• L’amour en commun : essai subversif
    https://framablog.org/2024/10/11/lamour-en-commun-essai-subversif

    À l’occasion de la parution de L’amour en commun, essai de la collection #Des_Livres_en_Communs (Framasoft), nous avons questionné les auteurs. Leur cheminement peut se mesure à l’aune du premier point d’étape que nous avions publié en avril … Lire la suite­­

    #Communs_culturels #Amour #des_livres_en_communs #Publication

  • Une #culture_du_viol à la française

    –-> À l’occasion du procès des viols de Mazan, les livre est mis en accès libre

    Du « troussage de domestique » à la « liberté d’importuner »

    « La culture du viol touche toutes les cultures, tous les pays. Elle présente cependant des particularités bien spécifiques selon le milieu dans lequel elle s’exprime et se développe. En #France, chaque fois que la question des #violences_sexuelles est posée dans le débat public, les mêmes réticences s’expriment. Certains s’élèvent pour dénoncer l’horrible #moralisme_réactionnaire qui voudrait condamner la #liberté_sexuelle si chèrement acquise, nuire à l’identité amoureuse nationale en important le #puritanisme au pays des libertés. Avec un vocable bien choisi et une certaine #hypocrisie, on évoque l’#amour_à_la_française en termes de #galanterie, de #courtoisie ou de #libertinage. On loue nos #traditions, l’attention portée aux femmes et la sophistication de nos jeux de #séduction. Derrière ce charmant #vocabulaire, la réalité est beaucoup moins glamour. »

    Dans cet essai documenté et novateur, l’autrice analyse et définit les violences sexuelles, déboulonne toutes nos #idées_reçues et bat en brèche l’argumentaire #déresponsabilisant les violeurs. Elle insiste sur les spécificités hexagonales du concept de « culture du viol », démythifie le patrimoine littéraire et artistique, et démontre, point par point, qu’il est possible de déconstruire les #stéréotypes_de_genre et d’éduquer les hommes à ne pas violer.

    https://www.editionslibertalia.com/catalogue/hors-collection/une-culture-du-viol-a-la-francaise

    #terminologie #mots #littérature #art #éducation #viols #livre #Valérie_Rey-Robert

    déjà signalé par @biggrizzly ici : https://seenthis.net/messages/1072792

  • Google must crack open Android for third-party stores, rules Epic judge - The Verge
    https://www.theverge.com/policy/2024/10/7/24243316/epic-google-permanent-injunction-ruling-third-party-stores

    / Google must give rival third-party app stores access to the full catalog of Google Play apps — and distribute third-party stores.

    Google’s Android app store is an illegal monopoly — and now it will have to change.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #google #epic_games #amazon #boutique #android #mobile #google_play #epic_store #justice

  • En Californie, la crise des sans-abri s’invite dans la campagne électorale
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/10/01/en-californie-la-crise-des-sans-abri-s-invite-dans-la-campagne-electorale_63


    La maire de Los Angeles, Karen Bass, dans un campement de rue, lors d’une opération de promotion du programme « Inside Safe » offrant le relogement de sans-abri dans des hôtels, à Los Angeles, le 26 septembre 2024. MARIO TAMA / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP

    Une décision récente de la Cour suprême octroie désormais le droit aux municipalités de l’ouest du pays de criminaliser les personnes qui dorment dans la rue. Les démantèlements de tentes se multiplient, les démocrates souhaitant prouver aux républicains qu’ils savent gérer cette épineuse question.
    Par Corine Lesnes (San Francisco, correspondante)

    Un tournant dans la crise des #sans-abri ? Depuis que la Cour suprême a décidé fin juin qu’il n’existait aucun droit constitutionnel à dormir dans la rue, les municipalités de l’Ouest américain commencent à démanteler les #campements, et notamment en #Californie, l’Etat qui compte quelque 186 000 homeless, soit un tiers des personnes sans logement aux Etats-Unis.

    Le 28 juin, la Cour suprême a renversé une jurisprudence de 2019 qui interdisait aux villes de criminaliser le fait de dormir dans un lieu public si elles n’étaient pas en mesure de proposer un hébergement aux sans-abri – ceci au nom du 8e amendement de la Constitution qui prohibe les châtiments « cruels et inhabituels ».

    La Cour a estimé que le 8e amendement ne s’appliquait pas à la situation des #homeless. Une décision majeure qui permet de nouveau aux municipalités d’imposer des #amendes voire des peines de #prison aux sans-abri, même si aucune solution d’hébergement n’est disponible.

    (...) En période électorale, les élus ne peuvent ignorer que le spectacle des homeless prostrés sur les trottoirs est un crève-cœur de plus en plus intolérable pour leurs concitoyens.

    https://justpaste.it/cf8dv

    #logement #droit_au_logement

  • The AMD #FidelityFX™ SDK 1.1.1 is now available on GPUOpen
    https://gpuopen.com/learn/amd_fidelityfx_sdk_1-1-1

    AMD GPUOpen - Graphics and game developer resources Our patch #Release includes some FSR 3.1 fixes, support for AL2, and code changes needed for the upcoming release of the Microsoft Game Development Kit (GDK).

    #Drivers #Product_blogs #Single_Blog #AMD_FidelityFX #amd_fidelityfx™_super_resolution_3.1_released_as_part_of_fidelityfx_sdk_1.1 #AMD_FSR3 #Anti-Lag_2 #GDK #unreal_engine

  • « Les médecins étrangers investissent surtout les spécialités hospitalières désertées par les médecins français qui préfèrent exercer en libéral »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/09/30/les-medecins-etrangers-investissent-surtout-les-specialites-hospitalieres-de

    « Les médecins étrangers investissent surtout les spécialités hospitalières désertées par les médecins français qui préfèrent exercer en libéral »
    Tribune Pierre Micheletti Médecin
    Le débat sur l’aide médicale d’Etat, dont la suppression renforcerait les recours spontanés aux urgences hospitalières, pourrait également faire apparaître la question des praticiens étrangers, qui doivent être mieux traités par notre système de santé, explique le médecin Pierre Micheletti dans une tribune au « Monde ».
    Marie-Claire Carrère-Gée, ministre déléguée chargée de la coordination gouvernementale, ne va pas manquer de dossiers épineux à articuler entre les différents gestionnaires de portefeuille au sein du gouvernement de Michel Barnier. La nomination de Bruno Retailleau à l’intérieur n’a pas tardé à donner des ailes aux défenseurs de lignes dures sur les questions migratoires. En la matière, les interfaces avec la ministre de la santé vont en particulier générer l’attention, voire la mobilisation des acteurs.
    Deux dossiers concernent directement Geneviève Darrieussecq, ministre de la santé et de l’accès aux soins, et serviront d’utiles baromètres sur l’efficacité de la « coordination gouvernementale ». D’abord, l’avenir de l’aide médicale d’Etat (AME), objet de toutes les manipulations symboliques au service d’un discours martial sur le durcissement de l’accueil des étrangers. Une déclinaison plus subtile sera indubitablement à construire dans le discours politique – et dans la pratique – concernant la place incontournable occupée par des médecins détenteurs d’un diplôme délivré à l’étranger.
    Sur l’épouvantail de l’AME, dont la suppression empêcherait des diagnostics à un stade précoce – aggravant le pronostic des pathologies – et renforcerait les recours spontanés aux urgences hospitalières coûteuses et à bout de souffle, beaucoup a déjà été dit, par les associations comme par les professionnels du champ médico-social. La formule de la Fédération hospitalière de France en résume l’argumentation, évoquant « un contresens moral, sanitaire et économique ».
    Sur la démographie médicale globale, comme sur la répartition territoriale des praticiens, aujourd’hui largement soutenue par des médecins étrangers, les données du Conseil national de l’ordre des médecins apportent des informations éloquentes. La place des médecins étrangers est cruciale dans l’offre de soins. Au 1er janvier 2023, 234 028 médecins étaient actifs en France, dont 48,8 % femmes et 51,2 % hommes. Les moins de 40 ans représentent 28,5 % des effectifs, les 60 ans et plus 31,1 %. L’âge moyen des médecins est ainsi de 50,5 ans. Les médecins à diplômes étrangers occupent une place de plus en plus importante au fil du temps. Alors qu’en 2010 ils comptaient pour 7,1 % des médecins en activité, ils représentaient 12,5 % en 2023.
    La hausse de la proportion de médecins en activité à diplômes étrangers se perçoit notamment chez les spécialistes, qu’ils soient médicaux ou chirurgicaux. Ils représentent 19,8 % des médecins spécialistes chirurgicaux en activité et 16,9 % des médecins spécialistes médicaux (hors médecins généralistes) en activité. La Roumanie, la Belgique et l’Italie sont les trois principaux pays d’obtention de diplômes des médecins en activité à diplômes obtenus au sein de l’Union européenne (UE), hors France.
    L’Algérie, la Tunisie, la Syrie et le Maroc sont les quatre principaux pays d’obtention des médecins titulaires de diplômes obtenus en dehors de l’UE. Les proportions de médecins en activité à diplômes étrangers sont particulièrement importantes dans les départements qui présentent les plus faibles densités médicales, participant ainsi à corriger des déséquilibres démographiques et territoriaux.
    Il existe pourtant un traitement à double vitesse pour les médecins étrangers. Afin de pourvoir les postes d’internes, les hôpitaux embauchent des praticiens à diplômes étrangers hors UE, en tant que « faisant fonction d’internes », « attachés associés » ou « assistants associés ». Ces statuts sont caractérisés par la précarité, une moindre rémunération et un emploi du temps surchargé. La présence de ces médecins reste très mal renseignée. On a par ailleurs connaissance de situations d’illégalité, comme le phénomène des médecins étrangers embauchés comme infirmières/infirmiers, qui demeurent également difficiles à quantifier.
    Les ressortissants européens sont dans une situation un peu différente : la directive européenne de 1989, modifiée à plusieurs reprises depuis, prévoit en effet la reconnaissance mutuelle des diplômes et la liberté de s’installer et d’exercer la profession dans les pays membres. Ces médecins étrangers investissent surtout les spécialités hospitalières désertées par les médecins à diplômes français qui préfèrent exercer en libéral : l’anesthésie-réanimation, la psychiatrie, la radiologie, la chirurgie cardio-vasculaire, la néphrologie ou encore les urgences. L’aboutissement du parcours de ces médecins reste néanmoins l’inscription à l’ordre des médecins, qui incarne l’acceptation symbolique par le groupe des pairs, mais aussi l’autonomie et la liberté de la pratique.
    Les conditions d’exercice des médecins ayant obtenu leur diplôme dans un pays extracommunautaire ont été assouplies en avril 2020, afin qu’ils puissent accéder à des positions professionnelles plus favorables. Dès lors, un personnel hospitalier « à la carte », flexible et éjectable selon le contexte, pourrait devenir la stratégie pour l’avenir de l’hôpital français, les soignants étrangers servant, dans cette logique, de variable d’ajustement.
    Les mois qui viennent ne tarderont pas à dire comment la ministre chargée de la coordination gouvernementale pourra contribuer à trouver des solutions acceptables sur le plan « moral, sanitaire et économique » à ces deux dossiers intriqués qui concernent l’offre de soins et les migrations. En évitant que le dossier de l’AME, qui représente 0,5 % des dépenses annuelles de santé, n’occupe tout l’espace de manichéens débats politiques.

    #Covid-19#migrant#migration#france#sante#medecin#PADHUE#economie#systemedesante#AME#diplome

  • Mission Center (Linux System Monitor) Now Reports Fan Info
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/09/mission-center-linux-app-now-monitors-fans

    A major new release of Mission Center, a modern system monitor app for Linux desktops, has been released. Fans of this Rust-based GTK4/libadwaita system monitoring tool (which to address the recurring elephant in the room does indeed have a user interface inspired by—now I’d argue superior to—the Windows system monitor app) will find a lot to like in the latest update. I’m not going to recap all of this tool’s existing features in this post as I’ve covered this app a few times in the past. The Mission Center homepage has more details for the uninitiated. Instead, I’m going focus […] You’re reading Mission Center (Linux System Monitor) Now Reports Fan Info, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #amd #App_Updates #System_Tools

  • 14 secouristes tués en 48h au Liban dans des raids israéliens
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20240929-en-direct-liban-isra%C3%ABl-m%C3%A8ne-des-dizaines

    14h : 14 secouristes tués en 48h au Liban dans des raids israéliens

    Le ministère libanais de la Santé a annoncé dimanche que 14 secouristes avaient été tués dans les raids israéliens contre des fiefs du Hezbollah au Liban ces deux derniers jours, les condamnant avec « la plus grande fermeté ». Dans un communiqué, le ministère a précisé qu’Israël avait « multiplié les attaques contre les secouristes et les centres de santé », dénonçant « avec la plus grande fermeté les attaques répétées de l’ennemi israélien ».

    Je doute fortement que le ministère de la santé ait utilisé l’expression « fief du Hezbollah ». Mais je suppose qu’un journaliste français se sent obligé d’apporter cet élément de justification au massacre de 14 secouristes qui interviennent dans les décombres de quartiers d’habitations densément peuplés.

    (Avec ça, il est certain que le Liban se sent un peu plus « libéré ».)

  • Pour sauver l’#Amazonie, un archéologue, un avion et un laser

    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/09/27/pour-sauver-l-amazonie-un-archeologue-un-avion-et-un-laser_6335811_3210.html

    Par-dessus l’Amazonie vadrouille ces derniers temps un curieux petit avion. En apparence, rien ne le distingue de ses congénères, si ce n’est la très basse altitude de son survol. Mais à son bord, l’aéronef transporte une technologie bien particulière, le Lidar : un procédé de télédétection par laser de haute précision capable de « déshabiller » la végétation, révéler les secrets dissimulés sous la canopée et, peut-être, contribuer à son sauvetage.

    Le coucou opère pour le compte du projet Amazonia Revelada (« Amazonie révélée »), lancé en 2023 par l’archéologue brésilien Eduardo Goes Neves. A 58 ans, ce professeur renommé de l’université de Sao Paulo a passé plus de la moitié de sa vie à arpenter la jungle en quête de vestiges. « Mais aujourd’hui, je ne veux plus me contenter de parler de céramiques vieilles de 8 000 ans. Je veux agir dans le présent ! », explique le scientifique.

    « Le Lidar émet des milliards d’ondes par seconde, dont une petite partie perce la sylve et atteint le sol, permettant d’identifier élévations ou structures humaines », poursuit-il. Depuis un an, près de 1 600 kilomètres carrés ont été cartographiés par ce procédé de « déforestation digitale », soit l’équivalent de quinze fois la superficie de Paris, depuis l’embouchure de l’Amazone jusqu’à l’Etat enclavé de l’Acre.

    Une trentaine de « sites » ont été découverts. Des structures géométriques, des champs surélevés, une muraille et même un village portugais abandonné, datant du XVIIIe siècle, à la frontière avec la Bolivie. « Partout où on cherche, on trouve ! », s’enthousiasme M. Goes Neves, pour qui l’Amazonie est tout sauf une forêt vierge ou un « désert humide » : « C’est un patrimoine bioculturel, un bassin écologique mais aussi civilisationnel, profondément transformé par les peuples indigènes. »

    Mais l’objectif affiché ne se limite pas à la science. Le projet « est aussi une réaction contre la dévastation de l’Amazonie », insiste l’archéologue. Les zones de survol du #Lidar ont été soigneusement sélectionnées pour suivre plusieurs lignes de front de la déforestation qui ravagent aujourd’hui la jungle. Plus de 100 000 incendies ont été identifiés dans la forêt tropicale depuis le début de l’année, soit le double de ceux recensés en 2023.

    « Lieux sacrés »
    La Constitution brésilienne tout comme une loi en vigueur depuis 1961 imposent aux autorités de protéger les sites archéologiques. Amazonia Revelada ambitionne donc de forger de nouvelles zones de sauvegarde constituées de portions de forêts abritant des vestiges préservés. « Soit la création d’une nouvelle strate de protection, culturelle cette fois », résume M. Goes Neves.

    Avant toute chose, ses équipes ont pris soin d’obtenir l’accord des populations survolées. « Il s’agit d’Indigènes, mais aussi de communautés quilombolas [descendants d’esclaves] et ribeirinhas [pêcheurs traditionnels]. A chaque fois, on travaille avec des chercheurs locaux, formés, capables d’aller authentifier les découvertes », explique #Bruna_Rocha, archéologue participant au projet et basée à Santarem, sur l’#Amazone.

    Pour les #indigènes, ces vestiges ont une valeur qui va bien au-delà du patrimoine. « Ce sont des lieux témoins de notre passé, que nous visitons avec les plus jeunes pour leur raconter notre histoire. Mais ce sont aussi des lieux sacrés, vivants, où l’on peut sentir la présence des esprits », témoigne le cacique Juarez Saw, sexagénaire issu du peuple Munduruku, joint par téléphone depuis son village du rio Tapajos, au cœur de la forêt.

    Certains peuples, comme ceux du Haut-Xingu, ont refusé de participer au projet, « de peur que les données soient utilisées par leurs ennemis pour détruire ces vestiges », selon Bruna Rocha. Le cas s’est malheureusement produit sur les terres munduruku. « Les orpailleurs illégaux ont démoli beaucoup de nos lieux sacrés », déplore M. Saw.

    Mais répertorier des sites #archéologiques aura-t-il un effet sur la protection de la forêt ? « On essaie depuis trente ans de sauver l’Amazonie à coups d’arguments environnementaux, économiques, humains… Mais rien ne fonctionne. Alors, oui, le patrimonial, ça peut aider. Il faut mettre le paquet ! », croit #Stéphen_Rostain, archéologue et premier signataire d’un article retentissant de la revue Science, publié en janvier, révélant, grâce au Lidar, l’existence d’un gigantesque réseau de cités-jardins vieux de 2 500 ans en Amazonie équatorienne.

    Le temps presse et l’argent manque
    Difficile, cependant, d’imaginer que l’Institut du patrimoine brésilien, l’Iphan, pourra faire mieux en la matière que l’Ibama, la police environnementale. « Le projet est très intéressant, mais il ne crée pas de dispositif concret de sauvegarde de la nature », relève Francois-Michel Le Tourneau, directeur de recherche au Centre national de recherche scientifique et spécialiste de l’Amazonie. « Pour que ça fonctionne, il faudra que la loi incorpore la dimension culturelle de la protection de la nature », insiste de son côté Ane Alencar, directrice scientifique à l’Institut pour les enquêtes environnementales en Amazonie.

    « On n’est pas naïfs. On sait bien que l’archéologie seule ne peut pas sauver l’Amazonie ! », concède M. Goes Neves, qui estime que son projet servira d’abord à « accentuer la pression » sur le gouvernement de Luiz Inacio da Silva et, plus encore, sur un Congrès brésilien « réactionnaire » et acquis aux intérêts de l’agronégoce.

    Mais le temps presse et l’argent manque. Amazonia Revelada est pour le moment financée par la seule National Geographic Society, organisation scientifique et éducative non lucrative basée aux Etats-Unis. Celle-ci a déboursé 1,8 million de dollars (1,6 million d’euros) pour le projet dont l’intensification nécessitera forcément l’aide de pouvoirs publics.

    Bonne nouvelle : çà et là en Amazonie, des projets de protection environnementale reposant sur le patrimoine culturel et archéologique commencent à voir le jour. Le plus éloquent reste celui du « Stonehenge brésilien » : un site exceptionnel, composé de 127 blocs de granit et vieux d’un millénaire, qui aurait accueilli des cérémonies rituelles liées au solstice. Les autorités souhaitent en faire une zone protégée et attirer les touristes.

    Les premiers résultats des survols d’#Amazonia_Revelada seront présentés lors d’un congrès organisé à Manaus, dans le nord du #Brésil, en octobre. « A terme, notre rêve, c’est de cartographier toute l’Amazonie ! », assure un Eduardo Goes Neves à l’enthousiasme contagieux. Le petit coucou, armé de sa technologie #laser, n’en a pas fini de voler au-dessus la canopée.

    #Bruno_Meyerfeld (Sao Paulo, correspondant)

  • Alerte sur la remise en cause de l’aide médicale d’état

    Les déclarations du nouveau gouvernement se multiplient à ce sujet, dans le cadre d’une offensive globale sur le thème de l’immigration.

    Le Premier ministre Michel Barnier a déclaré que cette perspective n’était pas un « tabou ». Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a proclamé, lundi 23 septembre, qu’il souhaitait s’attaquer à ce panier de soins pour les étranger·es sans-papiers (gagnant moins de 10 000 euros par an), qui bénéficiait, fin 2023, à environ 450 000 personnes : « Je ne veux pas que la France soit le pays le plus attractif d’Europe pour un certain nombre de prestations sociales, d’accès aux soins ».

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/04/20/aide-medicale-detat-les-femmes-precaires-dans-le-collimateur-du-gouvernement/#comment-62384

    #france #ame

  • Du succès à la crise : une fabrique spécifique du #logement à #La_Havane ?
    https://metropolitiques.eu/Du-succes-a-la-crise-une-fabrique-specifique-du-logement-a-La-Havane

    La singularité des politiques résidentielles de La Havane à l’échelle de l’Amérique latine est-elle en train de s’atténuer ? Laurine Chapon questionne les mutations de la production du logement, de la redistribution socialiste à la crise systémique, sur fond de montée des inégalités. Mariame est née en 1947 dans une famille de paysans du centre de #Cuba. Elle participe à la Révolution socialiste de 1960 et devient en 1965 cuisinière dans une école de La Havane, emploi qui lui permet d’obtenir en 1975 un #Terrains

    / La Havane, Cuba, #Amérique_latine, logement

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_chapon.pdf

  • Google mächtiger als die EU

    via https://diasp.eu/p/17142107

    22.09.2024

    Google trickst EU Kommission aus

    Der „Wert“ der #BIG5 oder #GAFAM (#Google, #Amazon, #Facebook, #Apple, #Microsoft) ist größer als die Haushalte von vielen Staaten. Auch die EU mit 350 Millionen Einwohnern ist nicht mehr in der Lage die Konzerne in die Schranken zu weisen.

    Seit Jahren geht die Wettbewerbsbehörde der EU mit Milliarden #Bußgelder|n gegen Google vor - auch gegen Meta (Facebook). Nun hat aktuell der EuG, das Gericht der #EU [#UE], die von der EU-Kommission gegen ­Google verhängte Geldstrafe in Höhe von 1,49 Milliarden Euro kassiert. Die EU hatte festgestellt, dass der Onlinekonzern, bei seinem Dienst „Adsense for Search“ die eigene marktbeherrschende Stellung missbraucht hatte.

    Bei diesem Google-Dienst können die Betreiber anderer Internetseiten für einen (...)

    • Donauinsel

      Im Zuge des Baus eines Entlastungsgerinnes im ehemaligen Überschwemmungsgebiet (Neue Donau), das die 1870-1875 regulierte Donau (Donauregulierung) an ihrem linken Ufer begleitete, entstand zwischen den beiden Flussläufen eine rund 20 Kilometer lange und bis zu 300 Meter breite Insel, die zu einem Naherholungsgebiet ausgebaut wurde.

      Die „Neue Donau“ wurde nach langen Diskussionen im Gemeinderat, die mit einer mehrheitlichen Beschlussfassung seitens der SPÖ endeten, zwischen 1. März 1972 und 1988 angelegt. Abschluss der Baggerarbeiten war am 13. Oktober 1987, wobei die Teilbenützung der nördlichen Teile bereits möglich war.

      Im Mai 1973 wurde der "Wettbewerb Donaubereich Wien“ ausgeschrieben, der viele bis dahin unbeachtete Auswirkungen behandelte, die Donauinsel in den gesamtstädtischen Planungsprozess einband (siehe unten) und der zunehmenden Politisierung des Projektes Rechnung trug.[1] Vor allem von der Opposition kam zu dieser Zeit eine vehemente Kritik an Großprojekten, die als unnötige Belastung des Steuerzahlers angeprangert wurden. Im Falle der Donauinsel bezog sich dies auf die weiterführenden Pläne der Stadtbauplanung, nicht auf den Hochwasserschutz selbst.

      1983 wurde das Areal vom Gemeinderat als „Erholungsgebiet“ freigegeben. Die offizielle Benennung erfolgte am 7. Mai 1984 durch den Gemeinderatsausschuss für Kultur. Seit 1984 wird alljährlich im Sommer das „Donauinselfest“ abgehalten.

      Als Donauinseln im Wiener Raum können historisch betrachtet auch die Inseln des bis 1868-1875 großteils unregulierten Donaustroms bezeichnet werden, vor allem der Obere Werd und der Untere Werd (Werd oder Wörth = Insel), die spätere Leopoldstadt. Auch das Gänsehäufel war einst eine Insel im unregulierten Strom.

      Die Planungsphasen
      Vorentwurf Nordteil, Gottfried und Anton Hansjakob (1976)
      Die erste Phase des „Wettbewerbs Donaubereich Wien“

      Die Ausschreibung des Wettbewerbs fand auf nationaler Ebene im Mai 1973 statt. Einsendefrist der Bearbeitung war Dezember 1973, die Beurteilung der Projekte durch die Jury fand im Mai und Juni 1974 statt. Von den 44 eingesandten Projekten wurden elf prämiert und fünf schließlich für die weitere Bearbeitung herangezogen.

      Während der laufenden Ausschreibung kam es durch die bereits begonnenen Bauarbeiten zu erheblichem Zeitdruck. Am 29. Mai 1974 stellte die Jury fest, dass der erste Kilometer der Donauinsel nach "fast ausschließlich wasserbautechnischen Überlegungen“[2] gebaut worden war: die steilen Ufer ließen kaum eine Nutzung zu. Am nächsten Tag fand mit Bürgermeister Leopold Gratz eine Aussprache statt, in der die Jury um das Aussetzen der Bauarbeiten ansuchte, was Gratz jedoch ablehnte. Stattdessen forderte er im Hinblick auf die bald stattfindende zweite Wettbewerbsstufe Vorschläge der Jury für eine rasche und effiziente Abwicklung derselben, versicherte der Jury für ihre Ideen volle Unterstützung und ließ auch Möglichkeiten prüfen, die laufenden Bauarbeiten mit den Juryplanungen zu vereinbaren. Zu diesem Zweck trat man auch an die beteiligten Planungsbüros heran und beauftragte sie mit der Planung von „Sofortmaßnahmen“ für bereits im Bau befindliche Bereiche.
      Die zweite Phase des „Wettbewerbs Donaubereich Wien“
      Uferprofile, Arbeitskreis 1 (1975)
      Uferprofile, Arbeitskreis 1 (1975)

      Nach der Strukturierung eines Arbeitsprogramms begann die zweite Wettbewerbsphase im November 1974. Aus den fünf Planungsbüros wurden zwei Arbeitskreise gebildet, die Planungen sollten in mehreren Tagungen und gemeinsam mit Experten, Verwaltungsstellen der Stadt und mit der Jury bis November 1976 abgeschlossen werden. Durch den Einsturz der Reichsbrücke am 1. August 1976 und die Koordination mit dem darauffolgenden „Projektwettbewerb Reichsbrücke“ verzögerte sich die Schlusssitzung allerdings bis Mai 1977.

      Während der Jurysitzungen wurden vor allem die Ausführungsplanungen des Mittelteils heftig diskutiert. Erst im November 1976 fand man eine Kompromisslösung: eine kurzfristige Bebauung wurde ausgeschlossen, sollte durch die Inselbreite und die Verschwenkung des Entlastungsgerinnes für die Zukunft aber möglich bleiben.[3]

      Die international besetzte Wettbewerbs-Jury gab unter anderem die Empfehlung ab, dass die Charakteristika der Stromlandschaft soweit wie möglich erhalten werden sollten. Die Donauinsel selbst sollte in überwiegendem Maße für Erholungszwecke genutzt werden. Ein ausgewogenes Verhältnis zwischen gestalteten Sport- und Erholungsflächen sei anzustreben.

      Im Juli 1977 richtete man die „Koordinationsstelle Donauraum Wien“ als Nachfolgeorganisation des Wettbewerbs ein.

      Im Rahmen dieses unkonventionellen Planungsmodells, dem so genannten Wiener Modell, wurden konkrete Empfehlungen zur Stadtentwicklung im weiteren Donaubereich erarbeitet und 1977 ein „Leitprojekt Donaubereich Wien“ erstellt. Darin wurden Funktion und Zonierung von Donauinsel und Neuer Donau festgelegt.

      Ab Mitte der 1970er-Jahre waren zwei Landschaftsarchitekturbüros in die Planung eingebunden und für die Gestaltung der Donauinsel verantwortlich: Gottfried und Anton Hansjakob (München) sowie Marija und Wilfried Kirchner (Wien). Sie standen unter einem enormen Zeitdruck, da die Bauarbeiten bereits seit fünf Jahren im Laufen waren. Das bisherige Fehlen eines Gestaltungskonzeptes hatte zu offenkundigen Mängeln geführt. Massive Kritik war die Folge: von „der Fadennudel“, „Spaghettiinsel“ und „Pissrinne“ war in den Medien die Rede. Die landschaftsgestalterischen Planungen mussten nun die vorauseilenden Bauarbeiten einholen.
      Landschaftsarchitektonische Gestaltung der Donauinsel

      Die Insel selbst gliedert sich nach den Vorgaben des „Leitprojekts Donaubereich Wien“ in drei Teile. Diese Dreigliederung bewirkte auch eine differenzierte landschaftsarchitektonische Gestaltung des Inselkörpers: Sowohl Norden als auch Süden wurden als „naturnahe Bereiche“ gestaltet. Die Oberfläche der Insel bekam eine Modellierung, die unterschiedliche Standortbedingungen für die Pflanzenwelt und differenzierte Lebensräume für die Tierwelt schuf. Altbaumbestände blieben bestehen, indem man die Dammschüttung entsprechend aussparte beziehungsweise verlagerte. Auch Altarmbereiche wie Zinkerbachl und Toter Grund wurden samt der umgebenden Vegetation erhalten und in die Modellierung integriert.

      Für den Mittelteil – auf der zentralen Entwicklungsachse zwischen der Inneren Stadt und dem Vienna International Centre gelegen – entschied man sich für eine intensivere Gestaltung und Nutzung als multifunktionaler urbaner Park. Dichte Gehölzpflanzungen wechseln mit offenen Wiesen ab, wodurch auf dem langen Inselkörper eine Abfolge verschiedener Teilräume entstand. In diese Grundstruktur wurde Infrastruktur wie Sportflächen, Spielplätze, Gastronomie, und WC-Anlagen eingebettet. Zusätzlich wurde eine abwechslungsreiche Uferlinie mit Promenaden, Badebuchten und Schwimmpontons geschaffen.

      Entwicklungsachsen, öffentlicher und privater Verkehr

      Der Bau der Donauinsel entwickelte sich von einem ursprünglich als Hochwasserschutz geplanten zu einem gesamtstädtischen Projekt. Die Verbindung der beiden Donauufer und ihrer Stadtteile sowie die Nutzung der Insel selbst ("Es ist Ziel der Stadt Wien, den Donaubereich zu aktivieren.")[4] wurden zu leitenden Gesichtspunkten.[5]

      Zwei Entwicklungsachsen waren vordergründig, im Norden von der Brigittenau über Floridsdorf in Richtung Stammersdorf (Vorort) und im Zentrum von der Leopoldstadt über Kaisermühlen in die Donaustadt beziehungsweise nach Kagran. Die im Zuge des Baus der U-Bahn entstehende Trasse der U1 war von Anfang an miteingeplant. Zudem wurde eine eigene Entwicklungsachse von der Donaustadt nach Stadlau (Vorort) vorgesehen, mit potentieller Verlängerung nach Aspern und Groß-Enzersdorf. Der spätere Ausbau der Nordstrecke der U2 übernahm diese Aufgabe und ist heute die dritte Achse über die Donauinsel, vom Prater über den Handelskai nach Stadlau und Donaustadt bis nach Aspern. Heute hat die Donauinsel direkten Anschluss an die U1 (Station direkt auf der Donauinsel), U2 (Stationen Donaumarina und Donaustadtbrücke) sowie an die U6 (Stationen Handelskai und Neue Donau).

      Die Donauuferautobahn A22 und die Bahnhöfe im Einzugsgebiet (Franz-Josefs-Bahnhof, Bahnhof Wien-Praterstern) wurden im Planungskonzept als „trennende Elemente“ der beiden Donauufer definiert, waren aber aufgrund ihrer Funktion aus dem Planungskonzept nicht wegzudenken. Geplante Alternativrouten der A22 wurden abgelehnt, die bisherige Route am linken Donauufer als „geringstes Übel“ in die Planung eingebunden. Die Überplattung der A22 im Bereich zwischen heutiger Donau-City und Kaisermühlen sowie Übergänge und Grünbrücken sollten für die Milderung der Belastung sorgen. Fuß- und Radwege erhielten dadurch ebenfalls Priorität und sollten die Erreichbarkeit aller Erholungsräume im Donaubereich sicherstellen.

      Im Falle einer verstärkten Siedlungsentwicklung der Bezirke 21-23 sollte auf weitere mitgeplante U-Bahn-Trassen zurückgegriffen werden. Neben dem realisierten Ausbau der U1 nach Kagran und der U6 nach Floridsdorf sah man auch den Bau einer U7 vor, die Floridsdorf und Donaustadt von Nordwest nach Südost verbinden sollte. In der Donaustadt wiederum plante man damals die Linie U3 in jener Trasse, in der die U2 später bis Aspern verlängert wurde.

      https://www.geschichtewiki.wien.gv.at/Donauinsel

  • #Blocus de #Cuba : pour la 32e fois, La Havane va demander la fin de l’asphyxie à l’#ONU - L’Humanité
    https://www.humanite.fr/monde/blocus-de-cuba/blocus-de-cuba-pour-la-32e-fois-la-havane-va-demander-la-fin-de-lasphyxie-a

    Levez le blocus : tel est l’appel lancé par Cuba dans son rapport annuel, présenté jeudi 12 septembre par le ministre des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez Parrilla. Ce bilan met en lumière les effets dévastateurs et persistants de l’embargo #américain, imposé depuis 62 ans, sur l’économie et la population cubaine.

    A ton avis, si le pays a du mal à boucler les fins de mois, c’est de la faute à la dictature ou au blocus illégal de son voisin ?

  • Voix sans issue ? Amazon officialise une narration audio par l’IA
    https://actualitte.com/article/119155/audiolivres/voix-sans-issue-amazon-officialise-une-narration-audio-par-l-ia

    La proposition d’Amazon aux narrateurs et narratrices sent tellement l’arnaque, comme toutes les propositions d’Amazon (ce que Cory Doctorow appelle « emmerdification »).

    L’amélioration des outils de synthèse vocale, grâce aux possibilités de l’intelligence artificielle, suscite l’intérêt de plusieurs acteurs du livre audio. Amazon et sa filiale Audible en tête : après le développement d’une solution à destination des auteurs autopubliés, la multinationale inaugure une offre dirigée vers les narrateurs eux-mêmes. Elle propose aux professionnels de « cloner » leurs voix, pour en faire des outils de l’IA, moyennant rémunération.

    Publié le :

    11/09/2024 à 11:08

    Antoine Oury

    8

    Partages
    Partager cet article sur Facebook
    Partager cet article sur Twitter
    Partager cet article sur Linkedin
    Partager cet article par mail
    Imprimer cet article
    ActuaLitté

    Amazon et Audible exploitent plus franchement les possibilités des technologies basées sur l’intelligence artificielle, avec l’ouverture d’un nouveau programme adressée aux narrateurs et narratrices professionnels. Sur le territoire américain uniquement, la firme leur propose de « cloner » leurs voix, pour que ces dernières soient ensuite utilisées à des fins de génération de livres audio.

    Autrement dit, les professionnels de la voix intéressés participeront à l’entrainement de l’intelligence artificielle d’Audible, qui prendra alors le relais, en reproduisant timbre, intonations et rythmes de lecture sur toute une variété de textes.

    En guise de compensation, lorsque la voix reproduite par l’IA sera utilisée pour lire un texte, le propriétaire de celle-ci sera rémunéré en recevant une part des revenus générés — Amazon n’a pas encore détaillé le pourcentage reversé.
    Une phase de test

    Dévoilée sur le blog d’ACX - pour Audiobook Creation Exchange, la place de marché d’Amazon pour la création de livres audio -, l’opération reste pour l’instant très fermée, et réservée à un petit nombre de narrateurs professionnels.

    Grâce à ce programme, « les participants peuvent développer leurs capacités de production de livres audio de haute qualité, générer de nouvelles activités en acceptant plus de projets simultanément et augmenter leurs revenus », promet la multinationale. D’après la publication, les narrateurs participants, même une fois leur voix « clonée » par l’IA, conserveront un contrôle sur les textes qu’ils « liront » de manière artificielle.

    À LIRE - En région PACA, l’IA observée sous toutes les coutures

    Par ailleurs, les narrateurs seront amenés, en utilisant les outils à disposition fournis par ACX, à contrôler la qualité de la lecture par l’IA, voire à corriger les erreurs éventuellement commises par cette dernière. La reproduction de leur voix par l’intelligence artificielle sera totalement gratuite pour les narrateurs intéressés, souligne Amazon.
    Diversifier le catalogue

    ACX travaille de longue date avec des narrateurs et narratrices professionnels, qu’il met en lien avec des auteurs, des éditeurs et des producteurs désireux de créer et commercialiser des livres audio. Cette accélération de la production, avec l’aide de l’intelligence artificielle, présente l’opportunité pour la firme d’étendre un peu plus son catalogue de titres disponibles.

    À LIRE - Amazon révèle une synthèse vocale “de pointe” avec BASE TTS

    Face à la concurrence de Spotify et d’autres acteurs du marché, Amazon entend accomplir pour le livre audio ce qu’elle a réalisé pour l’autopublication : devenir une plateforme incontournable, en proposant le plus grand nombre de références.

    Les auteurs autoédités ont déjà la possibilité de générer un livre audio à l’aide de l’intelligence artificielle, en s’appuyant sur la synthèse vocale — une voix totalement générée, qui ne s’inspire pas forcément d’une voix existante, donc. En mai dernier, Amazon avançait le chiffre de 40.000 livres audio générés automatiquement via ce programme. Des titres qui, produits avec les outils d’Amazon, resteront commercialisés par la firme avant tout...

    Photographie : illustration, murdelta, CC BY 2.0

    #Amazon #Livre_audio #Emmerdification #Voix_clonée

  • #Chronovélo #cours_Berriat : de la #contrainte naîtront les nouveaux #usages

    Depuis plusieurs mois, trois unions de quartier font part dans la presse locale (https://www.placegrenet.fr/2023/10/20/chronovelo-grenoble-fontaine-trois-unions-de-quartier-refusent-le-futur-sens-unique-cours-berriat-sans-faire-lunanimite/616121) de leur désaccord concernant le tracé de la piste cyclable Chronovélo n°1 sur la portion du cours Berriat entre J. Jaurès et l’Estacade (https://www.ledauphine.com/transport/2023/11/22/isere-grenoble-mise-en-sens-unique-du-cours-berriat-les-unions-de-quarti). Afin de maintenir un double-sens automobile, leurs membres souhaitent que la Chronovélo soit réduite en largeur, alors que l’aménagement prévu est déjà en-deçà des recommandations du CEREMA (https://www.cerema.fr/fr/actualites/rendre-sa-voirie-cyclable-cles-reussite-guide-pratique-du).

    Parlons-Y Vélo vous explique pourquoi il s’agit d’une (très) mauvaise idée.
    Le transit, un faux débat

    Ces unions de quartier expriment des craintes quant à l’augmentation du trafic dû au report de circulation sur la rue Nicolas Chorier. Cependant, nous refusons de nous appuyer sur des craintes non étayées pour justifier une dégradation de l’aménagement cyclable prévu. Focaliser le débat sur le trafic de transit n’est qu’une expression de la peur du changement.

    Comme les unions de quartiers, nous constatons, que l’automobile dans les espaces urbains est source de bruits, de pollutions, de dangers en particulier pour les plus vulnérables. Il convient de rappeler que 99,8 % des piétons tués en France l’ont été par un conducteur de véhicule motorisé (Libération, 2023).

    Le trafic de transit, par définition, ne s’arrête pas dans le quartier, il le pollue uniquement. Nous proposons donc de revoir totalement le plan de circulation du quartier afin qu’il n’accueille plus de trafic de transit sur aucune de ses rues traversantes. Il s’agit du principe de « #plan_en_marguerite ». Ce type de plan de #circulation existe dans d’autres villes européennes dont personne ne viendrait questionner l’attractivité ou la vitalité commerciale : Gand en Belgique, Barcelone en Espagne, par exemple.

    Ce type de #plan_de_circulation est un des leviers pour imposer une contrainte sur le #trafic_automobile, sans empêcher l’utilisation de la #voiture pour les besoins des résident-e-s. Cependant, celle-ci perd en #attractivité par rapport aux autres modes de transport. Le quartier Chorier-Berriat est longé par deux lignes de tramway, dispose de nombreux arrêts de bus métropolitains, et jouxte la gare de Grenoble et ses nombreuses destinations routières et ferroviaires. En 2020, les données INSEE montrent que voiture, marche et vélo sont déjà proches en part d’utilisation pour les trajets domicile-travail, il ne suffit que d’un coup de pouce pour renverser la balance.

    La contrainte sur le trafic, un levier majeur pour son évaporation

    Il est aujourd’hui inutile de rappeler les bienfaits des modes actifs sur la santé, et le besoin de décarboner les transports de courte ou longue distance. un espace public libéré des voitures permet d’autres usages : végétalisation, jeux d’enfants, extension commerçante , bancs, etc. Contraindre les #accès_automobiles amène un effet qui ne revient presque jamais dans le débat public : il s’agit de l’#évaporation_du_trafic, qui a été récemment confirmée par une thèse (https://transitec.net/fr/actualites/item/11224-levaporation-du-trafic-un-concept-confirme-par-une-these.html). Il est donc faux de considérer le trafic automobile comme une donnée constante : celui-ci évolue selon les choix qui sont faits sur l’espace public.

    Le projet Cœur de Ville – Cœur de Métropole de Grenoble, qui a consisté entre autres à la suppression du transit sur l’axe Rey-Sembat-Lyautey en hyper-centre, a été un très bel exemple d’évaporation du trafic. après 1 an de mise en place, 4% du trafic en entrée du centre-ville avait disparu (https://www.eco-compteur.com/ressources/grenoble-alpes-metropole-france). La #fréquentation_piétonne, elle, a bondi.

    Mais pour le #secteur_Berriat, malgré de nombreux compteurs de trafic automobile présents sur les routes de la Métropole, il est impossible de pouvoir juger de l’évolution… faute de la diffusion des données. À l’instar des unions de quartier, nous attendons avec impatience la publication de chiffres à ce sujet. Le silence actuel profite aux marchands de peur, et contribue à des débats passionnés, sans étaiement objectif possible. Nous le regrettons.

    La qualité de ville, la vraie question

    Si la #part_modale du vélo à Grenoble a fortement augmenté depuis 2015 (https://www.ledauphine.com/transport/2023/11/27/isere-velo-grenoble-fait-la-course-en-tete), c’est grâce à l’arrivée d’un nouveau public sur les bicyclettes, qui n’osait pas utiliser ce transport jusqu’alors : femmes, enfants, personnes âgées, etc. ainsi que le développement de nouvelles pratiques : vélos adaptés aux PMR, vélos couchés, cyclologistique. Rappelons qu’un enfant doit rouler hors du trottoir dès ses 8 ans, ce qui implique qu’il puisse le faire sur la chaussée. Ces nouvelles utilisations du vélo sont permises par la largeur importante du réseau Chronovélo. En effet, une piste cyclable large ne permet pas seulement d’absorber un trafic plus important ; elle offre un cadre sécurisé et agréable aux personnes plus lentes ou disposant de vélos-cargos ou tricycles, sans être gênées par les cyclistes plus aguerris ou plus rapides. Ainsi, une largeur de 4 mètres est indispensable pour garantir une pratique du vélo accessible à toutes et à tous.

    Dans ce contexte, quel intérêt de questionner la population sur 250 mètres de voirie qui passeraient à sens unique, sur un cours qui mérite aujourd’hui une rénovation totale de ses espaces et de ses usages ? Pourquoi s’attarder sur ce qui est finalement un petit sujet, au regard de la question existentielle qui s’est toujours posée aux urbanistes : quelle ville voulons-nous ? Souhaitons-nous des rues où la voiture n’a pas ou peu de contraintes, au détriment d’alignements d’arbres (même à l’ombre en été), de terrasses (qui seront à l’ombre en été, ce qui n’est pas si mal, non ?) et de pavés perméables pour laisser entrer l’eau de pluie dans le sol ? Bref, nous sommes déçus de voir que le débat ne s’intéresse qu’à la circulation de quelques voitures, et qu’il est amené toujours de la même façon : des oppositions de principe au moindre changement d’habitude.
    Avec le temps, les avis changent

    En 2016, les unions de quartier Centre-Ville et Championnet rejoignaient Grenoble à Cœur , pour s’opposer à CVCM Grenoble et de facto au passage de la Chronovélo sur Rey-Sembat-Lyautey. En 2018, une partie des membres des unions de quartier Berriat, Centre-Ville et Championnet s’opposaient au passage de la Chronovélo sur l’axe Lafontaine-Berriat (https://www.placegrenet.fr/2018/12/10/plan-chronovelo-le-velo-qui-marche/530046). Puis, ces mêmes membres se sont opposées à la bordure (https://www.placegrenet.fr/2019/04/07/chronovelo-bordure-le-velo-qui-marche/530545) de séparation entre la Chronovélo et la voie routière . Aujourd’hui, peu ou prou les mêmes personnes se déclarent « favorables » à la Chronovélo. Il y a donc bon espoir de les voir défendre des Chronovélo suffisament larges dans les années qui viennent, sur les futurs projets… peut-être les quais rive gauche ?

    https://parlons-y-velo.fr/chronovelo-cours-berriat-de-la-contrainte-naitront-les-nouveaux-usage
    #vélo #aménagement_du_territoire #urbanisme #Grenoble

    • Rendre sa #voirie cyclable : les clés de la réussite - Un #guide pratique du #Cerema

      Comment transformer progressivement la voirie pour encourager la pratique du vélo en ville ? Le Cerema publie un guide pratique pour aider les collectivités et acteurs de la mobilité à développer des aménagements attractifs et performants, à travers 8 #leviers_d'action.

      Améliorer la qualité des #aménagements_cyclables

      Il a été conçu pour répondre à un besoin des collectivités, qui cherchent de plus en plus à généraliser les aménagements cyclables en ville. Pour cela, il faut transformer en profondeur la voirie et amener à une modification des pratiques.

      Largement illustré, ce document disponible sur la boutique en ligne du Cerema présente des exemples de bonnes pratiques, des schémas explicatifs, les éléments réglementaires et signale des points d’attention. Il fournit aussi des références et ressources pour approfondir les différents sujets.

      "La France ambitionne une forte croissance de la part modale vélo, qui ne peut se réaliser que si les aménagements cyclables proposés s’adaptent pour accueillir les nouveaux cyclistes, qu’il s’agisse d’enfants à vélo, de familles avec des remorques, ou d’utilisateurs de vélo cargo.

      Cette ambition suppose de réinterroger l’offre quantitative mais également qualitative des aménagements cyclables. C’est pour aider les aménageurs à relever ce défi que le Cerema publie aujourd’hui ce guide « #voirie_cyclable »" (Thomas Jouannot - Cerema)

      Il a été réalisé collectivement au Cerema, à la suite de nombreux échanges avec les collectivités notamment au cours de webinaires organisés pour accompagner la mise en place d’aménagements cyclables temporaires et leur pérennisation.

      https://www.cerema.fr/fr/actualites/rendre-sa-voirie-cyclable-cles-reussite-guide-pratique-du

    • L’évaporation du trafic, un concept confirmé par une thèse !

      Les retombées d’une thèse de doctorat engagée par Transitec sur l’évaporation du trafic nous permettront de conforter des démarches encore plus ambitieuses pour les projets de #mobilité à venir ! Une belle mise en lumière de la « part des anges » du trafic automobile.

      Notre collègue #Pauline_Hosotte a soutenu publiquement sa thèse de doctorat ès sciences, intitulée L’évaporation du trafic, opportunités et défis pour la mobilité d’aujourd’hui et demain. Cette recherche de quatre ans, sur une thématique orpheline tant dans la littérature que dans la pratique de l’ingénierie, a été réalisée grâce à une collaboration entre notre bureau et le Laboratoire de sociologie urbaine (LaSUR) de l’EPFL, sous la direction du Prof. Vincent Kaufmann.

      Défendue à huis clos quelques mois auparavant, devant un jury de scientifiques et praticiens, la thèse a été acceptée sans réserves et proposée à l’unanimité par ce jury pour le prix 2022 de distinction pour une thèse remarquable.

      Pourquoi l’évaporation du trafic ?

      Quotidiennement, nous observons le phénomène dit d’évaporation du trafic, qui conduit à constater qu’en cas de restriction de circulation volontaire ou non, une certaine part de trafic « disparaît » spontanément, et parfois durablement. Dans un contexte et une époque où la saturation des réseaux et la volonté de réorienter les politiques de mobilité vers une meilleure maîtrise de la voiture revêtent une grande importance, ce sujet est porteur de défis et d’opportunités. Quasiment absent de la littérature scientifique et largement méconnu, la thématique de l’évaporation du trafic méritait une plus grande attention. Ce travail de thèse comble ainsi une lacune et les enseignements qu’il apporte sont riches pour gérer non seulement la mobilité d’aujourd’hui, mais également pour façonner celle de demain.

      L’évaporation du trafic est parfois un sujet de fantasmes : les plus ambitieux considèrent qu’elle devrait tout permettre, les plus réticents que c’est un concept "fumeux". Certaines collectivités pourraient être tentées d’intégrer une part d’évaporation dans chaque projet de requalification de l’espace public, ce qui permettrait de faciliter l’action publique. Il n’existe en effet aucun consensus sur la valeur à lui faire prendre, ce qui permet, en gros, de mettre un voile bien peu pudique sur tous les effets néfastes des politiques publiques sur le mode voiture.

      Pourquoi une thèse ?

      Puisque nous croyons en ce phénomène sans pour autant penser qu’il suffit à justifier tout et n’importe quoi, nous avons voulu étayer scientifiquement ce qui se cachait derrière l’évaporation, en nous appuyant sur cette thèse. Le sujet n’est évidemment pas apparu aussi récemment chez nous, mais nous espérons pouvoir consolider certaines situations en nous appuyant sur ce travail, que nous jugeons important et fondateur pour de nouvelles approches de la mobilité plus ambitieuse en cette période de crise climatique.

      Et la suite ?

      Outre la maitrise de ce sujet que nous transmettons à chaque membre de notre équipe et la méthode que nous développons en ce sens au niveau technique, nous travaillons à la rédaction d’un document vulgarisateur et appliqué à nos métiers. Il prendra la forme d’une « pause technique », notre série de publications de partage de connaissance dont le premier numéro sur la mobilité des femmes en Afrique est sorti en 2021 et dont le second, consacré à l’essor du vélo à Paris et les enseignements à en tirer, vient de paraître.

      Vous voulez en savoir plus ?

      Pour échanger de manière plus spécifique à vos propres enjeux autour de cette thématique d’actualité, nous organisons volontiers des séances de présentation et de discussion particulières en présentiel ou visioconférence.

      https://transitec.net/fr/actualites/item/11224-levaporation-du-trafic-un-concept-confirme-par-une-these.html

  • Au #procès des folles

    « Les violences sont déplacées dans le champs du #fantasme »

    Victimes de violences physiques et psychologiques de la part de leurs ex conjoints, Anouk et Marie doivent être expertisées par des psychologues et psychiatres suite aux #démarches_juridiques qu’elles entament, au pénal et au civil. Elles racontent leurs expériences traumatisantes face à des expertes qui minimisent les faits, remettent en doute leurs paroles, symétrisent les comportements ou encore les accusent d’être hystériques et masochistes. Ces psys considèrent qu’Anouk et Marie « y sont sans doute pour quelque chose », compte tenu de leurs profils psychologiques.

    De très nombreuses femmes vivent les mêmes expériences, source de nouveaux traumatismes, devant la justice, mais aussi dans les cabinets libéraux. Cet épisode décrypte le processus de #psychologisation de la violence (des victimes, mais aussi des agresseurs) qui permet de mieux l’occulter. Avec les analyses de psychologues et d’avocates qui tentent de faire changer ces pratiques.

    https://www.arteradio.com/son/61684896/au_proces_des_folles
    #justice #violence #procès_pénal #procès #traumatisme #masochisme #hystérie #occultation #invisibilisation #psychologie #anxiété #VSS #violences_sexuelles #expertise #peur #honte #répétition #larmes #humiliation #culturalisation #religion #histoire_familiale #hystérie #suspicion #intimité #expertise_psychologique #enquête_de_crédibilité #crédibilité #toute_puissance #traumatisme #post-traumatisme #consentement #colère #tristesse #témoignage #anxiété_généralisée #traumatisme_de_trahison #troubles_du_stress_post-traumatique (#TSPT) #subjectivité #psychanalyse #névrose #masochisme #analyses_paradoxales #présomption_de_masochisme #présomption #concepts #mise_en_scène #jeu #mensonge #manipulation #exagération #répétition #co-responsabilité #dépsychologisation #féminisme #violences_politiques #vulnérabilité #expertises_abusives #maltraitance_théorique #théorie #rite_de_domination #violences_conjugales #analyse_sociale #psychologisation_de_la_violence #patriarcat #domination #violence_systémique #féminicide #sorcière #pouvoir #relation_de_pouvoir #victimisation #violences_conjugales #crime_passionnel #circonstances_atténuantes #injustice #haine #haine_contre_les_femmes #amour #viol #immaturité #homme-système #empathie #désempathie #masculinité #masculinité_violente #violence_psychologique #humiliations #dérapage #déraillement #emprise_réciproque #reproduction_de_la_violence #émotions #récidive #intention #contexte #figure_paternelle #figure_maternelle #imaginaire #violence_maternelle #materophobie #mère_incenstueuse #parentalité_maternelle #parentalité_paternelle #dénigrement

    #audio #podcast

    ping @_kg_

    • Merci
      Cette émission a fait un écho tremblant aux accusations et dénigrements de psychologues dont j’avais requis les compétences pour m’aider (croyais-je) alors que j’étais en soin pour un cancer du sein métastasé. La première, je n’ai pas ouvert la bouche que déjà elle me dit que je me suis assise de façon présomptueuse et un autre moment elle rit en me disant qu’elle voudrait bien voir mon enfant pour savoir comment il s’en sort d’avoir une mère comme moi. Une autre, à qui j’ai demandé d’agir en relais le temps des soins pour mon enfant qui débute ses études, et qui présente des phases dépressives suite à des maltraitances de son père, lui conseille d’aller vivre chez lui devenu SDF à 600km de là et me donne un rdv où j’apprends qu’il sera présent, refusant de m’entendre alors que c’est moi qui l’ai toujours payé. Tellement choquée que je pars en voir une autre pour lui demander si il est normal d’agir ainsi. Cette fois, en sortant, j’étais responsable du cancer qui m’avait fait perdre mon sein dû à des problèmes psys de maternité non résolu, j’allais détruire mon entourage, mon enfant également et j’avais juste envie de me suicider.
      J’ai quand même repris trois mois plus tard un suivi par une psychologue de la clinique qui m’a cette fois réellement écoutée et aidée. Jamais eu le courage cependant de retourner voir les 3 autres pour dénoncer leur incompétence et leurs humiliations.

      #psychologues #violences_psychologiques #maternophobie #courage_des_femmes

  • #Amparo_Poch y Gascón (1902-1968)
    https://www.partage-noir.fr/amparo-poch-y-gascon-1902-1968

    La jeune Amparo était un scandale ambulant, le « spectre de Saragosse ». Elle se promenait riant la rue en pantalon, veste et cravate. Elle fut l’une des premières femmes en #Espagne à étudier la médecine et obtint son diplôme en 1929. Dès l’âge de 16 ans, Poch y Gascón a noué des contacts avec le mouvement anarchiste. Bientôt, elle fréquenta régulièrement les athénées où elle finit par donner des cours d’alphabétisation. En tant que gynécologue et pédiatre diplômée, elle a mis en place (...) Partages

    / Amparo Poch, Mujeres Libres , Espagne, Révolution espagnole (1936-1939), #CIRA_Marseille, #CNT

    #Partages_ #_Mujeres_Libres_ #Révolution_espagnole_1936-1939_

  • New Version of #power_profiles Daemon Improves #amd Support
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/09/power-profiles-daemon-0-22-in-ubuntu-24-10

    A new version of the Power Profiles Daemon is out, bringing a number of improvements to improve power efficiency on Linux desktops, particularly on AMD devices. For those unfamiliar with it, power-profiles-daemon is a low-level component to provide power handling over DBus. Ever used the Power Mode options in the Quick Settings menu in GNOME Shell? Those options interface through this. Now that power-profiles-daemon is battery-level aware, power drivers like the Intel and AMD P-State drivers can (where supported) adjust power management based on the current battery level value. “In particular both the AMD panel power action now uses a […] You’re reading New Version of Power Profiles Daemon Improves AMD Support, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #Ubuntu_24.10

  • Palestine/Israël : une histoire coloniale
    Sortie le 24 août 2024 | #Amfis2024
    https://www.youtube.com/watch?v=VvFzzg9wMWw

    Palestine/Israël : une histoire coloniale | conférence AMFIS 2024
    avec :

    *Sbeih Sbeih, sociologue, chercheur associé à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman (Iremam)
    *Salah Hamouri, avocat, militant pour les droits du peuple palestinien
    *Géraldine Hornberg, membre de la coordination nationale de l’Union juive française pour la paix (UJFP)
    *Mathilde Panot, présidente du groupe LFI-NFP à l’Assemblée nationale

  • Mathilde ! #MaFrance ! Union Populaire !

    https://www.youtube.com/watch?v=3L2XE7PiWro

    de 1h.00.21s à 2h.17.32s et depuis les 14mn.05 à la fin c’était super aussi !

    « Depuis 3 siècles, Montesquieu nous a appris un principe simple : le pouvoir arrête le pouvoir, et donc il doit y avoir une séparation des pouvoirs dans ce pays !

    Nous saisirons la semaine prochaine le conseil constitutionnel qui devra répondre à cette question : est-il possible d’être député tout en en étant ministre en exercice ? »

    "Publier 1160 décrets et arrêtés au Journal officiel, ce n’est pas ce que j’appelle « gestion des affaires courantes »

    La presse internationale a très bien compris la gravité exceptionnelle des évènements qui sont en train de se produire."

    #Amfis2024