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RSS: #agriculture_urbaine

#agriculture_urbaine

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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 22/02/2021
    1
    @gastlag
    1

    Comment l’écologie se vit dans les quartiers populaires - Page 1 | Mediapart
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/220221/comment-l-ecologie-se-vit-dans-les-quartiers-populaires

    https://static.mediapart.fr/etmagine/og/files/QUARTIERS_DIRECT_07_IMAGE_ATTENTE.jpg

    L’écologie est un thème trop souvent associé aux classes aisées ou fortement diplômées. Pourtant, leur empreinte écologique se révèle plus élevée que celle d’autres groupes sociaux moins dotés. De plus, dans les quartiers populaires, des pratiques écologiques existent bel et bien. Elles peuvent être la conséquence d’un héritage ouvrier et paysan, d’une situation de précarité ou d’une volonté politique réelle.

    Pour en savoir plus, Mediapart et le Bondy Blog ont reçu la chercheuse Léa Billen : doctorante à l’université de Nanterre, elle travaille sur les mobilisations écologistes dans les quartiers. Elle échange avec Linda Bouifrou, militante écologiste à Créteil.

    #jardins_ouvriers #jardins_familiaux #jardins_partagés #agriculture_urbaine #précarité #écologie

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 22/02/2021
      @cede

      #quartiers_populaires #Léa_Billen
      ping @cede

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 8/02/2021

    #JO_2024 : un bassin contre des jardins

    Le projet d’une giga-#piscine à #Aubervilliers menace les #jardins_ouvriers des #Vertus, tandis que la maire y voit l’occasion de « faire décoller » sa ville. Opacité comptable et budgétaire, utilité olympique contestable, coût important, pari sur la rentabilité foncière d’une vaste #friche urbaine : un drame métropolitain éclate. Et des anti « saccages » par les JO se rassemblent à Paris le 6 février.

    https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2021/02/05/jrdins-vertus.jpg?width=640&height=480&width_format=pixel&height_format=pixel

    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/050221/jo-2024-un-bassin-contre-des-jardins
    #jeux_olympiques #JO #Paris #France #agriculture_urbaine #Fort-d’Aubervilliers #Seine-Saint-Denis #Grand_Paris_Aménagement #destruction #saccage_olympique #quartiers_populaires #urbanisme #urban_matter #géographie_urbaine #Solideo #Karine_Franclet

    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 20/01/2021
    7
    @mad_meg
    @ericw
    @rastapopoulos
    @gblin
    @olaf
    @jbbardet
    @colporteur
    7

    (néo-)municipalisme et humanisme

    Message aux seenthisien·nes...

    Je vais animer un atelier avec des étudiant·es de master en urbanisme autour du #municipalisme et de l’#humanisme...

    Un thème qui est relativement nouveau pour moi...

    Je suis donc preneuse de vos suggestions, surtout bibliographiques sur ce thème...

    J’ai déjà quelques éléments, mais je suis sure que votre bibliothèque est plus riche que la mienne :-)

    #néo-municipalisme #ressources_pédagogiques #municipalisme

    CDB_77 @cdb_77
    • @davidgabriel
      davidgabriel @davidgabriel CC BY 20/01/2021

      Tout dépend quelle tradition du municipalisme : liberal, libertaire, socialiste, communalisme ou inter-municipalisme ? cf ▻https://m.uneseuleplanete.org/Qu-est-ce-que-le-municipalisme. D’un point de vue historique "Municipalités de tous pays, unissez vous ! L’Union Internationale des Villes ou l’Internationale municipale(1913-1940),
      Renaud Payre, Pierre-Yves Saunier : ▻https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00002762/document

      davidgabriel @davidgabriel CC BY
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 20/01/2021
      @davidgabriel

      Merci @davidgabriel : l’idée est que les étudiant·es puissent, justement, aussi explorer ces différentes traditions...

      CDB_77 @cdb_77
    • @davidgabriel
      davidgabriel @davidgabriel CC BY 20/01/2021

      Ok ! Je me suis permis de le préciser car comme le municipalisme a eu tendance à devenir un nouveau buzzword, on oublie parfois que ces stratégies politiques ont eu longues histoires qui ne se résume pas à la pensée de Murray Bookchin (même si sa pensée continue de beaucoup nous inspirer) !

      davidgabriel @davidgabriel CC BY
    • @la_feuille
      La Feuille @la_feuille 20/01/2021

      Je pense en effet que Murray Bookchin est un incontournable dans le domaine...

      La Feuille @la_feuille
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 20/01/2021

      #Murray_Bookchin

      CDB_77 @cdb_77
    • @monolecte
      Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA 20/01/2021

      On peut suivre en loucedé ?

      Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2021
      @monolecte

      @monolecte ça sera sous forme d’atelier, et pas de cours... mais il devrait y avoir un temps fort de présentation/discussion organisé par les étudiant·es lors de la Biennale des villes en transition (premier weekend d’avril, à Grenoble et distanciel) :-)

      CDB_77 @cdb_77
    • @monolecte
      Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA 21/01/2021

      😇

      Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2021

      Du coup, en train de lire...

      Guide du municipalisme. Pour une ville citoyenne, apaisée, ouverte

      https://www.eclm.fr/wp-content/uploads/2021/01/couverture-411-260x379.jpg

      De plus en plus, nos villes sont devenues le lieu où sévissent la spéculation, les exclusions de toutes sortes et la ségrégation sociale. Pourtant, de l’Espagne aux États-Unis et à l’Afrique du Sud, en passant par le Chili, le Rojava syrien, la Serbie, la Pologne ou la France, des groupes renversent cette logique et inventent une nouvelle manière de vivre ensemble. Ce mouvement de démocratie radicale, qui s’ancre au niveau local mais se connecte au monde, place les citoyens au centre des décisions publiques et de la sauvegarde de l’intérêt général. Il réintroduit la démocratie directe en s’appuyant sur des valeurs sociales, féministes, écologiques et solidaires pour ouvrir le champ politique et en faire un espace d’émancipation et de transformation.

      Le municipalisme s’impose comme une alternative politique aux traditionnelles formes d’organisation et de pouvoir fondées sur la verticalité, la centralisation et le patriarcat. Ce guide est le fruit de la collaboration de plus de 140 maires, conseillers municipaux et militants du monde entier, tous investis dans le mouvement municipaliste mondial.

      Coordonné par la Commission internationale de Barcelona En Comú, il présente :

      – les bases théoriques du municipalisme et le rôle qu’il peut jouer, notamment dans la féminisation de la politique et la lutte contre l’extrême droite  ;

      – les outils pour préparer une candidature municipaliste, développer un programme participatif, rédiger un code éthique ou financer une campagne politique  ;

      – des exemples de politiques de transformation mises en œuvre dans des municipalités du monde entier en matière de logement, d’espace public ou de démocratie participative  ;

      – un répertoire des 50 principales plateformes municipales dans le monde.

      ▻https://www.eclm.fr/livre/guide-du-municipalisme

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 31/01/2021

      Quelques ressources sur ce fil de discussion :
      ▻https://seenthis.net/messages/899359

      Et notamment :
      – #Observatoire International de la #Démocratie_Participative (#OIDP)
      – #Cités_et_Gouvernements_Locaux_Unis

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 31/01/2021

      POLICY ROUNDTABLE 17 RADICAL DEMOCRACY IN THE CITY COUNCIL

      Debate on the challenges, limits and opportunities of participatory procedures to develop real democracy at the local level.

      Speakers

      Elvira Vallés, Zaragoza City Council
      Bernardo Gutiérrez, MediaLab Prado, Madrid
      Gala Pin, Councilor for Participation and Districts, Barcelona City Council
      Brad Lander, Deputy Leader for Policy, New York City Council
      Áurea Carolina de Freitas, Councilor, Belo Horizonte City Council

      ▻http://2017.fearlesscities.com/radical-democracy-in-the-city-council

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=xm7xOTsKpK8&feature=youtu.be

      #démocratie_radicale

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 2/02/2021

      La question de la #remunicipalisation des #services_publics :

      ▻https://seenthis.net/messages/899734

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/02/2021

      Atlas del cambio

      https://seenthis.net/local/cache-vignettes/L600xH542/pNQFkcWpng-ee5c3-f16fa.png

      ▻https://seenthis.net/messages/900351

      Initiative citée dans l’article :
      L’expérience municipaliste. Un autre possible politique depuis les villes et les villages
      ►https://www.cairn.info/revue-du-mauss-2019-2-page-69.htm

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/02/2021

      Un #MOOC sur le municipalisme
      ▻https://nos-communes.fr/actualites/mooc-sur-le-municipalisme

      Quelques captures d’écran :

      https://i.imgur.com/vsLPnuE.png https://i.imgur.com/YemN8Gn.png

      #Jonathan_Durand_Folco :

      « Dans [le] contexte [actuel] de crises et de revendications, c’est comme si il y avait une intuition qui est le fait que pour reconstruire la démocratie, on devait commencer à se réapproprier l’#espace_public comme tel et par la suite non seulement occuper des #places mais aussi à occuper les institutions. On pourrait dire que le relai organique de ces mouvements par la suite sera d’aller voir au plus près des conseils municipaux pour essayer de transformer les institutions de l’intérieur. Pour essayer de non seulement gouverner autrement, mais de pouvoir s’auto-gouverner et avec un certain relai revendications pour essayer de changer les choses par la suite »

      #Corinne_Morel_Darleux sur les limites du niveau local :

      « La #proximité dans un village ou dans une petite ville notamment est aussi source de #conflits, de #promiscuité, elle est aussi source de blocages politiques. Il faut les prendre en compte et ne pas sacraliser le local »

      #Magali_Fricaudet : Municipalisme et droit à la ville

      Les 4 caractéristiques du municipalisme :
      – la #radicalité_démocratique —> « comment est-ce qu’on gouverne en obéissant », comment est-ce qu’on applique la #démocratie_directe des #assemblées, mais aussi des mécanismes de contrôle de l’exercice du pouvoir, soutenir l’#expertise_citoyenne, travailler sur un #code_éthique des élus pour contrôler leur mandat
      – la #féminisation de la politique —> féminiser la politique c’est aussi changer l’approche de la politique et remettre en cause, par la pratique, le #patriarcat et ses valeurs (#compétitivité, exercice d’un #pouvoir basé sur le culture du chef et l’#autorité), c’est faire de la politique en écoutant
      – la #transition_écologique (#relocalisation_de_l'économie, les #remunicipalisations), comment changer le #paradigme_économique à partir du #local, contribution à la relocalisation, encourager l’#agriculture_urbaine et la gestion des #biens_communs
      – les #droits et les droits dans leur #universalité —> c’est la question des #migrants, quand on parle de #droits_universels on parle de #droits_pour_tous. Référence au #document_local_d'identité qui donne droit à toustes aux #droits_essentiels, aux équipements publics
      #universalité_des_droits —> « on gouverne pour les gens et par les droits ». Il s’agit de partir des droits et pas de la « machine qui prend en charge les gens »

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/02/2021

      "Collectivités locales, reprendre la main, c’est possible !"

      https://i.imgur.com/ulsOVS4.png

      Le nouveau rapport de l’AITEC « Collectivités locales, reprendre la main, c’est possible ! Politiques publiques de #transition démocratique et écologique : #résistances et #alternatives locales à la libéralisation » se fonde sur une enquête approfondie menée en 2017 auprès d’élu-e-s, d’agents territoriaux, et d’acteur-trice-s du monde associatif. Il met en avant des politiques publiques locales alternatives, plus démocratiques, plus justes et plus durables, à rebours de la libéralisation des marchés, du tout-privé et d’une économie hors-sol.

      L’aspiration modeste est de dresser un paysage non exhaustif des contraintes réglementaires que rencontrent les collectivités locales progressistes pour porter des politiques publiques locales de transition démocratique et écologique. Ce rapport propose des pistes pour saisir les opportunités permettant de créer un “écosystème” d’alternatives afin de renouveler ou inventer des formes de gouvernance locale plus démocratiques, justes et durables.

      Les politiques néolibérales d’austérité et de libéralisation des échanges commerciaux et financiers ont poussé dans le sens d’une transposition des règles du marché dans la sphère publique. Elles placent les grandes entreprises, souvent transnationales et fortes de moyens techniques et financiers importants, en partenaires idéaux des pouvoirs publics. Ces politiques participent de l’assèchement des systèmes de solidarités publics et de l’asphyxie de l’économie de proximité : remise en cause de l’universalité des services publics, difficultés de relocalisation de l’économie, gestion comptable déshumanisée des politiques publiques, etc. Elles étouffent les possibilités de développer les politiques nécessaires pour répondre aux défis sociaux et environnementaux auxquels nous faisons face localement et globalement.

      Pour autant, ces contraintes n’éliment pas la motivation de certaines collectivités à faire émerger tout un panel de solutions pour contre-carrer les ambitions de lucrativité et d’accaparement portées par les tenants de la doxa néolibérale. Trois entrées d’alternatives ont pu être identifiées :

      1. Premièrement, il s’agit de (re)démocratiser des services publics : remunicipaliser les services publics, investir dans des sociétés coopératives d’intérêt général (SCIC), ne pas s’enfermer dans des contrats de partenariats publics-privés etc. Cela permet de pouvoir garder la main publique sur les services et donc le contrôle des dépenses et des orientations, d’inclure les citoyen-ne-s dans les processus de contrôle et de décision, et d’orienter les (ré)investissements pour l’amélioration et l’accessibilité du service ;

      2. Deuxièmement, il s’agit d’aller vers une commande publique responsable : privilégier les achats publics locaux en prenant en compte les notions de cycle de vie ou de circuit-court, bien connaître l’offre territoriale pour adapter la demande publique aux capacités des TPE/PME et entreprises de l’économie sociale et solidaire (ESS), etc. Cela permet de prendre en compte l’impact social et environnemental de l’achat public tout en relocalisant l’économie et en soutenant les acteurs socio-économiques locaux ;

      3. Troisièmement, il s’agit de travailler avec et pour le tissu socio-économique du territoire : structurer l’offre des acteur-trice-s économiques locaux (familiaux, artisanaux, agricoles ou éthiques), faciliter l’accès au foncier et aux équipements publics pour les acteur-trice-s de l’ESS, soutenir des initiatives de coopératives citoyennes (d’habitant-e-s, d’énergies renouvelables, etc.), etc. Cela renforce l’offre locale face aux grands groupes, tout en allant vers une (re)démocratisation des rapports socio-économiques locaux.

      ▻https://aitec.reseau-ipam.org/spip.php?article1663

      #rapport #AITEC

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/02/2021

      #Ecologistas_en_Acción
      ▻https://seenthis.net/messages/900676

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/02/2021

      Le « municipalisme libertaire » de Bookchin : un chemin vers la reconquête démocratique ?

      Débat entre #Pinar_Selek, sociologue et militante féministe, et #Aurélien_Bernier, essayiste et défenseur de la démondialisation. Tous deux discutent des thèses de Murray Bookchin concernant le « #communalisme », et des expériences qu’elle nourrissent.

      Citation de Bookchin pour commencer le débat :

      https://i.imgur.com/fcp7pdX.png

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=ejksnPBJVtU

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/02/2021

      Agir ici et maintenant. Penser l’#écologie_sociale de Murray Bookchin

      https://cdn.shopify.com/s/files/1/0079/3313/2881/products/9791095630272.png?v=1578326174#.jpg

      L’effondrement qui vient n’est pas seulement celui des humains et de leur milieu, mais bien celui du capitalisme par nature prédateur et sans limites. Historiquement désencastré du social et nourri par l’exploitation et la marchandisation des personnes, il étend désormais son emprise sur toute la planète et sur tous les domaines du vivant. C’est en se désengageant d’un constat fataliste et culpabilisant que nous retrouverons une puissance d’agir ici et maintenant. Quoi de mieux, pour cela, que de relire Murray Bookchin et d’appréhender toutes les expérimentations et pratiques qui se développent après lui, aujourd’hui, autour de nous ?

      Floréal M. Romero dresse ici le portrait du fondateur de l’écologie sociale et du municipalisme libertaire. Il retrace son histoire, son cheminement critique et politique. De l’Espagne au Rojava, en passant par le Chiapas, l’auteur propose, à partir d’exemples concrets, des manières d’élaborer la convergence des luttes et des alternatives pour faire germer un nouvel imaginaire comme puissance anonyme et collective.

      Essai autant que manifeste, ce livre est une analyse personnelle et singulière de la pensée de Bookchin qui trouve une résonance bien au-delà de l’expérience de l’auteur. Il apporte des conseils pratiques pour sortir du capitalisme et ne pas se résigner face à l’effondrement qui vient.

      ►https://www.editionsducommun.org/products/agir-ici-et-maintenant-floreal-m-romero

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/02/2021

      L’illusion localiste. L’arnaque de la décentralisation dans un monde globalisé

      http://www.editions-utopia.org/wp-content/uploads/2019/11/COUV_Lillusion-localiste-183x300.jpg

      Rapprocher le pouvoir du citoyen , instaurer la « démocratie participative, soutenir le développement territorial et l’économie « de proximité…

      A l’approche des élections municipales, on assiste à une surenchère des mots d’ordre localistes et décentralisateurs. On les retrouve dans tous les discours politiques, de la gauche à l’extrème-droite en passant par la droite et les socio-démocrates.

      La participation des habitants et les promesses de changement « par en bas » sont dans tous les programmes. Les démarches et les listes « citoyennes », plus ou moins instrumentalisées par les partis traditionnels, se multiplient. Même le président de la République s’affiche localiste : en réponse à la crise de « Gilets jaunes », il promet une nouvelle phase de décentralisation pour la deuxième moitié de son mandat. A en croire nos élites, c’est donc par l’action municipale ou régionale que les problèmes économiques, sociaux, environnementaux ou démocratiques pourraient être résolus...

      Ce livre s’attache à déconstruire ce mensonge. Car la mondialisation, elle, ne rapproche pas le pouvoir du citoyen, mais l’éloigne considérablement. Les décisions économiques sont concentrées aux mains des grandes firmes et de leurs actionnaires, et s’imposent aux peuples par delà les principes démocratiques. Les droits sociaux sont en régression permanente à cause de la concurrence internationale. Et la classe politique n’en finit plus de se discréditer en obéissant aux injonctions des marchés.

      La « mondialisation heureuse » ayant fait long feu, c’est le « localisme heureux » qu’à présent on cherche à nous vendre. Le terroir et les circuits courts pour compenser les ravages de la mondialisation. Le régionalisme pour masquer le désengagement de l’État, la destruction ou la privatisation des services publics.

      Cette « illusion localiste » doit être dénoncée. Non pas que l’action de proximité soit négligeable, car s’engager dans la vie locale est tout à fait nécessaire. Mais pour sortir du piège de la mondialisation, cela ne suffit pas. Plutôt que d’opposer l’action locale et celle de l’État, mieux vaudrait les articuler.

      ▻http://www.editions-utopia.org/2019/11/04/lillusion-localiste

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/02/2021

      #Institute_for_Social_Ecology

      https://social-ecology.org/wp/wp-content/uploads/2018/01/ISE-banner.jpg

      For 45 years, the Institute for Social Ecology has provided community-based educational programs, popular education and organizing assistance to social and political movements, informed by a community-centered vision of positive, ecologically-oriented social change.

      ▻https://social-ecology.org

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 14/02/2021

      Un séminaire en ligne (et en italien) avec #Iolanda_Bianchi, qui a écrit une thèse de doctorat sur Barcelone:

      Città, beni comuni, partecipazione: Esiste il modello Barcellona? Seminario online di formazione con Iolanda Bianchi

      https://i.imgur.com/16qosnT.png

      PRESENTAZIONE
      Barcellona è stata al centro delle mobilitazioni popolari contro le politiche di austerità che si svilupparono in Spagna a partire dal 2011 (il cosiddetto movimento degli indignados - M-15). Nel 2015 fu eletta al governo della città una coalizione civica «Barcelona en comú» guidata da Ada Colau, un’attivista per il diritto all’abitare. Da allora il governo locale si è impegnato a mettere in campo politiche volte a correggere le distorsioni dello sviluppo urbano di segno neoliberale, sui temi della regolamentazione degli alloggi turistici (a partire dal piano PEUAT del 2017), della vivibilità dello spazio pubblico (la pedonalizzazione di isolati urbani, i cosiddetti «superblocchi» o «supermanzanas»), della gestione dei beni comuni. Queste iniziative sono state segnate da successi come da fallimenti. Alla luce di questa esperienza, in questo seminario discutiamo del cosiddetto «modello Barcellona» di neo-municipalismo, in connessione con le esperienze italiane di campagne per il diritto alla città e all’abitare in cui noi in prima persona siamo stati coinvolti in questi anni.

      IOLANDA BIANCHI è una studiosa di processi politici in una dimensione urbana. Ha conseguito il dottorato di ricerca in urbanistica e politiche pubbliche presso l’Università Autonoma di Barcellona e l’Istituto Universitario di Architettura di Venezia. La sua ricerca si focalizza sulle forme alternative di soddisfacimento dei bisogni e dei diritti primari alla scala urbana, osservate dal punto di vista delle collaborazioni tra società civile e istituzioni pubbliche. Attualmente è ricercatrice post-dottorato «Juan de la Cierva» presso l’IGOP, l’Istituto di Governo e Politica Pubblica dell’Università Autonoma di Barcellona. E’ autrice di numerosi articoli scientifici in riviste internazionali e italiane.

      ▻https://www.facebook.com/events/409241853637821

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 23/09/2020
    8
    @ericw
    @jacotte
    @02myseenthis01
    @monolecte
    @kaparia
    @7h36
    @jeanmarie
    @sombre
    8

    Nantes : des potagers contre la pauvreté - Regarder le documentaire complet | ARTE
    ▻https://www.arte.tv/fr/videos/099904-000-A/nantes-des-potagers-contre-la-pauvrete
    ▻https://api-cdn.arte.tv/api/mami/v1/program/fr/099904-000-A/940x530

    L’#agriculture_urbaine serait-elle l’avenir de nos villes ? Partout en Europe, des initiatives émergent peu à peu du béton. À #Nantes, les services des #espaces_verts ont ainsi eu une idée inédite pendant le #confinement : planter une cinquantaine de #potagers partout dans la ville pour #nourrir des familles en situation de #précarité.

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @jacotte
      Jacotte @jacotte 23/09/2020

      bien_commun

      Jacotte @jacotte
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  • @hlc
    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 27/07/2020
    2
    @gillesm
    @arno
    2

    « Citoyens, citoyennes, résistons, semons des graines » : une révolution potagère à Tours
    ▻https://www.lemonde.fr/series-d-ete/article/2020/07/24/citoyens-citoyennes-resistons-semons-des-graines-une-revolution-potagere-a-t

    https://img.lemde.fr/2020/07/23/0/0/4854/2423/1440/720/60/0/cb32238_945991888-JardinieresMasquees-117.jpg

    PortraitJardins secrets (1/5). Un collectif de jardiniers tourangeaux réinvestit les parcelles délaissées de la ville pour y faire du maraîchage sauvage et solidaire. Portrait de Pauline Jallais, l’une de ses militantes pro-autonomie alimentaire.

    Elle arrive au lieu de rendez-vous sur son vélo hollandais équipé de deux porte-bébés, yeux verts et large sourire. La « jardinière masquée » circule donc à visage découvert. A 34 ans, la Tourangelle Pauline Jallais est l’un des membres de ce collectif de maraîchers improvisés qui, chaque semaine, se retrouvent pour planter et entretenir des fruits et légumes dans les espaces délaissés de la ville de Tours.

    L’idée est née pendant le confinement. Mélanie Bresson, une couturière professionnelle de la région, s’est lancée dans la fabrication de protections en tissu. Très vite, une armée de petites mains la rejoint pour coudre et distribuer gratuitement plus de 60 000 exemplaires en Touraine. « A cette occasion, on a vu qu’il y avait aussi une urgence alimentaire car beaucoup de bénévoles rencontraient des difficultés pour se nourrir », explique Pauline Jallais, proche des « couturières masquées du Centre-Val de Loire ».

    Grâce aux réseaux sociaux, et au relais de militants, comme l’aventurier écolo tourangeau Baptiste Dubanchet (qui s’est fait connaître en traversant l’Atlantique en pédalo en se nourrissant de restes et d’invendus), un petit groupe de jardiniers décide sans autorisation municipale d’investir un bout de parcelle en friche dans le quartier Lakanal-Strasbourg, à proximité du centre de Tours. « Planter des comestibles dans la ville était une façon de faire prendre conscience de la nécessité de se réapproprier notre alimentation en produisant là où les gens vivent. » Le masque est l’accessoire de l’époque : après les couturières, va pour les jardinières ainsi nommées.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Des potagers bio et solidaires pour ceux que la crise ne manquera pas de toucher »
    Néophytes et passionnés

    Quelques semis de radis plus tard, le mouvement a essaimé dans cinq quartiers de la ville et plus d’une soixantaine de femmes et d’hommes se retrouvent régulièrement pour manier la bêche et le râteau.

    « Tout le monde peut participer. Il y a des gens qui se connaissent et d’autres qui viennent par hasard ou par curiosité. Cela crée du lien », assure Pauline Jallais. Les plants et graines proviennent de dons de maraîchers ou de particuliers. « Nous savons bien que l’on ne va pas nourrir une ville avec nos plantations, mais c’est une manière de montrer que l’on peut faire différemment, en mettant à disposition de tous une nourriture plus locale. »

    #Communs #Jardins_partagés #Agriculture_urbaine #Tours

    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
    • @recriweb
      Recriweb @recriweb 27/07/2020

      La petite-bourgeoisie s’amuse.

      Recriweb @recriweb
    • @hlc
      Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 28/07/2020

      Oui, car dans l’article il est question de ces petits-bourgeois qui ont du mal à se nourrir. Ce qui ne les empêche pas d’être bénévole dans la situation COVID.
      On dirait qu’on va vers un monde compliqué, n’est-ce pas ?

      Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
    • @antonin1
      Antonin @antonin1 CC BY-NC-SA 29/07/2020
      @hlc

      @hlc, il commence à y avoir une petite littérature sociologique sur la lutte des classes au jardin, des études sur les usages différenciés que les gens font des jardins partagés selon leur statut économique (et leur accès à de la bouffe bio), dans lesquelles on apprend que oui, la petite bourgeoisie s’amuse. D’autre part, l’engouement des classes dirigeantes pour l’agriculture urbaine permet de jeter un voile pudique sur l’artificialisation des sols en cours dans les périphéries des métropoles. Comme tu dis, c’est compliqué.

      Les jardins partagés franciliens
      ▻https://journals.openedition.org/gc/4916

      Alors que la plupart des travaux s’appuient sur l’idée que les lieux d’agri­culture urbaine contribuent à la justice sociale en tant qu’espaces d’éman­­cipation et de remise en cause des rapports de domination (Eizenberg, 2012 ; Purcell & Tyman, 2015), d’aucuns les analysent comme vecteurs d’injustices sociales prenant part à ce titre au modèle néolibéral de la fabrique urbaine (Allen & Guthman, 2006 ; Ernwein, 2015, Reynolds, 2015).

      Le terme de « justice environne­mentale » est d’ail­leurs absent des discours politi­ques français. Certains auteurs évoquent à ce propos la volonté d’une dépolitisation de l’environ­nement, envisagé comme forcément positif et donc consensuel (Blanchon, Moreau & Veyret, 2009). Si l’on s’intéresse ensuite à la diversité des participants ; les collectifs d’usagers des jardins partagés franciliens appa­rais­sent relativement mixtes malgré la domi­nation des classes moyennes et supérieures ainsi que la surrepré­sentation de la tranche d’âge 40-59 ans, des femmes et des blancs (Demailly, 2014a). Les dimensions ethnico-culturelles n’ont toutefois pas fait l’objet d’investi­gations approfondies en France. Le dernier point est relatif à la participation au processus politique, que Marion Young qualifie de « justice inclusive » (Young, 1990). Si les usagers participent à la gestion au quoti­dien des jardins partagés, ce qui favorise une autonomie certaine des associations, leur rôle en termes de décision reste modeste ; les municipalités en tant que propriétaires du foncier en conservent l’attribut (Demailly, 2014b). Au vu de ces constats, compte tenu de la faible mobilisation de ce terme et du fait que certaines dimensions aient fait l’objet de travaux anté­rieurs, nous avons choisi d’interroger dans cet article les jardins partagés comme de potentiels éléments d’une transition environne­men­tale plutôt que comme des compo­sants d’une justice environnementale.

      Antonin @antonin1 CC BY-NC-SA
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  • @cede
    CéDé @cede CC BY 16/06/2020

    Autour d’Angers, l’autoproduction alimentaire pour « se réapproprier les choses essentielles » - Page 1 | Mediapart

    Créée il y a plus d’un an, l’association RAARE a mis en maraîchage des terrains récupérés dans les alentours d’Angers. Autour de ces cultures, tout un réseau d’entraide s’est développé ; ses activités se sont décuplées depuis le confinement.

    https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2020/06/10/raareangers-4.jpg?width=6000&height=4000&width_format=pixel&height_format=pixel

    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/160620/autour-d-angers-l-autoproduction-alimentaire-pour-se-reapproprier-les-chos

    #Agriculture_urbaine #utopie #action_directe

    CéDé @cede CC BY
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 17/06/2020

      #alimentation #auto-production #RAARE #Angers #entraide #le_monde_d'après #maraîchage

      CDB_77 @cdb_77
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  • @pguilli
    pguilli @pguilli 27/04/2020
    1
    @gastlag
    1

    Flaminia Paddeu : « Il faut multiplier les expériences d’agriculture pirate en ville » - Page 1 | Mediapart
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/260420/flaminia-paddeu-il-faut-multiplier-les-experiences-d-agriculture-pirate-en

    https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2020/04/23/flaminia-c-violeta-ramirez-2020.jpg

    Flaminia Paddeu : D’après la FAO, l’agriculture urbaine est pratiquée aujourd’hui par 800 millions de personnes, qui produisent environ 15 % des denrées alimentaires mondiales. C’est donc loin d’être anecdotique, surtout quand on sait que la majorité de ces denrées servent à l’autosubsistance des ménages. Mais dans les pays des Nords, l’agriculture urbaine se fait plus discrète. En Île-de-France, les surfaces cultivées occupent 73 hectares, soit l’équivalent des parcs de la Villette et des Buttes-Chaumont réunis. La moitié sont des jardins familiaux et ouvriers, souvent cultivés par des habitants des quartiers populaires, d’origine étrangère ou âgés. Dans des cas extrêmes, comme à Detroit aux États-Unis, on a avancé l’existence de 1 500 fermes et jardins, impliquant directement jusqu’à 23 000 personnes.

    #flaminia_paddeu #agriculture_urbaine #écologie #covid_19 #géographie #urbanités

    pguilli @pguilli
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 27/04/2020

      déjà là
      ▻https://seenthis.net/messages/848015

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 17/02/2020
    2
    @odilon
    @touti
    2
    @reka @albertocampiphoto @odilon

    Fruit Walls : Urban Farming in the 1600s

    From the sixteenth to the twentieth century, urban farmers grew Mediterranean fruits and vegetables as far north as England and the Netherlands, using only renewable energy.

    https://solar.lowtechmagazine.com/dithers/fruit-walls-montreuil.png https://solar.lowtechmagazine.com/dithers/english-fruit-wall.png https://solar.lowtechmagazine.com/dithers/fruit-walls-pruning.png https://solar.lowtechmagazine.com/dithers/more-fruit-walls.png https://solar.lowtechmagazine.com/dithers/fruit-walls-improved.png

    ▻https://solar.lowtechmagazine.com/2015/12/fruit-walls-urban-farming.html
    #histoire #villes #urban_matter #arbres_fruitiers #agriculture_urbaine #alimentation #Montreuil #photographie #murs #murs_végétalisés #végétalisation

    ping @reka @albertocampiphoto @odilon

    CDB_77 @cdb_77
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 17/02/2020

      #espalier #palmette

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @antonin1
      Antonin @antonin1 CC BY-NC-SA 17/02/2020

      Ville de Montreuil - Les murs à pêches
      ▻https://www.montreuil.fr/environnement/les-murs-a-peches

      https://www.montreuil.fr/fileadmin/_processed_/4/1/csm_mursapeches_f910721f9e.jpg

      Patrimoine identitaire de la ville de Montreuil et territoire d’exception à l’échelle métropolitaine, les 34 hectares des murs à pêches représentent aussi un espace naturel de biodiversité et un haut lieu de la culture Montreuilloise.

      Il n’en reste plus grand chose au vu de la carte postale 1900.

      Antonin @antonin1 CC BY-NC-SA
    • @touti
      touti @touti 17/02/2020

      #Montreuil (quelques uns existent encore)

      touti @touti
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 17/02/2020

      Je mettrai bien un cerisier en palmette sur le mur en parpaing...

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @touti
      touti @touti 17/02/2020
      @odilon

      Hii @odilon faut faire vite, j’ai planté il y a plus d’un mois un pêcher (trouvé au marché avec de belles racines) à 10 cm du mur dans l’idée de le palisser car je ne dispose pas de place.
      Et le principe du mur qui réchauffe et protège l’arbre donne normalement de très bons résultats/fruits. Je crois me souvenir d’un reportage où c’est également fait de nouveau pour la vigne.

      touti @touti
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 17/02/2020

      Le mieux serait que je déplace la vigne pour la palisser contre le mur et mette un cerisier en palmette à la place actuelle de la vigne. J’irai voir fin de semaine si je trouve encore des cerisiers sur le marché.

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @touti
      touti @touti 7/03/2020

      Vigne Clos entre les Murs à Parnay près de Saumur
      Le pied reste au frais et traverse le mur.

      https://1.bp.blogspot.com/-0I2mRlk1KGQ/TiFr0Q7gcyI/AAAAAAAALc0/Vc6lj-h3Vik/s1600/WallsClosCs.jpg https://www.ot-saumur.fr/photo/gal/pic/gal-7146242.jpg

      touti @touti
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  • @pierre5
    Pierre Dumas @pierre5 CC BY 9/11/2019
    4
    @pierre5
    @mondes
    @odilon
    @kassem
    4

    Les agricultures urbaines se développent rapidement et agissent sur la construction d’une ville jardinée, durable, voire résiliée #agriculture #environnement #ville #jardins #développementdurable ►https://sms.hypotheses.org/20744

    Pierre Dumas @pierre5 CC BY
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 9/11/2019

      #agriculture_urbaine #ville_jardinée

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 5/09/2019
    1
    @kent1
    1
    @simplicissimus @reka @odilon @fil

    Je fais appel aux magnifiques seenthisien·nes !

    Je me rappelle d’une #carte, que mon cher copain a prêté à quelqu’un et qui ne lui a jamais été retournée (sic), de #Sarajevo... une carte où on montrait la ville assiégée et les #jardins_potagers qui y étaient cultivés pour survivre...

    La question est la suivante : savez-vous si peut-être je peux retrouver cette carte quelque part ?
    Et autre question : je pense que ce phénomène de transformer les #parcs_urbains en jardins potagers lors de moments de crises n’est pas une spécialité de Sarajevo... Avez-vous d’autres exemples ? Dans d’autres lieux et/ou d’autres époques ?

    Merci !

    #alimentation #guerre #jardinage

    @simplicissimus @reka @odilon @fil

    CDB_77 @cdb_77
    • @simplicissimus
      Simplicissimus @simplicissimus 5/09/2019

      Siege of Sarajevo, Survival Map 1992-1996 ?
      ▻http://famacollection.org/eng/fama-collection/fama-original-projects/10/index.html

      http://famacollection.org/projects/10/mapa.jpg

      Simplicissimus @simplicissimus
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 5/09/2019
      @cdb_77

      Je n’ai pas le temps de chercher @cdb_77 mais j’ai en tête des cas de sécheresse sévère où les éleveurs sont tentés d’emmener leurs troupeaux dans les parcs protégés pour qu’ils puissent s’alimenter. C’était l’an passé, au Kenya je crois, mais je ne sais pas s’ils ont obtenu satisfaction. Et en France aussi, certains éleveurs avaient exprimé une demande dans ce sens. Peut-être peut faire une recherche sur cette base.

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 5/09/2019

      et là le référencement que tu cherches
      ▻https://seenthis.net/messages/262701

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @rd74
      rd74 @rd74 5/09/2019

      Dans pas mal de villes, les interstices ont été utilisés pour une agriculture de subsistance. Marion Ernwein saura peut-être te donner des exemples. Baltimore et Detroit,...
      Pour la carte de Sarajevo, peut-être que Béatrice Tratnjek, qui a pas mal bossé sur la géo de la ville en guerre dans les Balkans, pourra t’aider ? ▻http://geographie-ville-en-guerre.blogspot.com

      Régis.

      rd74 @rd74
    • @george
      George @george CC BY 5/09/2019

      Je ne sais pas s’il y a un rapport mais c’est intéressant :
      Inside London’s first underground farm | The Independent
      ▻https://www.independent.co.uk/Business/indyventure/growing-underground-london-farm-food-waste-first-food-miles-a7562151.

      https://static.independent.co.uk/s3fs-public/thumbnails/image/2017/02/03/17/growing-underground-6-0.jpg

      At a time when UK supermarkets haven taken to rationing vegetables as a result of a poor harvest in Southern Europe, one green-fingered duo have found a new solution to the healthy-eating problem: Grow your own greens, deep down below the City of London.

      If you get off the tube at Clapham Common and then step into a cage-like lift that takes you about 100ft below the bustling streets of South London, you’ll find yourself in Growing Underground, an urban farm, housed in a network of dark and dingy tunnels originally built as air-raid shelters during World War II.

      George @george CC BY
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/09/2019

      A #Lisbonne, les parcs deviennent des #potagers_urbains

      https://reporterre.net/local/cache-vignettes/L720xH484/arton7549-14346.jpg?1559839900#.jpg

      A Lisbonne, la municipalité a réagi à la #crise en faisant le pari que l’agriculture urbaine pouvait avoir un rôle social. Des hectares d’espaces verts sont devenus des potagers urbains, et les parcelles attribuées sur critères sociaux à 500 familles. Une façon d’augmenter leurs revenus, tout en améliorant la résilience de la ville et en répondant au changement climatique.

      Et si l’agriculture urbaine pouvait avoir un rôle social ? C’est le pari qu’a fait la mairie de Lisbonne. Car avec la crise, « les gens quittaient la ville et la qualité de vie baissait », observe Duarte Mata, architecte et conseiller auprès du maire en espaces verts et développement durable.

      Depuis 2008, la municipalité a décidé de revoir son approche. Au programme : jardins, vergers et potagers urbains, parcs, corridors verts et pistes cyclables pour relier tous ces espaces de respiration.

      Sur 32 hectares d’espaces verts, 7 sont devenus des potagers ou des jardins urbains. Des parcelles de 50 mètres carrés pour les plus petites, 1500 mètres carrés pour les plus grandes, ont été attribuées à 500 familles. Le but est de doubler ce chiffre d’ici 2017.

      https://reporterre.net/local/cache-vignettes/L700xH492/ar-aa86b.jpg?1517778921#.jpg

      Compléter les revenus, améliorer l’alimentation

      Les plus grandes parcelles sont distribuées en priorité aux chômeurs ou personnes habitant des logements sociaux. « Elles ont vraiment un rôle social, insiste Duarte Mata. Elles permettent de compléter des revenus insuffisants et d’améliorer la qualité de l’alimentation de la famille. »

      Mais cela a aussi transformé le visage de la ville. Les pelouses vertes laissent peu à peu place à des jardins riches en biodiversité. Les occupants de parcelles ont l’obligation de laisser le passage aux promeneurs dans les allées. « Les parcs ont désormais plusieurs fonctions : récréative, mais aussi de production alimentaire, se félicite l’architecte. Et la présence de personnes dans les jardins crée un sentiment de sécurité pour tous. »

      https://reporterre.net/IMG/jpg/dm.jpg

      Forte de ce succès, la ville est donc en train d’augmenter la surface des parcs, tout en diminuant les coûts d’entretien. Plus besoin d’arroser les pelouses tout l’été pour les garder bien vertes, ou d’arroser d’herbicides les allées. « Désormais, ce sont les citoyens qui s’occupent des parcs », se réjouit Duarte Mata. Des formations à l’agriculture biologique sont même proposées aux heureux occupants de parcelles.
      Faire face aux pénuries alimentaires et au changement climatique

      De quoi créer une ville plus verte, mais aussi plus résiliente. C’est ce que souligne un article des Centres de ressource en agriculture urbaine, qui résume le plan stratégique d’Agriculture urbaine de la capitale portugaise :

      « Ce plan souligne combien l’agriculture urbaine est importante pour une ville, principalement à cause de sa dépendance aux légumes frais, de la montée des cours internationaux, et du revenu supplémentaire que cela apporte aux familles. Un autre facteur (…) est que cela permet de faire face aux éventuelles pénuries alimentaires. (…) Vous ne savez jamais ce qui peut arriver – événements soudains, catastrophes naturelles ou guerres (…). Par exemple, Lisbonne est située dans une région sismique et subit fréquemment des tremblements de terre, dont un en 1755 qui fût l’un des pires de l’histoire humaine. »

      Résilience, et donc également adaptation au changement climatique. « Chaque année les pluies sont plus intenses, nous avons eu cinq inondations rien que cet hiver », souligne Duarte Mata. Les sols cultivés permettent d’absorber le trop plein d’eau et d’atténuer les conséquences des fortes averses. L’été, les jardins permettent à l’inverse de lutter contre les vagues de chaleur, elles aussi de plus en plus fréquentes.

      https://reporterre.net/local/cache-vignettes/L700xH574/ar2-e7d42.jpg?1560958573#.jpg

      Lisbonne n’a donc pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin. Trois hectares de vigne, situés dans la ville, sont entretenus par un vigneron de la région. « C’est beau, c’est agréable pour la population, et cela permet à la mairie de produire du vin de la ville », explique le conseiller.

      Mais surtout, d’ici un an c’est carrément une ferme urbaine qui devrait voir le jour. Six hectares de maraîchage seront consacrés à la formation des chômeurs. La production sera vendue sur le marché local.

      De quoi transformer le paysage social de la ville, mais aussi de « faire vivre les gens au rythme des saisons, de la nature », espère l’architecte.

      ▻https://reporterre.net/A-Lisbonne-les-parcs-deviennent
      #agriculture_urbaine

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/09/2019

      Raphaëlle Guidée sur FB :

      Mon grand-père avait son jardin potager dans #Paris pendant la guerre. Avec des poules et des oeufs pour donner des protéines à ma mère pendant le rationnement. Je ne sais pas si c’était dans un parc, je vais me renseigner.

      ▻https://www.facebook.com/cristina.delbiaggio/posts/10156091823775938?comment_id=10156091865940938

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/09/2019

      Benjamin Vanderlick sur FB:

      je trouve une photo de terrasse potager à Sarajevo pendant le siège (mais n’ai pas de connaissance de carte qui les mentionnait). On a eu assez peu de sièges aussi long ces derniers temps pour qu’une agriculture urbaine s’organise au niveau urbain. Au moment de la 2e Guerre mondiale, il j’ai aussi eu des témoignages d’augmentation de surfaces cultivés dans les jardins, peut être même que cela était l’occasion de faire aussi un peu de business quand les revenus avaient chutés

      https://i.imgur.com/Dk8jUbr.jpg

      ▻https://www.facebook.com/cristina.delbiaggio/posts/10156091823775938?comment_id=10156091876300938

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/09/2019

      Massimo Usel sur FB:

      En #Suisse et à #Genève lors du #plan_Wahlen plusieurs parcs ont été cultivés. J’ai trouvé des photo avec google

      https://i.imgur.com/Cj8VB0h.jpg

      ▻https://www.google.com/search?q=plan%20Wahlen%20gen%C3%A8ve&client=firefox-b-d&source=lnms&tbm=isch:
      ▻https://www.facebook.com/cristina.delbiaggio/posts/10156091823775938?comment_id=10156091882820938

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/09/2019
      @george @odilon @rd74

      Merci @george... et merci à tou·tes les autres : @odilon et @rd74 notamment...
      et j’ajoute en fait des tags : #sous-sol #underground #souterrain #Londres

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/09/2019

      Damascus Residents Build Gardens To Feed Themselves

      Disease and malnutrition run rampant and food is scarce in many rebel-held areas blockaded by the Syrian government.

      https://img.huffingtonpost.com/asset/567481dc160000d400eb9467.jpeg

      Green rooftops are popping up across Damascus in neighborhoods under government siege. With no sign of the blockade letting up and no available agricultural land, residents in the rebel-held areas of the capital are making use of open roofs, sunlight and seeds to feed their families

      Rebel-held areas on the outskirts of Damascus have endured more than two years of government blockades aimed at making them surrender or face the prospect of starvation. Disease and malnutrition run rampant and food is scarce.

      Like in many other such areas across the country, some residents of these besieged areas have mustered the will and energy to adapt and survive, often in ingeniously creative ways.

      Notably, rooftop gardens are popping up across the towns that are allowing people to find new ways of feeding themselves and their families. Green patches now dot the rooftops of southern Damascus neighborhoods like Yelda, Babila and Beit Sahem, areas of the capital that have been under government-imposed siege for nearly 24 months.

      ▻https://www.huffpost.com/entry/syria-war-garden_n_567481a2e4b0b958f656c7f9

      #Syrie #Damas

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/09/2019

      "They tried to bury us, but they didn’t know we were SEEDS"

      The 15th Garden, a cross-border movement for food sovereignty in Syria

      Report of two presentations about “The 15th Garden” by Ansar Hevi. This report combines the presentation and discussions during a workshop at Reclaim the Seeds in Nijmegen on March 4 and a meeting in Amsterdam on March 6 2017.

      Ansar Hevi shared with us her story about the 15th Garden, a beautiful, inspiring project for food sovereignty in Syria, where people show their strength via self-organization in a country in war. “In order to understand this project, we have to understand what is happening in Syria”.

      Ansar showed a map of Syria - not one with occupied areas, which we always see in the news - but showing the agricultural produce. Based on this map the political situation and start of the was in Syria was explained. The media in Europe write about the violence and cruelties, but meanwhile the life goes on and so does the revolution. We were the first to watch the latest movie Field of Battle by Abou Naddara where we see farmers continuing their everyday work on the field, with the sounds of war - bombs and gunshots - close by. “They have to, because they are the ones who feed the people. If they stop farming, their community has no food.” and “Farming is about long term planning. Your work for the next 6 month.” Ansar explained how food is used as a weapon. But, as always, there is resistance from the people. She shows a picture from the south of Damascus which states: “One day we will blast the soil open with flowers. The Revolution continues.”

      https://www.reclaimtheseeds.nl/pictures/2017/plaatje-15thgarden-klein.jpg

      In 2011, the uprising started in the countryside. On the 15th of March there was a demonstration in Damascus in solidarity with the people in Egypt. On the 18th of March, there were also demonstrations in the south. People were angry at the police. Children had sprayed graffiti on the walls of their schools with sentences they’d seen in Egypt. These children were taken away, tortured. Their parents protested and screamed hopelessly, but the governor told them: “Go home, and make new children.”

      It is remarkable that this were often regions were the Baath party from Assads father had been popular in the past because land reforms of this regime that was relatively socialistic in the ’70s. People had free health insurance, free education etc., but no political rights whatsoever. The government employed half of the working class. But in the meantime there were 17 secret services to control the population and each other. Also the agriculture sector was controlled by the state which is one of the reasons that it is so hard right now to start up local and an independent food production.

      Since the 1990s, Syria had become more and more liberal economically. There was a dictatorship with neo-liberal policies that aligned with the bourgeoisie elites of the country. Because of reduced financial support from abroad the regime had to reduce its expenses. This resulted in the dismantling of the social system. Still, Syria was food sovereign, but farmers had to produce more export, water-intense crops instead of food for the own population. Up until 2011, agriculture was the most important pillar of the economy with 27% of the GDP (in comparison with the industry, only 7% of the GDP). Before 2011, roughly 37% of the country was used for agriculture.

      But after the uprising in the countryside in 2011, everything changed. From the beginning food has been used as weapon to control the people. Around the first besieged cities the agricultural land was ruined. The army of Assad wrote on the walls “Starve or go down on your knees”. They started to undertake all kinds of methods to starve people and make them surrender. Food is used as weapon in various ways:

      – bakeries are bombed;
      – people in prison are starved;
      – fields are burned, right before harvest time;
      – seed banks are bombed, which makes many varieties, adapted to that specific climate over thousands of years, lost for ever;
      – agricultural fields around Kobani are mined;
      – fruit trees are cut and burned;
      – urban and rural communities are sieged;
      – ’policy of scorched earth’: the army goes to an area, burns the soil and forbids access to the area.

      https://www.reclaimtheseeds.nl/pictures/2017/15th-garden-2015-Yalda-350.jpg

      In this way, farmers have been pushed to the cities more and more. They are unable to leave the city, and so they have no other option than to start urban city farms, often on a roof. “If you’re lucky, you have a taller building next to you, so you are protected against gunfire.” Syrians are proud people. “They don’t want to be objects of development aid - they want to be in charge of their own lives: that is food sovereignty.” In besieged areas, people even exchange their car for a kilo of rice.

      People do anything to obtain seeds, which they can sow in their (urban) gardens. These seeds have to be open pollinated seeds, so that the people can save more seeds for the next planting period.

      While the news is extensively covering the international refugee crisis, there is less attention to the people who remain in Syria, many of whom are living under siege. With their cities under attack, it can be extremely difficult to get basic necessities, like food and fresh products. The short movie ’Love during the siege’ gives a good impression of the life in a besieged neighbourhood.

      https://www.reclaimtheseeds.nl/pictures/2017/15thgarden-huis-350.jpg

      The 15th Garden is bringing life and vivacity back to these war-torn cities across Syria. It supports locals starting gardens in empty lots, teaching them skills, and provides assistance to existing urban and rural farms. Two main goals of 15th Garden is to get food to those trapped in cities while raising awareness about food sovereignty.

      In Europe the 15th Garden still has to explain people about the cruel situation in Syria. There is a lot of attention for IS. “But there is an important difference between IS and regime: IS is proud about their cruelties while the regime is hiding it. In the past years many more people have been killed and injured by the regime.” There are about 50 communities besieged by the regime and 2 by IS, in one case even together with the regime.

      One major obstacle has been the acquisition of seeds to get the garden projects started. The regime has always been centralised the distribution of seeds; farmers had to hand in their harvest and received new seeds the next season. And obviously the war situation and sieges made it even harder to get access the right seeds.

      https://www.reclaimtheseeds.nl/pictures/2017/15th-garden-2014-Camp-Yarmouk-350.jpg

      Another problem at the start was the lack of knowledge. Many people in the urban areas didn’t know how to grow food. And this resulted in some disappointments as well. To spread the knowledge and to educate gardeners people in Syria publish and distribute newspapers, add tutorial on Youtube and use the radio to reach people.

      Ansar: “It’s beautiful to see the creativity of people, their passion, their will to make it work, and they manage!” Currently, the 15th Garden is also thinking on setting up ways to teach farmers to make and repair their own tools and machines. There are still many challenges, everybody in the network wants food sovereignty, during and after the war: decide about what you want to eat. access to land and to seeds.
      Support the 15th Garden

      In Amsterdam the presentation resulted in a talk about how people in the Netherlands can help and contribute to the network. Some ideas that have been mentioned:

      – Collect seeds to send to Syria. It is important to collect the right seeds: open pollinated, from crops that do grow in the Syrian climate and soil, preferably crops that people like to grow. It is better to have larger quantities of a few good crop than many small bags of many different crops. It would be best to organise the packaging and transport of the seeds before we start to collect them.

      – Help with the production of tutorials for the Syrian gardeners. A lot of info has already been shared on Youtube. There are still some topics uncovered.
      Similar support is also organised for other professions like fire fighters and doctors.

      – Spread the critical news about Syria. Also in the Netherlands people see the IS as the main problem in Syria while many more people are killed by the Assad regime. It would be good to spread the message that also Assad has to go to make peace possible. This can be done by contacting the media but as well by organising solidarity protests in the streets when something happened (again) in Syria and join Syrian protests in the cities in the Netherlands.
      At the meeting in Amsterdam there were as well people who could help with awareness programmes for schools or raise the topic within Syrian women organisations.

      – Raise money for the 15th Garden network. The network is doing a lot of good work but for some of their activities they need some money. A fundraiser can go well together with spreading information about the continuous struggle and revolution in Syria. This could for example be done by organising a benefit dinner. It is already possible to donate. Transfer money to:

      Bassateen e.V.
      IBAN: DE27 4306 0967 1182 7353 00 / BIC: GENODEM1GLS / GLS Bank
      (It is a German bank account. So it could be the case that there will be charges for international charges. Please check this with your bank!)

      – Invite Syrian refugees (and other refugees) to your existing garden project or start a new project with refugees. There are concrete plans to do this at a garden project at a refugees centre at the former Bijlmer Bajes.

      Please contact 15thgarden-nl@aseed.net if you would like to help with one of those ideas or if you have another idea to support the 15th Garden in the Netherlands.

      https://www.reclaimtheseeds.nl/pictures/2017/15thgarden-maisopdak-600.jpg https://www.reclaimtheseeds.nl/pictures/2017/15th-garden-2014-Yalda-600.jpg

      ▻https://www.reclaimtheseeds.nl/rts2017-15th-garden-syria.htm

      CDB_77 @cdb_77
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 7/09/2019

      J’y pense, Cuba ! Sous embargo américain les habitant·es de Cuba ont développé l’agriculture urbaine. Je pense que tu trouveras facilement des références sur ces initiatives.

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/09/2019
      @odilon

      Merci @odilon je mets le tag #Cuba...

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/09/2019

      Dig for Victory! New histories of wartime gardening in Britain

      Prompted by the curious fact that both progressive environmentalists and Conservative Party politicians have recently drawn on popular understandings of austerity associated with Britain?s wartime domestic gardening campaign, this article broadens the range of histories associated with #Dig_for_Victory. It suggests firstly that far from simply encouraging self-sufficiency, the government conceptualised Dig for Victory as requiring the extension of order and control into the domestic sphere. Second, it shows how the ideal figure of a national citizen digging for victory elided differentiated gender and class experiences of gardening, and finally the article demonstrates that statistics of food production were more about fostering trust than picturing the realities of vegetable growing. By so doing the paper illuminates the particular ways in which present-day articulations of Dig for Victory?s history are partial and selective.

      ▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0305748812000230

      #UK #Angleterre

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/09/2019

      The kitchen garden movement on the Soviet home front, 1941–1945

      During World War II, Britain, the United States and the Soviet Union had thriving domestic gardening movements. Actively promoted by their governments, gardening was supposed to supplement diets and nourish the patriotic spirit. In the Soviet Union, however, gardening was much more than a patriotic duty; it was often a matter of survival, the primary means of supplementing near starvation bread rations. Amidst incomparable, catastrophic wartime conditions, the huge Soviet gardening movement was distinguished by the speed with which it was implemented and taken up, predominantly by women. Based on original archival and published sources, this article examines in depth the Soviet wartime legislative framework, material resources and propaganda that promoted individual kitchen gardens. The article analyzes the way the state organized and promoted individualist, small-scale urban horticulture – a politically risky initiative given that it conflicted with the Stalinist model of large-scale, industrialized agriculture – and argues that in promoting gardening self-sufficiency, the Soviet socialist state shifted much of its responsibilities for food production onto its citizenry. The article not only aims to shed new light on the crucial role gardening played in feeding a famished citizenry but also the distinctive way in which Soviet propaganda, in giving voice to the psychological satisfaction of gardening, tapped into women’s commitments to the family, in intimate alignment with patriotic, home front defence of the Soviet Motherland.

      ▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0305748818301324
      #Union_soviétique

      CDB_77 @cdb_77
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  • @alexiab
    alexiab @alexiab 27/05/2019

    Agriculture urbaine en France, le jeu des sept familles
    ►https://theconversation.com/agriculture-urbaine-en-france-le-jeu-des-sept-familles-107381

    • #France
    alexiab @alexiab
    • @alexiab
      alexiab @alexiab 27/05/2019

      #agriculture_urbaine

      alexiab @alexiab
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  • @alexiab
    alexiab @alexiab 27/05/2019

    Agriculture urbaine et urbanisme : la terre et le faire, ce que cultiver la ville produit dans les espaces urbains

    Pourtant, les utopies urbanistiques du tournant du XXe siècle imaginent un renforcement des liens entre ville et agriculture. Face à l’industrialisation massive, plusieurs praticiens développent des utopies hybrides : citons par exemple l’architecte américain Frank Lloyd Wright et son modèle de Broadacre City ou, plus connu en France, l’urbaniste britannique Ebenezer Howard avec celui de la cité-jardin.

    http://www.revue-urbanites.fr/wp-content/uploads/2018/04/Bognon_Cormier-Illu2.jpg

    ▻http://www.revue-urbanites.fr/10-bognon-cormier

    alexiab @alexiab
    • @alexiab
      alexiab @alexiab 27/05/2019

      #agriculture_urbaine #urban_matter

      alexiab @alexiab
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  • @alexiab
    alexiab @alexiab 27/05/2019

    Migrer et cultiver la ville : l’agriculture communautaire à Malmö (Suède)

    Alors que la littérature francophone sur l’agriculture urbaine met traditionnellement l’accent sur le raccourcissement des chaînes de production à travers le développement des circuits courts, ou encore sur la fonction écologique de ces espaces agricoles (Lamine et Deverre, 2010), nous proposons de nous pencher sur un aspect moins étudié du métabolisme alimentaire urbain : l’alimentation des personnes en situation de migration, dont l’accès à des produits culturellement appropriés peut s’avérer problématique.

    http://www.revue-urbanites.fr/wp-content/uploads/2018/04/Hochedez_couv-560x420.jpg

    ►http://www.revue-urbanites.fr/10-hochedez-malmo

    alexiab @alexiab
    • @alexiab
      alexiab @alexiab 27/05/2019

      #agriculture_urbaine #urban_matter

      alexiab @alexiab
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 25/03/2019
    2
    @recriweb
    @sinehebdo
    2

    Territori partecipativi

    Verso una geografia per la partecipazione
    Tiziana Banini, Marco Picone

    Orti urbani tra partecipazione e retorica. Il caso del #Comun’Orto di #Rovereto
    Angela Alaimo
    #agriculture_urbaine

    Sperimentazioni di pianificazione partecipata: #cross-action all’#Officina_dei_Saperi a #Ferrara
    Valentina Albanese, Domenico Casellato
    #planification #aménagement_du_territoire

    Associazioni e territorio: tracce partecipative nella #Valle_dell’Aniene
    Tiziana Banini

    I processi partecipativi nell’esperienza del Piano Paesaggistico Regionale del #Friuli-Venezia_Giulia
    Alma Bianchetti, Andrea Guaran

    Vulnerabilità e partecipazione in una piccola comunità della foresta amazzonica guyanese
    Elisa Bignante
    #Guyane #Amazonie #vulnérabilité

    Partecipazione e identità territoriale. Il caso di #Castel_del_Giudice (Molise)
    Stefano De Rubertis, Angelo Belliggiano, Marilena Labianca

    Tra didattica partecipata e “nuove” forme partecipative dell’abitare: l’esperienza di un docufilm
    Isabelle Dumont
    #film_documentaire #habiter

    Progettualità e partecipazione nella Strategia Nazionale per le #Aree_Interne: il #Basso_Sangro-Trigno
    Valentina Evangelista

    The City of the Sensitive and the Brave. Personal Stories, #Art and Place-Making in #Cluj, #omania
    Kinga Xénia Havadi-Nagy, Oana-Ramona Ilovan
    #Roumanie

    La participation pour la protection de l’#eau en #Bretagne: quelle place pour les “territoires”?
    Emmanuelle Hellier

    Sviluppo locale e pratiche partecipative: tra aspettative deluse e innovazioni territoriali inaspettate
    Marina Marengo
    #développement_local #innovation #innovations_territoriales

    Innovazione sociale e istituzionalizzazione: l’esempio delle cooperative di comunità nell’area interna dell’Appennino Emiliano
    Maria Giulia Pezzi, Giulia Urso
    #innovations_sociales #coopératives #Apennins

    Roll-with-Participation. Il caso di #ProMondello a #Palermo
    Marco Picone
    #Palerme

    Processi partecipativi glocal. Il caso di #Isernia
    Emilia Sarno

    La #participation_citoyenne via un appel à projets: interprétation libre ou imposée de la participation, de l’#identité et de la #convivialité villageoise?
    Serge Schmitz

    Coesione e partecipazione territoriale per un rinnovato concetto di cittadinanza attiva. Il caso di #Urban_Experience
    Silvia Siniscalchi
    #cohésion_territoriale #citoyenneté #citoyenneté_active

    Identità, conflitti e riqualificazione: i processi partecipativi nel quartiere #Bolognina a #Bologna
    Diana Sprega, Emanuele Frixa, Matteo Proto

    #requalification #Bologne

    https://www.ageiweb.it/geotema/wp-content/uploads/2019/01/copertina_56-001-773x1024.jpg

    ▻https://www.ageiweb.it/geotema
    #géographie #revue #participation #Italie #territoire

    CDB_77 @cdb_77
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 16/07/2019

      Geotema 56, Anno XXII, 2018 gennaio-aprile
      ▻http://www.ageiweb.it/geotema/geotema56

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 3/03/2019

    « 3, 2, 1… Plantez ! », un défi pour une ville plus verte !

    À l’occasion de la clôture de la COP24, la #Ville_de_Grenoble lance un #défi aux Grenoblois.e.s., dans le cadre de ses actions en faveur du #climat. « 3, 2, 1… Plantez ! » est un véritable #appel_à_plantations, pour créer ensemble une ville plus verte et plus fraîche en été.

    https://www.gre-mag.fr/site/wp-content/uploads/2019/01/logo-defi-321.jpg

    Le top départ est lancé. Depuis la mi-décembre et jusqu’en avril, le #concours est ouvert avec, comme terrain de jeux, l’espace privé extérieur des habitant.e.s de la cité alpine : maison, copropriétés, commerce, local associatif, entreprise…

    Sans compétition, l’objectif est de faire croître la #végétation_en_ville, bénéfique à bien des égards : apports d’ombre et de #fraîcheur lors des fortes chaleurs, une meilleure circulation de l’air, plus de #biodiversité, etc.

    Idées neuves

    Que ce soit en façade, dans un jardin, une cour, ou encore sur les balcons, toutes les idées et les envies sont à faire pousser pour #végétaliser.

    Une fois inscrits, les participants recevront des #conseils_personnalisés et un #soutien_financier (pour les projets de végétalisation de façades sur rue uniquement).

    À mi-parcours, les #jardiniers_créatifs seront invités à une première rencontre pour échanger des astuces et bénéficier des conseils de professionnels. En mai 2019, les projets réalisés et leurs auteurs seront mis en avant avec une remise de #prix.

    ▻http://www.gre-mag.fr/breves/defi-3-2-1-plantez-plantation-jardinage-ville-verte
    #agriculture_urbaine #urban_matters #villes #Grenoble

    v. aussi :
    ▻https://www.grenoble.fr/1324-defi-plantation-3-2-1-plantez.htm

    • #Grenoble
    CDB_77 @cdb_77
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  • @filmsforaction
    filmsforaction [RSS] @filmsforaction 26/02/2019
    1
    @recriweb
    1

    Growing an Abundance of Food in the City Using Permaculture
    ▻https://www.filmsforaction.org/watch/growing-an-abundance-of-food-in-the-city-using-permaculture

    The Plummery is a suburban home where a backyard permaculture garden measuring only 100sq/m (1076 sq feet) produces over 400kg/900 pounds of food year-round. Kat Lavers describes her approach to...

    filmsforaction [RSS] @filmsforaction
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 26/02/2019

      https://www.filmsforaction.org/img/large-wide/d025c9f1-04c7-4b26-827e-67d3046987fc.jpg

      #permaculture #agriculture #alimentation #urban_matter #agriculture_urbaine #The_Plummery #Kat_Lavers #WWOOFers

      Plus sur The #Plummery :
      Feeding #RetroSuburbia

      https://retrosuburbia.com/wp-content/uploads/2017/10/Feeding-RetroSuburbia-eBook-cover-750px.jpg

      ▻https://retrosuburbia.com/case-studies/the-plummery
      #livre

      CDB_77 @cdb_77
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  • @mad_meg
    mad meg @mad_meg CC BY 17/02/2019
    2
    @reka
    @odilon
    2

    Arrivera-t-on à nourrir Paris avec des fermes urbaines ?

    Manifestement non, mais jardiland veut bien nous vendre des kits loisir-déco pour potagers d’intérieur.
    ▻https://www.liberation.fr/france/2019/02/14/arrivera-t-on-a-nourrir-paris-avec-des-fermes-urbaines_1709305

    https://medias.liberation.fr/photo/1171486-prodlibe.jpg?modified_at=1550149852&width=960

    Voici donc Philippe Pont-Nourat, directeur des relations internationales de Sodexo France. Chaque jour, ce leader de la restauration collective nourrit 2,5 millions de personnes en France (dont Libération). Vu la nature de son activité, cette firme n’est pas étanche aux débats du moment. « Et donc, on s’est dit qu’on allait faire un potager sur le toit de notre siège, à Issy-les-Moulineaux [dans les Hauts-de-Seine] », a ainsi annoncé Philippe Pont-Nourat.
    Rendement bas

    Ce n’est pas gratuit, cela coûtera 31 000 euros, y compris les dispositifs de communication. Mais surtout, c’est un métier. « On a commencé au printemps et cette année, le climat n’était pas formidable. En plus, comme on est en hauteur, on n’avait pas prévu l’effet du vent. » Bref, le rendement était tellement bas que « la botte de persil aurait même été trop chère pour un chef étoilé ! »

    Néanmoins, « l’impact sur les salariés a été très intéressant. Ils ont découvert l’hydroponie, allaient voir où en étaient les carottes. Et ils pouvaient réserver des paniers ». On ignore quelle a été la part de ces musettes dans le budget alimentation des salariés de Sodexo.

    A lire aussiEn Seine-Saint-Denis, des fermiers au pied du métro

    Mais pour la population générale, il ne faut pas se faire d’illusions : « Ce n’est pas avec des fermes urbaines que l’on va nourrir des villes comme Paris. » Qui dit ça ? Le directeur général d’InVivo « premier groupe agricole coopératif français » dixit son site, Thierry Blandinières. Certes, admet-il, il existe une forte demande de production locale et « ça permet à beaucoup d’agriculteurs dans des exploitations de petite taille de trouver là un revenu de complément ».
    « Prouesse »

    Cela dit, pour lui, il n’y a aucun doute : « Le tout bio est impossible pour nourrir 9 milliards d’habitants », chiffre probable de la population mondiale à brève échéance (les Nations unies tablent sur une population de 9,7 milliards d’individus en 2050). Mais comme InVivo est aussi propriétaire des jardineries Gamm Vert, Jardiland et Delbard, il n’est pas question de désespérer le client. « Nous avons décidé de réinventer le potager à partir de nos magasins. » Ah oui ? « Nous leur ajoutons des boutiques où l’on trouve les produits des cultivateurs locaux. »

    A lire aussiAgriculture urbaine : plus bêle la ville

    Très bien. D’ailleurs, même le président directeur général de la Semmaris (le marché de Rungis), Stéphane Layani, le reconnaît : « Je suis sûr qu’il y a une demande de produits locaux et de circuits courts. » Au demeurant, « Rungis écoule les deux tiers de la production agricole de l’Ile-de-France ». Mais là encore, pas d’illusions à se faire : « Cela équivaut à 1,2% des besoins alimentaires de l’Ile-de-France. Donc, vous ne nourrirez pas la ville avec des toits plantés. » Et même pas avec le maraîchage de la Seine-et-Marne. Mince.

    Consolons-nous avec « le succès du modèle de Rungis à l’international ». Le site, au sud de Paris, « est plein comme un œuf » mais, son patron l’assure : « Des métropoles viennent nous voir pour reproduire ce modèle. » A savoir : « C’est une prouesse de nourrir chaque jour les Franciliens. Avec notre système d’approvisionnement, qu’il pleuve, qu’il neige, tous les matins, vous aurez du bonheur dans votre assiette ! » Un instant de lyrisme dans un colloque. Très rare.

    #alimentation #industrie #agro-alimentaire #ferme-usines #urbanisme

    • #Paris
    mad meg @mad_meg CC BY
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 18/02/2019

      #Sodexo #agriculture_urbaine #Philippe_Pont-Nourat #France #hydroponie #Paris #fermes_urbaines #urban_matter #InVivo #Gamm_Vert #Jardiland #Delbard #Semmaris

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 5/02/2019
    1
    @reka
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    Habiter le monde - Cuba - Les jardins potagers de La Havane | ARTE
    ▻https://www.arte.tv/fr/videos/072421-001-A/habiter-le-monde-cuba

    https://static-cdn.arte.tv/resize/zZHS-LZ-BoBoGwzh-dPi0pZkuY4=/1920x1080/smart/filters:strip_icc()/apios/Img_data/cache-buster-1545314028/12/072421-001-A_2612383.jpg

    Au cœur de la Havane, se trouvent des organopónicos, ou jardins-potagers. Créés dans l’urgence pour pallier les pénuries alimentaires cubaines à la suite de l’effondrement de l’URSS, ces espaces verts constituent un modèle d’agriculture urbaine biologique. Avec eux, les Cubains ont inventé une nouvelle manière de vivre la ville : sur les toits, les balcons, entre les immeubles, les surfaces cultivables s’improvisent sous toutes les formes. Accueilli par Dario et Lisy, Philippe découvre un savoir-faire qui se transmet d’une génération à l’autre.

    #Cuba #agriculture_urbaine #jardinage #maraîchage #La_Havane #urban_matter #alimentation #bio

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 6/02/2019

      #agroécologie

      Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 13/01/2019

    Sortie du nouveau numéro de la revue Carnets de géographes

    Jean-Baptiste Bing
    Géographicité de la #verticalité. [Texte intégral]

    Julien Gingembre
    Le #Sillon_Lorrain : quelle recomposition territoriale dans un espace multipolaire ? [Texte intégral]

    Anthony Goreau-Ponceaud
    #Hindouisme et pratiques spatiales des #Tamouls en Île-de-France [Texte intégral]
    Hinduism and spatial practices of Tamils ​​in Île-de-France

    #France #diaspora

    Stéphanie Lotz-Coll
    La #friche_militaire urbaine, un nouvel espace convoité ? [Texte intégral]

    Chiara Kirschner
    La gestion de l’#incertitude dans l’#itinérance_récréative : le #corps créatif à l’œuvre [Texte intégral]

    Laura Péaud
    Faire discipline : la géographie à la #Société_de_Géographie_de_Paris entre 1800 et 1850 [Texte intégral]

    Florence Orillard, Mathilde Gralepois et Laura Verdelli
    La prévention des #inondations dans les opérations d’aménagement des interfaces ville-port, un levier de #gentrification indirecte ? Le cas du Havre (France) [Texte intégral]
    #risques #Le_Havre #villes_portuaires #ports

    Adrian Foucher
    Du mobile à l’immobile [Texte intégral]
    Récit d’expérience migratoire dans les « #barracks » de #Belgrade
    #migrations #Serbie

    Basile Michel
    Construction de #cartes_mentales synthétiques : mise en avant des #représentations_spatiales collectivement partagées [Texte intégral]
    Le cas des travailleurs créatifs de quartiers urbains centraux de #Nantes et #Marseille

    Chloé Nicolas-Artero
    Une géographe engagée face aux rapports de pouvoir autour de l’#eau : retour réflexif sur les situations d’enquête au #Chili [Texte intégral]

    Camille Rouchi
    Une thèse CIFRE en collectivité territoriale : concilier la recherche et l’action ? [Texte intégral]

    Camille Robert-Boeuf
    Analyser le jardin collectif urbain en géographie : une lecture du #jardinage par les #émotions [Texte intégral]
    #jardins_urbains #jardinage_urbain #agriculture_urbaine

    David Villeneuve
    Enquêter auprès des chrétiens d’#Irak : considérations méthodologiques sur un terrain en « milieu difficile » [Texte intégral]

    ▻https://journals.openedition.org/cdg/1248
    #géographie

    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 8/12/2018
    3
    @recriweb
    @colporteur
    @die_brucke
    3

    Après la #croissance. Déclin urbain et #modèles_alternatifs

    Souvent dépeintes comme le terreau du populisme, les villes en déclin sont également des espaces d’#expérimentation d’alternatives au néolibéralisme. Dans ces villes, les politiques de développement renouvellent l’action publique en rompant avec le dogme de la croissance.

    https://laviedesidees.fr/local/cache-vignettes/L534xH400/arton4245-4d37c.png?1543913041#.jpg

    ▻https://laviedesidees.fr/Apres-la-croissance.html
    #décroissance #alternatives #villes #urban_matter #post-growth #Youngstown #agriculture_urbaine #Cleveland #USA #Etats-Unis #décroissance_territoriale

    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 7/12/2018

    La cité du futur sera végétale ou ne sera pas !

    #Hugo_Meunier, fondateur de la startup #Merci_Raymond (▻http://merciraymond.fr), signe ici une tribune pour nous inviter à réintégrer le végétal dans nos villes. Une évolution nécessaire pour nos villes et qui présente de nombreux avantages sociaux et environnementaux.

    En 2050, 70% des 9 milliards d’habitants que comptera la population mondiale vivra en milieu urbain. Effritement des liens sociaux, conséquences néfastes sur le bien-être et la santé des habitants, réchauffement climatique, pollution atmosphérique… ce phénomène de concentration urbaine va inévitablement s’accompagner de problématiques importantes auxquelles les agglomérations devront faire face.

    Si changer le visage des villes est une démarche longue et complexe, notamment en France en raison de notre patrimoine historique et des traditions architecturales, on constate déjà l’apparition de nombreuses innovations centrées sur le végétal. Des innovations qui devront, pour rendre la vie quotidienne des urbains moins anxiogène, dessiner le visage de nos quartiers dans les prochaines années.

    Fermes maraîchères, #toits_potagers, cultures en sous-sol… le quartier sera productif

    Il est primordial d’améliorer l’usage de nos #espaces_publics à travers l’installation de lieux productifs partout où cela est possible. Friches, toitures, sous-sols… les innovations en termes de productions maraichères permettent déjà la mise en place de potagers dans ces différents endroits, qui restent encore souvent inoccupés.

    Il est ainsi possible de développer de véritables fermes productives urbaines intégrant des innovations comme les panneaux verticaux. Ce type de ferme verticale ne consomme que le strict minimum des ressources naturelles nécessaires à son bon fonctionnement grâce à un système intelligent et permet ainsi une production locale d’herbes aromatiques et de petits fruits et légumes sur nos toits.

    D’autres formes de cultures innovantes comme l’#aquaponie (culture de végétaux en symbiose avec des poissons) ou l’#hydroponie (culture hors-sol via un substrat inerte) offrent la possibilité de produire micro-pousses et légumes dans des endroits clos comme les sous-sols !

    Autant de méthodes permettant de développer l’agriculture urbaine et par la même occasion une consommation en circuit-courts de produits ultra-frais. Un écosystème de quartier qui entraînera de fait une meilleure connaissance des habitants sur la localité des fruits et légumes et leur saisonnalité (lorsqu’ils sont produits en extérieur), essentielle au mieux-consommer.

    Espaces verts et #jardins_partagés, la nature au service du bien-être et du lien social

    Ces dernières années, de nombreuses études ont constaté que la présence de végétaux en ville a un impact considérable sur le bien-être des individus : diminution du stress ressenti, amélioration des capacités de concentration et de patience, source de motivation à la pratique d’activités physiques (vélo, course à pieds)… Il a même été prouvé que commencer par regarder une plante en se levant permet de passer une meilleure journée.

    Or, nos villes manquent aujourd’hui cruellement d’espaces verts : Paris compte seulement 8% d’espaces végétalisés, après Londres (12%) et Montréal (25%). Il est donc essentiel de redonner une place de choix à la nature dans le milieu urbain, via la création de nouveaux espaces verts d’une part, mais également à travers la mise en place de jardins partagés.

    Ces lieux d’échange et de partage, au-delà des actions pédagogiques qui peuvent y être menées, permettent de recréer du lien social ainsi qu’une forme de solidarité entre les habitants d’un même quartier (qui souvent se croisent sans se connaître) à travers une action positive : le jardinage. La multiplication de ces potagers communs pourrait même à terme créer de nombreuses vocations de jardiniers urbains, notamment parmi la jeune génération de plus en plus en quête de sens dans son travail.
    Lutte contre la pollution et agrothérapie, le vert comme outil de santé publique

    Si les plantes possèdent d’innombrables vertus, la réintégration massive des végétaux au sein de nos villes pourrait notamment lutter efficacement contre deux des principaux enjeux environnementaux de notre époque : la pollution atmosphérique et le réchauffement climatique.

    Via la photosynthèse, les végétaux ont la capacité d’absorber les gaz polluants de manière très efficace : une seule plante suffit pour dépolluer 10m2 ! Mais le végétal pourrait également être un frein efficace à l’augmentation exponentielle des températures en ville.

    Outre l’ombre des arbres, l’évapotranspiration des végétaux permet de rafraîchir l’air en l’humidifiant et évite ainsi la création d’îlots de chaleur. Une augmentation de la surface végétalisée parisienne de 34 % permettrait par exemple de perdre jusqu’à 2 °C lors d’une canicule semblable à celle de 2003[1], et par là même de diminuer la mortalité en ces périodes de fortes chaleurs.

    http://www.socialter.fr/images/Articles/Tribune.002.png

    Les espaces verts sont donc un véritable outil de santé publique, améliorant aussi bien l’état de santé autodéclaré des habitants que leur état diagnostiqué par un médecin. Une hausse de 10 % de la densité d’espaces verts ferait même économiser à la Sécurité Sociale près de 100 millions d’€ par an du fait de la réduction de l’asthme et de l’hypertension.

    De nouvelles méthodes de soins telles que l’agrothérapie – qui consiste à traiter les patients à travers la nature et les plantes – pourraient également être mis en place dans les hôpitaux de nos villes.

    Un quartier vert serait donc synonyme d’habitants bien portants - aussi bien physiquement que mentalement – qui s’entraident davantage, redonnent du sens à leur vie quotidienne et consomment local. Un paysage qui peut certes paraître utopique et qui ne sera rendu possible qu’à la condition que chacun agisse à son échelle et que nos pouvoirs publics prennent réellement conscience de l’étendue des bienfaits de la nature en ville.

    Une chose est sûre : nous disposons, aujourd’hui déjà, de tous les moyens techniques pour créer les villes et quartiers de demain !

    ▻http://www.socialter.fr/fr/module/99999672/738/tribune_la_cit_du_futur_sera_vgtale_ou_ne_sera_pas_
    #agriculture_urbaine #villes #urban_matter #production_alimentaire #espace_public #quartiers #nature_en_ville #alimentation #Recherche-action_participative

    CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 29/11/2018

    Agriculture urbaine en France, le jeu des sept familles
    ►https://theconversation.com/agriculture-urbaine-en-france-le-jeu-des-sept-familles-107381

    https://images.theconversation.com/files/247331/original/file-20181126-140507-1xbmydo.jpg?ixlib=rb-1.1.0&rect=0%2C161%2C1200%2C600&q=45&auto=format&w=1356&h=668&fit=crop

    L’#agriculture_urbaine, on en parle beaucoup, mais qu’est-ce que c’est exactement ? Quelle différence avec l’agriculture « classique » ? Quelles différences entre fermes rurales et fermes urbaines ?

    Si plusieurs définitions – comme celle du Canadien Luc J.A. Mougeot (2000) et celle des Français Paula Nahmias et Yvon Le Caro (2012) – et plusieurs typologies – comme celles proposées par le Cerema, Exp’AU ou l’IAU – ont été avancées ces dernières années, nous nous référerons ici à la définition de Mougeot, qui définit l’agriculture urbaine comme :

    « Une production située dans (intra-urbaine) ou à la frange (péri-urbaine) d’une ville, cité ou métropole qui produit, élève, transforme et distribue une diversité de produits alimentaires ou non, (ré)utilisant largement les ressources humaines et matérielles, produits et services trouvés dans et autour de la zone urbaine et fournissant des ressources humaines et matérielles, produits et services majoritairement à cette zone urbaine. »

    Pour présenter ces formes variées, nous avons choisi de jouer au jeu des sept familles, chaque catégorie d’agriculture urbaine correspondant à un groupe. Nous décrirons pour chacune l’histoire de ses formes anciennes (ancêtres et parents) et celles de ses formes actuelles (enfants).

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 29/11/2018

      #France #villes #urban_matter #agriculture

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 29/11/2018
    3
    @corinne2
    @mad_meg
    @gastlag
    3

    Déraciner le patriarcat : genre et agriculture urbaine en Afrique du Sud
    ▻https://theconversation.com/deraciner-le-patriarcat-genre-et-agriculture-urbaine-en-afrique-du-

    https://images.theconversation.com/files/241834/original/file-20181023-169804-17jzo6k.jpg?ixlib=rb-1.1.0&rect=0%2C272%2C2044%2C1020&q=45&auto=format&w=1356&h=668&fit=crop

    Selon une étude menée en 2011 dans la région, les agricultrices utilisent davantage leur production pour nourrir leur famille que ne le font les agriculteurs.

    Elles choisissent souvent de donner une portion significative de leur surplus, plutôt que de la vendre, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire locale. Les groupes d’agricultrices donnent en moyenne 25 % de leur production aux crèches, aux cliniques et aux écoles, et en conservent 40 % pour nourrir leur famille.

    À l’inverse, les membres de l’un des rares groupes composés exclusivement d’agriculteurs ne gardent que 20 % de leur récolte pour leur famille, et vendent la majorité de leurs produits. Les aliments cultivés par les femmes sont ainsi bien plus accessibles à ceux qui n’ont pas les moyens de les payer.

    Partager ainsi la nourriture est une contribution puissante à la formation du capital social, qui joue un rôle vital dans le développement des communautés. Pour les agriculteurs urbains, ce capital diminue la vulnérabilité en créant des réseaux d’entraide et en élargissant les opportunités – formation, accès à la terre ou contributions d’ONG. Ces réseaux permettent de développer des liens entre fermiers et de construire des relations solides avec les organisations de la région.

    #agriculture #maraîchage #femmes #agriculture_urbaine #Afrique_du_Sud #patriarcat #sexisme

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 29/11/2018

      Pour les agricultrices, se réunir est aussi l’occasion de défier des normes patriarcales très enracinées, allant de la violence sexiste à l’accès inégal aux ressources. À Cape Town, un de ces groupes a aidé l’une de ses membres à poursuivre en justice son mari qui abusait d’elle sexuellement.

      Dans un autre groupe d’agriculteurs, mixte cette fois, où les hommes intimidaient les femmes pour obtenir leur obéissance, elles se sont alliées pour les évincer de la coopérative.

      Ces exemples soulignent combien l’oppression patriarcale y est généralisée et intériorisée par les hommes comme une norme. Ils soulignent aussi les moyens de défense qu’offre aux femmes l’agriculture urbaine en renforçant leur capital social.

      Elles y trouvent une voie d’accès à leurs droits et la capacité d’élever leur famille dans des conditions saines. Ces avancées ne sont toutefois possibles que si l’environnement institutionnel encourage spécifiquement les femmes.

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @mad_meg
      mad meg @mad_meg CC BY 29/11/2018

      #hommerie #masculinité

      mad meg @mad_meg CC BY
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 29/10/2018

    La ferme des possibles, le terreau d’une société plus solidaire
    ▻https://www.demainlaville.com/la-ferme-des-possibles-le-terreau-dune-societe-plus-solidaire

    https://www.demainlaville.com/content/uploads/2018/10/photo-2-6.jpg

    Nous sommes en 2018, et pourtant, au cœur de la Seine-St-Denis urbanisée subsiste encore et toujours des terres agricoles. Y a germé un projet à la limite de l’utopie, un projet économique qui prend en compte l’humain, le social dans une approche solidaire : la Ferme des possibles de Stains.

    #agriculture_urbaine #partage #travail #solidarité #urban_matter

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 29/10/2018

      #Seine-St-Denis #France #Ferme_des_possibles

      CDB_77 @cdb_77
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 6/10/2018
    4
    @val_k
    @odilon
    @cdb_77
    4

    Cuba’s Urban Farming Revolution: How to Create Self-Sufficient Cities | Thinkpiece | Architectural Review

    ▻https://www.architectural-review.com/essays/cubas-urban-farming-revolution-how-to-create-self-sufficient-cities/8660204.article

    https://www.architectural-review.com/pictures/2000x2000fit/1/4/6/1368146_01Carrot_Harvest.jpg

    Havanas’s unique agricultural infrastructure emerged from punishing trade sanctions following the fall of the USSR but today provides an exemplary precedent that could be applied worldwide

    When Cuba found itself abruptly cut off from trade with the Soviet bloc in 1989, the country entered into an economic crisis of unprecedented severity. Already sidelined from international trade due to US embargoes, Cuba became, almost overnight, a country detached from the rest of the world. In the years that followed, the tiny island nation struggled to export sugar and citrus fruits for more critical imports: the cereals, corn and meat that had become the staples of the Cuban diet. This was the beginning of Cuba’s food crisis, a period in which residents lost, on average, access to one third of their daily calories, the government instituted a peacetime austerity programme for food rationing, and most Cubans experienced widespread, inescapable hunger.

    • #Cuba
    Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 6/10/2018

      #jardins #économie_solidaire #solavie #amap #jardins_collectifs #jrdins-urbains #maraichage

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @nepthys
      Nepthys @nepthys 7/10/2018
      @reka

      Merci, @Reka.
      A celles et ceux qui voudraient mieux comprendre Cuba « de l’intérieur », je recommande les magnifiques documentaires de Bernard Mangiante :
      Les Gens du havane (1995) ▻http://www.lussasdoc.org/film-les_gens_du_havane-1,2298.html
      La Havane (1999) ►http://www.lussasdoc.org/film-sucre_amer_a_santa-lucia-1,7381.html
      Sucre amer à Santa-Lucia (2000) ►http://www.lussasdoc.org/film-sucre_amer_a_santa-lucia-1,7381.html
      Cuba entre deux cyclone (2009) ▻https://www.marxiste.org/international/amerique-du-sud/cuba/253-cuba-entre-deux-cyclones-un-documentaire-de-bernard-mangiante

      Nepthys @nepthys
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/10/2018

      #maraîchage #jardins_urbains #agriculture_urbaine #Cuba #auto-suffisance #auto-suffisance_alimentaire #alimentation #souveraineté_alimentaire #Havana #villes #urban_matter

      CDB_77 @cdb_77
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