• Le récit d’Isabelle Attard et #Sandrine_Rousseau
    https://www.mediapart.fr/journal/france/120516/le-recit-disabelle-attard-et-sandrine-rousseau

    Vidéo accessible dans l’article. Sandrine Rousseau, porte-parole d’EELV et #Isabelle_Attard, députée du Calvados, ont livré à Mediapart des témoignages sur des faits pouvant être qualifiés d’agression et de harcèlement sexuels attribués au député de Paris #Denis_Baupin. Elles s’expliquent sur notre plateau, aux côtés de Marilyn Baldeck, de l’association contre les violences faites aux femmes au travail et des journalistes Lénaïg Bredoux (Mediapart) et Cyril Graziani (France Inter), auteurs de l’enquête.

    #France #agressions_sexuelles #harcèlement_sexuel

  • Retour sur notre enquête sur l’affaire #Denis_Baupin
    https://www.mediapart.fr/journal/france/120516/retour-sur-notre-enquete-sur-laffaire-denis-baupin

    Vidéo accessible dans l’article. #Sandrine_Rousseau, porte-parole d’EELV et #Isabelle_Attard, députée du Calvados, ont livré à Mediapart des témoignages sur des faits pouvant être qualifiés d’agression et de harcèlement sexuels attribués au député de Paris Denis Baupin. Elles s’expliquent sur notre plateau, aux côtés de Marilyn Baldeck, de l’association contre les violences faites aux femmes au travail et des journalistes Lénaïg Bredoux (Mediapart) et Cyril Graziani (France Inter), auteurs de l’enquête.

    #France #agressions_sexuelles #harcèlement_sexuel

  • Gail Dines : Ghomeshi a joué le rôle d’un allié féministe, mais en privé il était pleinement embourbé dans la culture pornographique

    https://tradfem.wordpress.com/2016/04/04/gail-dines-ghomeshi-a-joue-le-role-dun-allie-feministe-mais-en-pr

    Au Canada, #Jian_Ghomeshi, un ex-animateur de radio, passait dernièrement en procès pour deux des signalements d’agressions sexuelles et autres qui ont entraîné son renvoi de la Société Radio-Canada il y a un an et demi. Voici ce qu’en disait Gail Dines à l’époque de la divulgation des faits, en 2014.

    « Du fait d’avoir été exposée à autant d’hostilité de la part d’interviewers masculins, je me souviens bien de ceux qui se sont montrés particulièrement favorables au point de vue féministe. Un de ceux qui se démarquent ainsi par la qualité de sa réflexion est Jian Ghomeshi, ancien animateur d’une émission de radio très écoutée du réseau CBC, Q. Non seulement Ghomeshi s’était-il montré bien informé du contenu de mon livre Pornland, mais il avait aussi exprimé de l’empathie pour les femmes dont le corps est sexuellement utilisé et violenté dans les productions pornographiques, à la seule fin de divertir des hommes.

    Alors, imaginez ma stupeur quand on a commencé à apprendre que des femmes accusaient publiquement Ghomeshi de les avoir agressées sexuellement, de façons conformes aux violences mises en scène dans le monde de la porno. Qu’il s’agisse d’asphyxier ses victimes avec son pénis ou de violences verbales pendant ses agressions, le comportement de Ghomeshi cadre parfaitement avec les scènes porno standard... »

    Traduction : #Tradfem
    Original : http://www.feministcurrent.com/2014/11/07/ghomeshi-played-the-role-of-a-feminist-ally-but-in-private-he-was-f

    #Gail_Dines est professeure d’études en sociologie et en études féministes au Wheelock College de Boston. C’est une des fondatrices du mouvement Stop Porn Culture, et l’autrice de Pornland : How Porn has Hijacked our Sexuality. Son nouveau documentaire, basé sur Pornland, peut être visionné en ligne.


    #proféminisme #médias #pornographie #agressions_sexuelles #Feminist_Current

  • Fais-moi mal, Johnny

    Les femmes aiment se faire battre. C’est la conclusion qui semble s’imposer après la première semaine du procès #Ghomeshi, l’ex-animateur radio accusé d’#agressions_sexuelles. Elles aiment « l’amour qui fait boum ! », comme le dit la célèbre chanson de Boris Vian — ou la non moins célèbre Baby, hit me one more time de Britney Spears, des paroles que l’accusé et une de ses victimes, Lucy DeCoutere, ont d’ailleurs chantées ensemble peu de temps après l’incident qu’elle lui reproche.

    http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/462514/fais-moi-mal-johnny-johnny
    #culture_du_viol #viols

    • #prédateur_sexuel et interrogation sur la notion de consentement dont on nous rabâche les oreilles, notamment dans un but d’encadrement juridique. Ok, mais ne serait-ce pas une vision des choses qui s’adresse toujours et encore aux hommes, même dans l’idée d’éduquer les hommes violents et sexistes et qui se retourne maintenant contre les victimes : puisqu’elle a consenti je peux lui écraser la tête contre le mur ? Mais on voit encore ici que même avec consentement il peut y avoir destruction par manipulation, même avec consentement il peut y avoir viol.

      L’essentiel, c’est que Ghomeshi a un long parcours d’agressions contre les femmes qu’il fréquentait. Jetées contre un mur, assaillies de coups de poing violents à la tête, étouffées au point de ne plus respirer, ce schème de violence — où la sexualité brille par son absence, soit dit en passant — s’est répété auprès d’au moins 23 femmes au cours des 13 dernières années, dont seulement 4 ont daigné porter plainte.

    • Viol avec consentement n’est pas Consentement avec viol.
      Je ne parle pas du juridique (il faudra bien pourtant) mais de sentiment, du sentiment d’avoir été ou d’être asservie sexuellement à l’autre, abusée. Quitte à laisser tomber un des deux mots et à expliciter mieux les choses, dans ce cas, parlons de trauma sexuel, parce que c’est aussi de cela dont il s’agit, de l’après, qui n’est pas forcément de l’ordre du rationnel.

  • Meghan Murphy : Toute femme qui a été violentée ou agressée sait combien facilement on retourne auprès d’un agresseur

    https://tradfem.wordpress.com/2016/02/12/meghan-murphy-toute-femme-qui-a-ete-violentee-ou-agressee-sait-co

    Comme on pouvait s’y attendre, le procès pour assaut sexuel de l’ex-animateur radio-canadien Jian Ghomeshi a beaucoup plus mis l’accent sur ce que les victimes ont fait de « mal » que sur le comportement de leur agresseur. [...]

    Il se peut que, pour des personnes qui n’ont jamais été agressées ou maltraitées, ces comportements puissent d’une certaine façon sembler contradictoires ou suspects, en délégitimant les propos des victimes. Et il est possible que les gens qui ont eu la chance énorme de ne jamais avoir vécu une relation abusive n’arrivent pas à comprendre ce que les féministes répètent depuis toujours : ce que fait une femme après une agression n’a aucune importance. Le comportement d’une femme n’annule jamais la violence d’un homme à son égard. [...]

    Le journaliste Jesse Brown a détaillé la façon dont Ghomeshi semblait choisir délibérément ses méthodes de communication avec les femmes, s’assurant d’enregistrer certains échanges très particuliers, et non d’autres conversations. Il manipulait ses victimes exactement comme le font beaucoup d’autres hommes violents, se livrant pratiquement à des chantages après coup, en disant à une victime, interviewée par Brown : « J’ai des messages écrits… tu le VOULAIS… » Il alternait pressions et consolations, testant le terrain, s’assurant, toujours, de présenter des violences planifiées comme une simple expérimentation destinée à repousser des limites : du sadomasochisme, en somme, plutôt que de la violence. Il laissait entendre à ses victimes qu’elles avaient ces défauts que les femmes sont habituées à se faire reprocher lorsqu’elles essaient d’imposer des limites à la violence sexualisée des hommes. Il le faisait dans un discours à peine voilé, où l’on pouvait lire facilement des accusations de « pruderie » ou de « ringardise », pour les forcer à plier. Brown écrit : « Il leur a dit ‘qu’expérimenter’ était une attitude saine et les a raillées et mises au défi, leur disant qu’elles n’étaient sans doute ‘pas prêtes’ à un gars comme lui. »

    Article original : http://www.feministcurrent.com/2016/02/08/any-woman-whos-been-abused-or-assaulted-know-how-easy-it-is-to-go-b

    #Meghan_Murphy est écrivaine et journaliste indépendante, secrétaire de rédaction du soir pour le site rabble.ca, et fondatrice et directrice du site Feminist Current. Vous pouvez la suivre sur Twitter : https://twitter.com/MeghanEMurphy

    #Jian_Ghomeshi #procès #agressions_sexuelles #Feminist_Current #tradfem

  • Meghan Murphy : Une longue liste de musiciens masculins super qui n’étaient pas des gens super

    https://tradfem.wordpress.com/2016/01/26/meghan-murphy-une-longue-liste-de-musiciens-masculins-super-qui-n

    Les stars du rock ne sont pas des dieux. Et lorsque que votre comédien, réalisateur, ou musicien préféré, s’avère être un violeur ou un conjoint violent, essayez de ne pas laisser votre admiration brouiller cette réalité. [...]

    Lori Mattix a dit à la revue Thrillist, qu’au début des années 70, « [David Bowie] m’a conduite jusqu’à la chambre, a retiré doucement mes vêtements et m’a dépucelée » . Elle a continué :

    « Deux heures plus tard, je suis allée voir comment allait Sable. Elle était dans le salon complètement défoncée, elle tournait en rond, faisait de la buée sur les vitres et écrivait « Je veux baiser David ». J’ai dit [à Bowie] ce qu’elle faisait et que je me sentais très mal. Bowie a répondu « Et bien chérie, fais-la entrer ». Cette nuit là j’ai perdu ma virginité et fait mon premier plan à trois. Le matin suivant, quelqu’un tambourinait à la porte et c’était cette conne d’Angie [l’épouse de Bowie]. »

    C’est arrivé lorsque Mattix avait 13 ou 14 ans (certaines sources pensent qu’elle en avait 15, mais dans un documentaire elle indique que cela s’est passé avant qu’elle ne soit avec Jimmy Page, à 13 ou 14 ans). Celui-ci a aussi été accusé de viol en 1987.

    Traduction : Tradfem
    Article original : http://www.feministcurrent.com/2016/01/13/here-is-a-list-of-men-who-made-great-but-music-were-not-always-grea

    #Meghan_Murphy est écrivaine et journaliste indépendante, secrétaire de rédaction du soir pour le site rabble.ca, et fondatrice et directrice du site Feminist Current. Vous pouvez la suivre sur Twitter : https://twitter.com/MeghanEMurphy

    #David_Bowie #viols #agressions_sexuelles #rockstar #groupies #Feminist_Current #tradfem

  • Cologne : un vieux parfum de #racisme
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/cologne-un-vieux-parfum-de-racisme-1888959776

    Vous souvenez-vous de l’édition 2012 du célèbre festival de la bière allemand lorsqu’une femme a été violée le premier jour et 91 autres ont été agressées sexuellement par les festivaliers ?

    Probablement pas, l’information est à peine parue dans les journaux locaux à l’époque. Plus de deux semaines après les événements de la Saint-Sylvestre à Cologne en Allemagne, lorsque 30 hommes qui seraient d’origine arabe ont été accusés d’avoir agressé sexuellement des dizaines de femmes présentes, l’histoire ne se calme pas.

    #viol #agressions

  • Meghan Murphy : Il est grand temps d’envisager un couvre-feu pour les hommes

    https://tradfem.wordpress.com/2016/01/21/meghan-murphy-il-est-grand-temps-denvisager-un-couvre-feu-pour-le

    Même s’il est vrai que les hommes sont aussi violents durant le jour, et même si, bien sûr, un couvre-feu ne réglerait pas le problème du patriarcat et de la violence masculine envers les femmes, cette suggestion interpelle, en un sens, le problème des droits et privilèges masculins. Même si j’ai plutôt lancé cette suggestion en blague, plus je songe à l’idée d’un couvre-feu pour les hommes, plus elle me semble raisonnable. Pourquoi permettrait-on aux hommes de circuler librement dans ce monde, alors qu’ils ont démontré encore et encore qu’ils ne peuvent pas – ne veulent pas – laisser les femmes tranquilles, cesser de les harceler, les violer, les droguer, les traquer, les siffler comme si elles étaient des chiens, les tripoter et s’exhiber devant elles ? Ce sont nous, les femmes, qui souffrons et vivons dans la crainte.

    Traduction française : Tradfem
    Article original : http://www.feministcurrent.com/2016/01/07/its-time-to-consider-a-curfew-for-men

    #Meghan_Murphy est écrivaine et journaliste indépendante, secrétaire de rédaction du soir pour le site rabble.ca, et fondatrice et directrice du site Feminist Current. Vous pouvez la suivre sur Twitter : https://twitter.com/MeghanEMurphy

    #couvre-feu #agressions_sexuelles #Cologne #révolution_féministe #Feminist_Current #tradfem

  • Razzia gegen nordafrikanische Diebe : „Unverschämt und respektlos“ | Frankfurter Neue Presse
    http://www.fnp.de/nachrichten/politik/Unverschaemt-und-respektlos;art673,1804735
    Qui sont les agresseurs du Nouvel an et que fait la police

    Les réfugiés n’ont rien à faire avec les agresseurs ciminels, il s’agit d’un réseau de criminels qui vivent dans un monde apart avec des structures qui ressemblent à celles des clans familiaux. La police parle de nomades modernes qui voyagent parfois parmi les réfugiés mais n’ont pas grand chose en commun avec eux sauf l’origine maghrégine.

    Haupttatort der nordafrikanischen Szene ist meist die Düsseldorfer Altstadt. In der drangvollen Enge des Vergnügungsviertels an Wochenenden seien häufig beschwipste Personen das „ideale Opfer“, berichtet Kubicki. Tanzend („Antänzer“) oder dribbelnd („Ronaldo-Trick“) näherten sich die Täter im Slapstick und zögen Altstadt-Besuchern Smartphones oder Geldbörsen aus ihrer Tasche. Nach der immer gleichen Masche.

    Ein Drittel der überführten Nordafrikaner gab an, in Düsseldorf wohnhaft zu sein. Die restlichen Täter reisten zu den Beutezügen aus dem Umland an, häufig wohnten sie in Flüchtlingsunterkünften. Treffpunkt ist nach den Erkenntnissen der Polizei die bunte Lokalszene im Maghreb-Viertel. „Dort strukturieren sie sich und treten in wechselnder Beteiligung auf“, sagte Kubicki. „Wir haben da schon die richtigen Leute im Fokus.“ Nach den Feststellungen des Ermittlungsprojekts „Casablanca“ sind die beiden Marokkaner Khalid N., 28, und Taoufik M., 33, als Drahtzieher verdächtig. Die Beamten gehen davon aus, dass N. und M. unter jungen Flüchtlingen Nachwuchs für ihre kriminellen Machenschaften rekrutieren. Dies geschieht womöglich auch über soziale Medien. Als Meldeadresse haben die beiden Hauptverdächtigen ein Düsseldorfer Asylbewerberheim angegeben. Ob die beiden dort wirklich auch leben, gilt aber nicht als gesichert.

    Juristisch umstritten ist derzeit, ob die Nordafrikaner im Sinne des Gesetzes eine „kriminelle Bande“ bilden. Nach Einschätzung von Kriminaldirektor Kubicki spricht vieles dafür. „Wir haben es in dieser Szene ganz klar mit Rädelsführern und Clanchefs zu tun.“

    Doch der letzte strafrechtliche Nachweis sei seinen Fahndern bisher nicht gelungen. Solange es keine hieb- und stichfesten Beweise für organisierte Kriminalität gibt, bleibt den Ermittlern aber die Telefonüberwachung der nordafrikanischen Antänzer-Szene verwehrt. Womöglich müsste im Falle nachgewiesener Bandenkriminalität auch das Landeskriminalamt (LKA) die Ermittlungen übernehmen. Die jüngste Großrazzia im Düsseldorfer Bahnhofsviertel zielte vor allem darauf ab, Strukturen im Milieu abzuklären. „Dabei wollten wir schauen, wer da mit wem zusammensitzt und gemeinsam agiert“, sagt Kubicki. „Wir müssen auch dahin, wo die Täter sich aufhalten, vermeintlich sicher fühlen, ihre Taten verabreden und die gemachte Beute absetzen.“

    Für besorgniserregend hält der Düsseldorfer Kriminaldirektor vor allem die zunehmende Gewalttätigkeit in der Taschendieb-Szene. Bei ihren Übergriffen stünden die Täter häufig unter Alkohol- und Drogeneinfluss. Opfer würden genauso aggressiv angegriffen wie Polizeibeamte. „Die Gruppe erscheint insgesamt unverschämt und respektlos“, schreibt eine Kriminalbeamtin.

    Auch die Kölner Polizei hat in der Taschendieb-Szene etwa 1800 Personen aus Nordafrika im Visier. Bei ihren Raubzügen seien die Täter oftmals mit Messern und Totschlägern bewaffnete, berichtet der Kölner Chefermittler Günther Korn. „Fast keiner ist nüchtern, wenn er auf Raubzug geht.“ Damit sie länger auf der Straße durchhielten, nähmen die Täter Drogen und spezielle Betäubungstabletten. Dies mache sie besonders aggressiv. Polizisten müssten immer wieder Gewalt anwenden, um diese Täter bei der Festnahme „zu bändigen, damit sie nicht entwischen“.
    „Polizeiresistent“

    Die Täter sind offenkundig polizeiresistent. „Eine zwischenzeitliche Festnahme nach Diebstahldelikt bewirkt offenbar kein Umdenken“, heißt es in dem „Casablanca“-Bericht. Nur wenig später seien die Festgenommenen schon wieder in den Vergnügungsvierteln der Düsseldorfer Altstadt oder an den Kölner Ringen als Straftäter in Erscheinung getreten.

    Bei dieser Klientel handele es sich um „moderne Nomaden“, sagt Rechtsanwalt Ingo Lindemann, der einen Tatverdächtigen der Kölner Silvesternacht wegen Diebstahls verteidigt. „Sie sind keine Kriegsflüchtlinge, sondern große Straßenkinder, die mit dem Flüchtlingsstrom durch Europa ziehen.“ NRW-Innenminister Ralf Jäger (SPD) erklärte in der jüngsten Sitzung des Innenausschusses, nordafrikanische Familien schickten immer häufiger ihren ältesten und leistungsstärksten Sohn nach Europa, um dort Geld zu verdienen. Die von den Familien vorfinanzierten Reisen würden in der Regel über Schleuserbanden organisiert.

    #Allemagne #immigration #police #criminalité

  • Merkel tente de surmonter la crise provoquée par les agressions de #Cologne
    https://www.mediapart.fr/journal/international/100116/merkel-tente-de-surmonter-la-crise-provoquee-par-les-agressions-de-cologne

    La nuit du Nouvel An, des groupes d’individus alcoolisés s’en sont pris aux femmes qu’ils croisaient. Au total, 379 plaintes pour agression, dont 40 % d’agressions sexuelles, ont été déposées. 32 suspects ont été identifiés. Parmi eux figurent 22 réfugiés. Samedi, une manifestation de l’extrême droite a dégénéré. #Angela_Merkel annonce que les réfugiés condamnés seront expulsés.

    #International #agressions_sexuelles #Allemagne #migrants #Pegida #racisme #viols

  • TW : violences sexuelles, victim blaming







    Donc je résume :
    Agressions massives de femmes durant les festivités du nouvel an à Cologne.
    Plus de 60 femmes attaquées, volées et un quart sexuellement attouchées. Une aurait été violée. .
    Que propose la maire de Cologne ?
    Des conseils aux femmes pour ne pas être agressées avec entre autre le fait de se tenir à un bras d’agresseur potentiel,ne pas se séparer surtout quand on fait la fête.

    Madame Henriette Reker,
    Connaissez vous les statistiques des violences faîte aux femmes ?
    Je suppose qu’elles ne doivent pas être très différentes en France et en Allemagne.
    Savez vous que la plupart des violences sont commises par des proches ?
    Personnellement ,pas cette année mais les précédentes, j’ai subi des attouchements de mon oncle (blanc) chez ma grand mère pour le réveillon de Noël : dîtes moi ce que j’aurais du faire pour me protéger.

    Savez vous que l’arme la plus efficace contre le viol est encore d’apprendre aux violeurs de ne pas violer mais certainement pas aux potentielles victimes d’apprendre à se protéger même si ça peut rassurer certaines ?

    Soutien aux victimes et à tous ceux qui subiront les contre coups à savoir les racisés car d’après les témoins et les déclarations de la police, la plupart des agresseurs l’étaient .
    http://rue89.nouvelobs.com/2016/01/06/les-curieux-conseils-maire-cologne-eviter-les-viols-262730
    . #victimblaming #culture_du_viol #racisme #sexisme #cologne #Köln #eineArmlänge #Henriette_Reker #Allemagne #Deutschland #Cologne #violences_sexuelles #agression #agressions_sexuelles

    • Bizarre cette histoire !

      Des faits survenus en plein centre sur une grande place très fréquentée au pied de la cathédrale.
      Une police en état d’alerte, mobilisée comme en France, et elle était là.
      La police a reconnu avoir peu avant les agressions fait évacuer cette place du fait de tirs dangereux de feux d’artifice.
      http://www.rtbf.be/info/monde/detail_allemagne-le-gouvernement-critique-la-police-apres-les-agressions-de-col

      Un peu comme la Fusillade sur le Maïdan (2014) en Ukraine.
      Ca sent le coup monté à plein nez !
      Beaucoup d’intérêts sont en jeux.
      Par qui ?
      Pourquoi ? Pour que cela passe en boucle dans les médias officiels.

      Je ne conteste aucunement les viols, tout comme ces morts en Ukraine qui ont permis de liquider un gouvernement élu et de plonger ce pays dans la guerre civile

    • Quelques articles en plus référencés ici...
      http://seen.li/9kea

      –-> v. aussi comment la télévisions Suisse italienne a rapporté la nouvelle... en faisant un amalgame entre flux de réfugiés et ces agressions...

      Le chef de la police de Cologne dit dans l’interview que les quelques 1000-1500 agresseurs étaient « clairement très bourrés »

  • « La frontière entre la #drague et le #harcèlement, c’est le #consentement »

    Pascale Boistard, secrétaire d’Etat aux Droits des #femmes, présentait ce matin la nouvelle campagne nationale contre le harcèlement sexiste et les agressions sexuelles dans les transports.


    http://www.liberation.fr/france/2015/11/09/la-frontiere-entre-la-drague-et-le-harcelement-c-est-le-consentement_1412
    #sexisme #agressions_sexuelles #transports_en_commun

    • Hier j’entendais ébahi ce nouveau message sécuritaire dans les transports qui s’ajoute au « signalez nous tout comportement ou paquet suspect ». La rengaine « on veille sur vous », en v’là du #harcèlement et cette fois il est paritaire.
      #surveillance

      Comme dit Valls _"Oui, l’autorité est par définition émancipatrice , libératrice. Car sans #sécurité, sans ordre républicain, sans règles, sans règles justes qui s’appliquent à tous, les individus – et d’abord les plus fragiles, les plus modestes [re sic] – sont toujours soumis à la loi du plus fort_ .

      http://seenthis.net/messages/425760

    • « Hey mademoiselle ! » : faut-il incriminer le harcèlement de rue ?

      La pudibonderie et l’intolérance auraient-elles envahi l’espace public ? La question peut sembler saugrenue en ces temps où les revendications autour d’une sexualité épanouie fleurissent, où il est possible « d’adopter un mec », de choisir ses partenaires grâce à une application mobile, ou bien encore de s’inscrire sur un site permettant de pratiquer sereinement l’adultère. La sexualité est partout : dans la rue, au cinéma, dans les écoles. Pourtant, l’impression d’un paradoxe peut poindre : cette valorisation croissante de la sexualité s’accompagne d’une opposition de plus en plus importante à la considération du corps des femmes comme un simple objet sexuel. Les débats récurrents autour de la publicité louant les femmes-objets, contre l’image de mannequins trop maigres[2] ou la sexualisation des enfants[3] en sont une illustration, comme pourraient l’être les mobilisations autour de la question dite du « harcèlement de rue »[4].

      http://sinelege.hypotheses.org/3123

  • On a demandé aux marques et magazines français pourquoi ils collaborent avec Terry Richardson - BuzzFeed News
    http://www.buzzfeed.com/assmamaad/on-a-demande-aux-marques-et-magazines-francais-pourquoi-ils

    Adoubé par le monde de la mode, le photographe Terry Richardson est régulièrement accusé d’abuser des femmes avec lesquelles il travaille. On a interrogé les marques et médias français qui travaillent avec lui.

    #Terry_Richardson #mode #publicité #agressions_sexuelles

    • #culture_du_viol #omerta
      Ce qui reviens le plus c’est qu’en fait les agressions sexuelles c’est du glamour. Un peu de culot rien de plus. On assume d’enrichir un agresseur sexuel et un maître chanteur. Belle complicité. En fait « le talent » dans ce milieu c’est être un gros dégueulasse et montrer sa dégeulasserie pour faire vendre des trucs dégueulasses a des personnes qu’on traite dégeulassement.
      #la_gerbe

  • Une bonne illustration du trending syndrome de l’imposteur
    – ce post a été rédigé sans aucune recherche approfondie de ce qu’est le syndrome de l’imposteur. Ce post est aussi très mal écrit, c’est du tout venant, je ferai un truc plus propre quand mon cerveau dira d’accord -

    Il est 01:46 et mon réveille sonne dans cinq heures. Jusqu’ici pas de panique, j’aime le café et il me le rend bien. Je viens seulement de passer une sale journée en tête à tête avec ma soudaine lucidité sur une partie de moi-même.
    En gros, j’avais une échéance pour rendre un papier pour une conférence fin Août (dans un lieu OUF) à laquelle je voulais présenter mon projet de thèse (mais pas publier par la suite). Ça faisait 4 mois que je bossais sur mon sujet, mais 4 mois où j’ai aussi postulé pour une CIFRE (accord pour une thèse pro), changé d’habilitation de thèse, déménagé à Paris... La vie quotidienne de tout le monde est remplie de galères, je sais bien, et mes sus-nommées aventures ne sont même pas des galères. OUI MAIS.
    Ce papier je ne l’ai pas écrit. Pas un mot du tout. Au moment de l’échéance, j’ai demandé un délai et je l’ai obtenu, et c’est demain. Et je n’ai toujours rien écrit. Je vois mon DR (directeur de recherche) demain, dans mon entreprise, et je vais devoir affronter sa déception et son incompréhension et surtout la panique d’avoir une doctorante comme moi. Voilà comment je l’anticipe en tout cas.
    Et alors ? Et bien, je l’ai cherché. Je crois que je me suis auto-mise dans le bousin.
    Tout simplement, je pense que j’en suis arrivée là où je suis par pur hold-up. J’ai berné tout le monde, ou alors tout le monde sait que je suis nulle et essaie de se débarrasser de moi je ne sais pas. Je ne dis pas que ma situation actuelle ferait multiples envieux, mais quand même, je m’estime très privilégiée. Et je ne mérite rien de ce qui m’arrive, sérieusement. Je ne pense pas me dévaloriser, je pense être lucide. Je suis relativement cynique, mais surtout je crois être lucide. Je rationalise beaucoup de choses, « j’intellectualise » beaucoup de choses (je ne suis pas hyper à l’aise avec « intellectualiser » comme mot, ça sonne très prétentieux, mais disons « réfléchir beaucoup trop sur n’importe quel sujet »). En plus de ça, je développe depuis quelques temps de très grosses angoisses. La dernière en date, alors que je n’avais jamais eu de problème avec ça, j’ai pleuré au décollage de l’avion qui m’emmenait en vacances il y a quelques jours. J’ai pleuré de panique. Et c’est comme ça pour tout maintenant, je suis devenue une super angoissée.

    Bon c’est très décousu, mais là je suis un peu en plein milieu de l’étape « déni » de ma nuit. Et d’ailleurs, paradoxalement à mon angoisse, je vais aller me coucher sans avoir écrit un mot. Et quand je vais commencer à m’endormir, je vais être reprise d’angoisse, et ne plus fermer l’œil.

    Je suis fatiguée, et je ne sais pas quoi faire pour me « soigner » parce que finalement, les trois années qui vont suivre vont nécessiter que ce souci soit réglé. Pas tant les angoisses, qui ne me posent pas de problèmes professionnellement parlant. Mais surtout la manifestation de ce « syndrome » dans mon comportement : l’immobilisme. Je panique, et plutôt que de bosser deux fois plus dur, je m’arrête.
    C’est marrant, j’apprends à conduire en ce moment. Même réaction, dangereuse, quand je fais une bêtise, quand dans un croisement je sens que je vais pas gérer la présence d’autres bagnoles, je m’arrête net. Je lâche tout.

    Mais demain,ça va être un joli carambolage et je vais autant être responsable que victime.

    • Il me semblait avoir compris le concept de l’imposteur comme un sentiment que l’on est soi-même un imposteur, dont la situation n’est qu’une suite de chances et de hold-ups. Je dois définitivement me renseigner. Mais je doute que tous les syndromes d’imposteur, les sentiments d’illégitimité etc soient « soignables » collectivement. Les racines sont peut-être trop individuelles (contexte, éducation, personnalité etc) ? Par le même temps, les mécanismes sont assez généraux, et le sentiment se fait sentir chez de plus en plus de personnes, alors il y a peut-être un élément d’influence extérieur ? Aucune idée.

    • Je connais vachement bien : http://blog.monolecte.fr/post/2010/08/22/le-complexe-du-fumiste

      C’est nourri de tas de choses : les ambitions démesurées des parents et notre refus inconscient de les dépasser ; la glorification de la perfection et l’inévitable incapacité à y accéder ; la peur atroce de l’échec dans un monde qui peut te laisser crever au premier faux pas.

      Vieillir est cool. On apprend à se planter sans se saborder (ce que tu fais avec une belle constance) et à se relever tranquillou et continuer de ramer dans le sens qu’on préfère. On apprend aussi qu’on a tendance à saborder ce qui relève de faux choix, c’est à dire des trucs dont on s’est persuadé que c’était cool alors qu’en fait ça nous fait gravement gerber en dedans. Quand on sent la paralysie monter, on s’interroge sur les vraies motivations, rapidement, et si le diagnostic est bon, soit on plie vite fait le merdier (mais si, on arrive très bien à réussir en rendant un truc bâclé, c’est affligeant, mais c’est comme ça !), soit on se désengage si c’est possible.

      On arrête de vouloir rendre le truc parfait du premier coup. Et même au deuxième. On rend un truc et on n’attend pas l’avis de l’autre comme le jugement dernier. Souvent, de manière étonnante, l’autre est content. Ben, on prend. On ne trouve pas ça top, on ferme quand même notre gueule et on prend la satisfaction du commanditaire comme elle vient. Et on ferme sa gueule. On ne dit pas qu’on pourrait faire mieux. Si l’autre ne le demande pas, il n’y a pas de nécessité à de revenir dessus, on passe à la suite, en se disant que de toute manière, on fera mieux.

      Si l’autre n’est pas satisfait, ça ne veut pas dire que tu es une sous-merde et que tu dois te jeter dans les chiottes avec une pierre autour du cou. Ça ne veut pas dire que tu ne fais pas l’affaire. Ça veut juste dire qu’il avait d’autres attentes. Donc tu ne te flagelles pas publiquement et tu demandes avec calme et assurance comment il voit les choses, ce qu’il attend, vers quoi tu dois plutôt tendre. Tu écoutes bien et tu fais. Si vraiment il demande un truc nul (si, si, ça arrive !), tu peux éventuellement faire remarquer qu’il serait peut-être plus judicieux de faire un autre choix. S’il t’écoute, tant mieux, s’il s’entête, pas grave. Tu feras un truc moins bien qui le rendra content et le monde va continuer à tourner. Et si tu es félicitée pour une bouse, tu le prends avec le sourire et tu remercies. Parce que voilà, ça ressemble à ça, la vraie vie. Tu tentes d’aller vers le meilleur en sachant que c’est juste une tendance, une quête et pas une finalité et que ce qui compte, c’est qu’au final, tout le monde est content.

      Après, @maudelibellule est de bon conseil sur les méthodes de travail des gens comme nous. On voit direct la montagne. Forcément, ça coupe les pattes.
      La rando, c’est pareil : quand tu vois d’en bas le tout petit truc que tu dois attendre avec tes petites pattes, tu as juste envie de retourner pleurer dans la bagnole.

      Mais non. Ton plan, c’est juste d’aller jusqu’à la moraine suivante pour voir si le paysage est encore plus beau. Tu prends ton temps. Tu profites de l’instant. Tu rigoles avec les copains. Tu évites de te faire mal. Tu fais la sieste quand tu es fatiguée. Et au bout d’un moment, t’es en haut. T’as mal partout, t’es cramée, mais ce putain de paysage, tu l’as mérité et tu en profites à fond.

      Pour le boulot, c’est pareil.

      Si je n’ai pas d’angle d’attaque, je compile les sources. Si je n’ai pas l’intro, ben j’écris un bout d’autre chose, d’une fulgurance que je viens d’avoir. Que je vais creuser. Si c’est mal écrit, je continue quand même, je reviendrai dessus plus tard. Et je monte le truc par petits bouts, sans préjuger du résultat final. Et du coup, ça progresse.

      Il y a des outils qui mesurent le boulot que tu fais, même pour 10 minutes. Si ça t’aide... à la fin de la semaine, tu vois que, finalement, tu as fais des trucs.

      Même les trucs ratés, je les garde dans un coin. Des fois, je retombe dessus 6 ou 10 ans plus tard et je ne les trouve plus aussi ratés, ou ils me font un bon début pour autre chose.

      Au final, tu avances tranquillement. Tu découvres que tu n’es pas aussi géniale que tu voudrais l’être, mais que ce n’est pas si grave et que tu es finalement beaucoup mieux que tu ne le crois. Tu apprends aussi à relativiser les jugements des autres... ainsi que les tiens. Et c’est très « soulageant ».
      Bref, tu fais la paix avec toi-même et, forcément, ça va mieux.

      Sinon, je me suis encore sabordée il y a 3 ans. Une conjoncture d’évènements assez négatifs. Au début, je me suis repliée comme d’hab’... et puis, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allée voir le client pour lui dire en face que je ramais comme une galérienne et qu’il n’était pas tombé sur la meilleure période de ma vie (en fait, la seule fois où j’ai dû prendre des anxiolytiques). Le gars m’a regardée dans le blanc de l’œil. On avait explosé tous les délais. Il m’a dit que ça arrivait à tout le monde, mais qu’il fallait finir le job. Il m’a donné des conseils pratiques et une avance sur mes honoraires pour m’engager. Je savais que j’étais grillée pour sa boite, mais fallait finir. Alors, j’ai fini le job en bossant comme une malade.

      Depuis, on n’a jamais repris contact, mais curieusement, je suis allée beaucoup mieux en admettant que je pouvais vraiment me ramasser comme une merde et quand même y arriver à la fin.

      Depuis, je fais les boulots plus sereinement. J’essaie de mieux m’organiser et d’avancer dans la bonne direction avec régularité. Je fais de la course de fond, en somme.

    • Tu parles de celui-là, @mad_meg : http://blog.monolecte.fr/post/2010/11/25/La-pedagogie-du-coup-de-pied-dans-les-couilles ?

      Parce que plus le temps passe et plus je suis effarée de constater qu’on continue à ne pas éduquer les garçons à ne pas commettre d’agressions sexuelles, à ne parler qu’aux femmes de se protéger des viols (complètement con !) et à ne pas apprendre aux petites filles à se défendre en cas d’agression.

    • Ben, je tombe un peu sur le cul, j’apprends cette affaire deux ans après, je n’ai rien vu et rien entendu. La question que je me pose, c’est si nous n’aurions pas du prendre cette affaire en charge collectivement puisque @mad_meg en a parlé à ce moment là. Sur @seenthis nous évoquons et débattons souvent des #agressions_sexuelles et de #sexisme, ça doit se poursuivre dans la vraie vie et nous aurions dû tous rebondir ensemble et avoir ce débat en live. Non ? Et je comprends bien ce mal être quand tu dois contenir toute ta colère et ta souffrance des années sans parvenir à l’exprimer.

    • Je n’ai pas de solution toute prête. J’ai enseigné à ma fille à ne pas avoir honte d’elle-même, ni de son corps, ni de ses pensées. Je lui ai enseigné à penser par elle-même et à faire ses propres choix.
      Déjà, rien que ça, c’est bien. Elle n’a pas de ces comportements pudibonds à la con qu’on inculque aux jeunes filles. Et face aux harceleurs, je lui ai appris la stratégie Ender : ce sont toujours les faibles qui subissent la violence. Les violents cherchent les faibles (surtout ceux qu’on a éduqués comme tels) parce que cela n’a pas de cout pour eux d’exercer leur domination. Donc, quand un plus fort (ou supposé comme tel) s’en prend à toi, c’est qu’il n’est pas aussi fort qu’il le croit et qu’il s’attend à ne trouver aucune résistance.

      La stratégie Ender, c’est frapper très fort, très vite et sans merci. Pour que la domination ait un cout exorbitant dès le départ. Bien sûr, cela implique que c’est le faible qui sera puni pour son attaque préventive. Parce que notre société tolère très mal les faibles qui se défendent très fort.
      Mais cela signifie que dans 90% des cas, la victoire est totale et le faible plus jamais emmerdé. C’est aussi la loi de la taule.

      Donc, l’autre jour, une petite bande de cons s’en est pris sans préavis au groupe de ma fille. Ils ont commencé par jeter le cartable du premier par terre et à piétiner ses affaires. Puis ils sont allés vers la fille suivante pour lui tirer les cheveux. Ils n’ont pas eu le temps d’arriver à ma fille : elle a immédiatement tapé de toutes ses forces dans le tibia du plus proche d’elle. Qui a eu très mal et a été très surpris.
      Du coup, ils se sont tous barrés.

      Bien sûr, je lui ai expliqué que le recours à la violence est problématique et ne doit être envisagé que comme recours ultime face à une violence injustifiée. Pas un mode de gestion des conflits interpersonnels qui doivent être gérés par le dialogue et la négociation avant tout.

      Je sais que la plupart des gens désapprouvent ce qu’est ma fille. D’un autre côté, elle a tendance à faire fuir les harceleurs rien qu’en étant là. Donc on emmerde les gens qui éduquent leurs filles à être des bonniches et des victimes toute leur vie.

    • L’autre truc, c’est qu’en effet, les harceleurs ont l’habitude de s’en sortir à tous les coups. Ils jouissent d’une quasi-impunité et du silence honteux de leurs victimes (et de la complicité passive du reste de la société).

      Quand les harceleurs sont exposés sur la place publique, forcément, ils trouvent ça nettement moins drôle et confortable.

      C’est pour cela que je suis à 100% avec @mad_meg : toutes ces merdasses sont comme les vampires, ils craignent la lumière plus que tout !

    • S’il vous plaît, @speciale merci de sortir de cette discussion. Votre anonymat vous y protège suffisamment d’ailleurs.

      @mad_meg tout mon soutien.

      Merci à tous pour vos conseils, que je vais lire et relire attentivement (voire même de ce pas recopier sur un papier), en doutant toutefois à une solution miracle, en revanche le processus évolutif comme conseillé notamment par @intempestive et @monolecte et merci pour les encouragements. Je vais pousser du côté de l’auto-sabotage, le nom semble déjà correspondre à ma réaction à ces angoisses. Par ailleurs, @intempestive je suis plutôt d’accord avec le fait que ce soit une maladie collective en ce que les personnes très sûres d’elles et sur-entraînées à la performance sont très impressionnantes pour moi, alors que finalement elles ne sont qu’accomplir les comportements vers lesquels la société du travail nous dirige.

    • @speciale : tu as donné ta version publiquement, tu ne crois pas que c’est suffisant ? Pourquoi insistes-tu pour que l’Autre se rétracte, fasse amende honorable, te rétablisse dans ton honneur ?
      C’est quoi le souci ? Il est entre toi et elle ? Ou entre toi et les autres ? Je pensais que c’était entre toi et les autres, dans la mesure où tu te sentais sali à tort. Et si ce n’est qu’entre toi et les autres, après tout, si elle ne souhaite plus te fréquenter d’aucune façon, pourquoi insister pour lui imposer, ici aussi, encore, ta présence ? A part pour faire le contraire de ce que tu dis ?

    • Tu ne devais pas te douter de ce que tu allais déclencher ici en postant il y a deux jours, @oblomov. Mais je pense que c’est globalement salvateur pour tou⋅te⋅s les participant⋅e⋅s ici, y compris les plus rétifs. La merde, quelle qu’elle soit, ne doit pas rester sous le tapis sous peine d’empester bien fort et bien longtemps.

      Cela fait longtemps que je me bats avec mon complexe du fumiste. Cela vient de mes origines prolotes que des études supérieures n’ont pas réussies à transcender. De mon statut de femme « de tête » dans un monde où, comme le rappelle à point nommé @mad_meg, nous sommes illégitimes dès que nous sortons de notre schéma de dominées. De mon manque d’assurance chronique, même si j’ai appris à me méfier des esbrouffeurs dont l’assurance érigée en qualité par le système ne dissimule pas la profonde vacuité.

      Je ne sais pas si tout cela va t’aider à faire la paix avec toi-même et à réussir à dépasser ou contourner l’obstacle, mais comme tu le vois, nous sommes une communauté agitée et agissante et on peut beaucoup y apprendre et y progresser... si l’on veut bien s’en donner la peine.

      Déjà, on aimerait bien savoir si tu as réussi à parler avec ton directeur de recherche.
      Tiens-nous au jus.

    • Et effectivement j’ai vu mon DR et ça s’est d’ailleurs bien passé. Il m’a signifié que c’était un coup de mou typique de doctorants (sans me convaincre ça me soulage qu’il n’ait pas eu l’air « déçu »). Mais il m’a demandé d’écrire le papier quand même. Malheureusement cette échéance coïncide avec la présence de ma petite soeur venue de Lyon pour me voir. Je ne travaille pas mais je ne profite pas non plus. Je vous ecrirai plus en détails plus tard mais je viens de renverser du café sur mon ordi (acte manqué ? :) ) et il foire complètement maintenant, je reviendrai dès qu’il remarchera comme il faut pendant que je me coupe un peu, malgré l’échéance. Merci pour tous vos messages !

    • Je pense pas qu’il y ait eu un acharnement collectif sur @speciale, c’était plutôt un soutien collectif à @mad_meg ce qui est quand même différent. Ensuite il me semble que les tentatives de nuanciation qui sont arrivées dans un deuxième temps ont été prises par @speciale comme un désaveux des accusations/critiques énoncées précédemment. (J’ai son dernier message si ça intéresse)

    • Tout pareil que @nicolasm. J’ai trouvé au contraire qu’on était très très (très) loin de la lapidation forumesque.
      Personne n’a demandé à speciale de partir il me semble. C’est lui qui dans un dernier mouvement d’orgueil a préféré faire le Caliméro persécuté plutôt que... plutôt qu’autre chose. C’est son choix, comme tous les autres choix qu’il a fait dans la discussion.

    • Ce n’était pas un procès, il n’y a pas lieu de parler de justice ni de droit de la défense, comme j’ai déjà pu le signifier l’autre jour.
      L’intérêt que je trouve aux espaces de discussion sur Internet, c’est qu’il est possible (mais pas automatique hélas) de déconnecter les « affrontements ». « Il » pouvait intervenir, nous avons tous fait le choix de ne pas le lire/lui répondre sur les faits et de nous tourner collectivement vers « elle ».
      Et que ce ce soit passé de la sorte, sans jugement, sans rentrer dans des prises de position scabreuses, justement, démontre sans doute une certaine forme d’expérience des uns et des autres.

    • Je n’ai pas non plus souhaité le retrait de speciale, c’est vrai, la pression était forte. Interrompre une femme qui parle pour lui demander si elle suce, ce n’est pas seulement lourd, c’est violent.
      Ça me rappelle une affiche que j’avais proposé pour répondre à un concours lancé sur les violences conjugales « say no ». J’en ai marre de voir des portraits de femmes avec des marrons alors que le vrai problème c’est la violence des hommes et leur domination. C’est pas mal non plus que la honte change de camp. Je souhaitais aborder cette question en douceur, et celle de l’éducation et de la transmission. Voici le projet pas vraiment abouti mais c’était l’idée. Elle n’a évidemment retenu l’attention de personne, remettre l’homme en cause sur ces questions n’est pas rentré dans les mœurs, on préfère voir les femmes battues et humiliées que des mecs remettre en cause une pseudo-virilité :)

    • @oblomov là je croi que ca fait longtemps que je suis tres très hors sujet par rapport au syndrome de l’imposteur. Pour essayer de relancé la discussion sur le syndrome de l’imposteur, je me souviens en avoir entendu parlé aussi dans les cas de personne qu’on appelait avant « surdoué » et des fois « précoces » et que j’ai vu aussi désigné par « zebre ». Zebre dans l’idée qu’illes sont different·e·s des chevaux mais pas mieux ou moins bien. C’est à dire que c’est pas forcement des personnes plus intelligentes comme on l’entendait avec « surdoué » mais des personnes qui ont un fonctionnement de l’esprit différent de la moyenne des gens. Ca se caractérise souvent par une « hyper-empathie » et une grande émotivité, on peu appler ca aussi de l’instinct dans le sens qu’on comprend les choses sans pouvoir analysé le chemin que l’esprit à pris. Souvent ces personne ne sont pas reconnus par leur entourage. C’est à dire que leur entourage ne prend pas la mesure de cette hyper-empathie et émotivité intense et la personne se trouve incomprise. Dans ce cas l’enfant qui n’est pas compris fini par dissimulé sa personnalité parfois même à lui même et là peut prendre racine le sentiment d’imposture. Il y a aussi le fait d’avoir une facilité, quant on dit qu’une personne est « doué » c’est une manière de lui enlever le mérite de son travail. Je vais voir si je retrouve les liens ou j’avais lu tout ca et plus particulièrement sur le syndrome de l’imposture. Et pour finir j’ajoute que les « zebres » femmes sont moins souvent détecté que les hommes.

      Merci à toi pour ton hospitalité sur ce fil et au plaisir de te lire à nouveau.

    • Oui @intempestive Je voulais aussi ajouter que c’est très révélateur de l’hypocrisie qui sous-tend ces campagne : jamais on ne parle de la « violence des hommes », des « hommes violents » ou de la « violence masculine », on parle de la « violence faite aux femmes », un truc un peu vague qui vient d’on ne sait où. Comme le fait d’avoir remplacer le terme « violences conjugales » par « violences domestiques » (ça sonne comme accident domestique) : le tabouret qu’une femme s’est mangé dans la tronche est arrivé on ne sait comment.

    • c’est la même chose aussi avec le viol, l’inceste, ou les violences sur les enfants. Ces crimes sans agresseurs, sauf si l’agresseur est racisé, musulman, immigré, pauvre, une femme, un fou... mais c’est comme si l’homme blanc occidental etait toujours un « nice guy ». Voyez les DSK, les Polansky qui se pavanent et les tentatives insistentes de Libé pour réhabilité Cantat.

      J’ai ce petit visuel qui correspond à une étude dont je ne connait pas le sérieux (c’est peut etre une étude sur 4 mecs)

      En fait je trouve interessant ce tableau car on voie l’effet du changement de vocabulaire et là ou les hommes placent la victime. Dans le style de « violence domestique » il y a aussi « crime passionnel » ou « drame familiale » qui m’horripilent.

    • J’ai édité mes messages. Je ne reviens pas sur ce que j’ai dit et je en reparlerait mais probablement pas ici, vu que ce n’est manifestement pas l’endroit.
      Merci a celles et ceux qui m’ont montré leur solidarité et leur compassion. A toutes les personnes qui ont souffert de remonté traumatique à cause de mon explosion de vendredi, je m’excuse et je vers des larmes pour nous.

  • 8 Parisiennes sur 10 pensent que personne ne les aiderait en cas d’agression dans le métro - Libération
    http://next.liberation.fr/sexe/2014/10/29/8-parisiennes-sur-10-pensent-que-personne-ne-les-aiderait-en-cas-d-a

    Un sondage international tente de mesurer le sentiment d’insécurité des femmes dans les transports publics de 16 métropoles.

    A quel point se sentent à l’aise les femmes dans les #transports_publics ? Un sondage réalisé par l’institut YouGov auprès de 6 300 personnes et publié par la Thomson Reuters Fondation compare de manière intéressante le sentiment d’insécurité des femmes dans les transports des plus grandes villes du monde.

    C’est ainsi à Bogota, Mexico et Lima qu’elles ont le plus peur. A l’inverse, elles se sentent plutôt en sécurité à New York, Tokyo et Pékin. La capitale parisienne se retrouve sixième meilleure ville. Une position en milieu de tableau à cause surtout d’une réponse à une question : « à quel point pensez-vous que des gens viendront vous aider si vous êtes agressées dans les transports publics » ? 85% déclarent qu’elles ont peu confiance et qu’elles risquent d’être livrées à elles-mêmes, au contraire, par exemple, des New-Yorkaises, si elles sont en danger.

    Des cas médiatiques, peuvent, sans doute, expliquer ces appréhensions, comme le meurtre d’Anne-Lorraine, en 2007, dans le RER D. En avril dernier, le procureur de Lille a ouvert une enquête pour tenter de retrouver les témoins d’une agression sexuelle dans le métro de la ville nordiste. L’agresseur « m’a touchée et personne ne m’a aidée. Je me suis défendue toute seule », a expliqué ensuite la jeune femme, choquée. La non-assistance à personne en danger est passible de cinq ans de prisons et de 75 000 euros d’amende.

    Le court-métrage ci-dessous, Je suis à l’heure, présenté au Nikon Film Festival met en scène de manière brillante cette #passivité parfois affolante des autres passagers.

    http://www.dailymotion.com/video/x28sghz_nikon-film-festival-je-suis-a-l-heure-le-film-contre-l-insecuri


    voir aussi la campagne #TackBackTheMetro
    http://seenthis.net/messages/307490
    #harcèlement_de_rue #agressions_sexuelles

    • Le court-métrage ci-dessous, Je suis à l’heure, présenté au Nikon Film Festival met en scène de manière brillante cette #passivité parfois affolante des autres passagers.

      Elle me saoul cette pub Nikon je ne comprend vraiment pas ce qu’apporte ce film pour les victimes d’agressions.

      – Il apporte du clic a des blogs à pub comme Next ou des blogs à trolls comme BigBrowser.
      – Il permet de répéter le cliché du méchant jeune de banlieue violeur de femmes car même si on ne voie pas l’agresseur ni l’agressée on entend les « zyva » typique d’un djeundebanlieu. Un peu de racisme et de classisme ca ne se refuse pas dans le contexte nauséabond actuel et le jeundebanlieu ne doit pas être la cible commerciale de Nikon.
      – Il parle aux hommes blancs probable cible commerciale de Nikon.
      – Il permet aux hommes blanc non banlieusards et probables acheteurs de Nikon de se projeter en chevalier servant sauveur du sexe faible en detresse. « moi à sa place j’aurais... » sont l’essentiel des commentaires masculins que j’ai lu autour de cette pub.
      – Il apprend aux femmes que le RER en milieu de journée c’est pas la peine sans un chaperon masculin avec soi. Les femmes ne sont clairement pas la cible de Nikon.
      – Il rappel aux victimes d’agression le bon souvenir de ce qu’elles ont vécu pour vendre des trucs Nikon. Voire le « syndrome de reviviscence » symptôme typique des troubles post-traumatiques des violences sexuelles.
      – Il ne dit pas qui sauvera les femmes de leur sauveurs. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/10/17/01016-20121017ARTFIG00618-viols-sur-mineure-l-enquete-visant-des-pompiers-e
      – Il enfonce des stéréotypes sur le viol et les agressions sexuels. Dans un lieu publique par un inconnu à tendance banlieusarde alors que la plus part des viols et agressions sexuelles se passent au domicile de la victime ou de l’agresseur et par une personne connu de la victime, un ami, un conjoint, un parent, un collègue. Mais un film qui montrerait le cadre blanc client de Nikon en agresseur je suis pas certaine que ca aurait buzzer autant.
      – Il déplace le problème là ou il n’est pas, le problème c’est les agressions sexuelles pas le manque de chevaliers servants. Le problème c’est la déshumanisation et la robotisation des transports en commun pas la lâcheté des cadres en imperméable.
      – Il détourne la question des agressions sexuelles à des fins commerciales. C’est pas présenté d’abord comme le film de Isabelle Quintard et Fabien Motte mais c’est toujours d’abord le film « dans le cadre du Nikon Film Festival ».
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Marketing_viral

      #bad_market

  • Harvard and Princeton among 55 schools facing Title IX investigation | Education | theguardian.com
    http://www.theguardian.com/education/2014/may/01/harvard-princeton-title-ix-investigation

    The Education Department on Thursday took the unprecedented step of releasing the names of the 55 colleges and universities currently facing a Title IX investigation over their handling of sexual abuse complaints.

    The release came two days after a White House task force promised greater government transparency on sexual assault in higher education. The department said it will keep an updated list of schools facing such an investigation and make it available upon request.

    Title IX prohibits gender discrimination at schools that receive federal funds. It is the same law that guarantees girls equal access to sports, but it also regulates institutions’ handling of sexual violence and increasingly is being used by victims who say their schools failed to protect them.

    Citing research, the White House has said that 1 in 5 female students is assaulted. President Barack Obama appointed a task force comprised of his cabinet members to review the issue after hearing complaints about the poor treatment of campus rape victims and the hidden nature of such crimes.

    The task force announced the creation of a website, notalone.gov, offering resources for victims and information about past enforcement actions on campuses. The task force also made a wide range of recommendations to schools, such as identifying confidential victims’ advocates and conducting surveys to better gauge the frequency of sexual assault on their campuses.

    #campus #agressions_sexuelles

  • Les #femmes victimes d’#agressions_sexuelles en #Égypte
    http://blogs.mediapart.fr/blog/amnesty-international/060213/les-femmes-victimes-d-agressions-sexuelles-en-egypte

    La militante a raconté que les policiers et le procureur en charge du dossier avaient fait pression sur elle pour qu’elle retire sa plainte et n’avaient accepté qu’à contrecœur d’enregistrer sa déclaration après qu’elle eut insisté, soutenue par ses avocats.

    Ce type de réaction est typique et témoigne d’une culture du déni, de l’inaction voire de la complicité de la part des responsables de l’application des lois : non seulement ils ne protègent pas les femmes contre le harcèlement et les violences sexuelles, mais ils ne mènent pas d’enquêtes approfondies sur leurs allégations et ne défèrent pas les auteurs présumés à la justice. Tandis que les responsables s’en tirent à bon compte, impunis, les agressions violentes se poursuivent, à l’image de celle du 25 janvier.

    #sexisme #impunité #violences_sexuelles

  • D’après les statistiques officielles, près de 65 000 agressions sexuelles ont été commises en Afrique du Sud l’an dernier, mais la police estime que seulement un viol sur 36 est rapporté aux autorités. Et selon le Centre international de recherche sur la #femme, basé à Washington, environ 28 % des hommes ont déjà commis un #viol. Si l’on se base sur ces chiffres, cela signifie que 2,3 millions de personnes sur une population de 50 millions ont pu être agressées sexuellement l’année dernière.

    L’#Afrique du Sud semble s’habituer à ces niveaux de #violence, qui seraient jugés intolérables ailleurs. En novembre, six garçons âgés de 10 à 14 ans ont été inculpés pour le viol et le meurtre de trois autres enfants, mais l’affaire a été peu évoquée par les médias. Exceptions notables : le procès pour viol du président Jacob Zuma en 2006 – pour lequel il a été acquitté – et le viol en réunion filmé d’une adolescente de 17 ans handicapée mentale qui ont soulevé l’indignation et provoqué un débat national.

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/12/29/la-mort-d-une-etudiante-violee-en-inde-provoque-un-examen-de-conscience-en-a