Your Invitation to Suicide a tribute to the songs of Martin Rev & Alan Vega. Compil 16 titres sur Munster rds dont « Jukebox Babe » par son vieux complice Ben Vaughn.
▻https://munsterrecords.bandcamp.com/track/jukebox-babe
J’écoute pour la première fois state trooper de #bruce_springsteen et je me dis que ce pourrait être une chanson d’ .
Étonnant.
▻https://www.youtube.com/watch?v=wpvXfLlcHwc
(certain-e-s l’auront peut-être deviné, je suis en train d’écouter Nebraska).
C’est intéressant, lorsque j’ai publié ce message, j’ignorais que Springsteen reprend régulièrement sur scène une chanson de Suicide, Dream Baby Dream, chanson qu’il a aussi enregistrée sur un album.
▻https://www.youtube.com/watch?v=8zpUfZfe6v4
Bruce Springsteen était l’invité de Rebecca Manzoni lundi dernier, à l’occasion de la sortie de son dernier album. Une collection de reprises de standards soul "Only The Strong Survive" - Universal records.
▻https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/totemic/totemic-du-lundi-14-novembre-2022-2915838
Le Boss à propos de « Nebraska », son chef-d’œuvre paru il y a 40 ans :
« Quand on a un bon titre, c’est déjà un bon début : « Born in the USA », « Born to Run », « Darkness on the Edge of Town », ce sont des bons titres, ça vous donne une direction à prendre. Une bonne métaphore et un bon titre, c’est très important. » La musique de Bruce Springsteen est aussi très visuelle, écouter ses chansons, c’est comme regarder un film : « Je suis un grand cinéphile.
Martin Scorsese disait que « le travail de l’artiste est de faire en sorte que le public s’intéresse à vos obsessions. J’ai souvent composé de manière très cinématographique. « Nebraska » est rempli de ces histoires courtes. » Paru il y a 40 ans, les personnages de cet album prennent la route sans savoir où aller, des histoires d’hommes qui perdent leur boulot, se saoulent de désespoir et commettent parfois l’irréparable. Un album hautement cinématographique que n’aurait pas renié John Ford. Bruce Springsteen se remémore l’enregistrement de cet album, pierre angulaire de sa discographie : « C’est probablement mon meilleur album. J’avais 32 ans, je ne savais pas vraiment ce que j’avais fait. Je l’ai enregistré sur un petit magnétophone dans ma chambre. J’ai sorti la cassette de ma poche dans les bureaux de ma maison de disques en disant « Voilà, c’est le nouvel album ». À l’époque, l’enregistrement chez soi en basse fidélité ne faisait pas du tout partie de l’industrie musicale. »
Et pour poursuivre dans la veine cinématographique, le film de Sean Penn The Indian Runner est paraît-il inspiré de la chanson Highway Patrolman, chanson de l’album Nebraska.
▻https://en.wikipedia.org/wiki/The_Indian_Runner
J’aime beaucoup ce film. Charles Bronson y tient un rôle crépusculaire.
irl : De Bruce Springsteen à Taylor Swift, « les prix des concerts s’envolent, au risque d’accentuer une fracture entre les publics »
▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/11/25/de-bruce-springsteen-a-taylor-swift-les-prix-des-concerts-s-envolent-au-risq
Si l’on peut se réjouir de l’engouement pour les spectacles de ces artistes, après des mois d’annulations, l’explosion de leurs prix les rend inaccessibles pour beaucoup.
Seriez-vous prêt à payer officiellement plusieurs milliers de dollars pour assister à un concert de votre chanteur préféré ? Au mois de juillet, quand Bruce Springsteen a mis en vente les billets pour sa prochaine tournée américaine, de nombreux fans ont d’abord cru à une mauvaise blague. Ou à un bug des serveurs de la compagnie Ticketmaster, principal pourvoyeur de tickets de concerts dans le monde. Lors de l’ouverture de la billetterie, certains sièges s’affichaient ainsi à… 5 500 dollars (soit 5 280 euros), un tarif généralement réservé aux sites de revente ou au marché noir.
Mais il a vite fallu se faire une raison : ces billets au prix exorbitant n’avaient rien de suspect. Selon les lois d’une tarification joliment appelée « dynamique », Ticketmaster, en parfait accord avec le producteur du spectacle, augmente les tarifs de certaines places en fonction de la demande. Plus celle-ci est importante, plus les prix grimpent. Résultat, pour une tournée aussi attendue que celle de Bruce Springsteen, les tarifs s’affolent et atteignent des records.
Ce système s’applique depuis longtemps aux places vendues par les compagnies aériennes ou ferroviaires, comme la SNCF. Il permet à ces entreprises de moduler les tarifs en fonction de l’affluence et donc, en théorie, de mieux assurer le remplissage de leurs trains ou de leurs avions. Dans le sport également, les grands clubs organisent eux-mêmes la revente des billets et, là aussi, plus les rencontres sont prestigieuses, plus il faut mettre la main au portefeuille.
Mais l’arrivée de ce dynamic pricing dans l’univers du spectacle, et plus particulièrement pour la tournée d’un artiste comme Bruce Springsteen, réputé « proche du peuple » et pratiquant d’habitude des prix – relativement – modérés pour ses concerts, a provoqué un vif émoi outre-Atlantique. Trahison envers ses fans, système scandaleux, appât du gain… Le « Boss » et son entourage ont eu les oreilles qui sifflent et pas à cause des larsens des guitares.
La gangrène du marché noir
Il y a quelques jours, Springsteen est donc revenu sur la polémique dans une longue interview au magazine Rolling Stone. Il assume cette inflation. « Pendant les quarante-neuf dernières années, nous avons joué au-dessous des prix du marché. J’ai adoré ça. C’était bien pour les fans. Aujourd’hui, j’ai 73 ans. Je veux faire ce que tout le monde fait. C’est ce qui s’est passé. L’achat de billets a toujours été déroutant, pour les spectateurs comme pour les artistes. Le plus important est que la majorité de nos billets soit abordable. Et puis, vous avez ces billets dont les prix vont monter, très haut. De toutes les façons, des sites de revente ou quelqu’un d’autre prendront cet argent. Alors, ce que je dis, c’est pourquoi cet argent ne reviendrait pas à ceux qui vont transpirer sur scène pendant trois heures ? »
On peut entendre l’argument. Depuis des années, le marché noir et les sites de revente plus ou moins officiels gangrènent les billetteries des grands événements culturels, générant aussi bien la pénurie de places que la surenchère sur les prix. Pas illogique, donc, de voir les manageurs et les producteurs tout mettre en œuvre pour récupérer la valeur générée par leurs artistes. Jon Landau, manageur du « Boss », a d’ailleurs expliqué au New York Times que seulement 11 % des places avaient été vendues avec ce système « dynamique ». Le reste s’affichant autour d’une moyenne de 200 dollars la place tout de même.
C’est aussi la ligne de défense de Ticketmaster. Souvent pointée du doigt pour avoir participé à l’inflation des tarifs par sa position de quasi-monopole – que le régulateur américain s’apprête à scruter de près –, l’entreprise vient de connaître un nouvel épisode houleux.
Jeudi 17 novembre, Ticketmaster a dû annuler en catastrophe la vente des billets de la tournée américaine de la chanteuse Taylor Swift. En cause, une trop forte demande – avec deux millions de préventes et 3,5 milliards de requêtes – et un système de tarification qui a fait s’envoler les prix, même pour des fauteuils mal placés.
Colère des fans, chaos des serveurs, toute la vente a été reportée à des jours meilleurs. « Le marché de la revente de billets ayant atteint plus de 10 milliards de dollars ces dernières années, les artistes et les équipes ont perdu ces revenus au profit des revendeurs », a déclaré, dans la foulée, Ticketmaster, estimant que désormais les organisateurs d’événements tentent de « récupérer ces revenus perdus » en « s’alignant sur les prix du marché ».
Effet de rattrapage
On peut voir les choses avec optimisme et constater que cet engouement autour des stars les plus populaires consacre le retour à la normale après des mois de fermeture des lieux culturels et de concerts annulés pour cause de Covid-19.
Un effet de rattrapage qui se vérifie aussi en France, où des groupes comme Colplay, cet été, ou la chanteuse Mylène Farmer, l’année prochaine, remplissent plusieurs Stade de France en quelques secondes, qu’importe le prix. Et se dire qu’après tout les artistes – surtout ceux qui s’embarquent pour des tournées qui pourraient bien être leurs dernières – auraient tort de se priver, puisque, manifestement, le prix n’est pas un frein.
On peut aussi s’inquiéter d’une dérive postpandémie qui voit aujourd’hui les niveaux de cachets s’envoler et le prix des places avec, au risque d’accentuer une fracture entre les publics et de priver certaines manifestations d’artistes devenus trop exigeants. De plus en plus « premium », les événements culturels courent le risque de devenir de plus en plus inaccessibles pour beaucoup.
Les lieux publics ne sont pas imperméables à ce mouvement. Au Châtelet, les places les plus chères pour la comédie musicale 42nd Street affichent 109 euros. Et se vendent. Il ne faut pas être naïf, il a toujours été plus compliqué, et beaucoup plus onéreux, d’aller écouter les Rolling Stones qu’un jeune artiste émergent. Cela ne changera pas. Mais à voir les réactions outragées des fans de Bruce Springsteen et de Taylor Swift, certains artistes seraient bien avisés de ne pas trop tirer sur les cordons de la bourse.
Tiens, quelqu’un a retrouvé un “album perdu” d’Alan Vega – #Gonzaï
▻http://gonzai.com/tiens-quelquun-a-retrouve-un-album-perdu-dalan-vega
Il semble y avoir une vie après le Suicide : mort le 16 juillet 2016, #Alan_Vega revient aujourd’hui comme par magie avec l’annonce de “Mutator”, un “lost album” enregistré vers 1995, et qu’un employé amnésique qui aurait mérité un bon licenciement avait égaré pendant près de 25 ans. Sortie prévue le 23 avril chez Sacred Bones, si les bandes sont pas re-perdues d’ici là.
du coup, hier j’ai dérivé sur du Vega/Suicide et découvert un album, me voilà de nouveau ahuri par le brio du duo.
(au moins, pour l’intro qui bascule) Suicide - April 7 1979 New York, NY CBGB’s
▻https://www.youtube.com/watch?v=QpA0fjO_iEg
en plus, c’est #7_avril_1979
Pour moi, mais c’est un ressenti tout personnel, le premier opus du duo Alan Vega - Martin Rev, c’est mon préféré : minimaliste, convulsif et trash ...
▻https://www.youtube.com/playlist?list=PLEvr99j7ruPz6rLqMcIFM4wb-7hwK2f7C
Oui !
Et le premier Vega !
▻https://www.youtube.com/watch?v=id75jqXf8hI
Alan Vega - MUTADOR - Sacred Bones Record
▻https://www.sacredbonesrecords.com/collections/frontpage/products/sbr271-alan-vega-mutator
Alan Vega’s name is synonymous with unfettered, tireless creativity. Beginning in the late 1950s, when he was a fine art student at Brooklyn College, through his years playing in Suicide, and all the way up until his death in 2016, Vega was constantly creating. That process naturally led to a wealth of material that didn’t see the light of day immediately when it was recorded, which came to be known as the Vega Vault. Mutator is the first in a series of archival releases from the Vault that will come out on #Sacred_Bones_Records
Mutator was recorded alongside Vega’s longtime collaborator Liz Lamere at his NYC studio from 1995-1996, and it serves as a document of a particularly fertile time in his creative life. He had 11 full-length solo albums come out during the ‘80s, ’90s and ‘00s — plus numerous collaborations, and Suicide records A Way of Life and Why Be Blue. Mutator wasn’t shelved intentionally, but Vega’s back-to-the-grindstone M.O. meant that he had moved on to making his next record before this one was finished. Lamere and Vega’s friend and confidante Jared Artaud (The Vacant Lots) rediscovered the raw, unmixed recordings from the Mutator sessions in the Vault in 2019. Soon after, they mixed and produced them into the visionary album that was lurking within those tapes.
“Our primary purpose for going into the studio was to experiment with sound, not to ‘make records,’” Lamere recalls. “I was playing the machines with Alan manipulating sounds. I played riffs while Alan morphed the sounds being channeled through the machines.”
At the time of the Mutator sessions, Vega was massively inspired by what was happening in the streets of New York — not only the hip hop scenes that were exploding throughout the outer boroughs, but also the literal sounds of the streets, the traffic noise and industrial ambience of city living. That influence trickled into the sounds he and Lamere captured in those sessions. That sensibility, paired with Vega’s unmistakable voice and force of personality, is what made it the great album it is now. The final piece was the production job, completed by Lamere and Artaud 25 years after the songs were first captured.
“Mutator bridges the gap between the past and present,” Artaud says. “It’s something we feel he would have been really proud of, seeing this lost album released today. In so many ways, his music is needed now more than ever.”
Alan Vega After Dark - Alan Vega, Ben Vaughn, Barb Dwyer & Palmyra Delran.
▻https://intheredrecords.com/products/alan-vega-ben-vaughn-palmyra-delran-barb-dwyer-alan-vega-after-dark
2021 s’annonce comme l’année d’Alan Vega. Chaque année devrait l’être, mais cette année l’est définitivement. L’annonce de l’ouverture des archives d’Alan Vega, qui dévoilera une quantité incalculable de matériel inédit datant de 1971 via Sacred Bones, la sortie de Mutator (un album perdu du milieu des années 90) qui a reçu des critiques élogieuses, un grand article dans le NY Times... Alan a été célébré partout ces derniers temps. In The Red est ravi de participer à cette célébration avec la sortie d’Alan Vega After Dark - un album qui capture une session rock’n’roll de fin de soirée avec Alan accompagné de #Ben_Vaughn, Barb Dwyer et Palmyra Delran (tous membres de l’incroyable Pink Slip Daddy ainsi que d’innombrables autres projets sympas). Cet album nous rappelle qu’Alan Vega était un incroyable chanteur de #blues #rockabilly. Il était l’un des meilleurs.
▻https://alanvegabenvaughnbarbdwyerpalmyradelran.bandcamp.com/track/nothing-left
un autre disque important de Alan Vega Cubist Blues avec Alex Chilton et Ben vaughn.
▻https://alanvegaalexchiltonandbenvaughn.bandcamp.com
Ben Vaughn est le dernier, il produit toujours des sons merveilleux et a de nombreuses collaborations. Comme celle-ci :
Ben Vaughn Quintet - I’m Just Sayin’
▻https://kafadankontak.bandcamp.com/track/ben-vaughn-quintet-im-just-sayin
une autre collaboration de Ben Vaughn
▻https://doublenaughtspycar.bandcamp.com/track/prelude-to-a-murmuration-with-ben-vaughn
▻https://www.youtube.com/watch?v=0mesU7ILqIc
▻https://www.youtube.com/watch?v=NjF4qd6MRVI
Suicide sort du cercueil pour une nouvelle compilation
par Paul Labourie pour Gonzaï
▻https://gonzai.com/suicide-sort-du-cercueil-pour-une-nouvelle-compilation
La vraie pépite de ce disque, la grande découverte qui n’en est pas vraiment une, c’est le premier enregistrement de Frankie Teardrop , avec la première version du texte. La sortie du morceau est accompagnée d’un clip de Douglas Hart (The Jesus and Mary Chain), un voyage hypnotique déconseillé aux épileptiques.
Jukebox Babe | Alan Vega out now on Sacred Bones Records
▻https://alanvega.bandcamp.com/album/jukebox-babe
… pour qu’elle revienne…
Le chanteur Christophe est mort à Brest - France - Le Télégramme
▻https://www.letelegramme.fr/france/le-chanteur-christophe-est-mort-a-brest-17-04-2020-12540306.php
Interprète d’« Aline » et des « Mots Bleus », le chanteur Christophe est mort, ce jeudi, à Brest, des suites d’une maladie pulmonaire. Daniel Bevilacqua, de son vrai nom, avait 74 ans.
Il criait « Aline » pour « qu’elle revienne », aimait la vie la nuit, le jeu et les voitures rapides : Christophe, dandy décalé de la chanson française, est décédé, ce jeudi, à l’âge de 74 ans des suites d’une maladie pulmonaire, selon sa famille.
Alan Vega & Marc Hurtado feat French singer legend Christophe at „La Machine du Moulin Rouge“
▻https://www.youtube.com/watch?v=kAbnR6RUIFM
▻https://www.franceculture.fr/emissions/par-les-temps-qui-courent/claudine-nougaret-un-jour-jai-senti-que-mes-oreilles-souvraient
France Culture rend hommage à Christophe, auteur, compositeur et chanteur, disparu ce jeudi 16 avril, dans Par Les temps qui courent de Marie Richeux dès ce soir à 21h et avec la rediffusion de l’émission A voix nue Christophe, le miraculeux attrapeur de sons du 20 au 24 avril.
▻https://www.franceculture.fr/musique/presse-france-culture-rend-hommage-a-christophe
En 2010, à l’heure où l’on passe du jour à la nuit, Christophe se racontait dans des entretiens « A voix nue » tout en digressions. Récit d’une vie de dandy et de passionné de sons, jouisseur et mélancolique.
▻https://www.franceculture.fr/emissions/christophe-a-voix-nue
Tangerine album Ultime (2020)· Christophe · Alan Vega
Martin Rev
▻https://martinrev.bandcamp.com
A propos des morts célèbres de 2016, je reviendrai (oui, oui) sur celle de George Michael, mais on n’a pas parlé ici, je crois, de celle de Pierre Barouh, le 28 décembre 2016.
Figure sympathique et discrète, mais qui a fait beaucoup pour la chanson française et brésilienne en France, auteur de la musique de Un Homme et Une Femme, il a utilisé cet argent pour faire découvrir la Bossa Nova, des chansons et des artistes brésiliens, mais surtout pour créer la maison Saravah (« Il y a des années où l’on a envie de ne rien faire ») qui a lancé plein de jeunes musiciens, dont Jacques Higelin, Brigitte Fontaine, Areski Belkacem, Pierre Akendengué, Naná Vasconcelos, Maurane, Allain Leprest ou Bïa...
J’adore sa version française de Samba Saravah où il s’explique à ce sujet :
▻https://www.youtube.com/watch?v=nkTdcO-ps8I
–Musique : Natalie Cole (morte en fait le 31 décembre 2015), Otis Clay, David Bowie, Blowfly, Maurice White, Gianmaria Testa, Gato Barbieri, Prince, Alan Vega, Papa Wemba, Billy Paul, Leonard Cohen, Leon Russell, Sharon Jones, Joe Ligon, George Michael, Pierre Barouh, Candy Kane, Bernie Worrell, Mack Rice, Buckwheat Zydeco, Phil Chess, Lonnie Mack, La Velle, Wayne Jackson, Chips Moman, Scotty Moore, Toots Thielemans, André Clergeat, Michel Delpech, George Martin, Kashif, Phife Dawg, Rod Temperton...
–Dessin : Siné, Chimulus, Puig, Gotlib, Mix-et-Remix, Ted Benoit, Annie Pootoogook...
–Autre : Mohamed Ali, Dario Fo, Fidel Castro, Marc Riboud, Leila Alaoui, Abbas Kiarostami, Pierre Étaix, Pierre Tchernia, Bill Nunn, Harper Lee, Jean-Pierre Bony, Adama Traoré, Abdirahman Abdi, Roland Agret, Afeni Shakur...
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9c%C3%A8s_en_2016
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Category:2016_deaths
La Revue Dessinée n° 14 hiver 2016-17 a consacré l’une de ses BD à Saravah, 50 ans de liberté et donc à Pierre Barouh.
Pierre Barouh était le cœur d’une émission de France-Culture en novembre : Samba Saravah, 50 ans de chansons expérimentales
▻https://seenthis.net/messages/555858
Le décès de Pierre Barouh ne m’a pas échappé par contre j’ai totalement zappé celui d’Alan Vega mi-juillet. Je l’ai appris que dernièrement dans le Libé du dernier week-end de l’année.
Libération. Les vrais débuts du duo ?
A.V. Je travaillais au Project of Living Artists. Une sorte d’espace pour artistes expérimentaux que j’avais récupéré (Television, Blondie et autres New York Dolls sortent de là). #Martin_Rev y répétait avec des jazzmen faramineux, post post post-Coltrane : tout en triple ou en quadruple, trois batteurs jouant la même chose en même temps, six trompettes, au moins vingt-cinq personnes, et lui devant ses claviers électroniques. Bien avant Chick Corea ! Enfin, c’était tellement free, polyrythmique, pas du tout éclaté... Ensemble, on a voulu se brancher électronique ; ça a donné #Suicide. Avec Paul Liebgott, « Cool P. », qui jouait de la guitare mais nous a rapidement quittés pour les arts graphiques et la famille. Il disait qu’il se « suiciderait » s’il restait dans le groupe. Nous, on pensait : « C’est marié, avec les gosses, qu’il va se suicider ! » (Rires).
▻http://next.liberation.fr/culture-next/2016/07/17/alan-vega-en-1992-j-aimerais-bien-que-tu-dises-aux-gens-que-je-ne-su
▻http://next.liberation.fr/culture-next/2016/07/17/alan-vega-au-firmament-punk_1466711
▻https://seenthis.net/people/grommeleur
▻https://seenthis.net/people/moderne
#alan_vega
C’est vrai, pourtant on en avait parlé là :
▻https://seenthis.net/messages/509924
Je le rajoute...
J’ai mis la liste à jour:
–Musique : Otis Clay, David Bowie, Blowfly, Maurice White, Gianmaria Testa, Gato Barbieri, Prince, Alan Vega, Papa Wemba, Billy Paul, Leonard Cohen, Leon Russell, Sharon Jones, Joe Ligon, George Michael, Pierre Barouh, Candy Kane, Bernie Worrell, Mack Rice, Buckwheat Zydeco, Phil Chess, Lonnie Mack, La Velle, Wayne Jackson, Chips Moman, Scotty Moore, Toots Thielemans...
–Dessin : Siné, Chimulus, Puig, Gotlib, Mix-et-Remix...
–Autre : Mohamed Ali, Abbas Kiarostami, André Clergeat, Jean-Pierre Bony, Adama Traoré, Abdirahman Abdi, Roland Agret, Dario Fo, Fidel Castro, Marc Riboud, Leila Alaoui...
Mauvaises mines
Rubrique la plus lue de la revue, « Mauvaises mines » annonce les décès récents dans le monde du #dessin_sur_papier et dans le monde entier. Le moindre #bédéaste, #illustrateur, #cartooniste, #affichiste, #graveur ou #graphiste qui nous quitte a droit à ses quelques lignes en ultime salut. Ignorée souvent des médias, la disparition de ces artistes n’est souvent connue que par nous. Tant de nos lecteurs ont appris le #décès de leurs amis en lisant ces lignes... Nous apprenons ces décès « en même temps que nous apprenons l’existence » de ces dessinateurs, a parfaitement résumé Willem.
Rubrique anonyme alimentée par la presse, le Net, nos correspondants, et avec l’aide de Louis Cance, sa revue ’’Hop !’’, les sites spécialisés, elle est compilée par le rédacteur en chef.
Bientôt, le résumé annuel de cette rubrique sera sur le site.
▻http://papiersnickeles.fr/la-revue-papiers-nickeles/Nos-rubriques-regulieres/Mauvaises-mines
Ted BENOIT le 30 septembre, à 69 ans
Pierre TCHERNIA le 8 octobre à 88 ans
Pierre ETAIX le 14 octobre à 87 ans
Annie POOTOOGOOK le 19 septembre à 47 ans,
noyée dans la Rideau River à Ottawa, sans doute assassinée. La plus connue des artistes inuits, célébrée dans des expos, mais vivant éternellement dans la misère, l’alcool, la drogue et la mendicité, elle décrivait la vie autour d’elle, violente et sordide, mais aussi la culture inuit, dans des portraits crayon et encres. D’une grande famille d’artistes, elle était membre de la West Baffin Eskimo cooperative.
Dans la chanson française Michel DELPECH le 2 janvier à 69 ans
Mise à jour:
–Musique : Natalie Cole (morte en fait le 31 décembre 2015), Otis Clay, David Bowie, Blowfly, Maurice White, Gianmaria Testa, Gato Barbieri, Prince, Alan Vega, Papa Wemba, Billy Paul, Leonard Cohen, Leon Russell, Sharon Jones, Joe Ligon, George Michael, Pierre Barouh, Candy Kane, Bernie Worrell, Mack Rice, Buckwheat Zydeco, Phil Chess, Lonnie Mack, La Velle, Wayne Jackson, Chips Moman, Scotty Moore, Toots Thielemans, André Clergeat, Michel Delpech, George Martin, Kashif, Phife Dawg, Rod Temperton...
–Dessin : Siné, Chimulus, Puig, Gotlib, Mix-et-Remix, Ted Benoit, Annie Pootoogook...
–Autre : Mohamed Ali, Dario Fo, Fidel Castro, Marc Riboud, Leila Alaoui, Abbas Kiarostami, Pierre Étaix, Pierre Tchernia, Bill Nunn, Harper Lee, Jean-Pierre Bony, Adama Traoré, Abdirahman Abdi, Roland Agret, Afeni Shakur...
#Fik's_Niavo - Bilan 2016
Pour les paroles :
▻https://genius.com/Fiks-niavo-bilan-2016-lyrics
Il y cite Prince, Papa Wemba, Phife Dawg, Mohamed Ali, Adama Traoré, et les 86 morts de l’attentat de Nice...
Punk’s not dead, but Alan Vega has passed away ...
Mort d’Alan Vega, infatigable leader de Suicide - Musiques - Télérama.fr
▻http://www.telerama.fr/musique/mort-d-alan-vega-infatigable-leader-de-suicide,145284.php
« Alan n’était pas qu’infatigablement créatif – écrivant de la musique et peignant jusqu’à la fin–, il était aussi étonnament unique. (...) Avec Martin Rev, au début des années 1970, ils fondent le groupe avant-gardiste Suicide. Presqu’immédiatement, leur musique incroyable et inclassifiable allait à l’encontre de ce qui avait été fait jusque là. Leurs performances live controversés, des années-lumières avant le punk rock, font partie de la légende. Leur premier album est une des plus exigeantes et remarquables réalisations de la musique américaine. »
Il a inspiré beaucoup de musiciens, et sa chanson Dream Baby Dream, par exemple, a été reprise par :
Bruce Springsteen :
▻https://www.youtube.com/watch?v=V1nTfDAn2KQ
Neneh Cherry :
▻https://www.youtube.com/watch?v=KI9QllTf0G0
Le groupe « Suicide » (Alan Vega & Martin Rev) sort son album éponyme l’année de mes 20 ans. La claque ! Nous étions une bande de potes biberonnés au Velvet, aux Fugs et autres déjantés (dont Syd Barrett et ses comptines lysergiques) pendant nos années lycée.
Mon seul regret : ne pas avoir créé un groupe aussi génial que les précédents sus-nommés (et tous ceux que j’oublie). Au lieu de cela, des études improbables et la vie « active » nous ont absorbés, mâchés et recrachés.
J’ai horreur de tous les métiers. Maîtres et ouvriers, tous paysans, ignobles. La main à plume vaut la main à charrue. — Quel siècle à mains ! — Je n’aurai jamais ma main. Après, la domesticité mène trop loin.
Trop tard ... :-)))
▻https://www.youtube.com/watch?v=jexBEX566G4
Qui dit mieux ? A ma droite, #Alan_Vega, figure de proue du New-York des années 70, membre des légendaires #Suicide et compositeur du robotique « Juke box Babe ». A ma gauche, #Alex_Chilton, star dès l’âge de 17 ans avec The Box Top et le morceau « The Letter », membre des incontournables #Big_Star, producteur talentueux et artiste solo respecté. Au centre,
#Ben_Vaughn, touche-à-tout notoire, #compositeur, #musicien, #producteur, j’en passe et des meilleures. Alors, forcément, lorsque ces trois personnalités décident d’unir leurs efforts et d’enregistrer, en deux jours , un album, le résultat ne peut être qu’à la hauteur. Blues mutant, rock erratique, ambiances enfumées, guitares déchirées, claviers affolés et voix de crooner désœuvré ; une leçon de classe et de savoir-faire.
▻http://www.memoires-de-trans.com/artiste/cubist-blues-alan-vega-alex-chilton-ben-vaughn-combo
▻https://www.discogs.com/fr/Vega-Chilton-Vaughn-Cubist-Blues-Live-In-France/release/7838780
▻http://www.memoires-de-trans.com/artiste/suicide
▻https://www.discogs.com/fr/VVV-Resurrection-River/release/517123
▻https://www.youtube.com/watch?v=tj-iuhHM_Bw
▻https://www.discogs.com/fr/Vainio-V%C3%A4is%C3%A4nen-Vega-Endless/master/58412
Vainio / Väisänen / Vega - VVV -
Le portrait d’Alan Vega par Marie Losier en exclusivité au festival Hors Pistes et sur ARTE Creative | ARTE Creative
▻http://creative.arte.tv/fr/alan-vega
projection du dernier film de Marie Losier, « Alan Vega, Just A Million Dreams », consacré au chanteur du groupe Suicide. Ce portrait de 15 minutes, tourné à la Bolex 16 mm, est également à découvrir en exclusivité sur ARTE Creative. Alexandre Breton, auteur de l’ouvrage « Alan Vega, conversation avec un indien », nous éclaire sur ce film en revenant sur le mouvement Punk et la place qu’y occupe ce chanteur devenu une figure mythique.