à votre question. Mais ne pouvons-nous pas, comme les Norvégiens en 2011, après l’effroyable attentat commis sur l’île d’Utoya, résister au premier réflexe du repli sur soi face à l’inconnu incompréhensible et de l’agression contre l’« ennemi intérieur » ?

      J’ai bon espoir que la nation française donne au monde un exemple à suivre, comme elle l’a fait après l’attentat ayant visé Charlie Hebdo. Il n’est pas besoin pour cela de riposter à un péril fictif tel que l’« asservissement » à une culture étrangère qui, soi-disant, menacerait. Le danger est bien plus tangible. La société civile doit se garder de sacrifier sur l’autel de la sécurité toutes ces vertus démocratiques d’une société ouverte que sont la liberté de l’individu, la tolérance vis-à-vis de la diversité des formes de vie et la bonne disposition à adopter la perspective d’autrui. En face d’un Front national qui se renforce, cela est plus facile à dire qu’à faire.

      Mais il existe de bonnes raisons de réagir ainsi, qui ont peu à voir avec des incantations. La plus importante est évidente : le préjugé, la méfiance et le rejet de l’islam, la peur de l’islam, et la lutte préventive contre lui, doivent beaucoup à une pure et simple projection.

      En effet, le fondamentalisme djihadiste a certes recours dans ses manières de s’exprimer à tout un code religieux ; mais il n’est en rien une religion. Il pourrait recourir, à la place du langage religieux qu’il utilise, à n’importe quel autre langage religieux, et même à n’importe quelle idéologie promettant une justice rédemptrice.

      Les grands monothéismes ont des origines qui remontent très loin dans le temps. Le djihadisme, en revanche, est une forme absolument moderne de réaction à des conditions de vie caractérisées par le déracinement. Attirer l’attention, dans un but préventif, sur une intégration sociale en panne ou sur une modernisation sociale défaillante, ce n’est naturellement pas exempter les auteurs de ces méfaits de leur responsabilité personnelle.

      L’attitude de l’Allemagne face à l’afflux des réfugiés a surpris
      positivement, malgré les reculs récents. Pensez-vous que la vague terroriste puisse modifier cet état d’esprit - puisque certains islamistes ont cherché à s’infiltrer dans le flot des réfugiés ?

      J’espère que non. Nous sommes tous dans le même bateau. Le terrorisme comme la crise des réfugiés constituent des défis dramatiques, peut-être ultimes, et exigent une coopération étroitement solidaire à laquelle les nations européennes ne se sont jusqu’à présent pas encore résolues, y compris dans le cadre de l’union monétaire.

      (Traduit de l’allemand par Frédéric Joly).

      Jürgen Habermas est né en 1929. Son nom est associé à l’école de Francfort. Il développe dans son œuvre une philosophie de l’espace public démocratique

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    • En fait de communicant :
      http://www.lcp.fr/actualites/politique/177066--terreau-du-jihadisme-la-societe-francaise-a-une-part-de-responsabilite-m

      Le ministre de l’Economie Emmanuel Macron a affirmé samedi que la société française devait assumer une « part de responsabilité » dans le « terreau » sur lequel le jihadisme a pu prospérer, en évoquant une disparition de l’idéal républicain de mobilité sociale.

  • Soirée-rencontre d’information sur l’accueil des #réfugiés
    https://m.facebook.com/events/995228773860485?_rdr

    VENDREDI 11 septembre 2015 à 20h15 dans les locaux de l’église du St-Esprit, place Martin Luther King / Av. Docteur Lemoine 13 - 1070 #Anderlecht .

    3 thèmes seront abordés :

    1. #Comprendre : qui sont les migrants ? Pourquoi migrent-ils ? Pourquoi maintenant ? Que faire au niveau international ?
    2. #Réfléchir : Idées reçues : vrai ou faux ? Quel impact de ces migration sur notre quotidien, sur notre économie
    3. #Agir : ce qu’on peut faire concrètement.

    Pour nous accompagner dans notre réflexion, nous pourrons compter sur la participation de :

    Philippe Lamberts, député européen
    Nicolas Van Nuffel, CNCD-11.11.11
    Brigitte Willame, CIRE

  • En 2015 avec Survie, soutenez les peuples, pas les dictateurs !
    http://survie.org/qui-sommes-nous/presentation/agir-et-soutenir/article/en-2015-avec-survie-soutenez-les-4844

    Opérations militaires au Mali, en Centrafrique, au Sahel, redéploiement de la présence militaire française en Afrique, sommet France-Afrique organisé par l’Élysée, soutien au dictateur tchadien Idriss Déby alors même que la contestation gronde au Tchad... La Françafrique fait régulièrement la une de l’actualité : Survie est mobilisée à chaque instant. En 2015, Survie a 30 ans. Pour que l’association puisse poursuivre son combat contre cette Françafrique qui ne faiblit pas, nous avons besoin de votre (...)

    #Agir_et_soutenir

    / #Communiqués_de_presse, #Réforme_de_la_politique_de_la_France_en_Afrique, Une

  • En effet, François Hollande dans son discours de liège n’est pas neutre...

    « Gaza : comment rester neutre ? » - Monde - MYTF1News

    http://lci.tf1.fr/monde/moyen-orient/hollande-gaza-nous-avons-l-obligation-d-agir-8462168.html

    TF1 explique :

    Lors de son discours à Liège pour les cérémonies de commémoration du déclenchement de la 1re Guerre Mondiale, le chef de l’Etat a fait référence ce lundi à plusieurs conflits en cours, dont celui entre le Hamas et Israël.

    Extrait du discours :

    « Comment rester neutres devant des massacres de populations civiles comme en Irak, en Syrie, où les minorités sont persécutées »

    Tiens, pas à Gaza ? 1300 personnes massacrées par l’armée israélienne ? pas cité par Hollande ?

    [...]

    « Comment rester neutres quand à Gaza un conflit meurtrier dure depuis près d’un mois. »

    Nous ne pouvons rester neutres. Il y a obligation d’agir et c’est l’Europe qui doit en prendre les responsabilités. Avec l’ONU.

    Ah voilà Gaza. C’est pas un massacre, Gaza, c’est « un conflit meurtrier ». Et le fait de n’avoir pas mis Gaza avec l’Irak et la Syrie n’est pas neutre. Surtout ne pas fâcher nos copains du Crif et Netanyahu. Ça passe inaperçu pour les mecs de TF1 et une grande partie du public, mais le message est clair. Gaza, les morts, c’est normal, c’est la guerre. Voilà comment on forge l’opinion même dans les messages officiels. Et moi, ça me fait honte.

    #gaza #hollande #rester_neutre #agir

  • Un été avec Baudelaire : La procrastination (5 min.) | France Inter.

    http://www.franceinter.fr/emission-un-ete-avec-baudelaire-la-procrastination

    Baudelaire était l’homme des bilans. Il en faisait souvent, dans des lettres à sa mère, se promettant de commencer une nouvelle vie plus équilibrée, de s’installer « d’une manière définitive », d’obtenir la levée du conseil judiciaire qui l’étranglait depuis les frasques de sa vingtième année. Il écrivait à sa mère en décembre 1855 :

    « Je suis absolument las de la vie de gargote et d’hôtel garni ; cela me tue et m’empoisonne. Je ne sais comment j’y ai résisté. […] Ma chère mère, vous ignorez tellement ce que c’est qu’une existence de poète, que sans doute vous ne comprendrez pas grand-chose à cet argument-là ; c’est cependant là que gît ma principale frayeur ; je ne veux pas crever obscurément, je ne veux pas voir venir la vieillesse sans une vie régulière, je ne m’y résignerai jamais ; et je crois que ma personne est fort précieuse, je ne dirai pas plus précieuse que d’autres, mais suffisamment précieuse pour moi. » (C, I, 327).

    La liste des domiciles de Baudelaire est effrayante. Il déménage sans cesse ; il cherche, sans succès, à quitter sa maîtresse, Jeanne Duval, « une pauvre femme que je n’aime plus depuis longtemps que par devoir », confiait-il à sa mère dès 1848 » (C, I, 154). Il prend des résolutions qui ne sont jamais suivies d’effets, par exemple le 1er janvier 1865 :

    Mon principal devoir, mon unique même serait de te rendre heureuse. J’y pense sans cesse. Cela me serait-il jamais permis ? […] Je te promets d’abord que, cette année, tu n’auras à subir de ma part aucune demande de secours. […] Je te promets aussi qu’aucune journée de l’année ne s’écoulera sans travail. » (C, II, 432)

    #Baudelaire #travail #procrastination #misère #douleur #remède #agir #mélancolie

  • #Rwanda : les autorités françaises persistent et nient
    http://survie.org/genocide/agir-avec-nous/article/rwanda-les-autorites-francaises-4666

    Le 7 avril est la journée internationale de commémoration du #Génocide des Tutsi au Rwanda en 1994 qui fit près d’un million de morts en trois mois. Chaque année depuis 20 ans, Survie et les associations mobilisées dans la lutte pour la vérité et la #Justice autour de ce crime attendent une prise de parole des autorités françaises pour reconnaitre le rôle qu’elles ont joué durant ce génocide : une complicité multiforme (diplomatique, militaire, économique) documentée par un nombre considérable de travaux et (...)

    #Agir_avec_nous

    / Rwanda, #Complicité_de_la_France_dans_le_génocide_des_Tutsi_au_Rwanda, #Communiqués_de_presse, Génocide, Justice, Une, Secret (...)

    #Secret_défense

  • Rwanda 1994 France complice : action de Survie
    http://survie.org/genocide/agir-avec-nous/article/rwanda-1994-france-complice-action-4669

    SURVIE a lancé une vaste action de mobilisation nationale en ce weekend de commémoration des 20 ans du génocide des Tutsi au Rwanda. Dans plusieurs dizaines de villes, Rennes, Bordeaux, Bressuire, Toulouse, Chambery, Paris, etc. SURVIE a sensibilisé les passants à des questions clefs liées au rôle de la France dans le génocide. A Paris, les membres et soutiens de SURVIE se sont retrouvés à Beaubourg pour une mobilisation éclair Photos de l’action à (...)

    #Agir_avec_nous

    / Une

  • Pétition : Rwanda, 20 ans après le génocide, la France ne doit plus cacher la vérité !
    http://survie.org/genocide/agir-avec-nous/article/petition-rwanda-20-ans-apres-le-4648

    Demandez la déclassification et la publication de tous les documents se rapportant à l’action de la France au Rwanda de 1990 à 1994 dans ses volets diplomatiques, militaires, politiques, et financiers.

    #Agir_avec_nous

    / #Pétitions, #Une_campagne_Rwanda

  • « Je ne veux plus être un violeur »
    http://infokiosques.net/lire.php?id_article=1079

    Les viols et la société qui les génère ne sont pas une fatalité. On nous vend un monde où les hommes auraient des pulsions incontrôlables, où les femmes devraient attendre passivement que des hommes méritants les sollicitent. On peut venir à bout de toutes ces foutaises patriarcales. Le viol n’est pas de la sexualité, c’est une violence.

    Il faut que les viols cessent d’être « ordinaires ». Il faut que les garçons comprennent que céder n’est pas consentir. Il faut témoigner qu’on peut vivre une sexualité basée sur le désir mutuel, que jouir de sentir l’autre jouir n’a rien à voir avec une simple éjaculation. Il faut refuser d’être solidaire des agresseurs. Il faut réaliser qu’on est nombreux à avoir commis des violences.

    Je ne veux plus être un violeur. Je ne veux plus de violeurs.

  • Soutenez la campagne de Survie à l’occasion des 20 ans du génocide des Tutsi au Rwanda
    http://survie.org/qui-sommes-nous/presentation/agir-et-soutenir/article/soutenez-la-campagne-de-survie-a-l-4576

    Pour mener cette campagne, poursuivre son travail judiciaire, et pour qu’enfin en 2014 la vérité soit connue de tout-e-s et la justice avance, Survie a besoin de votre soutien financier ! Depuis 20 ans, Survie dénonce sans relâche la complicité de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda en 1994. De nombreux travaux et documents attestent de l’ampleur du soutien des autorités françaises au régime génocidaire, avant, pendant et après le génocide. Vingt ans après, l’implication française dans ce (...)

    #Agir_et_soutenir

  • Alternatives et utopies dans les jeux - Mlle Eole
    http://fenntasy.com/wanuts/ebene/index.php?2013/02/01/323-alternatives-et-utopies-dans-les-jeux
    Je m’auto-seenthis. \o/ #écologie #société

    Un petit article qui est un peu ma « foi de profession », où j’explique ce que j’ai envie de faire dans mon aventure de créatrice de jeux pour apporter mon aide à notre drôle de monde. :) #agir #jeux-video

    à presque chaque problème il y a des gens qui quelque part ont mis au point des solutions, au moins partielles, et avec le web qui relie tous ces groupes et leurs idées on se rend compte qu’il y en a parfois des complémentaires. Eh bien, c’est ça que je vais essayer de faire avec mes jeux, redonner au monde et à la vie locale des couleurs oubliées.

    Montrer un aperçu de quelque chose qu’on a du mal à imaginer alors qu’objectivement c’est en rien impossible ; transmettre des exemples, des valeurs, ou au moins un point de vue qui va amener une réflexion sur la place de l’humain dans la société actuelle. Je ne dis pas que les gens qui vont jouer à mes jeux vont être d’accord avec, mais au moins ils auront pu tester des choses et se faire une idée. Par exemple un jeu social avec une démocratie, on est acteur, on peut tester.